Ake Seigi Nouveau
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| Sujet: Re: Ake Seigi [attente de validation] Mer 1 Juin 2011 - 17:29 | |
| La physique d'un pirate :
Ake Seigi. C'est le nom de cette homme - tout est relatif, bien évidemment - homme, originaire de la méconnue et crainte ile de East Blue. Il aurait pu être imposant, avec cette taille, mais a préféré judicieusement être discret. C'est vrai, qu'avec ces 1 mètre 85, il dépasse bon nombre de ses camardes. Mais attention ! Grand, oui, il l'était sans conteste, mais pas géant comme peuvent l'être certains. Non, ce qui ne faisait pas de lui un homme imposant, et au contraire un espion, c'était sa physionomie. Il avait à sa disposition un corps parfait pour ses prétentions. Améliorés intérieurement pour ses capacités, ses muscles n'avaient pas pris beaucoup en proportions, lui laissant des bras longs et relativement fins, sans néanmoins en diminuer l'efficacité. Il était quelqu'un que l'on appelle de nerveux. Non pas pour sa attitude mais pour ses aptitudes physiques. Pas de puissance hors-norme, mais plutôt rapide et concentrée ce qui lui va comme un gant. Donc, d'après ce rapide schéma, il ne devait pas être si dangereux en apparence. Cependant, nous avons oublié un point important de sa personne. Son visage. Ake, c'était spécial, hors-norme, extra-ordinaire - j'insiste sur le fait qu'il n'est pas ordinaire mais je ne veux pas dire qu'il est merveilleux - et bien d'autres adjectifs pourront aussi bien le décrire. En bref, cette partie de son anatomie inspirait une vague crainte inexplicable. Inexplicable car il ne faisait rien qui puisse s'attirer la peur de ses compagnons. De couleur blanche, entouré par des cheveux Blanche, qui descendaient en plusieurs piques autour de son visage, il paraissait quelque peu albinos. Mais la véritable source de peur venait des ses yeux. Ils semblaient toujours fermés en demi-lune. Pour ceux qui l'avait vu à l'épreuve, il ouvrait les yeux normalement - comme un simple humain, s'entend - pendant les combats. En tirait-il une meilleure appréhension de son environnement ? Car il semblait impossible qu'il ferme réellement ses yeux, comment ferait-il pour marcher, voir ses adversaires et autres ? Cependant, il était clair qu'une aura malsaine s'en dégageait sans pour autant la rationaliser. Et pour renforcer ce sentiment, un étrange sourire était quasiment tout le temps pendu à ces lèvres. Quelle était la plaisanterie qu'il lui donnait une telle émotion ? Mystère et boule de gomme, comme diraient certains. Mais reprenons notre description. Son nez, délicate petite colline qui dépasse de la prairie qu'est sa figure, est plutôt mince, sans avoir de particularités autre que celle qui lui permettait de vivre.
la morale d'un pirate Comme dis plus haut, Ake viens de East Blue. Alors forcément, il n'est pas l'homme le plus raffiné ou le plus sympathique. Néanmoins, il n'était pas aussi brutal ou revêche que ses anciens ami. Voici une petite liste de ses défauts et qualités les plus importantes.
Sadique. Oui, sans hésitation, nous pouvons affirmer que le pirate a un penchant pour cette forme de cruauté. Il affectionne de pousser au désespoir quiconque qui se met en travers de son chemin, parfois même ceux qui ne lui ont rien fait, c'est un mauvais défaut, dirons-nous.
Discret. Rappelez-vous qu'il a choisi d'opter pour une apparence type d'un espion, son comportement se doit d'être à la hauteur. Il ne pose pas de questions superflues, évite de trop attirer l'attention - seulement s'il le veut, nous verrons plus bas pourquoi -, enfin le comportement qui va avec son rôle.
Froid. Surement dû à son ile d'origine, Ake ne s'attache pas aux gens. Mêlée à un peu de prétention, son autonomie rend souvent le travail de ses occasionnels équipiers inutile et donc peu de liens se créent entre eux.
