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Sujet: Mode d'emploi pour être beau comme moi. Dim 26 Déc 2010 - 0:30
Garde: - Genji-san, la terre d’EastBlue n’est plus qu’à une poignée de kilomètres, tenez vous prêt.
Genji : Bien-entendu. Et au fait…
Un air des plus sinistres et désespéré vint trouver refuge sur la frimousse du jeune homme dont mère nature à bien gâtée. Il se rapprocha de l’homme avec un sentiment d’anéantissement. Les mains derrière la tête, la face crispée. Genji pouvait paraitre comme simple garçon dans cette posture. A une poignée de mètre de l’homme quelque peu effrayé par son opposant. Le garde déposa délicatement sa main sur sa tignasse. Il avait compris. Genji se laissa tomber contre le mât du bateau, essoufflé tel un simple humain ayant fait des travaux surhumains. L’assistant de l’apprenti Cp9 s’empressa de rejoindre Genji, et s’excusa mille fois de… ne pas avoir arrangé ses cheveux de façon classe.
Genji : Ne me refait plus jamais ça gamin, je pourrais croire à un blasphème envers ma haute personne.
Garde : Désolé… Gen... Genji-san !
Notre jeune beau gosse lui fit signe de reprendre son poste le plus rapidement possible, en effet Genji était si empressé de revoir sa terre natale, sa terre ou il s’est coiffé et frotter à de si nombreuses reprises… Retrouver la terre d’EastBlue sera comme pour lui un retour dans le passé. Un film subliminal. Sur cette mer, grands sont les sentiments qu’il a ressenti. Bien qu’invraisemblable, son premier sentiment fut l’amour envers ses parents adoptifs. Le désir, qu’il éprouvait pour la jeune gente féminine, la passion qu’il ressentait pour lui-même, puis la démence… Sous ces cascades de nuages traversant l’esprit de Genji, celui-ci se retrouva plongé dans ses souvenirs effacés. La main rugueuse du commandant de bord lui fit remettre les pieds sur terre.
Commandant : Nous sommes arrivés...
Ah oui, je ne vous l’ai pas précisé, mais la raison du périple d’Enies Lobby jusqu’à EastBlue n’est pas qu’une simple promenade offrant à Genji le loisir de s’évader dans ce qu’il avait autre fois touché. Ce déplacement était synonyme d’entrainement à long terme. Etant apprenti et recélant un potentiel fantastique, le Cipher Pol se doit de mettre ce gaillard à rude épreuve s’il veut se perfectionner et devenir l’arme du gouvernement. Tel était les projets de sa mère, depuis toujours elle voulait que son fils devienne un héros de la nation, elle ne se souciait guerre de ses opinions, seul sa gloire lui importait. Dommage, c’est cette folie des grandeurs qu’il l’a fit disparaitre.
Une fois Genji installé, celui-ci débuta son entrainement intensif par une séance de … soin du visage. Eh oui, il est impossible pour lui de combattre un adversaire sans être propre. C’est un choix qu’il c’est fixé, il préférai perdre la vie, plutôt que de se battre sale. La séance soin esthétique dura une toute l’après-midi. Seul le lendemain, son entrainement débuta, suivit dans chacun de ses mouvements par un entraineur moins bon physiquement qu’il le laisse croire, ses journées se résument à ténacité, volonté. Ces deux adjectifs n’appartenant pas à son registre pour l’entrainement, il massacra son professeur de combat dans la nuit noire. Son entrainement achevé, il décida de profitait de ces quelques jours ce que bon lui semblait.
Réveil aux aurores, le premier jour histoire de tester son nouveau masque anti point noir. La classe. Journée achat ou plutôt chantage l’après midi et le soir bah, on ne le sait pas encore… La nuit venait de tomber sur EastBlue, assoiffé Genji, décida d’assécher sa soif en s’arrêtant dans un des bistrots ou leur noms vous diront quelques choses…
- A l’auberge du Poney qui tousse –
C’est dans cette auberge que Genji prit place à côté d’un homme, qui je le pense sera de la suite de cette aventure… Plus la soirée avancée, plus les bières défilées. La soiré eprenait en cadence, les bagarres aussi. Au moment o uGenji, se retourna vers l'homme situé en face de lui celui-ci bouga.
Spoiler:
[Hrp : La flemme ^^. Donc excuse-moi pour ça ^^.]
