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 Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini]

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MessageSujet: Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini]   Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini] EmptyLun 20 Sep 2010 - 22:01

- Présentation du joueur -


Prénom : Jordan
Age : 15 ans
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : J'ai des amis (et c'est vrai !) qui me l'ont montré, j'ai trouvé le concept plutôt sympa
Combien d'heures vous vous connectez par jour : 1 à 2h par semaine, mais si on compte le temps que je passe sur l'ordi en général, c'est 3 à 4h (je ne fais pas que jouer, ah non ! :p )
Tes Mangas préférés : Katekyo Hitman Reborn, Death Note, One Piece.
Ton pirate préféré dans One Piece : Usopp ! Il combat à distance, voilà un bon.
Ce qui t'as motivé à venir : Je ne sais pas vraiment... C'est ce petit quelque chose qui donne envie qui m'as donné envie de faire du RP.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Il y a quelques années j'étais sur un autre forum de RP (c'était sur Pokémon, par contre.)
Hobbys : Tennis, sorties, maths (qui a dit que les maths ne faisaient pas plaisir !)
Autre(s) : Hhhmm, je ne vois pas trop. Dommage !





- Présentation du personnage -


• Nom & Prénom : Yokubõ Ishiyumi

• Surnom (facultatif) :

• Age : 22 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Ishiyumi est neutre. Cependant, il possède quelques affinitées avec certains pirates. On le considère par conséquent comme un Pirate.

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Yokubõ est assez mystérieux. De nature plutôt passive, il n'aime pas être dans les premières lignes des grandes batailles. Son caractère assez antipathique le rend quelque peu détesté. Mais au fond, il possède des qualités rares, comme la fidélité ou la compassion. Il est ni bon, ni mauvais. On ne sait pas ce qu'il veut exactement.

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Il s'y connait énormément en explosifs. Par conséquent, il s'auto-désigne Maître des Détonations. Sinon, il travaille à mi-temps en tant que chimiste.

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) :

Ses armes de prédilections étant les armes à distance, il n'a qu'un simple Fusil de Sniper, et un Pistolet pour le combat rapproché qu’il appelle respectivement « Pãji » (purification) et « Gyakusatsu » (massacre).
Cependant, il possède le fruit Gunju Gunju no Mie. Ce FDD lui permet de changer la capacité de ses munitions. En effet, s'il touche du feu (il se brûle) mais les balles qu'il tirera lorsque sa main gauche brûle seront en fait des balles enflammées. S'il touche de l'eau salée, les tirs effectués de la main droite affaibliront la cible si elle possède un fruit du démon.

Etant très inventif, mais aussi tête en l'air, il ne se souvient que très peu de se qu'il créé. Si ses créations l'intéressent énormément, il l'écrit sur son bloc-note et cherche ainsi à en créer une "fiole" : il a par exemple un échantillon d'eau salée dans sa poche de veste, et lorsqu'il s'en imprègne les doigts, cela créé sa "Tsukareru Gunju" (Munition Epuisante). Il a été démontré que sa main gauche sert de "catalyseur" : si le contact avec la matière en question est faite volontairement de la main gauche, le processus d'adaptabilité (car Yokubõ n'a pas encore réussi à trouver le moyen de changer instantanément) sera en effet bien plus rapide que si le contact est établi inconsciemment. Lorsqu'il touche plusieurs éléments, c'est le plus dangeureux (pour Yokubõ) qui sera utilisé. Par exemple, il est en contact permanent avec du textile, mais, le textile ne peut pas -en principe- avoir un degré de dangerosité supérieur à celui d'une flamme ou d'une poutre. (Il ne sait pas encore vraiment utiliser cet aspect de son pouvoir). Pour le moment, Yokubõ sait :

-Utiliser une flamme pour une munition qui brûle à l'impact.
-Utiliser un choc électrique, une tension, afin d'augmenter le "flash" obtenu suite à un tir de son fusil uniquement, et par conséquent éblouir les adversaires (s'il a touché une très forte tension, il risque sa vie, mais il peut même aller jusqu'à aveugler la cible, voir lui-même s'il ne porte pas de lunettes, et encore.)
-Utiliser de l'eau salée, pour une munition qui affaiblit (sa fameuse Tsukareru Gunju) possible qu'avec Gyakusatsu.
-Utiliser le verre, pour une munition qui coupe.
-Utiliser une pression (il a apprit à utiliser les pressions lors de son entrée au Lycée.) afin d'augmenter la vitesse et la portée de ses balles.