Réaliste. Mettons un peu de positif, il n'est pas naïf, sans être cynique. Il est prêt à tout miser s'il pense pouvoir en sortir indemne ou en vie, comme il est prêt à fuir pour sauver sa vie et reprendre le combat plus tard. Ce n'est pas de la lâcheté, il n'a simplement pas quelque chose valant plus que sa vie pour se sacrifier pour elle. Mais cela ne veut pas dire qu'il abandonne sa nouvelle ile et ses charges; de plus ça ne lui arrive pas souvent.
Insensible. Digne d'un pirate de la Racine, peu de choses peuvent percer l'épaisse carapace de cet homme. S'il doit tuer un enfant, une femme ou une vieillard, il le fera sans discuter et sans arrière pensée. Mais - et ce n'est pas par pitié - il ne les torture pas psychologiquement comme il aime le faire avec certains de ses ennemis - en fait, quasiment tous - cependant lorsqu'il est de mauvaise humeur, il prend un plaisir encore plus malsain à manipuler ses gens sans défense.
Fier. Malgré le fait qu'il soit bâti comme un homme d'infiltration,et qu'il en partage plusieurs caractéristiques, il se respecte et ne se considère pas comme un simple pion. Et bien qu'il ne soit pas grande gueule -désolé pour la familiarité de l'expression - il ne peut s'empêcher de le susurrer à l'oreille de ses opposants.
Joueur. Ce n'est pas quelqu'un qui s'adonne à aux cartes ou aux dés. Non, il joue la vie des autres et la sienne. Il est prêt à enfreindre les règles pour pouvoir accomplir ce qu'il doit, et mêlée à son réalisme, il s'arrange toujours pour être quitte de ses mauvaises actions. Non pas qu'il les regrette, mais plutôt qu'il est ennuyant de devoir toujours se justifier devant des personnes qui ne comprennent pas sa façon de penser.
Cruel. Avec tout ce qui est déjà dis, nous ne pouvons pas ne pas dire qu'il est cruel. Cette cruauté n'est pas remise en cause par une mauvais influence ou une enfance malheureuse, Ake l'accepte complètement et l'encourage. Pour lui, c'est un divertissement mérité pour ce qu'il a déjà accompli.
Histoire d'un Pirate
Chapitre 1 : Naissance et enfance
East Blue. 2 syllabes lourdes de sous-entendus. C'est ici le début de mon existence. Une mort pour une naissance. Un juste équilibre d'après moi. Ma mère mourut avec mon arrivée. Était-ce pour ma couleur- ou plutôt mon manque de couleurs- que son cœur lâcha ? Peu m'importe désormais. Mon père, un guerrier plutôt minable, même pas digne de passer l'examen des guerriers, sombra dans le désespoir, faible qu'il était - d'ailleurs, je ne comprenais pas pourquoi il avait pu rester à East Blue, surement grâce à ma mère, que l'on disait forte pour les deux. Donc, psychologiquement, j'étais orphelin. Oh bien sur, il avait bien assez de sous pour me payer une nourrice qui s'occupait de moi, mais si mes souvenirs sont bons, elle était plutôt vieille, un peu radoteuse et surtout, elle sentait fort le chou, c'était horrible. Si vous pouvez donner une origine à mes défauts, prenez cette odeur de choux ! A part ça, j'étais juste un petit bébé un poil albinos. De ce fait, j'ai bien eu quelques jolis surnoms en rapport avec des démons, enfin, rien n'a changé depuis. Dès que possible, j’entrais dans l’École de combat, la première instance des combattants . Rapidement, et sans vouloir me mettre sur le devant de la scène, je vis le décalage qui séparait les autres de moi. J'étais plus rapide, moins bruyant et finalement, mon enseignant finit par s'occuper de mon cas plus sérieusement. A cette époque, quel âge devais-je avoir ? Bien 12 ans, oui ça devait être ça. Approximativement. Ce vieil moniteur me fit passer quelques tests, que je réussis apparemment contre toutes attentes puisqu'il allait chercher un maître enseignant. Un Solda. Normalement, je n'aurais du en avoir un qu'à seulement ma 15° année tout au mieux. Et seulement si j'avais réussi mes examens pour devenir matelot de Dawn Island. Et pourtant, se