• Nom & Prenom : Valentine Asta
• Surnom (facultatif) : Pas encore acquis
• Age : 21 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humaine
• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Chasseuse de prime
•Prime : (Si pirate ou révolutionnaire, selon votre rang de validation vous aurez l'occasion de commencer avec une prime dont le montant est de 12 millions maximum, 4 millions par rang accordé à la validation.)
• Orientation psychologique [i](bon, mauvais, indifférent, ...) : lawful neutral
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) :
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : [Merci de regarder la liste des FDD/Armes disponibles avant de demander. Vous pouvez proposer un FDD ou une arme qui n'est pas dans la liste, mais faites-nous en une description détaillée. Merci également de préciser le niveau ou le rang du FDD ou de l'arme d'exception choisie.] Goru Goru no mie : Logia de la foudre, niveau 8.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Devenir la plus mieux des chasseuse de prime et la plus mieux payé des mercenaires de toutes les mers !
• Code présentation ) :
◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]
Il y a des histoires d'amour qui finissent dans le bonheur eternel d'un foyer paisible. Pour les parents d'Asta, ce ne fut malheureusement pas le cas. Rien d'épique. Pas de mort en résistant héroïquement à un envoyé corrompus du gouvernement mondiale. Ni d'engrais à vengeance vertueuse en passant de vie à trépas par le fer d'une épée de pirate gratuitement sanguinaire et brutalement barbare.
Tout d'abord, présentons ce couple. Un jeune Boris Wallin et une jolie Efée Wallin, originaire de South Blue. Habitants de Evil Drum une des grandes ville de North blue. Un simple fils d'horloger reprenant l'affaire familiale et une serveuse de bar, bonne à marier apparemment.
La banalité de leur vie et de leur rencontre -parmis toutes les rencontre qu'on puisse avoir dans un bar, on reste toujours plus ou moins certain d'y compter la serveuse. - n'enleva rien à leur bonheur. Un couple pastiche où les défauts comme les qualités de chacun œuvrent à créer une relation harmonieuse.
Après quelques années, ils se marièrent, Efée quittait son travail pour devenir femme au foyer et Boris continuait de gagner sa vie en assemblant des montres à gousset de plus en plus à la mode chez les bourgeois de la ville. Pourquoi pas même une grande horloge de temps en temps. Bref les engrenages engrenaient un confort respectable dans leur appartement au dessus de l'échoppe.
Tant mieux vu que Efée ne mis pas longtemps à se retrouver enceinte de son mari. Bien sur, le couple n'est pas à l'abri de soucis quotidien, de voisins un poil envahissant, forcément, être l'établissement limitrophe de la taverne du quartier encours le risque de subir un tapage nocturne régulier. Qui parut reposant lorsqu'ils subirent les hurlement de leur nouvelle-née, la petite Anastasia.
Comme beaucoup pourraient en témoigner, il existe de pires tourments que d'être jeune parent.
L'alcool brule. Les cigare aussi. Le bois ne s'en prive pas. La taverne pris feu. Un accident. Un mégot mal écrasé? Une bagarre ? Un problème en cuisine? Qui sait? Qui s'en soucie? Tout le monde s'en fout ! Des clients qui sortent en panique. Des serveuse les suivent...et les tenancier cherchent à sauver leur gagne pain , sans succès, ils rejoignent le reste des cendres. On fêtait le début du printemps.
Le problème du feu, c'est la propagation. Et les établissement voisins, surpris par le coté soudain de l'incident finirent également dans cette énorme pyre.
Mentionné sus-ditement, parmi les voisins se trouvait l'échoppe et l'habitat de la famille Wallin qui put s'enfuir à temps. Bébé Anastasia incluse. Elle n'avait pas plus de quelques mois.
Vous connaissez tous la scène du commerçant fasse à son échoppe en démolis. Il tombe à genoux, et agite les bras en beuglant « je suis ruiné ! » Les larmes aux yeux. C'est à peu près le spectacle que Boris Wallin donna aux pompier venus bien trop tard maitriser les flammes.
