- Présentation du joueur IRL -
Voir Karusi Osaki
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Ils en a eut plusieurs, il n'en utilise plus désormais
• Surnom : Crow
• Age : 20 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain
• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Chasseur de prime
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) :Indifférent
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Aucun
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : [Merci de regarder la liste des FDD/Armes disponibles avant de demander. Vous pouvez proposer un FDD ou une arme qui n'est pas dans la liste, mais faites-nous en une description détaillée]Rappu Rappu No Mie : (Paramécia du piège) Permet à l’adversaire de toucher une zone (sol, mur, poignet de porte) pour y déposer un piège de diverse nature (Explosions, flash, piques, déflagrations, odeurs nauséabondes, attaques compulsives d’un objet, etc…). L’utilisateur peut même exercer son pouvoir quand deux objets préalablement touchées se touchent ou se rapprochent. Un bruit trop fort peu même déclencher un piège, voir un simple mot bien précis. Plus la probabilité de tomber sur le piège est faible, plus l’effet est dévastateur. Cela dépend également du niveau de l’utilisateur. Attention, l'utilisateur peut pas activer ses propres pièges
• Rêve(s)/But(s) du personnage :Créer le piège parfait
◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]Crow…Fait peur, oui on peut le qualifier ainsi. Ne serais-ce que sa tête de gros psychopathe pervers à tendance mesquine, petite parenthèse c’est pas moi qui ai inventé cette expression mais un marine qui se reconnaîtra. Oui Crow fait peur, il fait planer quelque chose de malsain autours de lui, quelque chose qui montre la noirceur de son âme et qui réveil des instinct primaires chez l’homme. Peut-être son odeur ? Une odeur de désinfectant, une odeur que l’on ne sent que dans les hôpitaux, une odeur assez désagréable au bout d’un certain temps. Ou alors cela pourrait être le fait que sa peau soit froide comme celle d’un macchabé.
Mais passons cette impression qu’il donne en dressant n portrait de ce personnage pas comme les autre. Commençons pas le commencement, on va le décrire de haut en bas c’est la plus simple à faire. Le chasseur de prime possède une chevelure assez longue d’un noir profond, un noir ténébreux semblable à celui qui teinte les plumes d’un corbeau. Quelques mèches se promènent sur son visage, cachant et encadrant de temps à autres ses yeux. Ses yeux, sans doute la chose la plus dérangeant ici, les yeux du piégeur sont d’un rouge sang digne des plus dégénérés tueurs de la planète. Ses yeux rubis ne reflètent rien d’autre que le vide, le néant, l’absence totale de conscience de notre cher ami.
Son nez est fin, presque invisible sur son visage lisse et pâle, lui donnant un petit air de serpent vous donnant quelques frissons le long de l‘échine. Son visage est souvent dénué d’expression, je dis souvent car il arrive dans certains cas que ce visage s’illumine d’un sourire malsain. Son sourire vous entraine dans un étrange malaise, un rictus pervers allant d’une oreille à l’autre et reflétant bien toute les horreurs qu’il vous fera subir, car ce sourire ne s’affiche que lorsque Crow est sûr de vous tuer.
Attardons nous désormais sur le corps du jeune homme, un corps simple en somme. Du haut de son mètre soixante dix on peut dire que Crow est dans la moyenne. Néanmoins, son poids est largement en dessus de la norme lui donnant un corps squelettique glauque à souhait. Il n’est pas musclé, donc n’espérez pas le voir déployer de puissants et magnifiques biceps. Ses mains sont les parties de son corps les plus morbides, alliant longueur et finesse telles les mains squelettiques de la mort venu prendre votre âme
Sa garde robe est assez limitée, il ne porte que des chemises blanches ou noires, la seule touche colorée qu’il se permet est sa cravate rouge qu’il range toujours dans la poche de sa chemise. C’est bizarre, je sais et surtout il ne sait même pas pourquoi il préfère rangé sa cravate que de la laissé pendouiller. Sous sa chemise se cache un haut à manches longues lui couvrant parfaitement ses bras et permettant ainsi de cacher une lame ou autre. Notez aussi qu’il s’habille de manière à donner l’impression de quelqu’un toujours propre sur lui, un vrai look de premier de la classe
Sinon, on peut observer un colt ainsi qu’une petite dague, tout deux noirs, accroché à la ceinture de Crow. A vrai dire il n’aime pas trop les utiliser mais il faut avouer que ces petits joujoux sont très utiles dans certains cas
◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]Comment le décrire mentalement ? Après tout Crow est quelqu'un de très particulier...Pourquoi ne pas commencer par la première impression qu'il donne ? Souvent quand il rencontre une personne il fait preuve d'un mutisme quasi-total. Il n’est pas loquace et cela se voit très rapidement quand vous vous rendez compte que ses réponses sont toujours les plus courtes possibles, sauf quand il vous rembarre là il est capable de vous faire de longs discours pleins de piques. Il n‘aime pas parler de lui, c‘est pour cela qu‘il laisse couramment son interlocuteur contrôlé la discussion. Du moins en apparence, car en réalité le jeune homme possède une forte maîtrise de la rhétorique et peut devenir le maître d‘un dialogue à n‘importe quel moment.
