Le
blox tower boat est un concept qui fut imaginé par Martel Lapussèl, le
père de Bélial, qui avait imaginé ce bateau qui pouvait s’adapter à la
taille de son équipage. Il n’aura malheureusement pas eut le temps de
concrétiser ses idées, ne trouvant pas les solutions adéquates, il lui
manquait la précieuse aide de son fils qui croupissait déjà en prison.
Une
fois libéré, le charpentier de génie put reprendre ses schémas pour les
résoudre et avec la paire de bras du Troll qui l’accompagne, le
construire fut une partie de lego. Les deux seuls soucis, c’était de
trouver la matière première et l’équipage qui naviguera avec pareil
engin. Arrivant ainsi comme un messie, El DJ apporta vaguement ces éléments cruciaux.
Mais
alors, après ce brin d’histoire, quel est ce concept formidable ? Le
nom est pourtant évocateur pour qui sais déchiffrer quelques ponéglyphes
niveau maternelle ! Boat = bateau ; Tower = tour ; Blox = bloc. Il
s’agit tout simplement d’une tour constitué de blocs, aussi appelé étage
amovible, le pont principale faisant office de rez-de-chaussée. Chaque
étage peut donc se détacher et devenir une barque à part entière, une
barque peut stable, certes, mais une barque tout de même.
Il
en est donc de la responsabilité du charpentier de créer et arranger les
étages. Le système d’emboitement parait si particulier, bien que
simpliste, que seul Bélial et son troll sont en mesure de les empiler
correctement. Sa devient un brin plus difficile lorsqu’il faut raccorder
quelques éléments essentiels comme la barre. Un escalier en colimaçon
est prévu derrière les blocs pour les moins acrobatiques des locataires.
Tout ceci se fait bien entendu dans un port !
Les étages font
quatre par cinq mètres, pour un mètre cinquante de hauteur. Néanmoins,
notons qu’avec cinq blocs empilés sur le navire, la ligne de flottaison
atteint une hauteur critique, il faudra donc penser à de nouvelles
techniques pour avoir plus de blocs. A souligner aussi qu’il n’y a pas
besoin de bloc pour que le navire puisse voguer à travers les océans.
Les
voiles, quand à elles, sont au nombre de quatre. Une petite voile
latine sur la proue, une voile à corne, un peu plus grande à la poupe et
de grande voile carré à bâbord et tribord des blocs. La hauteur de ces
dernières dépende du nombre d’étage. Si il n’y a pas de bloc, elle se
joigne pour ne faire qu’une au centre du bateau.
La coque est
unique dans sa forme et son concept. Elle est pensé pour rendre le
bateau le plus stable possible quelque soit sa hauteur. Le profil
inquiétant du bâtiment oblige en effet une quille des plus originales.
Elle est donc assez profonde ce qui laisse de la place pour y vivre
également. Il y a de la place deux sous-sols d’un bon volume. Un tiers
constitue des appartements et le reste est là pour le stockage de tout
et n’importe quoi. Le charpentier peut également y faire son atelier. Le
pont fait quand à lui cinq mètre de large pour dix mètres de long et
est un lieu de vie commun à tout l’équipage.
La vitesse est un
gros point noir du bateau … plus il y a de bloc, moins on va vite … et à
part une propulsion à base d’excréments encore à l’étude et qui ne
ravie pas vraiment les membres de l’équipage, il n’y a rien à faire.
Pour
ce qui est du style architectural, le thème général reste un genre de
temple ou de château asiatique croisé avec quelques inspirations
cubiques. La tête de proue est la représentation d’un dragon orientale,
la gueule grande ouverte, prête à cracher son feu, et les sourcils
froncés. Il y a une dominante de rouge, la couleur écarlate en
particulier étant le plus utilisé ainsi que l’or et la couleur du bois
brute.