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 Watashi wa Shikamaru desu ! (Manque plus que le post-RP)

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MessageSujet: Watashi wa Shikamaru desu ! (Manque plus que le post-RP)   Watashi wa Shikamaru desu ! (Manque plus que le post-RP) EmptyDim 29 Mai 2011 - 22:05

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : Cédric
Age : 16
Homme/Femme/Okama : Travelo euh Homme
Comment avez vous connu le forum : En tapant One Piece forum RP sur Google, je cherchais un bon forum de RP sur One Piece, j'en ai observé plusieurs, et celui là me semble bien meilleur !
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Oh là c'est difficile à dire... Alors en période scolaire, pas beaucoup, 1ère S oblige... Par contre le week-end et en vacance, je peux me connecter plus fréquemment Wink
Tes Mangas préférés : One Piece, Naruto, Ippo, Death note, Bakuman, Detective Conan, Dragon Ball, Elfen Lied...
Ton personnage préféré dans One Piece : Luffy !
Ce qui t'as motivé à venir : L'envie d'écrire, de destresser un bon coup avant mon BAC de Français et mes examens de piano et surtout l'envie d'integrer une communauté "Onepiecienne" et pouvoir bien rigoler avec des gens qui savent parler de ce manga merveilleux !
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : J'ai déjà fait du RP sur un forum nommé Artistika, une école d'art. Sinon... à part mes écritures d'invention en français...
Hobbys : Le piano, le judo et les mangas ! Ca c'est la belle vie :p
Autre(s) : Auriez vous du chocolat pour moi ?

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Shikamaru

• Surnom (facultatif) : / Pas pour l'instant, il faudra attendre qu'on m'en trouve un, c'est bien ça le principe des surnoms Wink

• Age : 21 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate !

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon... à ma sauce

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Stratège, spécialiste du démêlage de situation extrêmes dont personnes ne pensait pouvoir échapper !

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Le fruit que je souhaiterai n'est pas dans la liste mais il se rapproche assez fortement du jiro Jiro no Mie de rang 7 le Paramecia du Gyroscope. En effet, ce dernier peut normalement juste "déformer le terrain", je cite : "Ce paramécia permet à l’utilisateur de déformer le sol et de pouvoir l’onduler dans tout les sens sans craquement ni déchirure. Les lignes droites se déforment, s’étirent et s’allongent comme des vagues plus ou moins intense, mais cela n’est pas une illusion." Le fruit que je possède me permet plutôt de modifier la conception du terrain : par exemple, il me permet de faire pousser des arbres, créer une petite zone d'eau, faire sortir des rochers, faire pousser de l'herbe... Evidemment, ce fruit ne me permet pas de faire jaillir un océan ni une montagne !! De plus, tout doit rester à portée visuelle ! Je ne peux bien sûr pas faire pousser du gazon à l'autre bout du monde ! Ce fruit s'appellerait le Dojou Dojou no Mie ( Fruit du Terrain en gros ^^)

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Retrouver et vaincre son père pour pouvoir revoir sa mère sereinement. Pouvoir s'éclater avec son équipage, étendre sa renommée au monde, faire ce qu'il lui plait !

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :


◘ Description Physique : Je ne suis pas très grand, environ 1m70 et je pèse à peine 60kg. Pas d'ma faute mes parents m'ont faits comme ça... Si ça vous dérange, je pourrai bien vous prouver qu'on peut être petit et fort à la fois !
-Nan, ça je ne crois pas 'spèce de gnome !
Mais heuuuuuuu !
Mes cheveux sont noir-bleu, ainsi que mes yeux.. Ce bleu à l'aspect peu naturel semble être due à mon amour pour l'océan depuis mon enfance. J'ai les cheveux assez longs, mais pas trop. Il n'y a pas beaucoup de coiffeurs sur l'océan et il vaut mieux que je me les laisse pousser plutôt que je ne les coupe moi même (Si, si, je vous assure !) Question vestimentaire, toujours simple, couleurs unies. Je porte bien la chemise mais je n'aime pas ce qui est trop "flashy" : le blanc me va très bien (sauf quand je le tache...). J'essaye de garder le plus souvent mon large sourire, sans lequel je ne pourrai jamais adopter ma pose Nice Guy qui montre que tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles ! Question musculature, c'est grâce à un entrainement quotidien que j'ai pu obtenir une certaine musculature. Je n'ai rien à envier à personne à ce niveau là !
-Si, moi !
-Prend ça !
-Aïeuuuh