Ben D. Grohl Contestataire
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Sujet: Re: Mode d'emploi pour être beau comme moi. Dim 26 Déc 2010 - 12:31
Je passais mes derniers jours en ville. je faisais la batteur dans un petit club miteux situé au Nord de la ville, dans le quartier de la classe moyenne. Je me faisais 400 petits berrys par jour mais ils partaient tous les jours dans des filles de joie plus ou moins exemptes de maladies vénériennes. Elles aimaient ma jeunesse et ma fraicheur et me faisaient donc une petite ristourne bien sympathique. La vie était donc paisible mais néanmoins lassante. Je voulais m'engager dans la Révolution mais je ne trouvais pas de Révolutionnaire pour m'engager...Sortant d'un collège des plus huppé, j'aidais également le barman, une vraie bête en alcool mais un joli boulet en calculs, à tenir les comptes. Il me servait ainsi à l'œil chaque soir, pour service rendu. Je me trouvais donc à l'auberge en ce moment-là quand un jeune homme vint s'assoir à mon côté. Inconnu du bataillon, je l'observai à la dérobée. Il devait avoir 20, 22 ans tout au plus. Son ainé donc, mais pas forcément de beaucoup. J'étais fatigué, ayant abusé des filles de joie une bonne partie de la nuit et je devais donc avoir une tête de déterré...
Fatigué donc, je me retournai pour engager ma conversation avec mon autre voisin, placé sur ma droite. C'était un fier gaillard des îles, sans doute Pirate à ses heures perdues mais il était surtout un super bon musicien avait qui je ne m'entendait pas trop mal. Répondant au nom de Glock, je l'apostrophai amicalement :
- Oh ! Glock ! je te paye un coup ?
Ce gars-là devait avoir la trentaine passée, mais la passion de la musique nous rapprochait, ainsi que nos gouts musicaux. Comme Glock sortait victorieux d'une bagarre, la coutume voulait qu'on lui offre la boisson. Comme il gagnait souvent, il était souvent bourré...J'ignorai complétement, pour le moment, le nouvel arrivant, que je ne connaissais absolument pas. Néanmoins sa jeunesse et son air innocent m'inspiraient confiance. Déjà complétement éméché et sur le point de rouler sous la table, Glock répondit bruyamment qu'il prenait deux bières et un coup de rhum...j'en étais pour mes frais. me retournant vivement, j'accostai enfin ce nouveau venu :
- Hello mon gars. tu dois être nouveau ici, non ? On m'appelle Ben, ou The Saint Music comme tu veux. Je suis Musicien, et dragueur de temps à autre. Et toi ? De quelle ville provient tu ? Je te paye un coup ?
J'avais posé mes questions assez rapidement, sans que le temps entre chacune d'elle ne lui laisse le temps de répondre. Je me stoppai donc dans mon élan et attendais sa réponse. Le barman arriva alors avec les bières et le rhum pour Glock ainsi qu'avec mon habituel verre de whisky. Je le retint par la manche de son hâbit : - Hep ! Lui aussi voudrait commander.
Spoiler:
Désolé, je viens de me réveiller et je voyais pas trop quoi dire xD
Dernière édition par Ben D. Grohl le Sam 1 Jan 2011 - 18:41, édité 5 fois
Genji Nouveau
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Sujet: Re: Mode d'emploi pour être beau comme moi. Mar 28 Déc 2010 - 0:42
Assis en tailleur sur une chaise en piteux état, Genji s'amusait à regardait ces bonnes vieilles bagarres traditionnelles dans le bar. D'un côté les combattants ivre, de l'autre le barman avec la fourche dans la main. Finalement après un elutte acharnée contre le désiquilibre et la violence, c'est un solide gaillard du nom de Glock qui l'emporta. Applaudit, par un tonnerre d'applaudissement celui-ci gravi un tonneau avec un mal monstre et salua ses spectateurs bien saoul eux aussi. Après ceci, il reprit place sur sa vieille chaise grincante placé à côté de moi, et plus proche du mystérieux garçon. Eux deux, d'une amitié perçante se donnère une poignet de main des plus amicals pour ensuite s'échangeait quelques mots. Ces deux là beuglaient comme des vaches enragés, le gamin mystérieux demenda sitôt une choppe d'alcool pour son ami. Sa gueulait, sa dansait sa puait la joie de vivre à plein nez. Le garçonnet semblait avoir pris une confiance extreme en lui suite à l'arrivé de son camarade, si bien qui m'apostropha sans aucune gêne:
Minot: - Hello mon gars. tu dois être nouveau ici, non ? On m'appelle Ben, ou The Saint Music comme tu veux. Je suis Musicien, et dragueur de temps à autre. Et toi ? De quelle ville provient tu ? Je te paye un coup ?