tenait devant moi un des plus respectés solda de Dawn Island. Quelle chance, enfin c'est grâce à mes aptitudes qu'il voulut me rencontrer, sinon il ne m'aurait même pas adressé le regard. Il demanda au vieil homme de répéter le même test devant ses yeux. A son tour, il fut légèrement surpris. Que légèrement. Après tout, il était à Dawn, pas de place pour l'hésitation ou trop d'étonnement. Alors il m'emmena avec lui. Nous voyageâmes pendant deux semaines. Qu'allait-il faire ? Me tuer dans le secret ? Ou bien me donner un entrainement ultra-intensif ? A cette époque, j'avais plein de questions dans la tête. Heureusement que je savais tenir ma langue, sinon je crois que j'aurais eu rapidement des orteils en moins. Oui, des orteils ! Enfin, je vous expliquerais plus tard cette sublime technique de mon maître. Plus nous marchions, plus le terrain changeait. Plus rocheux, et plus boisé. Nous faisions route vers la forêt de la montagne. Les autres enfants racontaient que des monstrueuses créatures l'habitaient. Personnellement, je n'y ai jamais cru, les autres étaient si influençables que je n'y avais pas fait attention. Pendant toute la durée du trajet, mon nouvel instructeur ne m'avait pas adressé la parole. Au début, il avait manifesté une certaine curiosité sur moi, mais il finit par s'en lasser et regardait désormais le paysage. Petit à petit, il augmentait la cadence. Cela devait encore un autre test. Au bout d'une semaine et demie, je commençais à peiner pour le suivre. Il était à la limite de la petite course. Enfin, nous finîmes par atteindre notre destination. Je m'assis lourdement par terre quand mon maître me remis debout et me fis signe d'écouter. Obéissant, je tendis l'oreille. A première vue, la forêt était vide, mais avec attention, 3 bruits séparés et distincts revenaient. Trois individus tournaient autour de notre position. Complètement en alerte, j'avais perdu de vue mon entraineur. A la place, restait 5 couteau et une dizaine d'aiguille. En classe, nous avions appris à nous en servir, et j'avais reçu la meilleure note. Ramassant mon équipement, je rangea tous les aiguille et couteau et en garda un dans la main. Me rappelant d'une leçon de classe, je créa deux clones de l'ombre. Un qui allait prendre ma place, un autre qui alla se cacher avec peu de discrétion, pendant que j'allais observer ce qui allait suivre du haut d'un arbre. D'après ce que j'entendais, mes adversaires arrivaient en vue de mon premier clone. Comme prévu, un d'eux l'attaqua, ce qui me laissa voir son visage. Quel étonnement ! C'était un matelot de Dawn Island ! En plus, je le connaissait, de vue, pour l'avoir aperçu à l’École. Lorsqu'il se rendit compte de la supercherie, un autre surgit de l'ombre pour attaquer ma cachette peu évidente. Il en restait donc un seul. J'avais alors remarqué qu'ils avaient tous porté des coups fatals, ce qui était significatif. Je sauta de ma branche pour arriver derrière l'adversaire isolé. D'un coup de dague entre les vertèbres de la nuque mit fin à sa vie. C'était un autre Matelot. Donc j'étais attaqué par une nouvelle équipe. Le puzzle de cette énigme se mettait en place dans ma tête. Il était possible que ce que j'ai pris pour mon maître, était en fait le leur, ce qui complétait l'équipe. Ce qui restait à savoir, était-ce pour me tuer ou me tester ? J'étais un peu pris au dépourvu, surtout que je ne pourrais rien faire contre un Colonel de Dawn, pas encore. Alors je repris mon attaque. Prenant un caillou, je le lançais à l'autre bout de la clairière, attirant irrémédiablement leur attention. Mais contre toute attente, ils se replièrent tous les deux de mon côté. Donc, ils craignaient quelque chose. Était-ce moi ou quelque chose d'autre ? Se pouvait-il qu'ils croient aux rumeurs circulant sur les monstres de la forêt ? Je m'éclipsait rapidement vers l'arrière, pour entendre leur discussion.
