Nombre de messages : 60 Fruit du Démon : Et oui, je suis le seul homme au monde à avoir le don d'ubiquité.
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Sujet: On est mal barré [présentation terminée] Ven 9 Avr 2010 - 11:19
Partie Joueur
Prénom : Popol. Ben quoi, vos parents ne vous ont pas appelé comme ça ?
Âge : 17 ans.
Sexe : Masculin / Vous en aurez si je suis validé (Rayez la mention inutile)
Comment avez vous connu le forum ? Et l'homme découvrit Google.
Combien d'heures vous vous connectez par jour ? Beaucoup en vacances, peu en-dehors.
Tes Mangas préférés : LISEZ DREAMLAND, le seul manga à être à la fois français et extraordinaire.
Ton pirate préféré dans one piece : Jack Sparrow... Quoi, il n'est pas dans One Piece ?
Hobbys : One Piece RPG si je suis validé.
Autre : Tout ce que vous voulez tant que je suis validé.
Partie Personnage
Nom & Prenom : Doloxel Phyrexion
Pseudonyme : Non merci, ça ira.
Âge : 19 ans.
Race : Humain, plus ou moins.
Occupation : Pirate par défaut
Métier : Non.
Fruit du Démon : Tsuin Tsuin No Mie / Paramecia du canard enrhumé Jumeau : L'utilisateur se dédouble 24 heures après de l'ingestion de ce fruit. Les doubles ne possèdent pas une conscience qui leur est propre : l'utilisateur EST les doubles, et les gère de sa seule conscience. L'utilisateur prend conscience du ressenti des deux corps en même temps (vue, ouïe, etc.). Comme un humain normal gère deux bras et deux jambes, l'utilisateur gère deux corps en même temps. Il peut également transposer ses blessure d'un corps à l'autre. /!\ : L'utilisateur ne peut mourir que si les deux corps sont tués dans les 24h qui suivent le premier décès. Passé ce délai, un nouveau double est généré à partir du second corps.
J'ai remarqué que la grande majorité d'histoires de personnages comportent quatre chapitres : « La vie paisible / L'enfance », « Le drame », « La vie de merde » et « La vengeance/Le retour à une vie stable ». Et bien vous savez quoi ? La mienne ne fera pas exception. Nan, plus sérieusement, j'admire vraiment ceux qui arrivent à faire une histoire intéressante tout en cassant les clichés.
Histoire
Vous devez tout d'abord savoir que tout ce que je vais dire ici, tout ce qui est en référence à mon histoire représente uniquement les informations dont je me rappelle. Le reste à été perdu dans ma mémoire aujourd'hui refoulée, dans mon village à présent rasé, dans le sang maintenant versé. Bon, je ne suis pas fan des histoire classiques, mais il faut bien un commencement, hein ? On va dire que je suis né à South Blue. Mon père se nommait Mat et ma mère avait le nom de Mariane. Enfin, je crois. J'avais un prénom et un nom, moi aussi. Allez savoir lesquels, je ne m'en souviens plus moi-même.
La vie paisible / L'enfance
Cette image qui n'a strictement aucun rapport avec l'histoire est juste là pour rappeler le côté paisible et sans danger de la première partie.
Spoiler:
CREDITS MUSICAUX : Première Partie : Xion's Theme, Kingdom Hearts 358/2 days. Seconde partie : Roxas's Theme, Kingdom Hearts 358/2 days et Kingdom Hearts II. Troisième partie : Lux Aeterna de Clint Mansell, Requiem for a dream.
Description physique
J'avais dans les quatorze ans quand je suis sorti du cercueil. Je me rendis compte après être parti de chez le vieux Doloxel que tous mes muscles étaient atrophiés. Si je voulais survivre, je devrais y remédier. Mes cheveux châtains me tombaient jusqu'à la poitrine. Je décidai de les faire couper (avec l'argent du vieil homme) jusqu'à ce qu'ils ne me tombent plus que sur les épaules. Je les gardai ainsi jusqu'à aujourd'hui. J'entamai alors un entrainement physique sévère qui me réussit aujourd'hui plutôt bien : mon corps est bien musclé et j'atteins aisément les soixante-dix kilogrammes, soit trente de plus que lorsque je sortit sur cercueil.
