One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| Let's Rock ! [Fini] | |
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Vic H. Taylor Brigand
Nombre de messages : 24 Age : 29 Fruit du Démon : Si tu le savais, ben tu le saurais
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Let's Rock ! [Fini] Dim 3 Avr 2011 - 16:52 | |
| - Présentation du joueur IRL - Prénom : Ronan Age : 15 ans Homme/Femme/Okama : Homme Comment avez vous connu le forum : Je sais plus, mais Google a dû m'aider, sans doute. Combien d'heures vous vous connectez par jour : Va savoir. Tes Mangas préférés : Trop nombreux pour être tous énumérés, mais certains méritent d'y être: 20th Century Boys, Monster, Bobobo, One Piece (du moment que ça ne tourne pas au Naruto...) , HxH, et pis... Ton personnage préféré dans One Piece : Franky ! Ce qui t'as motivé à venir : C'est pas tant que je cherchais un forum one piece en particulier mais celui-là m'avait l'air sympa, et vu que le niveau de RP semble bon, ça devrait le faire (pas que le mien soit bon...) Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Pas énorme. J'en tiens pour preuve que je n'ai pas réussi ma petite expérience de cyborg. J'avais une super idée, mais pas le niveau suffisant (en vocabulaire surtout) pour pouvoir la mettre en place. Hobbys : Tout ce qui m'amuse. Autre(s) : In the town where I was born... - Présentation du personnage - • Nom & Prenom : Vic H. Taylor (possibilité de me renommer ainsi, s'il vous plaît ?) • Surnom (facultatif) : Pas encore.• Age : 20 ans.• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain.• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate.• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Tout dépend, mais il agira bien souvent dans l'intérêt de ses camarades, qu'importe l'action qu'il doit commettre pour ça.• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Musicien mais il peut être cuisinier si le besoin s'en fait vraiment sentir.• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Avant de me prononcer sur quoi que ce soit, j'aimerais avoir une petite précision. J'ai dû mal à choisir entre un sabre d'exception et un fruit. J'aimerais donc savoir si je peux en prendre un et LONGTEMPS (je précise bien) après prendre l'autre ? Bien sûr, je ne veux pas parler d'une combinaison trop loliloment dark GB de la mort qui tue entre un logia et un sabre des 12. Je pensais plus à un truc marrant avec un sabre. M'enfin, faut savoir si c'est possible avant.• Rêve(s)/But(s) du personnage : Une vie délirante et mouvementée !• Code présentation : ◘ Description Physique : Depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne, Vic s'est entraîné, chaque jour durant, à perfectionner ses capacités physiques sous le joug d'un maître des plus durs. Cet acharnement lui a permis d'hériter d'une carrure des plus impressionnantes malgré son jeune âge. En effet, le jeune homme, du haut de son mètre quatre-vingts cinq, a un corps solidement bâti, où la musculature se fait évidente, sans pour autant faire dans la montagne de muscles: cela n'irait clairement pas avec son style décontracté. En effet, Vic ne se plaît à porter que des vêtements qui ne l'encombrent pas, donc uniquement des chemises. En ce moment, il affectionne particulièrement les chemises unicolores, et bien souvent elles seront noires.
Ce n'est pas qu'il aime vraiment cette couleur, mais ça s'accorde bien avec le coloris de la monture de ses lunettes, elles-mêmes noires. Ses lunettes ont également la particularité d'avoir des verres teintés en bleu, ce qui est relativement utile quand on parcourt les mers. Mais il n'est pas obligatoire pour Vic de les porter, puisqu'elles ne sont pas adaptées à sa vue: elles font offices de gadget. La teinture des verres masque des yeux un peu anormaux. « Un peu » parce qu'avec tous les phénomènes de foire qui peuplent les mers, avoir des iris grisâtres ne rend en rien bizarre. Bon, il a aussi des pupilles presque inexistantes puisqu'elles ne se réduisent qu'à un point noir de faible dimension, comme si elles avaient faites par un coup de crayon. Mais cela ne suffit pas pour rendre le pirate aussi bizarre que les plus gros tarés de cette planète.
Vic a la tête typique du gars qui vient d'un Boys Band puisque son physique ferait craquer n'importe quelle fille ne s'arrêtant que sur ce genre de détail. Rien qu'avec sa coupe de cheveux, il n'y a aucun mal à le deviner: des cheveux blonds, plutôt longs (ils s'arrêtent au cou), et en batailles. C'est à dire qu'il ne les coiffe pas beaucoup en faite, et il n'est pas rare qu'ils se retrouvent dans ses yeux, surtout quand il pleut. Mais c'est ce genre de choses qu'aime bien la gent féminine, et ce n'est pas un détail qui échappe au jeune pirate; vous le verrez d'ailleurs souvent s'ébouriffer les cheveux, donnant alors un résultat qui laisse néanmoins à désirer. Ce look s'accommode plutôt bien avec son métier de musicien. Et ce métier, il n'hésite pas à le rappeler avec la guitare attaché à son dos grâce à une bandoulière, guitare qu'il n'hésitera pas à sortir quand il le faut ! Comment ? Pour se battre? Mais pas du tout, c'est juste pour jouer de la musique. Cette guitare pourra être troquée contre d'autres instruments facilement transportables.
Parlons maintenant de son visage. Quand bien même celui-ci est en partie caché par ses lunettes, il n'est pas difficile d'y deviner une certaine beauté, et des traits d'une rare finesses. Un seul détail pourrait ternir ce portrait: des lèvres d'une extrême pâleur puisqu'elles se confondent du coup avec le reste du visage, qui soi dit en passant est également pâle, comme si notre pirate était atteint d'un mal quelconque. Ce qui pourrait accentuer cette similitude serait la présence récurrente d'une cigarette dans sa bouche, créant alors un contraste avec leur filtre marron. Un brin accro, Vic ne manquera pas une occasion de calme pour pouvoir fumer. Pour en revenir à ce visage, il faudra vraiment le vouloir (ou pas, c'est selon le déroulement de la journée) pour que celui-ci rompe avec l'éternel sourire qu'il arbore. Sachez que si vous l'avez énervé, il ne sera pas dur de s'en rendre compte: les dents serrés, le regard (enfin, on le devine derrière les lunettes) pointé sur vous, et un poing se rapprochant de votre mâchoire seront donc les signes que vous l'avez fait sortir de ses gonds.
Pour pouvoir s'accorder avec les vestes qu'il porte, Vic va rester dans les mêmes tons pour le reste de ses habits. C'est à dire qu'il va toujours en porter des qui sont similaires. Au niveau vestimentaire, hormis sa veste, il ne met que des pantalons qui ne l'incommodent pas trop au niveau de la mobilité, et des chaussures en cuir. Pourquoi en cuir ? C'est la seule matière que Vic aime à porter, et parce que, même en tant que « ancien noble », le pirate a gardé certaines habitudes de son mode de vie d'autrefois, et celle-ci en faisait partie. Vic a également avec lui un sabre qui n'a, à vrai dire, aucune particularité. C'est juste un moyen, pour le pirate, de défense comme un autre, et ne représente donc rien pour lui. Ce sabre mesure dans les quatre-vingts centimètres, a un manche et une garde noirs, et son fourreau est blanc. Il le porte accroché à son flanc gauche via une ceinture, tout simplement parce qu'il est droitier. ◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]Une personnalité ne peut se décrire en quelques mots: il faut côtoyer la dite personne pendant un temps plus ou moins long, selon la complexité ou non de celle-ci, pour pouvoir alors comprendre comment définir son caractère, prévoir une réaction, savoir qu'elles sont ses défauts et ses qualités. Qu'on se le dise, et je pense que nous serons d'accord, on ne peut pas toujours deviner ce que pense notre interlocuteur, quand bien même c'est notre meilleur ami, ni sa façon de se comporter face à un certain type d'événement. Bien sûr, il y a des choses que l'on peut anticiper, mais il reste toujours une part d'inconnue, une attitude imprévue, surtout quand l'individu est doté d'une personnalité abstruse. Bien que Vic soit un personnage extirpé d'une zone qu'il m'est rare d'utiliser, je ne peux vous le décrire comme vous le souhaiteriez: il sera plus facile pour moi de le décrire à travers ses actes. Je vais donc vous donner les grandes lignes, bien qu'au final je risque de m'étaler sur des détails sans importances, et le compléterai au fil de mes rps.
