- Présentation du joueur IRL -
Prénom :Manuel
Age:21
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum :Merci GOOGLE
Combien d'heures vous vous connectez par jour :minimum 5 les Vendredi-Samedi-Dimanche et 0 la semaine
Tes Mangas préférés :Cat's Eye, Happy Seven, Kindaichi, Negima, Sailor Moon, Shugo Chara, Wolf's Rain et bien sur One Piece
Ton personnage préféré dans One Piece : Boa Hancock-Nico Robin-Nefertari Vivi (please come back!)[/b]
Ce qui t'as motivé à venir : L'envie d'essayer un RPG
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : First Time
Hobbys : Cuisine, Lecture, Jeux Video
Autre(s) :OKAMA WAY!!- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Hermaphrodite de Possenhofen
• Surnom (facultatif) :Hermy
• Age : 19
• Race : Humain
• Camp : Civil (pour l'instant)
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Fondamentalement bon mais capable des pires coups tordus
• Métier/Spécialité : Noble (j'ignore même le sens du mot "travail")
• Pouvoir demandé : Aucun
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Retrouver les 88 pages du
Livre des Arts Célestes• Code présentation :
◘ Description Physique : Avant toute chose, je suis un homme; bien que l'on me prenne souvent pour une femme. Je mesure 1m70 et je pèse 50kg ce qui fait que je suis relativement mince. J'ai la peau très claire, à la limite du transparent, si bien que l'on voit très bien mes veines et le "Sang Bleu" qui y circule.
Niveau visage, j'ai un petit nez grec, de grands yeux mauves et une fine bouche. Pour mettre tout cela en valeur, je me sers de ce que j'appelle "mes 12 apôtres", une trousse de maquillage qui me suit partout. Grace à elle mes cils approfondissent mon regard tendit que mes lèvres deviennent couleur passion.
Avec ce visage de porcelaine, je possède une longue chevelure argentée que je laisse tomber en cascade ou alors que j'attache en queue de cheval.
Sinon mes mains sont longues et fines, parfaite pour jouer du piano. Mon seul défaut, je ne possède pas de petit orteil, mais chut, c'est un secret.
Du point de vue vestimentaire, je porte habituellement de longues tuniques avec un toge par-dessus (habits traditionnels des personnes de mon rang), des talons hauts et il m'arrive de porter des gants, toujours blancs. Toutefois, je change de vêtements régulièrement, trois à quatre fois par jour.
◘ Caractère & morale :Côté psychique, ça devient plus compliqué. Tout d'abord, les gens me considèrent souvent comme hautain, ce qui n'est pas vrai. Cela est dut à l'étiquette, convention que nous, les nobles, devons suivre. En vérité je suis très doux et compréhensif.
Par contre, il est vrai que je suis plutôt superficiel et que je juge souvent un livre à sa couverture (comme le disait ma tante: "si la couverture est mitée, le livre n'est pas bon" ).
Sinon mon occupation principale c'est d'étudier. Rien n'est plus important à mes yeux que le Savoir, pas même la Beauté.
J'ai un rapport compliqué avec ceux qui m'entourent. Déjà, je ne m'adresse pas à n'importe qui ; il faut que je connaisse mon interlocuteur depuis un certain temps avant que je ne m'ouvre à lui. Soit belle et tais toi, tel est ma devise. Par contre, j'écoute, même ce qu'il ne faut pas. On dit que la curiosité est un vilain défaut mais n'est-ce pas elle qui fait avancer la recherche.
Une dernière petite chose, j'ai tendance à me vexer facilement.
◘ Histoire : Je suis né il y a 19 ans, 5 mois et 13 jours à 7 h 05 dans le domaine de Innsbruck, la résidence d'été de mes grands-parents. Je suis
Hermaphrodite Attis Douamoutef Eragipa Suseri de Possenhofen, fils de
Ganymède Madère et
Hébé de Godollo. Je ne vais pas vous raconter toute mon ascendance, mais sachez que, pour préserver son sang bleu, ma mère avait épousé son cousin,
Attis de Possenhofen, qui m'a reconnu comme sien.
