Second perso de Vassili Taron.
• Nom & Prenom : Tyran Dan
• Surnom : Dan le marchand
• Age : 30
• Race : Humain
• Camp : Révolutionnaire
•Prime : 10 millions serait un bon début, histoire d'attirer les ennuis.
• Orientation psychologique : Absolument neutre. Les affaires sont les affaires.
• Métier/Spécialité : Marchand (et charlatan) errant / Fournisseur pour les révolutionnaires
Pour le moment, ses articles sont tous de qualité commune, mais il espère trouver de la marchandise rare à revendre au cours de ses voyages.
Il vend des armes, des armures, et des "remèdes magiques".
• Pouvoir demandé : Hie Hie No Mie : Permet de transformer son corps en glace et d'en générer.
Faiblesses : feu/chaleur (logia niveau 8 )
L’a mangé essentiellement pour se défendre de certains de ses clients portés sur la représaille. Il n'est pas un combattant, alors n'importe qui avec du haki ou qui découvre la faiblesse de son logia lui pète la gueule facile.
Style essentiellement défensif à base d'armures et de sculptures de glace.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Devenir le plus grand négociant du monde, et se faire un paquet de thunes.
Description Physique :
Typé asiatique, le moins que l’on puisse dire de notre homme est qu’il n’est pas très imposant. Fin, plus petit que la moyenne, et aussi peu musclé qu’on n’est capable de l’être. Malgré sa prétention à devenir un marchand respecté et reconnu, on ne peut pas dire que son visage inspire particulièrement confiance. Ses cheveux noirs ébouriffés donnent l’air d’avoir été grossièrement mis en ordre, la vérité c’est qu’il déteste se coiffer et qu’il n’arrive jamais à obtenir un ordre propre de ses cheveux.
Richement vêtu, on sent que Dan cherche à montrer de façon ostentatoire qu’il a les moyens et que son business est au beau fixe, même lorsque ce n’est pas le cas. Il avait même du casser sa tirelire pour s'offrir tout ça. Des tissus de première qualité, des chaînes décoratives en or, quelques pendentifs et bracelets sertis de pierres précieuses quand monsieur s’en sent d’humeur… Et la cerise sur le gâteau, une pipe à opium décorée et dorée.
En fait oui, l’opium fait partie de ses vices. C’est peut-être pour cela qu’il donne l’impression d’être tout le temps somnolent et que ses deux yeux sont souvent à moitié fermés.
Un perpétuel sourire est comme gravé sur son visage. Un sourire léger, souvent interprété comme malicieux. Ajoutons à cela qu'il a le rire facile, et qu'il lui arrive souvent de se laisser aller à des fous rires paraissant ne partir de rien. Ses clients le pensent ainsi toujours de bonne humeur. Combiné à sa carrure malingre, il est facile de commettre l’erreur de le considérer inoffensif.
D'où cette singularité vient, difficile à dire. Un mélange de bonne humeur effective et d'opium surement.
Sa voix douce et calme renforce cette impression. Même quand il est en colère, elle ne semble pas pouvoir monter de ton. A part quand il s'esclaffe de rire tout seul, il ne fait pas grand bruit.
Toujours propre sur lui, autant que possible du moins selon la situation, on ne peut pas lui reprocher de ne pas faire attention à son hygiène. Il se parfume même parfois. Il n'est pas maniaque non plus, mais il ne voudrait pas prendre le risque qu'une tâche mal placée ou qu'une sale odeur importune un client. Manie superflue certainement, vu que la plupart de ses clients sont des pirates puants ou des révolutionnaires en sueur...
Voilà donc un personnage plutôt rassurant au premier abord (malgré une tête de shooté).
En ce qui concerne ses aptitudes physiques, eh bien, il n'en a pas. Il n'a jamais cultivé son corps et n'est ni fort, ni agile, ni habile, ni résistant, ni même aguérri à quelques techniques de combat que ce soit. Voilà pourquoi en combat, il ne compte que sur son fruit du démon pour s'en tirer ou s'assurer la victoire. Ca suffit sur les petites mers, c'est plus risqué sur les grandes.
