Crist, une sirene pas comme les auuuuutres [ Un premier passage, s'il vous plait ?]

- Présentation du joueur IRL -


Prénom : Je le dis pas !
Age : Ca se demande pas à une dame voyons !
Homme/Femme/Okama : Voir plus haut !
Comment avez vous connu le forum : Via une bande de copain !
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Autant que possible dans une journée !
Tes Mangas préférés : Tout plein !
Ton personnage préféré dans One Piece : Aucun ?
Ce qui t'as motivé à venir : J’ai suivi un petit groupe d’ami, ils sont parti et je suis restée.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Un peu plus de 5 ans.
Hobbys : Lecture, écriture, regarder des series&manga, me promener
Autre(s) : Présentation à lire avec la petite musique ci-dessous !

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom de naissance : Cristalline Water

• Surnom : Crist Wather

• Age : 32 ans même si en parait la moitié

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : ‘’Sirène ‘’

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Civil

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : indifférent

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Chercheur de trésor

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) :

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Trouver l’amour ? Plus spécifiquement des gens qui le retiendrait sur la terre ferme.

• Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises
Code:




◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]


Homme ou femme ? La question se pose irrémédiablement quand ont pose les yeux sur cette personne. Même si on ne trouve pas forcement une réponse, chacun s’accorde pour dire, qu’une beauté certaine s’échappe de se corps. Des cheveux ébènes, pouvant rendre jaloux les corbeaux les plus orgueilleux, dont un aspect soyeux et fins comme aucun plumage ne pourrait le faire. Ceux-ci sont coupé court et encadre à merveilleuse le visage et délicate. La peau blanche comme la neige renforce cette différence. Des lèvres pleine et pulpeuse naturellement rosée. Tel un personnage de conte de fée, son charme semble sorti tout droit d’un rêve. Les yeux verts mordorés soulignent un aspect presque surnaturel de cet être.

Au premier abord, l’individu semble tout simplement parfait. Pourtant, il suffit d’un coup de vent pour révéler une des pires aberrations, des oreilles longue et pointue sagement camouflée par la tignasse noire et à l’aide d’un chapeau. On pourra aussi distinguer si on s’approche d’un peu plus prêt que le cou est un peu plus long que la normal, celui-ci étant souvent cacher par un col serrer. Un nez un peu plus proéminant qui pourtant s’harmonise avec les traits délicat de l’être mythologique.

Toujours habillé superbement dans des vêtements chics et outrageux, la canne pourtant serrée dans la main gantée n’est pas là pour faire jolie. En effet, celle-ci aide la splendeur venue des océans à se déplacer, les jambes maigres et laiteuses à beaucoup de mal à supporter le poids de son corps. Ainsi, l’être des eaux à besoin sans cesse d’une aide pour garder son équilibre. Ses parures cachent également une faible poitrine (je ne préciserai pas quel bonnet, histoire de ne pas me faire détester par une grande partie du monde) pouvant passer sans grande difficulté pour un homme. La néréide camoufle ainsi une fragilité, une certaine faiblesse bien plus importante que chez les humains. Même si cela ne parait illusoire vu que la nymphe des eaux peut soulever presque à dix fois son poids pourvu de nageoire.

Sa garde de robe est sans nul doute très riche, les vêtements de la meilleure qualité. Souvent comportant d’un costume trois pièces. Le blanc, le noir et le rouge sont les couleurs qui revienne sans cesse dans ses parures et autres étoffes. Souvent accompagné de gants et d’un chapeau, son style n’est pas sans rappeler celui des nobles. Faites sur-mesure ce n’est pas tellement pour un aspect esthétique que la créature prends autant soit de ses tissus mais bien à cause du contact. Toute autre matière que la soie blesse la peau gracile, laissant des marques comme si elle avait porté un filet de pêche et non un simple manteau en coton.

