Présentation Hoomuschoo

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : /
Age : /
Homme/Femme/Okama : /
Comment avez vous connu le forum : google
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Cela dépend de mes disponibilités
Tes Mangas préférés : One piece
Ton personnage préféré dans One Piece : Dr.Hiluluk
Ce qui t'as motivé à venir : J’aime bien écrire et imaginer. Je souhaite faire vivre mon personnage au sein de la communauté et de le faire évoluer.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : J’en ai fait il y a deux ans pendant deux ans.
Hobbys : Muay Thai, foot, basket, musique, jeux vidéo etc …
Autre(s) : Bonne lecture

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Hoomushoo (Ministère de la Justice)

• Surnom Celui-ci pourra être affiché sur le Wanted en cas d'absence de votre identité. Toutefois, il vous est possible de laisser le choix aux autorités. : /

• Age : 22 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Marine

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : indifférent

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Inventeur

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Aucun pour le moment, je souhaite vraiment débuter à zéro

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Retrouver les secrets de mon père – Comprendre mon passé – Retrouver mon père.

Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises
Code:



◘ Description Physique :

J’ai une peau assez clair. Ma peau est vraiment sensible. L’eau chaude agresse facilement ma peau. La chaleur agresse aussi ma peau mais tout cela ne m’intéresse pas, ma morphologie est loin de m’intéresser à ce jour. Je détiens l’arme secrète qui dépasse le physique : le mental !

J’ai de gros yeux marrons foncés, parfaitement symétrique l’un à l’autre. Mon visage ne présente aucune cicatrice. Je possède un nez aquilin assez fin. J’ai une bouche ferme, de petites lèvres roses, un menton pointu. Je détiens de petites joues. Mes cheveux noirs sont coiffés vers l’arrière ce qui dégage mon visage. Je dois certainement avoir des poux dans la tête, une sorte de civilisation mais cela ne me préoccupe pas. Je laisse quelques mèches cacher mon visage afin que les inconnus puissent avoir une idée de ma personnalité.

Malgré mon corps assez mince, je reste tout de même dans le poids idéal : 70 Kilogrammes pour 1m90. Je suis très fin et très peu musclé. Mes bras longs sont d’incroyables avantages physiques dans toutes les disciplines sportives. J’ai un long cou mince, des longs doigts maigres et des longs ongles. Oui, l’hygiène est pour moi secondaire. Derrière mon apparence maigrichonne, on peut apercevoir mes abdominaux mais aucun pectoraux. La musculation est une perte de temps selon moi.

Comme tout mon corps, mes jambes sont longues et maigres. Mes cuisses sont peu minces pourtant je suis un grand coureur. Mes mollets sont minables. J’ai l’impression d’avoir un corps d’enfant de 12 ans. Les muscles sont un atout esthétique, une sorte de mode à avoir pour plaire donc une perte de temps. Mes longs pieds fins me permettent de chausser du 54. Oui, j’ai des pieds d’un clown et pourtant cela ne fait aucun effet grâce à mes 1m90. Les ongles de mes pieds sont longs et abjects.



◘ Caractère & morale :

« Le physique est révélateur de la personnalité »

Qui pourrait dire que ce proverbe n’est pas exacte ? Selon moi, en analysant un Homme, on pourrait connaître approximativement sa façon de penser. On pourrait connaître aussi son âge et son sexe. La nature humaine m’a donné un grand sens de l’observation et de l’analyse. Je reste tout de même assez modeste sur mes capacités mentales. Le moins qu’on puisse dire, c’est que je reflète parfaitement l’Homme que mon corps laisse paraître … enfin presque.

