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 Gildartz [Seconde validation s.v.p]

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3 participants
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Gildartz
Sergent
Sergent
Gildartz


Profil Psy : Neutre-bon
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[Feuille de personnage]
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MessageSujet: Gildartz [Seconde validation s.v.p]   Gildartz [Seconde validation s.v.p] EmptyVen 25 Fév 2011 - 17:56



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Who am I ?

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Prénom : Kupo
Age : La vingtaine
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : Google maybe...
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Variables
Tes Mangas préférés : One Piece, Fairy Tail, et d'autres classiques.
Ton personnage préféré dans One Piece : Difficile...Diez Drake.
Ce qui t'as motivé à venir : J'ai vu de la lumière, je suis entré.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Je ne compte plus.
Hobbys : Basse, rp, musique, cinéma etc.
Autre(s) : Kupo.



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Gildartz alias Pilule

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Gildartz [Seconde validation s.v.p] 11111uh
~$~¤~$~Gildartz Theme ~$~¤~$~


Nom & Prenom : Drake Gildartz

Surnom : Pil' ou Pilule

Age : 25 ans

Race : Humain

Camp : Marine

Orientation psychologique : Neutre-bon

Métier/Spécialité : Inventeur

Pouvoirs :

- Rope Action : Gildartz maîtrise cet art depuis qu'il a intégré la Marine, il consiste en divers enchaînements avec des cordes tressés presque aussi solides que l'acier.
- Sari : Cette dénomination étrange n'est pas un art mais un animal, en fait, il s'agit du nom du pigeon préféré de Gildartz. Cet oiseau sait délivrer des colis quelques peu...explosifs !
- Drogues de combat.

Rêve(s)/But(s) du personnage : Vivre normalement / Survivre plus longtemps que son espérance de vie le lui permet.

Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :




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La vie...
[description physique]
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Il est assez simple de décrire rapidement le physique d'une personne pourtant il y a tant de choses à dire qu'il serait difficile d'exploiter et de décrire au maximum la beauté physique d'une personne. Phrase paradoxale ? Peut-être pas tant que cela. Et bien commençons la description de l'ami Pilule ! Commençons par le commencement hmm ? Son physique aux airs de rockstar ne reflète pas vraiment sa personnalité ni même son caractère, on viendrait ainsi à dire que le Marine est un paradoxe à lui tout seul. La chevelure du Marine est aussi jaune que la paille, vous l'aurez donc compris, Gildartz a les cheveux d'une blondeur étincelante. Ces derniers ressemblent à des tentacules, bien qu'ils ne ressemblent pas à un poulpe à proprement parler, qui lui retombent sur le visage et sur la nuque ici et là. On remarque nettement que les cheveux de Pilule sont plus ébouriffés sur l'arrière de son crâne comme agités par le souffle du vent. Un effet de style qui n'a rien à voir avec le fait qu'il les coiffe, en effet, ils sont comme cela au naturel sans qu'il ait besoin d'y toucher chaque matin.

Gildartz arbore un nez plutôt court et pointu mais qui ne fait guère tâche dans l'ensemble plutôt harmonieux de son visage. Cet appendice nasal ressemble à un mini sommet de montagne qui se dresse fier et droit. La bouche est fine, sans fioritures, une bouche tout ce qu'il y a de plus commun certes mais qui sait déposer de délicats sourires lorsque Pilule est d'une humeur jovial, certes on vous dira que l'ami Marine est toujours sympathique avec autrui, c'est pourquoi ce sourire. Cependant les lèvres de Gildartz peuvent se transformer en une grimace exagéré lorsqu'il est en colère, ce qui peut arriver lorsque l'on touche à ce qui lui est cher. Ses yeux sont ce qu'il y a de plus anormaux chez le Marine, en effet ils n'ont rien d'ordinaire. Des iris droits et verticaux faisant penser aux yeux d'un chat ou encore à ceux d'un serpent. Mais aussi des pupilles légèrement violacées qui peuvent vous glacer le sang, en un instant, lorsque vous croisez son regard. Cela est dû à l'un des effets secondaires du médicament qui permet à son coeur de battre correctement lorsqu'il doit pratiquer une activité intensive. Pour recouvrir cette anomalie, Pilule porte sur son nez de larges lunettes triangulaires aux branches métallisées et aux verres un brin fumées aux couleurs de ses yeux. Lorsque le Marine se découvre de ses divers vêtements, on peut contempler un corps somme toute assez musculeux malgré son handicap. En parlant de ce handicap, on peut constater une large cicatrice sur son pectoral gauche, signe d'une intervention chirurgicale à coeur ouvert lors de son arrivée dans le corps des Marines.

Pilule est aux antipodes de la tenue vestimentaire classique de tout Marine qui se respecte, pas de foulard bleu autour du cou, pas de casquette avec la bannière de cette faction ni même les traditionnels vêtements blancs que porte un Marine lambda. Cependant une chose reste bien identifiable et reconnaissable et que porte en général certains hommes du gouvernement à savoir la longue veste blanche avec le Kanji « justice » qu'il aime arborer en toutes circonstances. Mais ce n'est pas seulement pour qu'on le reconnaisse en qualité de Marine mais aussi pour dissimuler ses armes principales. C'est pourquoi cette veste pèse une quinzaine de kilogrammes. En effet sous cette longue veste blanche se cache son rouleau de cordes tressés qui sont attachés dans l'intérieur de cette veste. Ces cordes sont maintenus par un réseau de cerceaux d'acier fixé sur l'intérieur de sa veste mais aussi dans ses manches permettant à Pilule de les manipuler avec une certaine aisance. Sur le corps du Marine, on peut constater un fin vêtement noir qui vient se coller à sa peau. Son pantalon est également du même coloris que l'autre vêtement.