Comme il a été précisé plus haut, notre personnage stocke tout cela dans des fioles. Il les remplit à chaque fois qu'il passe dans un village. En effet, il lui suffit d'une table pour commencer à faire la liste de ce qu'il lui faut et par la suite d'aller chercher le tout. Sauf exception comme le verre, il faut qu'il le trouve naturellement.


• Rêve(s)/But(s) du personnage : Il semblerait qu'il veuille s'excuser auprès de quelqu'un...






◘ Description Physique :



Yokubõ Ishiyumi est un homme de carrure classique. Ni trop gros, ni trop mince, ni trop grand, ni trop petit, il est dans ce qu’on peut appeler « la classe moyenne ». Son visage n’est pas souvent visible. De temps à autres, on peut discerner ses yeux bleus étincelants. Lorsque l’on voit son visage, cela signifie qu’il a retiré son chapeau ; et lorsqu’il le retire, c’est qu’il ne souhaite pas l’abîmer, et commence donc à être sérieux. De plus, ce chapeau est assez excentrique : il lui donne une once de machiavélisme. Muni aussi d’une veste en cuir rouge-sang, il parait réellement méchant. Par ailleurs, il l’enlève lorsqu’il fait chaud. Pour une raison inconnue, il semblerait qu’il ne souhaite pas du tout les abîmer.

Quant à son physique, on peut dire qu’il n’a pas une musculature exceptionnelle ; cependant, il est agile et souple. Etant d’une famille d’athlète, on peut penser qu’il a été entraîné pour poursuivre justement les buts de ses propres géniteurs. Or ses capacités respiratoire faible ne lui ont pas permit cela. Malgré tout, il repousse ses limites et essaie sans cesse de pouvoir arriver à la cheville de son père.

Ishiyumi porterai apparemment son Fusil dans son dos. On ne le voit pas, il est certainement entre son accoutrement tabou et sa peau. Par contre, son Pistolet est bel et bien visible, attaché par des chaînes autour de sa taille.

Sa veste porte des « slots » comme il le dit si bien. En réalité, il stocke ses fioles à l’intérieur. C’est ainsi qu’il change de munition. N’étant pas très attiré par les protections tels que les jambières ou les casques, on ne dirait pas un soldat. Mais il a les aptitudes pour, malgré, comme dit plus haut, ses quelques handicaps.





◘ Caractère & moral :



Un homme relativement calme. C’est ce qu’on dit souvent de lui. En effet, on pourrait penser aux premiers abords qu’il s’agit d’un bonhomme solitaire, sans cœur, et sans pitié. Mais en réalité, tout est flou dans sa tête : même s’il ne sait pas ce qu’il veut, il a des idées bien fixées (et très souvent… sadiques il faut l’avouer.) mais il réfléchit aussi énormément à ce qui se passe actuellement. De nature plutôt rêveuse, il aime se projeter dans l’avenir –sans toujours savoir où- et imaginer ce qu’il pourrait faire. D’ailleurs, il a une conception de la vie assez glauque ; d’après lui, il vit pour une seule et bonne raison : mourir. Derrière cela, on pourrait penser à un suicidaire. Après tout, sa vie n’a pas été très joyeuse. Mais au final, il apprécie la vie. Il est vrai qu’on peut se faire de fausses idées à son sujet.

