- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Mon prénom!? Nom mais ça vas pas? C'est de l'atteinte à la vie privée ça!
Age : 15 ans
Homme/Femme/Okama : Homme bien sur!
Comment avez vous connu le forum : Google, mon ami de toujours
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Au moins une heure quand je suis connecté
Tes Mangas préférés : One piece, Naruto, Bleach, Soul Eater
Ton personnage préféré dans One Piece : Eustass Kidd
Ce qui t'a motivé à venir : je suis passionné de One Piece et le forum me plaisait donc je me suis lancé
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Vous avez de la chance, vous êtes mon premier forum
Hobbys : Jeux-vidéos, lire des manga, s'éclater entre potes
Autre(s) : J'espère voguer sur les mers du rp pendant encore longtemps
- Présentation du personnage -
• Nom : Dackson
• Prénom : Owy
• Surnom : L'arme organique
• Age : 25 ans
• Race : Humain
• Camp : Pirate
•Prime : Ce serait cool
• Orientation psychologique : Mauvais quand il tue, mais neutre la plupart du temps
• Métier/Spécialité : Assassin
• Pouvoir demandé : Buki style (une méthode de combat qui remplace les armes par le corps du combattant, lui donnant la possibilité d'être une véritable arme vivante)
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Devenir l'homme le plus fort du monde pour que personne ne puisse le traiter comme un faible
• Code:
◘ Description Physique :
Une simple différence peut vous gâcher la majeure partie de votre vie. C’est ce que le destin a réservé à Owy, en effet ses mains sont carbonisées et laissent voir sa peau par des centaines de petits trous. Ses mains affreuses sont cachés par des gants. Il est intéressant de voir que ce simple geste définis Owy : il cache son goût du sang avec sa personnalité tranquille et banale qui joue le même rôle que ses gants sur ses mains : cacher la partie la plus intime de sa personne. La plupart du temps il a les mains enfouies dans ses poches comme si les gants ne suffisaient pas seuls à les cacher. Son torse est à découvert et montre une musculature qui témoigne de ses années d’entrainement aux arts martiaux, cette musculature est donc solide sans être exceptionnelle mais elle suffit quelquefois à attirer l’attention sur lui. Là n’est pas la véritable source de l’intérêt des gens : ce qui les fait frémir c’est un diable criant de réalisme tatoué sur son dos. Ce Satan pourrait être là pour nous rappeler que l’on n’a pas affaire à un homme comme tous les autre mais bel et bien à un monstre qui à sa place réservé en Enfer, parmi les démons et les anges déchus. Ce tatouage est si bien fait qu’il peut faire peur à la plupart de ses victimes car ont dirait qu’il va bondir pour vous dévorer.
Le reste de ses habits est assez commun : il porte un pantalon bleu foncé renforcé par des plaques de métal sur les genoux et sur tout le bas des jambes. Il possède une petite cicatrice sur la joue gauche qu'il a pris l'habitude de gratter lorsqu'il réfléchit.
De toute façon tout en Owy rappelle une âme damnée pour qui l’observe dans ses moments de sadisme. Outre ses cheveux noirs charbons qui ressemblent à si méprendre aux flammes de l’enfer, c’est quand il est content qu’il fait le plus peur. Car alors son regard brille d’une lueur sournoise et cruelle et son sourire est celui d’un démon qui se repaitre de la douleur d’autrui. Mais plus encore son rire s’infiltre en vous comme un serpent et vous glace le sang.
Alors si vous le rencontrer faîtes bien attention car votre vie dépend de sa première impression.
