• Nom, Prénom : Von Varas, Lleidr
• Age : 15 ans
• Race : Humain
• Camp : Pirate !
•Prime : ça finira par arriver !
• Orientation psychologique :chaotique neutre
• Métier/Spécialité : Voleur/Navigateur (car un bon voleur sait lire une carte et doit pouvoir voler sa route !)
• Pouvoir demandé : Chizu Chizu no mi. Paramecia des cartes, niveau 7
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Voler des trucs.
◘ Histoire :
West Blue. Grande Ile, grandes villes. On commence, comme souvent, avec un gamin un poil paumé. Lleidr. Pas de nom de famille, le prénom est venus d'un clochard, voyageur vagabond en visite le temps jusqu'à ce qu'il ne soit plus le bienvenu.
Bref, pas la peine de parler du temps des couches-culottes. Ça n’intéresse personne d'importants, et ceux que ça fascine ont qu'a adopter des marmots. Lleidr a 5 ans, évadé de l'orphelinat avec un groupe de gamins, dont il est le plus jeune. Il survit. Ils vivent tous dans différents squats, ne jamais rester trop longtemps au même endroit sinon les commerçant du coin finissent pas prendre la mouche. Pas que ces braves marchand aient tort. Plus que la mendicité, c'est le chapardage qui permet aux z'enfants de survivre. On les traites de...euhmmmm, vils garnements et autres variations que le langage fleuri des maraîchers et marins peu comprendre. Ils sont plutôt doué, s'améliorent, mais surtout, pour Lleidr, il y prends plaisir. Dans le visage bouffi par la colère des honnêtes gens flouté. Il sait qu'il détient alors dans ses mains...ce qu'ils veulent ! C'est ça le vol ! C'est à eux, il le prends et c'est à lui ! A lui ! Rien qu'a lui ! Et puis quand il ramenait un truc bien brillant les « Ooooooh » du groupe de marmots lui confirmait la valeur des objets en questions.
Toutefois, loin de devenir un avide dragon accumulateur de trésor, Lleidr s'en débarrassait quasiment aussi vite qu'il les volait, un ou deux jours plus tards, pas plus. Contre de la nourriture la plupart du temps, souvent il laissait même les autres s'en charger. En effets, une fois l'adrénaline du méfait totalement évacuée, il ne restait plus grand chose à en faire.
Vis à vis du groupe on ne pouvait pas vraiment dire qu'ils étaient lié d'une amitié à toute épreuve. Lleidr suivait simplement par manque de connaissance du reste du monde, pour lui c'était normale. Sans plus. Les autre ne s'en plaignaient pas, après tout, le benjamin ne rechignait pas à partager sa part du butin et manquait rarement de ramener quelque chose.
Il vécus ainsi jusqu'à ses neuf ans a peu près. Des bas quartier il avait graduellement visé des coins plus huppés jusqu'à ceux des rupins. Il se trouvait à présent au sommet de l'ile si on peut dire. Dans une ruelle faisant face au « Club du Lion qui fume. » Une très ancienne institution où les nobles se retrouvaient, nombreux sont ceux qui venaient d'iles environnantes. Un lieu où la haute société se retrouvait au prix coutant.
Et tout ces types sortant de caleches portaient tellement de bidules brillants sur eux qu'ils devaient forcement y tenir...tout ça tout ça.
Le choix de la première victime constitua un point décisif dans la vie du gamin. C'était un adulte friqué assez classique dans le genre. Fin pas très grand, moustachu, un long nez, un menton pointus. Chapeau haut de forme sur la tete. Monocle sur l'oeil gauche. Une montre à gousset en argent qu'il ne pouvait s’empêcher de consulter régulièrement. Pas besoin de plus d'informations,L'oeil de Lleidr brillait du fond de la rue. Cible en vue. Monomaniaque dans sa démarche. Il fonce. Droit. Après une douzaine de foulée, se retrouve d'un bond sur le toit de la calèche. Bondit vers l'objet. Sa main est une pince implacable qui se referme tandis qu'il rebondit sur le grillage afin de passer au dessus du garde/conducteur qui essaye de l'attraper.
Lleidr court, regarde droit devant lui avant de se retourner en continuant à reculons. Il s'agit là du meilleurs moment du larcin, voire sa victime le visage écarlate, pester et taper du pied.
