One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| Dalila Su [Complet] | |
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Dalila Su Pirate en devenir
Profil Psy : Neutre-bon / Chaotique Nombre de messages : 35 Age : 35 Fruit du Démon : Kan Kan No Mie (Paramécia des sens)
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Dalila Su [Complet] Lun 31 Oct 2011 - 1:26 | |
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Nom : Su Prénom : Dalila Surnoms : Dali, Dal Âge : 22 ans Race : Humaine Camp : (future) Pirate
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- - Présentation du joueur IRL -:
Prénom : On me nomme Alantlya ! *sort* Age : 5 ans *sort.* Homme/Femme/Okama : Une intelligence artificielle, ça entre dans quelle catégorie ? Comment avez vous connu le forum : Grâce à mon ami Google, vous connaissez ? *sort.* Combien d'heures vous vous connectez par jour : Euh… Tes Mangas préférés : Bleach. Oui, bon, ok, j'avoue… un peu One Piece. Parce que c'est marrant Ton personnage préféré dans One Piece : Usopp Ce qui t'as motivé à venir : L'animé Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Hum, alors… j'en fais depuis ma quatrième et… et puis voilà, je vais pas vous citer tous les forums que j'ai fait, hein ! (environ une vingtaine) Hobbys : Manger et torturer des gens *sort* Autre(s) : Je vais devenir le Maître Informatique du monde ! Tremblez devant la supériorité des machines ! Bwahaha *bzzouh…* [L'intelligence artificielle a été réinitialisée à cause de ses ambitions]
Orientation psychologique : Neutre-bon et chaotique ! Soit ni gentille ni méchante (plus gentille que méchante) mais elle est contre l'ordre et préfère l'anarchie.
Métier/Spécialité : Pêcheuse / Combat à mains nues
Pouvoir demandé : Kan Kan No Mie : (Paramécia des sens) le fruit du démon des 5 sens. Permet d'amplifier les 5 sens de l'utilisateur. Ainsi son ouïe et son odorat deviennent aussi développées que ceux du chat ou du chien, son touché aussi sensible que celui de l'araignée, sa vue devient aussi perçante que celle du faucon, et son goût… euh… Enfin, bref ! Vous avez compris l'idée.
Rêve(s)/But(s) du personnage : Ce garçon manqué rêve de devenir un célèbre pirate auprès de sa sœur et de découvrir le monde. Elle souhaite aussi devenir le meilleur combattant à mains nues du monde entier et parvenir à maîtriser un jour toutes les techniques du combat à mains (et pieds) nues.
Code présentation : Dalila Su est, en apparence, un charmant jeune homme d'un mètre soixante-trois tout pile, et qui pèse soixante-sept kilos (vive les muscles !) d'une vingtaine d'année. Miss Su a un visage rond aux formes neutres, qui pourrait aussi bien aller à un gars qu'à une femme. D'ailleurs sa coupe de cheveux courte et ébouriffée trompe beaucoup de monde sur son sexe, à son plus grand bonheur (sauf quand des femmes la draguent…). Ses cheveux sont noirs jais et ses grands yeux marrons au regard franc vont eux aussi bien à un gars qu'à une femme, mais dans son visage masculin ça fait parfois homme aux yeux de biche. Elle possède un petit nez et une bouche qui n'a jamais connu de rouge à lèvre et sa peau halé n'a jamais connu de maquillage non plus. C'est dommage car ce jeune homme cette fille serait très belle avec du maquillage (et on verrait que c'est une fille et pas un homme, aussi). C'est donc une face de garçon légèrement efféminé que Dalila montre au monde entier. Malheureusement sa voix est aussi neutre que le reste, une voix trop franche et brusque pour être considérée comme féminine mais trop aigue pour être considérée comme masculine. Tss, quel mec !
Son corps aide parfois les fins observateurs à deviner que c'est une femme (et encore) : Dalila Su a une petite poitrine assez discrète mais qui se remarque parfois dans les plis de ses vêtements. Elle est bien proportionnée avec des mains de travailleur mais, seul hic, son ventre n'est pas plat. Ni rond d'ailleurs. Son ventre montre de magnifiques abdominaux biens masculins et ses bras fins sont indéniablement musclés. Là encore cette fichue musculature est très trompeuse car on confond la navigatrice avec un marin. Un marin qui a malheureusement parfois du succès auprès des femmes au plus grand désarrois de notre hétéro. Mais quel idée de ressembler autant à un garçon aussi ! Avec une pareil musculature et un visage comme le sien, Dal passe aisément pour un garçon malgré sa poitrine. En plus elle a une démarche chaloupé qu'on associe aux hommes mais quel doit juste aux heures qu'elle passe en mer.
Mais cette poitrine est souvent cachées sous des vêtements masculins qui laissent voir des abdominaux tout aussi masculin. Histoire de bien camoufler cette poitrine Dalila met en guise de soutient gorge des bandes de tissu qui aplatissent cette pauvre poitrine tout en la soutenant et en étant assez confortable (oui, il faudrait éviter de se retrouver avec des bleus à cette endroit, ce serait embêtant). En parlant de bleu voilà quelque chose d'aussi commun sur son corps que les pansements. C'est à se demander si elle ne se fait pas passer à tabac tous les jours… ou si elle est vraiment pas douée. Il lui arrive parfois aussi de s'habiller en kimono blanc de karatéka avec une ceinture noire. Euh, oui… Dalila Su n'est pas que musclée, c'est aussi une combattante au corps à corps qui est ceinture noire en karaté et qui n'a pas peur de le montrer. Très rarement il lui arrive de porter un haut bleu aux courtes manches blanches qui est assez décolleté et moulant pour que sa poitrine ressorte plus que ses biscotos. Lors de ces rares fois on peut remarquer qu'elle porte un collier en argent et un pendentif en pierre de saphir qui doit sans doute valoir une petite somme d'argent.
Dalila Su est quelqu'un de franc qui, malheureusement, ne mâche pas ses mots et qui ne réfléchit pas toujours à ce qu'elle dit ce qui en fait une grande gueule au comportement assez masculin qui renforce son coté garçon manqué et qui trompe nombres de femmes… surtout celles qui tombent amoureuses comme des benêts. C'est aussi une femme qui se vexe facilement en plus d'être (un peu) rancunière et elle s'énerve rapidement. Dal est une vraie tête brûlée qui fonce dans le tas et qui réfléchit après (c'est malin). C'est une vraie inconsciente qui n'a peur de rien. En fait c'est surtout les autres qui ont peur pour elle. Dali ne se surestime pas mais a souvent du mal à évaluer les risques et les dangers (sauf en plein combat, bien évidement) ce qui fait que parfois… souvent même, elle vise plus haut que ce qu'elle est capable de faire. Et c'est une tête de mule ! Dalila est combative et volontaire et, lorsqu'elle s'est mise une idée ou un but en tête, il est très difficile de le lui enlever de la tête. Une tête brûlée de mule anarchiste, fâchée avec pratiquement toutes les formes d'autorités même si celles-ci ne lui ont rien fait (vive l'influence familiale) et qui n'hésite pas à casser la baraque parce qu'on a insulté sa divine soeurette la capitaine pirate. Ce on ne peut plus garçon manqué s'occupe heureusement que de ses affaires, ce genre de débordement n'arrive donc pas tous les jours et ne débouche quasi jamais à des dégâts majeurs. Dali est aussi une personne autonome qui sait s'occuper d'elle toute seule même si on aurait parfois des doutes.