Lorsque vous regardez Pilule plus en détail, on peut voir quelque chose d'étrange et qui pourrait presque choquer tant cela fait tâche sur l'ensemble. En effet, trônant toujours sur son épaule, un volatile, un pigeon pour être plus précis. Sari, tel est son nom est de deux couleurs différentes à savoir le noir et le blanc, son faciès ferait presque ressembler au yin et au yang. Comme son propriétaire, le volatile porte sur les yeux des lunettes qui tendent à le faire ressembler légèrement à Gildartz. Dans son bec d'oiseau, on peut discerner un mini-cigare qu'il apprécie fumer. Oui cet oiseau est vraiment étrange...Mais bon, il faut dire que ce volatile n'est pas comme les autres.


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...Vaut la peine...
[description morale]
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Si vous saviez qu'il vous reste une quinzaine d'années à vivre, qu'en feriez-vous ? Vous vous passeriez probablement votre temps à en profiter, boire, chanter, danser, parcourir les mers au péril de votre vie sans vous soucier du lendemain. Gildartz a choisi lui de survivre, de combattre cette funeste destinée. Il souhaite vivre normalement, comme tout homme qui se respecte, il veut dépasser toutes les prédictions des médecins de la Marine, il veut leur donner tort coûte que coûte. La mort lui fait peur, et pourtant il y pense tout le temps chaque jour qui passe, il se demande ce qu'il y a après cette mort, que peut-il y avoir ? C'est le fait de penser qu'il n'y aurait que le néant, que ce monde tourne sans lui qui lui fait peur. Il a également peur que son coeur malade ne le lâche à tout moment, il ne peut s'empêcher d'écouter cet organe vital battre, savoir qu'il continue a fonctionner normalement lui donne un sentiment d'espoir. Ses nuits sont hantés par des cauchemars, il se voit sur son lit de mort, ses proches pleurant la perte d'un être cher. Il ne veut pas abandonner, il ne peut pas abandonner ! Qu'importe les conséquences, il vivra, il survivra !

Gildartz est un altruiste, même s'il connaît sa destinée, il souhaite faire son possible pour protéger le monde, protéger les gens, c'est pour cela qu'il est resté dans la Marine. S'il avait été égoïste, il aurait passer son temps à s'occuper de lui même sans se soucier des personnes qui l'entoure. Sa bonté d'âme et d'esprit le force à se surpasser malgré son handicap. Il ne supporte pas de voir un enfant pleurer, il cherchera toujours à lui redonner le sourire en faisant le pitre avec diverses cabrioles dont il a le secret. Il aime plus que tout voir le sourire d'un enfant, cela lui donne de l'espoir, l'envie de vivre pour connaître ces instants merveilleux que peut lui donner la vie. Cette vie traîtresse qui vous donne naissance et qui peut vous l'arrachez à tout instant. Pilule souhaite voir les personnes de ce monde en harmonie avec la nature, que cette terre et ses habitants vivent en paix loin des conflits et de la soif de pouvoir de certains hommes. C'est une utopie et il le sait parfaitement, lorsque l'on affronte le mal et qu'on parvient finalement à le détruire, un autre mal encore plus fort, encore plus puissant vient combler l'espace vide laissé par son prédécesseur. C'est aussi la raison de son combat, il ne pourra s'en aller tranquillement uniquement lorsque ce mal sera éradiquer à tout jamais.

La justice est une notion importante dans son esprit, cependant il ne comprend pas réellement les motivations de la Marine à éradiquer tous les pirates en faisant d'eux une généralité. Gildartz pense sincèrement qu'ils ne sont pas tous mauvais loin de là, la plupart parcoure les mers pour vivre de grandes aventures et vivre comme ils l'entendent : libre. Cependant, il déteste plus que tout, ceux qui s'amusent à faire le plus de victimes possible, ceux qui ne font pas attention au nombre de victimes qu'ils peuvent faire sur leur chemin. Ceux-là, il fera tout pour les vaincre et les emmener en cellule pour qu'ils se repentent de leurs crimes et qu'ils ne soient plus un danger pour les citoyens lambda de ce monde. Pilule n'a pas le goût du sang ou du combat, il n'aime pas non plus faire le mal et encore moins tuer un pirate ou tout autre personne qui se mettrait en travers de la justice. Il peut se permettre de blesser ses adversaires mais pas de les massacrer comme de vulgaires bêtes qui auraient désobéi aux lois de ce monde.