Je suis né il y a 19 ans, 5 mois et 13 jours à 7h05 dans le domaine de Innsbruck, la résidence d'été de mes grand-parents. Je suis Hermaphrodite Attis Douamoutef Eragipa Suseri de Possenhofen, fils de Ganymède Madère et Hébé de Godollo. Je ne vais pas vous raconter toute mon ascendance mais sachez que, pour préserver son sang bleu, ma mère avait épousée son cousin, Attis de Possenhofen, qui m'a reconnu comme sien.
C'est à l'âge de 8ans que j'ai appris la vérité, lors d'une scène de ménage entre ma mère et celui que je considérais comme mon père. Ce jour là, ma mère et moi partîmes vivre chez sa sœur et son mari à Marie Joa . C'est là bas que je découvris le plaisir d'apprendre. Je fis des études de philosophie, d'archéologie, de lettres, de sciences, de musique et d'art. A l'âge de 17 ans j'étais diplômé de toutes les grandes universités de Marie Joa.
Au solstice d'été, 8 jours après mes 18 ans je rencontrai un homme, d'environ 40 ans, la peau tannée par le soleil. Des amis d'école me l'avaient présenté, car je leur avais fait par de mon envie de m'initier aux arts obscurs. D'après eux, ce vieil homme était shaman. Aussi je me présentai à lui, mais sous un nom d'emprunt. A court d'imagination je lui donnai le premier nom qui me vint à l'esprit, celui de mon père. Ce nom étonna le sage et à juste titre, il connaissait Ganymède Madère. Pris sur le fait, je n'eus d'autre choix que de reconnaitre la vérité. Toutefois, peu curieux, il ne me questionna pas sur ma réelle identité.
Dans les jours qui suivirent il m'introduisit les grands principes de la magie, toutefois il assista sur un point : nous parlerions uniquement de théorie et jamais ne nous ne la pratiquerions. Même si au début c'était passionnant, très vite survint la frustration de ne pouvoir tester le pouvoir qui s'offrait à moi. Au mois de septembre, la même année, ma mère tomba gravement malade. On fit venir à la maison les plus grands médecins, mais aucun n'arriver à trouver le mal qui la rongeait. C'est à la même époque que mon maitre me fit découvrir le Mythe de la
Fontaine de Jouvence. D'après la légende, ces eaux pouvaient guérir n'importe quelle maladie.
La nuit du 23 septembre, à la pleine lune, je bravai l’interdiction du vieil homme et tenta d'invoquer la fontaine mystique. Mon manque d'expérience allait être fatal. Au lieu de faire surgir l'eau miraculeuse je fis apparaitre Charybde le Gouffre abyssal. Celui-ci provoqua un énorme séisme. Le palais entier se mit à trembler. Très vite je rassemblai ce qui comptait le plus pour moi. Alors que je fuyais vers la sortie j’entendis un cri provenant des appartements de ma mère. Sans une once d'hésitation je me précipitai vers la chambre en question. J’entrai dans la pièce et je vis ma mère qui gisait au sol, sous la penderie qui lui était tombée dessus. C'est alors que le mur voisin, cloison séparant ma chambre et la sienne, s'effondra, absorbé par le gouffre démoniaque. Au milieu des débris et de la poussière quelque chose traversa la pièce. Sur le coup, je ne distinguais rien puis j'aperçus me tournant le dos, mon maître shamanique. Il essayait de refouler le monstre que j'avais réveillé.
Quand il eut finit, il se tourna vers moi en silence. Alors, d'une force prodigieuse, il envoya valser l'armoire libérant ainsi ma mère. Celle-ci était de plus en plus pale, elle avait perdu beaucoup de sang. Elle se retourna vers moi et me caressa la joue. Elle m'avait reconnu malgré le fait qu'elle perdait la vue à cause de l'hémorragie. Le sorcier la prit alors dans ses bras.