◘ Description Morale : Par ou commencer ! La description physique, c'était facile, j'avais qu'à me placer devant un miroir et c'était gagné, mais pour la description morale, par où commencer... J'estime être quelqu'un de déterminé, qui a "de la suite dans les idées", même si parfois elles sont un peu folles (mes idées... ^^). Faire rire, c'est mon truc. Quoi de mieux, de toute façon, que de faire rire pour sortir de l'ennui un équipage lassé par une longue traversée ? Très bon public, je rigole des blagues, mêmes les plus nulles !
-Poil au pull
-Heu non là c'était vraiment TRÈS nul !

Je suis un grand joueur de jeux de stratégie et je reste pour l'instant invaincu aux échecs. D'ailleurs la stratégie, c'est mon truc : dès qu'il en est question, c'est à moi qu'on fait appel ! Au niveau des relations sociales, je suis très ouvert et j'adore discuter avec les gens. D'ailleurs je pense que les gens aiment bien discuter avec moi !
-Hein ?! QUOI ?!! Arrête tes délires t'es solo pauvre nouille !
Ah... euh... Non non je vous assure, en général ça se passe plutôt bien...
Je suis assez intéressé par l'argent, et, comme tout pirate qui se respecte, épris de liberté.
Bien que bon stratège, un de mes principaux point faible réside dans ma naïveté... Je suis en effet très crédule et ça m'a joué plus d'un tour !
-Ça me rappelle que tu me dois 1000 Berry !
-Ah c'est vrai ? Tiens, voilà pour toi !