Mon long maigre corps laisse paraître un Homme faible physiquement. Oui, je suis assez pacifiste. Je préfère discuter autour d’un bon café. Selon moi, la violence est un acte animal. Cet acte barbare est le dernier recours en cas de non coopération de mon interlocuteur. Face à ce genre de comportement, je garde mon sang-froid et je réfléchis. Je laisse passer aucun détail de mon interlocuteur : gestes, regards, stresse, tons, paroles etc …

Mon regard vide me permet de laisser indifférent les inconnus que je croise. Il y en a qui me trouve spécial, d’autres banales … mais cela ne m’importe pas. Je suis simplement moi-même. Je déteste juger les personnes du premier coup d’œil. La plupart des gens que j’ai rencontrés me trouve très bizarre. Il trouve que je réfléchis beaucoup trop. Moi je trouve que je réfléchis assez pour maintenir ma vie en sécurité. Je ne souhaite pas mourir bêtement comme un idiot. La vie est un privilège à ne pas gâcher. Je me suis rendu de sa il y a bien longtemps. Je sauverai ma vie même si dois sacrifier la vie de mon compagnon !

Vous devez certainement vous dire « quel genre de crapule est cet homme ?! ». Je vous arrête tout de suite, je ne suis pas le genre d’homme que vous pensez, je ne suis pas le genre d’homme que je pense. Je ne connais peut-être qu’une once d’information sur moi comme un grain de sable dans un désert. Tout ce que je dis est éphémère. Vous l’avez compris, je suis le genre d’homme très sensible qui se laisse porter sous le coup de l’émotion …

« Le style n'a aucune importance ce sont les émotions que vous exprimez qui compte »

Cette expression me décrit partiellement. Mes paroles sont à l’encontre de mon cœur. Malgré l’air dur que j’essaye de faire passer, je suis émotionnel. J’essaye de ne pas le montrer aux inconnues car cela donne une image faible de moi-même. Cela me qualifie d’homme faible incapable de protéger qui que ce soit. Mon style vestimentaire est assez léger et bâclé. Je pense que cette façon de penser vient de mon père : Mon modèle !


◘ Histoire :

Introduction

J’étais là, assis au bord de l’eau, regardant le ciel bleu. Les oiseaux chantaient, les poissons nageaient, j’étais tranquillement assis. Les poissons mangeaient les planctons, les mouettes mangeaient les poissons la chaîne alimentaire se poursuivait. Je sentis une douce brise me caresser le visage. Je balançais mes jambes et posais ma tête par terre. Je croisais les bras et regardais le soleil se couchait doucement. Je voyais apparaître une lueur jaunâtre. De gros cumulus se rassemblaient au-dessus de moi. Une pluie allait éclater. La pluie commençait à tomber. Petit à petit elle s'accélérait, petit à petit, les petites gouttes deviennent des grosses gouttes. Je fermais les yeux, j’entendais attentivement la pluie s’éclabousser sur mon visage. Cela me fit un énorme bien, il faisait énormément chaud ces temps-ci. Une odeur bizarre se dégageait du sol. Cela fait deux semaine qu'il n'a pas plu. Le sol était très chaud mais j’étais tout de même pied nu. C’est une habitude et on ne change pas les habitudes qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Je restais toujours couché au bord de l’eau. La douce odeur de la mer me caressait les narines ; j’étais à l’aise. J’ouvris doucement les yeux et apercevait cette magnifique vue en contre-plongé. Je voyais un ciel gris sombre et des gouttes partout dans le ciel tomber sur moi. Une énorme goutte tombait sur mon œil et m’obligea à refermer les yeux. C’est vrai que j’étais mieux les yeux fermés. Mon cerveau pouvait énormément réfléchir sur ma situation actuel. A nouveau, j’essayais d’oublier mes problèmes, j’écartais un peu plus les jambes pour me sentir mieux en liberté. J’écarte aussi mes bras, cela représentait pour moi la liberté. Je mis mes membres aussi loin que j’ai pu l’un de l’autre. Je me sentais à l’aise, mes habits étaient mouillés mais cela ne m’importais peu. Je souhaitais simplement pouvoir ouvrir les yeux à nouveau et pouvoir dire « tout va bien ». L’eau continuait de couler le long de mon corps, elle décrassait mes longs et répugnants ongles. J’avais l’impression d’être propre mais je ne l’étais pas. Je sentais un petit coup de froid, je risquais d’attraper un rhum si je restais planté là mais j’y restais quand même. Je sentais comme une incroyable sensation de joie. Je me rappelais de mon enfance, l’époque où je n’étais pas plus grand que trois pommes …


