Présentation de Baral Archembo le zicos [terminé]

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : Rémy
Age : 24
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : En glandouillant sur le net, je suis en arrêt pour un mois!
Combien d'heures vous vous connectez par jour : pour l'instant, on va dire 4/5 heures je pense
Tes Mangas préférés : pffffff, heu; Hellsing, Kenshin le vagabond, Dragon Ball (of course), Love hina (allez vous faire voir), slam dunk, One piece, Beck, Lain etc...
Ton personnage préféré dans One Piece : Frankyyyyyyyy
Ce qui t'as motivé à venir : mon manque de motivation à faire autre chose
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : quelque forum aujourd'hui decedied, mais c'était il y a au moins mille ans
Hobbys : Le dessin, la basse, le basket, le foot US, glander
Autre(s) : c'est à peu près tout je pense, après on attaque le physique, et on avait dit pas les vetements!

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Archembo Baral

• Age : 29 ans

• Race : Humain

• Camp : Pirate autoproclamé

• Orientation psychologique : neutre-bon

• Métier/Spécialité : Musicien

• Pouvoir demandé : "Arme vocale" La capacité pulmonaire de ce bon vieux Baral lui permet d'envoyer des ondes de choc, des "balles phoniques" à effets divers et variés, allant de l'impact pur et simple, jusqu'à la mélopée pouvant ramollir l'adversaire, redonner force aux alliés etc...
Je ne sais pas si je dois faire une liste de ces joyeuseries.
Sinon il se bat à main nues, quand il compte user de ses capacités, il empoigne sa baguette de chef d'orchestre se situant au niveau de son pubis, ce qui choque en général!

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Montrer au monde l'importance de la musique!

• Code présentation :

◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]

Présentation de Baral Archembo le zicos [terminé] Baral

Présentation de Baral Archembo le zicos [terminé] Baral

Baral est un grand bonhomme bien bâti de 2.40 mètres de haut, au sommet de son crane, ce que l'on pourrait prendre pour une perruque sont en fait ses cheveux, d'un gris-bleu chatoyant. son visage étriqué est découpé par ses sourcils tourbillonnant et une petite barbiche négligée dont lui seul a le secret, il a une voix puissante de Baryton dont il se servait pour diriger son orchestre et dont il se sert pour combattre ou galvaniser ses camarades.
Son imposant poitrail est souvent recouvert d'un uniforme strict et toujours impeccable (sauf quand ça barde ou qu'il se fait rosser, là évidemment il ne s’arrête pas pour le laver, ce serait ridicule), il enrobe toujours son cou d'un linge ou d'une écharpe afin de protéger ses cordes vocales d'un coup de froid ou de poing.
Un tissu lui entrave la bedaine afin de paraitre plus sexy et moins gros, mais le subterfuge ne prends pas, cela sert uniquement à maintenir sa baguette fétiche à portée de main, baguette qu'il attrape toujours avec un geste que l'on considère comme obscène, mais ce ne sont que des ragots...
Un pantalon serré toujours à motifs plus ou moins douteux empêche la police locale de le poursuivre pour attentat à la pudeur, mais n’enlève en rien son attentat permanent au bon gout!
Deux magnifiques souliers vernis ( là encore, quand le temps n'est pas à la baston ou à la marche dans des liquides nauséabonds) ornent les pieds fort petits pour la taille de l'individu, les chaussettes toujours apparentes ajoute encore une goutte dans le vase du mauvais gout vestimentaire, mais comme Baral le dit lui-même;
"non mais qui se soucie de la couleur des chaussettes des gens?!" ce à quoi on lui réponds personne, sauf quand elles sont rouge pétard ou vert Tchernobyl! (de l'ile de Tchernobyl de Grand line, célèbre pour son système novateur de centrale à vapeur).
Son rire mélangé à sa voix grave donne l'impression que l'on balance une harpe à pic de très très haut dans un canyon particulièrement bien accordé, son "Lalalalaaalala" tonitruant est très communicatif, il est rare de ne pas se sentir jovial après une bonne blagouze des familles faites par ce gros monsieur.