Passons maintenant à l’aspect original de cette créature. On peut remarquer sans mal, un lien entre l’être pourvu de nageoire et l’autre de jambe. Tout d'abord, la queue qui font place aux jambes, celle-ci fait bien deux fois la taille de l'être humain et les écailles de la créature sont d'un blanc argentée. Puis il y a cette chevelure ébènes dont la différence se place dans la longueur, étrangement, quand la nymphe retrouve l’élément qui la vu naître, celle-ci reprends sa grandeur originel. La toison tombe alors avec délicatesse sur la totalité du corps de la créature, elle ne s’arrête qu’à la naissance des ‘’palmes’’. L’entourant comme une protection, des douces caresses dans l’eau marine. Pourtant, elle ne cache en rien de cette ‘’anormalité’’, les oreilles pointue et plus longue que la plupart des sirènes n’est plus camouflée. Les yeux mordorés gagnent en luminosité, le vert ne dominant plus dans les pupilles de l’être des eaux. Etant dépourvu ou presque de poitrine, comme toute sirène, se sont ses cheveux qui les camoufles. Aucun vêtement ne touche sa peau ivoire quand elle reprend ses nageoires.

Une autre différence majeure entre les deux états. Est sans aucun doute la carrure de l’être. En forme humaine, celle-ci, ne fait qu’un mètre quatre-vingt pour une soixante de kilos. Tandis que sous sa vraie forme, la balance crisserait et se suiciderait dans la seconde, ne pouvant croire que son cadran lui indique le quart d’une tonne. Pourtant, cela reste correct quand on sait que celle-ci fait entre 2 ou 3 mètres.




◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]

Cette créature des fonds marins aiment être au courant de ce qui se passe dans le monde, elle met un point d’honneur de connaître le moindre renseignement. Rumeur ou fait réel, tout ce qui se dit doit tomber dans son oreille. Elle aime tout simplement savoir, afin de pouvoir faire face quelque soit la situation. Bien sûr, la nymphe des eaux ne partage pas aussi facilement ce savoir. Celui-ci à souvent un prix, elle apprécie se sentiment de puissance, de mystère qui se dégage d’elle. Si par malheur, on lui apprenait quelque chose qu’elle ne savait pas, elle ferait semblant d’être impassible et de prendre l’info comme déjà acquise. Ainsi, il est très difficile de savoir se que ce pense exactement l’être des eaux. Le fait qu’elle soit muette renforce cette barrière entre elle et les autres.

Ce n’est pas quelque chose qui lui déplait, conscience de son charme, elle aime en jouer et s’amuse particulièrement de voir les esprits s’échauffer. Un esprit malicieux, éveillé mais surtout emprunt d’un certain sadisme. Elle aime voir les gens se démener pour un résultat qui semble insignifiant, voir les mine déconfite quand ils prennent conscience du prix à payer. Puis simplement, elle s’amuse du malheur des autres, elle trouve que l’existence des humains est comme un bon livre. Des récits palpitant, déchirant en proie de sentiments à leur paroxysme alors qu’ils ne sont sur la terre qu’un siècle tout au plus, cela bien entendu dans les plus rares des cas.

Pour cette nymphe tout à un prix, rien n’est gratuit et elle estime que cela devrait toujours être ainsi. Il n’y pas de service entre deux être, juste un échange de bon procéder. Cela ne l’empêche pas d’être liée à certaine personne même si ce n’est qu’une relation de travail, de marchandage. La réputation et le paraître est particulièrement important, étrangement, elle préfère que les gens la jugent au premier abord. Même si la néréide cherche à avoir un impact sur le monde des humains, elle ne tient pas à faciliter les choses, laissant toujours une distance. Comme si elle-même se considérait comme un des trésors qu’elle vend et recherche, qu’elle n’a pas moins de valeur que des objets dont elle est constamment entourée.

On peut dire que c’est la neutralité personnifié, elle ne souhaite prendre partie dans aucun camp. Elle se moque bien d’ailleurs des ennemis et amis, rien n’a plus d’important pour elle, que l’individu même. La créature ne cherche pas à comprendre une espèce, sachant que chaque être à son propre impact. Quand elle parle à quelqu’un, elle ne fait pas attention au passé, présent et encore moins au futur. Ce qui lui importe c’est d’honorer ses commandes. Bien qu’elle glisse toujours un conseil ou deux par le biais d’un de ses subordonnés.