Il transporte avec lui un très gros sac à dos qui contient ses articles, qu'il semble balader plutôt facilement. Ca a surement au moins forgé ses épaules, à défaut de consolider le reste de son corps.
Caractère & morale :
Dan est l'homme le plus agréable et patient du monde... avec ses clients. Et s'ils ont beaucoup d'argent à dépenser.
Il est un homme d'affaires, et en cela, il possède un certain nombre de traits qui ne trompent pas sur ses occupations. Des tares qui deviennent des qualités lorsqu'il se retrouve à promouvoir sa marchandise.
Tenace. N'espérez pas marchander très longtemps avec lui. Ne pensez même pas pouvoir obtenir une réduction soi-disant parce que vous êtes son « ami ». Il est absolument inflexible en affaires, et pas que : dans la vie de tous les jours, ses idées sont très arrêtées. D'une ouverture d'esprit quasi nulle, il prend ce qu'il sait pour acquis et se remet rarement en cause.
Exubérant. Aimant jouer la fine mouche avec tout ses clients, Dan se vante de milles exploits et raconte ses milles voyages à travers les quatre mers et grand line. Il est du genre, après un étonnant retournement de situation, à sortir « Je me doutais que ça finirait comme ça ». Attention néanmoins, s'il prétend toujours être plus qu'il n'est réellement, il est tout de même loin d'être un crétin. Habile avec les mots et doté d'une bonne capacité d'analyse, il sait d'ailleurs particulièrement bien manipuler les faits pour les tourner à son avantage.
Méfiant. Il est plongé dans le dur monde des affaires depuis son enfance, et à tendance à extrapoler ce microcosme en considérant que dans toutes les relations humaines, il y en a forcément un qui, un jour, essayera de manger l'autre. Il se méfie des gens qui se présentent comme amis ou alliés et accorde très difficilement sa confiance. Il est possible d'entretenir une relation amicale avec lui, mais le moindre faux pas peut le faire douter de vous. Il n'est pas quelqu'un de facile à vivre au quotidien du coup...
Orgueilleux. Et rancunier avec ça. Cela rejoint sa tenacité, il n’abandonne jamais même dans une situation désespérée. Obsédé par le contrôle, il cherchera toujours à maîtriser de nouveau ce qui lui a échappé. Ce qui l’énerve peut paraître très bénin aux yeux des autres : une petite arnaque bien pensée par exemple. Si vous parvenez d'une façon ou d'une autre à l’entuber, ce qui est très difficile, sachez qu’il ne vous oubliera jamais.
En ce qui concerne sa façon d'aborder les clients, il ne passe pas par quatre chemins : il aborde les pirates directement là où on les trouve, dans les tavernes, sur les quais, parfois dans leurs propres repaires, et leur proposent sa marchandise.
Il fait aussi parfois son show en place publique pour essayer de vendre des "potions" aux civils, des médicaments qui guérissent la fièvre, l'asthme, qui accroissent la masse musculaire ou l'intelligence... Selon l'idée du jour de Dan. Dans les faits, ses potions ne contiennent que de l'eau de mer mélangée avec ce qu'il trouve au marché.
Quant aux révolutionnaires, il leur fournit du matériel avec quelques réductions. Pas parce qu'il veut les aider dans leur cause en fait, surtout parce que ça lui fait de la bonne pub et lui permet de rester en bon terme avec ses contacts révolutionnaires. Il n'est pas à fond dans leur idéologie. Il la trouve louable, mais ne se sent que peu concerné. De manière générale, ce que font ses clients de ce qu'il leur vend lui importe peu, tant qu'ils paient argent comptant.
Si un justicier et un psychopathe viennent en même temps faire leurs courses et qu'ils lui demandent la même arme, il la refourguera à celui qui paye le plus, point barre.
Il entretient tout de même une haine irrationnelle envers la marine et ceux qui coopèrent avec. De manière générale, il a un gros problème avec l'autorité.