I/Enfance ordinaire

A ce moment-là, je devais avoir trois ans, je savais courir, marcher, sauter, marcher à cloche pied. Bref, j’étais tout simplement un enfant ordinaire. J’étais rasé, j’avais la boule à zéro je ne sais toujours pas pourquoi d’ailleurs. J’étais dans mon île natale Hoomuschoo. Vous l’avez compris, je me prénommais comme mon île natale Hoomuschoo, à East Blue. Bref, à ce moment-là, j’étais chez moi, j’avais ma mère qui s’appelait Kuna et mon père qui s’appelait Yamato. Mon père Yamato était grand et maigre, son style vestimentaire était banal et laid. Il était très doué en ce qui concernait d’inventer des machines, il était incroyablement intelligent. Ma mère Kuna était plutôt petite et enveloppée. Elle était très belle, pour moi elle ressemblait à une déesse. Malgré tout, je lui reprochais beaucoup de chose, j’éprouvais beaucoup de rancunes à son égard …

A mes trois ans, mon père découvrit que j’étais un enfant très différent des autres. J’étais très inactif contrairement aux jeunes enfants de mon âge. Je préférais marcher au lieu de courir. Enfaite, je sautais cette case d’activité et d’insécurité de tous les enfants. Je grandissais, de jour en jour, sans pour autant me soucier de mon père. Je savais malgré mon jeune âge que mon père avait une idée en tête. Son regard le trompait car il était d’une anxiété inimaginable. J’essayais d’oublier tout ceci mais j'y repensais toutes les nuits. Je bougeais dans tous les sens, mon corps devenait chaud, j’étais totalement surexcité. La surexcitation empêche de dormir donc je passais mes nuits sans dormir ou très peu. Cela me perturbait pendant de nombreuses semaines mais au bout d’un moment, j’arrêtais d’y penser. A cet âge-là, je faisais énormément de cauchemars. Je tremblais souvent le soir et je suais beaucoup. Ma mère ne comprenait pas mais mon père avait l’air d’avoir une petite idée sur la chose. Le regard qu’il me lançait ce soir-là me faisait peur. J’avais envi de comprendre ce qu’il avait en tête mais je n’osais simplement pas poser la question.

A ce moment-là de ma vie, j’apercevais le rêve de mon père. Je le voyais souvent dans une petite salle de travail où il y restait toute la journée. Il travaillait sur un plan apparemment mais moi et ma mère n’avions aucune idée de ce que s’était. Je voyais simplement énormément de drapeau de la marine. Je voyais qu’il utilisait excessivement des machines. J’ignorais encore quel genre de machine il utilisait mais cela ne serait tarder. Chaque jour durant mon enfance, je souhaitais entrer dans la salle de mon père mais en vain. J’étais beaucoup trop faible et trop petit. Mon père faisait beaucoup de dessins de prototypes. Je donnerais cher pour comprendre ce qu’il s’était passé. Les jours passaient, je vis un jour le regard fuyard de ma mère. Elle avait l’air apeurée après une discussion avec mon père. J’étais inquiet, je me faisais énormément de film, j’avais peur de l’avenir, j’avais peur de ce qu’il allait m’arriver, je pensais à tout ce qui pourrait m’arriver en commençant par la pire des situations. Je voyais ce jour-là deux personnes totalement différentes : mon père et ma mère. Ma mère avait déchiré un drapeau représentant le gouvernement !

