Hiken Pisteur
Profil Psy : Il ne vous aime pas, mais alors pas du tout. Nombre de messages : 126 Age : 31
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Bon bhe un petit morceau. Lun 30 Mai 2011 - 23:25 | |
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|DC Nora|
• Nom & Prenom : Hiken.
• Surnom : On l'appelle "Le général" mais peu de personnes savent ce qu'il en est.
• Age : Trente sept piges.
• Race : Il demeure humain jusqu'au bout de ses ongles.
• Camp : Chez les chasseurs de prime.
• Orientation psychologique : Il reste tout de même assez mauvais, dans le fond en tout cas.
• Métier/Spécialité : C'est un remarquable stratège et un débrouillard génial.
• Pouvoir demandé : Nikyu Nikyu no Mi : Permet de pousser n'importe quoi à très grande vitesse, aussi bien les objets, les êtres vivants que les choses intangibles comme la douleur.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Détruire le One Piece.
Description Physique
C'est quelque chose que de sentir cette pression sur son bas dos, remontant doucement jusqu'aux omoplates en quelques frissons, venant -surement- emplir votre être d'un profond sentiment, quel qu'il soit. Ainsi en un instant parfois, vous ressentez avec la plus grande conviction du monde une joie pas plus justifiée que maitrisée ; et en borné que vous êtes, vous cherchez a lui attacher une explication rationnelle. Et bien, là est la grande différence séparant le premier venu de Hiken, qui se trouve être la même distinguant le normal de l'autiste, cette perpétuelle non recherche de l'explication ; sinon l'acceptation directe des faits comme ils viennent. Ce ranafoutisme singulier serait donc le principal responsable de l'affreux manque de motivation, à défaut de bonne volonté, au garçon de tenter quoi après tout, se vêtir... Ouais déjà rien que foutre une chemise de temps en temps serait appréciable, et on n'explique toujours pas ce cruel manque, la vile blanchâtre étant aux gouts -pourtant non prononcés- de notre héros ; qui se retrouve, la plupart de la journée torse nu. Et quand on le questionne a ce sujet, il invente toujours une raison différente, qu'on remarque d'ailleurs être de plus en plus longue ; car, à raison d'une explication par jour, il se doit maintenant d'étoffer un peu sa péripétie. Aussi cela peut-il lui prendre l'après-midi que de vous expliquer pourquoi il ne porte pas de haut. Alors quand vous remarquez l'absence de chaussures, étrangement vous ne vous acharnez pas... Et pourtant, il se peut que, dans un triste jour, vous voyez apparaître une silhouette pragmatique, a la fois proche mais tout de même méconnaissable. Vous vous dites que cette forte masse musculaire élancée vous est familière, et quand doucement vous apercevez une chaussure immaculée sortir du brouillard ; alors, vous êtes perdu. Jusque là, cette démarche nonchalante portait à croire à l'apparition -qui serait d'ailleurs remarquable étant donné votre situation critique- de Hiken, mais bordel, une chaussure ?! Et propre avec ça... Il était certain que ce n'était pas son joli minois qui allait dissiper ces nuages, surtout que pendant son approche on avait cru entendre un cliquetis réglé, comme si une cotte de mailles venait taper sur une ceinture. Cela ne faisait que redescendre sur terre, l'homme dont vous ayez besoin ne sachant pertinemment pas ce qu'est qu'une ceinture. Puis vous ouvrez les yeux et admettez bel et bien que sa magnificence a été trop bonne et à bien daigné apparaître dans sa tenue d'Adam ; à savoir l'uniforme complet et intrinsèque à tout général se respectant.