Je m'attendais à ce que rester si longtemps confiné et garder le même régime alimentaire pendant trois ans coupe ma croissante, mais non : je mesure aujourd'hui un mètre quatre-vingt. Je suis quand même mort une ou deux fois d'insuffisance nutritive durant mon « séjour ». Ma peau si blanche au sortir du cercueil est redevenue normale en se bronzant. Mes yeux, eux, sont restés verts.
Je n'ai strictement aucune cicatrice : En effet, la moindre blessure qui m'est causée peut disparaître avec le corps qui la porte. Et le jour suivant en viendra un autre, tout nouveau tout neuf. Si c'est pas pratique, ça.
Mes vêtements ? Rien de spécial. Je me fiche complètement de ma tenue vestimentaire. Juste une chose : je ne porte jamais plus de vêtement que nécessaire. Je veux dire par là que je ne crains pas du tout le froid. En effet, une bonne partie de mon sens du toucher est foutue en raison de mon habitude à la douleur ainsi que les températures froides que j'ai endurées avec des loques en guise de vêtements pendant trois ans. Donc je ne porterai sur moi pas plus qu'un T-shirt ou qu'une chemise. Pas besoin de m'encombrer du reste.
Et du coup, je ne crains pas la douleur. Pratique quand on est accro au meurtre, hein ? La victime a un couteau ? Rien à foutre. La victime à une machette ? Rien à foutre. La victime a un flingue chargé ? Bon, il ne faut pas exagérer quand même.
Comme dit dans l'histoire, j'ai perdu aussi l'intégralité de mon sens de l'odorat. Mais au final, si je n'ai que trois sens et demi sur cinq, suis-je encore humain ?
Description mentale
Ah, voilà qui est plus intéressant. Mon mental. Suis-je devenu schtarbé ou suis-je simplement un fou furieux ?
J'ai une grosse addiction aux tueries, certes. Mais doit-on me juger uniquement là-dessus ? Qu'importe qu'un type ne puisse pas s'empêcher de tuer tant qu'au fond, il a un cœur ! Mais telle est la question : derrière cette pulsion meurtrière purement superficielle, suis-je encore capable d'éprouver des sentiments, donc de la joie, de la peine, de l'amitié et peut-être même de l'amour ? Bien sûr. Je ne suis pas devenu un monstre ! Sérieusement, vous lecteurs, arrêtez de me juger mauvais simplement parce que je ne peux pas m'empêcher de supprimer les personnes autour de moi. Dépassez vos préjugés ! Je suis un être humain ! Ou pas ?
Bref, tout ça pour dire que je suis capable de sentiments. Je suis donc un être monstrueusement paradoxal, puisque je tue des gens pour le regretter ensuite. Je suis donc quelque part un peu schizophrène : ma personnalité possède deux facettes dont chacune essaie toujours de prendre le dessus pour l'autre. J'ai donc une double mentalité. Étrangement, je trouve que ça colle bien avec mon fruit du démon... Ainsi, les premières semaines de mon renouveau ont toutes suivies le même plan schématique :
1) Je crève la dalle, je cherche donc quelqu'un qui accepte de me donner de la nourriture 2) Je suis rassasié mais j'ai besoin de tuer : je tue la personne qui m'a donné de la nourriture 3) Je pleure pendant des jours parce que j'ai tué un innocent qui acceptait de m'aider. Mais au bout de plusieurs jours, je commence à avoir faim 4) Et ça recommence...
Je devais donc briser ce cycle infernal de mort et de désespoir. Un jour, j'eus une idée : et si je tuais uniquement ceux qui le méritaient (à part moi, bien sûr) ? Comme ça, plus de regret, et je ne deviens pas complètement fou puisque je peux tuer des gens. Il fallait bien sûr que mes victimes eussent commis des crimes assez importants pour qu'elle méritent de mourir. Mon barème fut : un meurtre minimum. C'est ainsi que mon code fut créé.
