Karl Smith Nouveau
Profil Psy : Ne vous inquiétez je ne suis pas fou . Nombre de messages : 118 Fruit du Démon : Derrière toi ... En train de te tuer
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: L'agent Smith, CP9 [seconde validation s.v.p] Ven 25 Fév 2011 - 23:19 | |
| 1. Petite fiche d'entité de L'agent Smith -
- Nom & Prenom : Smith Karl
- Surnom (facultatif) : L’Agent Smith
- Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Bah Humain, ça ne se voit pas asses comme ça.
- Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Cipher Pol 9
- Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Feignant
- Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) :
- Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) :
Rokushiki
Sabre Légendaire des 21, Magnifique lame d'un mètre de long qui fait partie des 21 grands sabres. Cet arme qui porte le nom de Tsukareyaiba a le célébre pouvoir est tel qu'il peut secréter un liquide et lorsque ce dernier pénètre le sang de la personne touchée, cela la fatigue faiblement. Ce liquide s'évapore plutôt facilement, cependant, son effet est moindre. Son énorme défaut, c'est que des bouts de lames sont sur la garde et fatigue continuellement le propriétaire de la lame, plus il l’utilise, plus il est fatigué. En réalité, pour activer le "pouvoir" de ce sabre, il faut simplement verser de l’eau dans une ouverture se trouvant en-haut de l'arme et un long tuyau qui a été incrusté d’un étrange matériau, transforme l’eau en ce poison qui s’attaque d’abord aux liaisons nerveuses, tel que les nerfs au lieu des organes vitaux, ralentissant ainsi les mouvements de la personne touchée.
- Rêve(s)/But(s) du personnage : Être à la retraite, tout en étant payé. Sinon faire respecter la loi et devenir le meilleur dans le combat de lames.
Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises Code:
(Vous trouverez ce code très facilement si vous lisez toutes les règles du forum, où il se cache) :
2. Quelques Descriptions :
- Description Physique : [Minimum 5 lignes]
Qui suis-je ? Comment suis-je ? Telles sont les questions que vous deviez vous poser. Tout d'abord, n'importe quelle personne dans ce monde, se base d'abord sur le physique pour approcher une personne que sur sa psychologie, car cette dernière ne se voit que très peu de l'extérieur. Donc je vais commencer par mon physique, tout d'abord, à l'inverse de tout bon soldat, j'ai beaucoup à envier aux athlètes, car mon corps manque de muscle, néanmoins s'il manque de force, il est largement remplacé par une bonne agilité et une bonne vitesse. Même si j'ai ces bons points, j'ai quand même un problème qu'ont les vieux comme mon dos est légèrement courbé, car je me courbe le plus souvent vers l'avant, les mains dans les poches, d'ailleurs cela réduit légèrement ma taille qui passe de 1m80 à 1m76 et me donne un horrible mal de dos.
Après la description globale, passons-en à une qui est beaucoup plus précise, si vous le voulez bien, commençons par ma tête qui a une drôle de forme, avec mon menton qui a des allures de triangle. Sur cette dernière se trouve ma magnifique tignasse, aussi belle et pure que l'or, d'ailleurs ma couleur de cheveux ressemble étrangement à ce magnifique métal. Mes cheveux sont coupés en carré où aucun tif ne dépasse, d'ailleurs il ne vaut mieux qu'aucun ne dépasse, car ou sinon, ils se mettraient et me brouillerait légèrement ma vue, déjà que mes yeux étaient petits, à la fois à cause de mes origines, mais aussi, à cause des horribles poches qu'ils traînent continuellement. Ils sont peut-être petits, mais magnifiques avec sa couleur, rappelant celle de la lave. Néanmoins, pour ceux qui les regardent, ils sont aussi destructeurs que cette dernière, car certains disent que j'ai un regard, légèrement satanique et que mon léger sourire qui s'affiche constamment sur mon visage l'est encore plus. Néanmoins, moi je trouve que c'est l'inverse, car il montre mes magnifiques dents blanches. Ou sinon, le reste de mon corps est comme celui des autres, avec des membres plutôt fins et légèrement musclés.