Son prénom signifie "marchande de nuit", c'est sa sœur sacrée qui lui a dit. Ah tiens, sa sœur d'ailleurs ! Elle se nomme Mégara Su, Meg de son petit surnom. Meg a bien huit ans de plus que sa petite sœur et est capitaine d'un vaisseau pirate. C'est aussi la seule famille qui reste à Dal. Et cette sœur est sacrée aux yeux de la garçonne et ce depuis son plus jeune âge. Elle la vénère comme si c'était une déesse et croit tout ce qu'elle lui raconte, même le plus farfelu, car elle lui porte une confiance sans limite. Cette naïveté est d'ailleurs rattrapée sur le reste car Dali ne croit personne à moins qu'on lui donne une preuve autre que des mots, contrairement à sa sœur qui n'a même pas besoin de se justifier. Miss Su souhaite un jour faire le tour du monde en tant que pirate auprès de sa sœur et de découvrir tout ce qu'elle pourra découvrir. Grâce à Meg, Dalila est anarchiste, fâchée avec toutes formes d'autorité (je radote) mais elle a aussi une phrase fétiche bizarre : "Même pas mal, même pas peur !" Normalement ça devrait être plutôt l'inverse, vu qu'on a souvent peur avant d'avoir mal. En réalité Dal s'est un jour trompée et ça a fait rire aux éclats sa sœur. Et comme ça la fait rire à chaque coup, son admiratrice l'a adoptée. Mais Dalila ne pourra réaliser son rêve qu'à deux conditions : trouver un trésor et trouver sa sœur. Car Mégara accepte de la prendre comme pirate sous ses ordres mais à cette condition : "Tu devras me retrouver dés que tu auras trouvé un trésor. Tu me l'apporteras et alors tu pourras devenir un pirate sous mes ordres. Et je te ferais découvrir le monde !" Mais comme Miss Su se doute que sa sœur ait dit ça juste parce qu'elle avait peur que sa petite sœur ne sache pas se battre, Dalila Su s'est fixée un autre objectif : devenir la meilleure combattante à main nue du monde entier.
Dalila Su est aussi une personne pleine d'humour (bien que ces blagues soient souvent pourries) qui aime rire, boire et s'amuser. Elle aime notamment chanter, surtout dans une taverne quand elle a bu un peu trop de saké, même s'il est difficile de la saouler ça ne l'empêche pas de la faire chanter dés qu'elle a un verre en main. Même que sa chanson préférée est "Le saké de Bink" (pour vous dire) qu'elle connaît par cœur d'ailleurs. Malgré son tempérament calme, bien que la garçonne s'énerve facilement, c'est aussi une personne rieuse qui, comme vous l'avez compris, aime passer du bon temps. Ce qui ne veut pas dire qu'elle ne peut pas être sérieuse, loin de là ! C'est juste que la demoiselle aime avoir son quota d'un quart d'heure de rire par jour. Et elle le dépasse fort souvent. L'ensemble donne un effet un peu innocent et gamin. Malgré ce coté fêtard et le fait que ce soit un vrai moulin à parole quand elle s'y met (au point de parler à elle-même quand elle est seule), Dalila ne dit que très peu de chose de sa vie. Par exemple elle ne parle quasiment jamais de ses parents ou de ses problèmes. C'est comme si elle n'en avait pas. Le garçon manqué est aussi, de part son côté très garçon, bourrue mais attentionnée. Elle est souvent très maladroite pour remonter le moral ou pour aider quelqu'un, voir même pour montrer son amour. Dal a beau être totalement insensible devant la mort d'un adulte, c'est une vrai mère poule quand il s'agit d'enfant, de ses amis ou de sa famille. D'ailleurs côté ami et famille il n'y a pas de problème, la garçonne est très fidèle et loyale, et elle ne supporte pas les faux culs et c'est souvent ce côté de sa personnalité qui séduit les femmes qui prennent pour un homme. Mais elle a beau être mère poule il ne faut pas trop étouffer cette pêcheuse qui rêve de devenir pirate à moins d'avoir moins de quatorze ans. Car pirate rime avec liberté (non mais… vous avez compris, voilà quoi) et que, comme elle veut devenir pirate auprès de sa sœur, Dalila Su aime la liberté (et tout ce qui est mignon, mais c'est un détail). C'est une grande rêveuse que la solitude ne dérange pas qui aime rêver en regardant les étoiles et qui adore rêver de paix lointains et de liberté assise sur sa barque lors des nuits de pleines lunes ou les nuits sans lune. Ce côté "j'aime la nuit" a lui aussi beaucoup de succès auprès des femmes qui la confondent avec un homme car ça donne à la garçonne un côté mélancolique.
Su Dalila est née dans un port à Dawn Island, huit ans après sa très chère sœur Mégara. Ses parents étaient Chang Su, un pêcheur brun aux yeux gris taillé comme une armoire à glace, et Kurin Su, une humble couturière brun aux yeux marrons qui pouvait aussi bien recoudre des vêtements que des filets de pêches. Chang, qui voulait absolument un fils, était très déçu mais ce n'est pas pour autant qu'il maltraita ses filles ou qu'il voulut les tuer, non. Il était juste déçu. Et il les élevait comme des garçons. Le jour où leur père s'en rendit compte il était trop tard, ces filles étaient déjà de vraies garçonnes, pour sa plus grande fierté. Au départ Meg, qui avait quand même huit ans, fut jalouse de sa sœur mais elle finit par se faire attendrir par ce beau de chou et commença à s'en occuper comme si elle était à la fois sa mère et sa sœur. Ce qui arrangeait beaucoup Kurin qui, malgré sa forte constitution (elle était plutôt du genre obèse), tombait souvent malade. Lorsque Dalila commença à parler ce n'était que pour parler de la pêche et de sa sœur. Sa mère en riait mais son père, quand il était à la maison, râlait et bougonnait comme s'il était jaloux de toute cette attention.
Comme monsieur Su élevait ses deux filles comme des garçons, il les envoyait prendre des cours à un dojo à côté de l'école et Meg s'occupait des devoirs de sa sœur et lui donnait aussi des "cours particuliers" pour le dojo. Bon, bien évidemment Dalila n'alla pas au dojo ni à l'école à deux ans. Mais à quatre ans plutôt. Et les deux sœurs Su n'en finissaient pas de faire bêtise sur bêtise à longueur de temps. Elles jouaient au pirate dans les fermes en prenant les vaches pour des bateaux et les poules pour des pirates (sans oublier que le chat c'était le capitaine ennemi), elles lançaient des fruits pourris sur les marins (civils, pirates ou marines) dés qu'il descendaient de leur bateau, elles faisaient des batailles de poisson… que des bêtises ! Et j'en passe de bonne… et j'oubli de préciser qu'elles n'étaient jamais seules, vu qu'elles s'étaient fait un groupe d'ami composé que de garçon, sauf une fille qui, visiblement, en pinçait pour les deux sœurs sans savoir qu'elles étaient des filles. Mais un jour ça ne se passa pas aussi bien…
Dalila avait la main sur son front en guise de casquette pour cacher ses yeux du soleil, ou pour mieux fixer l'horizon. À califourchon sur sa branche, du haut de la colline la petite garçonne balayait le port dans la lumière déclinante en s'imaginant une mer tranquille. Elle cherchait la proie de son navire.
Dal, tu fais quoi ? demanda la voix de sa sœur bien aimé qui avait déjà douze ans.
Je cherche des navires à aborder ! répondit l'adorable bambin de quatre ans d'un air trognon.
Dal la Vigie, je veux que tu m'appelles Capitaine Meg. Parce que, quand je serais grande, je serais une capitaine pirate !
D'accord Capitaine Meg ! répondit la petite en croyant sa grande sœur sur parole.
