Invité Invité
| Sujet: Reyes D. Damien !finis en attente de validation! Mer 29 Juin 2011 - 13:43 | |
| - Spoiler:
- Présentation du joueur IRL - Prénom :Dani Age : 18 ans Homme/Femme/Okama : HommeComment avez vous connu le forum : Par le top siteCombien d'heures vous vous connectez par jour :beaucoup !! Tes Mangas préférés : Soul eater et one piece Ton personnage préféré dans One Piece : Luffy et shanks Ce qui t'as motivé à venir : Tout !! Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : beaucoup Hobbys : Les manga et la plage • Code présentation : Le Hane Hane no Mi n'est autre que le Paramécia des Plumes. Également surnommé "Fruit Séraphique", il permet à son utilisateur de faire pousser des plumes sur son corps et de les manipuler. En outre, le propriétaire de ce pouvoir peut ainsi faire pousser des ailes dans son dos ou sur toute autre partie de son corps. Néanmoins, l'autre faculté de ce Fruit est de manipuler la densité des appendices qu'il génère, pouvant alors leur donner tantôt la résistance d'une plume tout ce qu'il y a de plus normale, tantôt la résistance du métal. Cependant, même si la densité des plumes change, elles ne pourront jamais excéder celle de l'acier. Qui plus est, la densité maximale pouvant être maintenue diminue au fur-et-à-mesure que l'utilisateur se fatigue. A plus forte raison, bien que renforcés, ces appendices ne restent malgré tout que des plumes. Voilà pourquoi ce pouvoir est assez incompatible avec les flammes qui restent son principal point faible Étant un individu on ne peut plus posé, Damien demeure quelqu'un que l'on aurait pu croire prédisposé au Haki de l'Observation. Mais il semblerait que sa volonté de protéger aussi bien sa personne que les autres surclasse son caractère calme. C'est donc le Haki de l'Armement qui semble s'être éveillé chez le jeune pirate. Ce dernier reste loin de le maîtriser tout à fait, et c'est, en règle générale, lorsqu'il utilise ses dernières forces ou sous le coup de la peur de mourir, que ce dernier s'éveille. Reyes a encore du chemin à parcourir pour maîtrise ce pouvoir, mais ses prédispositions et sa capacité à se montrer sérieux laissent à présager qu'il est en bonne voie pour accomplir cela. De manière plus générale, le Haki couleur Armement du jeune homme se manifeste aussi bien sous forme d'armure invisible autour de lui pour le protéger, que par le biais d'un renforcement de ses attaques, lorsqu'il est sous le coup d'une émotion violente. Ce n'est bien souvent que lorsqu'il est à bout de force que ce pouvoir se manifeste
Damien dispose d'une silhouette plutôt fine. Néanmoins, présumer d'une quelconque faiblesse physique pour ce simple fait serait tout de même une erreur des moins appréciables. En effet, même s'il ressemble à l'archétype du grand mince chétif, ses aptitudes de combattant n'ont rien à envier à celles d'un quelconque golgoth allaité aux anabolisants depuis sa naissance. Derrière ses amples vêtements, le jeune Reyes cache des bras et des jambes assez musclées, sans doute grâce aux entraînements rigoureux auxquels il se livre chaque jour avec une rigueur exemplaire. En résumé, avec son bon mètre soixante-seize pour un total de soixante-et-onze kilos, Damien n'est pas l'individu le plus musclé qui soit, mais il est loin d'être le guerrier le plus démuni de Grand Line.
De manière plus générale, sa peau dispose d'un teint assez terne, voire même livide. On peut apercevoir, lorsque son large manteau à capuchon est ouvert, les nombreuses cicatrices qui ornent son corps. Celles-ci sont néanmoins toutes situées à l'avant, aucune marque honteuse ne venant souiller l'honneur de ce Pirate en se présentant dans son dos. Outre cela, le point le plus remarquable chez Damien est sans doute son épaisse chevelure noire de jais. D'une taille assez courte, mais tout de même bien touffue, sa tignasse retombe légèrement devant son regard en plusieurs mèches sans pour autant entraver le champs de vision de ce bretteur. A la lumière du soleil, on peut voir plusieurs reflets d'un bleu marine assez obscur luirent dans la chevelure du jeune homme. Mais de manière plus générale, ses cheveux se dirigent principalement vers l'arrière de sa tête, se redressant en leurs pointes pour former plusieurs mèches des plus typiques.
Singularité, s'il en est une, chez Damien : son regard. D'un bleu azuré, on peut admirer dans ses iris la détermination qui sert à identifier toute la force du personnage. Néanmoins, suite aux combats parfois ardus, le jeune Reyes perdit un œil qu’il dut remplacer par un œil artificiel. Cette opération éprouvante changea singulièrement le regard du jeune Reyes. L'oeil mécanique qui orne désormais son orbite gauche laisse émaner une lueur comparable à une flamme azurée lorsque son propriétaire se concentre avec ardeur, le plus souvent au sein d'un combat. Ce simple fait peut alors servir à déterminer si le Pirate se donne ou non au maximum de ses capacités lorsqu'il dégaine son épée.
