Mister Bouh Pisteur
Profil Psy : Bon/Tyrannique Nombre de messages : 31 Age : 30
[Feuille de personnage] • Renommée: 100 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Mister Bouh, "BOUH" [Finis] Mer 21 Déc 2011 - 19:29 | |
| - Présentation du joueur IRL - Mister Bouh est le DC de Rafaelo Tortellini, donc il est le même IRL, donc je vous fatigue pas les yeux - Présentation du personnage - • Nom & Prenom : Mister Bouh• Surnom : Bouh• Age : 16 ans• Race : Homme de la rue• Camp : Chasseur de prime• Orientation psychologique : Toujours joyeux.• Métier/Spécialité : Ne s'est spécialisé dans rien.• Pouvoir demandé Le fruit du démon Toon Toon no Mie, paramécia de niveau 7.• Rêve(s)/But(s) du personnage : -Visiter le monde -Avoir beaucoup d'argent.• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] ◘ Description Physique : Cet homme a un physique très mystérieux, pour commencer, il ne dévoile jamais ses yeux. Deux longues mèches de ses cheveux argentés les cacheront toujours, car l’on peut tout savoir de quelqu’un rien qu’en observant son regard. Aussi, jamais personne n’avait vraiment réussi à le connaître dans sa vie, il aimait rester incognito et d’ailleurs son style ne donnait pas plus d’informations sur lui qu’autre chose.
Il est habillé d’une ancienne tenue de soirée, d’ailleurs son ancienneté est voyante par les innombrables trous et usures qui la parsème. Ce costume là, il l’a trouvé au fond de la cave de ses parents avant de les quitter pour « découvrir le monde ». Il appartenait à son cher père dans les temps où ceci était encore à la mode. Et comme cet ensemble était composé aussi d’un couvre chef, un chapeau haut de forme venait se percher sur sa tête et se mariait très bien avec le costume pittoresque qu’il portait.
Ce chapeau là est caractéristique pour ce jeune homme, en effet, il aimait se sentir plus haut que ce qu’il n’était, d’où l’importance du haut de forme. Ce couvre chef bourgeois faisait de lui le type le mieux habillé des rues dans lesquelles il vivait.
Car en effet, la rue était son domaine et les poubelles sont un frigo qui se rempli sans cesse. Que pouvait on rêver de mieux qu’une maison aussi grande qu’une ville et de la nourriture à volonté ? Il ne comprenait pas les gens qui se tuaient à la tâche, à trimer pour avoir leurs miches de pain, alors que ces miches là se retrouvaient à un moment ou à un autre dans ses frigos personnels.
Pour en revenir au chapeau qui le définissait si bien, les quatre as que l’on pouvait trouver au poker y étaient dessinés dessus, c’est une autre caractéristique de sa personnalité, il était très joueur. Avec le jeu de 29 cartes qu’il avait récupéré dans une benne à ordures, personne ne pouvait le vaincre à son jeu préféré, le poker. Avec ce jeu il amassait toutes les richesses des rues comme les capsules de bouteille de collection ou les pièces de Berrys anciennes.
Pour en venir à son corps, ce jeune homme n’est pas aussi fin que ce que l’on pourrait imaginer d’un clochard. Pour se nourrir en hiver quand les aliments confinés dans les ordures étaient gelés, ce n’était pas gagné, alors parfois il s’infiltrait dans les maisons pour voler de la nourriture aux riches habitant de la ville dans laquelle il vivait sur une île North Blue. La vie y était assez dure, le climat rude, mais cet homme supportait plutôt bien le froid. Et son corps qui n’était pas si maigrichon, lui permettait de survivre dans cette atmosphère et de ne pas se faire oublier plus que ce qu’il n’était.
Mais ce n’est pas pour autant qu’il était athlétique, c’est un gros faignant qui aime se prélasser sous sa couette miteuse, dans sa seule habitation fixe, une belle poubelle de 2 mètre de largeur pour 1 mètre de hauteur, la luxure de la rue. Il y faisait assez bon pour y passer de bonne nuit et il défendait ce logement comme un chien de garde défendrait la propriété de son maître, crocs en avant et griffes menaçantes.