Cependant, une chose à retenir concernant la native des eaux. Est quand même cet aura de solitude et de tristesse que parfois ses sourires laissent paraître. Ceux-ci sont rare vu que cela serai plus un rictus ironique, moqueur, prenant les gens de hauts sans aucun doute. Rare sont ceux qui arrive à déterminé vraiment sa personnalité. Certains qui l’ont fréquenté plusieurs fois affirment que la créature n’a pas de qualité. Parce que jamais elle ne fait preuve de bonté, de compassion. Elle se contente d’écouter, une attitude stoïque. Sans se rendre compte qu’en soi, cela est déjà une qualité et une preuve de compassion. Tous dans la naïade est ce qui ne semble être, plus profond mais elle ne veut que laisser la surface transparaitre.

◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne, ils sont au même titre que des images que vous pouvez ajouter. Ils ne servent que pour illustrer votre histoire.]

Certaine vie ne devrait jamais voir le jour et les responsables de ce choix devraient encore moins enfanté.

La naissance est une des épreuves les plus difficiles, même si personne ne s’en souvient, elle est déterminante pour l’avenir. Déjà, y en aura-t-il ?

Cette question pouvait être une des premières que ce posait la petite créature alors qu’elle se faufilait vers la sortie. Né par le siège, elle avait montré le bout de son nez en premier. L’eau ne tarda pas à emplir les poumons du petit être alors qu’elle n’était pas complètement sortie. Les longs cheveux bruns ne tardèrent pas à lui brouiller la vue alors que le souffle qu’on lui avait donné trop tôt était sur le point de lui être reprit. Il eut rapidement du mouvement autour d’elle. D’un geste sec, un coup de nageoire parsemée d’écaille rouge, elle rejoignait le plus rapidement possible la surface. Des larmes s’écoulant le long des joues qui se trouvaient invisible dans cet univers marin. Finalement, le petit corps fini par se dévoiler complètement, un sourire vint de placer sur les lèvres de la femme. Elle revint sur sa nage et saisi de ses mains palmée la petite vie pour la soulever en dehors de l’eau.

Un hurlement ne tarda pas à retentir, tirant un soupir de soulagement de la nouvelle mère. Elle attira ensuite le petit corps contre elle, le fixant à son sein. Un sourire émerveiller et heureux sur les lèvres qui ne tarda pas à s’éteindre quand elle aperçut les oreilles de sa progéniture. Celle-ci n’avait rien de commun, elle était longue et pointue. La sirène retourna vers le fond des eaux, les épaules secouée de sanglot. La naïade hésita longuement mais elle finit par déposer le nouveau né dans un coquillage pour venir le chercher plus tard. Nageant afin d’aller chercher le père de la vie qu'elle venait de mettre au monde.

Cependant, elle ne revint jamais. Le petit être fut recueilli par un des gardes du palais, le bébé n’était pas encore au courant que ses parents avait été emprisonné à vie et elle ne l’appris pas avant longtemps. Le jeune couple s’était adonné à un amour blasphème et interdit. Ils avaient été séparé afin que ce genre de chose ne se produise pas mais sans succès. L’homme poisson aurait du tuer l’aberration victime de leur union mais il ne put se résoudre à prendre la vie d’un être souillé malgré lui.

Il appela l’enfant Cristalline, le prénom de sa vraie mère même si ce fut un autre secret qu’elle ne découvrit que plus tard. Le garde décida de l’élever mais il ne la laissa que rarement sortir, parce qu’il ne voulait pas perdre son emploi et encore moins sa tête. Surtout parce qu’il craignait que l’enfant soit maltraité par ses comparses à cause de son apparence singulière. Il lui enseigna tout ce qu’il savait, aussi bien sur les fonds marins que sur le monde des humains. Chaque fois qu’il devait s’absenté à cause de son travail, il revenait avec une montagne de présent comme pour s’excuser.