Dans ses jeunes années, Vic était ce que l'on pourrait appeler un « acharné ». Un acharné dans le sens où il ne passait son temps qu'à faire ce qu'on lui disait: c'est à dire entraînement physique, sous la forme de sports de combat divers et variés, et entraînement mental, aussi appelé « étude » (Oui, ce mot a pu vous donner un frisson). Au grand dam de son paternel, sa jeunesse a eu l'effet inverse qu'escomptée: libéré de l'oppression qu'exerçaient son père sur lui, son maître mot est devenu fainéantise. De la fainéantise pour tout, hormis ce qui lui plaît vraiment: s'amuser, jouer de la musique et fumer. À vrai dire, on se demande si il ne se réveille pas que pour ça, le reste étant d'un ennui mortel pour lui sauf si cela implique d'aider une personne qu'il affectionne. Cette indolence est peut-être bien le pire défaut chez lui.
L'élément le plus marquant chez Vic est sa dépendance vis-à-vis des cigarettes, qu'il considère comme indispensable à sa vie. Il ne peut pas y avoir une journée sans qu'il fume une dizaine de fois, et le simple fait de ne pas avoir de quoi fumer sur lui le rend nerveux, voire même hostile, en proie à une certaine paranoïa. C'est comme un bretteur sans sabre, un capitaine sans équipage: il ne se sent pas complet sans cigarette. Inutile de préciser qu'il ne faut pas gâcher ce tête-à-tête. Vous pouvez lui parler, rigoler avec lui, mais en aucun cas vous ne devez l'empêcher de fumer. Cette action pourrait vous coûter chère. Très chère. Mais le plus étrange, c'est que quand vous lui demandez ce qu'il pense des cigarettes, il vous répondre qu'il n'y a pas pire merde au monde. C'est un peu paradoxal.
Le pirate, sans être un exemple d'idiotie, n'est pas non plus une flèche lorsqu'il s'agit de réfléchir. Ce n'est pas le genre à taper et réfléchir ensuite, mais disons que la réflexion sera brève, et bien souvent inutile, n'aboutissant jamais à une solution autre que des actions simplistes. Il fut un temps où Vic aurait pu prétendre au titre de scientifique, ou autre profession où l'intelligence est de mise, mais cette époque est révolue. À force de ne plus rien faire, on accumule l'ignorance et la bêtise. Bien sûr, des résidus sont toujours présents, de vieilles connaissances parfois utiles, mais tout ce qui faisait de lui ce qu'il était avant a disparu. Cela peut paraître assez étrange, mais Vic s'est efforcé d'oublier sa jeunesse, jusque dans les moindres détails et... ça a peut-être un peu trop marché.
Vic a également le défaut d'être une personne beaucoup trop impulsive. Comprenez par là que, par exemple, si quelqu'un le bouscule, assez fort tout de même, le pirate réagira au quart de tour et frappera le malheureux, sans qu'il ait eu l'occasion de s'excuser (s'il allait le faire). Ce n'est qu'un exemple bien sûr, mais cela intervient dans de nombreux points: les conversations où, si on commence à lui faire une sorte de reproche (qu'il ne reconnaît pas comme étant légitime), sa réaction, orale ou physique, sera à coup sûr violente. Une simple tape dans le dos pourrait être vue comme un signe d'agression... Cela peut atteindre des proportions démesurées, et parfois dramatiques.
Malheureusement pour lui, Vic est un aimant à ennuis. Des marines qui viennent se saouler... euh, faire une pause en même temps que lui et au même endroit, des malentendus fréquents, une balle perdue... Tant de choses qui peuvent lui arriver sans qu'il ne le souhaite. En effet, Vic porte la poisse et vous ne tarderez pas à vous en rendre compte. Mais pour parer à ce problème, le pirate aime également l'action sous toutes ses formes. Ce goût du risque lui permet de supporter l'attirance que les ennuis ont pour lui, et de ne pas trop rouiller également. Mais cela ne s'arrête pas qu'aux nombreux ennuis qu'il rencontre, mais à toute sorte de chose : cela peut être un combat, mais aussi un défi absurde comme il lui arrivera souvent d'en relever (concours de boisson...). D'accord, il y a tout de même un moment où l'on se calme: il ne faut pas courir non plus à une mort certaine. Un amiral ne se fera certainement pas défier. Il cherche le risque mais ça, ça relève plus du suicide. Et le suicide, c'est pas drôle.
Ce que l'on découvre en premier sur Vic quand on le côtoie un peu, hormis qu'il soit accro à la cigarette, c'est qu'il aime s'amuser. De toutes les façons que ce soit, bien sûr: il adore découvrir des choses étranges et loufoques, rire à s'en rompre la mâchoire, relever des défis débiles... Mais seulement en présence de compagnons ! En effet, ce n'est pas une personne qui apprécie la solitude, ce serait peut-être même sa plus grande peur. Il ne se sent bien qu'entouré de personnes qu'il apprécie... et s'il a des clopes, aussi. Je vous disais que lui gâcher sa cigarette est une chose à ne surtout pas faire. Ce n'est néanmoins pas la pire chose que vous pourriez lui faire. Cette chose qui le mettrait dans le plus grand état de colère serait que vous vous en preniez ouvertement à ses compagnons. Vous pouvez commettre n importe quels délits devant lui qu'il n'en aurait strictement rien à faire, hormis cas extrême (on ne maltraite pas les personnes âgés !), mais la moindre insulte gratuite envers un ami (sauf entre camarades, bien évidemment. Il ne va pas frapper les personnes de son équipage), et c'est un hôpital qui vous attend. Ce que c'est beau l'amitié.
L'hypocrisie est une chose inconnue de Vic, lui conférant l'avantage, ou l'inconvénient c'est selon, d'être une personne extrêmement franche. Vous ne tarderez pas à le remarquer car il vous dira toujours le fond de sa pensée et ce, sans tourner autour du pot. Ne vous inquiétez pas, si Vic vous trouve un défaut qui le dérange, il n'hésitera pas à vous le faire remarquer. N'essayez pas de déceler une quelconque méchanceté là-dedans, il ne fait que constater des faits, voilà tout. Il n'essaie donc pas de vous énerver, mais de vous faire savoir ce qu'il pense réellement de vous. Cette acte de franchise, il en fait montre devant n'importe qui, ami, ennemi, peu lui importe: l'hypocrisie est une forme de mensonge et lui, il n'aime pas ça mentir. Dans le même ordre d'idée (ou pas d'ailleurs), le pirate est également fataliste. Ne s'encombrant pas des douces joies de l'optimisme et de la frayeur procurée par le pessimisme, vous ne verrez jamais Vic s'apitoyer sur son sort du fait d'un événement imprévu: « Si ça doit arriver, ça arrivera », c'est sa façon de penser.