◘ Histoire : Je suis né sur l'île de Steartige. Je ne saurais vous dire où elle est située exactement, vous comprendrez pourquoi en lisant la suite de mon récit. Il y avait très peux d'habitants, tout au plus une centaine. Tout le monde connaissait tout le monde, et pour cause : il valait mieux s'entraider si l'on voulait survivre sur cette île. En effet, un homme avait décidé de gouverner en tyran cette île et d'exercer une oppression constante sur ses quelques habitants. Cette homme, c'était mon père. Je suis né 9 mois après qu'il ait violé une femme (ma mère). Celle-ci tenta d'abord de me cacher. Des mon plus jeune âge, ma mère m'appris à jouer aux échecs afin de passer le temps. Mes journées d'enfermement dans la cave de la maison de maman me parurent alors moins longues. En plus je progressais vite ! Très vite, ma mère ne parvenait plus à me mettre une seule fois en échec. J'étais réellement bon. Alors, pour varier, maman me proposa d'autres jeux, des énigmes. Mais toujours je gagnais ou trouver la clef à une vitesse fulgurante. Quand j'eu dix ans, ma mère décida de me présenter aux autres villageois. En cachette bien sûr. Très vite ils se rendirent compte de mes capacités de stratèges, et décidèrent de les exploiter dans un but bien précis : renverser le dictature de mon père. On m'expliqua alors que celui-ci avait de son côté 20 hommes, qui, sans doute par menace, obéissaient comme des chiens au tyran. Une question me vint alors à l'esprit : pourquoi le village, comptant environ quatre-vingt habitants, n'a rien tenté auparavent contre mon père alors que celui-ci ne compte qu'une vingtaine d'homme avec lui ? La réponse était terrible : celui-ci avait des otages. Des femmes, et même des enfants... Personne n'osait rien tenter de peur que mon père se venge sur ces derniers !
C'était une situation compliquée, rien n'était moins sûr. On désigna la cave de la maison de ma mère comme quartier général de la "Révolte", et les réunions des membres devinrent rapidement quotidienne. Je fus nommé, malgrès mes dix ans, comme chef de la Révolte ; premièrement parce que c'est moi qui élaborerait les plans du coup d'état, et deuxièmement parce que ma mère espérait que si mon père nous découvrait, il y aurait une chance -certe infime, mais tout de même- qu'il renonce à me tuer. Au bout de trois semaines, la Révolte comptait trente membres. Les villageois qui avait refusé d'y rentrer étaient soit des enfants, soit des habitants dont un parent était retenu en otage. Je commençais alors à mettre au point un plan... Commença alors pour moi une longue (trois semaines) période de torture d'esprit, de reflexion et... de mal de tête. Quand ce fut fini, je présentai mon plan à notre bande. Il plut, nous l'adoptâmes. C'était un plan en trois phases : tout d'abord il faut savoir que le "Roi", mon père, habitait dans un "chateau" à quelques centaines de mètres du village. Il était donc facile de mobiliser rapidement la popuation et de s'approcher aussi vite du chateau. La mobilisation de la population fut donc la première phase de mon plan. Celle-ci se passa sans encombre, en une nuit la population fut mobilisée. La deuxième phase est la phase d'introduction dans le chateau de mon père, l'objectif étant bien sûr de ne pas se faire repérer. Là, ce fut un peu plus difficile. Nous étions exactement trente-sept mobilisés, et ne pas faire de bruit avec une troupe pareil, en pleine nuit, c'est assez dur ! Nous n'étions armés que de pauvres batons de bois, insuffisants pour se défendre contre des hommes mieux armés. D'après les différentes infos reçues, cinq hommes s'occupaient de la surveillance extérieure du chateau. Il fallait ne pas se faire repérer, mais, et ce fut l'ordre principal, si jamais un garde nous apercevait, il fallait le neutraliser SANS LE TUER, sachant que la plupart des hommes de mon père lui obéissaient sous la menace. Lorsque nous arrivâmes devant le chateau, les gardes ne nous reperèrent pas, et selon le plan, nous les neutralisèrent en les endormissant à l'aide de tissus somnifères mis au point par le médecin du villlage. Un des gardes ne s'endormi pas, mais un homme plus fort que les autres arrangea se problème par un coup de baton sur la tête. Nous penetrâmes alors à l'intérieur du chateau. Ce fut la phase la plus difficile du plan. D'ailleurs, elle ne se passa pas exactement comme prévu... Et même... Pas du tout. Tout d'abord, nous étions en lieu inconnu. Malgré toutes les informations qui nous sont parvenues, nous n'avons rien pu récolter à propos de l'intérieur même du chateau. Je du alors improviser. Le Hall d'entrée était assez grand. Aucun garde ne nous y attendais, ce qui retint tout d'abord mon attention. Ce hall se divisait en deux escaliers, qui convergeaint tous les deux vers une salle unique en hauteur. Dans ce cas, ou tous les gardes se trouvaient dans cette salle, qui devait être la salle du trône, ou ils étaient là, planqués derrière les innombrables meubles qui ornaient ceux Hall. Je refutais rapidement cette première hypothèse en supposant que si celle-ci fut vraie, l'un d'eux se serrait déjà manifesté. Ce fut ma plus grave erreur. Dix hommes de mon père étaient là, cachés. Dès que nous fûmes tous rentrés (une vingtaine d'homme, sachant qu'une dizaine était restée à l'extérieur pour surveiller l'entrée), l'un d'eux ferma la porte, et nous fûmes rapidement cernés. Mes hommes prirent peur. Mais tout n'était pas perdu, je me mettais déjà à la reflexion en m'asseyant par terre. L'un des hommes de mon père nous demanda qui nous étions et ce quenous faisions "dans ce lieu sacré". L'absence de réponse créa une tension qui irrita rapidement nos ennemis. Ils braquaient vers nous toutes sortes d'armes, plus développées que les notres bien sûr... Nous étions, selon toute vraisemblance, en "echec". Restait à savoir comment nous démeler de cette situation. Soudain, la porte vers laquelle menaient les deux escaliers s'ouvrit, et mon père apparut. Je nel'avais jamais vu auparavent, mais je su tout de suite que c'était lui. Ma ressemblance avec lui était flagrante, et pour la première fois de ma vie, je pris peur. Peur de lui ressembler, peur d'être comme lui. La même frayeur sembla le saisir, puisqu'il fit un pas en arrière en m'apercevant. Il m'avait reconnu, c'était une évidence. Il avait les yeux bleus, ainsi que ces cheveux. En tout cas, il n'avait pas l'air mauvais... Cette compassion que j'avais envers lui m'effraya d'autant plus, je n'avais pas le droit de fléchir. Pas dans un moment critique comme celui-là. Mon père pris alors la parole. Il demanda lequel de nous était le meneur. Je me désignais ; cela le surpris, du haut de mes dix ans, cette réponse n'était sûrement pas attendue. Mon pere ordonna alors à deux de ses hommes de m'amener à lui. Il ordonna aussiqu'on emmene mes hommes dans une salle au sous-sol dont je n'avais pas aperçu l'entrée, sans doute un cachot... Ce fut la dernière fois que j'aperçu les habitants du village, ainsi que ma mère.
Je me retrouvait alors seul avec mon père dans la salle que j'avais deviné être lâ salle du trône. Il s'assit sur celui-ci, et me demanda mon nom nom. Je me présentais alors, Shikamaru, et cette réponse la fit sourire. Pas un faux sourire, un sourire affectif d'un père à son fils. Je répondis, contre mon grè, à ce sourire. Il me questionna ensuite sur la raison de notre entrée "innatendue" dans son chateau. Je lui expliquai simplement que notre oblectif était de penetrer dans cette salle afin de le sortir du trône et d'instaurer sur l'île de Steartige un régime plus juste.
Son sourire s'effaça. Il savait, évidemment, pourquoi nous étions là. Mais la réponse ne semblait tout de même ne pas lui plaire...
-Tu es mon fils, n'est-ce pas ?
Bingo, il était donc au courant. Je ne niais pas. Il demanda à ce qu'on m'ammene à boire, et on se mit à discuter. Il vantait son régime. Fit l'éloge de ses hommes et critiqua les réaction du village. Je ne fis guère attention à ses dires. Enfin il m'assura que je pourrai gouverner avec lui, dans quelques années... Ma réponse fut catégorique.
-Pas question, un souverrain doit être choisi par un peuple et non imposé. Il doit refléter sa société et non la mener à sa sauce. Enfin, je ne pourrai jamais accepter d'être celui qui TE succeda, toi que ton peuple méprise par tes actions, et toi qui par un crime innommable me mit au monde.
Mon père se mit en rage, il claqua des doigts, un homme arriva derrière moi, je m'évanouis. Les derniers mots que j'entendirent furent "Fils indigne".