D’une nature assez courtoise il respecte ceux qui « en vaillent la peine » selon lui. Cela veut dire que seuls ceux ayant une intelligence assez développée méritent son attention. Les autres, les faibles d‘esprits, naïfs ou attardés, ce cher Crow adore leur faire subir des supplices psychiques, morales et physiques en les confrontant à des choix cornéliens. Ce que j’entend par là ? En bien disons par exemple que deux bandits liés par le sang, aient la malencontreuse idée de s’en prendre au jeune homme. Ils se retrouveraient quelques heures plus tard dans une salle fermée à clé avec une arme à feu ne contenant une balle et un mot disant qu’une seule personne sortira d’ici. Oui je sais, peut-être qu’il a trop regardé Saw mais bon, en gros c’est pour dire que c’est un psychopathe. Et pas celui qui massacre à tout va hein, je veux dire le tueur froid, calculateur qui sait d’avance ce que vous aller faire. Un tueur qui préfère la qualité que la quantité contrairement à beaucoup d’autre
Oui, Crow est un psychotique, doublé d’un sociopathe. Pour lui une vie humaine n’a que peu de valeur. Ainsi tuer ne le dérange absolument pas, mais il n’y prend pas plaisir non plus. Cela lui est totalement indifférent en somme, il pourrait assassiner un enfant, une femme ou un vieillard innocent comme il assassinerait le pire enfoiré sur Terre. Vous comprenez donc que tout ce qui est du domaine sentimental lui est parfaitement inconnu. Ainsi exit amis, amours mais également ennemis. Et oui, bien qu’il soit très intelligent, le chasseur est handicapé au niveau relationnel. Donc ne vous étonnez pas s’il traite des alliés aussi « bien » que ses ennemis. Par contre, Crow est un adepte de l’humour noir. C’est sans doute la seule chose qui peut lui faire arracher un rictus sur son visage si froid.
Crow aime avoir le contrôle de toute situation. Si quelque chose lui échappe il serait sans doute perdu et choqué durant un bon moment. Les pièges, piéger ses ennemis est quelques chose qu’il affectionne particulièrement. Il ne peut s’empêcher de rire à chaque fois que sa proie pense s’en être sortit et tombe immédiatement après dans un piège, souvent mortel. Le jeune homme est très méthodique, on dirait qu’il fait des choses, même banales, en suivant scrupuleusement le même schéma. Cela donne la chaire de poule lorsqu’on le voit par exemple toujours manger la même chose et dans le même ordre tel un robot programmé. D’ailleurs sa façon de parler aussi fait penser à un robot, un ton monogame et sans vie qui donne froid dans le dos
Comme beaucoup d‘autre assassins au sang froid, Crow est une personne logique et rationnelle. Dieu, les fantômes et toutes autres légendes sont pour lui le fruit des divagations de gueux vivant dans l’ignorance la plus totale. Oui, donc s’il rencontre, au hasard, ce cher Amiral en chef Godwrath, le jeune homme n’hésitera pas à lui dire que le vieil homme est un attardé suivant des lois idiotes écrite par un idiot dans un ouvrage tout aussi idiot contenant toute la bêtise humaine. Bon il se fera sans doute tuer après ça mais au moins il serait resté fidèle à lui-même. Cette logique va de pair avec une intelligence hors normes qui permettent à notre ami de faire bon nombre de choses utiles lorsque l’on veut piéger quelqu’un. Enfin il y a une phrase qui pourrait conclure cette description à son sujet, comme il le dit, il ne fait jamais de compromis même devant la mort. Donc vous ne pouvez espérez le corrompre s’il décide de vous tuer
◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]Chapitre 1
Naissance dans le sangRei D. Hitori naquit un magnifique jour d’hiver à Orange Town dans East Blue. Fils de commerçants le bambin avait une destinée déjà tracé par ses parents. Le destin, ce chemin imaginaire qui conduit nos vies du début à la fin se révèle parfois capricieux.
Le père de Rei était un très bon commerçant, mais son métier l’obligeait parfois à avoir des relations plus que douteuse. Et dans l’ordre des choses lorsqu’il avait un problème d’ordre financier il se tournait vers ces personnes indignes de confiances. Dettes après dettes la petite famille était sur la liste noire des criminels, mais le commerçant se croyait en sécurité sur son île protégée par des marines.