◘ Caractère & morale :
La personnalité d'Owy Dackson est complexe et découle de son enfance difficile. Ce qui est indéniable c'est qu'il est une personne sombre, à la fois psychopathe et sadique : il prend un malin plaisir à détruire les rêves des personnes faibles, les "déchets" comme il les appelle. Oui, Owy est un tueur en série, mais il ne tue que les individus sans réel talents, de préférence, s'ils ont des rêves qui leur sont inaccessibles ou s'ils ont la manie de se vanter et de se croire plus forts qu'ils ne le sont en réalité. Il est probable qu'en agissant ainsi il cherche à effacer de sa mémoire des souvenirs douloureux en les remplaçant par une joie sadique sans fin.
Cette partie, c'est sa personnalité qui ressort quand il tue, bien évidemment. Dans la vie de tous les jours Owy est quelqu'un de tout à fait banal. On pourrait presque dire qu'il est schizophrène tant son comportement est différent mais lui préférerait sans doute qu'on appelle ça de la dissimulation dans la masse. La vérité toutefois est que c'est sa vraie nature même s'il elle est diamétralement opposé à sa nature de psychopathe. D'ordinaire Dackson est effacé et discret, il ne parle pas beaucoup et il est assez familier pour lui qu'il reste seul dans son coin, sauf si une quelconque personne vient l'aborder.Il passe son temps à aggraver les reproches qu'on lui fait à tel point qu'une remarque anodine peut prendre chez des proportions énormes. Enfin, il n'arrive à facilement se lier d'amitié qu'avec les gens violents comme lui. Mais, malgré sa nature cachée, Owy peut être ami avec n'importe qui (au prix d'un effort somme toute assez important), mis à part les faibles, les vantards et ceux qui l'énervent vraiment trop.
Owy n’est pas réellement une personne asociale, il peut avoir des amis mais se comporte avec eux comme s’il était seul ou plutôt comme quelqu'un qui n’a pas envie de leur parler même si ce n’est pas forcément le cas. Il est rare de le voir sincèrement content aussi, même s’il lui arrive de simuler certains sentiments on ne peut le voir rire que quand il est en plein travail de boucher. Si vous le voyez en train d’achever un homme qui n’a plus d’humain que le nom, alors vous verrez surement sur son visage une immense satisfaction et une joie intense. Il peut rire également quand il se sent devenir plus puissant, car que c’est seulement ainsi que personne ne pourra le traiter de faible.
◘ Histoire :
Cette histoire, l'histoire de ma vie, n'aurai pas son véritable aspect si un autre que moi la racontait. Je vais donc de ce pas vous la narrer.
Je suis né avec une caractéristique bien particulière : j'ai les mains qui se décomposent. Pour être tout à fait exact on dirait que quelqu'un s'est amusé à la faire brûler puis à la cribler de petits trous avec une épingle. Cette particularité a été la cause de mon abandon par mes vrais parents puis de mon "abandon" par 19 de mes parents adoptifs, je suis même passé de South Blue à East Blue pour trouver un foyer (grâce à l'association qui s'occupait de mon adoption) un vrai record que jamais aucun enfant n'a battu depuis. Enfin bref, j'avais déjà trois ans quand je découvrais mon domicile. J'atterrissais chez des paysans, qui, comme tout le monde n'aimaient pas ce qui faisait de moi un être unique (d'ailleurs je tiens à dire que jamais je n'ai éprouvé le moindre sentiment affectif envers ces gens) . En revanche, eux avaient des problèmes d'argent et avaient besoin d'une main-d'oeuvre bon marché (pour ne pas dire gratuite). Ils me mirent dès les premiers jours des gants de mauvaise facture qui avaient néanmoins l'indéniable qualité de me tenir chaud l'hiver.
Ma vie à la campagne a ainsi commencé et elle a été le début de l'enfer comme de la grande révélation de ma vie. Mes "parents" me traitaient comme un moins que rien à cause (ou grâce) à ma malformation. En plus de cela je devais faire une part énorme de travail aux champs : mes faux parents n'avaient qu'un employé et ne voulaient pas participer eux-mêmes aux travaux. J'étais forcé de travailler comme dix, puis comme vingt lorsque mon collègue disparut mystérieusement à la suite d'une altercation verbale avec mon père de rechange.