L’ondine était triste, elle se sentait souvent seule, regardant envieusement les être derrière la vitre mais elle n’osait formuler ce vœu pour ne pas blesser son père. Même si c’était souvent un sentiment de tristesse qui la saisissait, parce qu’elle avait l’impression qu’il avait honte d’elle même s’il lui affirmait le contraire. La sirène était également souvent en colère contre le miroir alors qu’elle ne reconnaissait pas dans ses cheveux noirs, la couleur blonde de celui qui l’élevait. Elle n’aimait pas ses yeux dorés alors qu’elle aurait aimé en avoir des bleus. Elle ne supportait pas ce menton démuni de fossette comme lui. Parfois, il la regardait avec tendresse et lui disait qu’elle ressemblait de plus en plus à sa mère. Or, elle avait aperçu des portraits de celle-ci et elle n’y voyait pas plus de trait commun qu’avec son père. Cette réalité ne cessait de la faire souffrir chaque jours un peu plus.

***

La petite fille perdue en mal de confiance et de reconnaissance avait fait place à une adolescente. Elle avait espéré pouvoir enfin quitter la maison, elle n’était plus une enfant, elle savait très bien ce défendre à présent. Cependant, le garde ne voulait pas la laisser nager au dehors, encore moins qu’avant. Pourtant l’enfant avait toujours fait de son mieux pour obéir et être la plus sage possible. Ainsi un jour, elle profita que celui-ci s’était absenté au vue de son travail pour profiter de faire un petit tour en ville. Elle fut rapidement émerveillée par tout se qu’elle voyait, elle entendait des chuchotements sur son passage mais elle essaya de ne pas faire attention. Cristalline savait qu’elle était différente depuis longtemps, elle l’était au sein même de sa propre famille. C’était quelque chose qui lui était très douloureux même si elle le cachait pour ne pas faire de la peine à son père. Comment pourrait-elle lui reprocher son apparence ? Alors qu’il n’avait plus qu’elle ? Ce serait comme lui dire qu’elle n’avait pas voulu naître.

Pourtant au fil de ses escapades, elle remarqua que les critiques n’étaient pas néfaste, elle nageait sans jamais se retourner mais un jour, elle fut certaine n’avoir perçu un sifflement. Elle tourna la tête intriguée vers l’origine du son et n’eut le temps que d’apercevoir une queue rouge, presque autant que le visage qu’elle n’avait alors put distinguée. Ce genre de scène se reproduisit souvent, même si ce n’était pas toujours la même personne. L’adolescente était intriguée, elle ne comprenait pas trop cette attitude. Il fallait dire que son tuteur ne lui avait jamais vraiment parlé des choses de la vie. Peut-être parce qu’il la percevait encore comme une petite fille ? Elle n’osait simplement imaginer que celui-ci ne l’avait même pas envisagé puisqu’elle n’était pas supposée sortir.

Elle ne s’était pas vraiment liée aux gens mais il lui arrivait de parler avec l’un ou l’autre. Ce fut de cette façon qu’elle apprit l’horrible vérité et de la pire manière qui soi. Elle discutait tranquillement avec une des servantes du palais quand subitement, elle entendit des éclats de voie. Fronçant les sourcils, elle avait jeté un œil à sa compagne qui avait haussé les épaules mais elle paraissait quand même assez mal à l’aise.