Mon code est un code de survie. Si je ne le respecte pas, je suis mort, car si je ne tue pas, je suis mort, si je tue des innocents, je suis mort et si je me fais chopper, je suis mort. Donc les trois commandements furent : Règle numéro 1 : Ne pas se faire chopper. Règle numéro 2 : Ne pas tuer des innocents. Règle numéro 3 : Veiller à tuer régulièrement. Et il y a pas mal d'autres règles que je dois respecter, par exemple changer souvent d'îles pour ne pas se faire repérer. Mon code m'est indispensable, à la fois mon préserver mon intégrité mentale et pour ne pas me faire tuer ou capturer par la marine.
Je suis donc une sorte de sociopathe, c'est-à-dire que je reconnais effectivement le bien du mal contrairement au psychopathe, mais que je fais quand même le mal parce que je me fous pas mal des normes sociales et des codes culturels, ou plutôt que mon code, le mien, passe en priorité.
Donc suite à cette analyse je peux affirmer que je suis addict aux meurtres, impulsif, schizophrène, méfiant, fou furieux, violent et sociopathe, mais que oui, je reste un être humain doué de sentiments (surtout celui de culpabilité) et que je m'impose un code moral et comportemental pour me fondre dans la société et me rendre méconnaissable aux yeux extérieurs. On peut en conclure qu'on est mal barré.
But : Survivre.
Rêve : Ne plus être addict à la boucherie humaine. Ben quoi, on peut bien rêver, non ?
Armes
J'ai quatre poignards bien affutés : un par main. Mais pourquoi avoir choisi cette arme ? Tout simplement parce que le poignard est une arme plus dangereuse que l'épée. Mais quand je dis plus dangereuse, cela veut dire autant pour l'ennemi que pour l'utilisateur. En effet, avec un poignard il est beaucoup plus facile d'atteindre l'adversaire qu'avec une épée, sauf que cette dernière est bien plus pratique pour parer les coups. Sauf que les coups, moi, je m'en balance pas mal. Un de mes corps peut bien mourir, il reviendra le jour suivant. Par contre, je ne peux pas en dire autant de mon adversaire, héhé...
Je possède également deux arbalètes. Une par personne.
Techniques particulières
« Je possède le fruit de la régénération » : technique de bluff : un « moi » se cache dans un coin et l'autre combat l'ennemi et dit qu'il a le fruit de la régénération et qu'il est donc invincible. En fait, à chaque fois que je me fais blesser, je transpose ses blessures sur le « moi » caché. J'ai inventé cette technique pour porter hommage au fabuleux capitaine Pipo / Usopp.
« Je fais une très lâche diversion » : Je distrait l'ennemi avec un « moi » jusqu'à ce que je lui coupe la gorge par derrière avec l'autre.
« Les deux carreaux flamboyants de la mort qui tue » : Je me poste à distance et je tire sur l'ennemi avec mes deux arbalètes. En fait, mes carreaux ne brulent pas, mais ça faut pas le dire.
Post RP
« Commandant Bryan Cover. Voilà un nom bien sympathique. Jeune garçon – à peine vingt ans – aux cheveux bruns courts. Une belle carrure, un visage enfantin et charismatique. Un comportement social qui lui vaut la sympathie de son régiment. Tout cela serait tout à son honneur s'il n'y avait pas l'affaire Simon Herd. Il y a un an à peine, Simon Herd était le commandant du régiment de Bryan Cover, qui n'était alors que son lieutenant. Mais étrangement, lors d'une mission éloignée du quartier général, le commandant disparut sans que l'équipage ne pût expliquer le pourquoi du comment. Toutefois, la marine a laissé couler le drame, car le commandant en question n'était pas très compétent, et a nommé Cover au poste vacant. Grâce à quelques recherches, je détiens à présent la certitude que notre ex-adjudant est bien l'auteur de cette machinerie. »
Je posai ma plume et roulai la feuille sur laquelle je venais d'écrire. C'était devenu une vieille habitude chez moi : avant de tuer quelqu'un, je couchais sur papier mes idées et mes accusations, je les gardais ensuite toujours sur moi jusqu'à ce que mon boulot fût fait, et enfin, je brulais le papier. Cette manie de psychopathe me permettait de me concentrer sur mon objectif : je ne devais tuer que les criminels, que ceux qui le méritaient. Je pliai mon papier en huit et le mis dans une poche de mon bermuda.