Plus rien, plus de maisons, plus d'économies...L'horloger contracta un gros prêt pour essayer de s'en remettre mais sans succès La crise du Wapométal anciennement plus grande richesse de l'ile touchait chacun des secteurs de la ville. Les Wallins ne finirent pas à la rue mais presque, ils étaient tassé dans une cabane miteuse quasiment cachée à l'intérieur d'une ruelle. Un cul de sac au sens propre comme figuré.
Puis vint l'hiver...froid...très froid. Evil Drum, comme beaucoup d'iles de North Blue connaissait des hivers parmis les plus rudes du monde.
Un soir de tempête de neige, Les wallins étaient groupé. Les deux parents autour de leur bébé dans cette cabane abimée qui laissait trop de courants d'air frigorifique entrer.
Enlacé autour de leur bébé à qu'ils emmitouflèrent dans ce qu'il possedait en couverture et vêtements, il approvisionnaient un feu de cheminée.
Le deuxième jour de tempête, le peu de mobilier passait dans l'âtre.
Le troisième jour le feu s'éteint. Dans la nuit, Boris et Efée s'endormirent et décédèrent suite à une sévère hypothermie.
Ensevelis sous les couvertures et encore enlacé par les cadavres de ses parents, on trouvait la petite Anastasia le quatrième jour, la fin de la tempête laissa résonner les pleurs du bébé. Son prénom gravé dans son landeau abimé avait presque disparut, d'Anastasia on ne pouvait plus lire qu'Asta. Cela devint donc son prénom et le seul qu'elle connaitrait.
Ses premiers souvenir furent donc en rapport avec l'orphelinat qui la recueillis. L'orphelinat « Saint Robson » Pas un hotel 5étoile, mais pas non plus un enfer digne d'Oliver Twist. Elle vivait au quotidien avec une dizaine d'autres marmot dans un confort relativement correcte sur une ile qui n'avait toujours pas récupéré du coup dure du Wapométal.
Elle n'avait pas faim et surtout jamais froid, toujours fardée de nombreux pull et d'un paquet de couches de paires de collants ou autre chaussettes en dessous de pantalons. En faite la petite Asta était une véritable victime de sa peur pathologique du froid. Elle avait l'air bien ridicule sous deux doudounes d'ailleurs personne ne se gênait pour rire grassement en regardant transpirer comme un hammam après une bête montée d'escalier.
Mis à part ça, la vie à l'orphelinat se passait bien. Les parents de la petite Asta ne lui manquaient pas puisqu'elle ne les avait strictement pas connus de mémoire consciente. Elle ne manquait pas de camarade de jeux dans l'institution et les adultes qui géraient l'endroit étaient loin de se comporter comme des éducateurs du dimanche.
Il n'y a qu'avec le principe d'adoption que la petite fille n'appréciait pas, elle n'envisageait pas d'autres foyer que Saint Robson. Enfin, elle ne risquait pas non plus de se faire adopter avec ses fardeaux et son visage toujours rougit.
On avance ainsi jusqu'aux douze ans de la petite. Tout continue de se passer correctement. Elle sort jouer avec une de ses amies, une jeune Lee. Rien d'anormale. Ils se baladent sur les toits comme souvent. Malgré l'aspect rude du climat, Evil Drum reste magnifique enneigée.
Comme toujours, trop lourdement habillée, Asta est à la traine. On l'attends...elle finis par arriver.
Bataille de boule de neige, la petite Asta s'énerve à cause « du froid qui rentre dans sa doudoune ! » Elle riposte. Rien de neuf.
Et puis si.
L'accident bete, la faute à personne. La boule de neige envoyé éclate sur le manteau de son amie. Rien de grave.
La tuile qui se détache sous ses pieds. Insertion de chute au ralentit. Quatre étages de descente pour rebondir sur une rampe d'escalier. Son corps à l'air d'une poupée désarticulée. Asta s'empresse d'appeller à l'aide les secours arrivent...A temps.