Le lendemain, alors que j’avais mis deux heures pour m’endormir, je me réveillais comme d’habitude mais aujourd’hui, je sentais qu’il allait se passer quelque chose de particulier. Quelque chose qui allait changer peut-être toute ma vie. Ma mère avait disparu ! Je la cherchais partout, même dans les endroits impensables comme les tiroirs. J’étais perdu, je ne pouvais pas croire que ma mère m’avait abandonné. Je ne pouvais croire ceci. A partir de ce moment-là, j’ai oublié tout ce qui s’était passé. … jusqu’à mes 14 ans …


II/ Adolescence

Ahh .. l’adolescence ! C’est une étape assez importante pour l’être humain. C’est à ce moment-là qu’on forge notre personnalité. C’est le moment le plus important car il permet de créer des voies potentielles pour ton futur. La personnalité est l’élément principal qui joue sur le destin. C’est un moment propice afin de faire du « bourrage de crâne ». On peut apprendre ce qu’on veut à n’importe quel adolescent. A ce moment, l’adolescent est naïf, il croit à tout ce qu’on lui dit. L’adolescent pense même qu’il est le seul à avoir des problèmes. Un adolescent pense souvent que ses problèmes de cœurs sont importants hors, ce ne sont que d’infimes problèmes par rapport aux problèmes adultes.

Mon père l’avait compris. Il savait que ce qu’ils allaient m’apprendre maintenant, j’allais le retenir toute ma vie. A partir de mes quinze ans, il me parlait beaucoup, il me faisait la moral. En fait, il souhaitait que je devienne un homme bon mais j’étais trop fainéant pour être au service du gouvernement. Il pensait que chaque mal est puni par le bien. Pour moi, le bien et le mal ne m’importait rien. Il me disait souvent que j’étais un homme assez fainéant depuis tout petit, il pensait que j’étais très intelligent et que je comprendrais quand je serai un peu plus vieux. Il souhaitait que je comprenne le fond de ses pensées mais à ce moment, je ne comprenais rien. Je l’écoutais et j’hochais de la tête en signe d’affirmation. Il me disait que mon destin est d’être un grand homme de la marine mais moi, je rêvais simplement d’être un nuage. Imaginez-vous être porté par le vent, ne rien devoir faire. Il suffit de laisser faire le temps. J’avais envie de ne pas avoir de problèmes, de vivre en paix. Je pensais aussi à devenir un pirate. Je voulais être libre, faire le tour du monde non pas pour être le seigneur des pirates mais simplement pour découvrir un tas de choses sur le monde qui nous entoure. La découverte du monde, les aventures, tout ceci n’est rien d’autre qu’un rêve pour moi. Prendre la mer est un rêve qui est apparu au cours de mon adolescence mais cette idée était contre celle de mon père qui lui souhaitait que je sois le bien et non le mal. Je commençais à réfléchir, je me demandais toujours ce que je devais faire. Mon père avait tout simplement chamboulé mon cerveau. Je me retrouvais face à une impasse. Je ne savais pas qui écouter.

« Tu penses qu’un homme meurt à cause d’une balle en plein cœur ? Non … Tu penses qu’un homme meurt à cause d’une maladie incurable ? Non … Un homme meurt lorsque son rêve tombe dans l’oubli. »

Ce proverbe restera à jamais inscris dans mon cœur. Je l’avais découvert alors que j’avais une petite discussion avec mon père. Il avait l’air très pressé. Il était venu me voir et me dit ce proverbe. J’étais vraiment bouche-bée. J’avais quelques larmes qui coulèrent. Je n’osais pas ouvrir la bouche. Je ne savais pas quoi dire. Cela ne me disait rien qui vaille. J’étais stressé, je ne comprenais pas pourquoi il utilisait un thème aussi sombre que la mort. Je me sentais mal, j’avais la tête qui tournait. Je me sentais comme un prisonnier condamné attendant la fin de sa vie. Cela représentait beaucoup de souffrances. En fait, je me sentais si mal car j’avais oublié l’âme de mon père. Je pensais qu’il resterait près de moi jusqu’à la fin de ma vie. Je voulais que mon périple et le sien se termine en même temps. A cet instant précis, mon but était tracé, je devais à tout prix suivre la voie de mon père. Je devais absolument continuer son rêve et me battre pour y arriver.