Quand j'ouvrit les yeux, l'environnement verdâtre qui m'entourrait me fit d'abord croire à un rêve. J'étais en pleine fôrêt. On entendait les oiseaux chanter, aux bouts des arbres poussaient des fruits multicolores et j'entendais non loin de moi le craquement de branche provoqué par un quelconque animal. J'étais heureux, l'euphorie s'emparait de moi sans que je ne sache pourquoi, mais très vite je me demandais ce que je faisais là. Une longue trainée sur le sol me fit penser qu'on m'avais trainé ici. Un sac, type sac poubelle retrouvé non loin de moi conforta mon hypothèse. Tout me revint alors à la mémoire : mon père, ma réponse osée, la Révolte, les parties d'échec... Où étais-je donc ? Il fallait réfléchir.

-Notre île est principalement une forêt. En son centre ce trouve un arbre gigantesque, l'Arbre-Maître de la forêt. Il parait que celui-ci peut parler, mais personne n'est parvenu jusqu'à lui.

Ces propos étaient ceux de ma mère. Elle me les avait dis, un jour dans la cave, pendant une partie d'echec. Elle aimait beaucoup me parlait de l'île pendant nos parties, et aussi du reste du monde... Ce "reste du monde" me faisait rever. Tout ce que je pouvais imaginer de ce monde, c'était un vaste océan, je n'en avais que ça... Ces reflexions me firent penser à ma mere, et à tous les autres. Qu'étaient-ils devenus, sont ils vivants, sont ils morts ? Mon pèreles a-t-ils torturés, ou simplement relaché ? Tout en reflechissant, je marchais, marchais, encore, et encore... mais il me semblait que je tournais en rond. La nuit tomba, je me dressai un campement, composé de quelques branche et de feuilles, et, n'ayant rien à me mettre sous la dent, ne sachant pas si les fruits présents étaient comestibles ou non, je m'endormis. Le lendemain, je cherchais une solution pour m'echapper de cette forêt. Ce ne devait pas être si difficile, il me suffisait par exemple de suivre la trainée laissée par le sac dans lequel j'ai été trainé ici. Mais l'homme qui m'as ammené ici a du les effacer puisqu'au bout d'une quinzaine de mètre, celle-ci avait totalement disparu... Mais alors, comment la personne qui m'a déposé ici a-t-elle pu ressortir ? Toutes ces questions me torturaient l'esprit, et je passais une nouvelle journée à tourner en rond... Le lendemain, une nouvelle idée me vint à l'esprit, l'Arbre-Maître ! J'escaladais alors un arbre jusqu'à son sommet, et ce que je vis me surpris au plus haut point ! De la forêt qui s'étandait sur des kilomètres. Un océan d'arbre ! J'avais envie de crier, de toutes façons, on ne m'entendrait pas ! J'étais libre, enfermé mais libre... Je n'apercevait pas le village. Et, en plein milieux de cette forêt, il était bien là, il les dominait tous, de par sa couleur, sa taille, sa splendeur... L'Arbre-Maître. Bien qu'il ne me menerait probablement pas en dehors de cette magnifique forêt, cet arbre constituait un point de repère. Il fallait que je me dirige dans sa direction. Je l'avais estimé à un peu plus d'un kilomètre de là où je me trouvais, sachant que j'étais en forêt, je pouvais l'atteindre en une demie-heure. Mauvais pronostic. J'entrepris la route tranquillement, les vingts premières minutes de marche se déroulèrent sans encombre. Je grimpais régulièrement dans les arbres pour suivre mon avancée, et effectivement, je m'approchais de façons visible de l'Arbre-Maître. Seulement voilà, au bout de vingt minutes, je me retrouvait en face d'un immense pavé de ronce qui me barrait la route, devant lequel se dressait... un lion. Je n'avais pas peur, mais je fus l'homme, ou plutôt l'enfant puisque je n'avais que 10 ans à l'époque, le plus surpris du monde lorsque ce dernier me souhaita le bonjour. Je cru d'abord avoir mal entendu, mais je lui renvoyais quand même son salut. Il me sourit (enfin, je crois... C'était un lion après tout !). Il me demanda si je voulais passer, question bête réponse bête, "non, non je viens cueillir des champignons..."... Bien sûr que oui, je voulais passer. Il m'expliqua alors qu'il était le garde de ce qu'il a appelé la 1ere Porte, passage obligé vers l'Arbre-Maître. Je me doutais alors qu'il n'allait pas simplement me laisser passer, comme ça, gentillement... Il y avait quelque chose d'autre, c'était évident.
-Comme tu l'as deviné, avant que je te libère la voie, tu devras répondre à une enigme.