Et oui, pas de mort. On évite quand même les tragédies trop faciles.
Il n'empeche que. Lee recouverte de bandage, à son reveils, découvre, en plus de plâtre autour de ses jambes, que son œil gauche se trouvait sur le chemin d'un morceau de métal qui lui offrit d'une cicatrice commençant sur le sourcils pour finir plus bas que le nez, bref, kaput le n'oeil.
Borgne après une chute pareils, il y a pire comme destin. D'ailleurs, ni elle ni personne n'accusaient Asta d'être responsable de quoi que ce soit.
Cependant. Pour une gamine, revoir son amie blessée de telle sorte...Impossible pour Asta de ne pas se sentir coupable. De son point de vu, la boule de neige avait plus de poids qu'une tuile sur la tuile, tuileception le retour de la vengeance.
Et la culpabilité, on la couve, on y fait face, où on fuit. Après plusieurs semaine de rappel visuel constant en regardant la petite Lee. Asta décide de fuir.
Elle regroupe ses jouets, ses habits (en porte la majorité sur elle de toutes façon). Cache le baluchon, et la nuit venue décide de mettre les voiles.
On avance trois ans plus tard et voilà l'adolescente Asta à charge d'un groupe de gamins. Pas les siens mais presque. La crise du Wapometal continuait et le nombre de gamins à la rue grimpait avec.
S'étant retrouvée ainée d'un groupe de vagabonds, Asta était devenue leader de facto et s'occupait des marmots comme elle le pouvait avec ses connaissances limités du monde.
Ils avaient leur squatte dans une raffinerie de Wapometal, abandonné bien sur. Sans se demander pourquoi un monstre industriel pareils serait laissé pour compte, ils vivotaient de vol à l'étalage et petits boulots. Sans oublier les occasionnelle bagarre avec d'autres vagabonds.
Et l'adolescente Asta s'occupait du groupe, pensait les bobos, faisait la cuisine et se débrouillait pour recoudre/rafistoler des vêtements à partir de vielles toiles. Souvent elle repensait à l'orphelinat et a la petite Lee, ce qui la motivait d'autant plus à materner les autres marmots.
De huit a quinze ans le groupe d'enfant comptait un peu moins d'une dizaine de membres. Ils avaient rapidement noué des liens proches de la famille. Ils n'hésitaient pas à appeler Asta « grande soeur » et elle les considérait en rien moins que des petits freres. Restait le probleme du nom de famille...n'en ayant pas reçus à l'orphelinat (le but étant de se faire adopter et de prendre le nom d'une famille d'accueil...), Asta développa rapidement un complexe vis à vis des autres. Avant de s'en choisir un, avec l'aide d'un vieux gramophone qui continuait de passer « My funny Valentine ».
Asta Valentine, il lui plait son nom rien qu'a elle.
On les dérangeait peu dans cette raffinerie abandonnée. Voir pas du tout. Et pour cause, les dechets de Wapometal étaient fichtrement dangereux en exposition sur le long terme ! Mais ça ils n'en savaient rien. Certes, le fait d'avoir des cheveux virer au gris aurait put leur mettre la puce à l'oreille mais pour une Asta sous-eduqué il était plus simple de faire porter le chapeau à la neige, et au stress. Après tout elle entendais souvent les adultes dire qu'a force de stresser ils auraient les cheveux blancs.
1ans plus tard au moment où le benjamin de la famille, Livio, commence à tousser sanglant. On se posa quelques question, on l'amena chez un médecin qui ne résista pas a une vingtaine de zyeux gros et larmoyant pour une consultation gratuite.
Infection des poumons suite à un empoisonnement aux dérivés de Wapometal. Les autres enfants avaient leur systeme immunitaire endommagé mais rien qu'un changement d'environnement et un bon traitement ne saurais soigner. Ils ne garderaient que leurs cheveux gris comme souvenir.