Comme habit, je porte la plupart du temps sur ma tête, un magnifique béret, le plus souvent blanc, habillé de carreau. Pour tenir chaud à mes épaules et à mon buste, je porte une magnifique veste marron en cuir, mais fourré avec de la laine. En dessous un simple polo blanc de marque qui va très bien avec ma magnifique cravate multicolore. Sur le bas de mon corps, il y a un slim noir, attaché avec une simple ceinture marron où j'y accroche le plus souvent mon sabre, comme tout bon bretteur. Néanmoins, il n'a aucune attache, mais est seulement glissé, parlons de ce sabre, c'est la seule arme que je possède, il mesure 1m20, la lame est tout simplement magnifique et coupante. Ou sinon, il possède quelques capacités qui ne sont vraiment pas mal. Et enfin pour ne pas me déplacer pied nu et me blesser ces derniers, je porte de magnifiques escarpins.
- Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]
A chaque personne, va un caractère, d'ailleurs, c'est ce qui la différencie le plus d'une autre, car personne n'a le même, si jamais, c'était le contraire, la vie serait beaucoup trop monotone et ennuyante. Bref, revenons à moi, tout d'abord, la première chose que vous pouvez remarquer, c'est que je suis plutôt feignant, d'ailleurs, si un concours était organisé sur la fainéantise pour savoir qui est le plus gros glandeur du Monde, je le gagnerai haut la main. D'ailleurs même à mon âge, qui est relativement jeune, je pense déjà à la retraite et je trouve cela injuste qu'à chaque fois, il la décale de plusieurs années. Pffffffffff n'importe quoi, le gouvernement de nos jours, je vous jure. Bref, j'arrête de parler d'eux comme cela ou sinon, il pourrait me virer, même si ça me plairait de rien faire de mes journées en tant que chômeur, mais bon cela a un mauvais point. Étant donné que quand l'on est chômeur, on n'est pas payé et vivre de nos jours, sans argent signifie la mort. Donc vous l'aurez compris, je suis autant avare et mon plus grand rêve réunit ses deux idées de penser, car c'est de ne pas travailler, tout en étant payé une petite fortune, un peu comme les PDG des plus grandes entreprises du monde. À part ça, je suis drogué et oui, je sais, je les accumule, je suis accroc ... aux chewing-gums !!! Et oui, je sais que c'est une terrifiante drogue qui vous donne un horrible mal à mes mâchoires. Mais bon, j'en mâche depuis que je suis né, donc je ne peux plus m'en passer et les oublier est comme ignoré mes origines.
A part, tous ces points négatifs, j'en ai quelques positifs qui traînent par ici et par là. Par exemple, je ne trahie personne en disant son secret à haute voix, d'ailleurs tellement que je suis discret, je ne donne pas de noms à mes techniques, mais seulement des codes pour que personne ne me plagie et vole mes précieuses idées. D'ailleurs, c'est l'une des deux choses qui a tendance à énerver mes ennemis, dans les combats, l'autre est que je compte les points, genre combien j'arrive à toucher mon ennemi et combien lui, il arrive à me toucher et je le dis à haute voix pour le faire encore plus chier et stresser. D'ailleurs, parlons de mon style de combat pendant qu'on y est. Il est basé sur l'agilité et la rapidité. Quand je n'arrive pas à me protéger avec mon sabre, je le fais à l'aide de mon fourreau, d'ailleurs pour améliorer ma défense, je garde toujours un pied en arrière pour éviter que toutes attaques soient mortelles. Et enfin quand le combat devient un peu trop « hard », j'adapte le célèbre Kendo, bien sûr cela réduit, mes possibilités d'attaque, mais cela augmente, la puissance, la précision et la rapidité de mes coups.
3. A toute personne, il faut un passé (sauf pour les amnésiques)
- Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne, ils sont au même titre que des images que vous pouvez ajouter. Ils ne servent que pour illustrer votre histoire.]
Toutes personnes ont une histoire, certaines sont banales, d'autres non, la mienne fait plutôt parti de la seconde partie, mais bon, comme maintenant, de nos jours personne n'en a une normal, ce n'est pas très impressionnant, d'ailleurs, à mon avis, la moitié vous mente comme battre un puissant soldat de la Marine alors que l'on est encore qu'un enfant. Mais bon, ne vous inquiétez pas la mienne à 100 % réelle, même si vous allez trouver qu'à certains endroits j'abuse. Tout d'abord, pour faire une bonne histoire, il faut un lieu et une date, néanmoins, le fameux « Il était une fois » n'est pas obligé. Bref je commence, mon histoire commence il y a 17 ans et 25 jours pour être précis, ce jour-là, sur une île qui porte le célèbre nom de Dama Los, fameuse île de South Blue, car c'est là qui est placé le QG de la marine de la région. Dans une famille, faisant partie de la moyenne bourgeoisie de l'île, mon père était un célèbre pêcheur du coin et ma mère était commerçante. Je venais de naitre. Mon enfance fut plutôt normale, rien de spécial, j'étais l'un des plus intelligents de ma classe, le plus sportif.