Genji devait il lui reveler qu'il était membre d'une organisation tenu secrète ? Surement pas, devait-il lui faire part de la venue sur ce morceau de terre ? Certainement pas, il ne connaitrait que son prénom et ses hobbies. Notre jeune beau gosse ms retourna alors à son tour hardiment, lui fixa les iris, dégaga un sourrie forcé et tenta de lui répondre mais se fut en vain. A peine le barman fut arrivé pour servir le garçon, et le colosse. Je tiens à préciser que l'homme dénommé Glock prit une tarte au passage par le barman. Que le gamin lui demanda une autre faveur en s'exclamant:
Minot: -hep lui aussi voudrait commander.
Le barman se retourna à son tour dans la direction de l'apprenti assassin. Quel tête de zombie... Ses yeux noir aux cernes ténébreuse laisse penser qu'il ne dort pas beaucoup... Son nez aquilin d'origine est désormais tordu, les combats ne font pas bon ménages! Sa bouche avec quelques dents en moins à l'intérieur montre aussi qu'il aime recourir aux poings. Quant à ses cheveux, que dire... il a une piste d'atterrissage pour mouche, désolé de la comparaison un peu poussé... Quant à son corps oscillant, accentuant sa qualification de zombi. Enfin bref, il fait froid dans le dos.... Avec un grognement d'impatience il fit comprendre à Genji de se dépécher.
Genji: -Euh... Une grenadine.
Cette commande suivit d'un large sourrire le mit mal à l'aise, non pas parce qu'il avait peur, mais bien parce qu'il détestait l'alcool... Le tavernier repartit en direction de son comptoir, Genji éxecuta à nouveau une rotation vers le garçon qui lui malgrè son jeune âge se remplissait d'alcool, il tenta de taper la discute mais un détail le génait... Il avait pour guise de cheveux un tas de poil hérissait un peu n'importe ou, habillé de façon négligé, cela perturbait Genji qui au contraire était toujours propre. Une leçon de soin esthétique s'imposait!
Genji gravit alors le baril, fit un petit "oyé oyé" et commença alors un récit peu commun:
- Excusez moi, comme vous l'avez deviné je suis... beau! Et vous bah...hum. Je m'engage donc moi à faire de vous des tombeurs pour la gente féminine. Oui vous m'aurez compris je suis culoté mais n'hésité pas!
Une fois ces paroles prononcés, à sa plus grande stupéfaction, la totalité des alcoliques s'aglutinèrent autour de l'érudit de la beauté me supliant de les rendre irrésistible. Bon commencons... A son étonnement, tout le monde l'écoutait, et comprenait Genji. Bon peut être pas tout le monde... Chacun reproduisait à l'identique les mouuvements de l'apprenti CP9. Tout le monde sauf, le garçonnet qui lui tête baissait terminé sa choppe. Pour se donner de l'air, Genji envoya les hommes cherchait leurs prodiots de toilettes. Une fois la foule disparue, celui-ci se rassit près du garçonnet. Il vacillait, le sommeil... N'osant pas le perturbait Genji repartit.
[...].
Ben D. Grohl Contestataire
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Sujet: Re: Mode d'emploi pour être beau comme moi. Mar 28 Déc 2010 - 14:27
L'alcool me rendait un peu bougon et quelque peu endormi. Je ne vis point mes compagnons de beuverie s'agglutiner près du jeune homme. J'entendis un vague murmure quand ce dernier déclama son ode à sa propre beauté...assez narcissique le personnage il faut bien l'avouer. Je le vis néanmoins se rassoir non loin de moi. Ne voulant surement pas me réveiller, il se leva et partit. Moi, trop bourré pour tenir sur mes jambes, je ne bougais alors quasiment plus. Juste avant qu'il ne sorte de la taverne je tentais de le héler une dernière fois mais mon cri ressembla plutôt à un râle d'homme agonisant. Je reçus alors une bouteille sur la tête et suis aussitôt dégrisé. Comment ça ? On osait m'attaquer. Je m'en allais leur apprendre les bonnes manières moi !