◘ Caractère & morale : Cet ancien chef d'orchestre devenu pirate par dépit est un homme que l'on pourrait considérer comme étant juste, ne s’énervant réellement que lorsque l’on insulte la musique ou l'art en général, considérant ceci comme l’élévation de la condition humaine. Son sens du devoir face à la musique l’écarte parfois du sens commun, il est capable de se mettre sur la trajectoire d'un boulet de canon pour sauver une partition ou un instrument.
Mis à part ce surprenant fait de stupidité, c'est un compagnon agréable, ayant toujours la note facile et une empathie certaine pour les plus jeunes que lui, ayant été le leader de tout un concerto d'East blue, il arrive a calmer les tensions ou au contraire les provoquer, mais toujours dans le but final de dégoter la cohésion la plus parfaite dans un groupe.
Bien que sympathique, son tempérament strict avec lui même peut déteindre sur ses nakamas; il déteste l’abandon ou la mauvaise-foi, ayant dans son passé dû combattre ces deux affreuses manies.
L'argent lui importe peu, seule la renommée peut être utile à Baral, son rêve le plus cher est de démontrer que l'art en général, la musique en particulier, peut changer la face de ce monde devenu froid et gris. devenir pirate fut donc un compromis entre liberté et, selon lui, un moyen rapide d’être reconnu comme lui en avait parlé un doyen de son île, l'histoire d'un pirate devenu roi de la soul mais dont le nom fut effacé...
Ha oui, il a aussi une fâcheuse tendance à aimer plus que de raison les viennoiseries, ce qui est préjudiciable pour son embonpoint.

◘ Histoire :

Elevé depuis son enfance sur une île d'East blue dont le nom n'a aucune importance, Baral Archembo fait partie d'une caste un peu à part, celle des musiciens, un conservatoire imposant recouvre de ses pierres antique une grande partie du folklore insulaire. Dès le plus jeune age, le garçon dût apprendre à reconnaitre, jouer et maitriser tout les instruments existants, dont le sombre bidéon à panse large, inconnu à plus de trois-cent mètres de l'atelier où il fut conçut.
N'ayant absolument aucun, mais alors là, aucun pouvoir militaire, cette île fut à peu près abritée du conflit majeur que le monde engendra, l'enfance de Baral fut donc rude d'un point de vue apprentissage, mais ce fut là la seule difficulté qu'il a pu entrevoir, en tout cas au début.
Rapidement, sa pugnacité et son coffre naturel firent de lui la coqueluche de ses enseignants, il sorti à 19 ans totalement rompu aux arts de la grande musique. Étant casanier de nature, il refusa de quitter l'île et devint chef d'orchestre, professeur et collectionneur de pantalons odieux à quelques pas du conservatoire. Voyant que sa voix tonnait de plus en plus à mesure que son age, ainsi que son poids, augmentait, il devint reconnu publiquement que "morfal" lui allait aussi bien qu'artiste. Baral développa un amour inconditionnel à la transmission de ce bel art qu'est la musique, célibataire endurci (de la corne sur le cœur et tout, endurci on vous dit!), les yeux du jeune chef ne virent plus le monde qu'en mélodie, un univers de sons harmonieux dont rien ne pouvait gâcher le rythme.

C'est au moment précis où la marine mit le monde dans un carcan étroit que l'univers de Baral se teinta du vert-de-gris de l'amertume, une erreur classique, l'art en général diffuse un message porté par le passé, même le plus grand musicien du monde ne peut jouer une partition qui n'est pas encore écrite, essayez vous verrez!
Quelques mois après qu'Archembo eut fêté ses 28 années; un contingent d'hommes et de femmes arborant le symbole de la mouette débarquèrent, littéralement, sur son île. Belliqueux et ayant visiblement oublié de sourire depuis une bonne dizaine de vies, les marins vinrent détruire les traces de l'ancien temps qui dormaient sur l'île, la musique raconte le passé, et le passé n'a pas d'avenir à ce qu'on dit...
Le feu engloutit les archives du conservatoire en quelques heures, les professeurs furent abattus sans vergogne par la vague blanche et bleue qui déferlait sur le havre de paix qu'avait connu, et dont il était certain pouvoir connaitre encore un bout de temps, de voir ses élèves disparaitre dans l'innommable tintamarre du massacre, Baral devint aphone.