Etant sujet d’antipathie, il n’est pas toujours prêt à s’ouvrir aux autres. Mais les seules personnes qui le connaissent vraiment bien savent qu’en lui se cache pas un brin de trahison. Pour Yokubõ, il se dit qu’il a un grand cœur, sauf qu’il ne l’ouvre qu’à ceux à qui il en voit l’utilité. Il se voit assez fou sur les bords. Certains disent de lui qu’on dirait un scientifique passionné ; mais après tout, il a effectué de très longues recherches sur lui-même. On peut donc en dire qu’il est aussi un petit peu égocentrique. Cet homme est pour l’individualisme. C’est pour cela qu’il n’aime pas les équipages. Il pense rester seul jusqu’à la fin de sa vie, peut-être. Mais cela ne le dérange aucunement. Il semble très fortement attaché à ses principes de fidélité et de luxure. Il tient à ses promesses et à son petit « chez-lui ».

En temps normal, il utilise son fusil au combat, que ce soit à longue distance ou rapproché. Lorsqu’il commence à être sérieux, Yokubõ dégaine et rengaine en quelques secondes l’une de ses 2 armes. Grâce à cela, il obtient une mobilité quasiment toujours à son maximum. Cette capacité est dûe à des années d’entrainement au tir directement après avoir dégainé, mais malgré cela, il manque quelque peu de précision. De plus, il a apprit à utiliser son Pãji d’une seule main. Par conséquent, il peut continuer à s’impreigner de l’essence de la fiole, mais cela est risqué : Pãji possède un très gros recul (surtout après avoir changé l'attribut d'une balle), et s'il se peut qu'il se blesse seul.





◘ Histoire :


Yokubõ. 28 ans. Je vivais dans West Blue. A l’époque, j’aimais lire et m’amuser tranquillement. Bon, je suis un homme comme un autre, enfin, ce n’est pas vraiment sûr. La plupart du temps, on me dit que je suis fou. Pas que je suis quelqu’un d’imprudent ou quoi que ce soit, juste légèrement atteint. Mais généralement, ce ne sont pas les étrangers que me le disent, juste les gens qui me cotoyent. Paradoxalement, ceux qui me sont inconnus aiment bien mon caractère. Le seul problème étant que, ceux qui ne me connaissent pas ne connaissent pas de moi ma véritable identité. Dommage pour eux, certainement. J’ai déjà dû en tuer un ou deux car lorsque je leur en avais parlé, ils étaient susceptible de le répéter à de nombreuses personnes. Et comme je n’aime pas mon passé, ils ont dûs payer le prix de ma méfiance.

C’est lorsque je suis né que tout à commencé. En effet, ma naissance n’était pas prévue. Ma mère cachait sa grossesse à son mari. Malheureusement pour elle, le tempérament de celui-ci était quelque peu exagéré, et il ne souhaitait pas avoir de descendance. Par conséquent, c’est ce qui causera le décès de ma mère. Ne m’ayant jamais parlé de cette histoire avant mes 13 ans, je vivais sans mère, cette personne qui est la plus importante pour un enfant. Je restais donc seul, mon paternel étant submergé par son travail. Un soir, il était rentré à la maison avec un bras en moins. Il semblait de plus en plus faible, mais aussi très énervé. Effrayé de par la situation qui se dégradait de plus en plus, je ne savais pas quoi faire. Je n’étais qu’un simple garçon d’une quinzaine d’année, je n’avais pas encore la maturité nécéssaire pour prendre des décisions importantes seul. Lors de cette discussion dont je me souviendrais toute ma vie à table, il m’annonca quelque chose.

« -Tu sais, mon fils, tu n’es pas censé vivre…
-Ah ? répondis-je d’un ton étonné.
-Oui. Tu sauras pourquoi plus tard, mais, surtout s’il te plait, ne sors pas d’ici pendant 2 ans.
-Comment ça, pendant 2 ans ?! rétorquais-je, Ce n’est pas possible ! Comment tu veux que je reste ici, sans manger, sans rien, pendant 24 mois. Je ne peux pas.
-Il le faudra, dit-il froidement.
-Et pourquoi je n’devrais pas sortir ? Il n’y a rien dehors, on est dans une maison super grande perdue au milieu d’une forêt…»