Outre cela, les traits assez fins de Damien laissent aisément transparaître les quelques émotions qu'il se surprend parfois lui-même à arborer. Bien que rares, celles-ci sont facilement décelables, du fait de cette finesse qui le caractérise. La plupart du temps, il s'agit plus d'un très bref et très léger rictus se voulant tantôt arrogant, tantôt amusé. Son air impassible et l'absence d'expressions au niveau de son regard laisse cependant son faciès vierge de toute marque ou autres rides dues à une exagération expressive, ce qui lui donne bien souvent l'air d'être plus jeune qu'il ne l'est en réalité.
Pour ce qui est du domaine vestimentaire, on ne peut pas dire que le jeune homme soit une fashion victime. Il ne porte généralement pas de haut autre que son large manteau noir à capuchon. Ce dernier est assez ample, ne laissant pas deviner si son propriétaire dispose d'une musculature particulière ou non. Une large ligne blanche descend des épaules jusqu'aux extrémités des bras. Autre point particulier de cet apparat, le symbole d'étoile se trouvant au niveau du coeur de Damien. Si ce n'est cela, le manteau s'ouvre et se ferme grâce à une simple fermeture éclair que l'adolescent laisse généralement ouverte jusqu'au niveau de son cou. Pour ce qui est du bas, le jeune Reyes arbore un pantalon dans les mêmes tons obscurs que son habit précédemment décrit.
Du même style que ce dernier, son ampleur ne laisse également pas présumer de l'absence ou de la présence d'une quelconque musculature chez celui qui le porte. Il est cependant maintenu grâce à deux épaisses ceintures blanches, en parfaite opposition de teinte avec le reste des habits. La première sert uniquement à maintenir en place l'habit, alors que la seconde est constituée de plusieurs poches pouvant stocker de petits objets ou du matériel prenant peu d'espace, à l'image de poudre à canon ou de filins d'acier. Autres apparats singuliers, les larges bottes cloutés du forban. D'une apparence assez lourde, elles ne semblent pourtant pas entraver le jeune homme dans ses déplacements. Hormis cela, on peut aussi noter que Damien revêt généralement une paire de gants noirs en cuir, sans doute pour mieux saisir son imposante épée.
Si l'on vous demande quel est la principale caractéristique dominante chez Damien quant à sa psychologie, la plupart du temps, la réponse reste son esprit d'analyse. En effet, s'il est une chose que l'on peut dire chez lui, c'est qu'indéniablement, le jeune Reyes fait parti de ces personnes que l'on appelle les génies. Bien loin d'être un scientifique hors paire ou un Vegapunk en puissance, ce n'est pas dans la science dite "dure" que ce pirate vient à s'illustrer, mais bien au niveau de l'anticipation et de la compréhension du psychisme humain. Pour être plus clair, analyser ce qui vous passe par la tête et se rapprocher de manière effrayante de ce que vous pensez reste le point fort de cet adolescent.
Son sens de l'analyse de l'esprit humain en fait un adversaire effrayant, car après quelques instants passés à vous tester pour voir vos réactions, il semble capable de pouvoir anticiper celles-ci. Certes, dans un combat, ce don est plus que mitigé et ne semble pas pouvoir être des plus utiles. Néanmoins, c'est en dehors des affrontements singuliers que cela en fait un dangereux ennemi du gouvernement. Cette habilité particulière en fait un excellent tacticien d'ordre militaire. Pour facilité la compréhension de son raisonnement, Damien estime que de manière générale, la "meilleure solution" sur un plan tactique reste la plus prévisible... et donc la plus risquée. Voilà pourquoi, tant au cours de combats singuliers qu'au cours de manœuvres militaires, il n'hésite pas à prendre des chemins plus risqués, car moins faciles à anticiper. Cela, il le justifie généralement en affirmant que le plus grand risque, c'est de n'en prendre aucun.
Encore dans ses capacités d'analyse particulière, Damien demeure un maître de l'interrogatoire. Pour lui, pas besoin de torture. Il lui suffit d'observer son interlocuteur pour déceler le mensonge chez ce dernier. Cette capacité a pour origine ses premières années sur les mers , où il lui était pour ainsi dire vital de discerner les différentes émotions des forbans l'entourant afin d'éviter e contrarier les pirates et subir les ignobles châtiments corporels qu'ils avaient tendance à infliger pour manifester leur mécontentement. En résumé, à la simple vue de votre manière de sourire, ou de vous tenir, le jeune Reyes peut estimer ce que vous ressentez. Ce fait le rend généralement détestable, même auprès de ses collègues forbans, car nul n'aime ceux qui sont capables de voir ou comprendre ce qui se passe dans votre tête.