Ses armes étaient justement ces crocs et griffes qui étaient de bonnes tailles, deux grandes canines semblables à la caricature de celles d’un vampire et des griffes ressemblant à celles d’un loup garou. Il n’était pas fier d’avoir les ongles longs mais cela était plutôt bien utile !
Ce grand gaillard arborait presque constamment un large sourire narquois, ou sournois, cela dépendait des remarques que les gens lui faisaient. Il n’était pas un homme des plus apprécié en ville, mais il s’en foutait et continuait de les voler et de se moquer d’eux. Comme je le disais au début, il avait une vision des choses différente de la majorité des gens.
Les dernières caractéristiques physiques qu’on pourrait montrer sont ses deux plus grosse cicatrices, une qui passait sous son œil droit et continuant plus haut sur son front en passant par son nez, le tout donnant un air de déchirure faciale sur son visage pâlot. Cette cicatrice lui avait été faite faire par un brigand des montagnes, ivre, parcourant les rues un soir d’hiver. Il était puissant et désirait s’amuser avec un pauvre homme dont personne ne se souciait de la vie. Et la deuxième était sur l’auriculaire de sa main gauche, en réalité c’est la marque du raccommodage de son petit doigt, en effet il avait parié le sien au poker après avoir bu plusieurs bouteille d’alcool fort pour se tenir chaud, mais une fois coupé il avait décidé d’annuler le pari. Rien n’était trop tard, il l’avait recousu en utilisant les cheveux du clodo qui lui avait coupé. Fort heureusement, il n’eut pas d’infection et pas de représailles de la part de son « ami », car il est mort en tombant malencontreusement dans le port gelé de la ville, après avoir traversé la glace qui devait faire quand même bien 10 centimètres d’épaisseur.
◘ Caractère & morale : Ce jeune homme est un des plus mystérieux qui soit, personne ne savait son passé à part lui et personne ne sait son futur, même pas lui. Il aimait garder ce mystère, une prestigieuse vie de clochard que personne ne connaissait. Déjà que beaucoup lui faisait des remarques sur son état physique, il n’aurait pas aimé que l’on juge la vie dont il était si fier. Etre le maître des rues, ça avait du bon, il se faisait respecter et n’hésitait pas une seconde à montrer sa supériorité.
Mais il n’était pas pour autant un homme tyrannique, il aimait se retrouver autour d’une table de fortune pour jouer aux cartes avec ses amis, rien d’étonnant puisqu’il gagnait la majorité du temps. Les jetons qu’ils utilisaient était des capsules de bouteilles et parfois lorsque la soirée était bien arrosée, il y en avait qui trichait en utilisant les capsules qu’ils venaient d’enlever, mais le plus souvent, c’était Bouh qui utilisait cette technique.
Bouh, c’était son nom dans les couloirs de la ville. Mister Bouh pour être plus précis. A vrai dire, il était lui-même l'instigateur de ce titre. Les autres s’appelait Franky, ou Georgette bah lui c’était Mister Bouh, et il rectifiait à coup de griffes ceux qui oubliait ce titre.
Ce nom là n’était pas le sien à l’origine, en réalité, il avait vendu le sien à un gosse de la rue. Etrange certainement, mais c’est parce que ses parents, qui n’étaient pas si fier de lui, l’avait viré de la maison à cause de ses idéaux trop libertin.
Une fois à la rue, il avait trouvé un gosse clochard presque mort de froid. Ce petit garçon en question était surnommé Bouh là où il vivait, car il adorait faire des farces aux gens. Aussi ils avaient échangés leurs pseudonymes et le petit avait en plus dû lui donner une bague ornée d’une émeraude abîmée qu’il portait tout le temps à la main, pour que l’échange soit « équivalent ». Puis il l’envoya de bon cœur chez ses nouveaux parents avec désormais le nom du plus grand.