Vic a ce que l'on pourrait appeler une joie de vivre. Cette joie, il l'a bien vite perdue lorsqu'il était enfant mais, par la suite et après qu'on lui ait fait découvrir ce que la vie pouvait avoir de merveilleux, elle lui est revenue pour ne plus jamais le quitter. Cette joie de vivre, ce sur quoi est basée, à vrai dire, son existence, est une chose qui se ressent à travers ses actes et ce qu'il dit. Lorsque vient le moment de faire la fête, vous ne le verrez jamais aussi heureux. Il s'allumera une cigarette avant de se précipiter sur un piano, une guitare, un violon... tout ce qui peut facilement animer une soirée. Savoir que sa musique peut procurer du bonheur aux gens est également une chose qui le rend lui-même heureux. Mais ce n'est pas qu'en ces occasions-là qu'il est joyeux: Naviguer avec d'autre lui procure un sentiment d'euphorie incroyable. Il n'est pas rare de le voir en train de s'amuser, de rire (…) pour cultiver cette sensation, et pour se forger de bons souvenirs.
Le métier du pirate est clair: il est musicien. Comme dit plus haut, il aime voir que sa musique peut rendre heureux, mais ce n'est pas la seule chose qui le motive à l'être. Il est passionné de musique, et il ne sera pas rare pour lui de chercher à s'améliorer. Il pourra passer énormément de temps à apprendre une partition pour pouvoir, par la suite, la jouer à la perfection. Il aime comparer son talent face à d'autres musiciens venus d'îles différentes de la sienne, ou même jouer avec eux lors d'un superbe concert ! Au niveau musical, c'est surtout un fan de jazz, de blues et de rock, et ce sera très rare pour lui de jouer un autre style de musique. Et ne commencez pas à lui parler de musique si vous n'aimez pas les monologues d'une heure, car c'est ce que vous obtiendrez.◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]Bon, je suis pas fada des présentations comme vous avez dû le remarquer, et je le suis encore moins des histoires. Alors là, il n'y a rien de plus ennuyeux. Pourquoi le gars ne peut-il pas avoir eu une enfance heureuse avec des parents normaux et décidé de s'engager dans la marine tout simplement ? Ben, ça ferait pas long à dire. Donc il faut tout un procédé pour mettre cette idée en place, rendre sa vie divertissante, et donc la ponctuée de péripéties ou autres... Bref, je suis pas très fan de tout ça. Revenons à nos moutons. Cette histoire sera racontée par un Vic quelques jours après qu'il se soit échappé... « Il y a des parents qui veulent, à tout prix, maintenir le prestige de l'autorité et qui ne réussissent qu'à installer, dans leur foyer, le spectre hideux de la tyrannie. Ils font, de leurs enfants, des esclaves ou de sauvages petits rebelles. »
Cette simple citation suffirait à décrire l'enfance qu'a eu Vic. En effet, il n'a pas eu celle qu'il aurait voulu. Une enfance faite de liberté, d'amour... ce genre de chose. C'est assez bizarre quand on y pense: si on naît pauvre, on souhaite être riche, mais ça ne marche pas dans l'autre sens. Sauf dans certains cas. Et c'est ce que Vic aurait voulu: une vie normale. Voyez-vous, il a eu la bonne idée de naître dans une famille de nobles et donc, par définition, affreusement riche. Il en aurait donné des choses pour que sa famille ne soit rien de plus que celle-là, en train de jouer avec leur fils, ou même celle-ci, en train de mendier pour avoir de quoi manger ce soir. Cela peut paraître disproportionner mais peu d'enfants auraient aimé vivre dans le même foyer que lui. Son père n'était pas un de ces pères qui vous aiment, vous félicitent. Celui-ci était plutôt du genre à vous rabâcher que vous êtes une honte pour sa famille -vous ressortant alors tout son arbre généalogique- et ce, quelque soit ce que vous tentiez pour lui. Il a donc fini par mettre au point une sorte de « programme éducatif » visant, après deux échecs - c'est à dire les deux frères qui ont précédé Vic -, à faire de son fils une sorte de « noble parmi les nobles ». Vic reçut donc des cours dans plusieurs disciplines pour qu'il puisse impressionner par sa culture et ses connaissances, de nombreux entraînements physiques... et surtout, dès son plus jeune âge pour ne pas réitérer les mêmes erreurs que pour ses deux autres fils, qui ont été épris de liberté dès lors que leur père a commencé à trop se faire autoritaire, et qui se sont faits la malle depuis. Vic a donc été habitué dès l'âge de ses quatre ans à ce programme...Chapitre 1: Qui est Maman ?Je n'avais guère que neuf ans quand me vînt cette pensée: « Qui est ma maman ? ». À cette époque là, mon père commençait déjà à me conditionner pour que je ne lui fasse pas honte en tant que noble. Tout y passait: des cours qui me faisaient plus penser à des études forcées. Mon professeur -qui n'était autre qu'un oncle- croyait en une théorie: « le corps retient mieux que la tête ». Bon, si vous préférez, il valait mieux comprendre et apprendre ce qu'il disait sinon, vous écopiez d'un bon coup de fouet dans le dos. Cela peut paraître dur, d'ailleurs ça l'était et je le détestais plus que tout -mon père exclut- mais, pourtant, ça avait l'air de marcher. Sans doute la peur d'avoir mal faisait fonctionner les neurones. Une fois ces cours finis, on me faisait courir, me battre contre ce même oncle tortionnaire, qui pouvait dès lors continuer sa torture, sans doute frustré de ne pas m'avoir distribué assez de coups la matinée. Voilà comment l'on pourrait résumer mon quotidien: apprendre, me battre, manger (pas plus que le nécessaire par contre) et dormir -quand bien même je ne dormais pas longtemps. Mais cela me paraissait normal. Comprenez moi bien: je n'avais jamais goûté à autre façon de vivre, et je n'avais, en plus, personne pour m'aider. Mais une chose n'avait pas été prévu par mon paternel, apparemment. Cette chose, c'était cette question qui me tourmentait: « Qui est ma maman ? ». Il arrivait parfois que des familles viennent nous rendre visite, avec leurs enfants. Mon père souhaitait sans doute déjà impressionner leurs parents en me présentant. Ces enfants faisaient quelque chose qui m'étaient depuis bien longtemps étranger: ils riaient. Il faut dire que ce n'était pas le bonheur qui était au sein de mon cadre de vie. Mais surtout, ils avaient une mère. Et c'est elle qui distillait le plus de cette joie à ses enfants, et ce détail ne m'avait pas échappé. Je me suis donc demandé pourquoi je n'avais pas quelqu'un comme ça à mes côtés. Et il me fallait une réponse. C'est qu'à neuf ans, on est bien souvent entêté. Et puis, c'était un besoin plus que naturel de savoir qui est sa génitrice. Et puis, je crois pouvoir remettre en cause le dicton « tel père, tel fils » puisque, si j'étais sensé avoir une quelconque ressemblance avec mon père, j'aurais pu en arriver à la conclusion que j'étais adopté, et que j'avais deux parents à rechercher. Mon père était brun, déjà. Moi, j'étais blond. Il avait des yeux verts, j'en avais des gris. Il était plutôt corpulent, et moi j'étais maigre. Il était petit, et déjà à mon âge, j'étais plus grand que lui. Et si je devais faire un parallèle avec mon physique actuel – Au moment où je vous raconte ma vie donc – et bien, rien