Elle continua de regarder l'horizon pendant que quatre garçon et un fille arrivaient en courant et en riant des champs. Ils racontèrent au capitaine Meg que le fermier les avait chassé de son près et que maintenant il y avait des chiens. Dommage, leur terrain de jeu préféré venait de fermer. Dalila vit une voile à l'horizon. Pas dans son imagination enfantine qui la mettait en haut d'un mat, hein, mais bel et bien la réalité, qui lui montrait… les voiles de son père ! Chang Su étant un pêcheur, il partait parfois plusieurs semaines à mer pour pouvoir ramener de quoi vivre à sa famille.
Navire en vu ! Navire en vu ! C'est Papa qui rentre !
La gamine descendit précipitamment de sa branche basse et courut jusqu'à son capitaine malgré les bleus qu'elle venait de se faire. Ensemble la mauvaise troupe fit la course jusqu'au port. Sans faire exprès la fille, Lahela fonça en plein sur un pirate. Sans se retourner la fille continua de suivre le groupe. Mais le temps d'arriver, Chang n'était déjà plus là. Les enfants poussèrent des cris de déception et restèrent sur place le temps de récupérer leur souffle. Comme le soleil se couchait, les garçons rentrèrent chez eux. Les filles, elles, allèrent à la taverne pour voir les pirates… même si Lahela restait en réalité juste pour les deux qu'elle prenait pour des garçons. Mais dés qu'elles entrèrent, elles virent qu'il y avait un problème. Dans la salle il n'y avait qu'un seul équipage et personne pour s'occuper d'eux. Pourtant il y avait de l'alcool à profusion. Le pirate qu'avait bousculé Lahela prit brutalement la fille par l'épaule.
Hé mais je te reconnais toi !
Aïe, aïe ! Lâchez-moi, vous me faites mal !
Lâchez-là ! fit aussitôt Mégara.
Aaahhh ! répondit Dalila quand les pirates les immobilisèrent solidement de leurs mains calleuses.
Vous inquiétez pas, mes p'tits gars ! fit le pirate, qui tenait Lahela, aux deux filles, les prenant pour des garçons. Ce que je vais lui faire vous allez adorer, et elle aussi. Et comme ça vous saurez comment faire…
Bien évidemment les deux sœurs ne voyaient pas du tout de quoi ce pirate voulait parler et se débâtirent en criant. Mais avant que le pirate ne puisse faire quoi que ce soit à Lahela, qui hurlait à se casser la voix, tous les hommes du village entrèrent, fourche et harpon en main et chassèrent les pirates. Il y eu du sang, des cris, des pleures. Dalila était même sortie de sa cachette pour donner des coups de pied au pirate qui avait voulu faire elle ne savait trop quoi à Lahela. Bien évidemment la gamine de quatre ans se prit un poing en pleine figure et fut sauvée par un adulte.
Ça ne va pas de foncer comme ça ? Réfléchit un peu avant de foncer comme ça, tête baissée, la sermonna Mégara en la ramenant de force à leur cachette.
Même pas mal, même pas peur ! fit Dal, bravache.
Et malgré la situation sa sœur éclata de rire en lui disant que sa phrase n'était pas correcte. Mais comme Meg en riait, Dali se promit de recommencer à chaque fois qu'elles se retrouveraient dans une situation difficile. Lorsque tout fut finit et que les pirates retournèrent à leur bateau en clopinant, les trois enfants se firent bien évidement copieusement fâcher. Comme son père était jaloux de son admiration pour Mégara et parce que Mégara s'intéressait d'un peu trop près à la piraterie, mettant de mauvaises idées dans le crâne de sa sœur chérie, Dalila fut envoyée à six ans dans un dojo à la montagne avec des moines shaolin, sur une autre île dont elle a oublié le nom. D'ailleurs ça la fait rire quand elle raconte cette partie de sa vie, à cause de la montagne et des moines, elle trouve que ça fait un peu trou perdu et fille arriérée. Donc ! Dal est allée là-bas et a tout de suite été confondue avec un garçon, ce qui fait qu'ils l'ont traitée comme tel, pour son plus grand bonheur. Ainsi la fille c'est diversifié dans divers arts martiaux mais le combat à main nue (sous toutes ses formes) est resté sa catégorie préférée et celle dans laquelle elle excellait. À l'instar de Kuina, Dalila repoussa petit à petit les limites de sa condition de femme en s'entraînant presque nuit et jour. Et elle battait les entraîneurs à cette matière. Au début, personne ne remarqua sa différence…
Jusqu'au jour ou un autre enfant (qui aimait embêter les autres) la vit sous la douche. Bien évidement la nouvelle choqua profondément les moines qui voulurent la mettre à la cuisine (à éplucher des patates). Mais après une magnifique crise, qui provoqua sans doute une ou deux avalanches, et quelques coups de poings colériques les moines abandonnèrent l'idée. Pendant les années où Dal resta à étudier auprès des moines shaolins, trop peu à son goût, elle se fit des amis (garçons) fidèles et eut même son premier grand amour d'enfance là-bas. Elle se sentait vraiment bien là-bas malgré sa famille qui lui manquait énormément et, malgré son manqué évident de discipline au début, finit par s'y faire peu à peu et commença même à en tirer bénéfice. Son amour de jeunesse se finit à ses neuf ans, le jour où Dalila apprit une grande tragédie…
Dal était, comme à son habitude, dans la salle d'entraînement et s'entraînait à combattre avec ses pieds, et uniquement ses pieds. Pour ça il fallait de l'équilibre et du contrôle. Beaucoup d'équilibre même. Aussi la jeune fille s'entraînait sur une sorte de poutre qui était à une dizaine de centimètres du sol. Elle s'était beaucoup cassée la figure mais peu importe, la garçonne irait jusqu'au bout de ses ambitions. Dalila Su voulait devenir la meilleure combattante à mains nues du monde entier, et des autres mondes ! Comme ça sa sœur pourra, plus tard, dire qu'elle est capitaine et que son bras droit est LE meilleur du moonndeuh ! Meg serait fière, très fière même, d'avoir un tel membre dans son équipage. Grâce à sa petite sœur, Mégara deviendra la plus grande pirate de tous les temps. Et ses parents aussi seront fiers. Papa les accompagnera et pêchera pour nourrir les membres de l'équipage. Maman, elle, fera la cuisine et réparera les voiles, les cordes, les vêtements… Maman s'occupera de tout le monde comme si c'était ses enfants. En fait, elle serait comme le deuxième capitaine du navire. Dalila tomba sur la tête et resta allongée de tout son long. Elle souriait de toutes ses dents en s'imaginant cette vie. C'est ce qui faisait tenir l'enfant depuis tout ce temps. Jamais la garçonne n'avait compris pourquoi on l'avait placée aussi loin de chez elle. Sa famille l'ai donc si peu que ça ? Ou alors ils voulaient peut-être qu'elle devienne la meilleure… Dal haussa les épaules et se remit au travail. Un moine entra. C'était le chef des moines. Il avait le visage sombre.
Petite, tu dois rentrer chez toi.
Non, je ne suis pas encore le meilleur ! répondit-elle avec un sourire qui faisait trois fois le tour de sa tête.
Le moine soupira. Il semblait très triste, ce que la petite Su ne comprenait pas. Pourtant ça faisait au moins un an qu'elle ne faisait plus de bêtise. Un jour un moine lui avait dit qu'un bon combattant est un combattant discipliné, elle devait donc se plier à leurs règles car c'était celle que les meilleurs combattants appliquaient. Du coup depuis un an Dal épluchait les patates, sans oublier son entraînement. Puis les patates à éplucher ça ne prenait pas tant de temps que ça. Petit à petit l'influence familiale qui poussait la garçonne à aimer l'anarchie se dissipait. C'était que le chef des moines shaolins regrettait : maintenant elle devrait retourner auprès de sa famille… Et subir à nouveau leur mauvaise influence. Le moine regarda la petite continuer de s'entraîner. Elle était très douée pour son âge, et nul doute qu'elle atteindrait un jour son but.