Les conséquences de voler à la tire ce qui appartient à un noble, même local et non mondial, sont aussi prévisible que terrible. Cependant, dans le cas présent, Lleidr n'en subit aucune. Pas la moindre represaille du bon coté de la loi. Pour une raison aussi simple qu'évidente.
Pour que larcin il y ait. Objet volé il faut.
Le noble gentlement agitait sa main en tenant un morceau de cuir familier au jeune voleur : Sa mitaine de cuir. Lleidr ne comprenait pas. Il vérifia qu'il tenait bien en main la montre brillante.
Que pouic !
Il était bouche bée. Sans voix. L'oeil droit atteint de spasmes. Rouge de honte et de rage. Il tourna les talons et décampa en vitesses.
La légende raconte qu'un chat mal luné grogna aux quatre coins de la ville ce soir là, et y renversa bon lot de poubelles.
La guerre était déclaré entre Lleidr et ce sale...ce sale...ce sale type ! Le jeune chapardeur retourna face au club du lion qui fume le soir suivant. Pas de sale type en vu. Enfin si, mais d'autres, des sales types qui n'étaient pas le sale type.
Il y retourna chaque soir durant une semaine avant que que LE sale type revienne.
Cette fois, le jeune bandit fonça de part derrière le noble et s'enfuit en sautant sur le toit de son véhicule Histoire de le voir de haut lorsque...ù$^@ ! ce ù$ ^@ ! lui avait chippé sa deuxième mitaine et toujours pas de montre.
Des fois, il faut savoir s'avouer vaincus. D'autre fois il suffit de savoir qu'il s'agit évident d'un « putain de coup de chance ! J'avais une poussière dans l'oeil c'est tout ! »
Notre gentil protagoniste connaissant à présent les habitudes du vil et veule antagoniste put se lancer une série de préparations. D'abord, de l’entraînement : il s'imposa de nombreux défis, de vitesses, d’adresses, tel qu'un nombre minimum de boutons à récupérer sans que ses victime ne sentent leur disparitions, ou encore, échanger les courses de trois matrones en même temps, sans qu'aucune ne puisse expliquer la présence du MYSTERIEUX SAUMON dans leurs paniers.
Vint le jour J. Il était paré. Il avait UN PLAN ! Qui impliquait...des CHATS !
Un poisson accroché a un bâton, les poussant à courir droit, la brigade miaou servit de distraction fulgurante et poilue !
Lleidr repartit pas plus riche qu'avant et sans son bonnet.
Les yeux injecté de sang il hurla son désir de re-revanche de la revengeance en agitant le poing.
Une semaine plus tard. Une bonne partie de l'ile fut, dans le courant des septs jours, mis à sac de façon bien particulière. Les gens n'étaient pas plus pauvre qu'avant. Pourtant ils étaient certains que les meubles qui trônaient chez eux n'étaient pas les leurs. Un peu partout. Lleidr, au bord de la rupture d'anévrisme, avait poussé ses muscles à l'agonie. Son cerveau de petits n'enfants à la sur-obsession. Il se disait capable de voir le son, sentir les couleurs et que bon dieux de bon sang de bonsoir il repartirait avec cette putain de montre en argent !
Le soir. Le grand soir ! Le SWAR ! Toujours ponctuel ce moustachu. Toujours...TOUJOURS ! Lleidr utilisa tout un arsenal de fumigène, feux d'artifices, détonations de canons, grimaces, leurres, diversions michael kael ! Mouton!
Au milieu de la fumée, il sentait chaque trait gravé de l'objet métallique et son brillant se reflétait dans ses yeux. Une main gantée s’apprêtait à lui reprendre. Il serra sa pogne au point d'en saigner. Et pressa l'objet contre sa poitrine.
Il sortit du nuage, toujours en possession du butin.
Il chuta. Une corde fine au niveau des chevilles. Il releva le nez du sol et put constater qu'une foule peu commode se trouvait maintenant en face de lui. Des commerçants, des gens, tous bien emmerdé d'avoir passé la semaine à s'échange du matériel à l'insu de leur plein gré.
Bref, le passage à tabac de sa vie attendait le jeune brigand. Sinon pour l'intervention d'un moustachu souriant. Il distribua quelques liasses de billets bien garnie Et le cocher ligota un coup le garnement, le jetta dans le coffre et, au lieu d'aller au club du lion qui fume, on pris le chemin du retour.
Lleidr bien sur essaya de se libérer. Vigoureusement. A force de gesticuler il s’assomma à la première bosse sur le chemin.