Le lendemain, je me retrouvai devant la caserne du régiment. J'avais étudié à la lettre les horaires de pointe du commandant Cover. Il n'était pas facile de tuer des marines : ils étaient protégés par la population, dans le sens où leur présence était tolérée parmi les civils. Les isoler était donc une tâche supplémentaire à accomplir qui n'existait pas lorsque je pistais une personne hostile au gouvernement. A seize heures précises, Cover sortit du bâtiment en compagnie de quelques sous-officiers. Comme prévu, il alla boire un verre avec eux puis vers dix-sept heures prit la direction de la sortie de la petite ville. C'était une chance pour moi qu'il habite hors de la zone urbaine. Il y avait environ une demi-heure de marche entre sa maison et les portes de Furya Town. Je me cachai dans un arbre situé à mi-chemin tout en restant planqué dans une grande malle d'une cave d'un bar de la ville. Lorsque je vis Bryan Cover arriver, l'excitation monta en moi. Cela faisait trop longtemps que je n'avais pas tué.
Je fus alors bien trop nerveux pour attendre que le commandant fût exactement sous l'arbre. Je sautai de ce dernier deux ou trois secondes trop tôt. Ainsi, je ne pus le tuer sur-le-champ ; son sixième sens l'avertit du danger et je reçus un violent coup de coude dans la face. Je m'étendis sur le sol mais je me relevais bien plus rapidement que ne l'aurait fait quelqu'un de normal. C'est ce qui le surprit le plus à mon avis : je pus sauter sur lui et lui rendre la pareille. Mais voilà, je n'avais pas pris le soin de dégainer mes deux poignards et je n'avais pas prévu qu'il porte son revolver de service en rentrant chez lui. Bien que je fusse debout et lui au sol, il pointa son arme sur moi et vida son chargeur. J'eus de la chance qu'il ne touchât aucun point vital. En effet, s'il m'avait tué, toute mon entreprise aurait été vaine, et pire, il aurait été plus prudent la prochaine fois. Heureusement, il semblait trop nerveux et surpris pour avoir essayé de viser la tête ou le cœur. Lorsqu'il eut fini, je retirai lentement et une à une les sept balles qui s'étaient fichées dans mon corps. Au fur et à mesure de mon geste, je transposais les blessures que j'avais subies sur mon autre « moi », caché dans la malle. Puis je dis : « Commandant Bryan Cover, inutile d'essayer de me blesser. J'ai mangé le fruit de la régénération, ce qui fait que toutes mes blessures se régénèrent automatiquement. Vous ne pouvez rien contre moi. » Il esquissa un geste. « Si tu bouges, Bryan Cover, je te tue ! » dis-je, comme un avertissement. « Tu vas lentement me donner ton arme de service. Ensuite, tu te mettras à genoux, dos à moi. » Il obéit. « Réponds maintenant à ma question. As-tu tué le commandant Herd ? Je saurai à ta voix si tu mens. » Il hocha alors la tête. Je ne lui posai aucune autre question.
Le lendemain, je quittai l'île par une barque en ma possession. Le cadavre du commandant Bryan Cover était déjà au fond de la mer.
CONCLUSION
Dix pages Word, et tout ça pour vous prouver que je suis un fan de Dexter. Je vous l'ai déjà dit : on est mal barré.