Malgré son handicap, Pilule est quelqu'un d'actif, on pourrait même presque parler d'hyperactivité, le Marine ne peut pas s'empêcher de bouger, de faire quelque chose, il ne peut pas tenir en place. Il a besoin d'activité, de beaucoup d'activité, cela lui permet de se sentir vivant, de ne pas être qu'un cercueil monté sur pattes. Il s'entraine beaucoup pour surmonter son handicap et protéger ce qu'il a à protéger. C'est pour cela que Gildartz est réglé comme du papier à musique lorsqu'il s'agit de prendre ses médicaments, cela lui permet de faire fonctionné ses organes vitaux plus vite compensant ainsi son handicap. Le Marine sait pertinemment qu'il ne peut se permettre de faire durer un affrontement sur la longueur, il a ainsi un champ d'action d'une quinzaine de minutes avant de se retrouver aussi inoffensif qu'un oiseau.

En parlant d'oiseau, Gildartz a développé une relation bien particulière avec un pigeon dénommé Sari. Cet animal est le compagnon du Marine, les deux se comprenne parfaitement, ils n'ont guère besoin de mots. Sari est celui qui a aidé Pilule dans les moments difficiles, c'est lui qui a permit à Gildartz de se surpasser, de survivre jusqu'à aujourd'hui. Il arrive parfois que les deux vieux frères se batte comme des chiffonniers, Pil' a parfois envie de faire rôtir son compagnon tant il l'énerve par son comportement, Sari a tendance à s'empiffrer à toute heure de la journée d'où son surpoids. Mais il ne faut pas croire, Sari sait très bien se défendre lorsqu'il en a besoin. Sari est le seul véritable ami de Gildartz, il aime rire avec lui sur diverses choses. Les gens ne comprenne pas comment un homme et un oiseau peuvent s'entendre ainsi, cela peut paraître ahurissant à première vue. Mais Pilule s'en moque bien, cet oiseau est le seul à l'avoir soutenu et aidé à l'inverse des hommes. Le Marine ne supporte pas que quelqu'un touche à une seule plume de l'animal et inversement. Il n'y a pas à dire les deux forment une fine équipe.

Malgré sa peur du néant, Gildartz veut croire en un Dieu protecteur qui trône quelque part dans les cieux. Une personne qui vivrait dans un endroit où l'harmonie et la paix règnent. Un monde distant de cette terre où les hommes viennent se repentir devant lui de leurs actes passés. Il espére que cet entité voit ses efforts pour survivre. Il pense que son handicap est là pour le tester, comme une sorte d'épreuve qu'il doit subir afin de prouver sa valeur devant l'éternel. Gildartz pense que Dieu aime tous les hommes, peu importe leurs actions sur cette terre, peu importe les crimes qu'ils ont commit. Une fois aux cieux, ces derniers verront l'étendu du pouvoir du tout puissant ainsi que sa générosité et sa bonté d'âme. Tout le monde a le droit à une seconde chance même les pires criminels que la Terre ait porté. Il n'y a pas de raison...




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...D'être vécu !
[Histoire]
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Surria, large île de Grand Line, île hivernale où il ne fait pas bon vivre. Cet endroit quasi-désertique n'est vraiment pas une région du monde dès plus hospitalière, loin de là. De la neige et des montagnes glacées à perte de vue. Le soleil ne parvient à percer la masse nuage qu'à diverses périodes de l'année aussi courtes soit-elle. Les températures y avoisinent les -10° Celcius en temps normal, descendant vers les -25° Celcius lorsque le temps y est plus rigoureux. La flore est tout aussi simpliste que le climat, de gigantesques sapins qui parviennent à surmonter la rudesse des éléments, ainsi que diverses pousses d'herbes qui s'érigent ici et là lorsque le temps est plus clément. Difficile donc de vivre sur ces terres inhospitalières. Et pourtant, des habitants y vivent depuis des temps immémoriaux. Une nation s'est construite et édifiée sur ces terres désertiques. Un peuple du froid qui a réussi à survivre et à s'adapter au climat de Surria. Sa capitale, abritant pas moins de deux mille habitants, est régit depuis des siècles par une monarchie autoritaire qui n'accepte aucun écarts de la part de la population. Diverses couches sociales coexistent sur cette île, mais sur Surria, on parlerait plutôt de castes. La première caste est la plus enviable de toutes, ce sont les hauts seigneurs de la capitale, les intouchables comme les appelle la population. Ces intouchables ont tous les privilèges dont les principaux sont la puissance et l'autorité ultime. Cette caste pourrait être comparé aux dragons célestes tant leur force moral et leur pouvoir sur le peuple est grand. Les intouchables sont pour la plupart des membres de la famille royale sauf pour de rares exceptions. Ils ne connaissant ni la faim, ni le froid, ni même le besoin d'argent qui leur vient directement des impôts lourds prélevés chez les castes inférieures. La défiance ou l'insoumission à leur encontre sont punies par la peine capitale : la mort. La seconde caste a beaucoup moins d'importance que la première, ce sont pour la plupart de riches et prospères commerçants, on pourrait ainsi les comparer à une sorte de bourgeoisie moderne, on les nomme les voyageurs voguant d'île en île pour faire du commerce. Ce sont eux qui apporte les divers bénéfices et profits qui rend la capitale si puissante, mais ce n'est pas leur seule mission. Ils rapportent à l'île, les diverses denrées alimentaires et les matières premières nécessaires à la survie et à la pérennité de la population Surianne, ils forment alors un maillon capitale de la chaîne, détruisez cette chaîne et Surria s'effondrera en à peine quelques semaines. Ils n'ont aucun pouvoir politique ou juridique mais leur puissance au niveau économique est immense. La troisième caste s'appelle les simples, une caste composée pour la grande majorité par des ouvriers, des employés, ou encore des domestiques. C'est la deuxième couche sociale la moins enviable de toutes, ils travaillent d'arrache-pied tous les jours pour satisfaire les bons désirs des intouchables. Ce sont eux aussi qui payent le plus d'impôt sur l'île, c'est à peine s'ils réussissent à manger à leur faim. Mais pour la plupart, ce sont employés au château au centre de la capitale Surrianne, ils ont un toit et le réconfort de la chaleur d'un toit. Une autre caste n'a pas cette chance, enfin, si on peut parler de caste dans leur cas...Ils sont nommés les parias, des rebuts de la société, eux qui n'ont pas réussi à s'intégrer ou vivre dignement. Ce sont des mendiants, des hommes et des femmes qui se battent dans les rues pour s'accaparer une poubelle ou un vulgaire morceau de pain rassis. Il ne fait pas bon vivre pour cette caste, vivre dans le froid et dans la faim est d'une difficulté extrême surtout sur cette île. Certains deviennent des esclaves des intouchables, privés de tous droits, entièrement soumis la haute caste dont ils contentent les moindres désirs.