Au vue de son passé de fifils à maman, ses voyages seul l'ont rendu plus mature et surtout plus indépendant qu'avant. Aujourd'hui il semble être le résultat de l'étrange fusion entre un homme d'affaire sans scrupules et un gosse qui aime jouer au caïd.
Son égo est à la fois celui d'un requin qui voit son pactole et ses richesses s'accumuler, et celui d'un minet fier de faire comme sa mère et de jouer des tours à ses clients.
La plupart du temps, il ne perd pas le Nord. Il se fait discret et évite de se faire remarquer par les autorités lorsqu'il débarque sur une île. Mais s'il a aujourd'hui une prime, c'est bien pour sa tendance à oublier que non seulement toutes ses arnaques (notamment envers les civils) ont des chances de lui retomber dessus un jour ou l'autre, mais aussi qu'un fournisseur de matos à utiliser contre la marine et le gouvernement se met en danger.
Et pour finir, notons la très dérangeante obsession du bonhomme pour les mères... A rajouter à sa passion pour le contrôle, le pouvoir et enfin et surtout, tout ce qui brille. Car oui, c'est une véritable pie, qui serait capable de voler un artefact capital à la survie de toute l'espèce uniquement parce qu'il brillerait. Freud aurait du boulot avec lui.
Histoire :
Dan est né dans un contexte d'adultère et de jalousie. Bienvenue dans le monde, petit !
Son père avait pris l'habitude de partir à l'aventure lorsque sa femme, la colonelle Monica Tyran, soldate au caractère d'acier, était loin du foyer. Pirates, marines, civils, monsieur Fred Tyran se servait dans tous les paniers. Son amante préférée était une jeune marchande errante du nom d'Elisabella Ranth, qui voguait à travers les blues et accostait régulièrement sur l'île où le futur papa vivait de sa ferme. Lorsque la marine, de caractère stricte, sérieuse, impregnée de discipline militaire, partait loin pendant quelques mois en mission, les deux amants se retrouvaient et partaient même parfois en escapade amoureuse pendant quelques semaines.
Monsieur adorait ces aventures, il y oubliait tout ce qui avait trait à sa vie de ferme ennuyeuse. Madame connaissait le penchant de son partenaire à draguer tout ce qui est du sexe opposé, et s'en amusait : pour cause, elle était du même genre. Un beau couple libéré que nous avions là. Et ils étaient tellement heureux tous les deux ! A tel point qu'un jour, Elisabella Ranth se retrouva enceinte de Fred Tyran.
Farce du sort, le nouveau père apprit cette nouvelle en même temps que sa colonelle de femme légitime découvrait que son mari menait une double-vie lorsqu'elle était en mission, par le biais de nombreux ragots dans la petite communauté de l'île. Ca devait arriver. Les tendances volages du père Tyran n'étaient, dans sa ville, un secret pour personne, sauf pour son épouse, du moins jusque là. La femme soldate, furieuse d'avoir été trompée et dotée d'un orgeuil destructeur, se mit en tête de punir son amant. Elle le traîna en justice pour adultère, et pour divers délits mineurs que l'époux lui avait confié avoir fait dans sa jeunesse. Il fut mis en tôle pendant quelques mois, et lorsqu'il en ressortit, il n'était plus le même homme. Une partie de lui avait disparu, certainement. Maintenant étroitement surveillé par Monica, plus suspicieuse que jamais, l'homme ne quitta plus beaucoup sa ferme.
Du côté d'Elisabella, la joie se fana aussi. Ne pouvant pas prendre le risque de retourner parler à son amant favori, elle décida d'élever l'enfant seule. Avec l'espoir de revoir l'élu de son coeur lui sourire de nouveau un jour...