" - Hey ! Lurk s'est fait descendre ! -Quoi ? Et m**de ! On aurais jamais du accepter de rendre service au maitre !Ça grouille de monstres, ici !"
Ainsi ils n'étaient pas les auteurs de cette mise en scène. Et cela confirme bien ce que je pensais. Avec un peu de chance, je vais pouvoir mettre ça à mon compte. Utilisant le juste de transformation, toujours une technique apprise à l’École, je me transforma en la plus grosse chose que je connaissais alors, un sanglier. Pas facile, je n'ai pu la maintenir que quelques secondes, mais j'avais réussi à leur faire peur. La fatigue de voyage et des technique se faisait sentir, mais je ne pouvais pas me reposer tant qu'ils seraient vivants. Je pris une étoile dentelée dans ma poche et je la lança en direction du plus grand des deux qui courait à découvert au milieu des arbres. Paf ! C'est le bruit qu'il fit lorsqu'il tomba, raide mort par mon attaque. Et après cette autre mort, le dernier se mit à crier. Il ne fallait pas plus pour le retrouver, et je courus jusqu'à lui. Plongeant dessus, je lui transperça le cœur sans autre manière. Je pouvais maintenant me reposer. Et je m'évanouis. A mon réveil, à mon chevet de fortune, se trouvait Shikoku, le colonel qui m'avait amené jusqu'à ce piège. Me relevant brusquement, je cherchais un couteau pour me défendre, mais il m'arrêta et me parla doucement, doucement comme un père envers son enfant.
"Stop, petit Homme. Tu t'es très bien débrouillé. Mieux que personne. A présent, tu seras mon élève jusqu'à ce que je n'ai plus rien à t'apprendre. Et à ce moment-là, il faudra me tuer, mais nous ne nous en sommes pas là. Repose-toi"
Trop épuisé par mon récent combat, je retournais à mon oreiller improvisé. Et pendant que je quittais le monde pour rejoindre celui des songes, je me dis que je quittais le paradis de l'enfance.
Chapitre 2 : Ascension et trahison
guerrier matelot amiral .... Les grades défilaient dans ma tête. J'avais bien sur réussi mon examen de matelot, et j'étais en bonne voie pour passer bientôt celui de surveillant. Je le passerais surement l'année de mes 14 ans. Cette année, en fait. Les leçons avec mon maître accaparaient tout mon temps, et une fois chez moi, je dormais. Mes repères spatio-temporels étaient forcément tout chamboulé. J'avais appris que mon père s'était fait tué par un autre surveillant. Je n'avais cherché à trouver son identité, mon géniteur n'était qu'un déchet de la société. Et j'avais largement de compenser sa perte. Mon maître me paternait comme un père. Je progressait rapidement. Je commençais à maîtriser ma première affinité. Oh pas complètement, mais suffisamment pour être un concurrent redoutable pour l'épreuve de surveillant. Les semaines passèrent; mon entraineur me trouva deux autres compagnons d'équipe. Ils n'étaient pas trop mauvais, mais il fallait les attendre pour continuer. Le temps d'enseignement était divisé en deux. Un moment, je travaillait le travail d'équipe et l'autre, je suivait un entraînement plus poussé. Mes nouveaux camarades semblaient au courant que j'étais meilleur qu'eux mais ne semblaient pas mesurer l'écart qui nous séparait déjà. Mais je me devais de faire des efforts, pour Ihiroku. L'année passa et arriva le concours de promotion. Nous étions l'équipe inconnue de l'examen, qui se déroulait alors à un village. Je vous épargne toutes mes péripéties, bien qu'elles soient - pour moi - fascinantes. J'appris à chaque nouvel adversaire, et finalement nous sommes sortis l'équipe favorite des premières épreuves. Les spectateurs semblaient impatients de voir d'excellents combats. De plus une variante avait été