Depuis son arrivée dans les rues, il se sentait beaucoup mieux mentalement, en effet sa vie paisible dans la maison de ses parents ne lui convenait pas. C’est étrange car beaucoup aurait voulu être à sa place, mais lui ne se sentait pas libre là bas, il s’y sentait à l’étroit. Bouh voulait depuis tout petit, découvrir le monde, savoir ce qu’était la vraie liberté.
L’étendue bleutée était sa plus grande passion, aussi il aurait aimé voguer dessus. Mais sa condition financière n’a jamais été assez brillante pour réaliser ce rêve, autant petit que dans les temps actuels. C’est dans ces rues qu’il était le mieux, il ne voyageait toujours pas mais il était libre de faire ce que bon lui semblait, et vivait au jour le jour et surtout, il ne s’en plaignait jamais !
Le signification du nom de Bouh fut bien conservé, en effet il avait prit le relaie du garçon précédent. Il se prenait souvent pour un gadget de farce et attrape, en se cachant dans une poubelle et en sortant violement et en faisant des grimaces à ceux qui s’en approchait trop près. C’est grâce à ces farces que son sourire grimacé était presque constamment dessiné sur son visage.
Outre son côté enfantin, il avait aussi un côté joueur, il est vrai que le jeu était sa grande passion, cela en était presque devenue une maladie. Presque tous les jours il voulait faire une partie avec ses amis, mais ceux-ci n’étaient pas toujours d’accord de se faire blouser à chaque fois. Mais Bouh savait les faire changé d’avis, il faut dire que rien qu’en le voyant ouvrir un peu la bouche, ses crocs étaient si terrifiant que peu de gens pouvait lui refuser ce qu’il voulait.
Aussi pour conclure sur son mental, ce jeune homme est des plus mystérieux qui soit, car cette biographie est plutôt explicative, mais dans sa vie, jamais il ne dévoile ses secrets, ses qualités, ses défauts… Il laissait les autres se faire une opinion de lui, et si cela ne lui convenait pas, il leurs faisait comprendre qu’il fallait le voir autrement.
◘ Histoire : Quand j’étais petit je n’étais pas grand… Pour ne pas dévoiler le vrai nom de Mister Bouh, par respect pour son choix d’abandonner toutes traces de son passé et pour respecter son caractère mystérieux, il ne dévoilera pas le nom qu’il portait étant plus jeune, car ce nom là n’est plus le sien. Il l’a vendu sans regret à ce pauvre petit enfant de la rue qui ne désirait qu’une chose, vivre avec une famille et se coucher dans un lit chaud et douillet.
Pour en revenir à son histoire, Bouh n’a pas toujours été le plus prestigieux clochard de la ville. Commençons par sa naissance, Déjà là il avait des problèmes ! En effet, sa tête qui était légèrement plus grosse qu’à la normale, les médecins dûrent « l’aider » à sortir à l’aide de deux spatule métalliques. Ces outils là, avaient marqués le garçon à jamais, ces mauvais médecins lui avaient littéralement aplati la tronche. Qu’avait il fait de mal avant même de naître, il ne s’en souvenait pas mais ça devait être une grosse connerie, car la punition avait été sévère.
La suite des choses n’avait pas été moins compliquée, mis à part le fait que sa mère l’aimait tendrement blablabla son père sautait de joie quand il a vu sa petite gueule d’ange blablabla, tout cela on lui disait mais il ne s’en souvenait pas donc il n’en tenait pas compte. Tout ce qu’il savait c’est qu’il avait les cheveux argentés et fermait déjà les yeux pour pas qu’on le regarde.
Sa naissance s’est déroulée dans la nuit d’un hiver glacial sur une île des plus froide de North Blue, aussi il fallait dire qu’en sortant à poil du ventre de sa mère, le rhume était inévitable. Ses parents ne pouvaient pas ramener leur petit chez eux à cause de la tempête qui faisait fureur en dehors des murs de l’hôpital. Aussi la première nuit qu’il passa en ce monde se fit à l’hosto. Ce n’était pas si mal que ça, les lits y étaient douillets et sa mère le tenait contre sa poitrine pour lui tenir bien chaud, pour lui c’était une agréable nuit en dehors du fait qu’il était déjà malade à cause du froid, mais il ne s’en plaignait pas, ses parents ne l’entendit pas une seule fois pleurer cette nuit là.