A ce moment du récit il me faut peut-être dresser un rapide portrait des parents que je n'avais jamais voulu.
-Mon "père" était un narcissique ventru et chauve, qui pour une mystérieuse raison se croyait beau et passait son temps à s'admirer dans son miroir et à se vanter auprès des autres paysans. Une manie qui lui attirait bien plus souvent les moqueries que les compliments. Il ne s'en souciait pas, il se contentait de se draper dans sa dignité et de les mépriser, même si on ne peut pas vraiment dire qu'il ait jamais eu de dignité. Une dernière chose, il parlait de lui à la troisième personne du singulier et disait toujours "mon auguste personne".
-Transparent serait surement le terme que j'emploierais pour qualifier la femme qui fut ma mère. La plupart du temps elle passait inaperçu et il était rare de voir les habitants du coin lui adresser la parole autrement que par politesse tant elle passait inaperçu.
Bien, après cette brève description passons maintenant à la nuit fatidique, où mon quotidien a été bouleversé.
C'était une nuit de pleine lune, ah non, je me suis trompé, en faite c'était une nuit comme toutes les autres le jour de mes 17 ans. Cette nuit, j'avais eu la mauvaise (ou la bonne) idée de faire un remarque acerbe sur mon temps de travail en leur disant qu'il était temps qu'ils embauchent un nouvel employé. Ma "mère" comme d'habitude reçut la chose comme une statue et me fit l'impression d'être un des meubles de la cuisine. Il n'y avait que ses yeux et sa respiration qui m'indiquaient qu'elle était vivante. Mon "père" quant à lui me dit que son auguste personne ne tolérait pas mon insolence, puis il se lança dans un long discours que je n'écoutais pas. Non, car j'avais compris : je ne pouvais plus avoir cette vie misérable en compagnie d'êtres abjects qui se croyaient supérieurs à moi. Je me levais donc lentement jusqu'à la table la plus proche où j'empoignais un couteau. Et, avant qu'elle est pu réagir j'enfonçais mon arme de fortune dans le cou de "la femme invisible". Elle mourut sur le coup. "Le narcissique" en revanche me causa un petit peu plus de difficulté. Il m'avait vu tué sa femme si bien qu'avant que j'ai pu tenter quoi que ce soit contre lui, il avait un couteau de boucher dans chaque main. Il me sauta dessus et me maintenu au sol. Mais mon "père" n'était pas ce qu'on pourrait appeler un sportif et on avait toujours craint qu'il ne fasse un arrêt cardiaque. Il suffisait que je me débatte un peu pour qu'il menace de s'écrouler dans la pièce. C'est donc suffoquant qu'il essaya de se battre contre moi, et malgré quelques soucis mineurs je parvins finalement à me débarrasser de lui. Le laissant agoniser en paix, je m'éclipsais et sortait. Là je me réfléchissais. J'avais tué deux personnes de sang froid et je n'en éprouvait aucun remord. Pire, je ressentais une certaine satisfaction. Après une intense réflexion de quelques heures, je ne savais toujours pas où j'en étais, je décidais finalement d'aller habiter en ville. C'était le seul moyen de vivre en paix, puisqu'il était évident qu'une enquête serait ouverte dès qu'ils découvriraient les corps.