Notre histoire débute donc au royaume de Surria, il y a un peu plus de vingt-cinq ans. Au coeur de la capitale, une jeune femme, dont la beauté n'avait d'égal que son intelligence, était une domestique au service des intouchables. Elle passait son temps au palais entre ses diverses tâches ménagères et les cuisines où elle préparait les repas en compagnie des autres servants de la haute caste. Vous l'aurez donc comprit, la demoiselle fait partie de la caste des simples. Cette demoiselle au doux nom de Lorelei avait pourtant les faveurs d'un certain intouchable, un homme puissant qui ne se préoccupait guère de ses fonctions, préférant de loin batifoler avec les femmes qui avait su susciter son intérêt. Cet homme ne connaissait pas l'amour, non il aimait juste être entouré de belles demoiselles. C'était un séducteur qui ne regardait pas le rang social, ni même la richesse que ces femmes pouvaient posséder. Non, du moment que la femme qu'il convoitait était belle, cela lui suffisait largement. Sa convoitise s'était donc tournée vers la belle domestique à qui il faisait les yeux doux à longueur de journée, lui tournant autour, lui faisant des faveurs que d'autres domestiques ne pouvaient espérer avoir. Cela pouvait être considéré comme une chance pour Lorelei, si elle réussissait à se faire aimer du bel intouchable, elle pourrait espérer accéder à un statut social plus important. Plus de corvées, plus de tâches dégradantes à accomplir, cela avait toujours été un rêve qu'elle voulait au moins caresser du bout de ses doigts fuselés. Elle aimait qu'on lui fasse la cour, cela lui donnait ce sentiment si particulier, une sorte de pouvoir presque jouissif. Cet homme était la clé qui lui permettrait de se libérer de la chaîne des simples pour rentrer dans un nouveau maillon, celui des intouchables. Lorelei se laissait donc séduire par cet homme fou de son intelligence et de sa beauté adoucissant quelques peu les moeurs volages de l'homme de la haute caste de Surria. Leur amour semblait plus fort que tout, brisant toutes les barrières entre les deux couches sociales. Lorelei commençait réellement à aimer cet homme plus que tout. Ses sentiments avaient changer au fur et à mesure qu'elle apprenait à connaître l'intouchable. Son rêve était vraiment en train de se réaliser. Le bonheur était là, traçant lentement sa route, la dessinant instant après instant, cela aurait presque pu paraître féerique, magique, utopique. D'autant plus que quelques mois plus tard, les premiers signes de sa grossesse apparaissait. Un enfant allait voir le jour, son plus beau cadeau. Cependant à la révélation de cette nouvelle on ne peut plus réjouissante, l'intouchable reniait son lien de parenté avec cet enfant qui allait naître. Il s'emportait contre Lorelei qui ne comprenait pas pourquoi il réagissait ainsi. En réalité, cette paternité lui faisait peur, l'intouchable avait peur de perdre ce qui lui était cher, sa séduction auprès des femmes. Il se refusait à perdre ceci et encore moins à prendre de tels responsabilités à l'égard d'un futur enfant. L'intouchable reniait autant la mère que l'enfant qu'elle portait en son sein. Ce dernier finit par la délaisser complètement, même si ses sentiments envers elle lui dictait de rester avec elle. Cela n'était pas possible à ses yeux, il se préoccupait trop des qu'en pensera-t-on ? Que dira-ton si un intouchable venait à avoir un enfant avec une simple domestique. Il niait sa paternité à qui voulait l'entendre sans se soucier de Lorelei qui se morfondait dans son coin, elle venait de voir son rêve de bonheur se briser en à peine quelques secondes. Cela n'était pas la faute de l'enfant, non ce n'était qu'un couard de père qui n'assumait pas ses responsabilités en tant que tel. Qu'importe, elle l'élèverait seul bon gré, mal gré. Elle ne lui parlerait jamais de son père, elle s'en faisait la promesse, cet enfant n'avait pas besoin de savoir quel genre de père il avait. Cela était totalement inutile. Cinq mois plus tard, le bébé voyait le jour, un fils, Gildartz.