Outre ces capacités de déduction assez impressionnantes, l'esprit de Damien reste, quant à lui, assez difficile à cerner. Il faut dire que l'adolescent ne laisse transparaître que très peu d'émotion, ne serait-ce que dans le ton de sa voix ou l'expression de son faciès qui semble rester impassible. Néanmoins, il n'est pas rare d'entendre Reyes-san s'exprimer, et ce avec la plus grande ferveur. Grand défenseur de la liberté, il n'hésite généralement pas à utiliser de grandes phrases ou même des citations pour défendre ses opinions. Néanmoins, les aptitudes précédemment citées lui donnent parfois un trop plein de confiance en lui qui a tendance à le rendre assez arrogant, et donc, par la même occasion, énervant au plus haut point. Pouvant se montrer hautain, il n'est cependant pas du genre à s'entériner dans des longs discours philosophiques. S'il se rend compte que son avis n'est pas pris en compte, il aura plutôt tendance à lancer un "je vous l'avais bien dit" lorsque l'on se rendra compte qu'il avait raison. Cela ne l'empêche pas de reconnaître ses torts lorsqu'il se trompe.
Mis à part cela, les sévices subis du temps où il était esclave l'ont rendu plutôt imperméable à tout sentimentalisme. Aussi a-t-il bien souvent du mal à ressentir des émotions que le commun des mortels jugerait classiques. Seules les notions les plus fortes transparaissent dans le comportement de l'adolescent, à savoir la fidélité, l'honneur et parfois même le désir de protection. Néanmoins, c'est le sentiment de justice et la quête de vérité qui transparaît le plus dans les agissements de Damien. Bien que son visage semble impassible, les opposés à ces deux notions ont pour résultantes de le plonger dans une rage difficile à dissimuler, le poussant à se montrer sérieux s'il vient à se battre pour rétablir ce qu'il juge être l'ordre naturel des choses.
Cependant, du fait de son caractère irascible, ce pirate œuvre généralement en solitaire, du moins tant qu'il n'a pas trouvé de Nakamas dignes de ce nom. Cela ne l'empêche pas d'avoir un fort sentiment de dévotion envers ceux qui lui témoignent quelques impressions respectueuses. Aussi, la maltraitance de ces derniers peut, étonnamment, le pousser à prendre les armes avec une ardeur qu'il est rare de le voir témoigner. Aussi ironique que cela puisse paraître, c'est cela qui pousse ses confrères à croire qu'il a finalement encore un minimum d'humanité en lui et qu'il est encore capable d'éprouver quelques sentiments. Ces sentiments sont d'ailleurs largement visible dans la manière tendre qu'il a de s'occuper des créatures qu'il étudie, étant, en plus d'un excellent musicien, un zoologiste accompli spécialisé dans les créatures mythiques. Sa capacité à décrypter les sentiments sur le visage des autres s'applique aussi à celui des animaux, ce qui traduit chez lui une certaine empathie qu'il préfère cacher. Sans doute est-il plus tendre avec les créatures qu'il croise qu'avec les humains parce qu'il juge celles-ci plus dignes de confiance que les hommes.
Dans un tout autre registre, Damien a trois passions. La première étant la musique, il se balade toujours avec une guitare alimentée par un Fulguro-Dial. La deuxième n'est autre que les dominos. Cela lui rappelle combien la manipulation psychologique est un don inné chez lui et qu'il suffit d'ébranler un seul individu pour provoquer une réaction en chaîne. Quant à sa dernière passion, il s'agit de la lecture, ni plus ni moins, en particulier les ouvrages sur la zoologie. Il n'est alors pas rare de le trouver en train de lézarder au soleil, un livre à la main.
Je suis né il y a quatre cent ans, dans les hautes terres d'Écosse... Non je déconne. Je n'ai que dix-neuf ans, je ne suis pas immortel et je n'ai pas tout appris d'un espagnol diablement classe. En réalité, j'ai vu le jour dans le royaume de Nosgoth. Il s'agit d'une île située dans le Nouveau Monde, non loin de Red Line. Ce n'est cependant pas aussi grandiose que l'on pourrait l'imaginer. A tout casser, notre patrie doit être aussi grande qu'Alabasta, tant sur le plan économique que politique. Bref, nous sommes loin d'être ce qui se fait de plus important dans le genre. A dire vrai, nous étions même en situation de crise financière lorsque je fus expulsé de l'utérus de ma génitrice. J'aurais en revanche du mal à vous conter quoi que ce soit à son sujet, étant donné qu'elle est décédée en me mettant au monde. Mais je suppose que perdre sa mère à la naissance est moins douloureux que de la perdre après l'avoir connue. Allez savoir, je ne peux que spéculer. Ah oui, avant que j'oublie de la signaler, et au cas où cela vous aurait échappé, je suis bel et bien né au sein de la famille royale. Non, je précise, juste au cas où. La famille Reyes D. a toujours régné sur Nosghoth, et ce avec force et sagesse.