Tout à coup, trois personnes surgissent de la fenêtre. Mon père m’ordonna de monter dans ma chambre. Affolé par le débarquement de ces gens-là, je m’enfuyais donc dans ma pièce préférée. D’en haut, j’entendais des coups de feu et des hurlements. Ce n’était pas mon père, ce qui me rassura grandement. Je l’aurai reconnu, tout de même. Insouciant, je descendis les escaliers doucement, et penchais la tête pour entrapercevoir quelque chose. Il n’y avait plus personne, mais 2 mares de sangs souillaient le parquet. J’en concluais donc que Père était parti enterrer les corps. Chaque mois, ces actions-là se répétaient : des bandits arrivaient, je devais monter dans ma chambre, du sang était étalé sur le sol et mon père revenait quelques heures après, soulagé.

Soulagé, je ne l’étais pas, car ces évènements arrivaient de plus en plus fréquemment. Lors d’une situation critique, mon père m’annonca qu’il était de la Marine. Je me souvins donc de ce moment où je lui disais que je voulais devenir un pirate car je trouvais ça « super cool », à l’époque. La dernière fois que je l’ai vu, c’était lors de mes 17 ans. Encore une fois, j’ai dû monter dans ma chambre. Ne voulant pas le déranger, je ne redescendais jamais pour le gêner. Ma présence aurait pu le déstabiliser. Il sait que je n’aime pas trop le voir tuer des gens. Pour la énième reprise, je dévalais les escaliers lorsque je n’entendis plus un bruit. Cette fois-ci, il y avait 4 grosses tâches de sang. Problème, ils n’étaient que trois, cette fois-là aussi. On pouvait voir quelques gouttes de sang qui s’étaient répandues en direction de la sortie. Quelqu’un a dû s’enfuir, donc.

Il y avait une lettre et une espèce de boîte sur la table. Je m’empressais de la lire ;

« Yokubõ, je suis parti. Tu l’as sûrement remarqué, hein, j’ai été grièvement blessé. Mais ce n’est pas grave, tu es grand et donc tu n’as plus besoin d’un père. Je ne peux pas te dire où je vais, car moi-même je ne sais pas exactement la direction dans laquelle je m’oriente. Si par mégarde tu ne souhaites pas vivre, suicides-toi. Tu t’en sentiras bien mieux après. Mais réfléchis-y à deux fois, ce n’est pas une décision réversible. Maintenant, je vais te dire pourquoi il ne fallait pas qu’à l’époque, tu saches l’histoire de notre famille. Tout d’abord, il va falloir que tu connaisses ce langage que seul notre famille comprend, afin que notre honneur n’en soit pas terni. »


Ce dur langage dont il parlait, devait sûrement être celui que j’ai appris en secret lors de mes 10 ans. Mon père m’avait offert un livre d’histoire. Celui-ci m’avait fortement interéssé et parfois j’entendais mon paternel parler dans un langage étant inscrit dans ce livre. Ca doit être ça ! Je me suis donc dépêché de retourner dans ma chambre et le reprendre, pour m’aider si je ne comprennais pas quelque chose. Muni d’une plume, d’encre, et de cette lettre, je commençais la traduction :

«De génération en génération, on est censé offrir une arme à notre fille, à sa majorité. Pourquoi ? Tout simplement car elle doit être notre unique fille. Partant du principe qu’un homme utilise son propre corps pour se défendre, il était pas du tout tabou de penser qu’un fils n’avait pas besoin d’une arme […] »


A ce moment-là, je me souvenais du jour où j’avais cassé un pot en porcelaine. A l’intérieur, il y avait un pistolet que mon père ne voulait que je touche sous aucun prétexte.

« […] Mais le problème étant que, nous n’avions pas réussi à obtenir de filles. Après 3 tentatives, toujours un garçon. Je m’obligeais à chaque fois de les tuer, étant donné qu’on ne voulait qu’un enfant. Au bout de la 4ème, nous nous sommes dit que l’un de nous avait un problème. Tu as été la plus grande source de conflit durant sa grossesse qu’elle m’a cachée. Elle me disait que c’était une fille. Sûrement pour me rassurer, je pense. Ou du moins, j’espère, car elle ne voulait pas que je me suicide à cause de ça. »

J’ai déjà usé une feuille de papier.