Hiken s'est trouvé en prime un gout pour la peinture. Mais l'on ne parle pas ici d'un badigeonneur d'opérette qui dégaine le pinceau à l'occasion, non il s'agit plus du genre de type à constamment se balader en compagnie d'un cortège de pinceaux de différentes tailles dissimulés à différents endroits -pour la plupart insolites- de son habit ; si bien qu'il devient on ne peut plus banal de le voir sortir à toute berzingue l'un deux de son imposante chevelure ébène pour répondre à une envie pressante et irrésistible. Et ces crises spontanées, imprévisibles et surtout quotidiennes se font au petit bonheur la chance en fonction de là où il se trouve, plusieurs pans de murs y sont passés et d'autres y passeront ; en dépit des sentiments du pauvre gars, dont la porte en train d'être redécorée, qui l'ouvrira et se verra gratifié d'un coup de pinceau sur la face. En guise d’indemnité il se verrait dans ce cas en prime gratifié d'un doigt en bonne et due forme. De toutes façons ces personnes se font rares puisque ce serait déjà se foutre de la gueule du monde étant donné que, si on peut contester le style, le chef d’œuvre est indéniable ; et puis il y a le regard de Hiken lorsqu'il peint... Le rictus inquiétant, c'est d'avantage ces deux cratères noirs de jais à l'éclat obscur vous aspirant irrésistiblement dans les limbes de son esprit qui tétanisent. Il vous scrute comme s'il savait tout de vous et qu'on se fascine ou qu'on exècre on ne peut y être indifférent. Il n'est pas rare que les passants voient au travers de sa démarche un trait de présomption, une erreur lorsqu'on sait que ses mirettes préfèrent voir loin que de haut ; et cette qualité à dépasser l'apparence première des choses qui lui vaut souvent l'antipathie des autres. C'est malheureux à dire mais il possède un réel talent pour s'accaparer -et ce exclusivement- le ressenti de toutes personnes l'approchant, inconnue comme proches -bien qu'ils se fassent justement priés ceux-là- s'accordent sur le caractère irritant de son visage et mimiques.
Description Psychologique
Ce n'est vraiment pas le bout de monde que de cerner le fonctionnement de Hiken pourtant au demeurant despotique qu'on pourrait -à tord- amalgamer à un enchainements de sautes d'humeurs fortuites ; mais à la vérité il suffit de l'assimiler à un gosse. A ce titre il renferme une curiosité sans borgnes qui, en duo avec son regard neuf sur un monde étonnamment toujours vierge à ses mirettes, arrive à faire passer un clodo mourant des géhennes de la lèpre pour un spectacle constellé. A l'instar également de ces mouflets si chers à nos cœurs -du moins quand ils n'ont pas trente sept piges en réalité- il ne possède pas de limites ; et s'il a vaguement connaissance de principes tel que la morale ou l'altruisme, à son grand plaisir il n'a jamais pratiqué. Il fait ce qu'il entend quand il l'entend et ses oreilles sont souvent bouchées, ce qui métaphoriquement parlant voudrait dire qu'il n'est pas hyperactif, mais en pratique il fait juste des trucs sales. Ses actions sont par ailleurs -à défaut d'être préméditées pour la plupart- réalisées sans soucis de conséquences ou même de remords ; car s'il lui arrive d'éprouver cette sensation elle est bien vite dissipée par la prochaine quête euphorique. En effet on à là un personnage à qui il en faut peu pour le mettre dans tous ses états, les positifs comme les négatifs ; il est en outre facilement irritable mais ô combien plus dur à satisfaire. Malgré ce qu'on serait tenté de penser, Hiken possède des gouts matures et subtiles et si un adage tel que "le plaisir avant tout" le sied à merveille ; l'on parle là de plaisir de haute qualité. Une inclinaison exacerbée et avant-gardiste pour la mise en scène, il se veut très bon acteur et n'hésite pas à épouser un rôle -en situation critique, sinon ce ne serait pas drôle- parmi tout un panel diversifié, le conduit à vivre des tribulations vues et revues. En ce sens il est aisément manipulable puisque il suffit d'une garanti d'originalité dans l'ennemi ou l'aventure pour qu'il marche au doigt et à l’œil ; les ordres ne le dérangeant nullement tant que la discrétion est au rendez-vous. Bien entendu ceci n'est qu'un choix de vie, et aucun symptôme externe ne permet donc de faire cette comparaison.