n'aurait changé, et je peux même encore plus l'affirmer. Au niveau du visage, le sien était rond, le mien plutôt triangulaire, nos goûts étaient tous différents – bien qu'on me laissait rarement le choix sur ce que j'aimais ou non – et notre démarche, notre voix... non, il aurait fallu chercher loin pour nous trouver un point commun. Mais revenons-en à notre histoire. Je cherchais donc à savoir qui était ma mère. Je n'avais à ce moment pas d'autre moyen que de demander directement au concerné: mon père. Déjà, rien qu'à l'idée, je tremblais. La dernière fois que je lui avais demandé quelque chose, j'avais eu droit une bonne correction. Juste pour savoir si je pouvais reprendre quelque chose à manger. Cette réaction -ma foi disproportionnée- était devenue une habitude chez lui. Il ne supportait pas que je pense ou dise ce qu'il ne voulait pas, et me le faisait donc savoir en suivant la théorie de mon oncle. Mais ce n'était pas la même chose: savoir pourquoi je n'avais pas de mère me semblait naturel. Je me devais donc de le lui demander, et je le fis dès que je l'aperçus. Ni une, ni deux, il m'en retourna une. La réponse me semblait claire, mais, souhaitant s'en assurer, il m'attrapa par les cheveux pour me relever la tête avant de me demander: « ça te convient comme réponse ? ». Évidemment que cela ne me convenait pas, mais ce n'est pas vraiment ce qu'il voulait entendre. Je répondis ce qui m'éviterait de douloureuses blessures : « oui... »Chapitre 2: Des réponses ?Quinze ans. L'âge infernal. Mais toutes les théories sur l'horreur de l'adolescence, mon père les avait faites mentir: j'étais toujours la même personne obéissante. Rien n'avait changé au domicile familial, hormis une petite sœur. Âgée de deux ans. Mais celle-ci ressemblait déjà un peu plus à mon père, même en étant si jeune: elle avait ses yeux verts, ainsi que la couleur de ses cheveux. Bon, peut-être que la mère aussi, mais je ne pouvais toujours pas le savoir. D'où elle était sortie, je n'en savais rien, si elle était bien de ma famille, je pensais pouvoir l'affirmer du fait qu'elle habitait sous le même toit que le mien, et de la possible ressemblance avec mon père. Peut-être aussi le fait qu'un noble adoptant une personne, ça, ça n'existe pas. Mais cette petite me permit de me rappeler un vieux souvenir, ou plus exactement une question: Qui était ma maman ? Cette petite était dans la même situation que moi, et elle pourrait elle aussi se poser cette question plus tard. Ce besoin était plus que normal, et ça mon père ne pouvait rien y faire: il y a des choses que la plus grande des tyrannies ne peut réprimer. Quand bien même je devenais ce qu'il voulait, cette pensée ne me quittait pas, et était tout ce qui me restait pour pouvoir échapper totalement à la destinée que m'avait choisie par mon père. Cette pensée qui échappait à tout contrôle... à son contrôle. Déjà, je me devais d'exclure la possibilité de le demander à mon père, il me l'avait fait savoir, voilà maintenant plusieurs années. Mes divers précepteurs – qui avaient remplacé un oncle à la ramasse depuis mon adolescence, mais qui ne valaient pas forcément mieux que lui – ne possédaient pas les réponses que je souhaitais et, même si c'était le cas, ne me les donneraient sûrement pas. Ma petite sœur, quant bien même elle pouvait aligner quelques mots, ne pouvait pas s'en souvenir. Qui se souvient du jour de sa naissance ? Et puis, qui me dit que ce serait forcément la même mère ? Ce qui peut paraître étrange, c'est que je ne me disais même pas qu'elle pouvait être morte... Je me suis donc retrouvé pieds et poings liés face à un obstacle apparemment infranchissable. Personne ne pouvait m'aider alors je me suis décidé à agir seul. N'ayant plus montré d'égards de comportement à mon père, celui-ci ne doutait plus de la réussite de son éducation. Et c'est ce que je lui laissais croire. Pourtant, ça ne changeait rien à mes journées, que ce soit un anniversaire, ou une fête, ou un jour où je suis malade. Je faisais toujours les mêmes choses: apprendre, combattre, manger, dormir, puis encore, et encore... Si mon père ne me faisait pas aussi peur, il ne fait aucun doute que je l'aurais déjà tué. J'en avais les capacités, grâce à lui, mais j'avais comme une sorte de blocage. Je le savais, puisque ma seule tentative de lui rendre un coup fut soldé par un échec, n'ayant rien trouvé de mieux à faire que de rester clouer sur place, sans même serrer un poing. Juste à contempler le sol, comme je le faisais tout le temps. Je me sentais honteux dans ces moments-là. Je ne pouvais pas. Mais j'avais trouvé quand agir. Pour la première fois depuis longtemps, mon père dut sortir jusqu'à très tard le soir. Il avait prévenu un homme de main de surveiller je ne sais quel endroit. Mais l'homme avait compris, lui, puisqu'il acquiesça. Toujours est-il que cet événement serait ma marge de manœuvre. J'agirais donc cette nuit. Quand on me croira endormi. Pour faire quoi ? Chercher une preuve, un objet (...) bien évidemment. La maison était immense, et certaines pièces m'étaient interdites, notamment la chambre de mon père. Cela mettrait la puce à l'oreille de n'importe qui, et je faisais partie de ce groupe là. J'allais donc commencer sa chambre, lieu sensé être le plus intime d'une personne. Nul doute que mon père devait y avoir mis des choses que je ne suis pas sensé voir. C'est pourquoi je devais commencer mon investigation par là. Même si c'était sans doute le lieu le plus risqué de la maison. Enfin, c'est ce que je me disais à ce moment-là. Lentement, discrètement, je sortais de ma chambre, vérifiant que l'immense couloir soit bien vide. Pas de bruits. Pourtant je ne bougeais pas. Après un long moment, mes yeux s'habituèrent enfin à l'obscurité environnante: vu le nombre d'objets, tous plus fragiles les uns que les autres, il valait mieux ne pas se cogner dans l'un d'eux, ce que je m'employais à faire du mieux que je pouvais. Cela n'aurait peut-être pas signalé ma présence à un des hommes de main, mais mon père aurait sans doute remarqué la disparition d'un de ses précieux objets. J'arrivais finalement dans la chambre de mon père, principale cible de mon investigation. Comme de juste, il n'y était pas, et personne n'était là pour la surveiller. Ce n'était donc pas ça que mon père avait dit de faire surveiller. Mais ce détail ne m'effleura que rapidement l'esprit, et, au vue de l'occasion inespérée de pouvoir répondre à ma question (même si, je vous l'accorde, je ne vois pas comment j'aurais pu trouver ma mère dans sa chambre, je cherchais un détail qui pourrait faire le lien), je n'allais pas hésiter, surtout qu'aucune personne n'était là pour m'en empêcher. À vrai dire, on aurait plutôt dit que la maison était déserte. Tant mieux. Je fouillais, soigneusement néanmoins, dans toutes ses affaires. Son armoire à vêtement. Rien d'intéressant, hormis des choses hors de prix. Une table de chevet. Des papiers, une paire de lunettes, et une clef. Bizarre. Je la pris puis je retournais à mon investigation. Après avoir ouvert d'autres meubles et regardé sous son lit, je sortis de la chambre en possession de la clé. Je n'étais