Pour ce qui est de mon père, je n'ai que quelques bribes de souvenirs le concernant. Reyes D. Samuel. Un roi que l'on pouvait qualifier comme autoritaire et exemplaire. Certes, il avait tendance à s'emporter, et ce à tel point que son peuple et ses semblables le qualifiaient par l'intermédiaire de l'expression "une main de fer dans un gant... de fer". Il était bon envers son peuple, mais au moindre outrage, mieux valait sortir le matériel anti-incendie. Néanmoins, il est une anecdote dont je me rappelle avec tendresse, même après les années qui me séparent du moment où elle s'est produite. Je n'avais certes que huit ans, mais cela faisait déjà deux ans que, sur demande du paternel, je m'entraînais au combat. Tout comme pour la plupart des gens de notre époque, il ne voulait pas que son fils meure en victime. Un jour cependant, alors que je m'entraînais seul, il me prit en aparté pour me questionner sur les valeurs familiales et le devoir d'un roi. Je n'ai plus le souvenir de ce que je répondis, mais l'image de son sourire amusé trotte encore dans ma tête. C'est alors qu'il me dit ces mots, qui restèrent à jamais gravés dans mon esprit. "Un Roi qui officie par contrainte ne sera jamais un bon souverain. Mais être Roi au sein de sa propre âme est ce qui rend un homme fort". Peut-être sont-ce ces mots qui m'ont poussé la voie que j'arpente aujourd'hui.
Malheureusement, quelques temps plus tard, le malheureux périt. Voyez-vous, être l'une des premières îles de Nouveau Monde vous impose quelques soucis, comme par exemple l'abondance d'équipages pirates faisant escale sur votre territoire. Leur offrir le refuge lorsqu'ils ne se montraient pas véhéments était une chose qui ne plaisait guère au Gouvernement Mondial. En particuliers lorsque vous habitez assez près du Quartier Général de la Marine. Personne ne l'a jamais dit, mais tout le monde soupçonnait l'homme vêtu d'un costard cravate qui avait tué le roi dans son sommeil, d'être un agent de ce même Gouvernement. Mais l'on ne m'en a jamais rien avant plusieurs années. Je n'avais que neuf ans quand cette tragédie est arrivée. Malgré mon jeune âge, j'étais destiné à devenir Roi de Nosgoth. Pas de frère, de sœur, ou de personnes capables d'assurer une régence. Je fus l'un des plus jeunes souverains de l'histoire de notre île... à l'exception de Reyes D. Juan, dit le précoce, qui monta sur le trône à l'âge de six ans, avant d'abdiquer en faveur de sa sœur aînée d’un an, Reyes D. Asuka, dite la terrible, après avoir perdu le pouvoir en le pariant sur une partie de billes.
Néanmoins, malgré mon jeune âge, j'étais loin de me laisser démoraliser ou influencer par la noblesse ou même le peuple en proie au doute. Aidé de plusieurs conseillers, je réussi à tenir le royaume en ordre pendant un bon moment. J'espère néanmoins qu'aujourd'hui encore, ce sont mes conseillers les plus avenants qui régissent les affaires de la couronne... pour le bien du peuple. Je me rappelle particulièrement des jumeaux, Amano Kanna et Amano Soma, l'un étant le chef des armées, et l'autre le représentant politique. Les voir en constant désaccord, se lançant des piques à tour de bras, m'avait toujours amusé au plus haut point. Mais malgré leurs différents, ces deux hommes avaient toujours su prendre des décisions justes et m'apporter d'avisés conseils. A bien y réfléchir, c'est sans doute grâce à eux que le royaume a pu tenir aussi longtemps, malgré la grave crise financière que nous traversions.
Soucieux de montrer l'exemple, je n'hésitais pas moi-même à mettre le trésor royal à contribution, afin de satisfaire le peuple en partageant sa souffrance. L'hiver venu, j'ordonnais même que le château soit ouvert aux plus défavorisés pour leur servir d'abri. Bien entendu, ce genre de mesures me rendit sensiblement populaire auprès de mes sujets et peu à peu, je gagnais leur confiance. Toujours avenant, soucieux du bien-être de mon royaume, n'hésitant pas à me sacrifier pour ce dernier quand cela était nécessaire, j'enchaînais les nuits blanches. Tantôt je réglais les affaires administratives du royaume, tantôt je poursuivais mon entraînement avec différents maîtres d'arme. Bref, j'essayais d'incarner la célèbre devise "un esprit sain dans un corps sain" en mêlant mes devoirs et mon initiation physique et intellectuelle.