Gildartz était donc né, cet enfant tant convoité par sa mère et renié par son père. Lorelei savait que son fils serait beau et fort comme elle l'était. La difficulté était maintenant pour elle de l'élever tout en continuant son travail de domestique. Ce qui n'était guère une tâche aisé pour la jeune femme. Mais ce n'était pas grave, tant qu'elle pouvait vivre avec lui, le protéger, le choyer, cela n'avait aucune espèce d'importance à ses yeux. Tout ce qui comptait, c'était qu'il grandisse en étant heureux, c'était son seul souhait, son seul désir. Gildartz grandissait aux côtés de sa mère, lui donnant une grande satisfaction, ce petit bout de chou n'était guère contraignant, cependant le fils de Lorelei était avare de tendresse, de beaucoup de tendresse. Il aimait beaucoup rester dans les pattes de sa mère lorsque celle-ci faisait le ménage dans les diverses chambres du château des intouchables. Cependant, un événement allait précipiter le destin de Gildartz. Cela se passa quelques mois après sa troisième année de vie. L'enfant s'agrippait la poitrine comme étouffé par diverses crampes, des crampes comme des coups de poignards, lourds et d'une violence qui le faisait pousser des cris tout au long de cette matinée. Inquiète, Lorelei l'emmena voir un ami qui avait un peu étudié la médecine en lisant quelques livres qu'il avait pu dénicher dans la bibliothèque des intouchables. Cet homme ausculta rapidement Gildartz, lui diagnostiquant un trouble sévère au coeur, aucun médicament ne pourrait l'aider, il lui fallait une intervention chirurgicale d'urgence ou il y passerait très certainement. Mais Lorelei n'avait pas les moyens de lui payer une telle opération, elle n'avait pas l'argent nécessaire pour cela. Elle n'avait pas trente six solutions à son problème, Lorelei devait se résoudre à en parler au géniteur de Gildartz. Il était le seul qu'elle connaissait à avoir suffisamment de fonds pour administrer des soins à son fils. Mais cet intouchable, dans son amour propre, refusa d'aider Lorelei et son fils. Cela accréditerait la thèse que Gildartz était bel et bien son fils, et il ne voulait absolument pas que cela se sache. Traitant l'intouchable de monstre, elle s'en allait, mais son fils était toujours dans le même état critique. Son ami pseudo-médecin lui avait clairement dit que Gildartz n'en avait approximativement que pour quarante huit heures avant que son coeur ne lâche. Il lui fallait trouver maintenant une nouvelle solution au plus vite. Une amie servante lui dit alors qu'il y avait peut-être un moyen, confier Gildartz au gouvernement mondial. Il était dit que des navires de la Marine se trouvaient en faction de temps à autres pour effectuer différentes missions sur Surria. Le risque était grand mais il en valait largement la peine, cela valait le coup de tenter le tout pour le tout. La mère de Gildartz n'avait pas de moyens de transport à part la force de ses jambes mais quarante huit heures ne suffirait pas à traverser l'île entière en si peu de temps avec une simple marche rapide. Lorelei se précipitait au dehors enveloppant son fils dans un large manteau d'hiver. Gildartz dans ses bras, toujours prit par ces crampes violentes qui lui martelaient la poitrine sans relâche, l'enfant pleurait continuellement bien que son corps ne possède à présent plus une larme qu'il pouvait exploiter pour pleurer. En tout les cas, ses cris de douleur étaient bien là, et c'était bien plus ce que Lorelei ne pouvait en supporter. La jeune mère se décidait à voler un cheval non loin de là, quand bien même elle savait que cela représentait un crime lourdement puni. Elle ne s'inquiètait plus pour elle mais bel et bien pour la santé de son fils. L'équidé à la robe d'ébène fonçait à tout allure sous les coups de talons de la domestique, Lorelei savait que la chevauchée allait s'avérer extrême, mais qu'importe, elle pousserait l'animal dans ses derniers retranchements pour arriver rapidement de l'autre côté de l'île. Il était difficile de contrôler un cheval avec un enfant dans les bras, la traversée risquait d'être encore plus corsée.