« Ce qu’il faut que tu saches, c’est que notre famille était traquée depuis très longtemps par la Marine. Oui, j’étais un Marine. Mais c’est parce que j’avais changé d’identité. Je voulais y rentrer afin de pouvoir atténuer les tensions qu’il y avait entre notre famille et cette organisation. Mais malheureusement, j’ai été découvert il y a peu de temps. Ces gens qui venaient chez nous, c’était des pirates prisonniers qui ont eu pour ordre de venir nous tuer, et s’ils y arrivaient, ils seraient délivrés. Le secret de notre famille … tu devrais le savoir. Nous avons pour habitude d’utiliser les armes à distance, n’est-ce-pas ? Quand tu étais petit tu adorais faire du tir à l’arc, même si la corde te brulait l’avant-bras à force de décocher sans protection. Il s’avère que nous gardions en nos plus profonds recoins un fruit du démon. Il est lié à un fusil et à un pistolet, Pãji et Gyakusatsu . Personne n’a voulu le manger, notre famille étant apeuré par les apparitions démoniaques, les fruits du démons étant assimilés à une malédiction. J’espère que tu n’en feras pas mauvais usage. Je comptais l’offrir à notre fille, mais on ne peut pas tout faire dans une vie qui est si courte. Dès que tu as finis de lire cette lettre, brûle là.
Ton père »


N’ayant pas entendu la porte s’ouvrir, un envoyé de la Marine était rentré. J’ai mit la lettre et tout le reste dans ma poche, et j’avais ce coffre en main. Le fusil était caché dans son étui, sous la table. Quant au pistolet, il est dans ma chambre. La nappe camouflait la fierté de notre famille. Je le pris, et montais dans ma chambre. Celui qui est entré devait être un soldat très haut gradé. Il brûlait tout ce qu’il voyait. J’ai prit quelques rechanges, et un sac. J’ai tout fourré à l’intérieur, le coffre y compris. Le fusil dans mon dos, le pistolet sur le côté, j’ai pris la fuite.

Lorsque je suis sorti, j’ai vu mon père, écroulé, entouré de Marine. Il était torturé. Cela se voyait d’ici. Il cria mon prénom à plusieurs reprises. A moitié carbonisé, il était dans un état plutôt grave. Mais compte tenu de la situation, je ne pouvais intervenir. N’ayant quasiment aucunes aptitudes au tir au fusil et au pistolet, je ne servirais à rien. Tout à coup, la maison explosa : je me disais bien que j’ai bien fait de sortir. On était vraiment recherchés.

Je courais donc comme je pouvais, m’enfonçant petit à petit dans la forêt. Et par un hasard vraiment absurde, je suis tombé sur le camp des Marine. Ils m’ont repéré, c’était la fin. La marque qui fait l’honneur de ma descendance sur mon bras droit trahissait mes dires. Je dois désormais fuir. Fuir, toujours fuir. Je ne sais faire que ça, de toute façon. Etant poursuit par des marines, je tentais comme je peux de lutter. Mes jambes ont trébuché plus d’une fois, et je suis tombé à plusieurs reprises. Mais je les distançais petit à petit. A mon plus grand désespoir, j’arrivais dans un cul de sac. Je ne pouvais plus rien faire. Mon corps tremblait, je me suis agenouillé. Je les croyais plus nombreux. Au final, ils étaient 4.

J’étais coincé. Le pouvoir, j’avais besoin de pouvoir et de puissance. Manger ce fruit du démon serait-il mauvais ? Je n’en sais rien. J’aurai bien aimé avoir les conseils de mon père. Il m’a dit de faire comme je voulais. Dans ce cas-là, j’ai fait mon choix : je le mange. J’ai sorti le coffre en cachette derrière mon dos.
Corrompu par le désir de devenir puissant, j’ai croqué dans ce fruit. Tout était bizarre. Je me sentais mal. Mais j’avais l’impression qu’un flux d’énergie me traversait. Ca faisait du bien, tout compte fait.