C'est cependant lorsque j'atteignis ma seizième année que tout changea. La situation économique était pire que jamais malgré toutes les mesures prises. Mais nous n'avions fait que retarder l'échéance. Rapidement, il ne resta plus qu'une seule solution : un mariage politique. J'allais devoir faire l'ultime sacrifice si l'on peut dire... et pas avec n'importe qui. Une Tenryuubitô. La rencontre avait été organisée, tout était prêt, moi y compris... du moins c'était ce que je croyais. Afin de me détendre, à peine quelques heures avant de voir celle qui allait devenir mon épouse, je me promenais en ville pour évacuer mon stress. M'asseyant à une terrasse de café, je commandais un thé glacé, essayant de rester incognito. Le patron me reconnut tout de même et me fit un clin d'œil, signe qu'il allait garder l'information secrète.
Mais tandis que je sirotais mon thé en le remerciant, alors qu'il me tourna le dos... je la vis. Elle était là, seule à sa table et son café refroidissait. Quatre mètres infranchissables nous séparaient. Je savais qu'il fallait que je me prépare pour la rencontre avec la noble de Mariejoa, mais après tout, les Tenryuubitôs étaient peut-être patients. La jeune femme en face de moi était dans son monde, loin ses yeux posés ailleurs, quelque part à l'intérieur de son livre. Comme le chantait le célèbre pirate musicien Jean Jacques Gol D. Man, "Dans chacun de ses gestes un aveu, un secret dans chaque attitude. Ses moindres facettes, trahies bien mieux que par de longues études. Un pied se balance, une impatience, et c'est plus qu'un long discours. Là, dans l'innocence et l'oubli. Tout était dit". J'avais l'impression que le temps s'était arrêté. Sa chevelure d'or légèrement frisée remuait légèrement au gré du vent. Et ce léger sourire au coin des lèvres, c'est d'une telle indécence. Inutile de vous l'expliquer davantage : à peine quelques heures avant de rencontrer ma future femme, je venais de tomber amoureux. Je fus finalement alpagué par Amano Soma, le pauvre étant essoufflé après m'avoir cherché dans toute la capitale. Inutile de vous préciser qu'il était aussi anxieux que moi et ne se priva pas pour faire cesser ma séance de contemplation. Je fus littéralement trainé de force au palais pour que l'on m'habille, que l’on m'explique la manière dont je devais me comporter, et tout le tralala qu'on vous répète avant un grand évènement. Mais malgré cela, rien n'y faisait. J'avais la tête ailleurs, repensant à la jeune femme. Il me fallait la revoir, car à l'heure actuelle, la noble qui allait m'être présentée pouvait bien être l'incarnation même de la beauté, j'étais certain que jamais elle n'aurait pu me captiver comme l'avait fait la mystérieuse apparition. Peu m'importaient mes serviteurs qui m'habillaient comme un véritable paon, avec une couronne deux fois trop lourde, un manteau cinq fois trop poilu et tout le tintouin de cérémonie. Lorsque je fus assis sur le trône, prêt à recevoir mon invité, j'étais certain que je ne ferais pas attention à celle-ci. Tenryuubitô ou non, je n'avais d'yeux que pour une seule femme, et je la savais dehors. Si j'avais pu le faire, j'aurais sans doute sauté par la fenêtre la plus proche pour aller la rejoindre et lui demander son nom. Mais le devoir qui m'incombait était visiblement plus fort. Si ma raison était dans la salle du trône, mon cœur était ailleurs.
Puis brusquement, l'immense porte double de la salle du trône s'ouvrit, tandis que l'on annonçait celle qui allait être ma future épouse. Et à nouveau, je vis la sublime jeune femme. Elle était là, s'avançant vers moi sur le gigantesque tapis rouge qui menait au trône. A en juger la manière timide dont elle me regarda, elle devait m'avoir vu au café, et avoir maintenant compris qui j'étais. Sa démarche gracieuse était toujours aussi envoûtante, alors que nous nous jetions quelques regards discrets. Et oui, vous l'avez compris, cette divine beauté n'était autre que... la secrétaire de la Tenryubitô ? What the Hell ! J'ai été dupé au change ! Alors cela veut dire que la noble n'est autre que... l'immonde guenon dont on voit les poils dépasser sous les bras qui l'accompagne ? Et puis c'est quoi cet accoutrement ? Une bulle sur la tête ? Elle débarque de quelle planète cette espèce de... de... je n'ai même pas de mot pour la qualifier ! Qui plus est, il semblerait qu'elle ait également une calvitie naissante. Mon Dieu... comment de telles... "Choses" peuvent-elles exister ?
Inutile de dire que l'ambiance qui régnait à la cérémonie était plutôt tendue. Entre la morue échappée de son aquarium qui ne cessait de faire son intéressante, n'attendant rien sauf le fait que l'on lui lance des fleurs, et moi qui avait le regard captivé par celui de la secrétaire... tous les invités à cette réception étaient assez mal à l'aise. Peut-être que si Cheeta était intéressée par autre chose qu'elle-même, elle aurait remarqué que j'étais plus attentif au moindre geste de son accompagnatrice qu'à ses frasques ridicules. En voyant la tournure des choses, je crus bien que les frères Amano allaient faire un arrêt cardiaque. Mais la soirée se poursuivit sans incidents. Cependant, à cause de l'ambiance assez lourde, elle se termina vers les onze heures du soir, ce qui était assez tôt, vous en conviendrez. Pris d'une fringale nocturne, j'avais fait un tour en cachette dans les cuisines vers trois heures du matin. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la demoiselle qui se faisait un plaisir de vider le frigo, elle aussi affamée si j'en croyais l'assortiment qu'elle s'était préparé lorsque je la surpris. Plutôt gênée d'être ainsi découverte, en embarrassante position, la honte laissa rapidement place à l'amusement mutuel que nous tirions de cette situation cocasse.