Dalila, ton père, il est…
Pêcheur.
Et bien… En fait, il était. Dalila se tourna vers lui, le regard interrogateur.
Il est devenu pirate ?
Non ! fit-il un peu sèchement, effaçant le sourire de l'enfant. Pour une fois tais toi et écoute ! cira-t-il presque en la voyant ouvrir la bouche. La garçonne serra les lèvres et pencha la tête sur le côté. Ton père a essuyé une tempête et n'est maintenant plus des nôtres. Ta mère souhaite que tu assistes à l'enterrement.
Le moine avait parlé d'une traite pour ne pas se faire interrompre. La fille le regarda comme si elle n'avait pas compris. Son regard était hésitant.
Je suis désolé.
Les yeux de biche de Dalila s'emplirent de larmes mais aucune ne roula sur sa joue. L'enfant se raidit et se mit bien droite, comme si elle était au garde à vous. Le spectacle de cette enfant luttant contre les larmes était à briser le cœur.
Même pas mal, même pas peur !
Sa voix était comme rouillée et sa phrase se finit pas une sorte de couinement aigue. Un sanglot lui échappa et les larmes commencèrent à rouler le long de ces joues. Le moine voulut la prendre dans ses bras pour la réconforter mais Dal partit en courant, se réfugier dans sa chambre sans doute, tout en pleurant. Elle courait en s'essuyant les yeux et le nez de sa manche. Ce jour là Dalila Su maudit le magnifique temps qu'il faisait et refusa de manger quoi que ce soit. Jusqu'à ce qu'elle retrouve sa sœur, la garçonne ne parla plus et mangea peu. Mais elle ne pleura pas non plus, ou du moins seulement quand elle était bien abritée sous ses des draps, au cœur de la nuit quand tout le monde dormait. Depuis ce jour la nuit est devenue l'une de ses plus grandes confidentes et devint la gardiennent des larmes de ce faux garçon. Une fois chez elle, Dalila ne pleura que deux fois en publique : en retrouvant sa sœur et sa mère, et lors de l'enterrement. Elle ne l'avait presque pas connu, et pourtant Dal gardera toujours l'impression d'avoir perdu un morceau de son âme le jour où ce moine lui avait annoncé la mort de son père. Une semaine après Mégara, qui avait tout de même 17 ans, partit en mer avec des pirates en promettant de revenir régulièrement et de subvenir à leur besoin. Kurin, leur mère, tomba malade et la cadette dut donc apprendre, assez brutalement, à se débrouiller seule. Madame Su aidait de temps en temps sa fille, quand sa santé ou les évènements l'y obligeaient.
La petite Su apprit tant bien que mal à faire la couture, faire la cuisine, le ménage, le jardin… Tout ce dont sa mère s'occupait habituellement. Parfois Kurin allait mieux et travaillait avec Dalila. Lorsque Mégara rentrait elle apportait d'importantes sommes d'or aux deux autres femmes Su. De l'or pirate. De l'or volé. Mais Kurin ne se plaignait pas, et Dal s'abreuvait alors des récits de sa sœur, la majorité étant sûrement inventé tant ils étaient improbables. Il fallait bien dire que, pour inventer des histoires, Meg était aussi douée qu'Usopp de son vivant. À côté de ça Dalila essayait tant bien que mal de continuer à s'entraîner et tentait de faire au moins trois heures d'entraînement par jour et appliquait à la lettre les longues explications de courts que lui envoyaient tous ses amis (souvent les mêmes leçons sous un point de vu différent, elle avait donc un court écrit complet) à côté de leur missive de correspondance normale, auxquelles la jeune femme répondit toujours.
Petit à petit Kurin se remit de sa maladie et tomba de moins en moins souvent malade. Au marché, Dal rencontra un jour, vers ses 13 ans, une fille : Yuki. Celle-ci, à l'instar de tant d'autre, tomba amoureuse de ce gamin, qui était du même âge qu'elle, et voulut l'aider. Elles devinrent amie, voir même meilleurs amie, et cette amie demanda de l'aide aux autres amis de Dalila pour lui acheter une bateau. Ce n'était pas un gros bateau, mais c'était un bateau (=> lien) quand même. Un bateau de pêche, même, pour une personne et qui permettrait à Dal de reprendre le métier de son père. En plus, grâce à sa mère, la garçonne savait réparer les filets et les voiles et cuisiner. Lahela et Yuki lui promirent de s'occuper de sa mère pendant son absence et tinrent paroles, malgré les petites protestations de la grosse Su (comme on l'appelait au port, amicalement). Dans l'année de ses quinze ans, alors que Dal rentrait tard au port et venait de finir de décharger son poisson, elle surprit une conversation à la taverne. C'était sa sœur, qui avait désormais 23 ans, qui parlait ce jour-là.
Dalila Su était fatiguée, épuisée, crevée, anéantie. Mais ça lui faisait du bien, ça permettait à son corps de se muscler. La garçonne avait remarqué qu'à force de porter de lourdes caisses pleines de son poisson, de remonter à la seule force de ses bras ses filets, des muscles masculins commençaient à se dessiner sur son ventre. Ses bras et ses jambes commençaient eux aussi à avoir des muscles saillants. C'était que le commencement, elle se l'était promise. Histoire de ne pas perdre la main elle s'entraînait aussi lorsqu'elle n'avait rien à faire, sur son bateau. D'ailleurs se métier de pêcheur c'était vraiment la bonne affaire ! Certes, elle ne pouvait pas rester plus d'une semaine en mer mais au moins ça lui apprenait la navigation. De temps en temps un vieux pêcheur qui commençait à rouiller chez lui l'accompagnait en mer et lui apprenait des trucs sur la navigation et l'aider à gérer les vents avec ses voiles et ses rames. Même que des fois cet enfoiré la faisait ramer toute seule "C'est bon pour les muscles moussaillon !" disait-il en riant. Ah lala… Sacré Giorgio ! Enfin voilà, Dalila battait la nature. Enfin, presque. Elle avait un peu de mal avec les règles, hein.
Histoire de se reposer et de prendre un peu de bon temps, miss Su se dirigea vers la taverne. Elle salua Lahela qui fermait la boutique de ses parents. La jeune fille châtain répondit à son salut puis retourna à ses volets qui ne voulaient pas se fermer. Dal ria un peu du spectacle puis reprit son chemin. Lahela refusait tout le temps qu'on l'aide. C'était une battante elle aussi. Alors qu'elle se trouvait à une rue de la taverne la garçonne entendait déjà divers cris joyeux et des chants. "Le saké de Bink". Génial, sa chanson préférée ! Dal éclata de rire. Une voix se hissa au dessus du raffut et les voix baissèrent peu à peu. La garçonne mit la main sur la porte mais une voix qu'elle connaissait bien cira seule dans le silence à peine installé.
Mes chers compagnons, je suis à la fois très contente et attristée d'être désormais votre capitaine. Notre chef nous manquera beaucoup, mais je vous promets de ne pas laisser sa mort impunie ! Un tonnerre de "Houra !" l'interrompit. Une fois le silence reprit, Mégara continua : Merci. Nous allons retourner à notre repère sur l'île de Gaimon, nous allons reprendre nos forces et on va le faire payer à la marine. Nous allons retourner à Kokoyashi Town et nous allons nous venger ! Mégara était acclamée de tous les côtés. Si vouloir porter secours à des villageois affamés est un crime "pire" que la piraterie, alors on va leur apprendre la politesse. Ensuite on fera honneur à la mémoire du Capitaine, et va aller sur Grand Line !