En ville, je hantais les rues tel un fantôme. Un fantôme qui n'hésitait pas à inonder les rues du sang de ses victimes. Depuis que j'avais tué mes parents d'adoption, je ressentais le besoin de commettre des meurtres. J'allais dans les quartiers pauvres, lieux remplis de ratés désabusés qui ne pouvaient rien faire d'autre dans leur vie que se voler entre eux. Il me suffisait de les isoler et alors l'ange de la mort frappait et je me retrouvais avec un nouveau cadavre sur la conscience. Mais évidemment à ce train-là, j'en avais pour une éternité avant d'être rassasié. Il me fallait un moyen efficace et rapide d'assouvir mon appétit sanguinaire. Une arme de destruction massive en quelque sorte. J'avais souvent écouté des garçons de mon âge parlant de la marine. Ils rêvaient tous d'en faire partie et d'aider le gouvernement mondial. C'était leur souhait le plus cher. Moi, ce que j'avais retenu c'était que le gouvernement mondial traquait les pirates sur toute la surface du globe. Chaque marine avait donc le devoir de stopper les activités de ces bandits par n'importe quels moyens. Ce qui signifiait pour moi une énorme masse de victimes potentielles. Il suffisait que je me rende au bureau de recrutement de l'île. Là je devais patienter pendant des heures pour participer pour participer au concours d'entrée obligatoire. Au fur et à mesure que le temps s'écoulait, j'éprouvais de plus en plus de dégoût pour mes camarades : ils parlaient de rester de simples soldats, disant qu'il était trop dur de faire partie de l'élite et ils trouvaient que c'était déjà un grand honneur d'oeuvrer pour la justice aux côtés de figures de légende. Pour ma part, je me fichais pas mal de cette soit-disant justice et il était hors de question que je reste dans l'anonymat. En quelque mots je n'avais plus du tout envie de faire partie de la marine. Lançant un regard méprisant aux autres candidats, je quittais la salle d'attente pour retourner vivre dans les rues. Désormais je savais que ma vie ne serait pas dans l'armée et dans le respect de l'ordre, et ma petite visite des locaux de la marine m'avait prouvée une chose : dans ce monde il fallait être fort pour ne finir comme le ramassis de minables que j'avais pu contempler. Par chance, il y avait une école d'arts martiaux dans le coin. Par contre trainer dans la rue ne fera jamais de vous un homme riche et c'est pourquoi je n'avais pas les moyens de me payer cette école. Néanmoins les gardes n'étaient pas très regardant et j'ai pu me dissimuler parmi les élèves, jusqu'à ce que j'apprenne que les cours étaient gratuits et que les gardes n'étaient là que pour éviter le vandalisme. Je me suis donc entrainé pendant 3 ans et c'est à partir de la 3° année que j'ai commence à me poser des questions sur mon avenir. J'avais refusé de devenir marine, c'est donc tout naturellement que je me suis imaginé en tant que pirate. Si j'en devenais un, il n'y aurait personne pour me donner des ordres, personne à qui rendre des comptes. Je pouvais tuer n'importe qui pour mon bon plaisir. Cette voie était taillée sur mesure pour moi et c'est tout naturellement que je me lançais sur les routes en tant que hors-la-loi.
• Exemple de post RP :
Owy était balloté par les flots depuis une bonne quinzaine de jours lorsqu'il posa enfin les pieds sur une île. Pour dire vrai, il n'aurait sans doute pas pris pour une île le tas de cailloux s'élevant au dessus de la mer si un port n'attestait qu'il était habité. Il se faufila rapidement parmi la foule avant de se trouver dans une ville agréable à regarder et qui semblait peuplée par des personnes aisées. Des personnes qui devaient être à l'exact opposé de son style de vie. Naviguant sur une barque de fortune et mangeant ce qu'il pouvait bien trouver, il vivait pour ainsi dire une vie misérable. Owy en était là dans ses réflexions quand son estomac le ramena à la réalité. Son dernier repas était tellement ancien qu'il n'arrivait pas à le situer précisément. Il dut se diriger vers l'auberge la plus proche dans laquelle il acheta le menu le plus léger. Après ce frugal repas qui n'avait fait que lui rappeler à quel point il était affamé, il alla se promener dans le port. Un port beaucoup trop bien pour lui, et après deux heures d'une balade plus ennuyeuse que la mort, il serait sans doute reparti d'où il venait si une maison ne m'avait intriguée : alors que toutes les autres étaient extravagantes, celle-ci était tout à fait banale.