Ah ! Une énigme ! Ce mot me fit sourire, il me rappelait le temps passé avec ma mère, quand je cherchais desespérement les solutions de ces devinettes, parfois tordues. Je finissais toujours par y parvenir, mais c'étais parfois difficile ! Le Lion me regarda attentivement, et pris la parole :
-Comme tu as pu le remarquer, il y a ici un cadavre de boeuf.
Non je n'avais pas remarqué ! La vue de ce corps m'effraya et je me demandais quel supplice le Lion me reservait !
-Rassure toi, celui-ci a eu une mort naturelle. Bref, je veux que tu me ramène le meilleur et le pire morceau de ce boeuf. Tu as autant de temps que tu veux pour rélechir, mais sache que je suis très difficile, j'espere que tu feras le bon choix.
Oulala ! Une énigme culinaire... Pas du tout mon domaine... C'est très mal parti ! Alors je réfléchis... Etant caché dans la cave, mes repas se limitaient souvent aux "restes", ceci afin de ne pas eveiller de soupçons : si ma mère achetait trop de nourriture, ça pouvait parraitre louche... Je n'avais donc pas jusque là vécu d'expérience gustative très forte. Une idée me vint à l'esprit : je pouvais goûter chaque morceau et décider de celui que je trouvais le meilleur, et de celui que je trouvais le pire ! ... Mauvaise idée. Les goûts varient en fonction des personnes. Je réflechissait à nouveau... Et si le sens de cette énigme était tout autre... Comme dans tout énigme il y a un sens caché ! De nombreux souvenirs me vinrent alors à l'esprit : je me rappelais de ma mère qui me disais "je t'aime Shikamaru", puis de mon père me criant "fils indigne".
Ca y est. J'avais trouvé la clef de l'enigme. Je découpais le morceau concerné et l'ammenai jusqu'au Lion qui me sourit.
-Une langue de boeuf, c'est bien ton choix ?
-Oui
-Pourquoi donc ?
-Avec une langue, on peut dire les meilleures choses du monde, comme on peut dire les pires.
Sur ces mots, le massif de ronce se sépara en deux, laissant apparaitre une voie que je pouvais emprunter. Le Lion me faisant signe d'y aller, je m'engouffrais dans ce nouveau chemin. En route, je reflechissais : le Lion avait dit qu'il était le gardien de la Première Porte, il y en avais donc d'autres qui m'attendais. Je me demandais alors si j'arriverai un jour à cet arbre géant ! Ces sur ces pensées que je me retrouvais devant la Deuxième porte : en effet, un mur de bambou, infranchissable, était dressé devant moi, et un magnifique Panda semblait se régaler de ce plat que lui offrait la nature. A mon arrivée, il arreta de manger. Il prit la parole (ce qui ne me surpris plus, après tout, des animaux qui parle, quelle banalité) :
-Bonjor, pitit homme ! Ji sué oune Panda. Comme tou a pu lé rémarquer, je sué un fou dé Bambou ! Alors si té veux pouvoil passé, tou à lé choix : ou tou décide d'attendle que j'ai fini dé tout mangé, ou tou répond à mon énigme.
-L'énigme !
-D'accourd, d'accourd ! Mais j'ispère que tou né lé regrétera pas ! Alors écoute bien, c'est palti : "Pitit Panda et Glos Panda mangent oune Bambou et regaldent la forêt. Pitit Panda est le fils de Glos Panda mais Glos Panda n'est pas sont père. Alols, qui est Glos Panda ??"
Cette énigme paraissait beaucoup plus simple que la précédente, et Shikamaru répondit instantanément :
-Alors Gros Panda est la mère de Petit Panda
Alors un panda gigantesque surgit du sol. Il était au moins trois fois plus gros que celui qui venait de me poser l'énigme. Je pris peur, et si je m'étais trompé ? Et si ce Panda gigantesque venait pour me dévorer ?
-Maman ! Ce jeune galçon vient dé répondle à l'énigme !
Alors ce Panda gigantesque serait la mère du Panda que je rencontré ?!
-Ah, félicitation jeune homme, je vois que tu as fait connaissance avec mon fils Petit Panda. En récompense de ta bonne rponse, je vais te liberer une voie afin que tu puisses poursuivre ta route !
Elle se mit soudain à dévorer à grandes bouchées le mur de bambou qui obstruait mon chemin. En quelques secondes, la route fut dégagée. La mère reprit la parole :
-Va, cours jeune homme, le bambou de cette fôret repousse très vite ! Tu n'es plus très loin de ton objectif.
Je me mis alors à courir sur la voie qui venait de se dégager. Déjà loin, j'entendis, comme un murmure :
-Bon coulage, Pitit homme ! Né t'éffondle pas dévant la difficoulté, tou y es plesque ! Guide tes pas vels la loumièle et ouvle cette Tloisième Polte !