-« Pourquoi ? Suis-je le seul à ne pas savoir à quoi elle ressemble ? Tout le monde l’a déjà vu ! » Hurla excéder un des nombreux pages, sans qu’elle ne sache vraiment lequel vu qu’a la dernière nouvelle, ceux-ci étaient treize.
-« Al! Pensez à cette pauvre fille ! Ce n’est pas une attraction quand même ! »
-« Je ne veux pas la voir pour cette raison ! » Répliqua en colère l’homme poisson
-« Vous n’y pensez pas ! » S’étrangla à moitié la voix qu’elle reconnu comme étant un des instructeurs royaux qui était parfois venu chez elle, pour lui donner des cours plus poussés.
-« Si elle est aussi belle qu’on la décrite, sans aucun doute ! »
-« Enfin ! C’est le fruit du blasphème ! Cette pauvre créature n’aurait même pas du naître ! Personne ! Vous m’entendez mon prince ! Personne ne vous permettra de vous acoquinez avec cette enfant. »
-« Arrêtez de crier Rhéa, je ne compte pas la fréquenter. Je sais pertinemment que sans la bonté de ce garde, elle sera morte. Cependant, ne trouver vous pas malheureux qu’elle soit tenue à l’écart du monde ? Juste parce que ses parents se sont liée d’un amour interdit ? »
-« Ils étaient frère et sœur ! » Grogna la femme d’une voix qui ne laissait aucune imagination face au dégout que lui inspirait cette situation. « Encore une chance qu’ils ont été enfermé! »

Elle vit la servante nager à toute vitesse vers les deux protagonistes pour leur ordonner de se taire mais le mal était déjà fait. Bientôt, la néréide sentit les larmes couler, les gouttes salées ne pouvaient pas vraiment être distinguée avec le reste de l’élément mais son cœur saignait. Sans même vouloir croiser le regard de ses bourreaux involontaire, elle s’empressa de regagner un plus vite sa demeure.

Cristalline ne savait pas ce qui était le plus douloureux, qu’elle découvre la vérité de cette façon dans la bouche de parfait inconnu ? Ou alors que l’homme qu’elle appelait papa, ne lui avait jamais dit qu’il l’avait recueilli ? Qu’il lui avait sauvé la vie alors que tout le monde la voulait morte ? Cette femme auquel il faisait parfois référence avec douceur était bel et bien sa vraie mère ? Même si elle ne savait l’origine de cette douleur, elle ne pouvait nier qu’elle avait l’impression d’être une poupée de chiffon disloquée. L’ondine n’arrivait tous simplement pas à accepter que ce père qui lui avait toujours répété que le savoir était important, lui avait caché un passé aussi trouble.

L’être des eaux observa son reflet dans le miroir et sans attendre, elle brisa son image avec sa queue argentée. Elle vit bientôt le sang s’écouler mais elle ne fit rien pour l’arrêter ni n’appela à l’aide. Elle contemplait juste le liquide carmin se mélanger à celui marin. Petit à petit la tête commença à lui tourner et la brune perdit connaissance.

***

La nymphe des eaux ouvrit les yeux, la première chose qu’elle vit était les longs cheveux blonds qui voletaient au fil de l’eau. Elle aurait bien avancé ses doigts pour les capturer afin d’avoir un peu de réconfort mais elle s’abstint. Une douleur lancinante venait de se rappelée à elle, pas seulement celle de sa queue mais bien de son cœur. Elle observa le profil de cet homme recroquevillé, il avait la tête dans ses mains alors qu’il était assis sur un rocher. Sa queue grise entortillée autour de celui-ci, il semblait vraiment abattu. Cristalline hésita à l’appeler parce que ce spectacle ne faisait qu’ajouté à sa douleur mais elle avait peur de sa réaction. Comme si celui-ci avait entendu sa détresse, il releva ses yeux bleus entouré de cerne vers elle. Elle put voir un soulagement naître dans les prunelles, de la joie aussi.

-« Cristalline ! Tu m’as fait peur. J’ai bien cru que… »
-« Pourquoi ? » Coupa la jeune fille alors qu’elle détournait le regard
-« Pourquoi ? » Répéta perplexe l’homme alors qu’il se rapprochait du lit de sa protégée.
-« M’avoir sauvé…encore »
-« Parce que tu n’as pas à payer le poids des erreurs de tes parents ! » Gronda l’homme avec colère, il se radoucit un peu. « Tu es mon plus beau trésor Cristalline, je ne regrette à aucun instant de t’avoir prit avec moi » Déclara-t-il en passant ses doigts dans les longs cheveux ébène un doux sourire sur les lèvres.