De plus, le temps ne lui était guère favorable, bien au contraire, le climat semblait lui aussi jouer contre elle. Le dioxyde de carbone mêlé d'oxygène sortait des naseaux de l'animal qui donnait tout ce qui l'avait sous les ordres de sa cavalière. Lorelei savait également que la neige allait affaiblir le canasson encore plus que ce rythme forcé. Il semblait que cet île n'avait pas de fin, tout semblait beaucoup plus vaste, beaucoup plus exubérant, beaucoup plus long. Car le temps pressait, son fils venait de s'évanouir, cela n'était pas bon signe du tout pour lui. Les estimations de son ami était peut-être fausses, l'inquiétude grandissait dans le coeur de la demoiselle. Il n'y avait plus une seconde à perdre. Et si les Marines n'étaient pas là ? Que ferait-elle ? Que pourrait-elle bien faire à part regarder son fils mourir dans ses bras. Son seul espoir était les soldats du gouvernement mondial, il fallait qu'un médecin les accompagne à n'importe quel prix ! C'était la seule chance de salut de Gildartz ! Une douzaine d'heure plus tard, l'équidé éreinté tout autant que la mère arrivait enfin à l'autre bout de l'île. Là dans ce petit port de pêche se dressait un fier bâtiment de la Marine, que le ne fut pas son soulagement lorsqu'elle vit ce vaisseau, c'était un réel soulagement pour elle. Mais ce n'était pas le moment de se réjouir totalement, loin de là ! Lorelei sautait du canasson pour se retrouver au sol, sur ses pieds. Malgré que sa progression soit entravé par l'épaisseur de neige, elle arrivait finalement jusqu'au bâtiment de guerre. La jeune femme criait alors qu'il lui fallait un médecin pour son fils qui allait mourir si personne n'intervenait. Deux-trois troufions stoppèrent Lorelei qui souhaitait montait à bord. La jeune femme leur expliquait que son fils devait voir un médecin tout en tentant de passer cet obstacle. Un homme à l'allure et massive et au regard charismatique s'avançait sur le pont, regardant vers le bas demandant à ses hommes ce qu'il se passait. Les soldats lui expliquaient que la jeune femme avait besoin d'assistance pour son fils malade. Sur le pont du navire, on put entendre un « Tooooubbbiiiiib ! On a besoin de toi d'urgence ! ». Quel ne fut pas son soulagement lorsqu'elle entendit cette phrase, enfin, un véritable médecin allait s'occuper de Gildartz et le sauver. Lorelei fut autorisé à monter à bord du vaisseau. Le doc sortait rapidement de sa cabine à l'annonce de son supérieur, tout son matériel sous le bras. Il ordonnait aux deux soldats de l'amener à l'intérieur pour le mettre au chaud, cela lui ferait probablement du bien. Posant son sac au sol, il prenait Gildartz dans ses bras pour l'installer sur une table. Il l'oscultait rapidement, son diagnostic était tout aussi clair que celui de l'ami de Lorelei, il souffrait d'un grave trouble au coeur. Mais dans l'état actuel des choses, il lui fallait une opération d'urgence. Le doc' ne pouvait rien faire sur ce navire, il n'avait pas le matériel nécessaire pour réaliser une telle opération. Le colonel avait une lourde responsabilité à prendre, abandonner sa mission ou bien sauver cet enfant d'une mort certaine. Son choix fut sans appel, cet enfant allait passer avant son devoir. Le Marine ne pouvait pas tolérer qu'un enfant souffre ainsi sans avoir de soins. Ses supérieurs allaient probablement lui passer un savon mais qu'importe, sa philosophie de vie était clair : les civils passent avant tout ! Le colonel de Marine fit appareiller son navire, le cap étant le quartier général d'une île voisine. Le doc' faisait son possible avec Gildartz pour le maintenir de façon stable lui faisant avaler quelques médicaments qui ralentiraient les effets du trouble actuel de l'enfant. Une fois que le navire fut arriver sur cette fameuse île, on transportait d'urgence Gildartz vers un centre de soin, il était plus que temps d'agir. Sa mère suivait ses pas, l'accompagnant, espérant que cela se passerait bien pour lui. Trois heures plus tard, l'intervention chirurgicale se terminait. Gildartz était sauf, cependant, il devrait suivre un traitement à base de médicaments tout au long de sa vie. On apprenait également à sa mère que ses chances de dépasser les quarante ans de vie étaient quasi-nulles.