Ces petits soldats n’ont pas vu que je l’ai mangé, je pense qu’ils croyaient que je pleurais. La puissance était désormais en moi. Mais je ne savais pas m’en servir. J’ai donc par conséquent dégainé le pistolet et tiré sur un soldat. Par une surprise totale, le pistolet n’a pas tiré une balle mais un grand filet. Je suais. Je ne pouvais pas me défendre avec un filet comme arme. Mais ces Marine étaient capturés, ils ne pouvaient rien faire. Je leur ai dérobé une épée, ça pouvait me servir, en tout cas, plus qu’un tire-filet stupide.

Je continuais ma route, ayant mal au cœur pour mon père, et pour ces pauvres Marine qui sont dans les mailles du filet. J’essaye de comprendre comment marche mon fruit du démon. Alors j’ai tout essayé, je ne faisais pas de grand éclats de feu, je ne pouvais pas traverser le temps… Rien. Dommage, je suis vraiment inutile. J’ai entendu les Marine, au loin. Ca m'a dépêché. Je me suis construit un petit radeau et je suis parti J’ai failli mourir. Mais c’est pas la première fois. Après une semaine de navigation, je suis arrivé sur cette île. Il faisait froid. J'ai commencé à reprendre une vie normale. Je me suis refait une nouvelle identité. Désormais, je suis un chimiste. Je n'ai toujours pas compris l'utilité de mon fruit du démon. Malgré toutes les recherches. Mais j'ai trouvé une piste. En effet, j'ai une sensation bizarre quand je touche quelque chose de la main gauche. Même du feu. Je me suis brûlé dernièrement. Ca ne me faisait pas mal, mais je sentais que quelque chose "voulait sortir" de ma main droite. J'ai donc prit le soin d'essayer cela avec la fierté de notre famille. Et j'avais raison. Le secret de mon fruit du démon, c'est le changement quasi instantané des attributs d'une balle. Voilà pourquoi autrefois, j'ai réussi à capturer des Marine en tirant un filet. Pendant mes recherches, je suis devenu ami avec un Pirate. Il était sympa, mais je ne me souviens plus de son nom. Il m'a aidé, je lui en remercie grandement.

En gros, je suis Yokubõ Ishiyumi, je suis le seul descendant de ma famille et je ne sais pas quoi faire. Je m'ennuie dans ce monde sans interêt. Mais j'ai tout de même trouvé quelque chose d'intéressant : un fruit du démon, et deux armes très marrantes. J'irai donc sous peu m'amuser à tester mes pouvoirs.




◘ Exemple de RP :


Aujourd'hui, j’ai pensé à mon paternel. Je suis quasiment sûr qu’il est mort. Je ne sais pas où il est, encore. Je le chercherais une fois que je serais devenu plus fort. Je ne maitrise pas encore assez bien mon nouvel atout. Avec mon fidèle ami Spart, nous irons sur mon île natale dans l’après-midi.
C’est alors que nous partâmes le cœur gai, vers mon ancienne maison calcinée. Le voyage ne fût pas très long ; il faut avouer que Spart possède son propre navire, donc, c’est bien plus rapide ! Ca ne vaut pas le confort d’un radeau, mais quand même…

De retour sur les lieux, je commençais mon enquête. L’évènement perturbateur s’est passé il y a 2 ans, désormais. Tout cela me rappellait de bons souvenirs… Les plats succulents de Père me manquent. Mais maintenant je vis seul, je suis dépendant de moi-même : je n’ai besoin de personne. La végétation environnante n’a pas changé elle aussi. L’odeur qui en sort est toujours si enivrante. Quant à la vieille montagne qu’on voyait de chez moi, elle est restée la même. Cet endroit est maintenatn très silencieux. Avant, il y avait des animaux. Mais là, plus de signe d’être vivants, mis à part les végétaux bien sûr.