Ainsi, pendant plus de trois heures, nous discutâmes autour d'un jambon et d'une bonne bouteille de vin. A tous les égards, cela ressemblait à un dîner improvisé aux chandelles. Le courant passait incroyablement bien entre nous. Mais nous dûmes retourner à nos chambres en entendant que l'heure de se lever n'allait pas tarder via les gardes faisant leurs rondes. C'est au cours de ce soir que j'appris le nom de la jeune femme : Asgar D. Célès. La semaine qui suivit passa trop rapidement à mon goût. J'organisais des sorties sur les fleuves de Nosgoth, des visites de la capitale et des après-midi détentes à la terrasse du café où nous nous étions rencontrés. Bien entendu, j'avais mes conseillers sur le dos et le pauvre Soma dû inventer les excuses les plus farfelues qui soient pour expliquer mon "absence" à la noble de Mariejoa. Ce n'est que deux jours avant le départ prévu de la jeune femme et du singe qu'elle accompagnait que je lui déclarais ce que je ressentais pour elle. Mais au moment de l'embrasser, elle détourna le visage, exprimant la culpabilité qu'elle ressentait d'éprouver la même chose. Finalement, la soirée se termina avec mon départ résigné, ne désirant pas brusquer Célès, et sans doute dans un ultime élan de morale envers mon devoir de Roi. La dernière journée se passa moins bien que les précédentes. La jeune femme n'osait plus me regarder. Quant à la Tenryuubitô, elle semblait plutôt insatisfaite si on en jugeait sa manière de brailler son mécontentement. Finalement, ce mariage ne se ferait pas. Diable... comme c'est dommage. J'en étais tellement triste que j'aurais pu me suicider en sautant du haut de mon lit.
Constatant mon désarroi, Soma me tapota l'épaule, sachant pertinemment que c'était Célès, la cause de mon tourment. Le dernier soir, il me demanda ce qui me retenait dans mon bureau, alors que j'essayais de noyer mon amertume dans le travail. Pour la première fois de sa vie, mon conseiller le plus sensé me poussa littéralement à désobéir au protocole, m'affirmant que c'était mon hésitation envers mon devoir qui avait fait fuir ma dulcinée. Libéré de ce fardeau, je n'avais plus de raison de rester ici à ruminer. Alors qu'il me chassa pratiquement de mon bureau, je finis par prendre confiance en ses paroles, traversant tout le château pour rejoindre la chambre de Célès. Celle-ci semblait en accord avec Soma, car à peine eussè-je frappé à la porte et expliqué la chose qu'elle m'embrassa fougueusement.
Je me réveillais le lendemain, dans sa chambre... vide. Il n'était pas moins de onze heures du matin et j'avais visiblement dormi un peu trop. M'habillant rapidement, comme si le diable allait débarquer pour me piquer les fesses avec sa fourche, je me mis à courir à travers toute la ville pour rattraper le cortège de départ dans lequel se trouvait sans doute Célès. Elle m'avait laissé dormir pour me quitter sans adieux, afin de rendre les choses plus faciles. J'eus beau courir de toutes mes forces, j'arrivais trop tard, le bateau disparaissant au loin. Mon amour me quittait à l'horizon, alors que j'étais au bout du ponton, voyant son embarcation s'éloigner de plus en plus. Mais étrangement, je n'étais pas aussi triste que ce que l’on aurait pu croire. Je savais que mes sentiments étaient partagés. Aussi, intérieurement, je savais que j'allais tout faire pour la revoir, lorsque la situation de Nosgoth serait meilleure. Et allez savoir si ce fut un signe du destin, mais près de sept mois plus tard, un filon d'or excessivement dense fut découvert dans les mines de la chaîne montagneuse qui bordait l'île. A peine trois mois plus tard, la situation financière du pays était au beau fixe pour la première fois depuis des décennies. Je pris cela pour un cadeau des Dieux. J'allais pouvoir revoir Célès. Mon empressement était palpable par l'ensemble du peuple qui m'apercevait chaque jour me promener dans le marché, me saluant et me souhaitant bonne chance pour mon aventure amoureuse.