J'étais désormais très proche de l'Arbre-Maître ; je le savais d'après les évaluations de distance que j'avais effectuées avant de passer la première Porte, et d'après ce que venait de me dire Petit Panda. Je supposais donc que la Troisième Porte serait la dernière, et, très pressé de l'atteindre, je redoublais d'effort. Et pourtant, j'avais beau courir, courir et encore courir, je n'atteignais pas cette porte. Je voyais toujours les mêmes arbres, j'entendais toujours les mêmes chants d'oiseau. Toujours cette même odeur de fruits rouges. Et pourtant, il était impossible que je tourne en rond : la route était en ligne droite. Etais-je en proie à un quelconque maléfice ? M'étais-je totalement trompé dans mes estimations ? Ou alors, m'étais-je trompé de chemin ? Je doutais. Fallait-il que je fasse demi-tour ? Revenir sur mes pas serait synonyme d'écec. Il fallait donc que je trouve une solution pour me sortir moi même de cette situation. Il fallait d'abord que je vérifie si je tournais bien en rond. Je traçais alors une croix reconnaissable sur le sol et me mis à courir. Au bout de quelques minutes, je me retrouvais devant la même croix. Il n'y avait aucun doute possible : la troisième épreuve avait déjà commencé. J'avais beau réfléchir, je ne voyais pas comment sortir. Je me mis à examiner plus précisemment les lieux. De nombreux fruits rouges ornaient les haies qui encadraient le chemin. Le chemin quant à lui, était pierreux, accidenté. Il faisait très sombre, la lumière ne parvenait pas à la route sauf à un endroit, formant une sorte de halo... Ca y est, j'avais trouvé la réponse ! C'était l'énigme la plus difficile des trois... Mais j'étais certain d'avoir trouvé ! J'avançais alors vers le halo lumineux à travers lequel j'étais passé plusieurs fois, et m'arretais alors à l'intérieur de celui-ci. Je tendis ma main, dans le vide, et fis comme si je tirais la poignet d'une porte. Une porte, réelle, s'ouvrit alors au milieu du chemin ! Bingo ! Une fois que je l'eu totalement ouverte, un Caméléon apparut sous mes yeux. Il devait me suivre pendant tout ce temps. Après tout les caméléon peuvent se dissimuler à souhait. Celui-ci était un peu plus grand que ce que j'avais déjà vu dans les livres. De couleur verdâtre, il se fondait parfaitement à la forêt qui nous entourait. Il m'observa quelques instants, et dit :
-Bravo, tu as trouvé la solution de la troisième et dernière énigme qui était pourtant bien difficile. Mais comment as-tu fais pour deviner ce qu'il fallait faire ??
-C'est Petit Panda qui m'a donné les consignes de cette énigme. Quand j'ai franchi la Deuxième Porte, il m'a dit : "Guide tes pas vels la loumièle et ouvle cette Tloisième Polte !". j'ai compris qu'il fallait prendre cette phrase au pied de la lettre, et j'ai ouvert une porte dans le halo de lumière.
-Mmmf, c'était bien pensé. Cette porte mène vers l'Arbre-Maître. Il répondra à toutes tes questions. Sois toutefois raisonnable, ça fait bien un milénaire qu'il n'a pas parlé à un humain !