À l'âge de 12 ans, mon père croyait même que j'avais un don et m'envoyait dans une école privée, un peu trop intensive à mon gout, car tout le monde ne pensait qu'au travail et plus au loisir. L'année qui suivait, je fis une sorte de déprime en même temps que ma crise d'adolescence. N'en pouvant plus, je commençais à trainer avec certaines personnes qui n'étaient pas très respectés dans l'établissement, ne travaillant plus en classe, mon père prenait une bonne décision en me remettant dans une école qui était un peu plus « normale », néanmoins, je gardais l'attitude que j'avais prise à l'école privée en séchant parfois les cours, en dormant en cours, en ne faisant plus mes devoirs ... d'ailleurs, tellement que j'étais devenu rebelle, je me mettais à répondre à mes différents professeurs.
Ayant entendu les dires de mon établissement, mon père essayait de me motiver de n'importe quelle manière, me disant même qu'en faisant ça, je ruinais l'honneur de la famille. Mais est-ce que vous pouvez me dire quel est l'honneur à être pêcheur ? Pour moi, c'était l'un des pires métiers du Monde et dire que mon père était fier de ce métier, était-ce parce qu'il était connu pour ces poissons qui étaient si « succulents », alors que pour moi, je trouvais que ce que l'on achetait en commerce étaient largement meilleurs. Un jour, j'en eus tellement marre que je me levais de ma chaise, je lui criais dessus que j'en avais rien à foutre du futur de la famille. L'homme qui était mon père, fut tellement choqué par ma phrase qu'il osait lever le poing sur son fils et le taper, le premier que je reçus de ma vie fut plutôt puissant, me faisant même tomber à terre, d'ailleurs je saignais de là où il m'avait frappé, à l'arcade. Pendant que j'étais à terre, mon paternel continuait de me crier dessus, puis croyant que j'avais suivi ce qu'il avait dit, il s'en allait de ma chambre en cloquant la porte. Puis ne la rouvris que quelques jours plus tard pour me montrer à quel point il pouvait être sévère. Néanmoins, le dernier jour où je commençais à avoir trop faim, je décidais de partir de chez moi.
M'enfuyant par ma fenêtre, je commençais une nouvelle vie qui sera basée sur le mensonge et sur la délinquance. Néanmoins, par manque d'argent et de transports, je ne pouvais pas quitter mon île natale. Alors, je décidais de changer de physique, me coupant les cheveux, changeant la couleur de ces derniers et de mes yeux, grâce à des lentilles. Après m'être enfui, j'essayai de trouver des endroits où je pourrai travailler, néanmoins à cause de mon trop jeune âge, personne ne m'acceptait. Quelques jours, voir semaines après, où après de longues journées de recherche, je chassais tant bien que mal, même si je savais très bien que pêcher pouvait me rapporter plus. Je tombai sur un petit animal que je n'avais jamais vu auparavant, étant affamé, je me jetais de toutes mes forces vers l'animal que je venais de tuer, après l'avoir dépecé, je l'ingurgitais. Puis je m'endormais dans la grotte que j'avais trouvée quelques jours plus tôt.
Mon début de nuit se passât plutôt bien, néanmoins vers les eaux d'une heure de matin, j'avais un sacré mal de ventre, me tordant dans tous les sens, plus le temps passait, plus cela s'aggravait, au bout de 30 minutes de calvaires, je transpirais comme si j'étais dans un four, néanmoins, j'avais froid en même temps, je me mettais à trembler de partout, incapable de boire sans verser la moitié à côté. Je décidais d'aller tant bien que mal en ville, à l'hôpital pour essayer de me faire soigner. Néanmoins, sur le trajet, tellement que j'étais affaiblit, je me fracassais la gueule tous 100 mètres au début, puis plus le temps s'écoulait, moins de distance, je réussissais à parcourir sans tomber. Une fois arrivé dans le village, je n'arrivais plus à faire 10 mètres sans m'écrouler et à une centaine de mètres de l'hôpital, je me fracassais la gueule, néanmoins cette fois-ci, tellement que j'étais affaiblit, je n'arrivais plus à me relever.