Malheureusement, les divinités peuvent également se montrer bien cruelles. Lorsque je parvins à obtenir des nouvelles de ma bien-aimée, celles-ci me plongèrent dans le plus profond désarroi. En effet, il s'avérait que Célès était morte... mais pas d'une mort naturelle. Les nobles l'avaient exécutée. A en croire le rapport que je reçus, elle fut condamnée pour avoir porté l'enfant d'un homme sans le consentement de ses "propriétaires". L'enfant fut vendu et la mère exécutée après lui avoir donné naissance. Inutile de vous préciser qu'à l'annonce de cette nouvelle, tout ce qui se trouvait dans l'immense bibliothèque vola. Il n'y eut pas assez d'étagères, de tables, de chaises ou même de bureaux à briser pour évacuer ma colère et ma tristesse. Kanna et Soma n'intervinrent pas, sachant pertinemment qu'il valait mieux que je me défoule de la sorte. Exténué par l'expression de ma rage intérieure, les larmes aux yeux, mon conseiller me demanda alors d'observer le rapport de naissance de l'enfant, en particulier les dates et le nom donné. Je fus on ne peut plus surpris de constater ce qui était marqué. "Reyes D. Flint". En regardant la date de naissance, je voyais alors que le laps de temps entre notre séparation et la naissance concordait parfaitement dans le sens de cette hypothèse à laquelle nous pensions tous.
Regardant mes deux conseillers, nous n'eûmes pas besoin de paroles pour comprendre ce qui me trottait dans la tête. Je désirais partir à la recherche de ce fils que j'avais eu sans même le savoir. C'était ce nouvel espoir qui me permettait de tenir le coup, d'endurer la mort de Célès... cet espoir, et cette haine incommensurable envers les nobles de Mariejoa. Pas besoin de le dire pour le faire comprendre à mes deux amis : rien ne pourrait m'arrêter. Bien qu'inquiet du sort du royaume, ils me firent alors comprendre qu'il serait plus facile de gérer les choses sans un trublion comme moi dans les parages, le tout sur le ton de la plaisanterie. Mais tous les trois, nous savions qu'il s'agissait de séparations inéluctables. Passant devant eux sans les regarder, je les remerciais en leur faisant dos, leur indiquant qu'ils avaient les pleins pouvoirs pendant "mon absence" et que peu importait le temps que cela prendrait, je reviendrais en mon Royaume avec mon fils. Le soir même, j'embarquais sur un navire de plaisance en direction de Shabondy. Mais retrouver un enfant qui fut vendu, à plus forte raison par les Tenryuubitôs... Voilà qui n'était pas une tâche des plus aisées, de même que retenir ma rage pour ne pas mettre Mariejoa à feu et à sang. Faisant amende honorable et témoignant d'une certaine retenue en évitant ce lieu, j'entrepris alors un long périple qui, je l'espérais, me mènerait droit à mon fils.
Après une année à errer, suivant diverses pistes toutes plus fausses les unes que les autres, je décidais qu'il était temps pour moi de me lancer dans autre chose que des demi-mesure. Si je voulais retrouver mon fils, j'allais devoir acquérir force et renommée. Pour cela, il n'y avait pas trente-six solutions. Être Marine lorsque l'on a une dent contre le Gouvernement n'est pas vraiment une bonne idée, alors je m'embarquais sur le chemin de la piraterie. J'obtiendrais assez de force et d'influence pour pouvoir retrouver la piste de mon fils, et ce, peu importe le temps et les sacrifices que cela demanderait. Spécialisé en musique et zoologie, je finis par monter un équipage plutôt correct, devenant rapidement un forban reconnu comme l'un des plus malins et gênant. Le navire, surnommé l'Ouroboros, arborait fièrement mon pavillon, alors que, pendant nos voyages, je me plaisais à rencontrer, étudier, voire même recruter différentes créatures.
Seul Ragnarok, mon serpent ailé, décida de rester avec moi. C'est d'ailleurs en le voyant que j'eus l'idée du pavillon. Mais l'animal peut également se montrer espiègle, car ce corniaud eut la mauvaise idée, un jour, de me jouer un tour, et d'intervertir les fruits de ma coupe personnelle avec un Fruit du Démon que nous avions trouvé en pillant un navire Marine. Du coup, voilà que je nage désormais comme une enclume, et qu'en plus, je me mets à semer des plumes partout. Ce fut au cours d'une bataille face à un Officier de la Marine qu'un autre pouvoir s'éveilla en moi, celui du Haki. Alors que nous étions plutôt mal parti et que j'allais essuyer un coup mortel, peut-être fusse mon instinct de survie ou mon désir de protection de mes Nakamas, mais le coup fut stoppé par une armure invisible. La surprise que cela suscita chez mon adversaire m'offrit l'ouverture nécessaire dans sa garde pour lui ôter la vie. C'est d'ailleurs la mort de cet officier qui me valut une jolie prime.