imposée, il devait y avoir deux combats, pendant lesquels seraient évalués complètement toutes les compétences des combattant. Comme s'étaient des combats individuels au premier sang, je ne devais le tuer du premier coup. Je vais essayer de retranscrire ce combat, juste celui-là, après la deuxième fois, je - non en fait, je vous raconterais ! J'avais en face de moi un combattant d'Amega. Oh il était pas mauvais, mais il était tombé sur le mauvais adversaire. Bien que nous étions l'équipe favorite, j'avais pris soin de ne pas trop m'exposer au public, pour ne pas révéler mes techniques et ainsi être désavantagé. Mes deux autres camarades n'avaient pas compris cela, et ça les tua, bien qu'il y est une règle, il y a toujours le risque d'un accident. Bref, je reviens à ce qui vous intéresse. Plutôt semblable à un géant - je vous dis ça, car je mesurais déjà presque 1m80, imaginez ce qu'un géant peut être pour moi - roux. Oh j'ai rien de spécial contre eux, c'est juste que c'est très voyant dans la nature, enfin personne n'est parfait comme on dit ... Il voulut m'attaquer directement, pas de chance, les bourrins dans son genre étaient typiquement les genre de personnes à tomber en plein dans les pièges. Une de mes techniques favorites, je vous la détaillerais plus tard, mais dans les grandes lignes, voici ce qui arrive au grand benêt qui m'attaque inconsciemment. Je crée un clone de l'ombre - malheureusement, il n'y avait d'eau à orange Town, alors difficile de faire des clones d'eau, vous vous en doutez - et je m'esquive rapidement. Dans toute la splendeur de cette technique que je suis fier d'avoir créé, le clone fait une attaque baka baka no mie sitron !, mais je ne pouvais pas le tuer dès le premier combat, donc j'ai légèrement modifié. Le clone lance plusieurs projectiles destinés à perturber l'adversaire le temps que je lance mon fuit du démons. Technique, dont je donnerais aussi les détails plus tard, qui lui donne l'impression d'être perdu en pleine tempête, ne voyant pas plus loin que son nez, lui faisant ainsi perdre son sens de l'orientation. Profitant de son désarrois de mon ennemi, je l'agaçait de petites tapes rapides. Je lui donnait de faux espoirs, le tourmentait. J'y ajouta une autre technique du fruit du démons, qui lui donnait l'impression de me voir du coin de l'œil, ou le frôlant sur le côté. C'était juste histoire de monter un peu la pression, pour mieux apprécier son désespoir.
"Mais que fait-tu là, mon pauvre ? Même un matelot se bat mieux que toi ! Comment tu as pu réussir jusqu'ici ?" "Je t'ai observé ! Tu ne te bats pas avec tes camarades ! Moi, j'ai pu arriver ici grâce à la force de l'union !" Sur le coup, j'avais un peu tiré la tête. Encore un optimiste qui croit que tout est possible grâce aux amis. Je déteste ce genre de personnes désagréables qui croient fermement à ce qu'ils pensent, sans même prendre le temps de réfléchir. Normal qu'il soit aussi bourrin, réfléchir ne devait pas lui être familier. Réduire en bouillie, ça par contre, il devait connaitre ! "Pauvre homme, c'est parce que tu es trop faible que tu as besoin d'eux. Huhu, Tu sais, j'aurais pu te tuer avec 17 manières différentes depuis que tu es arrivé dans l'arène." "Pauvre fou, Je suis bien assez fort pour te battre ! Et pourquoi ne m'as-tu pas tuer, si tu pouvais le faire ?" Ça y est, je venais de prendre ma décision pour le prochain combat. Augmentant mon fruit du démons, je lui rendait impossible de savoir d'où j'allais attaquer. D'un coup de Wakizashi, je lui transperça la jambe droite, celle où il se tenait appui le plus souvent. Ainsi, je remporta