Il se réveilla, sur une chaise. Son premier réflexe : vérifier qu'il avait toujours la montre en main. Il souris en constatant sa présence.
Il constata ensuite la présence de l'homme en face de lui. Ni jeune ni vieux.
« C'est pas moi ! J'ai rien fait ! » Réflexe nerveux du gamin. Ça marchait rarement, mais par acquis de conscience il fallait bien le tenter.
L'adulte explosa de rire. Puis, après avoir repris son souffle, se leva, et tira les rideaux de la pièce. Révélant à la lumière une impressionnante collections de tableaux, bijoux, statue et autres résidus de caverne d'Ali baba ,
«Dans la famille Von Varas, ce qu'on veut, on le prends. « Furtnum ergo sum. Devise familiale cachée. » Le noble décris rapidement quelque uns de ses ancêtres et de leur prises. «Et surtout, on ne se fait pas prendre ! »
Le petit Lleidr demanda bien sur en quoi ça le concernait et si le monsieur Von Varas n'avait pas de problème avec le vol, est ce que ça voulait dire qu'il pouvait rentrer chez lui ?
« Ce que je te propose...jeune...jeune ? » Il fit signe au marmot qu'il attendait un prénom. « Lleidr... » l'adulte souris à nouveau. « Jeune Lleidr, c'est de passer chez les vrai professionnels. »
Le petit garçon, suspicieux bien sur, demanda pourquoi lui et pas un autre type qui sentirait moins les poubelles par exemples. Le Compte Zodej Von Varas, comme il semblait aimer le faire, répondit à coté de la plaque.
Il crocheta un cadenas. « 1 semaine d'apprentissage. » Il recommença, à une main cette fois « Un mois ou deux. » Il enfila une paire de menotte. Se démit le poignet pour en sortir dans un craquement sinistre avant de réaligner parfaitement ses os. Pas une grimace. « Quelques années pour la finition. ». Il s'approcha de Lleidr et le fixa droit dans les yeux. « L'étoile qui brille dedans. Ce picotement sur le bout des doigts. C'est inné, tu le découvre ou tu meurs sans le connaître. Les techniques s'apprennent, se copient...se..volent. J'ai besoin d'un apprentis alors je l'ai volé hé hé hé.»
Bon la question qui trainait dans l'esprit du jeune voleur, sur le choix du compte Von Varas était partiellement résolue. Il s'imaginait que ce genre de truc, logiquement, dans les histoires de contes et autres, se passaient dans la famille. Pas la peine d'aller adopter des gamins de rue.
Il apprit plus tard, qu'à cette méthode existait un défaut incontournable ancrée intrinsèquement. Là où certains preferent les brunes, d'autre les blonde ou encore les rousses. Zodej lui les préférère...barbu. Et grand. Et musclé. Et Monsieur.
On avance de cinq ans parce que tout le monde se fout de la dynamique qui s'est installée. Lleidr vole des trucs et apprends a mieux voler. Il étends d'ailleurs sa définition du larcin. En effets, en négociant bien, on peut voler des trucs ! De même, les jeux de « hasards » deviennent vachement moins hasardeux avec deux ou trois tours de poignets et permettent de soulager les gens de certaines possessions avec autant de garanties que si on leur avait arraché des mains.
Il ne pense pas trop aux autres gamins, il est comme ça Lleidr. Même avec son bienfaiteur, il n'est pas « froid » mais généralement indifférent lorsqu'il n'a rien à chaparder. Le poids d'une obsession finis souvent par saper l'énergie normalement attribué au reste.
On est donc cinq ans plus tard. En tandem, les Von Varas ont eu de nombreux succès, ont élargie la collection du manoirs de nombreux portraits, bijoux, et autres babioles.
Viens forcement quelque chose de plus consistant. Directement transféré de la route de tous les périls. Un fruit du démon envoyé vers le QG de West Blue.
Une opération pas facile que de l'intercepter durant un ravitaillement un ville. Un plan complexe imaginé puis exécuté.
Les deux complices repartaient avec leur précieux butin.
Lleidr pouvait voir la valeur du fruit dans la brillance du regard de son instructeur.
C'était compulsif.
Il savait qu'il ne pourrait pas le piquer à Zodej, pas le garder plus d'une seconde tout du moins. La seule façon qu'il avait d'effectivement prendre ce fruit au compte Von Varas.
GROMPCH.
Un coup de mâchoire, il l'avala d'un coup, manquant de s'étouffer au passage.