Quelques jours plus tard, je me réveillais dans une salle qui était plutôt obscure, la seule lumière qui venait jusqu'ici était celle d'une toute petite fenêtre, d'ailleurs rien que la regarder, cela vous tuait les yeux. J'avais toujours la douleur de la dernière, néanmoins cette fois-ci, elle était partout dans mon corps, mais légèrement intense, me bloquant ainsi dans mon lit. D'ailleurs, si je pouvais le faire, je ne pourrai pas, car j'étais ficelé à ce dernier. Après quelques minutes où j'avais crié de toutes mes forces et où je m'étais tué la gorge. Un homme venait enfin. Il était plutôt vieux, plus proche de la cinquantaine, que de la quarantaine, quelques cheveux courts et blancs sur le haut du crânes et une vieille barbe qui n'avait pas été taillée depuis longtemps sur le bas de son visage et de la même couleur, au contraire de sa barbe, cet homme était plutôt distingué et régné dans l'ordre, un haut de forme sur sa tête, habillé d'un costard-cravate en noir et blanc, avec col roulé et bordures et des escarpins en cuir à ses pieds. Néanmoins, ce qui me faisait le plus peur chez cette personne, c'était son regard noir qui manquait d'humanité, mais qui était rempli de haine et de rage. D'ailleurs cet homme qui ne s'était même pas présenté, commençait déjà à m'« embêter », prenant le long bâton de riche, il commençait à me tâter et toucher le corps de partout, là où j'avais mal, il y restait et appuyait beaucoup plus fort, il était sadique ou quoi ce vieux ? On ne traite pas comme ça ses invités ! Après avoir fait ça, il dit à l'un des médecins qui était avec lui de continuer le traitement sous lequel j'étais et de me nourrir avec une nourriture sur-protéiné. Même, si cette nourriture était censée être super-bonne pour mon corps, elle ne l'était pas pour mon palet gustatif. Après un lourd traitement, où je me sentais encore plus épuisé qu'avant, j'étais totalement guéri du mal qui m'avait affecté. Bien entendu, ayant vu que leurs médicaments m'avaient affaibli, j'avais le droit à une sorte de semaine de repos où j'avais enfin le droit à de la bonne bouffe.
Après toutes ces semaines où l'on m'avait traité comme un esclave, où je n'avais eu le droit qu'à des journaux comme divertissement, j'avais enfin le droit au réconfort, au traitement royal, tout d'abord cela commençât par une douche, dans un gigantesque bain où l'eau était à température idéale, rien de tel que de se décrasser, après ces semaines de torture. Ensuite j'eus le droit au coupe-tifs qui me coupait les cheveux comme je voulais. Mais comme l'on dit chez moi, après le beau temps, vient l'orage et il fut bien coriace. Étant donné que je fus convoqué par le bourge de tout à l'heure et non pas pour parler de la pluie et du beau temps. Mais pour faire une espèce de combats contre lui, cependant, ce n'est pas lui qui allait m'attaquer, mais bel et bien moi et comme je voulais me venger de l'autre jour, je me mettais à courir de toutes mes forces sur lui. Essayant de lui donner de bonnes droites et crochets du gauche. Néanmoins, quel que soit le coup, il arrivait à tout éviter et au bout d'un bon moment, il se mettait à lancer une sorte de contre-attaque, simplement en me faisant un petit croche-patte et en me frappant le menton à l'aide d'un coup de paume. Il me mettait au sol et me mettant son bâton en dessous de mon cou, puis me disait cette phrase :
- Tu vois petit, si jamais mon bâton était une lame, je t’aurai facilement tué, de plus, je ne te comprends pas pourquoi essayes-tu d’utiliser la force et la rage, alors que ton corps fonctionne plus sur l’agilité et la rapidité. Suis mes conseils et tu deviendras plus fort. D’ailleurs, j’aimerai bien te donner des cours si tu le veux bien et pour voir si tu suis bien la voie que je viens de te donner.