S'en suivi le drame qui marquera le chef au fer rouge le restant de ses jours, courant au milieu d'une foret de flammes et de violence, Baral voulait hurler à tous de fuir, de se cacher, certain que sa voix puissante serait perçue de tout les habitants de l'île, mais du fracas guttural qui sortait habituellement de sa gorge ne restait qu'un mince filet couinant incapable de prévenir ou d'alerter qui que ce soit.
Dans ce cri silencieux et inutile se mélangeait les larmes et le sang, à chaque carrefour embrasé se trouvaient les marines ivres de destruction, et à chaque rencontre Baral ressortait blessé, une balle, une entaille, un os brisé. Mais toute chose a une fin, celle de cette île ne vit qu'un survivant; épuisé, meurtri au plus profond de son âme comme de sa chair, l'ancien chef d'orchestre gisait sous les gravats fumants de son ancien lieu de travail, de son ancienne école, de son ancienne vie.

Il ne su jamais comment il avait pu survivre et échapper au regard des marins, les semaines ou les mois qui suivirent étaient recouvert d'un voile de chagrin et de souffrance, Archembo pleurait en permanence, découvrant ici et là les effets personnels de ses amis, de ses élèves... quand sa voix lui revint, bien qu'enrouée par les pleurs et la fumée, elle porta jusqu'aux cieux, il hurla vengeance, justice, viennoiseries puis encore vengeance.

Les mois passèrent, et comme à leur habitude, devinrent une année, Baral retrouva sa voix, enterra ses pleurs et suivi une mélodie qu'il ne connaissant pas encore, celle de l’océan qui lui chantait l'aventure, l'oubli et une nouvelle vie.

Maintenant prêt à partir sur son bateau de fortune, l'ancien chef respire à plein poumon l'air iodé de cette mer qu'il ignorait jusque là, son cœur crie réparation et son âme entonne d'un air sinistre le requiem de cette justice passée lui ayant tout enlevé. Son arme sera sa passion, son bouclier le souvenir d'un monde que d'autre lui ont arraché de force, il compte bien montrer à l'univers tout entier que la musique détient le pouvoir de faire revivre les mémoires!

• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]

Test rp:

Ce n'était pas du tout comme on le lui avait dit, mais alors là pas du tout; le froid, le manque d'oxygène, bon ok, niveau sensations, là on touche quand même les sommets, enfin façon de parler évidemment, et puis la vue! Alicia en avait pour son argent!

Comment elle avait pu faire une erreur aussi grossière? Déjà ce matin, l'odeur de l'air ambiant lui avait annoncé une journée totalement foireuse, ça où ce foutu vendeur de tapis ou je ne sais quoi qui l'avait réveillée à l'aube. Il a pu se rincer l’œil gratis en gagnant sa journée sans rien faire en plus! En y repensant, il était la cause de tout ce bordel, Ali' essayerait de lui tomber dessus à la fin, son rire cristallin serait de mise si elle pouvait respirer; maudite journée!

La jeune femme ne saurait jamais de l'ennui ou de ce tract l’emmena où elle en était, les journées sont longue quand on est fille d'un riche promoteur dans cette ville, pourrie gâtée, incapable de faire quoi que ce soit sans que cette moue de mépris décore son parfait visage. L'ennui l'avait emmenée près de cet helioport archaïque, depuis l’avènement de l’énergie solaire, ces vieux dirigeable ne constituait plus qu'un attrape-bouseux kitch et sans intérêt. Drapée dans une robe à la mode que la décence m’empêchera ici de décrire, Alicia aimait sentir les regards lubriques des passants lui glisser sur le corps; bavez larves, de cette peau vous n'aurez que le fantasme!

"Rencontrez les hommes et femmes de l'ancien temps!" Voilà ce que disait ce tract, laissé ce matin par l'autre espèce de réveille-matin mal rasé, de nombreuses fois on avait par à Ali ces hommes et femmes aux physique ingrat, dont la chirurgie n'avait entendu parler que dans un rêve lointain. On disait d'eux qu'il chassaient pour se nourrir, que leurs ancêtre avaient refusé l'implant Nielson, par amour de la liberté ils avaient dit, quelle liberté! Maintenant lorsque l'on trouvaient de ces "hommes libres" on les parquait dans des zoos ou ils devenaient esclaves de ceux qui avaient accepté de se faire surveiller en permanence par un bout de métal fiché dans le lobe frontal.
La liberté n'existe que dans les fantasmes des écrivains et des télé-cineastes!