Gildartz entrait par la suite dans la Marine, apprenant les rudiments du combat avec une certaine facilité, son handicap ne l'empêchant pas d'exercer de courtes activités physiques, grâce à divers moyens médicamenteux. Ceux qui le cotoyait l'on rapidement surnommé pilule justement parce qu'il devait prendre soin de son coeur avant chaque activité intensive. Les railleries étaient certes quotidienne, il n'avait pas vraiment d'amis à qui il puisse parler. Cette situation, il la vécut assez mal au début, mais Gildartz ne pouvait rien faire, il s'efforçait de supporter tous ces enfantillages, toutes ces gamineries continuelles. Mais cela eu un effet bénéfique sur le jeune Gildartz qui devenait mentalement plus fort. Gildartz passait son temps soit à faire quelques corvées que l'on réservait aux matelots, à savoir l'épluchage de pommes de terre ou encore passer le balai dans tout le quartier général. En dehors de son temps de travail et de ses exercices quotidiens, Gildartz appréciait regarder les différentes vues que son île d'accueil lui proposait, c'était son seul instant serein, son seul instant paisible, loin de ses soucis de santé et des corvées qu'on lui imposait. Un jour, un volatile vint se poser sur l'épaule de Gildartz, cet oiseau, un pigeon qui avait probablement prit l'adolescent pour un nichoir où il pourrait s'installer quelques temps. Le jeune Marine fut surprit du comportement de l'oiseau qui semblait vouloir s'amuser avec lui. Gildartz aimait la compagnie du volatile, cela lui permettait de s'amuser un peu, il avait l'impression d'avoir trouver un ami. Justement, Gildartz avait avec lui quelques victuailles, du pain, des fruits, son repas du midi en fait. Le volatile semblait particulièrement vorace puisqu'il mangeait plus que de raison, mais cela l'oiseau ne s'en inquiétait guère. C'était amusant pour Gildartz de voir un pigeon aussi glouton que cela. Quelques jours plus tard, le volatile dénommé Sari, ne quittait plus l'épaule de l'adolescent, le pigeon semblait se plaire aux côtés de Gildartz peut-être parce que ce dernier lui donnait le gîte et le couvert. Une étrange relation naissait entre les deux, une relation presque de frère à frère, ils n'avaient pas besoin de parler pour se comprendre. Même si cette relation était sujette à de nouvelles railleries, Gildartz faisait comme-ci de rien n'était, n'écoutant pas ce que les autres pouvaient bien lui dire, le jeune Marine prenait cela pour de la jalousie pure. Au fil des années, l'adolescent grandissait bien conscient que l'échéance de sa vie était toute proche, cela lui faisait peur mais il souhaitait défier tout les pronostics des médecins. C'était sa seule raison pour se battre ainsi, de s'accrocher comme il le faisait. Gildartz continuait de voir sa mère avec qui il partageait une relation presque fusionnelle, le colonel de la Marine passait de temps à autres le voir pour s'assurer que le petit, qu'il avait sauvé en abandonnant sa mission, allait bien. Gildartz le considérait un peu comme son père, comme un modèle qu'il devait suivre. D'ailleurs le colonel n'hésitait pas à partager ses valeurs morales avec l'adolescent. Par ailleurs, Gildartz obtint une certaine dextérité dans le maniement de cordes, art un peu farfelue dans son genre mais pas pour autant inefficace. Aujourd'hui Gildartz a vingt-cinq ans, il s'apprête à partir du quartier général, la Marine l'ayant appeler pour partir vers d'autres horizons du monde, sa prochaine destination : West Blue. Bien qu'il soit un temps soit peu triste de quitter l'île qui a bercer la majorité de sa jeunesse, cela va lui permettre de gagner davantage en expérience et en maturité, et peut-être trouverait-il le remède aux maux qui troublent son coeur et ainsi vivre comme un homme : libre.




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Another Dimension !
[Post RP]
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Plic, ploc, plic, plic, ploc... La pluie tombait en bruine...Quelques gouttes d'eau tombant sur le visage endormi d'Argos. Le shinigami clignant des yeux, dérangé par cette soudaine tombée. La bouche pâteuse, il baille largement, qu'est ce que c'était que cette connerie ? Il ne se souvenait pas être sorti de l'endroit où il s'était arrêté pour dormir. Décidément, il n'appréciait guère de se faire prendre pour un imbécile et encore moins de se voir réveiller dans son sommeil si profond soit-il. C'est alors qu'il réalise enfin qu'il lui est impossible de dégager ses deux mains, solidement fixés ensemble par des liens qu'il ne pouvait encore discerner. Haussant légèrement un sourcil, puis ouvrant les yeux, il remarque que le bas est en haut et que le haut est en bas. C'est à cet instant qu'il s'aperçoit qu'il se trouvait suspendu dans les airs à quelques mètres du sol. Argos se redresse légèrement pour entrevoir les liens d'énergie spirituelle qui maintienne ses mains attachés ensemble. Sa pensée se tourne pour analyser l'endroit où il se situait, une sorte de baraquement abandonné, lieu qui n'a pas vu une once de vie depuis bien longtemps, le toit était d'ailleurs particulièrement dévasté. Snif, snif...ça empeste...Une odeur qu'il ne connait que trop bien, ça pue le hollow à plein nez. Son visage esquisse un léger sourire en coin, le chasseur chassé...Drôle d'ironie pour un shinigami n'est-ce pas ?

« Montre-toi, Hollow... »

Il laissa échapper un vague soupir, sa mâchoire failli se décrocher sous un nouveau bâillement, Argos n'avait vraiment pas envie d'affronter une créature qui ne représentait pas une once d'intérêt à ses yeux. Du moins pourrait-il mesurer sa nouvelle force fraîchement acquise. Le long silence que ses mots avaient laissés fut brisé pour laisser place à un rire qui aurait pu glacé le sang de n'importe quel personne mais pas Argos... Des pas résonnaient dans la batisse, lourd et pataud, ce qui laissait entrevoir la taille imposante de la créature. Le sourire en coin d'Argos s'élargit légèrement, tandis que la créature sortait des ombres de la pièce, le corps imposant du hollow se dessinait finalement. Ce dernier n'était pas beau, on aurait dit un monstre sortant tout droit d'une série B de science fiction. Un corps de boeuf pour un visage ressemblant vaguement à un loup. Drôle de mélange pensait Argos, mais il n'était guère étonné, le shinigami en avait vu d'autres...Cependant, il devait admettre qu'il était plus imposant que ses congénères.