Encore une fois, Asta sentait une pointe de culpabilité mais, avec les années en plus, les responsabilité et le reste...cette fois, elle ne pris pas la poudre d'escampette. Elle resta s'occuper de son petit frère.
Seul problème, réminiscence de celui de ses parents, l'argent, la maille le flouze la thune les pepettes et autres menue monnaies.
Tout le monde se mit au boulot. Asta, comme maman avant, serveuse. Les autres passaient apprenti artisan ou n'importe quoi qui ramène de quoi manger et/ou payer le traitement de Livio.
Ce fut rude, comme n'importe qui travaillant H24 pour se retrouver faucher à la fin du mois, Asta Valentine, 19ans, n'allait pas tarder à atteindre le bout de sa corde...
Heureusement, le destin lui sourit à nouveau.
Un jour de marché, fruits et légumes. Le maraicher lui laissait régulièrement prendre une partie des invendus du jour en échange de verres provenant de la cave du patron, servis sous le coude bien sur.
Au même moment, deux individus louches courraient en travers du marché en tenant un étrange objet sous un linge. Poursuivis par la marines
Miss Valentine, sous ses deux doudounes et les yeux plantés vers le ciel ne s'aperçut de rien...collision...Étalage du panier. Confusion totale, les deux inconnus se relevent et ramassent un Ananas avant de repartir. Asta ne manque pas de crier « Au voleurs! » « Connards ! » et de lever vainement son majeur.
Nous sommes donc en présence d'un de ces quiproquo comme il en arrive tous les jours. Les deux individus, pirates recherché, venaient de voler un précieux fruit du démon et, bien sur, comptaient le ramener à leur capitaine. Intercepté par la marine une course poursuite commença et Asta, triple couche de vêtements recyclés en airbag, joua le rôle du point de collision.
Dans le chaos, et l'urgence, les deux forbans prirent l'ananas pas assez mur pour leur fruit du démon, laissant à Asta le précieux butin...
Et bien sur, elle ne s'en rendit compte qu'une fois de retour dans sa chambre. Que, dans son panier, se trouvait un fruit bien étrange...curieuse et affamée, elle le croqua en deux bouchée...avant d'amèrement le regretter. De sa vie de SDF et de serveuse fauchée, elle en avait gouté des plats degueu, cependant, ce « fruit » ou « légume » remportait le prix du goût le plus à chier qu'elle eu jamais connus !
Elle ne sentit pas de changement et, pour son jour de congé, faisait ce qu'elle faisait chacun de ses jours de congé : elle allait faire la lessive de touuuute sa famille étendue. Dans la cours à l'intérieur de l'immeuble où se trouvait son une pièce.
Du coté des pirates, il ne leur fallut pas longtemps après avoir semé les marines pour se rendre compte que l'ananas de leur larcin n'avait rien d'un fruit maudis ! Leur boss, le capitaine Short John Nickel, mis à prix a 19 millions de berry leur fit comprendre son humeur à grosse mandale dans leur gueule avant, qu'ils ne sanglotent «c'la pou...pouffiasse du marché qu'à dut le r-ramasser ca..captain » ! « Oué, la connasse avec ses deux m-manteaux on va...va la retrouver ca...captain ».
Deux intimidations à droite et une beigne de distribué à gauche, et le trio des Nickel's Pirate obtinrent l'adresse du domicile d'Asta. Ils n'eurent même pas a chercher la jeune femme qui sechait son linge.
Clic.
Chien de pistolet armé, Short John Nickel cracha par terre et exigea que miss Valentine lui rende ce qui lui appartient sans quoi elle respirerait par un nouveau trou dans la poitrine. Jamais menacée par une arme à feu auparavant, la jeune femme, paralysée ne réussit qu'à articuler un « j-je je sais p-pas. »
Pan !
Dzzi?
Asta palpait sa poitrine à la recherche de l'impact de balle. Rien...Short John fit signe à son homme de main d'achever la fillette à coup de couteau pendant qu'il inspectait son arme convaincu de ne pas avoir manqué sa cible. Devant une nouvelle menace de mort, les jambes d'Asta tremblent comme des feuilles, puis elle tombe à genoux. Le couteau s'eleve...puis se plante au niveau du coeur de la femme.