Par un beau matin ensoleillé, il se réveillait et découvrait le monde extérieur pour la première fois de sa vie. Enroulé dans une couverture pour ne pas attraper froid et toujours serré fort contre l’opulente poitrine de sa mère, il avançait dans les rues de la ville, voyait des gens pressés, des gens qui lui prêtaient attention, c’était pas si désagréable d’être regardé, le petit bébé se sentait à l’aise sous les regard chaleureux des passants et ils les entendaient piailler des : « Oh qu’il est miiiignoooon ! » ou « Est-ce que sa tête est normale ? ». Il ne comprenait pas encore les remarques et c’était tant mieux pour ceux qui les disaient, car s’il les avait comprit, il n’aurait certainement pas hésité à leur faire pipi dessus pour se faire un peu respecter. Quand j’étais gamin j’étais un crétin…4 ans étaient passés depuis sa naissance, mais pas grand-chose avait changé pourtant. Il faisait toujours aussi froid, été comme hiver sur cette île et sa mère faisait toujours du 95 D.
Maintenant le petit garçon avait 4 ans et c’était le jour de son anniversaire. Ses parents, comme à chacune de ses fêtes, lui avait préparé un gâteau d’anniversaire. Myrtille et fraises des bois sur un gâteau au chocolat, il adorait ça et ses parents le savaient bien. Quatre bougies ornaient cette merveille de sucre et de fruit des bois. Elles étincelaient dans son regard émerveillé comme un feu d'artifice dans un ciel étoilé. Il était un vrai gamin à cette époque et le peu qu’on lui donnait le faisait rêver. Aussi, avant de souffler les flammes sur les morceaux de cires, il fit un vœu, celui de pouvoir voyager plus tard sur les flots. Mais il fit l’erreur de l’annoncer avant d’avoir souffler, il ne savait pas que ça portait malheur et encore moins que son père le giflerait pour ça. Il lui dit de ne plus jamais répéter cela et de rester avec eux toute sa vie. Le petit garçon ne comprenait pas cela, pour lui, grandir était synonyme de liberté, d’évasion. Mais ses parents le voyaient autrement.
Le petit gars fut giflé et punis le jour de ses 4 ans et cela le blessa fortement. Un anniversaire est censé être joyeux et l’occasion de passé un bon moment en famille. Mais au lieux de ça, il passa cette journée, qui s’annonçait pourtant bonne, dans sa chambre, à sangloter et se demandant s’il était comprit de ses parents. La réponse n’était pas si difficile que cela, et à partir de ce moment là, il se mit à haïr ses parents qui ne respectaient pas son rêve et ses idéaux. Il était tout jeune mais savait raisonner comme une grande personne, et ce jour là, il fit le serment de les abandonner dès que possible pour pouvoir vivre enfin libre, et ne plus être prit dans le joug de ses parents. Quand j'avais dix ans je n'avait plus d'parents...Un petit saut en avant dans l’histoire devait se faire pour rendre plus clair le serment qu’il s’était fait. Car en effet, depuis le temps il s'était forgé une personnalité peu commune, mais ce n’est qu’à 10 ans que l’on voyait un réel changement chez lui.
Il ne craignait plus ses parents, d’ailleurs il ne les appelait même plus Papa et Maman, c’était devenu Franky et Georgette. Pour lui, les surnoms gentils et enfantins que l’on donne à ses parents étant petit, n’ont plus lieux d’être une fois que l’enfant devient plus grand. Voilà une des philosophies qu’il s’était mit en tête. Certes, peu d’enfants de son âge pouvait le comprendre, car beaucoup dans son entourage avait des parents compréhensibles et qui ne les blâmaient pas quand ils leurs dévoilaient leurs premiers rêves. Des gosses qui avaient bien de la chance se disait il, mais il n’était pas jaloux pour autant. Non, non pas jaloux…
Aussi, pour raconter une anecdote de ces temps là. C’était un matin peu étrange dans la ville de cette petite île hivernale de North Blue. A son réveil, Bouh avait un mauvais pressentiment pour cette journée. Après avoir posé un pied sur le plancher glacé qui recouvrait le sol de sa chambre, il pressentit que cette journée ne jouerait pas en sa faveur.