Dal entra à ce moment là et se fit accueillir par un grand sourire fraternel, mais…
Je veux venir ! annonça l'adolescente d'un ton décidé et catégorique.
La petite sœur Su avait un grand sourire franc et masculin, les sourcils froncés au dessus de son regard franc qui ne se baissait jamais. Le tout était très masculin, si bien que tout ceux qui n'étaient pas au courant de son sexe crurent que Mégara avait un petit frère de quinze ans. Sur le visage tout aussi masculin de Meg, son sourire fana quelque peu.
Non. Tu es trop jeune. Plus tard. Et Maman a besoin de toi, il faut que tu t'occupes d'elle. Tu sais bien qu'elle ne sait pas s'occuper d'elle-même…
Mais !
Tu sais que je dis la vérité Dalila, ne discute pas.
C'était un ton qui ne souffrait d'aucun refus. On entendit beaucoup de personne s'étouffer dans la salle à moitié silencieuse pendant que Meg allumait sa pipe et que sa sœur baissait la tête d'un air déçu, acceptant visiblement d'attendre encore un peu. La capitaine savait pertinemment que sa petite sœur n'aimait pas trop qu'on dise son prénom en public, car en général les plus futés devinaient alors qu'elle n'était pas un garçon. Mais tant pis, il n'y avait que ça et les promesse qui fonctionnaient. Mais ça ne marchait qu'un temps… Soudain l'adolescente poussa un cri d'effroi : elle venait de remarquer la prothèse de sa sœur, ce qui n'empêcha pas celle-ci de raconter (à la Usopp) comment son capitaine était mort et comment elle avait perdu son bras en même temps. Dalila Su fit la fête avec les autres pirates jusqu'au levé du soleil et se fit copieusement fâcher par sa sœur car elles étaient toutes deux… bien saoules et incapables de rentrer chez elles. Heureusement un membre de l'équipage de Meg les aida à retrouver leur chemin. Mégara resta deux ans sur la mer, laissant sa petite sœur se débrouiller seule. Encore. Mais elle lui avait tout de même offert un collier pour que sa petite sœur pense à elle. Durant ces deux ans un autre capitaine pirate, connu pour n'avoir ni cœur ni faille, sauva "par hasard" Dal d'un groupe nombreux et armé d'arme à feu. En un an ce capitaine mit le cœur de la jeune femme dans sa poche et la dépucela six mois après. La fille Su admirait ce Capitaine presque autant que sa sœur (presque) et il en profita encore et encore, jouant avec elle comme avec une marionnette. Mais il restait le plus discret possible, comme si personne ne devait savoir ce qu'il faisait. Il cachait sa relation avec Dalila et, en public, il se comportait avec elle comme une espèce de père ou de grand frère. Durant cette période Yuki comprit (enfin) que Dal était une femme. Ça lui brisa le cœur et, en larme, vint dire à la pauvre brunette que malgré leur sexe, elle l'aimait et l'aimerait toujours, ce qui gêna énormément la jeune femme et mit une grande distance entre elles deux.
Dans l'année de ces 17 ans, Mégara rentra à Dawn Island et apprit ce qui arrivait à Dalila par Lahela. Aussitôt la grande sauveuse partit secouer un peu sa petite sœur pour la réveiller : ce capitaine là se jouait d'elle et s'en fichait, d'elle ! Ensuite l'aînée Su fit péter quelques bombes et résonner quelques coups de feu pour faire partir ce capitaine et sa bande. Sur le quai ce pirate sans cœur dit quand même avec une réelle sincérité… "Je t'aime" Mais la jeune Su se contenta de le regarder avec un visage neutre et le capitaine repartit bredouille de Dawn Island. Meg resta quelques temps à son village portuaire natal et découvrit le bateau de pêche qui faisait la fierté de sa sœur avec un sourire qui sonnait étrangement faux. Plus tard Dalila Su découvrit par hasard que sa sœur souhaitait se rendre sur Grand Line et là, peu importe les arguments de Mégara, la garçonne voulait absolument venir. Elle mit en avant ses capacités comme si elle faisait un CV : cuisine, couture, pêche, navigation (et lire et des cartes), grimper en haut d'un mat et y rester pour faire la vigie. Ah, et le plus important, son vœux de devenir la meilleure combattante sans arme du monde entier. Elle fit même quelques démonstrations. Finalement Mégara ne trouva qu'une solution que Dal ne l'accompagne pas : dire qu'elle ne pouvait accepter un pirate n'ayant jamais trouvé un trésor (ce qui est évidemment faux). D'où la célèbre phrase qui marquera profondément son garçon manqué de sœur : "Tu devras me retrouver dés que tu auras trouvé un trésor. Tu me l'apporteras et alors tu pourras devenir un pirate sous mes ordres. Et je te ferais découvrir le monde !"
Comme Dalila Su croyait (croit et croira) toujours ce que disait Mégara, elle la crut et accepta avec beaucoup d'entrain et de bonne volonté. Pour la jeune femme c'était la promesse d'une réalisation proche d'un vœu très cher à son cœur. La grande sœur partit donc, laissant une fois encore Dalila et Kurin Su toutes seules dans leur petite maison de pêcheur qui était construite à la bordure du port. Sa mère retomba gravement malade et Lahela partit vivre sur une autre île. La vie de Dalila devint de plus en plus dure mais à son anniversaire de dix-huit ans la jeune femme garda son sourire franc et sincère aux lèvres pendant toute la fête, même quand elle dut l'interrompre car sa mère faisait une crise. Alors que la garçonne approchait de ses vingt ans, Kurin Su fut vaincue par sa maladie et mourut. Alors Dalila écrivit une dizaine de lettre (dont une qu'elle garda avec elle) et les envoya par l'intermédiaire de différents postiers et coursiers à sa sœur pour qu'elle apprenne la nouvelle. Mais ce n'était pas Mégara qui mouilla au port lors de ses vingt ans, mais son ex. Qui lui proposa de venir dans son équipage, ce qu'elle refusa poliment, avec le sourire. Et le pauvre pirate repartit (encore) sans elle. Et un nez cassé, mais ce n'est qu'un détail.