la première manche. La deuxième fut surement plus atroce pour lui. Revenant sur le ring avec plus de fureur, il n'attaqua pourtant pas tout de suite, ayant appris de ses erreurs. Malheureusement pour lui, j'avais encore un coup d'avance sur ce combattant. Faisant une diversion, je courus vers lui, et lorsque je lui sauta dessus, je recréa un clone. Laissant le clone attaquer, je lança tous mes aiguille autour de notre position, à environ 5 mètres à la ronde. M'attendant à une contrattaque et soupçonnant l'ennemi d'avoir quelques technique je lui lança a mon tours une technique. Rien qui ne le blesserait, j'y avait veillé. Juste pour qu'il ne lance pas d'attaques. Pendant le court laps de temps où il fut déconcentré, je créa 3 autres clones et commença à envoyer un autre fruit du démons. Un brin plus violent que le dernier. Cette fois-ci, il se retrouvait dans l'arène, mais vidé des ses occupants à part lui et une ombre fugace me représentant. Comme tout guerrier sans cervelle qu'il était, il attaque cette fausse image de moi, ma faisant disparaître ... pour réapparaître derrière lui. Je commença à augmenter le nombre d'ombres, sans pour autant l'attaquer. Finalement, il finit par céder. "Quand vas-tu te décider à te battre comme un homme ? Montre-toi !" Un homme tel que lui ne pouvait comprendre l'intéressant aspect des illusions. On pouvait torturer ô combien plus longtemps ! Mais le summum était le pouvoir final du regard atroce ! le chikuro ! Qu'est-ce que je donnerais pour l'avoir ! Bref, revenons à cet imbécile. Je poussa plus profondément dans la technique. Je lui montra ces amis, morts, et éventrés. Son chef, baignant dans son sang. Son amie, que j'avais aperçu, tout à l'heure quand il est retourné aux gradins, je lui la montra ayant perdue sa pureté, et rougie par les blessures sur son visage. Bien évidemment, étant un esprit inférieur, il y cru férocement, et s'accabla de chagrin. Alors j'entrasse en scène. "Tu sais, je peux les sauver, je peux encore les guérir." "Oh merci ! Merci au nom de tout ce qui existe sur cette terre, mais rends-les moi, je t'en supplie, je ferais tout ce que tu voudras !" Toujours victime du fruit du démons, il vit se relever tous ces gens qui faisaient sa vie un bonheur. Il courut vers eux, pleurant de joie. Mais sous leur apparence physique, se cachait encore mon visage. C'est ainsi qu'il recula, pris de frayeur. Me demandant ce que j'avais fait, je lui est répondu que j'avais fait ce qu'il voulait. "Que me donne-tu pour que je leur rende leur âme ?" Surpris par la teneur de ma question, il restait debout, devant un arbre, d'après les spectateurs, bouche bée. Son cerveau se mettait lentement en route. Mais son cœur prit le dessus. Toute fois, c'est ici que je pris ma réputation de sadique combattant. "Je plaisante. Ils sont tous morts, trahi par le village de la pluie" Cette petite tirade était accompagnée d'un sourire encore plus grand que celui que j'aborde habituellement. Alors, il cria. Cria à s'en déchirer la gorge. Je crois d'ailleurs que c'est ce qui se passa, parce qu'après, il ne pu qu'émettre des grognements dignes d'un animal sauvage. Bien sur, je voulais terminer en beauté, alors pendant qu'il s'excitait sur l'arbre, je dissipa le fruit du démons et sorti du cercle d'aiguille. Faisant une petite technique, je les libéra de la terre et, portés par la puissance du vent, ils transpercèrent la petite et fragile caboche de ce désagréable idéaliste. Ainsi l’obtenu le rang de surveillant avec une belle réputation. J'étais alors très fier de moi, et mon entraineur au moins autant que moi, sinon plus.