Hébé : Ganymède... c'est bien toi ?
Le Shaman : Chut, Hébé, repose-toi.
Hébé : Tu m'as... tellement... manqué.
Sur ces mots le visage de ma mère terni, son corps se raidit. Elle avait basculé vers un monde meilleur. J’attrapai le corps sans vie et je le serai contre ma poitrine. Le vieil homme me pris par le bras.
Ganymède : Il faut partir !
Moi : Qu... QUOI ?
Ganymède : Nous ne pouvons pas rester ici !
Moi : POURQUOI ??!!
Ganymède : Que vas-tu leur dire quand on va découvrir ce qui s'est passé ?
Moi : Je... Je...
Ganymède : Viens ! On n’a pas une minute à perdre !
Je repose délicatement ma mère au sol. Le mage déposa un baiser sur les lèvres de la femme qu'il avait aimé puis nous partîmes par la fenêtre, ou plutôt ce qu'il en restait.
Main dans la main, nous détalâmes à travers les ruelles de ma ville. Mes yeux étaient tellement humides que je ne voyais pas du tout où nous allions. Au détour d'une ruelle, nous entrâmes dans un bâtiment qui semblait à l'abandon. Le vieil homme souleva alors un tapis découvrant ainsi une trappe. Il me fit passer avant lui puis referma la trappe en prenant soin à ce que le tapis la recouvre à nouveau.
Nous nous retrouvâmes alors dans une petite salle creusée dans le sol. Le mobilier était spartiate. Il se résumait en tout et pour tout à un lit superposé, une table, trois chaises, un placard et un évier. Comparé au luxe dont j'étais habitué c'était le jour et la nuit. Il fallut attendre là-dedans, le temps que les choses se tassent. Impossible de vous dire combien de temps nous sommes restés sous terre, une semaine un mois ou peut être plus, je n'en sais rien.
Toutefois, un beau matin l'escargot-phone que mon père, car c'était bien mon père, garder toujours sur lui sonna. Il eut une conversation avec un homme dans laquelle il était question d'esclaves, de prison, de guerre et de révolutionnaires. Le soir même nous partîmes à bord d'une petite barque en direction de
l'Archipel de Sabondy.
Mais arrivé là-bas le pire se produisit. Mon père et moi fûmes attaqués par des chercheurs de primes, car, apparemment, il était mondialement recherché. Lors de l'escarmouche, je fus pris pour cible par l'un des chasseurs. Alors que je fuyais mon pied dérapât et je m'écroulai sur le sol. Mon poursuivant me mit en joue puis tira. Mon père s'interposa entre mon adversaire et moi. La balle le frappa de plein fouet. Ayant échoué dans la capture de mon père (ils devaient l'avoir vivant), les chasseurs partirent, dépités. Je me mis alors à genoux près du mourant et m'apprêta à user d'un sort de soin qu'il m'avait enseigné.
Ganymède : Non, Hermaphrodite ! Que de la théorie jamais de pratique.
Moi : Mais père !
Ganymède : Non ! Rappel-toi la dernière fois.
Je serrai les dents d'amertume. Par deux fois j'ai été imprudent. A chaque fois quelqu'un de cher perdait la vie.
Ganymède : Her... Hermy. Promet-moi de ne plus jamais avoir recours aux Arts Obscurs.
Moi : Bien père.
Ganymède : Alors, je te confie ceci. C'est le plus grand grimoire qui n'ait jamais existé. La légende dit qu'il viendra de la grande bibliothèque d’Ohara.
Il me tend un livre étonnamment fin. Sur sa couverture bleue nuit il y avait marqué en lettre calligraphiée blanche "
Le Livre des Arts Célestes ". Je l’ouvris.
Moi : Mais... Il est vide !
Ganymède : Oui, ce sera à toi de le remplir !
Sur ces mots il s'endormit pour ne jamais se réveiller.