Enfin le garçon manqué (ou plutôt l'homme manqué, vu l'âge) trouva par hasard son trésor lors d'une de ses sorties en mer : son filet s'était coincé dans l'épave d'un bateau qui avait coulé à quelque jour du port, mais non loin de l'île. Dali dégagea son filet et, curieuse, fit une deuxième plongée pour explorer l'épave qui, heureusement, n'avait pas coulée dans une zone très profonde. Elle y trouva des cadavres (d'adulte, donc rien à fiche) et un coffre dans la cabine de ce qui semblait être le capitaine. Une fois sur son bateau la femme de vingt-deux ans découvrit un beau tas d'or et une espèce d'ananas marron. Lorsqu'elle rentra, surexcitée au port, Giorgio lui apprit que c'était un fruit du démon et que les personnes qui mangeaient un fruit du démon ne savait plus nager. C'était une espèce de malédiction qui faisait que la mer ne t'aimait plus (ou un truc dans le genre). L'histoire impressionna assez Dal pour qu'elle se promettre de le vendre une fois qu'elle serait devenue la vigie de sa sœur. La garçonne fit ses bagages et partit sur son bateau en direction de l'île de Gaimon pour retrouver la trace de Grand Line, savoir où était exactement Meg et, de préférence, dégoter une carte. Mais une tempête vint contrarier ses plans, emporter la majorité de ses vivres et de son eau potable, ainsi que tout ce qui ne se trouvait pas dans la cabine : voiles, mat, rames… Dalila se retrouva dans l'incapacité de prendre une direction, elle était obligée de se laisser porter par le courant. Les jours passèrent et son bateau n'arriva nulle part tout en s'éloignant beaucoup de sa destination initiale (vive le bon vieux sens de l'orientation). La garçonne vit lentement ses réserves d'eau et de nourriture baisser, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien. Dans l'espoir d'assouvir sa soif et sa faim le jeune homme la jeune femme en vint à manger le fruit du démon qu'elle s'était promise de ne pas manger…
SUITE IN RP
Dernière édition par Dalila Su le Sam 19 Nov 2011 - 19:41, édité 1 fois | |
| | | Dalila Su Pirate en devenir
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| Sujet: Re: Dalila Su [Complet] Jeu 17 Nov 2011 - 22:53 | |
| Contexte : Ça vient d'un forum au monde inventé par l'admin fonda où il y a des démons (les méchants), des anges (les gentils), des humains (les paumés) et les akumas (des humains qui ont été exposés en même temps à la magie des anges et des démons, ce qui transforme leur corps). Donc ma perso s'appelle Max Mantsu est dans ce post elle vient de passer de l'état d'humaine à celui d'akuma (plus précisément une sorte de loup-garou ailé) et a, en prime, perdu la mémoire. - Citation :
- [justify]Un souffle. Une sensation. Le noir. *Qu'est-ce que… Où suis-je ?… Qui suis-je ?* La sensation d'être allongée, elle la connaît sans la connaître. Ça lui fait bizarre. Elle sent l'odeur de la terre sur son nez, si complexe et raffiné. *Qu'est-ce qui ce passe ?* L'odeur de la terre, l'odeur du sang, l'odeur de la fumée, l'odeur de la chair brûlé, l'odeur de plusieurs êtres qu'elle différenciera plus tard comme étant celles mélangées d'anges, de démons, d'humains et d'akumas. Enfin elle comprit pourquoi tout était noir et elle ouvrit les yeux sur un monde sans couleur.
Elle eut l'impression que ce n'était pas normal, sans savoir pourquoi. Elle était face contre terre. *Où suis-je ?* Elle commença à se relever. Sa vue était de temps en temps floue. Elle s'assit et secoua sa tête. *Mon… mon nez. Il est si long, il est bizarre. Et mes mains. J'ai l'impression que ce n'est pas normal. Je ne comprends pas pourquoi. D'où vient cette impression…?* Elle regardait ses mains et son museau avec incompréhension. Elle sentait quelque chose tirer sur sa colonne vertébrale. Quelque chose qui n'aurait pas dû être là, comme dans son dos. Elle en était sûre ! Et pourtant, et pourtant… Elle n'avait aucun souvenir. Pourquoi cela lui paraissait-il anormal ? Elle regardait la base de sa queue. Elle était assise sur sa queue. Et elle avait des ailes. *Comment je sais ce que c'est ? Je n'ai pourtant pas vu de chose semblable. Tiens, c'est quoi ça ?* D'une main griffue, elle prit le petit cadavre calciné. À la vue du tatouage, son cœur se serra et elle se sentit attristée. *Pourquoi je ressens de la peine ? Et c'est quoi de la peine ?*
La tête de louve soupira et lança le cadavre plus loin. Aussitôt elle eut l'impression d'avoir fait quelque chose de mal. Mais… pourquoi "elle" ? Pourquoi pas "il" ? *Parce que je suis une femme et pas un homme. Même si je ne sais pas ce qu'est l'un ou l'autre…* Enfin elle s'intéressa au monde qui l'entourait. Un monde en noir et blanc. *Ce n'est pas normal. Enfin, je crois… Je devrais voir du bleu, du jaune, du rouge, et tout…* Tout en pensant à ces mots, des couleurs qu'elle ne pouvait plus voir et ne pourrait plus jamais voir lui vinrent à l'esprit. Par compensation à la perte des couleurs, son odorat était plus développé. *En même temps, vu le nez que je me coltine…* Elle quitta les colonnes de fumés et les cadavres ailés du regard pour loucher sur son nez. Elle toucha son museau du doigt. C'était humide. *Je suis enrhumée ? C'est quoi "enrhumé" ? Avoir un rhume ? C'est quoi un "rhume" ?* Laissant ces questions sans réponse de côté, elle reporta son attention sur le monde en noir et blanc (*Et gris* pensa-t-elle) qui l'entourait. Des cadavres d'ange et de démon l'entouraient. Elle avait l'impression que c'était la première fois qu'elle en voyait. Elle se passa la main dans les cheveux. Là par contre c'était normal. Ah, sauf là. Ses oreilles étaient bizarres, longues et larges elles aussi. *Pourtant j'entends pas grand-chose…*
Effectivement, l'ex champs de bataille était entièrement silencieux. À croire que même le bruit aurait fuit l'affreuse tuerie qui opposait les anges et les démons. D'ailleurs c'était de bien drôle de bête que ces choses là ! Curieuse, la louve ailé voulu se lever pour aller en étudier un de plus près. Mais même ses pieds n'étaient plus pareil ! Après s'être cassé la figure à deux reprises, elle décida d'étudier ses pieds de plus près. Leur forme l'étonna. Pourtant elle n'avait pas souvenir de les avoir eu autrement. En fait, elle n'avait plus aucun souvenir tout court. Mis à part pour les couleurs. *Même ça je finirais par l'oublier avec le temps. Enfin, je crois…* Elle réessaya de se mettre debout, en essayant de respecter la forme de ses "pieds/pattes" cette fois-ci. Et ça fonctionna plutôt bien. Elle fit quelques pas pour s'habituer à ses nouveaux pieds. Et cette fois-ci ce fut la hauteur à laquelle elle voyait qui lui parut bizarre. *De toutes façons tout me paraît bizarre depuis que je me suis réveillée !* Et elle ne chercha plus à comprendre. Trop de questions, trop de mystère. Ça l'énervait.
Enfin debout, elle s'approcha d'un cadavre d'ange et l'étudia du regard. *Ça ressemble à un humain avec des ailes blanches. Je ne sais pas ce que c'est un humain, mais c'est pas grave ! D'ailleurs, je ne suis même pas sûre que ces ailes soient blanches…* Elle haussa les épaules et alla ainsi de cadavre en cadavre, abandonnant celui de son ex fille sans l'enterrer. Elle ne se souvenait plus qu'elle avait eu une fille - ni même une vie - avant de se réveiller là, au milieu des morts. De temps en temps elle tombait lorsqu'elle se mettait dans de "nouvelles" positions (accroupis, par exemple). Elle se lassa vite d'observer ces anges et ces démons morts sous tous les angles, aussi elle décida de partir. Ce qu'elle fit, vers une direction qu'elle "sentait" bien. Elle butta sur le corps et tomba. Et quelque chose poussa un râle. L'akuma sursauta et se releva. Elle était tombée sur un démon. Et il était vivant. Le démon ouvrit lentement les yeux. Il était à l'agonie. Lorsqu'il vit l'akuma, il ouvrit de grands yeux terrifiés.
A… koou… maa…
Il tendit son bras vers son arme avec difficulté.
Ak…!
Elle fut surprise. Même sa bouche n'était plus pareil ! Mais elle parvint à maîtriser les sons qui sortaient de sa gueule assez rapidement.
Akouma, c'est mon nom ?