Chapitre 3 : Ascension et trahison (suite)
Oh, je n'étais pas assoiffé de pouvoir, c'est juste que Surveillant ne correspondait pas à mon niveau réel. Pendants plusieurs années, je remplis à merveille toutes les missions proposées, faisant parfois celles réservées aux Colonel. Je pouvais donc largement passer colonel, mais le conseil n'a jamais approuvé cette décision sans autre explication. A l'age de mes 22 ans, mon entraineur vînt me trouver pour me parler en secret. Comme la première fois, mais bien plus vite cette fois-ci, nous sommes allés dans la petite clairière où j'avais naguère fais mes preuves. Un surprise m'attendait, d'après lui. Je lui avait rétorqué que ses surprises, si c'était comme la première, je m'en passerais bien. Mais d'un ton mystérieux, il me dit que je ne le regretterais pas. Après quelques heures, nous sommes finalement arrivés, et il sortit un bocal de terre. Je mis quelques instants avant de comprendre le merveilleux cadeau qu'il m'offrait. Un œil chikurp. C'était plus que je n'en avait jamais espéré. Et à ce moment-là, il me dit:
"Ake, qui est ton meilleur ami ?"
Bien sur, je connaissais les caractéristiques de cet œil, mais à ce moment-là, j'avais complètement oublié la partie la plus intéressante. Le Chikuro. Évidemment, je répondis que c'était lui, mon maitre, mon meilleur ami. Alors, il me révéla que sa spécialité était les technique médical. Je fus surpris car à dawn island, c'était signe de faiblesse. Et il n’implanta l’œil. Pendant une semaine, nous sommes restés là-bas. Puis un jour,
"Je n'ai plus rien à t'apprendre, mon meilleur élève. Tu te rappelle ce que je t'ai dis, la première fois ? C'est le moment. Et grâce à ça, tu deviendras encore plus puissant que je ne l'ai jamais été."
A ces parole Ake disparu et personne ne le revus .
[center]A suivre ...
Test rp ! :J’ai compris que le monde de la piraterie évoluait dans un esprit de haine. Et pourtant je pensais pouvoir faire quelque chose contre cette haine, mais je n’ai pas encore trouvé la solution…
Un vent sur l’herbe fraîche. Resplendissant dans sa couleur émeraude et dans son éclat, accordé par le Soleil qui jouait aux reflets et aux miroirs de la Nature, se reflétant lui-même dans chaque gouttelette afin de constater sa propre beauté, cette texture qui filait parfois entre les doigts de personnes calmement allongée et détendue. Et qui la caressait, qui la parcourait, qui s’officialisait comme frontière entre son corps et la terre même, la séparant de la mollesse granuleuse par ce tapis vert et pur, sans la moindre bizarrerie. Une étendue si claire et paisible, semblant presque sourire à toute personne marchant dessus, et accueillant sans la moindre opposition cette force humaine qui s’imposait, ou plutôt s’invitait, progressivement sur elle. Oui, viens à nous et allonges-toi. Oublies tes soucis et éjectes tes problèmes. Laisses moi donc te bercer et te caresser de ces brindilles d’herbes qui dansent à tes côtés. Les entends-tu ? Chacune ne souhaite que te réconforter ; te permettre de rester avec elle et que tu te libères de cette prison qui s’est forgée autours de ton cœur. Dis nous tout, et n’oublies rien. Car nous ne serons pas du genre à raconter des ragots. Nous ne sommes après tout que des touffes dansantes dans le vent calme de ce monde, à regarder le Village évoluer, à ne jamais bouger. Nous sommes ce qui compose la terre et ce sur quoi vous marchez. Nous sommes vos conseillers les plus proches et pourtant les plus discrets. Nous sommes une tombe et seule la Mort peut nous arracher à cette planète sur laquelle nous sommes nés. Mais nos racines tiennent bon ; et nous restons sur place, notre chevelure verte et éblouissante se laissant emportée dorloté par les avances du Dieu .[/center]
Dernière édition par Ake Seigi le Dim 5 Juin 2011 - 16:44, édité 6 fois | |
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