« J'ai gagné ! »
Dit il avant de partir en courant.
C'était une de ces décisions qu'on prends sur un coup de tête. Voyager, seul, acquérir/voler par soi même de nouvelles techniques, de nouveaux objets.
Lleidr n'est d'ailleurs pas en mauvais terme avec le compte Zadej Von Varas, ils restent en contacte par correspondance. Bien que surpris par la fugue rapide, l'adulte de nature, comprends et encourage ce long voyage. Le gamin lui, bien qu'assez détaché, porte son nom de famille avec fierté.
Il aurait quand même préféré ne pas se faire choper huit mois plus tard et se retrouver à jurer son allégeance à une capitaine zozoteuse pour qu'elle le sorte de prison !
◘ Caractère & morale : Bon, c'est assez simple a déduire de son passé, et ben...de quasiment toutes ses actions. Lleidr est un garçon plutôt monomaniaque et concentré sur un concept vaste et précis à la fois : Chouraver, voler, chaparder, piquer, brigander, cambrioler etc...Il éprouve une très concrète joie à s'accaparer la propriété d'autrui sans véritable distinction entre le physique et le mental à ce sujet (s'il pouvait voler la bonne humeur il le ferait.). Son système de valeur est d'ailleurs purement relatif. Ce qui compte n'est pas tant la valeur absolue, monétaire, des objets qu'il chaparde que celle qu'elles ont pour leur possesseur originale.
Lleidr pense donc quasiment constamment au vol, s'il n'est pas entrain de piquer un truc, il planifie un larcin. Lorsqu'il se trouve dans une situation où il ne peut pas s'adonner à son passe temps favori, il montre alors de claire signe de manques et d'anxiété qui vont de pairs. Lorsqu'il doit prendre son mal en patience, que ce soit à cause d'une impossibilité où qu'un plan nécessite d'attendre le moment opportun, il aime se calmer en mâchonnant quelque chose, un peu n'importe quoi qui lui passe sous la main, lacets, morceaux de cuirs, crayons etc...
Malgré les plus grands efforts de son père adoptif, la culture générale de Lleidr est médiocre pour des sujets tels que l'histoire, les organisation politique et un paquet de concepts de la vie de tous les jours. Tout ce qui ne concerne pas sa passion du larcin lui passe un peu au dessus de la tète.
Mais son age étant ce qu'il est, il commence à voire les filles un peu différemment, sans vraiment comprendre, il a donc tendance à réagir de façon bien agressive quand une jolie donzelle essaye de flirter avec lui. Il s'empourpre rapidement et perds assez vite toute crédibilité.
Pas un brave héros près a se sacrifier pour la veuve et l'orphelin, Lleidr, comme tout bon filou qui se respecte n'hésitera pas a fuir vite et nette si la situation commence à sentir le roussit pour lui. En effets, les mort ne volent rien, bien au contraire, leur tombes se font piller ! Il n'y a pas de mérite à finir six pieds sous terre bon sang de bois ! Paradoxalement, il n'hésitera pas une seconde à se mettre dans une situation bien piquante en conséquence de larcins. Chouraver la choppe de rhum d'un officier de la marine pour après se tailler en zigzagant (car Lleidr tiens l'alcool à peu près aussi bien qu'un cheveux sur un crâne chauve.) il l'a fait ! Plus d'une fois ! Tout ça parce que le type qui a l'air le plus heureux de la taverne se met à dire « Y a rien de meilleurs qu'un bon verre après le service ». 'Lui apprendra tiens.
Attention, il ne faut pas confondre la propension au vol du jeune homme avec de l'avarice. En effets, la plupart des fruits de ses rapines disparaissent de façon très nonchalante, une fois que le possesseur original a perdu l'espoir de récupérer son bien, celui-ci perds une partie considérable de sa valeur pour le garçon au cheveux azure. De même, lorsqu'il se trouve en possession de sommes d'argent considérable, il a ainsi tendance à tout utiliser bien vite pour préparer un gros cambriolage.
Cependant, il déteste, avec une haine profonde et implacable qu'on lui vole des trucs à lui. Il est extrêmement rancunier à ce sujet et se vengera, quoi qu'il arrive il consacrera toute son attention à ce projet.
Trait assez surprenant pour un voleur, il est fiable. Lorsqu'il promet quelque chose, il s'y tient. Une habitude de gamin de rue mêlée à l'idée suivante : « on ne me vole pas ma parole ! Donc si je la donne j'suis obligé de m'y tenir ». C'est pour ça qu'il n'a pas quitté son capitaine à la première escale. Et qu'on peut le manipuler facilement pour en l'amenant à jurer des trucs.