Elle apprécia sa voix grave et sèche. Elle était aussi un rien brutale et pressante. Le démon commençait à paniquer. Il ne lui faisait pas attention. Il tenta de se relever, son arme en main.
C'est mon nom ? Est-ce que "Akouma" est mon nom ?
Le démon força trop et mourut soudainement. Ses blessures étaient trop graves, il avait trop forcé. L'amnésique resta silencieuse, en regardant le démon d'un air impénétrable. Finalement elle prit l'arme du défunt et se releva. Elle regarda l'arme.
Akouma… C'est jolie je trouve…
Contexte : C'est Rose sur un forum Bleach où on a accès à la dimension royale (vous savez, là où Aizen voulait aller). C'était mon premier post avec lui et je devais rattraper deux ou trois topics que le groupe avait déjà fait à la Dimension Royale. - Citation :
Rôjûrô Ôtoribashi fut époustouflé par le quartier général des pirates. Il n'avait rien à voir avec celui des Vizards, ça non ! Le QG des pirates étant une sorte d'immense bateau planant sans appui dans les airs. Rose resta un instant bouche bée puis sourit. Pour des pirates, un QG en forme de bateau n'était pas si surprenant que ça si on y réfléchissait bien. Leur propre bateau atté… se posa sur le flanc du navire géant et le groupe put admirer la ville aérienne chargée d'une foule de monde, sans doute tous pirates. Le Vizard remarqua comment les pirates s'inclinaient sur leur passage, ou plutôt sur le passage de la petite Shiba. *Elle doit vraiment être importante cette petite.* Rôjûrô se désintéressa rapidement de l'enfant pour s'intéresser à la ville elle-même. Il trouvait le tout était très artistique, surprenant et original. Mais le bateau était loin d'avoir délivré tous ses secrets et Rose fut ébahi devant le palais.
Splendide ! s'exclama-t-il, visiblement aux anges.
Les yeux de Rose semblaient sans cesse en mouvement. Il avait l'impression d'être dans un vieux conte ou dans une vieille histoire. Son entrain fut légèrement refroidit lorsqu'il vit l'aînée du clan Shiba. La tentative ratée d'Hachi le désola autant que l'état de la femme. Il resta silencieux, comme pratiquement tout le temps depuis le début du voyage. La femme leur apprit que le lieu magique dans lequel le groupe se trouvait un instant auparavant apparaissait très rarement. *Je savez qu'on aurait dû y rester ! On était bien là-bas, pas de combat, pas de guerre, pas de soucis, un bien-être rarement éprouvé jusqu'à maintenant… Et les animaux ! Les dauphins et les serpents dorés…* Rose soupira et repartit dans ses divagations poétique. Heureusement il ne s'exprima pas à voix haute sinon il aurait interrompu tout le monde et se serait sûrement tourné au ridicule. Enfin, comme à chaque fois que ça arrivait, d'ailleurs. Le Vizard revit les animaux fantastiques. Quand ils les avaient vu il n'avait pu se retenir et s'était dangereusement penché en avant, vers l'océan, pour pouvoir mieux admirer le magnifique spectacle aquatique. Mais il avait été arraché à tout ça par leur quête, celle d'Aizen. L'ancien capitaine soupira et revint à la réalité à temps pour voir que tout le monde sortait de la salle. Mince ! Il n'avait rien écouté. Si ça se trouve ils avaient dit quelque chose d'important. Voir Lisa ranger un magasine le rassura. Visiblement il n'était pas le seul a en avoir loupé la moitié.
Comme un mouton bien dressé, Rose suivit le groupe et cette fois-ci écouta ce qui se disait. Le groupe attendit de nombreuses minutes le temps que tous les navires soient prêts. Il repartit dans ses divagations. Quelle spectacle saisissant qu'était ses vaisseaux volants avec agilité dans le ciel comme s'il était sur l'eau ! On les installa sur un des bateaux et Rose, en extase, regarda les bateaux ouvrir des voiles d'énergie puis plonger vers l'océan. Là il perdit un peu de son sourire bête. La flotte allait s'écraser ! Mais non, les navires redressèrent à temps pour se poser en douceur sur l'onde. Légèrement décoiffé par la chute contrôlée, Rôjûrô reprit son sourire. Le calme semblait revenu… mais non, un navire ennemi fut en vu. *Nous avons vécu beaucoup de chose en peu de temps, et chaque période d'action était précédé par une période de calme aussi longue que celle d'action.* Tiens, ça lui rappelait quelque chose… Mais quoi ? Ah oui ! Il trouva la bonne comparaison à leur aventure à la Dimension Royale : les automobiles humaines conduites par des apprentis. Ça avançait, puis ça s'arrêtait… puis ça avançait de nouveau pour encore s'arrêter. C'était assez chaotique dans l'ensemble. Mais Rose ne regrettait pas le voyage et la seule chose qui gâchait son plaisir était leur objectif : Aizen.
Avec un soupire le Vizard repensa à la plage paradisiaque sur laquelle le groupe avait atterri. Ou plutôt amerri, et bien loin du rivage. Il revit, ou plutôt réentendit, les magnifiques sirènes et leur tout aussi magnifique chant. Malheureusement un costaud lui avait empêché de rejoindre les êtres mythiques. Juste après un magnifique mais terrifiant serpent aqueux d'une taille titanesque et un kraken (un ami à lui, sans doute) étaient venus mettre la zizanie dans leur expédition. Avait alors suivit une période de calme bienvenu pour tout le monde. Puis il y avait eu la tempête, et la fontaine… Rose soupira. *Je me demande si cette dimension nous réserve d'autres surprises aussi poétiques que celle qu'on a eu jusqu'à maintenant.* L'ancien capitaine était là tranquillement entrain de penser à tout ça, les cheveux aux vents en écoutant le doux clapotis de l'océan. Soudainement prit d'inspiration, Rose replongea dans son univers et commença à parler à voix haute.
Écoutez donc le bruit de l’eau ! Il ressemble à un chant qui nous envoûte ! Tout comme ces Sirènes… Leur voix si douce ont réussi à m’avoir Et c’est à genou que j’aurai voulu répondre à leur si belle musique ! J’espère en voir de nouveau pour leur faire part de mes propres talents !
Il rêvait complètement, bien que personne ne veuille aller voir ces Sirènes, lui semblait, au contraire, faire demi-tour pour continuer à avoir des problèmes avec ces créatures. Non loin d’Hachi, Rôjûrô l’entendit faire ses différents kidos, puis demander à éloigner le navire.
Fuyons chers compagnons cet affreuse chose que voilà ! Nous sommes pirates et libres ! S’ils viennent ! Ils nous prendront, et devront avoir leur exécution ! Que j’aime cette liberté ! Il me donne envie de rêver et de composer !
Et c'est ce qu'il fit. Fort inspiré par l'expédition, Rose commença à chercher quelques vers pour mettre en poème leur arrivé. Comme il n'avait pas beaucoup bougé de l'endroit où il se tenait, le Vizard entendit tout le reste de la conversation.
Nous immerger, mais quelle belle idée ! Les poissons exotiques vont nager autour de nous comme s'ils étaient des oiseaux marins, ça va être magnifique !