III/ Jour exceptionnel

Ce jour était le plus important de tous. Il était celui qui m’avait fait remonter énormément d’émotions. Alors que je me levais de mon lit, je vis le ciel. Il y avait d’énormes nuages gris, une pluie se préparait. Le ciel me prévoyait toujours des horribles choses qui se préparaient. Je n’avais pas très peur, je savais que mon destin était inéluctable, que je devais traverser cette épreuve. Et que même si je venais à tomber, je me relèverai sûrement. A cet instant, je vis mon courage s’accroître. Je devenais bien plus réaliste qu’avant. Mais ma fainéantise et mon hygiène n’avaient toujours pas changé, j’étais toujours le même. J’avais simplement progressé, évolué. Je me posais alors au bord de ma fenêtre à attendre que mon destin vienne me chercher. J’attendais impatiemment que mon destin vienne à moi. Je ne voulais pas y aller, je voulais l’attendre mais rien n’arriva. Je ne vis rien de suspect. Je mis ma main en dessous de la pluie afin de me la rafraîchir. Je me mis de l’eau de pluie sur le visage afin de me réveiller. J’étais désormais plus éveillé.

Je décidais donc d’aller voir mon père afin de voir si tout allait bien. Je sortis de ma chambre et m’apercevais qu’il avait disparu ! Mon père était peut-être parti acheter à manger m’étais-je dis. Seulement, je retrouvais une lettre sur la table. Une lettre qui semblait être un adieu, non, un au revoir. Je la lis attentivement :

« Mon fils, je souhaitais simplement te dire au revoir. Je suis en route vers le QG de la marine. Un groupe de pirate a apparemment attaqué la marine et le gouvernement souhaite que je fasse le test ici. Je veux prouver au monde que le gouvernement est inébranlable. Je veux prouver que le bien l’emporte toujours. Mon test sera le commencement d’une nouvelle technologie. Rappelles-toi mon fils, rappelles-toi tout ce que je t’ai appris et ne l’oublie jamais. Tu es un être intelligent mon fils, je comptes sur toi. Poursuis mon rêve et achèves-le. Nous nous retrouverons peut-être dans quelques années.»

Je ne compris pas vraiment si cela serait bon pour moi mais j’étais très indifférent. Je le savais déjà qu’il allait un jour où l’autre aller combattre pour la marine. Mon père était vraiment très attaché au gouvernement. D’ailleurs, je ne comprends toujours pas pourquoi mon père est ainsi. Je ressentais aujourd’hui la solitude. J’allais rester tout seul pour le restant de mes jours. J’avais tout de même compris que mon père avait laissé un message derrière cette lettre. Il voulait me dire quelque chose mais quoi … J’en ai aucune idée pour le moment. Je ne comprenais pas ce qu’il souhaitait tester. Le gouvernement l’utiliserait-il comme un pion ? Non, je ne pense pas que le gouvernement serait une vermine de ce type. Je souhaitais simplement que mon père ne se fasse pas trahir. J’espère que son rêve se réalisera et je ferai tout pour qu’il se réalise !

Je fouillais alors les archives de mon père et je découvris énormément de plan de navire de guerre et autres inventions de guerres. Je compris alors que mon père était voué à la marine. Il travaillait pendant toutes ces années afin de réaliser son rêve. Imaginez que vous vous acharnez afin de réaliser votre rêve et qu’en fin de compte vous ne le réalisez pas. Votre enfant doit donc porter le flambeau et continuer à avancer malgré que vous soyez parti. Malgré que vous vous soyez arrêtez en plein chemin. Il fallait donc que je fasse mon devoir de gosse. Il était dans mon devoir de continuer le projet de mon père mais qu’était-il ce projet ? Je pensais qu’il souhait seulement que je sois un grand marine … Eh bien, ma perte de mémoire était peut-être liée à tout cela …