DZZZZZZZZZZZZZZZZZZTT !! L'homme de main convulse, ses cheveux s'hérissent au point de virer son bandana. Il tombe, une fumée noirâtre s'échappe de lui et sa peau à un teint équivalent à une séance de bronzage dans un volcan.
Asta voit des arcs électriques parcourir la lame encore planté dans sa poitrine, puis l'ensemble de son corps. De plus en plus fort, de plus en plus gros. Ils traversent la cours via l'eau de lessive. Short John Nickel et son dernier homme de main connaissent le même sort que le poignardeur du dimanche. Pas mort mais clairement incapacité pour un bout de temps.
Ni une ni deux, Asta les fous sur une charrette et compte bien livrer ces bougres de brigand à la marine...mais avant ça...sans doute pour la première fois de sa vie, Asta à chaud...beaucoup trop chaud...Elle enlève ses manteaux, ses collants, se sert même de la dague fraichement sortie de son torse pour raccourcir son pantalon ! Elle se sent bien ! Pleine d'énergie ! Trop forte ! Unique !
Elle court à toute vitesse, laissant une trainée jaune d'électricité derrière elle, et avant même qu'elle ne s'en rende compte, elle dépose Short John Nickel et ses deux hommes à la marine ! La paire de sous-fifres recherchée pour 11 millions, ajoutez à cela les 19 millions du capitaine et c'est 30 millions que la marine remet à Asta Valentine qui n'a jamais tenue autant d'argent entre ses mains de toute sa vie ! Ni aussi facilement gagné !
Son nouveau talent, elle s'imagine deja gagner des milliards grâce à lui ! Mais avant, s'offrir une petite maison, y installer Livio qui clairement y serait plus heureux qu'a l'hôpital...et payer une infirmière à domicile.
Une fois les paperasse signée et l'argent depensé ! Asta Valentine se met à la recherche de pirates à chasser ! Asta Valentine,chasseuse de prime ! Asta Valentine, mercenaire ! Asta Valentine, botte des culs pour ceux qui payent bien !
Sa carrière a debuté il y a 2 ans dejà ! Elle a parcourus North Blue de long en large. Jusqu'à présent elle a connus autant de boulots facile que de missions difficile et s'est même faite une rivale! La grande majorité de l'argent gagné passe en frais de santé pour Livio. Mais Asta à foi qu'en continuant elle deviendra la plus grande chasseuse de prime du monde et la mieux payé des mercenaires !
◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]
Autrefois, Asta, brunette, arborait le teint basané typique de South Blue hérité de sa mère. Même le rude climat hivernale d'Evil Drum une des iles le plus au nord de North Blue ne put y toucher. Ce fut bien sur avant de passer trop de temps dans une raffinerie de Wapometal désaffectée, suintant de produits toxiques. Comme souvent dans ces cas là, l'organisme subi quelques mutations et pas des cool façon super-héros...non, pour la jeune pas-encore-chasseuse, elle eut droit à un coup dur sur sa mélanine, molécule responsable de la coloration des téguments. Laissant ainsi la petite Valentine bien pâle et grisant ses cheveux comme si elle se tapait un shampoing au mercure tous les matins. La dégénérescence ayant été soignée chez elle avant d'atteindre un stade critique (qui aurait fait bien plus qu'une simple recoloration loréal), elle n'a tout de même pas la coloration fantomatique d'un albinos totale et ses yeux ont viré plus ambré que rouge.
Sa coupe de cheveux en bataille traîne à longueur mi-longue et le négligé de son entretiens se voit aux épis taillés chaotiquement.
Plus bas, ses aventures lui ont laissé une cicatrice horizontale en plein milieu de son nez. Elle parle rarement de l'origine de cette blessure et a changé d'histoire les maigres fois où elle la raconta. Son nez petit et fin n'a pas trop souffert de cette cicatrice d'une bonne douzaine de centimètres.