Les quinze premières années de vie du jeune Dan ne furent pas marqués d'évenements très marquants. Il vécu une vie nomade et agréable en compagnie de sa mère marchande, jamais sur la même île plus d'une semaine de suite. Le garçon était fasciné par la manière dont sa mère embobinait ses clients, parfois en usant de son charme, parfois en attribuant à sa marchandise des propriétés fantastiques, d'autres fois encore en leur vendant les remèdes miraculeux à leur maladie... Elisabella parvenait même à vendre du vent à ses clients parfois, les faisant payer en avance et leur promettant de revenir avec du matériel légendaire fourni par un de ses contacts, comme l'épée du meilleur escrimeur du monde par exemple.
Maman était très forte. Le petit Dan voyait ça comme ça. Forte autant dans les arts du commerce que dans ceux du combat, puisqu'elle parvenait à maîtriser les clients mécontents qui s'étaient rendus compte que la fameuse souris d'argent immaculée et ses vertus guérisseuses qu'elle leur avait vendu n'était qu'un hamster peint en gris argenté. Il faut bien savoir se défendre un minimum quand on a l'habitude de prendre ses clients pour des cons.
Les années passèrent, Dan avait maintenant 20 ans, tout rond. Et toujours un fils à maman. Bien peu indépendant, il restait dans les jupes de sa mère et l'aidait dans ses affaires, elle lui donnait notamment une partie des comptes à gérer, pour l'entraîner. Pas qu'elle tenait tant que ça à ce qu'il prenne sa relève, mais elle ne savait pas vraiment quoi faire de son grand garçon. Elle l'aimait, mais il était un peu bon à rien. Et maladroit. Il se débrouillait avec ses comptes néanmoins, et les quelques fois qu'il s'est retrouvé à la place du marchand, il avait un bon feeling avec le client. Ca marqua un soulagement pour maman : au moins il était bon à quelque chose, et quelque chose qu'elle maîtrisait en plus !
Encore cinq ans paisibles, pendant lesquels Dan continua à apprendre à cuisiner les clients en compagnie de sa mère. Bien moins visible qu'elle, il s'appliquait à suivre rigoureusement ses pas. Aux yeux des clients, le jeune Dan existait, mais sa mère restait LA maîtresse de boutique, la baronne disposée à vendre de fantastiques bricoles aux pouvoirs complètement fous. A côté d'un tel caractère, Dan n'avait d'autres choix que de rester dans l'ombre. Devenue plus autoritaire avec son fils maintenant qu'il gérait l'entreprise avec elle, Elisabella lui imposait une discipline plutôt stricte, mais pas tyrannique. C'était une mère et son fils qui, passés devant les clients, se transformaient en la patronne et son employé. Dan apprit à gérer une boutique, à appâter les clients, à leur mettre de la poudre aux yeux, et, bien sûr, à détruire les espoirs du malheureux aussitôt qu'il commence à vouloir marchander. Durant cette période, la fascination de Dan pour sa mère redoubla encore.
Un jour, alors qu'ils stationnaient près d'un port avec une carte pour repérer les nids à clients de la ville dans laquelle ils venaient de débarquer, Dan et sa mère reçurent la visite d'un chasseur de primes. Aucun mot, rien. Elisabella se contenta de regarder le chasseur de primes dans les yeux, puis se tourna une dernière fois vers son fils. Elle lui dit de ne pas s'inquièter, qu'elle s'était juste attiré plus de problèmes qu'elle ne pouvait gérer. Elle ajouta en souriant que faire un petit tour en prison la calmera surement un peu, et qu'elle voulait que Dan, son cher Dan qui avait bien grandi, reprenne la boutique en pensant à sa mère de temps en temps. Sur ce, elle suivit le chasseur, et s'éloigna, après un dernier clin d'oeil au fils, planté comme un piquet sur le quai, la bave coulant un peu de la bouche et les larmes montant aux yeux. Quelques minutes plus tard, le jeune homme piqua une crise d'hystérie bruyante sur le port, tapant du pied et hurlant, comme s'il venait de perdre 15 ans. Quelque fut la motivation d'Elisabella pour laisser tomber son fils de cette manière, quelque fut les enjeux du marché qu'elle semblait avoir passé avec ce chasseur de primes, cette scène surréaliste marqua profondément Dan. D'ailleurs, il se mit à courir comme un dératé à travers la ville pour la retrouver après. Jusqu'à rouer de coups un soldat marine en patrouille en répétant "Elle est où ?? Vous l'avez mise où ??" en pleine rue. Il fut vite maîtrisé. Effectivement, ce jeune homme frêle bavant partout tout en pleurant qui essaye de vous faire mal à coup de poing et pied, c'est vite pathétique.