Une fois levé et habillé d’un chandail grisâtre et de son pantalon fétiche de couleur noire, il entreprit de ranger sa chambre qui ressemblait légèrement à une pièce où un ouragan serait passé. Non pas pour faire plaisir à ses parents mais c’est parce que s’il attendait un peu plus il se disait qu’il mourrait étouffé sous les ordures et le désordre et que personne ne viendrait l’aider. Déjà tout jeune il essayait de vivre en autarcie, étrange pour un simple gamin de 10 ans, mais ce mode de vie là lui convenait. Personne n’avait à lui dicter ce qu’il devait faire, et il respectait lui-même cette loi ! Il allait pas dire à sa mère fais moi à manger ou à son père je veux un nouveau jouet. Il respectait leurs libertés et eux devaient respecter la sienne, voilà comment il voyait la loi en ce monde.
Après une bonne heure de ménage intensif, sa chambre était redevenue vivable et respirable. C’était quand même plus agréable de ne pas avoir à faire attention à où mettre les pieds pour ne pas avoir de la pizza sous la pantoufle. Une bonne chose de faite se dit il, son petit monde était redevenu rangé et ordonné.
Après cela, il sortit de sa chambre, jusque là aucun malheur n’était arrivé et même il avait était épargné de l’ouragan de sa chambre. Son pressentiment ne devait pas être si mauvais que ce qu’il pensait. Il descendit les escaliers avec prudence car un accident serait si vite arrivé. Arrivé en bas, la vie avait l’air d’y être normale, enfin, pour lui sa vie n’était pas normale mais il y avait là l’exemple même de la famille modèle. Sa mère était au fourneau et venait de préparer des pan-cakes à la bière et son père était là sirotant un café noir en lisant dans son journal son horoscope journalier. Seul le garçon, l’air éclaté avec ses cheveux argenté qui couvrait son visage et son chandail déchiré, venait perturbé le tableau. Mais cela ne le gênait pas plus que ça, il ne s’y sentait pas en famille ici, des gens qui ne respectent pas les idéaux de quelqu’un, ne peuvent pas faire partie de la même famille que le blâmé. Aussi, il tira deux pancakes à la bière de la poêle brûlante, destinés à son père, et sortit dehors pour se rafraîchir les idées.
Le mot rafraîchir était certainement le meilleur qui soit pour définir l’état dans lequel il passa en sortant dehors, l’air était si froid et si sec qu’il en avait du mal à respirer. Heureusement il avait ses pan-cakes qui le réchauffaient un peu. Mais, il essayait de s’y habituer, se disant qu’il passerait peut être toute sa vie sur cette île sans jamais respiré le vrai air iodé de la mer. Ca le déprimait plus qu’autre chose d’y pensait aussi il s’ôtait ces idées, en se badigeonnant le visage de la neige fraîche qui recouvrait la niche du chien. Ah ce bon vieux Murphy, c’était son plus fidèle ami cet animal. Lui le comprenait et fermait sa gueule, c’était bien un des seuls dans cette ville à la fermer autant que lui. Il s’amusait à lui lancer son os gelé, comme tout les matins, et comme tout les matins, il lui ramenait. Le garçon essayait tant bien que mal de lui faire comprendre qu’il n’avait pas à lui obéir tout le temps, mais cet animal stupide ne comprenait pas sa langue, mais au fond de lui il savait que s’ils parlaient la même langue, il serait sûrement les meilleurs amis du monde.