Je m'introduisait alors dans cette nouvelle porte. Enfin j'allais atteindre mon objectif ! J'allais parler à l'Arbre-Maître !
Dès que j'eu franchi la porte, elle se referma derrière moi, puis disparut. Je me retrouvais alors dans une clairière gigantesque, avec en son centre un arbre tout aussi gigantesque : l'Arbre-Maître. Il semblait percer le ciel. Je ne voyais que lui. Je m'agenouillais devant lui, et me présentais. Mais l'Arbre savait déjà tout de moi. Mon nom, ce qui m'était arrivé, il savait tout de l'île entière ! Nous parlions ainsi et je pris des nouvelles de mes amis de la Revolte. D'après l'Arbre, ils s'étaient évadés et ont lancés un assaut sur mon père. Cette fois, ça a marché et mon père du fuir l'île. Ma mère fut élue à la tête de l'île, les otages furent libérés et ils apprirent de l'homme qui m'a déposé au milieu de cette forêt ou je me trouvais en ce moment. Je demandais alors comment cet homme qui m'avait trainé dans la forêt avait pu repartir sans se perdre. L'Arbre m'appris que cet homme s'était servi d'un procédé connu des enfants : il avait déposé des cailloux sur sa route, et les avais récuperés à son retour... C'est pour ça que je n'avais pas pu le suivre... Bref, tout était bien. Il fallait maintenant que je revois ma mère et les villageois pour les féliciter !
-Ce serait dommage de se quitter comme ça, si simplement.
C'était l'Arbre qui avait parlé.
-Cela fait mille ans que je n'avais pas parlé à un humain, et votre présence me manquais. Voilà j'ai un marché à te proposer jeune Shikamaru. Je pense qu'il est trop tôt pour rejoindre les tiens.
-Hein, que... Comment ?
-Il y a une quête que tu as laissée inachevée. Ton père, il s'est échappé. Il a pris la mer. Il est libre. On peut même dire qu'on ne peut pas être plus libre que lui. Car ton père parcours maintenant les mers et les océans sous un drapeau noir à tête de mort. Ton père est devenu un pirate, ou plutôt il l'a toujours été... Il y a 10 ans, il a débarqué sur cette île, a trouvé ta mère, t'a mis au monde. Il n'a pas violé ta mère comme elle te l'a dit. Celle-ci l'aime en réalité. Et elle l'a toujours aimé. Pendant 10 ans, elle t'a menti !
-C'est faux !!
-C'est lui qui l'a voulu. Il attendait que tu te dresses contre lui. Il attendait que tu lui montre que tu avais la trempe d'être un Pirate ! Et effectivement, il l'a vu. Et je le vois moi aussi, puisque tu as réussi à parvenir jusqu'à moi. Tu en a la trempe. Tu peux devenir un pirate ! Tu dois rattraper ton père, le défier sur les océans. Tu dois le rendre fier de son fils. C'est seulement une fois que tu as fais ça que tu pourras revoir ta mère, tu pourras lui dire : "Maman, tu ne m'as pas menti pendant toutes ces années pour rien." Si tu reviens tout de suite à ton village, tu auras une vie paisible, mais ces dix dernières années d'apprentissage, où ta mère t'as appris la stratégie, n'auront servi à rien !!