Par la suite, il développa une haine irrationnelle pour l'autorité. La rendant responsable de la perte de sa mère, il devenait fou rien qu'à entendre parler de la Marine, et encore plus fou lorsqu'on lui parlait de chasseurs de primes. Partagé entre incompréhension et colère, il cultiva sa rancune et chercha dans un premier temps à rejoindre les révolutionnaires, qu'il trouva après quelques mois d'errance en tombant par hasard sur une de leurs opérations dans North Blue. Ils encerclaient un manoir dans lequel un noble aux tendances mégalos et psychotiques s'était retranché avec sa garde rapproché. Ni une ni deux, Dan se mêla aux révolutionnaires et essaya de participer à leur assaut. Il fut vite mis à l'écart par le chef du commando, et questionné. Il en profita pour faire part de son désir à les rejoindre. L'opération se termina sur un succès, le noble fut tué dans l'assaut. Les révolutionnaires se regroupèrent, et Dan fut un peu interrogé sur son vécu et ses motivations. Il fut très franc : la marine lui a pris sa mère. Bon, c'est pas tout à fait vrai, sa mère semble s'être rendue d'elle-même. Mais, faut pas le dire.
Les révolutionnaires essayèrent de lui donner une formation accélérée au combat, mais Dan était très maladroit et pas foutu de tenir un fusil droit. Il était tellement frêle que lorsqu'il tirait avec, le recul l'envoyait valser sur plusieurs mètres. Ne parlons pas des armes blanches... Muni d'une épée, il se révéla être un vrai danger pour les autres et pour lui-même. Au vu de ses échecs cuisants, les révolutionnaires ne prirent bien sûr pas le risque de tenter de lui apprendre à manier des explosifs. Peu importe l'arme qu'il prenait, elle le transformait en calamité.
Plutôt que de s'acharner sur un domaine dans lequel il n'était pas doué, il se proposa à devenir un de leur contact au marché noir. De lui donner le rôle de fournisseur plutôt que celui d'agent de terrain. Il voyagerait à travers le monde à la recherche de bon matos, qu'il revendrait à prix d'amis aux révolutionnaires. Ils acceptèrent, mais lui conseillèrent de se faire tout petit. S'il venait à être arrêté, il n'aurait clairement pas les moyens physiques de se défendre.
Ah ah. Dan fit tout le contraire, il multiplia les ennemis et les rancunes en pratiquant des entourloupes à tout va. Il faut bien commencer quelque part !
Dans la tête de Dan, sa mère fut la meilleure commerçante du monde. Lorsqu'elle était libre, elle semblait capable de refourguer n'importe quoi à n'importe qui et personne ne lui arrivait à la cheville. Aujourd'hui l'objectif de Dan est de devenir aussi bon qu'elle. Bon marchand, peut-être pas tant que ça, mais bon escroc, ça oui.
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Le coup du nulos avec un logia collector, je trouve que ça va bien au style du perso. Sachez qu'il ne gèlera pas trois océans avec, étant un perso plus rp que combattant il n'atteindra jamais le dixième de ce que Kuzan fait dans le manga
S'il est refusé, je suis candidat au fruit du diamant (pas dans la liste du forum, m'enfin c'est celui de Joz, lui manquerait qu'une petite description)
J'espère qu'il y a pas trop de maladresses de style, j'ai tendance à avoir l'impression de m'emmêler les pinceaux dans ce que j'écris parfois.
Et oui, j'aime expliquer ce que je cherche à faire et j'aime m'excuser cent fois à l'avance pour les erreurs à la fin de tout ce que j'écris. Allons, c'est un comportement normal.