Évidemment on le catalogue alors rapidement dans le camp des mauvais mais il est à vrai dire au dessus de cela, ou plutôt en dessous. C'est maintenant pratiquement sur qu'il a mauvais fond mais tout de même il y a quelque chose à tenter avec ses formes malléables, parce qu'il ne marche pas comme tout le monde -on vous l'accorde- il est néanmoins par exemple partisan de l'expression "un prêté pour un rendu" aussi si vous lui faites une faveur il saura, dans la mesure du possible -mesure pas bien vaste-, vous rendre la pareille. En dépit des apparences Hiken reste malin puisque, plus que de l'intelligence propre, son coté calculateur et sa curiosité brute lui auront fait assimiler une pléiade de choses sur la vie ; par conséquent il comprend, à sa manière certes, tout interlocuteur pour peu qu'il veuille. Car c'est ce défaut de volonté qui lui porte préjudice plus qu'autre chose, plus que de la flemme c'est de l'apathie dans sa forme la plus pur pour tout ce qui ne l'attrait pas irréversiblement. Casse cou, et casse couilles. Une jolie expression résumant le sentiment général qu'ont les proches du bonhomme lorsqu'il est émoustillé qui se veulent peu nombreux -on les comprend que trop bien. C'est là où il est le plus instable psychologiquement, il commence à réfléchir un peu trop et se perd dans sa propre vision des choses ; ce qui entraine des actions irréfléchies et surtout irrémédiables. Il est à la recherche de lui-même aussi bien sur le plan moral que sur ses capacités, il va souvent tester ses limites quitte à mettre sa vie en danger ; et parfois même celles des malchanceux des environs.
Histoire
Hiken naquit par une belle après-midi -quoique qu'un peu zélée- sur l'île de Glee Town ; et tandis que la future peu heureuse mère mettait bas comme il est convenu en général, c'est à dire avec des cessions d'inspirations entre deux cris de douleurs, monsieur lui, était afféré sur les montagnes russes. Être l'avocat du diable ne m'inspire pas réellement mais il fallait reconnaitre, en toute objectivité, que c’était bien là les meilleurs montagnes russes de tout Grand-Line ! Il montait. Elle inspirait. Il descendait. Elle expirait. Seulement il eut le temps de refaire quatre tours avant que son fils, Hiken consommateur de barbes à papa et friand de manèges en tout genre en devenir ; ne vienne au monde sur cet atoll atypique. Car ici, au grand dam de notre nouvelle mère, les échoppes ne vendaient que des friandises, en guise de mairie siégeait une grande roue ; la ronde des marines était remplacée par un carrousel et les fantasias étaient monnaie courante. Oui ce qui fait l'altérité de cet archipel, plus encore que sa notoriété se targuant d'être -à juste titre- la meilleur récréation de tout l'océan, ce sont ces irrépressibles pulsions de rigolades puériles vous faisant retomber en enfance. Son corollaire est que cette île ne connait pas de réels conflits, la nature de la région hospitalière, le pire des maux que causèrent les forbans des dernières décennies furent de ne pas passer à la boutique de souvenirs ; il paraitrait même que les vils n'auraient pas acheté leur portrait commémoratif de leur venue au train fantôme. Bien heureusement de tels cas se font rares. Ainsi ces contrées respiraient la paix et le bonheur, mais ce n'était que la face immergée de l'iceberg. Il y a longtemps que les natifs du coin ont oublié ce qu'était que le travail, se complaisant parfaitement dans la sinécure qu'offrait le tourisme populaire ; et sans que personne ne s'en rende compte c'était la notion même de labeur qui s'éteignait. Même le maire de la ville ne comprit pas secoué qu'il était par la dernière attraction, tandis que son fils naissait, que plus qu'un plaisir c'était un poison.