Et maintenant je suis effrayant…
Bouh avait maintenant seize ans, l’âge de raison selon ses parents qui espéraient voir un changement radical dans sa personnalité. Voilà une autre chose que ce jeune homme ne comprenait pas, s’il y avait un âge de raison, pourquoi est-ce qu’il y a des adultes cons ? Outre le fait que ses parents le sont, ils ne sont pas les seuls. Dans le monde, la piraterie fait rage, tous cherchent après le mythe du One Piece, mais il y a parmi eux les plus cons d’entre eux avec un D. dans leurs noms pour souligner leurs conneries, Gol Débile Roger, Monkey Débile Luffy, Edwar Débile Teach. Ce ne sont que quelques exemples des plus déjantés d’entre eux. Le seul qu’il respectait et dont il ne se moquait pas du nom était cet ancien révolutionnaire, Monkey D. Dragon, le père d’un con, il devait sûrement s’en vouloir en enfantant un tel cancre. Mais cet homme là fascinait le jeune homme, il était le leader d’une troupe de contestataires du gouvernement. Si on fait le rapprochement, le gouvernement familial était ses parents, aussi il haïssait ses parents donc haïssait aussi le gouvernement, et Dragon était le super héros qui voulait renversait leur joug.
A cet âge là, sa raison le poussait à vouloir réaliser enfin ses rêves de liberté, aussi, c’est par cette journée de printemps nuageux qu’il décida de quitter le domaine familial. Après s’être aventuré dans la cave et récupéré ce fameux costume trois pièces qui lui plaisait tant, il s’attela à écrire une lettre d’adieu destiné à Franky et Georgette.
Chers dictateurs,J’ai désormais atteint votre fameux âge de raison, et ma raison ma poussé à vous faire mes adieux. En effet, vous ne comprendrait pas cette raison car nous sommes totalement différents et je ne vois pas pourquoi je devrais respecter votre choix de rester avec vous toute ma vie. Je ne prends pas cela comme une preuve d’amour mais une preuve de séquestration, car en dehors de cette maison, il y a une ville que je n’ai toujours pas visitée en entier. En dehors de cette ville, nous sommes sur une île, et je n’en ai jamais fais le tour. Et en dehors de cette île il y a le monde, le monde réel et pas celui que vous voulez m’imposer. Un monde vaste, remplit d’eau salée et de morceau de terre appelées îles, car notre île n’est pas la seule en ce monde, il y en à d’autres, où le climat est différent d’ici, où les animaux qui y vivent sont inconnu à nos yeux. Je veux visiter ce monde dont les livres parlent, ce monde identifié dans des millions d’ouvrages. Si des gens y ont consacrés autant de temps c’est qu’il doit être si fascinant que l’on voudrait le découvrir entièrement. Je pense vous avoir tout dit sur les pensées qui parsème mon esprit et que vous n’entendez pas depuis ma naissance. Sur ces mots manuscrits, je m’en vais et je ne reviendrais jamais.Adieu chers dictateurs, puissions nous ne jamais nous revoir. Puis il quitta le domaine familial par sa fenêtre et commença à courir dans les rues, vêtu de son costume usé qui lui allait si bien. On aurait pu imaginer cette scène, comme un adolescent qui fuguerait sa maison en pleurant et en se lamentant sur son sort. Mais non, Bouh le prenait comme un départ vers la liberté, une nouvelle vie commençait pour lui. Le froid ne l’atteignait même plus car la flamme de son cœur venait de se raviver, il voulait vivre enfin ! Et la vie lui tendait les bras aussi. C’était si bon d’enlacer la vie, elle était si tendre et tellement accueillante. Son rêve allait sûrement se réaliser, il avait reprit espoir et fonçait tête baissée dans ces ruelles enneigées et où les stalactites pendaient aux fenêtres. Mais soudain, il heurta un gosse, le pauvre le choc avait été si violent qu'il fut propulsé sur un tas d’ordure gelé et coupant. Il l’aida à se dégager en s’excusant mille fois et le petit lui pardonna sans remord. Il était un pauvre orphelin mort de froid mais tenace et qui aimait la vie même si elle ne lui avait pas fait de cadeau. Aussi il eut l’idée, de lui offrir la vie dont il rêvait, il