[Finie]Lazy Dreamer/Pirate

On dit qu'on grandit en dormant, je commence à croire que c'est vrai, j'ai passé la plupart de mon temps à dormir que ce soit dans un lit ou en plein air, mon mètre 80 semble venir de là en plus de ma nutrition. Je me regarde pas souvent dans un miroir, je n’en vois pas l’utilité, quel est l’intérêt de se voir soit même ? Ce n’est qu’une perte de temps, pendant que certains sont fasciné devant leur reflet d’autre sont à la découvertes de chose bien plus intéressante tel le pays des rêves! Oh, je ne fais pas que dormir malheureusement je suis aussi un bretteur peu conventionnel, à ce stade je ne crois pas que ça tient de l’ordre des bretteurs classiques. J’ai une fascination pour les armes lourdes à deux mains bien aiguisés, je trouve que l’effort est plus gratifiant, certes mon artistique et plus barbare mais plus difficile donc plus intéressant à mon gout, la facilité très peu pour moi. Ce qui est tout à fait contradictoire à partir du moment ou je suis un flemmard de renom, mais quand la flemme s’évacue de mon corps, dans ces uniques moments, je me mets à travailler ma conditions physique ce qui à fait que mon corps est endurant et musclé, car pour porter une telle épée sans être essoufflé au bout de quelques minutes, c’est loin d’être une mince affaire. J’ai tendance à porter des vêtements classique, chemise, jean, veste, contrairement à ce que l’on peut croire cela ne dérange pas tant que ça lors d’un effort physique ça dépend de plusieurs éléments comme la souplesse du tissu, le type de tissu, etc. Leur couleur m’importent pas tant que ça mais je préfère rester dans les couleur peu voyantes car je n’ai pas envi d’attirer l’attention sur moi non pas par peur, mais parce que le contact avec les autres m’intéresse pas, je minimise au maximum les interactions avec les individus de mon espèce, je préfère être dans mon monde. Très jeune, j’ai quitté la maison afin de découvrir le monde, curieux de tout, je quittai maison et famille afin d’accroitre mes connaissances et méditer sur ce qui nous entoure nous humains….

Mon histoire étant peu intéressante en elle-même je préfère en faire un résumé en y traçant les grandes lignes, à quoi bon s’éterniser sur le moment où j’attrapais une pomme sur un étalage pour la manger sans la payer? L’histoire se compose uniquement de ce qu’un individu cherche à montrer de sa personnalité, ainsi s’il veut être méchant ou néfaste envers autrui, il ne parlera guère de l’instant où plus jeune il prit de pitié une personne car ainsi il dévoilerait une faiblesse et perdrait toute crédibilité auprès de ses camarades ou de ses adversaires, de même pour une personne qui adore tout ce qui l’entoure. Après il y a ceux qui sont neutre et qui jugent bon de montrer différents passage de leur vie afin de toucher plusieurs personnes et montrer qu’elles ne sont pas les seules à agir comme tel. Pour ma part je n’ai rien fait de bon ou de mauvais, l’histoire de la pomme n’étant qu’un exemple cela ne sert à rien d’y faire référence. J’ai jugé bon de vivre en retrait par rapport à la société pour avoir le moins de relation avec eux et donc pour ne pas faire d’actes qu’elle jugerait bon ou non, ainsi je suis inexistant aux yeux d’autrui. En dehors des personnes trop curieuse qui s’intéresse à la personne qui dort au somment de la colline la tête contre un tronc d’arbre.

A l’âge de 10 ans je quittais le nid familiale avide de connaissance et de découvertes, mes parents comprenaient mon envi et donc ne cherchaient pas à m’en empêcher. Sont-ils « cool » ? Reste à voir ce que vous entendez par ce terme employer pour diverses raisons pas forcément bien définit. Je vagabondais de maison en maison demandant en échange d’un travail manuel, agricole ou autre, le strictes minimum pour vivre quelques jours ainsi j’ai pu visiter plusieurs villes et découvrir les personnes qui les peuplaient. Durant mes longues marches je passais mon temps à bretter le vent et à frapper quelques arbres afin de me défendre dans une éventuelle attaque. Les années passèrent et mes échanges avec les individus se faisaient de moins en moins, j’étais de moins en moins intéressés par ce que racontaient les êtres humains, hypocrites, radoteurs, lâche, trompeur, ils possédaient tous les défauts du monde avide de pouvoir ils en oubliaient les valeurs qui faisaient la fierté de notre civilisation. Les raisons qui les avaient poussés à agir ainsi ne m’intéressaient pas car cela les concernait, j’étais juste un touriste qui ne cherchait pas d’histoire et voulait être perçu ni comme bon, ni comme mauvais, je faisais les choses pour moi et non pas pour eux. Si je tentais de comprendre pourquoi de tels agissements, connaissant leurs réaction face à des étrangers qui tentent de pénétrer dans le domaine dit privée je serais mal reçu.

Il y a quelques jours je suis arrivé en cette ville, elle y était prospère et les gens ne se prenaient pas la tête, un forgeron en ville accepta de me nourrir en échange de mon aide. Profitant de son savoir faire, je me forgeais une lame de taille peu normal et plutôt légère pour les matériaux utilisés, l’astuce était dans la répartition des poids. Le forgeron savait que je travaillais sur cette lame mais était indifférent vis-à-vis de mon activité ,n’était-ce pas grandiose? Plus tard il m’annonça que mon aide devenait inutile les forgerons étaient de moins en moins demandé laissant place aux canonniers en guise de remerciement il m'offrit une boite avec un fruit (Yomi Yomi) en me disant de le manger qu'en cas extrême.... Après ça, j’étais curieux de voir à quoi ressemblait les concourants et j’ai donc prit la route pour ces nouveaux commerçants, ils possédaient des engins assez fascinants leurs styles étaient fort particulier et leur utilisation inconnue jusqu’à ce qu’une personne fasse retentir un coup de canon. Avide de savoir je proposais mon aide qui fut refusé, néanmoins il m’expliqua le fonctionnement de ces armes en m’en offrit une endommagé. Je la fis réparé auprès d’un autre canonnier qui vu la pièce ne demandait rien en échange car trop vieille et donc pas compliqué a remettre sur pied il me donna un peu de poudre et repartit vers ses clients. Depuis ce jour je ne travaillais plus au service d’un commerçant ni même d’un individu quel qu’il soit, 18 ans atteint, j’attendais mon avenir en fermant les deux yeux…