plus vraiment sûr de que je cherchais. Qu'est-ce-que je risquais de trouver, quand bien même je découvrais ce qu'elle déverrouillait ? Comment pourrais-je répondre à ma question ? C'est surtout ma petite sœur qui m'a redonné l'espoir de découvrir quelque chose. Allons bon, elle n'était pas tombée du ciel, tout comme moi ! Et vu que mon père ne sortait que rarement, je le voyais mal entretenir des relations avec qui que ce soit s'il s'était trouvé en dehors de sa demeure. Je fouillais des pièces que je n'avais jamais ouvertes auparavant: une armurerie, un garde-manger, un aquarium géant. Tant et tant de choses, mais rien de tout cela ne m'intéressait vraiment. J'avançais désespérément, et je regrettais déjà d'avoir pris le risque de sortir ma chambre et que quelqu'un me voit. Soudain, une lueur d'espoir. Ce qu'avait donné comme consigne mon père à l'homme de main. Surveiller un endroit. Et, de loin, je l'aperçus, adossé contre une porte, une bougie brûlant non loin de lui, faisant office de source de lumière. Problème: il me vit aussi et, une fois un énorme sursaut passé, il s'approcha vivement de moi avant de me bombarder de questions: « Que faites-vous ici ? Pourquoi ne dormez-vous pas ? Votre père sait que vous êtes ici ? Enfin, non, il ne peut pas savoir. Alors, pourquoi êtes-vous debout ?! Et à cette heure en plus ?! -Passons toutes ces questions pour le moment. Dites moi plutôt ce qu'il y a derrière cette porte de si important pour que père la fasse surveiller, alors que même sa chambre ne l'est pas ? -Cela ne vous regarde pas ! Et vous êtes allé dans la chambre de M. Taylor ! Vous devez... » Il allait me frapper. Je le sus dès le moment où il entama ces mots. Enfin, j'eus l'impression, parce que ce n'était pas du tout ce qu'il allait faire, mais on ne peut rien contre les réflexes. Mon poing s'écrasa en plein dans sa mâchoire dans un craquement sinistre, signifiant qu'elle devait être cassée. L'homme ne se relevait pas, et je m'excusais intérieurement. Pour l'instant, j'avais peur. Extrêmement peur. Ce que je venais de faire suffirait comme preuve à mon père, et la punition que je recevrai serait sans doute la plus grosse que je n'ai jamais eue. Enfin, quitte à me faire torturer pour que je n'ose plus jamais un acte aussi effronté, autant aller jusqu'au bout. Je tentai d'ouvrir la porte mais je rencontrai une résistance. C'était la bonne. J'introduisis la clé dans la serrure, puis la fis tourner avant d'entendre un cliquetis mécanique. J'ouvris.Chapitre 3: Maman ?L'horreur. Voilà le sentiment qui me traversa lorsque je contemplai l'intérieur de la pièce. Des lits avec sur chacun d'entre eux une femme attachée, nue. De tout âge. Dès qu'elles eurent entendu la porte s'ouvrir, certaines commencèrent à pleurer, d'autres se retinrent de respirer dans une pathétique tentative de se faire passer pour mortes. Mais l'homme qui entra n'était pas celui qu'elle craignait de voir apparaître, mais son fils. Enfin, elles ne pouvaient probablement pas le savoir, n'ayant sans doute que rarement goûté à la liberté depuis qu'elles étaient enfermées ici. Du moins, je n'en avais jamais vu une seule. Donc elles n'ont plus à priori. J'approchais de celle qui était la plus à proximité de moi et mis mon visage juste en face du sien pour qu'elle puisse bien me voir, espérant ainsi la calmer. Je devais avoir des réponses, et j'en aurais. Elle me contempla un long moment sans oser bouger, quoiqu'en fait elle ne pouvait pas vraiment se mouvoir. Je la questionnais sur ce qu'elle faisait ici, bien que je m'en doutais et ne comprenais pas pourquoi j'avais besoin d'en savoir plus. C'était assez clair comme ça: l'une d'elles était probablement ma mère, tout comme l'une d'elles était celle de ma sœur mais pas la même. Ou alors il y aurait eu un incroyable coup de chance, vu qu'elles étaient une douzaine tout de même. La femme en face de moi ouvrit la bouche et me répondit: elle me parla de quand mon père la fit enlever et de ce à quoi elle lui « servait ». Je ne pouvais en entendre plus. Mon père était pour moi l'être le plus horrible de cette planète; mais j'étais loin de me douter que c'était à ce point-là. Des larmes coulèrent le long de mes joues: je venais de trouver, en quelque sorte, ma réponse, mais je crois que j'aurais préféré tout ignorer. Je ne pouvais décemment pas oublier tout ceci, et ne pouvais encore moins les laisser dans cet état-là. J'entrepris donc de les libérer, une à une. Elles ne comprenaient pas ce qui leur arrivaient, sans doute n'avaient-elles jamais songé à sortir d'ici un jour. Elles se relevèrent, ne cachant pas leur nudité: cette pudeur, elles l'avaient oubliée depuis bien longtemps. La priorité était de fuir avant que mon père ne revienne. En vitesse, je pris quand même de quoi les habiller dans cette maison vide de garde-robe pour femme. Alors je prenais des peignoirs, des vestes et des pantalons, des chaussures trop grandes pour elles, mais je n'avais rien de mieux à leur donner. Puis je les guidai jusqu'à la sortie de cette gigantesque maison et leur ouvris la porte. Beaucoup sortirent sans dire un mot, mais c'était un comportement tout à fait normal. L'une d'entre elles s'arrêta néanmoins quand elle passa devant moi. Elle était grande, mais affreusement maigre, signe que, comme les autres, elle n'avait pas dû recevoir de traitement de faveur. Elle était blonde et avait des cheveux longs, mais ils étaient sales. Elle me sourit avant de dire: « Que vas-tu faire maintenant ? Si ton père rentre, cela ne se limitera pas à une simple punition. Il te tuera, tu peux en être sûr - Vous avez une idée ? Je n'ai absolument pas réfléchi à la suite des événements quand je vous ai libérées. -Je ne sais pas. Pourquoi ne pas partir toi aussi ? Cette vie est-elle vraiment ce que tu désires au fond de toi ? » Je ne répondis pas. À vrai dire, je n'avais même jamais songé à l'idée de changer de vie. Même si nos modes de vie n'avaient pas été les mêmes, j'avais l'impression de leur ressembler un peu, à ces femmes captives: moi aussi, j'étais en quelque sorte prisonnier de cet endroit. Et là, on m'offrait la liberté, et je ne savais que faire. Cela aurait pourtant pu paraître évident, mais l'idée même ne m'avait jamais effleuré l'esprit. Mais là, on me le proposait. On me proposait de sortir de ce cadre de vie infernal que je n'avais jamais voulu. On me proposait de ne jamais revoir ce père qui me répugnait tant, mais contre qui je ne pouvais rien. De fuir. « Je... » commençai-je alors, mais un coup de feu retentit, et une femme en tête de file tomba, sans doute morte. Mon père braqua son arme sur la suivante avant de me dire: « Encore un échec. Qu'ai-je fait pour avoir des fils comme vous. D'abord tes deux frères et maintenant toi. Mes deux frères... » dis-je avant de passer rapidement ce détail et de répondre, hurlant pour me donner le courage de l'affronter: « Plutôt que nous accuser nous, accuse les méthodes que tu emploies pour éduquer tes fils ! Et interroge toi sur ta nature pourrie, tant que tu y es ! - Tais-toi ! Je ne supporterais pas encore une de tes insultes plus longtemps ! Ce n'est pas comme ça que je me suis