Et la voici, elle, femme libre, entrant dans un de ces ballons fonctionnant à l’énergie fossile, en partance pour un de ces parcs naturel où ses anciens frères furent mis en quarantaine afin d'amuser le rupin, cela ne la dérangeait pas, le luxe était si profondément ancrée en Alicia qu'elle pouvait marcher sur un clochard sans même cligner des yeux.
La salle principale du véhicule était richement décoré, les dorures semblant venir d'un ancien temps recouvraient la quasi totalité des boiseries qui cerclaient la pièce, elle ne le savait pas, la richesse n'entraine pas forcément la connaissance, mais le ballon était la réplique exacte du Nautilus, vaisseau d'un capitaine n'ayant jamais existé mais hantant encore les esprits de certains marins, comme une légende d'autrefois.

D'autres convives étaient là, quasiment tous de la haute, habillés de couleurs hallucinante, à la plastique parfaite, dans ce monde, l'age n'existe plus, il arrive que des hommes aux allures d'adolescent se retrouve à terre en pleine rue, la main cramponnée à la poitrine, terrassé par un arrêt cardiaque alors qu'une poussée d’acné serait déjà plus adéquate. Encore ces regards lubriques sur elle, ho oui, elle était belle, et aucune chirurgie n'avait fait cela, le contrôle du génome pré-natal avait fait le boulot, papa ne voulait pas d'une héritière aux allures de laideron, surtout que la chirurgie n'est légale qu'à partir de 15 ans.
Un seul regard lui chatouilla le corps d'une autre manière, d'un coup d’œil circulaire, elle le vit, un esclave, mal rasé, à la peau et les cheveux noirs comme le fond d'un puits. Alicia avait du mal à juger de l'age de quelqu'un, l'habitude de l’éternelle jeunesse voyez-vous, mais il devait avoir dans les 30 ans, un beau mâle extrêmement bien bâti, en se mordant les lèvres elle put voir les muscles du sauvage rouler sous sa toge d'employé imposé alors qu'il venait vers elle lui proposer un rafraichissement.

Il avait du voir, ou sentir, qui sait ce que ces brutes peuvent faire, le trouble qui vibrait en elle, car une fois à portée d'Alicia, il lui proposa de sa voix grave un rendez-vous le soir même; la croisière allait durer au moins deux jours et elle n'aimait pas dormir seule, vraiment pas.
Le décollage du ballon se fit en douceur, Alicia vit l'immense métropole rétrécir, devenir cette immense pieuvre grisâtre aux tentacules cyclopéens qu'elle côtoyait chaque jour pour enfin devenir juste un point noir dans une grande plaine polluée de champs aux dimension tout aussi inhumaine. Alicia, elle, ne pensait plus qu'aux deux yeux noirs de l'homme libre, qu'à son odeur et à sa peau brulée par un soleil implacable. Elle savait le sort des esclaves la nuit, ils étaient parqués dans une cale, entassés les uns sur les autres, et surtout attachés.
Mais pour cela elle avait un plan, il lui fallait juste séduire le second du capitaine, celui-là même qui se vantait de détenir en ses mains toute la sécurité du navire.

Ce fut facile, plus que prévu en fait, elle n'eut même pas besoin de faire glisser sa robe provocante à terre, le second était certainement totalement néophyte à l'art de l'amour, il repoussa la charmante cliente en rougissant alors que celle-ci faisait courir ses mains sur lui, prenant au passage et avec une dextérité qui l’étonna au plus au point, les clés de la geôle des esclaves.