L’argent achète tout, et tandis que les marines regardaient ailleurs les donateurs du père de Rei purent s’en donner à cœur joie. Ce qui arriva le jour des cinq ans de notre héros le marqua à vie. Ils étaient rentrés dans la maison et avait tout démoli en peu de temps avant de violer la mère et de tuer le père tout cela sous les yeux de l’enfant caché au préalable par ses parents. Ce sang, tout ce sang, ces cris, ces horribles cris de douleurs et ces rires, ces rires morbides. Tout cela avait agit tel un feu consumant l’âme de Rei, il ne restait plus rien de lui il était…vide
Les criminels s’en allèrent, laissant deux cadavres et un enfant à jamais transformé. Les autorités vinrent une semaine plus tard, les voisins s’étant plaint de l’odeur étrange qui avait infesté le quartier. Rei fut découvert là, au milieu de ce carnage, muet et le regard perdu dans le vide. Il fut envoyé dans l’orphelinat de Shell Town où le destin continua de le tourmenter…
Chapitre 2
La rudesse de la vieRei était seul. Etant assez jeune des nourrices s’occupait de lui, en permanence une femme aidait l’enfant qui semblait tel une coquille vide. Il ne mangeait pas, ne bougeait pas et rester là à fixer le sol silencieusement. Cela se passa ainsi durant trois ans, jusqu’au moment où ses nourrices arrêtèrent de prendre soins de lui. Après tout, il n’avait toujours pas dit le moindre mot ou fait le moindre geste en trois ans. Elles avaient sans doute pensé qu’il était mort à l’intérieur et qu’il valait mieux mettre un terme à ses souffrances.
Néanmoins, elles ne voulaient pas le tuer. Alors le temps qu’elles trouvent un moyen d’abréger sa vie elles le laissèrent en compagnie des autres enfants. Les enfants, ces chères petites têtes blondes qui cachent de véritables démons. Rei était assez connu dans l’orphelinat pour être surnommé « La poupée de cire » et les enfants blaguaient couramment sur l’état de leur camarade.
Ce jour, ce fut le jour où il fut envoyé ailleurs. Un garçon, voulant faire son caïd, décida d’aller faire bouger « La poupée de cire ». Au début il l’appela simplement, puis le secoua un peu et encourager par le rire de ses amis continua de plus en plus fort jusqu’à jeter le garçon au sol et à le ruer de coups.
Les nourrices vinrent alors, lorsqu’elles entendirent les cris apeurés des enfants, elles virent Rei dans sa position habituel et un autre orphelin au sol, inerte la nuque brisé
Le seul mouvement que Rei avait fait depuis trois ans était de briser la nuque d’un autre. A partir de là les femmes ne purent accepté de garder un tel danger dans leur établissement et mirent le garçon à la rue espérant qu’il se fasse tuer par je ne sais quel procédé.
Rei daigna alors s’en aller, il n’avait que huit ans, et pourtant il avait déjà tué et était désormais sans-abris. Il marchait, le regard vide, ses pas le menèrent à droite à gauche. Partout, à chaque endroit où il allait il ne voyait que le vice et l’horreur de l’espèce humaine. Des hommes qui tuent pour l’argent, des femmes qui vendent leur corps, des hommes qui en volent d’autres tout cela appris une grande leçon au garçon. Pour survivre il fallait être prêt aux pires horreurs
Chapitre 3
La naissance d’un monstreVagabondant à droite à gauche Rei volait pour manger. Il faisait les poches des passants, des ivres morts bref de tout ceux qu’il pouvait. Mais généralement ses gains n’étaient pas très élevés, et la faim le tiraillait souvent. Durant l’un de ses nombreux larcins il fit une rencontre qui changea une nouvelle fois son destin. Aku Oni, chef de la pègre local avait prit Rei la main dans le sac alors qu’il volait de l’argent dans sa veste. L’homme décida sur un coup de tête d’adopter cet enfant des rues âgé de dix ans, voyant en lui un grand potentiel dans le domaine du crime. Il faut dire qu’un tueur en reconnait souvent un autre et Aku avait vu dans les yeux de ce voleur cet instinct de mort.
Rei fut ainsi fils de parrain et eut une éducation très stricte. A vrai dire, cette situation ne le dérangeait pas, il mangeait autant qu’il voulait, deviendrait plus intelligent ce qui ne peut-être qu’une bonne chose et surtout il allait sans aucun doute acquérir l’empire du mal de son « père » à sa mort.
Les années passèrent, le jeune homme fut rebaptisé Funzen Oni et était désormais un membre important de la communauté criminel. Il avait des partisans prêt à tout pour avoir de la valeur à ses yeux et c’est ainsi que le jeune Funzen tenta de prendre le contrôle de la pègre en tuant lui-même son père adoptif. A vrai dire, il n’y voyait là qu’un avantage purement matériel, la vie de l’homme n’ayant aucune signification pour le psychotique.