employé à t'éduquer ! Je pense... que si je dois me tourner vers le vrai fautif, ce serait plutôt vers ta mère que je devrais braquer mon arme. » Dit-il, avant de pointer le canon de l'arme sur la femme à mes côtés. Moi, je la regardais sans dire un mot, des larmes coulant le long de mes yeux, la bouche ouverte, ce qui me donnait un air plus idiot qu'autre chose. Je venais de remarquer ses yeux gris, comme les miens. Et en y regardant de plus près, on voyait beaucoup de similitudes entre elle et moi. Je continuais à pleurer et balbutiais un « maman ? ». Elle me sourit et entama un « oui » avant de s'écrouler, inerte, une balle s'étant logée dans son crâne. Mon père se mit à rire.Chapitre 4: l'heure du départ.Le temps se figea. Mon père venait de commettre l'irréparable. Il avait enlevé, violé, avait gâché ma vie et maintenant, il venait de tuer. Deux fois. Mais dans ces deux personnes, il y avait ma mère. Un déclic. C'est ce que je crus entendre dans ma tête puis tout sembla repartir. Mon père braqua son arme sur une autre des femmes, sans doute avait-il dans l'idée de toutes les tuer et de se refaire une « collection ». Mon corps réagit vite et déjà j'avais parcouru la distance qui nous séparait. Mon père n'eut pas le réflexe de pointer son arme sur moi, étant pris au dépourvu. Je ne lui laissais pas le temps de rectifier son erreur et je fis ce que j'aurais dû faire il y a longtemps: je lui mis le plus puissant coup de poing que je pouvais, chargé de toute la rancœur que j'avais contre lui et ce, en pleine tête. Il tomba à terre et hurla de douleur. Sans doute avait-il quelque chose de cassé. Je m'approchai et m'accroupis à ses côtés avant de lui chuchoter à l'oreille: « Tu y étais presque. Encore un peu et je devenais exactement comme tu voulais. Quel dommage que tu aies attaqué la seule chose qui revêtait encore de l'importance pour moi... Si tu ne l'avais pas fait, sans doute n'aurais-je pas pu m'en prendre à toi... - Ne fais pas ça... Je... Je... Je suis ton pè... - Tais-toi ! Tais-toi ! De toutes les choses que je me reproche maintenant, c'est bien la pire: être ton fils est bien la plus grave des malédictions qui me frappe. Mais je connais un remède qui la calmera un peu. » Je devais voir si j'en étais capable. Pour se faire, il fallait que sa mort soit lente, et rien de pire qu'une mort par strangulation en ce cas. J'étranglais le monstre qu'était cette personne et je savais que si ça avait été quelqu'un d'autre, je n'aurais jamais pu le faire. Tandis que la vie le quittait peu à peu, j'éprouvais un fort sentiment de culpabilité. Oui, de culpabilité. Pourquoi n'avais-je pas fait ça bien avant ? Il essayait de se libérer de mon étreinte mais peine perdue: je ne cédai pas. Je ne pouvais laisser une telle abomination vivre. Quand enfin il s'arrêta de se débattre, je lâchai prise et restai un long moment à contempler son cadavre, inerte. C'en était fini de lui. J'étais libre. Toutes les femmes étaient parties, et sans doute la mère de ma petite sœur aussi. Je ne connaissais pas son avenir, et je m'en fichais à vrai dire. J'étais assis à côté de ma mère quand l'aube se leva. On allait remarquer l'absence de mon père, puis la mienne. Et peut-être celle des femmes. Il fallait partir. Pour aller où ? Je ne le savais pas. Comment ? J'improviserai. Que faire du cadavre de ma mère ? Je ne souhaitais pas le laisser ici, mais ici ou ailleurs, ça ne changerait rien. Je la serrai une dernière fois dans mes bras, même si d'où elle était à présent ce geste ne représentait rien, puis je partis en courant loin de cette maison. Pour ne plus jamais y retourner.Chapitre 5: Let's Rock !- Spoiler:
Une petite ellipse et une narration à la 3eme personne Voilà maintenant plusieurs années que Vic a pris la mer. De toutes les factions qu'il aurait pu rejoindre, c'est bien évidemment la piraterie qu'il a choisi. Non pas pour voler, piller, tuer. Mais pour connaître de merveilleuses aventures aux quatre coins du globe. Mais pour l'instant, il n'en avait vécu aucune. Il faut dire qu'il n'était qu'à bord du barque mal faite, et qu'il n'avait aucun moyen de savoir où il se situait. Il ne devait pas être loin de East Blue, mais comment le savoir avec précision ? De plus, la voile de sa barque s'était faite la malle et il était, comment dire... à la dérive. Ne pouvant rien contre les flots marins, Vic s'était allongé sur le bois chauffé par le soleil et attendait que quelque chose se passe, une clope à la bouche. Toutes ses économies passaient dans ces saletés, mais il n'y pouvait rien. Enfin, il avait tout de même eu la présence d'esprit de s'acheter de quoi se divertir, à savoir une guitare. Il était maintenant sans le sou et attendait un coup du destin pour l'aider un petit peu. À présent, il ne pense plus à ce qu'il s'est passé voilà maintenant plusieurs années. À vrai dire, il essaye de l'oublier, et on peut dire qu'il commence à y parvenir, même si il lui arrive encore de penser à sa mère, ou à ses deux frères. Selon les dires de son père, ils se seraient enfuis tous les deux, sans doute ont-ils choisi la même route que lui. Peut-être même qu'ils se verront sur ce vaste monde. Mais comment les reconnaître ? Et eux, ils ne pourraient pas non plus, sans doute ne savent-ils même pas qu'ils ont un frère. Pourtant, Vic restait confiant, il savait que son destin serait d'un jour les retrouver. Quelque part sur ce vaste monde... • Exemple de post RP : Ça fait une sacrée paie (Soyons précis disons plutôt une solde - Comprendra qui pourra ) que j'ai pas RP, donc je vais vous conduire à un de mes anciens posts sur un autre forum. Ce post rp ne montre pas vraiment mon niveau actuel, et n'est même plus le reflet de mon style d'écriture - Tout comme mon histoire, soit dit en passant -, mais vu que je l'avais sous la main... Si il y a absolument besoin d'une vérification, je vous donnerais le lien du forum (et toussa...) et si je dois faire un rp avec mon perso, je le ferais, pas de souci ♪ « Sans plus attendre, commençons, mesdames et messieurs ! À ma droite, un jeune homme apparemment intéressé par l'argent, a décidé de risquer sa vie et d'affronter le puissant, le terrible... Orc ! » le présentateur continuait de parler mais déjà, on ne l'entendait plus, tant sa voix était faible face à celles des centaines de spectateurs venus voir le massacre. Ils souhaitaient tous un combat sanglant, où l'aboutissement serait la mort du pauvre fou ayant tenté de relever le défi. Et c'est sous ce tonnerre de voix qu'avança le pauvre fou concerné, pénétrant enfin dans l'arène, portant pour seul défense une épée, plutôt longue, ses quelques protections ayant été troquées contre un pagne visant à cacher sa nudité. je jetai un regard attentif sur le terrain où était sur le point de débuter le combat. Il y avait des restes de ce qui fut autrefois des combattants, et des rondins de bois taillés étaient maintenus aux murs par des cordes, à la solidité douteuse, pour éviter que les participants essaient de s'enfuir en grimpant dans les tribunes. Le sol était extrêmement poussiéreux, à tel point que l'on aurait pu croire qu'il était recouvert d'une fine couche de sable.