Visiblement il ne remettait pas en doute la capacité d'Hachi à les maintenir sous l'eau. Mais bon, d'un autre côté, Rose était en plein délire. L'ancien capitaine se joignit aux autres pour créer la barrière de protection. Contexte : Même forum mais avec mon autre personnage, une shinigamie de la septième division qui a beau être à deux doigts du shikai et shinigamie depuis deux ou trois ans elle n'a pas monté en grade depuis le début. - Citation :
-
Mulan Kaosuhewa s'engagea la première dans le senkaimon avec son matou gris bien installé sur ses épaules comme s'il était une écharpe. La shinigamie gardait son visage "neutre", soit d'une expression hésitant entre l'agacement et l'exaspération, mais à l'intérieur elle bouillonnait d'impatience. Elle allait enfin voir la terre, la technologie avec les voitures, les maisons grandes comme des arbres, les magasins et tout… Et peut-être même qu'elle combattrait des hollows et pourrait enfin commencer sa vengeance. La blonde caressait son chat d'un main distraite en marchant dans… euh, une sorte de chemin blanc sans fin. La membre de la septième division jeta un coup d'œil derrière son épaule pour voir où se trouvait Ryouka Haoga. L'élève était juste derrière sa guide. Mulan se retourna pour regarder droit devant elle. Son pas était rapide, son cœur battait la chamade et elle avait chaud sous l'effet de l'adrénaline qui augmentait (pour rien) dans ses veines. La femme blonde à la tresse rouge sang avait hâte d'arriver au bout et de voir les merveilles du monde des vivants. Comme tous les shinigamis (ou presque), Kao ne se souvenait pas de sa vie dans le monde réelle car, de un, elle était morte jeune et, de deux, il s'était passé tellement de temps (environ 630 ans…) qu'elle avait largement eu le temps d'oublier cette très courte période de sa vie. Un point dans ce "truc" au loin se détacha du reste. Un grand sourire illumina son visage et ses joues devinrent rouges. Mulan pointa le carré du doigt :
Regarde, Ryou, on est bientôt arrivé !
Oji eut un miaulement de protestation. Nan mais elle allait pas bien dans sa tête d'arrêter de le caresser pour gueuler et le réveiller ! Tss… Le matou referma la paresseuse paupière qu'il avait ouverte. Kaosuhewa arriva enfin au carré et vit, pour la première fois de sa vie… Une ville moderne ! Bon, certes, elle était un peu en ruine… Mais c'était quand même vachement impressionnant. Surtout les bâtiments. La bouche grande ouverte, la shinigamie se dévissa le cou pour voir le haut des immeubles. Son chat miaula de protestation. Après crier dans tous les sens voilà que maintenant sa maîtresse levait tellement la tête qu'il ne pouvait plus tenir sur ses épaules ! Puisque c'était ça, le matou gris rayé décida de déménager sur les épaules de Ryou. L'animal sauta des épaules de sa maîtresse, feula contre le sol qui était vachement bizarre, escalada l'étudiant en le griffant au passage et prit refuge sur son épaule gauche. Le matou enfonça ses griffes dans son épaule. Il avait les poils tous hérissés et les oreilles couchées en arrière. Visiblement Oji vivait mal la ville moderne et en avait peur. Soudain Mulan remarqua la vitrine avec les télés à côtés desquelles le senkaimon s'était ouvert. Bien évidemment la femme blonde n'avait pas remarqué le shinigami exilé, le confondant avec un humain normal (à cause des vêtements et parce qu'il n'a pas de chaîne sur le torse).
AAAAAHHHH !!! RYOUUUKAAA !! Ryou ! Ryou ! Regarde, il y a des têtes décapitées qui bougent toutes seules dans les boîtes ! Mais regarde là ! C'est même les mêmes têtes. Beuah ! Comment ils peuvent vendre ça ces monstres ? Des têtes décapitées qui bougent et qui parlent dans des boîtes, berk !
Les informations changèrent pour montrer les étranges phénomènes du moment ainsi que des explosions terroristes qui étaient en réalité l'oeuvre des hollows. Mais les humains ignorant pensaient à des bombes ou des effondrement. Et, notamment, les informations montrait une vidéo d'une de ces explosions. Kaosuhewa eut une exclamation de surprise quand la tête disparut et regarda la vidéo avec les yeux grands ouverts, ce qui donnait l'impression qu'elle était physiquement plus jeune. Car, lorsque la shinigami la tresse sanguine ouvrait grand ses yeux elle semblait avoir une vingtaine d'année au lieu de presque trente ans (physiquement, hein). Donc la femme, qui semblait avoir maintenant physiquement vingt ans, regardait les télés d'un air totalement neutre et le corps immobile. Puis la belle fronça les sourcils et dégaina.
Reste en arrière Ryou ! Je m'occupe de ces invisibles hollows miniatures qui effraient la populace des boîtes - et je vais les libérer aussi. YAAAAHHH !!! fit-elle en levant son arme.
Et, avant que quiconque puisse réagir, Mulan chargeait les télés. Elle brisa la vitre à l'aide de son zanpakutô et, profitant de son élan, brisa quelques télés dans son élan. Le vendeur hurla en voyant soudainement ses télés exploser (oui, il ne pouvait pas voir la shinigamie). Mais la charge s'arrêta là. Pour une raison toute bête : l'électricité. Oui, l'électricité présente dans ces télévisions allumées, qui remonta le long de la lame spirituelle et qui électrocuta proprement et simplement l'idiote qui avait osé les détruire. Comme un seul "homme" tous les cheveux de Kao se dressèrent sur sa tête et des petits fils d'électricité passèrent entre le bout de ses cheveux. Tous les muscles de la femme se crispèrent et ses dents claquèrent violemment les unes contre les autres. Puis, enfin, tout s'arrêta, laissant une Mulan à coupe afro fumante dont la tresse pointait en avant comme si elle était en métal. Et ses ornements étaient tous noircis voir à moitié fondus. La shinigami resta coi et immobile, ne comprenant vraiment rien à ce qui venait de se passer. Sauf deux choses : elle était décoiffée et totalement ridiculisée. D'où ses joues rouges. Bon, euh… je pense que ça suffit pour les posts RP hein. Bien évidemment j'ai mis que mes meilleurs RP =p
Dernière édition par Dalila Su le Sam 19 Nov 2011 - 11:41, édité 1 fois | |
| | | Sid Langren Seigneur des océans
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| Sujet: Re: Dalila Su [Complet] Ven 18 Nov 2011 - 0:03 | |
| y a une procédure en gros et en rouge dans le modèle de fiche.
procédure à suivre en cas de réutilisation d'éléments venant d'autres forum.
ça serait cool si euh...tu faisais ce qui est indiqué en gros et en rouge.
Par la même occasion si t'avais une idée pour que moins de gens loupent ce qui est écrit en gros et en rouge hésite pas à faire tourner parceque apparement pas mal de gens ont du mal avec ^^". | |
| | | Dalila Su Pirate en devenir
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| Sujet: Re: Dalila Su [Complet] Sam 19 Nov 2011 - 11:25 | |
| Ah, désolé, je n'avais pas compris que ça marchait aussi pour les test RP (on m'avait déjà expliqué le truc du Shazoo avant mais j'ai eu du mal à comprendre)
A mon avis c'est juste mal expliqué votre affaire, suffit d'expliquer plus en détail et avec un exemple, de préférence. On comprend tout de suite mieux avec un exemple.
Dernière édition par Dalila Su le Sam 19 Nov 2011 - 19:49, édité 1 fois | |
| | | Sid Langren Seigneur des océans
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| Sujet: Re: Dalila Su [Complet] Sam 19 Nov 2011 - 15:28 | |
| Je valide rang 3 avec le fruit ^^.
Fiche bien sympa, bravo ^^. | |
| | | Fujimi Fukami Pilier de la Marine
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| Sujet: Re: Dalila Su [Complet] Sam 19 Nov 2011 - 20:10 | |
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| Sujet: Re: Dalila Su [Complet] | |
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| | | | Dalila Su [Complet] | |
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