Subitement, mon coéquipier me dit :

« -T’as vraiment vécu ici ? »

Je n’ai pas répondu. Il sait très bien que si on est venu ici c’est pour retrouver ce que j’ai perdu, soit mon père. Pour le coup, je lui ai tiré une balle. Il a l’habitude, maintenant, de se faire blesser au genou gauche. « T’es super bizarre » me dit-il. Mais ce n’est pas grave, j’ai l’habitude. Allongé par terre, je le laisse se reposer. Quant à moi, je vais dans la forêt.

Cela fait deux ans, et il y a toujours la trace des Marine : un de leur drapeau trainaît. Je me suis empressé de le leur brûler. Mais un vieil homme est sorti d’une tente. Cela m’a paru bizarre, sur le coup, mais je crois bien que c’est un des 4 soldat que j’avais capturé. Il avait un Den Den Mushi tout doré dans sa main. Je l’ai tué facilement, trop facilement, même. Ses derniers mots furent « On a besoin d’un Buster Call. »
J’aurai dû lui en demander plus avant de le tuer.
De retour à ma maison en cendre, je ne vois plus Spart, ni le bateau. Quel dommage, je vais devoir rentrer seul, et le tuer, il était plutôt gentil, pourtant. Il a encore fait un coup bas, donc je peux lui en faire un moi aussi. Mais c’est en voyant arriver une horde de bateaux de Marine que je commençais à m’inquiéter.

Pourquoi il y a autant de monde ici ? Et pourquoi le Den Den Mushi de ce soldat était en or… Quand j’y repense, il n’avait pas l’air d’un soldat ordinaire. Il avait une énorme veste blanche avec un nombre incalculable de médaille, pourtant, il n’a pas résisté. Peut-être a-t-il été promu lors de mon abscence. Dans tous les cas, cette situation-là m’inquiète. Je ne veux pas savoir pourquoi il y a autant de bateaux dans le coin. J’ai donc prit le choix de fuir, une nouvelle fois, de mon île natale. Mais le bateau n’était plus là !

Un homme semblable au niveau de l’accoutrement débarqua sur l’île. N’ayant pas mit mon manteau aujourd’hui, la marque de l’honneur de ma famille était vraiment visible. Etonné, il me demanda :

« Toi, là !? T’es un Ishiyumi ? »


Je crois bien qu'une fois encore, c'est la fin.



Dernière édition par Cyclos le Jeu 23 Sep 2010 - 18:56, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini]   Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini] EmptyJeu 23 Sep 2010 - 14:18

Arrow Fini !
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MessageSujet: Re: Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini]   Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini] EmptyJeu 23 Sep 2010 - 18:52

Tout d'abord, bienvenue sur OPRPG.

  1. Pour commencer, ton fruit est invalidable pour moi, du moins, avec une définition aussi vague.

  2. Si le fruit venait à être validé, tes descriptions sont bien trop courtes pour le niveau qu'il pourrait avoir, essaye donc d'étoffer un peu.

  3. Ensuite, la fiche comporte beaucoup trop de fautes d'orthographe et de grammaire, je te conseilles donc vivement de te relire (Ou d'utiliser un correcteur orthographique, tel que Bon patron).

  4. Vis-à-vis de l'histoire, l'idée du "Langage secret" me dérange. Je vois déjà le "Ouai mais en fait c'est des Ponéglyphes" venir, donc je souhaiterais que tu éclaircisse ce point.


Bonne continuation Wink
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MessageSujet: Re: Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini]   Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini] EmptyJeu 23 Sep 2010 - 18:59

Je refuse même ce FDD, sa définition n'est pas valide. Je ne vois pas comment un FDD pourrait être prévu spécifiquement pour améliorer un objet en particulier comme une balle. Et c'est sans parler du manque de rapport entre l'eau salée et l'affaiblissement des utilisateurs de FDD. On ne le répètera jamais assez, mais ce n'est pas l'eau salée la faiblesse des FDD, mais l'impossibilité de nager...
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MessageSujet: Re: Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini]   Un homme solitaire, Yokubõ Ishiyumi [Fini] EmptyVen 1 Oct 2010 - 22:38

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