je m'approchai alors du centre de l'arène pour que chaque spectateur puisse me regarder. Certains d'entre eux commencèrent à pouffer de rire en voyant le simple équipement que je portais, puis se fut le tour de toutes les personnes présentes. Ils riaient à s'en rompre la mâchoire : Pour eux, j'étais déjà mort. Puis, un cri. Puissant et terrifiant. Aussitôt, tous se turent, non sans un sursaut de peur. Les bruits de pas de la créature raisonnaient dans le couloir menant sur l'arène, et l'on entendait les cliquetis des chaînes qu'elle portait aux mains. À mesure qu'elle approchait, sa respiration, rauque, se précisait de plus en plus. Puis l'orc entra dans la zone de combat. Je me rendis compte alors à quel point il était impressionnant : l'on me disait grand, mais cet orc devait faire au bas mot près de deux mètres quarante, et il était si musclé qu'un seul de ses bras faisait le double du mien. Comme de juste, sa peau était verte. Il avait deux ou trois cheveux blancs, longs, qui lui descendaient jusqu'au cou. Il était armé d'une épée qu'un homme n'aurait jamais pu porté d'une seule main et, apparemment, il le faisait sans souci. Aux bras, il avait des menottes, mais les chaînes étaient brisées. Il ne portait pas d'autre vêtement qu'un vieux caleçon marron, et heureusement pour moi, d'ailleurs. S'il avait été en armure, ça en plus du reste... L'orc regarda d'abord à droite, puis à gauche, après quoi il me fixa. Il ouvrit la bouche et poussa un cri puissant avant de marcher lentement dans ma direction. Il venait de choisir sa cible. C'était trop tard, je ne pouvais plus reculer: je devais le battre... non pas pour gagner, mais pour survivre.
Je brandis mon épée devant moi, et commençai alors à faire quelques pas en sa direction. Il chargea. Si puissamment que le sol en tremblait. Je me mis en garde, pris au dépourvu. Rapidement, il se retrouva devant moi, et tenta de placer un coup d'épée à la verticale, que je réussi à esquiver de justesse avec un pas sur le côté. L'impact souleva un nuage de poussière qui l'aveugla temporairement. J'en profitai alors pour tenter de planter mon épée dans sa gorge. L'épée commençait juste à entailler la peau, quand un énorme coup de poing dans la poitrine m'envoya à plusieurs mètres, me désarmant au passage. La douleur était très forte, et j'avais la respiration coupée. Il me sembla entendre les acclamations du publique, mais je m'en fichais: il fallait que je me relève avant que l'orc ne revienne. L'air circula à nouveau, ce qui me permis de mieux me concentrer. Du regard, je cherchai mon épée : il me la fallait si je voulais pouvoir me défendre. Enfin, je la repérai, mais je me devais d'oublier cette idée: sous la puissance du coup de l'orc, je l'avais lâchée, et elle était à présent non loin de lui. Ce dernier inspecta son cou, et remarqua du sang. Il me regarda d'un air encore plus féroce qu'auparavant, un mauvais point de plus à ajouter à la liste. L'orc se remit à courir vers moi, avec la ferme intention de de mettre fin à ce combat, apparemment. Je tentai de me relever, mais l'infâme créature était déjà sur moi, et m'attrapa par les cheveux. D'ici, je pouvais sentir son haleine putride, qui me fis avoir une nausée, mais ce n'était pas vraiment le moment de penser à ça. Je devais me dégager de son emprise.
Mais comment, sans mon épée ? L'orc aussi l'avait bien compris et il planta son arme au sol. Je crû voir se dessiner un sourire sur sa tête répugnante, puis il pencha un peu cette dernière avant de la projeter à toute vitesse en direction de la mienne. Je hurlai de douleur, tant le choc fut puissant, et un filet de sang coula le long de mon front. Mais l'orc, bien décidé à me faire souffrir, recommença à nouveau son attaque, puis une troisième fois. Mon crâne ne pourrait supporte cela indéfiniment, il allait se briser. La peur m'envahit. Je ne devais pas mourir... pas déjà. Je devais agir. L'orc arma son ultime coup de tête. Sa tête se rapprochait de la mienne, tout semblait fini, mais il avait commis une erreur: il ne m'avait pas immobilisé le reste du corps. Dans ma tête, je priai n'importe quel Dieu que l'anatomie de l'humain et de l'orc soit similaire, puis j'envoyai un magistral coup de pied dans ce qui serait pour l'homme les parties génitales. J'atteignis ma cible, et l'orc s'immobilisa, signe que, apparemment, ça avait fonctionné. Je ne laissai pas le temps à mon adversaire de se remettre de ses émotions, et je lui mis un coup de poing dans l'œil droit, de toutes mes forces. L'orc hurla de douleur, se tenant l'œil, qui saignait abondamment, et relâcha enfin son étreinte. Je ne pris pas le temps de me reposer, et tenta de m'emparer de son épée pour lui asséner le coup de grâce mais, tout ce que je fis, c'est faire rire le public: je n'arrivais pas à enlever l'épée de la terre, beaucoup trop lourde pour moi. Changement de programme: je courus vers mon épée, et la ramassai, avant de faire volte-face et d'achever l'orc.
Et là, je remerciai mes réflexes: le coup d'épée de l'orc, visant ma tête, n'eutpour effet que d'entailler le dessous de mon œil. L'infâme créature ne se laissa pas abattre et retenta sa chance en plaçant cette fois-ci un coup horizontal en direction du torse. Je me mis en garde, sachant pertinemment à quel point le choc serait violent, me demandant même si je n'aurai pas mieux fait de me le prendre pour que s'arrête enfin cette douleur. Non pas celle due à ce combat, mais celle que j'éprouvais désormais chaque jour: celle que m'avait provoqué sa mort. Mais je ne devais céder à cette tentation. Le coup frappa en plein dans la lame de mon épée. Je reculai d'un mètre ou deux, soulevant un nuage de poussière au passage. Le choc n'avait pas été aussi violent que je le présumais... enfin, c'est ce que je pensais, avant de regarder la fissure parcourant ma lame. Il fallait changer de stratégie, mon épée ne supporterait pas un second choc comme celui-ci. Mais décidément, l'orc n'avait aucunement l'envie de me laisser peaufiner mon plan, car il accourait déjà en ma direction, prêt à se venger de la blessure que je lui avais causé à l'œil, fermé, et ce pour toujours. *Mais oui! Le voilà mon plan ! C'était pourtant évident ! Il faut juste qu'il ne s'en aperçoive pas, sinon, il n'attaquera plus aussi ouvertement...* L'orc mit fin à mes pensées en tentant de m'asséner un coup fatal que j'esquivai non sans mal, en roulant, sachant pertinemment que, quand je me relèverai, il m'assénera un coup de poing au niveau du visage, mon crâne étant toujours en piteux état, du sang coulant encore de ma blessure au front. Je mis donc mes bras en croix, espérant qu'il tiendrait le choc face à ce fulgurant coup de poing. Comme je l'avais deviné, l'orc m'asséna le dit coup de poing, et je ressentis une vive douleur dans mon bras gauche, tandis que je me retrouvai projeté loin en arrière. *Il fallait qu'il me blesse au bras, ce tocard !* Bien que je le devinais fêlé, il fallait que je le fasse bouger. Ignorant la douleur du mieux que je pus, Je ramassai discrètement de la poussière dans ma main gauche et commençai doucement à me relever en prenant appui sur mon épée, sans trop forcer pour ne pas la briser. L'infâme créature ne soupçonna rien et fonça dans ma direction.