En descendant on tombe sur ses lèvres, à l'image de son nez, fine, loin d'être pulpeuse, elles encadrent une bouche de taille correspondante. Elle ne se maquille pas, ce qui n'accentue en rien son profil discret.
On pourrait la considérer plus chanceuse au niveau de sa poitrine, relativement généreuse, mis en relief par son corps taillé svelte. Sortant d'une adolescence de SDF pour enquiller sur des travaux sans relaches puis une carrière franchement physique, elle n'a eu que très peu d'occasion de faire de la graisse.
De façon générale, elle n'est pas bien grande, la chasseuse survoltée ne dépasse pas le mètre soixante-dix tout rond, et, à la vue de sa silhouette aurait plutôt l'air fragile.
Du coté des vêtements...la veille de son entrée dans le monde de la chasse aux primes, Personne n'aurait vu Asta sans pullS ou manteauX sur elles, l'espace qu'elle occupait triplait, voire quadruplait avec la couche de fringues qu'elle portait. Et avec ça sur le dos, elle ne risquait pas d'aguicher autre chose qu'un tatou géant qui l'aurait pris une congénère.
...Actuellement, ou plutôt, depuis la consommation du logia de la foudre...elle est...moins frileuse, et donc plus libertaire sur ses vêtements. Elle a charcuté ses pantalons en short extrêmement courts, bazardés ses collants pour des chaussettes hautes, Asta exhibe suffisamment de jambe pour détourner les regards. En ce qui concerne le haut, elle a presque pour ligne de vie d'avoir le nombril à l'air.
La seule raison pour laquelle elle porte des manches longues tiens de l'embarras vis à vis de cicatrices au niveau de ses bras. Une relique de la tempête de neige qui a lentement engloutis ses parents biologiques. De grosses traces de chaire nécrosée en dessous de son épiderme...bref elle préfère ne pas les montrer.
Elle fait généralement tenir son haut à l'aide d'une ceinture qu'elle utilisait avant pour éviter que ses manteaux ne frottent trop les uns sur les autres...avec le changement vestimentaire, cette ceinture à tellement de mou que la plus grande partie tombe jusqu'au sol, prenant un aspect de queue féline lorsqu'Asta se déplace.
La voix de la chasseuse survoltée n'est malheureusement pas le doux chant d'un rossignols, les années à la rue l'ont abimée, le résultat étant un mélange étrange entre le l'aigu avec des pauses de graveleuses. Le fait qu'elle fume ne l'aide pas sur ce point.
Un des points les plus remarquables de sa démarches, et de ses gestes en générale proviennent de l'utilisation inconsciente de son pouvoir, sans même s'en rendre compte. Certains de ses gestes se font à la vitesse de l'éclaire, brisant la fluidité de ses gestes façon stop-motion.
Bref, un étrange joli brin de fille.
◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]
Asta à le sang chaud ! Avant de manger le logia de la foudre, la jeune femme était une serveuse fatiguée, presque las qui tournait à la culpabilité et un déni de soi quasi absolu. Après être devenus un être surnaturel composé de foudre et de roxxoritude...La petite est sortie de son cocon.
Bruyante comme pas possible, elle n'hésite pas à montrer sa joie ou faire un scandale pour les évènements les plus insignifiants.
Asta reste tout de même un personnage de contraste assez flagrant. D'un coté, elle rationne son budget parfaitement en ce qui concerne les dépense lié à la santé et l'éducation de sa famille. Envois ce qu'il faut et s'arrange pour qu'ils reçoivent chacun le nécessaire à temps. De l'autre, elle dépense la part qu'elle s'accorde d'un coup, souvent en un gueuleton et une beuverie...la laissant souvent dans l'embarras au moment de se payer le transport.
De même, d'une part elle ne manque pas une occasion de s'afficher pour tout et n'importe quoi mais...dès qu'on l'embarrasse un tout petit peu elle vire cramoisis puis tente de se faire toute petite, oubliée dans un coin.