« Je suis étonné que tu puisse me voir, humain... »

Humain ? Ce con le prenait pour un humain ? Argos eut du mal à réprimer le rire qui voulait sortir de sa bouche. Peut-être était-ce pour cela que la créature n'avait pas prit la peine de lui retirer son Zanpakutô qu'il avait dû prendre pour un simple sabre sans réel danger pour lui. Une erreur qui allait lui coûter relativement cher. Argos regardait le hollow avec un air de défiance pour le maintenir dans sa relative confiance. Pourquoi n'avait-il pas reconnu son énergie spirituelle ? Bizarre...Peut-être était-ce dû au gigaï qu'il portait depuis pas mal de temps, cachant quelques peu son reaitsu. Qu'importe, cela allait grandement lui faciliter la tâche. Un sourire malsain apparaissait sur son visage tandis qu'il répliquait aux propos du hollow

« Ouais mais je m'en passerais bien...Ta laideur n'a d'égal que ton intelligence. »

Le hollow s'approchait rapidement du shinigami, un grognement sourd sortant de sa gigantesque bouche. La précipitation de son reiatsu et le coup qu'il se prit en plein visage lui fit clairement comprendre qu'il était énervé. Ah ? Monsieur le hollow n'apprécie pas qu'on critique son physique ? Un complexe peut-être...Comme quoi on voyait de nouvelles choses tout les jours. Un léger filet de sang s'écoulait des lèvres du shinigami, lui laissant un goût de fer désagréable sur la langue. Argos crachait rapidement pour s'en débarrasser. Il suivit alors un léger rire cynique qui montrait au hollow qu'il lui en fallait bien plus pour l'impressionner. Mais aussi parce que cela l'amusait de voir qu'un hollow se faisait si rapidement prendre à son propre jeu de supériorité- infériorité. Argos se satisfaisait ainsi de la colère que ses mots avaient laissés dans l'esprit de la créature. Décidément les hollows étaient toujours aussi bêtes et malléable à volonté.

« Tu fais le mariole alors que tu es dans une situation si délicate ? Tu as de la chance...J'attends ton ami qui semble beaucoup plus puissant que toi, j'adore le goût des shinigamis... »

Argos dévisageait le hollow, mais il est con où il est con ? Il ne semblait pas comprendre que c'était lui le shinigami, cette créature semblait avoir un QI de mouche et encore Argos était généreux en pensant cela...Ce hollow n'avait vraiment aucun intérêt, pas la peine de chercher à le comprendre où encore de discuter avec lui, cela ne servirait probablement à rien. Argos fit craquer son cou dans un bruit quelque peu anormal. Le hollow lui tournait ainsi le dos, semblant attendre que le shinigami qu'il attendait vienne à la rescousse d'Argos. Ce dernier fit légèrement monter la pression spirituelle au niveau de ses mains, juste assez pour faire rompre les liens de reaitsu mais pas assez pour que le hollow y voit une quelconque différence. Argos se laissait tomber au sol sans le moindre bruit, son corps aussi léger que le vent. Le shinigami attrapait la poignée de son Zanpakutô soufflant ses quelques mots. Le hollow trop occupé à penser à son prochain festin.

« Règne sur les cieux et au delà Raiten. »

Une explosion de reiatsu, colossal pouvoir de destruction massive. Une aura jaunâtre entourant Argos. Le hollow se retournant n'eut pas le temps de répliquer tandis que des chaînes électrisés composant son shikai vinrent transpercer le corps blanchâtre du hollow. L'une de ces chaînes vint s'encastrer dans le crâne de la créature, le fracturant en dizaine de morceaux, le hollow n'eut pas le temps de comprendre quoi que ce soit, sont sort était scellé. Ce dernier ne pu voir que le visage d'Argos, un sourire moqueur sur le visage, il prononçait ces quelques mots avent que la créature ne parte en fumée.

« Au fait...Je ne suis pas un humain...Je suis le dieu de la foudre ! »

Rabaissant son écrasante pression spirituelle, Raiten reprenait sa forme normal, les chaînes électrisées rentrant tranquillement dans le sabre. Argos rengainait son arme, le shinigami baillait une nouvelle fois...Se grattant rapidement l'arrière du crâne. Tournant les talons, il lançait un dernier regard à l'endroit où était la créature quelques secondes plus tôt...

« Quand j'y pense, t'étais vraiment trop con...»



Dernière édition par Gildartz le Ven 4 Mar 2011 - 18:19, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Gildartz [Seconde validation s.v.p]   Gildartz [Seconde validation s.v.p] EmptyVen 25 Fév 2011 - 18:20

Hello ! Bienvenu Razz

Juste deux trois petites choses : Le grade se décide en fonction de la qualité de la présentation, et le Rokushiki n'est accessible pour les non-CP9 qu'IRP Razz

Voili voilou, bonne continuation !
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MessageSujet: Re: Gildartz [Seconde validation s.v.p]   Gildartz [Seconde validation s.v.p] EmptyVen 4 Mar 2011 - 18:20

Fiche terminée Smile
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MessageSujet: Re: Gildartz [Seconde validation s.v.p]   Gildartz [Seconde validation s.v.p] EmptyVen 4 Mar 2011 - 18:43

Franchement, j'adore Razz Validé rang 3 !
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MessageSujet: Re: Gildartz [Seconde validation s.v.p]   Gildartz [Seconde validation s.v.p] EmptyVen 4 Mar 2011 - 19:02

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