Le soir venu, Alicia se glissa hors de sa chambre privée en silence, bien sur, le ramdam que le second fit durant la soirée avait éveillé les soupçons, mais que pouvaient faire de simples grouillots de basse classe contre une armée d'aristocrates enfarinés voulant voir du pays? Les clefs furent déclarées perdue en bonne et due forme, des double furent descellés et que sera sera. Le cœur de la jeune femme battait la chamade alors qu'elle se rapprochait du noyau brulant où se reposaient les employés gratuits, quand elle ouvrit la porte, elle faillit défaillir par l'odeur de musc qui s’échappa, dans un miaulement tout a fait indécent, elle fit le premier pas dans cet amas de chair brulante et suante.
Elle voulait voir du sauvage, elle était servie!

Alicia trouva non sans peine l'homme de la réception, tous dormaient à poing fermés, nus comme des vers afin de contrer la chaleur inhumaine qui régnait dans le cloaque brumeux. Elle le réveilla en douceur, les deux charbons de ses yeux, d'abord flous de sommeil, s’éclairèrent un instant à la vision de cette insensée venue lui apporter la liberté qu'on lui avait enlevé il y a si longtemps.

Ce fut là son erreur en fait, maintenant en y repensant, c'était ça, ses pulsions l’avaient conduite à faire l'impensable, tout alla très vite, l'agression, le vol des clefs et la libération des esclaves, l’émeute, l'horrible massacre qui s'en suivi. Les hommes autrefois esclaves étaient fous, ivres de liberté, ils riaient à tue-tête en dansant au milieu des corps meurtris de ceux qui les avaient enfermés. Alicia, elle, avait couru en tout sens, s'étant échappée elle ne savait comment, emporté par la vague humaine et nue que vomissait la cale en flot continu...
Elle se retrouva coincée sur le pont, en sueur, paniquée au point que le doux ennui qui ne l'avait jamais quittée de toute sa vie lui manqua terriblement, quand un groupe d'homme nus, dont les intentions ne firent aucun doute, entra dans la pièce, ce fut à ce moment là qu'elle sauta dans le vide, de la chaleur étouffante du tumulte qu'elle quitta, il ne restait rien.

Ho ça oui, elle en a vu des sauvages, elle aurait aimé en connaitre un un peu mieux, mais les gens avaient raisons, on ne peut leur faire confiance, bandes de sous humains! traitres!

Les larmes se cristallisaient à mesure qu'elles se faisaient emporter par le vent s'enroulant autour du corps en chute libre d'Alicia, quelle erreur, quelle idiote!

Loin au dessus, des hommes libres partaient vers un horizon différent, ver les leurs, devenus pirates ils ne laisseront plus personne les voir comme des objets, la société actuelle que leur pères avaient refusés avait transformé ses citoyens en loques incapable de se défendre, il fallait que ça se sache, et vite!

Avant de rentrer dans plus de détails pour la validation.

Est ce que le post rp correspond vraiment au post type que tu fais? En moyenne ce seront toujours des posts de ce calibre?

Et bien en fait je ne sais pas, je me trouve encore un peu rouillé, mais ça devrait aller mieux une fois que je me serais réhabitué à l’écriture, je suis en arrêt maladie à cause de ma main droite blessée, du coup je tape beaucoup, mais alors beaucoup moins vite

Ok.

Pour ton style de combat. Le coté envoutement des adversaires et autres trucs à la brook, ça ne viendra pas tout de suite (faudra monter un peu de rang.). Sinon pour les trucs d'ondes de choc et de balles soniques...ça sera toujours assez limiter parcequ'au final, c'est de la sous-traitance du gura gura no mie (le FDD de barbe blanche). Normalement on accepte pas ce genre de dérivés de pouvoirs mais dans le manga y a un des grands Singes de Jaya qui fait un peu ça.

Donc bon, ça sera un peu ce que le singe fait la limite :/.

Avec ça d'éclaircis, je valide rang 2 ^^. Perso bien rigolo que t'as là.

Ho bah oui c'est normal qu'il soit un peu moisi au début, il débarque juste sur les mers!

Je ferais une fiche technique avec un descriptif, évidemment ça va pas casser des briques au début, ça va être chicane à la paluche le temps de se chauffer la voix!

Merci en tout cas, je vais tenter de dessiner un avatar moins déprave aussi!

Je valide aussi.

» Présentation d'ishi (non terminé)
» Présentation Reffya. [terminé]
» Présentation de Jazz (Terminé)
» Presentation Evy-chan (Terminé)
» Présentation de Yusuko [Terminé].