Flash Back off

Je me retrouvais à nouveau au bord de la mer, regardant cette pluie se terminer. Elle ne cessait de battre. Je me levais donc et marchais en direction de la maison que la marine m’avait donné. Eh oui, désormais je faisais partie de la marine. J’étais devenu un soldat, un bleu comme tous mes compagnons on apprenait à manier une arme à feu. J’étais aussi devenu un grand inventeur. Grâce aux inventions de mon père, je pus me cultiver d’avantages et comprendre ce qu’il faisait pendant tout ce temps. Enfin, je compris simplement les plans banals qui étaient sur son bureau. Je devais à présent comprendre ce qu’il voulait dire par « le tester ». Aujourd’hui, je voulais devenir l’homme que mon père voulait. Je ne voulais pas que l’âme de mon père disparaissait. Je voulais être un grand chef de la marine afin que mon père soit fier de moi. On apprenait à manier des épées. Le cœur de mes compagnons étaient voué à la marine mais pas le mien …


• Exemple de post RP :


Imaginez le lourd fardeau que je pouvais porter. Vous savez ce que pouvait représenter pour moi cette mission ? Vous n’en avez pas la moindre idée … Alors que je marchais, j’admirai les jolies filles qui passaient à côté de moi. Elles étaient toutes aussi belle les unes que l’autre. Je les voyais sourires et rigoler. Leurs joies me donnaient le sourire. Alors que je marchais encore, je vis des vendeurs de tomates, carottes, bananes etc … Je pris une pomme en passant. Je voulais goûter à ce merveilleux fruit. Je n’apercevais rien d’anormal. Je voyais toujours des pickpockets trainés par là mais rien d’anormal en ces temps de crises. Il faisait froid et pourtant j’étais en tee-shirt, pieds nues. J’avais du mal à bouger mes doigts de pieds. Le sang avait du mal à circuler dans mes pieds. Ma peau était dure, je me sentais comme une glace prête à se casser. Je voulais de la chaleur.

Le lieu vers lequel je me dirigeais était à ma portée. J’étais enfin arrivé à destination. J’étais dans une petite forêt. J’allais commencer à m’entraîner physiquement et mentalement ici. Je savais pertinemment que si je n’étais pas fort, cela serait vain de vouloir accomplir ma raison de vivre. Je n’étais pourtant pas motivé pour commencer à me battre. Je détestais être blessé, me fatiguer et même fournir des efforts inutiles. Je pris un petit sac de frappe pour m’entraîner à donner des coups de poings puissants pour commencer. J’allais tout d’abord m’améliorer en coup de poings pour m’entraîner ensuite en coups de pieds. Je commençais à donner des coups de poings. Je remarquais que ma force était assez moyenne mais ma technique était lamentable. Je ne savais pas vraiment comment m’y prendre. J’avais entendu parler d’un mouvement du bassin et du pied afin de placer un coup de poings puissant et appuyé. Mon poing devait tourner au dernier moment afin d’infliger des dégâts conséquent à mon ennemi. Mais il me fallait un mentor afin de mieux progresser, de faire mes débuts. Mes coups de pieds étaient mous, faible et d’aucune classe. Je ne connaissais pas le mouvement circulaire. J’ignorai totalement que le coup de bassin augmenterait ma force de frappe. Je devais aussi déplacer mon pied d'appuie afin d’amplifier encore la puissance du coup de pied. Mon pied devait monter et descendre d’un coup afin d’augmenter aussi la puissance. Cela devrait me prendre pas mal de temps afin de me perfectionner mais je le savais pertinemment. J’allais devoir trouver un mentor si je voulais progresser suffisamment pour prendre soin de moi-même. D’un coup, je commençais à voir flou. Je voyais le monde se retourner, le monde était penché. Les couleurs s’assombrissaient doucement mais surement. J’allais replonger dans un monde sombre. C’est bon, je ne voyais plus rien, je me réveillais d’un coup.

« Ahh, ce n’était qu’un rêve … »

Je valide rang 1 ou 2 (le 2eme membre du staff donnera le chiffre définitif.) ^^.

Je préfère le rang 1.

avant de valider, j'aimerais que tu corriges les nombreuses fautes qui parsèment ta prez.

des nouvelles?

pas de niouzes : go corbeille.