Annabelle Lestrats n'y voyait d'ailleurs pas d'un bon œil que ces hommes mûrs consacrent la totalité de leur temps à batifoler gaiement surtout lorsque cela empiétait sur un accouchement, et maire ou pas ; sa moitié allait en entendre parler. Puisque après tout sa femme était encore un forban dans sa plus dur définition il y a peu, et même si son escale à Glee Town fut la dernière qu'elle fit comme "Annabelle la farouche" ; elle n'avait pas tout perdu de son caractère de chiotte. Et quand on connaissait son vécu, on se demandait forcément comment avait t-elle pu, dans un premier temps choisir de séjourner là-bas puis épouser un habitant chiant à faire peur, mais surtout se radoucir autant. Elle était là, tenant en ses bras un être qu'elle ne pouvait se résigner à nommer toute seule, et si derrières les nombreuses et collantes couches de tendresse que ses yeux dégageaient subsistait bel et bien les restes encore brasant d'une flamme combattive ; sa solitude en ce moment précis était la plate réalité. Pourtant elle n'était pas bien loin l'époque où elle mettait une taverne à feu et à sang parce qu'elle s'était elle-même -par sa seule faute- renversé son verre sur ses godasses. Il faut croire qu'elle s'arrêtera à soixante treize gargotes calcinées. L'enfance de notre héros fut en ce sens heureuse et presque épanouissante, puisque malgré donc les facteurs environnementaux qui auront fait de lui ce qu'il est aujourd'hui -une charogne accomplie- ; il n'eut pas à se plaindre. Les autres enfants sympathiques, les adultes l'étant aussi pour une fois, des attractions à foison et pour tous les gouts ; le chanceux avait en prime un amour sincère lui venant de sa mère. Ce n'était pas que son père ne l'aimait pas, loin de là, c'est juste que les montagnes russes n'avaient pas de siège deux places. Nan vraiment, pas matière à se lamenter. Sauf peut être pour la seule personne indifférente à cette île, celle qui chaque jour était un peu plus répugnée par tout ceci. Oui l'ambiance auto-tamponneuse et gâteau au chocolat n'était pas réellement la tasse de thé d'Annabelle Lestrats.
Personne ne comprit lorsqu'elle s'envola un matin anormalement ensoleillé pour la saison, une journée que Hiken voudrait oublier ; mais tout lui revenait en tête, le timide arôme du chewing-gum qui lui avait titillait les narines, les rayons de soleil filtrant à travers la fenêtre qui avaient fini de l’éveiller. Ce jour-ci l'adolescent de seize ans maudit le soleil comme le chewing-gum. Seulement après avoir passé ses vingt quatre heures à arpenter l'îlot en long et en large à la recherche de sa mère, il y eut autre chose qui le répugna comme jamais ; il vomissait sa terre natale et sa population. Son père comme le reste de la troupe ne s'étaient même pas aperçus de son absence, ainsi seule sa progéniture se mit en tête de la traquer ; une chasse qui dura quatre années. Une bien dure période pour un p'tit gars se loin de chez lui et qui n'avait pas idée où il mettait les pieds, puisque le dépaysement fut on ne peut plus brutal lorsque par exemple il gagna York Town où la contrebande et la sauvagerie remplaçaient les valeurs qu'il pensait communes. Et rien que les voyages qu'il accomplissait aussitôt la fouille de l'île accomplie étaient toute une histoire entre ses lacunes en navigation -ou tout autre activité d'ailleurs-, et les déplaisirs du temps qui ne ratait jamais une occasion d'en finir avec ses radeaux de fortune. Dès les premiers jours il connut l'enfer, pas courageux ou même débrouillard pour un sou sa quête comportait des risques de décès assez évidents. Les protagonistes qu'il croisait pas toujours bien aimables il évitait à vrai dire tout contact inutile, mais même avec une extrême prudence il y eut des coups durs. Nonobstant le peu de choses à dépouiller il se fit allégrement dépiauter par ses confrères aventuriers plus expérimentés, et surtout plus vils -parce que pour le déposséder de ses bottes et de sa chemise il ne fallait pas avoir de remords. Pourtant il y avait plus d'une opportunité de réintégrer ses contrées. Ce fut son entêtement sans faille qui le maintint debout jusqu'à l'aube de la cinquième année ; une journée moite et tropicale comme il les exècre.