***

Cristalline se tenait assise sur un des rochers du récif près de la plage, elle contemplait avec une certaine mélancolie l’eau qui se trouvait sous sa queue argentée. Elle avait vécu une adolescente pleine de doute, sa seule certitude avait été l’amour de son tuteur à son égard. Une fois qu’elle avait découvert qui était ses parents, elle avait voulu en savoir plus sur eux, connaître tous de leur existence. Quitte à s’éloigner un peu de sa seule famille parce que la vérité, le savoir avait un prix. Elle ne doutait pas de la sincérité de son père mais elle ne pouvait s’empêcher de lui en vouloir un peu, elle aurait préférée qui ne lui cache pas son passé aussi cruelle fut-il.

Mis à part la recherche de ses origines, elle s’était vue en proie d’un malaise encore plus grand. La créature aquatique n’était pas à l’aise dans son corps. Elle n’avait pas l’impression d’être une femelle mais sans pour autant être vraiment un mâle non plus. Son absence de poitrine ne l’aidait pas à se ranger dans une catégorie. Elle s’interrogea longuement sur ce qu’elle était vraiment. Pour les sirènes ce genre de question n’avait pourtant pas beaucoup d’importance, écoutant simplement l’appelle de la nature quand il se produirait.

Aujourd’hui, elle l’attendait toujours, laissant sa question sans réponse. C’était d’ailleurs la seule interrogation qui n’avait pas encore trouvé de connaissance à ses yeux. Elle observa de nouveau les vagues qui frappaient contre le rocher, l’eau essayant de venir caresser les écailles argentée repliée. La créature des océans attendait patiemment que la lune fasse son apparition alors que le soleil déclinait pour rejoindre le liquide salée. Quand l’astre serait à son zénith, elle aurait trente ans. Et elle avait fait son choix, elle désirait connaître autrement que par les livres l’univers des humains. Puis rien ne la retenait sous l’eau, l’homme qui l’avait élevé était mort deux ans plus tôt. Elle observa avec une certaine tendresse la queue qui frappait le rocher glissant, dans quelques heures, celle-ci aurait disparu pour faire place à des jambes. Elle savait qu’elle pourrait un jour la revoir mais aujourd’hui, elle était vraiment impatiente de la perdre. La néréide ne savait pas si elle serait acceptée facilement dans le monde des humains mais elle se donnait une décennie pour y arriver et si à la fin de ce laps de temps, elle n’y était pas parvenue. Alors elle regagnerait l’océan à tout jamais.

Pouvoir qui serait plus type haki qu'autre chose :/. (Ce qui touche a la volonté.).

Edité messire !

J'ai repensé à ce ''pouvoir''. Et j'espère sincerement que cela n'existe pas déjà mais...ce serai la capacité en ''dessous'' de ''ll'aura de paix''.
Celle-ci consiterait sur la connaissance.

La connaissance : Cette capacité permettrait à la sirene de pouvoir percevoir le passé (et uniquement celui-ci, pas son présent ni son futur) de la personne qui entrerait dans son périmètre. En quelques sorte, l'etre en face devient comme un livre ouvert pour la nymphe des eaux. Dans une certaine mesure vu qu'elle ne ''connait'' elle pourra prévoir certaine de ses réactions mais cela s'arrête là. Cela ne fonctionne qu'avec une seule personne à la fois. Si trois personnes entre dans son périmètre, l'effet s'anule.

(Ce serait possible ou est-ce déjà prit ? Parce que si je pouvais commencer avec au moins ca, puis developper l'autre Haki ce serai bien ). Merci d'avance !

redondant avec fdd desole

Y a des FDD pour tout è.é C'est très rageant ! Je garde tel quel dans ce cas

validé rang 2...peut être 3 si celui qui passe derrière moi pense que ça les vaux.

Rang 3.

Ta daaaaam!