Après qu'il ait dit sa phrase, j'acceptai sa proposition d'un grand mouvement de la tête de bas en haut qui voulait dire « oui », je faisais ça sans réfléchir, car de toute façon, je n'avais nulle part où allé et rentrer. Et j'avais bien vu qu'une vie non civilisée ne me convenait pas. Après avoir vu que j'étais consentant à son idée. Il me montrait ma chambre, visiblement, celle où j'avais dormi, le reste du temps ne l'était pas, mais seulement une sorte de cachot. Par contre, même si je râlais sur ce coup, j'étais quand même content. Après un bon repas, bien copieux et une longue nuit de sommeil. Un dur entrainement commençait, j'avais reçu une sorte d'emploi du temps qui était une espèce d'alternance entre combat où j'apprenais différents styles de combat à main nu, certains connus, d'autres moins, entrainement, qui me servait plus à augmenter ma rapidité et légèrement ma force qu'autre chose, repas et lit.
Après m'avoir entrainé à tout ce qui était combat à main nu, il fit à peu près le même entrainement pour m'apprendre le Kenjutsu, le célèbre combat avec les épées. D'ailleurs, je préférais largement ce mode de combat que celui sans arme. D'ailleurs, sans faire exprès, j'apprenais le Kendo et l'utilisais dans les moments de faiblesse pour me donner plus de force, de précision et de rapidité à mes coups, néanmoins quand je combattais avec ça, je ne pouvais pas enchainer mes coups. En même temps que le Kendo, j'apprenais mon propre style de combat, alliant, la rapidité, l'agilité et mon ambidextrie. D'ailleurs, cela m'arrivait parfois de battre mon mentor. Après m'avoir appris tout ce que je savais, l'homme me donnait une mission, c'était d'assassiner quelqu'un, bien entendu, au début, ça ne me disait pas trop, puis, il me disait quelle était la cible, c'était mon père, car il était soupçonné d'être dans une affaire de drogue, me dire cela, m'encourageait d'un seul coup et acceptait à coeur ouvert l'ordre que l'on m'avait donné.
Avant que je parte, le vieil homme me donnait un magnifique et simple sabre. De plus, mon mentor m'avait trouvé une place pour ma mission d'infiltration, mon boulot consistait à cacher la drogue dans de stupides peluches, puis à les donner à d'autres personnes pour qu'il les embarque dans des bateaux. Au début, tout se passait bien, personne ne m'avait encore reconnu, je progressais peu à peu dans l'entreprise, montant d'échelon en échelon (en réalité ceux qui montaient, étaient les remplaçants de ceux qui étaient coffrés) et là j'arrivais à mon but ultime, être l'un des plus proches du chef de l'entreprise, soit mon père. Une fois où l'on devait escorter à deux, la marchandise jusqu'à une autre île, sur le trajet du retour, je lui disais cette phrase :
- Alors, comme ça, tu ne reconnais, même plus ta famille, pfff décevant comme d’habitude.
L'homme intriguait par ma phrase, se retournait, malheureusement pour lui, j'avais dégainé mon sabre que je cachais depuis le début dans mon dos et fis un large coup de haut en bas qui le plaquait contre l'avant du bateau, par peur, il reculait, moi, je continuais d'avancer avec un large sourire sadique, lui mettant maintenant mon sabre contre sa gorge, pressait légèrement cette dernière à l'aide de mon arme, puis reculant d'un seul coup mon bras, puis le ré-avançant à toute vitesse, afin de faire un estoc pour le planter, sur le chemin de mon arme, mon père comprenait enfin que j'étais son propre fils et criait le début de mon nom, sans le dire en entier, car à la fin, il ne le pouvait plus. Comme signe que je l'avais tué, je prenais sa précieuse montre en or, puis comme l'on n'était pas loin des côtes, je sautais à la mer et nageai jusqu'à la côte. Avant de retourner dans le foyer où m'attendait mon maitre. Une fois arrivé là-bas, je montrais à ce dernier la montre que j'avais volé, l'homme me félicitait, puis me proposât de rejoindre une organisation du nom du CP9, comme la dernière fois, je ne savais pas ce que c'était, mais j'acceptai encore une fois sa proposition et une nouvelle histoire commençât ...
Dernière édition par Karl Smith le Jeu 3 Mar 2011 - 0:19, édité 7 fois | |
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