Elle avait pourtant commencé par une pluie diluvienne et se juxtaposait sur l'abandon de Hiken dont le voyage s'était peu à peu transformé au fil de ses découvertes, et pour marquer son nouveau départ il avait décidé de retourner voir son père. Le retour fut infiniment plus facile que l’aller puisque un an plus tôt notre anti-héros en force réalisait l'acquisition forcée d'un fruit du démon, chose dont il rêvait depuis qu'il en avait entendu parler ; l'idée de se voir octroyer des dons -au hasard qui plus est- l'excitait profondément. C'était presque avec hâte qu'il rouvrit la porte de sa maison et pourtant il n'avait aucune raison d’accélérer la cadence ; après tout ce n'était pas comme s'il savait qu'il allait voir sa mère installée à la cuisine. Sur ce coup là il était un poil à la bourre. Il serait revenu la veille qu'il aurait pu être la cible des embrassades d'Annabelle rongée par le remord, mais surtout chagrinée par la résurrection incessante des souvenirs de cette vie. En guise de bonne foie, et aussi parce qu'elle ne pouvait réellement faire autrement, elle en fit un tour de ses manèges ; et plus précisément de celui dans lequel se tenait alors son mari. Il ne devait même pas être quinquagénaire mais ses traits étaient tirés et las d'exister ce qui, couplé avec un rictus constant et paradoxalement vide, lui donnait une tête à faire peur. Ses yeux incroyablement cernés et dont les paupières effaçaient le regard tentèrent de se poser tant bien que mal sur le visage de sa femme, et pendant qu'il entreprit de se remettre la personne -on le comprenait au coté interrogatif de sa moue- ; le wagon redescendait en piqué. Elle le vit, dans son regard qu'il ne savait réellement plus qui elle était. Après cela elle se renfonça dans son siège et attendit. Jamais ce stupide machin n'avait duré si longtemps.
Elle y était restée cantonnée à sa table depuis la veille, une enveloppe vide fixant un point parce qu'il fallait bien en fixer un. Hiken, les narines fumantes, les pupilles dilatées et pourtant toujours avec une moue aussi lasse la prit par la main pour la trainer sur la grande place de Glee Town. Il y connait un soleil de plomb. Hiken déteste le soleil. Un gosse venait juste de faire éclater la bulle créer avec son chewing-gum. Hiken déteste les chewing-gum. Il appuya ses mains l'une contre l'autre et les écarta rapidement d'une traite. Dans l'espace dessinait par ses bras se tenait maintenant une imposante bulle transparente qui régressa au fur et à mesure que s'additionnaient les gouttes de sueurs sur son front. Une fois que cette dernière eut sa taille finale, tenant en la paume du brun, il s'en saisit pour la propulser dans les airs en ligne droite au dessus de sa tête. Il s'approcha de sa mère d'une démarche très calme et tranquillement il apposa sa main au niveau de son cœur, et il s'en dégagea de l'autre coté de son corps une autre bulle autrement plus timide puisqu'à peine visible. C'était en fait tout ce qui restait de l’allégresse d'Annabelle. Et ce qui quelques années avant encore aurait été une masse de joie si importante qu'elle aurait dépassée la superficie de l'île ; était maintenant devenue une exiguë boule par la seule faute de ces terres maudites. Aussi parle t-on de cela comme une délivrance. Une délivrance ironique. La minuscule bulle vint frapper celle légèrement plus imposante lancée tantôt et qui retombait avec un timing tout bonnement parfait. Et tout sombrait.
Donc voilà j'ai fini cette présentation aussi vite que j'ai pu, c'est pourquoi elle est décousue et franchement pas folichonne. J'espère que vous allez pas trop râler et je vous fais un bisou d'avance. PS : je sais qu'il manque une partie de l'histoire (vu son âge) mais je comptais la garder pour la développer inrp, sauf si je dois la faire maintenant. PS bis: si faut passer sous le bureau, je ferais un effort.
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Fujimi Fukami Pilier de la Marine
Profil Psy : Folle / Mesquine Nombre de messages : 532 Age : 31 Fruit du Démon : Mushi Mushi no mi
[Feuille de personnage] • Renommée: 3750 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Contre-Amirale
| Sujet: Re: Bon bhe un petit morceau. Mer 8 Juin 2011 - 20:46 | |
| Seconde validation ! Rang 2. | |
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