L'orc leva son épée, mais je ne devais pas encore agir, je devais attendre qu'il se rapproche. Il commença à l'abaisser, et c'est à ce moment là que je lui envoyai la poussière récoltait dans ma main à la figure, visant l'œil encore ouvert. L'effort fit souffrir mon bras gauche, mais cela fut payant, puisque mon adversaire ne vit pas le coup venir et ne ferma même pas les yeux, mais il eut quand même la présence d'esprit d'abaisser sa lame, au cas où elle aurait pu me toucher. Mais c'est sans mal que j'esquivai ce coup, m'y étant préparé, et que je bondis, épée levée, en direction de sa tête, et la lui planta dans l'œil gauche, bien profondément. Le sang se mit à ruisseler sur mon visage et sur le sol, signe que mon coup avait bien fait mouche, suivi par les hurlements de rage et de douleur de l'orc. Retirant mon épée, je me réceptionnai à terre, attendant que le présentateur mette fin à ce combat, mon adversaire n'étant manifestement plus en état de se battre.
Mais il n'eut pas le temps de le faire: L'orc venait de m'entailler profondément la hanche. Le sang ruisselait abondamment et ma vue se brouillait. Je tombai à genoux, ne comprenant plus ce qui se passait, le visage crispé de douleur. Je tournai la tête en direction de l'orc et vis qu'il faisait des mouvements circulaires avec son épée, espérant me dénicher. Il avait peu de chance de me trouver, mais il persévérait, m'ayant déjà eu une fois. C'était étrange: avec ses blessures aux yeux, l'orc aurait dû avoir son compte. Pourtant, il continuait à se battre en aveugle. Aucun de nous deux n'était vraiment en état de continuer. Mais il fallait un vainqueur, et un vaincu. Douloureusement, je me relevai, le sang coulant de ma blessure à chaque effort, plus profonde qu'elle n'en avait l'air. Je titubai, trébuchant sur quelques ossements, jusqu'à ce que je trouve celui qui m'intéressait: un crâne. Je repérai l'orc, encore en train de frapper dans le vide, à croire qu'il ne se fatiguait jamais. Je marchai doucement vers lui, pour ne pas l'amener ici tout de suite, tenant le crâne de la main gauche, devant solliciter mon bras une dernière fois pendant le match. M'approchant de plus en plus de mon ennemi, je commençai à prendre mon élan. Il fallait que je fasse un maximum de bruit.
J'étais désormais face à l'orc. Serrant les dents à cause de la douleur, je lançai le crâne de toutes mes forces derrière lui, priant pour qu'il croît que ce soit moi, les orcs n'étant pas réputés pour leur intellect. Ma tactique avait payé puisque mon adversaire mit un coup magistral à l'endroit où il avait entendu le bruit, cessant ainsi ses incessant moulinets pour quelques brèves secondes. Profitant de cet unique instant, je bondis et lui mis un ultime coup qui lui transperça la gorge, laissant échapper un flot de sang qui se répandit sur le sol. La créature tomba enfin à la renverse, inerte. Je sortis alors mon épée de là où elle était logée et, titubant, me tenant la hanche, je levai mon épée en direction du public qui, après quelques hésitations, applaudit vigoureusement. Le présentateur me désigna vainqueur, après quoi je m'écroulai et m'endormis, inconscient... mais vivant.
Dernière édition par Vic H. Taylor le Sam 9 Avr 2011 - 20:31, édité 4 fois | |
| | | Kazuki Contre-Amiral
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Dim 3 Avr 2011 - 17:29 | |
| Yop \o Alors, oui, c'est possible de combiner les deux IRP après la validation, c'est simplement le cumul des deux dès le début qui est prohibé | |
| | | Vic H. Taylor Brigand
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Dim 3 Avr 2011 - 18:07 | |
| Ah d'accord ! En ce cas, puis-je savoir le niveau que l'on m'attribue pour m'aider dans mon choix ?
Edit: Ah oui, et si l'on pouvait me renommer ?
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| | | Kigen D. Kyouki Personnalité
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Lun 4 Avr 2011 - 15:14 | |
| Tu as été renommé, ça y est. Et, au vu de ta présentation, je t'accorderais un niveau 6 ou 7 au maximum pour un FDD | |
| | | Vic H. Taylor Brigand
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Lun 4 Avr 2011 - 19:39 | |
| J'ai regardé la liste des fruits, mais je n'ai pas trop envie de commencer avec ça. Je préférerais un sabre. Avant de me lancer dans une description, j'aimerais savoir à quel niveau il va se situer ? Plutôt 12 ou 21 ? Et merci de m'avoir renommé ! | |
| | | Kigen D. Kyouki Personnalité
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Lun 4 Avr 2011 - 20:12 | |
| Pour un niveau de sabre, ce serait de niveau 12 au maximum | |
| | | Vic H. Taylor Brigand
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Mer 6 Avr 2011 - 18:33 | |
| Après avoir réfléchi comme jamais, avoir raté plusieurs contrôles (non, c'est juste que c'était de la SVT, c'est normal) et... avoir réfléchi, j'ai décidé de prendre un fruit : Gakki Gakki No Mie : (Paramécia de l'orchestre) Permet à son détenteur de créer des instruments de musique avec son corps, les sons produisant différents effets. Il me semble normal pour un musicien d'en avoir un dans ce genre, et en plus, il me parle plutôt bien. Néanmoins, celui-ci est de niveau 8. J'aimerais donc que l'on me dise quoi faire pour pouvoir monter ma présentation d'un niveau ? Merci à vous ! | |
| | | Minami Kin Forban
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Mer 6 Avr 2011 - 21:03 | |
| Il faudrait étoffer encore la présentation, rallonger les descriptions et l'histoire, changer les tournures de quelques phrases ( très peu, mais cela donne un effet d'énumération) | |
| | | Vic H. Taylor Brigand
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Sam 9 Avr 2011 - 19:01 | |
| Changements effectués: j'ai rallongé (un tout petit peu, je l'avoue) la description physique, rallongé (un peu plus) la description mentale et changés quelques phrases pour enlever un effet d'énumération, mais je n'ai pas réussi à le faire sur toute la description. J'ai surtout rallongé l'histoire à certains endroits, et puis voilà. En espérant que ça convienne | |
| | | Minami Kin Forban
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Dim 10 Avr 2011 - 15:35 | |
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| | | Ma Chao Espoir Révolutionnaire
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Dim 10 Avr 2011 - 20:04 | |
| Une présentation bien sympathique, quelques fautes par-ci, par-là, mais rien de bien méchant. J'aurais cependant apprécié une meilleure mise en forme histoire de soulager l'oeil et rendre ça plus agréable, je chipote xD Validé avec ce fruit du démon, en espérant que tu nous fasses pas un remake des 2be3 ou autre Boys Band, quoi que, ce pourrait être fun, et ça donnerait un plus a ta futur prime, les 5* seraient jaloux Aller, amuses toi bien. | |
| | | Vic H. Taylor Brigand
Nombre de messages : 24 Age : 29 Fruit du Démon : Si tu le savais, ben tu le saurais
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] Dim 10 Avr 2011 - 21:17 | |
| Merci beaucoup à vous deux ! Et t'en fais pas, je comptais plus faire dans l'esprit de One Piece (genre le saké de binks/ratafia de binks) ou encore du jazz, j'aime pas trop les boy's bands. | |
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| Sujet: Re: Let's Rock ! [Fini] | |
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