Avant de se lancer dans sa carrière de chasseuse de prime, Asta évitait à tout prix les confrontations, entre son passé de SDF puis la nécessité absolue pour elle de garder un emplois stable la formèrent dans ce sens...ce qui bien sur ne manqua pas de créer une jolie réserve de frustration chez ce joli brin de fille...réserve dans laquelle elle n'hésite pas à puiser pour tenter de résoudre tout ses problèmes à coups de poings ! Du sifflement deplacé, la main au fesses, l'insulte, le regard de travers et n'importe quel autre affront perçus, qu'il soit reel ou non. Et oui, Asta est la relou qui viens voir les gens dans un bar en persiflant « Qu'est ce que t'as? T'as un problème? ».
Ceci est d'autant plus accentué par sa faible tolérance à l'alcool. Il lui en faut peu pour se saouler et virer rapidement dans les clichés de « profonde philosophie ivre ». Avec des classiques tel que « Vous...vous savez quoi...j-j'ai une idée qu'elle est géniale d'abord [insérez idée à la con du genre de la peluche fourchette, une peluche qui fait fourchette et vice versa]. Ou encore « Vous...vous êtes mes meilleurs potes du monde vous savez ! ». Et bien sur l'indémodable rage de la bourrée, qui sonne un peu comme « D'OU TU PARLES DE MA FAMILLE ! » . Bref qu'il soit joyeux ou mauvais, Asta à part vite et loin en buvant, et reste persuadé de parfaitement bien tenir la boisson...que tout ceux qui lui offrent un verre prennent garde.
On ne pouvait évoquer ses relations avec l'amour qu'après avoir parlé de l'alcool. En effets, elle ne s'est pas souvent réveille à coté d'un garçon, à chaque fois que c'est arrivé, elle bu tellement la veille qu'elle ne se souvint de rien. Et l'embarras total du lendemain à, pour l'instant, résulte en 100% de cas de défenestration. Soit de l'amant d'un soir ou d'elle même. Bref, si elle ne remonte pas seule dans sa chambre, le pari gagnant consiste à appeler le vitrier.
Professionnellement elle est...assez peu pro en faite. Elle essaye, elle essaye vraiment, mais son niveau de connaissance est celui d'une gamine des rue de North Blue. Elle essaye de compenser ça en jouant les fier-à-bras mais au final, cela la rends d'autant plus naïve qu'elle est capable de croire à pas mal de mythos gros comme des maisons. Elle ne se laisse pas décourager pour autant et hurle haut et fort qu'elle sera connue comme la meilleurs mercenaire sur le marché ! Elle recherche d'ailleurs le maximum de boulots qui lui permettront de gagner en réputation.
Vis à vis du travail en lui même, Asta a une fibre morale qui ne sied pas forcement à sa profession. Deja elle ne veut pas d'ennuis avec le gouvernement, le boulot est, et reste, le boulot et sa maison a Evil Drum doit rester un havre de paix. Elle ne s'aventure donc jamais au delà du coté gris de la loi (au maximum), ou en tout cas pas volontairement. Elle n'est par contre pas très regardante de ses employeurs à moins qu'ils exhibent des vices les plus malsain en face d'elle, Asta ne cherche pas à les connaître outre-mesure.
Par contre, si elle regarde l'aspect légal de ses missions, l'ambitieuse chasseuse fait complètement fi des difficultés possibles. Qu'on lui demanderais de chasser du Yonkou, elle accepterait sans doutes si elle savait où les trouver. Car ne pas regarder la difficultés ne signifie pas accepter l'impossible. Et ayant besoin régulièrement d'argent, Asta ne peut se permettre d'avoir trop de battements entre deux paiements.
Bref, si on devait résumer tout ça, Asta Valentine est un bon vivant, une rêveuse qui aime sa famille, une idiote colérique, une grosse vantarde et sans doute la pire camarade de beuverie possible.