En bref, un gamin klepto assumé qui a décidé de parcourir les mers pour chouraver un maximum de trucs différents.
◘ Description Physique : Bon, ce qu'on remarque en premier en regardant Lleidr : Il est pas bien grand. Aux alentours du mètre cinquante et quelques centimètres...yep. On le traite souvent de nabot sans avoir à mentir. Un point qui n'enchante pas du tout le jeune homme. L'autre détails qu'on remarque bien vite, dans la continuité du précédent, le rachitisme du personnage, qui donne l'impression d'avoir une brindille en face de soi. Bref, il est jeune et fait plutôt moins que son age de prime abord. Ce rachitisme donne un aspect mal-nourris, combiné à la pâleur de sa peau, il n'est pas rare qu'on lui jette rageusement un sandwich à la gueule car, rien que de le voir ainsi, on ressent une sévère famine par empathie.
L'autre point marquant de Lleidr, c'est la couleur de sa pilosité. Une histoire simple et rigolote explique les détails de celle ci. Un jour, parmi tant d'autre, il vola certaines marchandises, parmi tant d'autres. Rien de bien neuf sous le soleil pour l'instant. Sauf que, cette fois, il décida de s'enfuir avec un mystérieux tonneau en courant dessus alors qu'il roulait. Un numéro de cirque sympathique, peut contrôler qui finis bien sur en plein dans un arbre. Trempé d'une substance bleu azure, il apprit dans les larmes du commerçant qu'il s'agissait de super-color, un produit rare de grandline, une teinture ultra-tenace. Tellement tenace qu'il réussit, au pris de grands lavages successif à s'en débarrasser de la peau. Mais pour les poils, rien à faire...ils repoussent même en azure ! Ses cheveux mi-long négligés passent donc rarement inaperçus. Il les as même laissé poussé jusqu'à couvrir une partie de son visage, après tout chaque leurre est bon à utiliser.
Dernier signe physiologique significatif : Ses tatouages. Un triangle vide contenant un triangle plein. Pourquoi ce tatouage...et bien, encore une fois, le fruit d'un larcin, celui de l'exclusivité. Il a volé l'occasion d'un tierce quidam, enthousiasmé par ce tatouage. En payant l'artiste le double de ses tarifs, il put passer avant l'autre pirate, un blond platine râleur deja pleins de tatouages à qui la journée fut pourrie. A nouveau, Lleidr regretta armement sa décision, déjà parce qu'un tatouage sur la gueule ça fait un mal de chien, ensuite parce qu’il pensait que ça partirait au lavage après une semaine, selon ses propre termes « qui est suffisamment débile pour vouloir un truc permanent ! ». Comme pour sa couleur de cheveux, il a appris au fil du temps à apprécier ses triangles.
En ce qui concerne sa tenue, elle a ressemble à l'uniforme non-officiel des vagabond à cause des rapiéçage divers, puis, en s'y attardant un peu plus, sans devenir débile, on se rends compte que chaque morceau semble provenir d'un vêtement différent. Car c'est le cas ! Une façon de garder en souvenir certain larcins de tissus, Lleidr les as incorporé sa tenue. Et, histoire d'éviter de tomber en pièce à raccommoder le tout avec de la grosse ficelle. Ou d'énormes agrafes métalliques. Cela à l'avantage ajouté de ne perdre qu'une partie de vêtement lorsqu'il faut se dégager d'une poigne. Il a tout de même conservé une certaine unité de couleurs, parce que les Arlequins c'est quand même un tas de gars super ultra flippant, donc faut pas trop leur ressembler.
Que dire de plus sur ce jeune voleur ? Ses yeux sont gros, verts, et clignent assez rarement. Il prends régulièrement un air absent lorsqu'il imagine divers scénario pour s'accaparer le bien d'autrui et on le voit ricaner après exécution de son plan, ou sourire de toutes ses dents, un paquets de canines disposé en scie, qu'on se demanderait si y a pas un poil d'homme poisson au dixième degré dans la généalogie..
Comme tout bon maitre voleur qui se respecte, il ne fait pas de bruit en se déplaçant, et semble presque flotter même lorsqu'il court et bondit dans tous les sens.
Bref, un gamin des rues quelconque par certains points et tout autant singulier pour un paquet d'autre.
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