Il savait parler, le grand Arbre. J'étais convaincu, je devais devenir pirate ! C'étais d'après lui un synonyme de liberté. Il m'expliqua que le dernier humain a qui il avait parlé, il y a mille ans, était un pirate. Un amoureux des libertés. Depuis que j'étais jeune, je n'étais pas libre. J'étais prisonnier de cette île. Il me fallait partir. Tout de suite !
-Oh non pas tout de suite mon petit !
-Mais ?!
-Tu n'as que dix ans mon garçons. Tu as encore beaucoup à apprendre. Reste avec moi un petit moment, je t'apprendrai les rudiments de la vie, je t'apprendrai à te battre, je t'apprendrai à être proche de la nature. Donne moi 7 ans !
-7 ans ?!


7 ans passèrent.


-Tu as 17 ans aujourd'hui Shikamaru.
C'était en effet mon anniversaire. Sept années s'étaient écoulées. Sept ans de cotoiement avec le grand Arbre-Maître. C'était le jour de mon départ.
-C'est donc aujourd'hui que nous nous quittons, mon cher Shikamaru. Tu es maintenant un vrai homme. Mais avant que tu partes, j'ai deux choses à t'offrir, pour ton anniversaire en quelque sorte... Premièrement, voici l'unique fruit qui pousse sur moi, l'Arbre-Maître.
Une branche de l'arbre vint alors à moi. Au bout de celle-ci se tenait un fruit.
-C'est un fruit du Démon. Le Dojou Dojou no Mie. Il te permettra d'avoir une influence considérable sur le terrain qui t'entourre. Par contre...
Trop tard, je l'avais déjà manger...
-... Tu ne pourras plus jamais nager si tu manges ce fruit
Ah ! Trop tard ! Je l'avais déjà fini ! Bah... Après tout c'était pas grave : je n'avais jamais nagé de ma vie. Ca ne va pas me manquer ! Je sentis une sensation étrange au fond de moi...
-Tu le sens. Tu peux maintenant modifier le terrain qui t'entoure. Essaye de faire pousser l'herbe autour de moi.
J'y parvins. C'était étrange. J'étais surpris et très heureux que l'Arbre me fisse un cadeau de cette valeur ! Je m'amusais à modifier le terrain ! Faire pousser des rochers, de l'herbe, déformer des arbres ! C'était génial !
-Ce n'est pas tout, j'ai un deuxieme cadeau pour toi, il t'attend sur la côte. Crée toi une issue grace à ton pouvoir dans cette direction.
Il m'indiqua une direction avec une de ses branches.
-En secret, j'ai demandé aux animaux de cette forêt de te construire un bateau fait de mon bois. Ils y ont travaillé d'arrache pied ! Mais aujourd'hui il est prêt. C'est sur ces mots que nous nous séparons, Shikamaru. J'ai passé de très belles années à tes côtés, et j'espère de tout coeur te revoir un jour. Va, embarque et découvre le monde !!
-Merci Arbre-Maître !!!!!

Cela fait maintenant 4 ans que je parcours les océans sur le bateau de l'Arbre-Maître. J'ai pu m'y faire des amis et découvrir le monde. Encore aujourd'hui, je me cherche tout encherchant mon père. J'ai appris de nouvelles choses avec les humains. Ils ont plus d'humour que l'arbre, mais sont moins sages ! Toutefois, on rigole bien entre potes !!

Fin de l'histoire, début de la vie.


• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]

Comment dire... Il y a des moments où l'on a beau être très nombreux, on se sent tout de même seul. Et là, c'était exactement ça : malgré les quelques milliers de spectateurs, j'étais très seul devant mon piano... Ils attendaient tous, assis sur leur tabouret. Ils attendaient un son, une note, ils m'attendaient moi ! Et j'étais bien là, sur mon tabouret, stressant comme un mouche sur une toile d'araignée. Je devais jouer ce Mi qui entamait le Nocturne en Mi mineur de Chopin. Mais mes mains le refusaient. J'étais paralysé devant cette foule pesante. Je ressentis au loin quelques signes d'impatience chez des spectateurs. Je les pris comme une claque. Alors
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Watashi wa Shikamaru desu ! (Manque plus que le post-RP)
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