Dernière édition par Doloxel Phyrexion le Ven 9 Avr 2010 - 14:45, édité 2 fois
Okama Momifié Nouveau
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Sujet: Re: On est mal barré [présentation terminée] Ven 9 Avr 2010 - 11:26
Normalement, on refuse les dialogues dans l'histoire.
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Sujet: Re: On est mal barré [présentation terminée] Ven 9 Avr 2010 - 14:46
Ça y est, j'en ai enlevé la majorité.
Godwrath D. Nicholas Révolutionnaire confirmé
Profil Psy : Chaotique-Bon. Nombre de messages : 824 Fruit du Démon : Partout, en un rien de temps.
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Sujet: Re: On est mal barré [présentation terminée] Ven 9 Avr 2010 - 18:35
Etant l'inventeur du fruit que tu demandes, je suis assez content de l'utilisation que tu proposes d'en faire. Mais passons à l'analyse de ta fiche ^^ :
- Concernant le style général, j'aime beaucoup. Que ce soit le personnage que tu nous proposes, ou même ta façon de rédiger, j'ai trouvé ça très agréable à découvrir.
- Ensuite, au niveau orthographe, rien à redire (ou alors j'en ai loupé quelques-unes, j'avoue m'être plus concentré sur le fond, pour une fois). Ta syntaxe est bonne, le tout est très agréable à lire. En effet il y avait des dialogues dans l'histoire, mais bon, je passe sur ce détail vu que tu l'as réglé, puis vu la qualité du reste, pas besoin de pinailler non plus.
- Pour le fruit que tu demandes, moi ça me va, et je donne ma validation. Tu as rajouté le principe de transposition des blessures, je dis pourquoi pas, mais je rajouterais donc une précision (que tu avais sans doute en tête, mais au moins ça le sera par écrit) : à force de transposer des blessures, le second corps planqué finira par succomber s'il reçoit des dégâts trop importants, et les blessures suivantes ne pourront plus être transmises durant les prochaines 24 heures (le délai d'attente avant la création du nouveau second corps, comme tu l'as précisé). De plus, tu vas en faire une utilisation que je juge intéressante, car tu vas mentir à l'adversaire in Rp, préférant le style "coup fourré" au banal "j'ai un logia GB lolilol et j'te fonce dans l'tas" (huhu, je sais pourtant que je suis mal placé pour dire ça avec mon présent personnage).
En conclusion, moi aussi je suis fan de Dexter, mais le plus important, c'est que tu as ma validation. Attendons ce que les collègues vont en dire, mais pour moi, c'est tout bon et tu as ton premier "oui" (ça fait très "Nouvelle Star", comme formulation, Lio sors de mon corps s'il te plaît).
Flame D Elric Sous Amiral
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Sujet: Re: On est mal barré [présentation terminée] Ven 9 Avr 2010 - 18:46
Eh bien très chère Lio... Heuu... Très cher Nicholas... Je dois t'avouer que sur ce coup là, on est d'accord. Alors sans plus attendre, je vais demander le jingle à la régie, parce que depuis tout à l'heure j'appuie sur le bouton, mais rien ne se passe...
*Elric va en régie... Tabasse un ou deux régisseurs... On entend alors une petite musique...*
Nan mais oh! Faudra voir à changer les mecs en coulisse pour la prochaine saison hein...
Bref... Je te donne un "OUI" aussi!
Doloxel Phyrexion Nouveau
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Sujet: Re: On est mal barré [présentation terminée] Ven 9 Avr 2010 - 19:38
Waou, merci beaucoup, je ne m'attendais pas à tant d'honneurs !
Deux "OUI"... j'ai donc survécu aux éliminations, c'est génial !
Plus sérieusement, je tenais à vous dire que j'ai passé beaucoup de temps et j'ai eu beaucoup de plaisir à faire cette fiche et je suis donc bien content de voir qu'elle vous a plus.
...
Oui, "plus" a un "s" car le COD qui est au masculin pluriel est placé avant le verbe ! *arrête ses délires orthographiques*
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Sujet: Re: On est mal barré [présentation terminée]