Néanmoins son coup d’éclat échoua, il avait mal organisé son plan et fut froidement abattu par son cher papa d’une balle dans la tête. Son corps fut jeté tel un déchet dans la forêt…Si seulement il avait crevé comme n’importe qui à ce moment là. Le destin avait encore fait un caprice et décida que Funzen devait vivre.
Chapitre 4
RenaissanceSon corps était paralysé par cette balle lui ayant traversé la tête sans pour autant le tuer. Funzen resta là, dans la forêt, observant face à lui une toile d’araignée finement tissée entre deux branches d’arbre. Il resta là à l’observer durant de longues heures, se demandant si une telle création avait une quelque conque sens. Un insecte se prit alors dedans, s’empêtrant dans les fins filins de soie qui l’immobilisèrent en peu de temps. Et c’est là qu’elle vint, la piégeuse, une araignée d’un noir profond qui dansaient sur son piège avant de dévorer avidement sa prise. L’arachnide remit sa toile en état et retourna se cacher tranquillement attendant une autre proie. Ce spectacle se renouvela plusieurs fois face à un Funzen de plus en plus enthousiaste. Il admirait ce piège basique mais efficace. Les pièges, cela lui plairait vraiment d’en voir d’autre. L’adolescent ce rendit compte alors qu’il venait de trouver quelque chose d’amusant, pour lui qui voyait la vie comme un long fleuve morbide il venait de trouver les pièges amusants. Bon, il se rendait bien compte qu’aimer cela n’était pas normal dans la société, mais puisqu’il n’était pas normal cela devait aller parfaitement.
Néanmoins, pour pouvoir voir et concevoir des pièges il devait bouger et cela était malheureusement impossible. Heureusement que le destin fit qu’un médecin et sa famille étaient partis en randonné et que leur chemin les menèrent vers la position de Funzen.
Quelques jours plus tard, notre héros était à l’hôpital où il était en convalescence. La balle lui avait miraculeusement fait peu de dégât, en réalité elle avait touché gravement la partie commandant les émotions qui était déjà inutilisable par Funzen. Bref, le jeune homme se remit rapidement de sa blessure et reprit l’usage de son corps en peu de temps avant de s’en aller pour assouvir sa soif de connaissance.
Il vola plusieurs ouvrages concernant les pièges, ils relataient tous les mêmes choses, des outils basiques pour la chasse mais Funzen souhaita expérimenter cela. D’ailleurs, il avait désormais changer de nom, enfin il avait plutôt rogné celui qu’il possédait et n’en avait désormais aucun.
Reprenons, le jeune homme s’en fut alors à la chasse, il posa les différents pièges qu’il avait volé et attendit patiemment ses proies. Ce fut l’extase lorsque différentes bêtes sauvages furent prises dans ses filets. Il se sentait puissant face à cela, il se sentait tel un être suprême ayant le droit de vie ou de mort sur les piégés…
Chapitre 5
CrowNotre héros décida de faire carrière dans la chasse de primés. D’un point de vue financier ce métier était intéressant et puis cela lui permettait de piéger. Bref, cela alliait parfaitement sa passion avec la nécessité d’avoir de l’argent.
Néanmoins, la concurrence était rude et pour ce préparer à toute éventualité notre ami prit quelques leçons de tir et d’utilisation d’armes blanches. Il avait les bases ce qui était plus que suffisant, de toute façon il se battait avec sa tête et pas avec ses muscles.
Au début cela fut dur, les plus bas primés étant souvent déjà les proies d’autres chasseurs débutants et les haut primés étaient trop dangereux à attaquer. Oui au début ce fut laborieux pour pouvoir avoir enfin une cible à soi. Mais ce jour arriva bien un jour et le piégeur réussit avec brio à attraper un faible pirate dont le seul crime fut d’avoir volé une barque. Les proies s’enchainèrent alors, devenant de plus en plus dures à prendre heureusement que l’imagination de notre ami était sans faille et qu’il concevait chaque jour des pièges plus vicieux et surprenants les uns que les autres.
Il eut quelques échecs, des cibles très intelligentes ou trop chanceuses mais il eut beaucoup de victoires. Néanmoins le jeune homme voulait être reconnu pour cela, il voulait qu’un jour, un ouvrage soit écrit sur lui et ses pièges. Ainsi, le jour où un autre psychopathe friand de pièges mortels voudra se documenter sur le sujet il tombera sur ce livre et les exploit de notre héros. Il devait donc avoir un nom, un nom que ses prises pourrons maudir, un nom que ses proies pourrons craindre, un nom qui fassent comprendre toute la noirceur de son possesseur. C’est ainsi que fut baptisé Crow