Je passai le reste de la journée à creuser sa tombe puis à l'ensevelir. Le soir je pris une chambre à l'hôtel. Assis sur le lit j’ouvris ma besace. Elle contenait mes "12 apôtres", mon carnet de notes, le
Livre des Arts Célestes et la photo de ma demi-sœur, que je n'avais pas vu depuis plus de 10 ans. Ainsi se résumer ma vie, à quatre objets d'apparences anodines, mais qui comptait tellement pour moi.
J’ouvris à nouveau le livre. Je découvris une feuille pliées en quatre sur laquelle il y avait marqué : "
Histoire du Livre des Arts Célestes par Ganymède Madère". Il y raconte l'histoire du grimoire, comment il était créé il y a 800 ans, comment il s'est retrouvé à Ohara, comment, malgré l'incendie de la bibliothèque, il a survécu. Le dernier paragraphe captura mon attention
"
Ce Livre contenait 88 pages, toutes ensorcelées. Lors de l'incident de Ohara ces pages se sont attachées à des personnes et se sont dispersées aux quatre coins du monde. Dieu seul sait ce que contiennent ses pages et quels sont leurs pouvoirs. Toi, à qui j'ai confié le livre sera-tu capable de toutes les retrouvées ? ".
Je retourne alors la page. Celle-ci est bleu clair avec des points jaunes en bas à droite il y a marqué "
58" et tout en haut, comme un titre "
Pavo". Serait-ce la 58e page du Livre? Et que représente-t-elle? Epuisé je m'allongeai et m'endormis aussitôt. Demain sera un autre jour.
• Exemple de post RP :On est mercredi, il est sept heures du matin. Les premiers rayons de soleil viennent chatouiller mon visage. Quel plaisir de se faire réveiller ainsi. J'ouvre la fenêtre pour humer l'air frais du matin. Dehors les oiseaux chantent, des libellules volettent. Les rues commencent à s'animer. Je vois le boulanger qui sort de son fournil. Il lève la tête et m'aperçois. Nous nous saluons d'un signe de main. Que c'est beau, un semblant de vie normal.
Je me retourne et pars dans la salle de bain pour me préparer. Une fois lavé, maquillé et épilé, je décide d'enfiler une tunique mauve et une toge argent avec des vignes brodées sur le pourtour. Je m'approche de la panière de fruit qui trône sur la table basse de ma chambre. Là, je prends une grappe de raisin et je l'accroche délicatement dans mes cheveux. Me voilà enfin présentable. Je récupère mes affaires et je les range dans un petit sac à main émeraude que j'ai acquis il y a peu de temps.
Je sors de l'hôtel. J'ai l'intention de prendre mon petit-déjeuner dans la petite taverne que j'ai découvert hier au bosquet 74. Sur le chemin, je croise de nombreux visages familiers ; mais aussi beaucoup de nouvelles têtes, probablement des pirates qui recherchent un enrobeur ou encore des chasseurs de primes. C'est alors que j’entends crier dans mon dos.
Une voix : Arrêtez-le ! C'est un assassin ! Il a même tué ses propres parents !
Quoi ?! Comment l'on-t-il sut ? Sans réfléchir davantage je prends mes jambes à mon cou. Dans ma fuite, je prends le maximum de petites ruelles possibles. Ils me suivent, j’entends leurs pas ! Mais qui me suit ? Je tente alors de jeter un coup d'œil par-dessus mon épaule, mais je ne vois rien, la foule m'empêche de les distinguer. C'est alors qu'un coup de feu résonne dans la rue alors qu'une douleur fulgurante me transperce le bras. Je sers les dents.
Au détour d'une ruelle je me réfugie sous un porche. C'est alors qu'un homme passe en courant devant moi bousculant les passants affolés, suivi de près par des marines. Est-ce lui qui est recherché et non mo i? Pourquoi m'ont-ils tiré dessus ? Une balle perdue ? Fou de douleur je m’assois par terre et je me laisse submerger par les larmes. Tout à coup une main se pose sur mon épaule.