Et maintenant... il est temps pour tous d'apprendre ce nom : Reyes D. Damien.TEST RP ! ☼~• Le Navire avait voyager durant à peu près une semaine, voguant au grès des vagues, heureusement que Dracau était navigateur. Enfin, l'étroitesse de la barque commençait à peser sur les Pirates, seuls points positifs, ils étaient riches et avaient appris à mieux se connaitre et à s'apprécier, on pouvait véritablement les appelées des ami maintenant. L'arrivée au port de Briss kingdom fut quand même un soulagement qu'ils apprécièrent avec beaucoup de respect. Après tous ce temps passer en mer, Damien voulait picoler et se ternir en bonne compagnie en priorité. Il dit à Dracau de partir devant régler les détails pour le bateau, lui il emprunta l'allant centrale de la ville en sortant du port, déambulant à la recherche de la première taverne venu. Il tomba sur une taverne à l'aspect sympathique, une musique rock, des jeux d'argents, des relents d'alcool et des prostitués se déhanchant sur les clients, tout ce qu'il aimé en soit. Le vice dans son plus simple appareil, les différents pêches par excellence sont le train-train d'un Pirate. Il rentra donc et s'installa à une table libre sur le balcon intérieur de la taverne. Damien commanda trois bouteilles de rhum et siffla une jeune beauté blonde apparemment sans client. Elle s'installa naturellement sur le genoux avec un "Salut beau black, tu bois quoi ... ?" en guise de politesse. Une fois qu'une autre serveuse fut arrivée avec sa commande, elle déboucha une première bouteille et la mit dans la bouche du jeune homme. Ensuite, elle but à son tour. Au bout d'un quart d'heure l'alcool fort commençant à faire effet, Damien commença à faire semblant de boire, gardant un minimum de lucidité même si sa joyeuseté et son ivresse était fortement visible par le sourire éclairant son visage. Un combattant digne de ce nom ne se laisse pas totalement avoir par le piège de la boisson, gardant toujours de quoi pouvoir combattre en cas nécessaire.
☼~• La prostitué quand à elle était muer par l'excitation de l'alcool et de la beauté du jeune homme. Elle ne se retenait plus du tout et semblait avoir débrider ses limites, embrassant le black de sa langue experte. Lui, profitant quelque peu faisait le tour du propriétaire, les mains aux endroits stratégiques. Un raffut proche lui fit sortir sa tête des seins de la belle blonde, en bas de l'estrade devant le comptoir un homme venait de claquer les fesses du nouvelle arrivante du bar. Erreur, juste en la regardant Damien sentait le danger émanait d'elle, limite sa main était prête à agripper son arme si sa tourner mal. L'adrénaline du danger l'exciter encore plus, il caresser négligemment les cuisses dénudés de sa charmante hôtesse, fixant la scène en dessous d'un regard carnassier. Le spectacle augmenta en tension quand elle renversa rageusement son tabouret et attrapa le poivrot à la gorge. Elle lui montra ensuite des choses en dessous de sa veste qui eut l'aire de dissuader deux hommes essayant de venir à la rescousse de leurs camarade de boissons. Décidément la curiosité de Damien était de plus en plus piqué à vif, elle lui parla ensuite, surement un discours intimidant et fort intéressant mais le bruit ambiant et la distance empêcher le Pirate d'en profiter. Mais bientôt, plus besoin de parole, place à l'action. Elle l'envoya l'étendit avec une force surprenante sur le comptoir et sortit quelque chose ressemblant à une fiole de sa veste. L'inconnu versa le contenue sur la main du poivrot qui hurla de douleur d'une intensité si puissante que la l'assistance arrêta toute autres activités. Le poivrot semblait bruler de l'intérieur, arrosant le membre touché par le liquide de tout ce qui lui tombait sur la main. Bientôt, il se lassa et sortit en courant avec deux camarades. Il allait surement revenir avec des renforts si c'était un Pirate, peut être un équipage. De la belle action en perspective, Damien se lécha les lèvres de plaisir et but une dernière gorgé de rhum. Il congédia la catin avec un billets placet dans son maillot de bain et marcha en direction de la femme dangereuse. Quand il arriva derrière elle, il se mit à applaudir, il entendit également quelle demandait au patron si il connaissait un navire ou un équipage en partance pour Grand Line. Une chance pour Damien lui qui cherchait justement des membres d'équipage, qui plus est, elle semblait très forte, assez pour le rejoindre. Les odeurs de médicaments et de produits émanant autour d'elle n'échappèrent pas à son flair animal, elle était probablement docteur. Il glissa donc d'une voix suave et intéressés, un sourire comparable à celui du Chat du Cheshire sur le visage :
"Le mien compte bien y faire un tour prochainement ... Si ça t'intéresse, je suis à la recherche d'un médecin, à en juger par les odeurs émanant de toi tu dois en être une. Vu ta prestation avec le poivrot de tout à l'heure tu sait visiblement te défendre, c'est donc parfait ! ^^ ♪"
Dernière édition par Reyes D. Damien le Mer 29 Juin 2011 - 15:43, édité 1 fois |
|