lui avait dit qu’il désirait un foyer et une famille, il lui offrit les siens, ça serait du gâchis sinon. Ils signèrent un pacte sur un bout de papier que le jeune homme avait dans la poche, stipulant que leurs vies étaient désormais échangées. Nom, foyer, vie, tout été échangé, sauf les vêtement pour cause de taille. Et cette fameuse bague ornait d’une émeraude qu’il avait à son doigt, ornait désormais celui de Bouh. Là commençait sa nouvelle vie, une vie pleine de libertés et… Il avait omit une chose, il était désormais un clochard ! Mer** !!!!! • Exemple de post RP : (avec le Toon Toon no Mie)Bouh se baladait dans une ruelle sombre et étroite par laquelle il n’avait pas habitude de passer. Un de ses amis lui avait indiqué cet endroit comme quoi, dans celle-ci, les riches y jetaient leurs bijoux abîmés. Mais, ce vieux clochard puant la vinasse, l’avait aussi mit en garde à de vils brigands qui défendaient farouchement ce territoire. Rien de plus normal que de vouloir préserver un endroit où l’argent tombait directement dans les poubelles, mais Bouh était bien décidé à se l’approprier.Il avançait dans la rue, fouillant chaque poubelle accolée aux murs des bâtiments. Quand soudain, en ouvrant un des container, un bandit sorti violemment en criant : BOUH. Il lui dit sans la moindre once de peur et en gardant le sourire. - C’est Mister, Bouh. Sur ces mots, il referma violement le container sur sa tête et passa son chemin. Mais plus il avançait, plus il y avait de bandits qui se rassemblaient autour de lui. Mais il ne se sentait pas si angoissait que ça, son large sourire était toujours affiché sur son visage et d’ailleurs « Qu’est-ce tu as a sourire comme ça tu nous narguent ?! » étaient les mots qui venaient de sortir de la bouche d'un des bandits, donc cette fois-ci son sourire était narquois. Qu’à cela ne tienne, il allait vraiment les narguer. Il prit un stylo qu’il avait dans sa poche et dessina sur le mur à l’endroit où il y avait un tag de peinture rouge, trois bâtons de dynamites avec des mèches sur le dessus. Toute l’assemblée était là à le regarder faire, le prenant pour un clochard fou. Mais ils étaient loin de se douter qu’il était détenteur d’un fruit du démon, lui un simple homme de la rue.
Une flamme était dessinée un peu plus loin sur le mur, aussi il prit un morceau de papier qui traînait par terre, et le passa sur la flamme et le bout de papier s’enflamma, un grand « AH » général se fit entendre, Bouh y comprit. Puis il se rapprocha des bandits avec le papier enflammé pour leur faire peur, toujours avec son sourire narquois, puis alluma les mèches des bâtons de dynamites qu’il avait dessiné.
Ils se mirent à étinceler et les bandits furent surpris et commencèrent à détaler, mais Bouh n’allait pas les laisser faire. Il prit son élan et fonça vers eux pour leurs barrer la route, en un éclair il là posté devant eux en posture de majordome, en faisant des courbettes devant les méchants qui lui voulaient du mal au début. Ceux-ci repartirent aussitôt en arrière mais il ne les laisserait pas s’échapper. Il fonça encore en un éclair jusqu’à un certain point où l’explosion les atteindraient toujours, et bricola un mur d’ordure en quelques secondes, une grosse langue pandouillait de sa bouche comme signe de fatigue puis il reprit ses esprits et commença à jongler avec ses outils de fortunes qu’était une pierre et un morceau de verre résistant.
Soudain, la dynamite explosa, scotchant sur le mur toutes les personnes présentes dans la rue. Un gros « BOOM » écrit en gros caractère était visible au dessus des bâtiments. Les bandits et même Mister Bouh était carbonisés et avait les cheveux en pétard et le bâtiments sur lequel était dessiné la dynamite était entrain de s’écrouler devant leurs yeux.
Après avoir vu ce carnage, les bandits furent prient d’une crise de folie, et se mirent à courir de partout dans la ville en se tirant les cheveux et en criant partout. Seul Bouh restait coller là contre le mur, souriant de les voir partir.
| |
|