- Oh Bande de soudards ! Que celui qui m'a balancé une bouteille se dénonce ou je vous bute tous ! - Ta gueule le jeune ou je t'en refout une, me lança-t-on pour toute réponse.
Je pris donc le premier objet me passant sous la main : la fourchette qui devait faire mon couvert, et la lançai contre la brute avinée qui me faisait face. Recevant ce magistral couvert de métal en plein oeil, il beugla comme un boeuf. Se ressaisissant, lui et ses camarades sortirent leurs pistolets et me mirent en joue. Devant le chaos régnant, le barman courra se cacher derrière un tonneau qui prônait là, juste à côté du comptoir. Sûr de leur coups, les fieffées canailles s'attendaient à me voir fuir ou à lutter âprement pour ma vie. Je ne fis rien. Je récupérais le couteau et l'assiette achevant mon couvert et j'attendis.
- Tu peux encore me baisé les pieds et te rendre, troufion !, me héla le comparse ayant le nez le plus rouge. Il me fixait d'un oeil torve et noir, brulant de me loger une balle entre les deux yeux. J'avais devant moi une belle brochette d'imbéciles : quatre solides gaillards, affaiblis par l'alcool, pointant de manière plus ou moins comique leurs différents armes, à savoir trois pistolets et deux fusils en tout et pour tout. Je pris alors l'initiative et lançais mon couteau dans le bras du pauvre ivrogne qui m'avait insulté. Il lâcha alors son premier pistolet dans un cri de douleur et s'effondra directement, en plein coma éthylique. Ils n'avaient pas fière allure ces gaillards...
Le chef me pressa alors la détente. Sa visée, plus ou moins mouvante, était des plus approximatives mais je ne pris aucun risque. Dès que la balle fut dans mon champs d'action, je la détournais et la fis rebondir contre le miroir trônant derrière le comptoir. Rageur, je lançais l'assiette et la fit tourner autour de moi grâce à de multiples changements de direction. Ma cible, déconcertée, fit feu. Je récupérais sa balle et la fis entrer sur une trajectoire parallèle à celle de l'assiette. L'un des gars prit alors un poignard et l'envoya vers ma figure. Ce poignard rejoignit rapidement les deux autres objets flottants à grande vitesse. Finalement, lassé de ce combat, j'abattis la balle dans le front du chef, renvoyais le couteau dans le coeur de son expéditeur et expédiais l'assiette sur le crâne du troisième larron. J'avais, ainsi, éliminer les trois brutes restantes. Glock me fixa d'un drôle d'oeil, découvrant ma face combative. Visiblement, ce qu'il voyait ne lui plaisait pas car il prit alors ses jambes à son coup.
Le barman, complétement désappointé par la bagarre, sortit un vieux tromblon et le pointa sur moi : - Bouges pas raclure ou t'es mort !, cracha-t-il en me pointant. Lui était parfaitement sobre et il visait visiblement beaucoup mieux que les autres. Glock rentra alors dans la baraque, ayant oublier sa guitare. Il bouscula le barman qui tira en l'air, récupéra son outil de travail et repartit aussitôt. Le barman, groggy par la ruade de Glock, se tenait l'épaule. Je récupérais alors le couteux de lancer, planté dans le coeur de l'un des cadavres, et me précipitais sur le barman. il n'offrit aucune résistance, apeuré par mon approche rapide et mon regard haineux. Je l'égorgeais doucement, découvrant les affres du meurtres. Il y avait désormais trois cadavres et deux assommés pataugeant dans la mare de sang du barman. J'avisais donc un tonneau d'eau de vie, le perforai et mit le feu à l'ensemble de la maisonnée. C'était la première fois que je tuai, mais qu'est-ce que c'était bon !
Je ressortis alors, tentant de rattraper le jeune homme aperçu tantôt : j'avais récupéré sa grenadine et j'allais la lui apporter.
HRP : J'avais envie de frapper un peu donc je me suis fait les 5 pigeons pour éviter de déclencher une bagarre avec toi, c'est pas super mais bon...
HRP 2 : 07/01/11 : Je met fin au Rp ici ok ? On va dire que je ne t'es pas trouvé et on pourra se refaire ça une autre fois.
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Sujet: Re: Mode d'emploi pour être beau comme moi.