Nom & Prénom : Zaria Dias Alves
Pseudonyme : Eva
Age : 24 années
Race : Humain
Occupation : Civil
Rang Spécial :
Métier : Marchande, gérante d'affaire en tout genre
Physique : La caractérisation la plus évidente du corps comme du visage de Zaria, reste le critère d'une beauté divine. Si sa peau blanche, presque transparente, est loin de plaire à tous et n'est décemment pas un critère d'objectivité, les traits si fins qui sont dessinés sur ce visage peuvent émouvoir plus d'un homme. Un symbole de perfection, dans la finesse d'une bouche aux lèvres discrètes, teintées d'un rose pâle, accompagné d'un petit nez tout aussi fin et discret. Mais cela est sans parler de ses yeux, de leurs contours sombres, de la noirceur de ses pupilles et des regards passionnée qu'elle peut vous jeter. Dans le théâtre, c'est un exercice de contrôler son visage et ses émotions, pour les faire jaillir du plus profond de son coeur. Zaria a en sa possession, un nombre de mimiques, d'émotions, qu'elle peut ressortir pour en créer une des plus belles formes de beauté, que son corps peut donner. Mais rien n'est parfait, et vous aurez sans doute l'occasion de rencontrer quelques spontanées expressions qui rendront à son visage toute l'imperfection de sa nature humaine. Quoique, aucun tableau la décrivant ne pourrai s'empêcher d'y dénoter une certaine beauté, et cela se comprends à la vue du corps si beau de Zaria. Une souplesse à toute épreuve, des jambes douces et dénuées de toute graisse, mais dont les os ne se voient pas, car elle a assez de muscles. De ses bras également, nous pouvons dire qu'ils sont tout aussi équilibrés. Zaria prend bien soin de son physique depuis toute petite.
Plus que du corps en lui même, elle mets également un point d'honneur à s'habiller de la plus belle manière qu'il soit, à son goût. Aussi, ses vêtements sont souvent en soie, laissant ou non ses épaules à découvert, d'une soie légère ou plus ample. En tout cas chacun de ses vêtements laisse à penser à sa la classe qu'elle dégage, à la beauté intouchable de sa personne.
Mais il lui faut parfois s'habiller autrement, quand il faut plonger dans des affaires pour le moins douteuses et dangereuses, c'est un habit qui se colle à sa peau et la rend discrète dont elle préfère s'habiller.
Caractère & morale : Zaria a vécut son enfance dans la réalité des choses, dans le ressentit profond de son amour pour le jeu, dans l'extase des sentiments s'envolant au delà des pensées, pour retomber gracieusement au plus profond de son cœur et de sa mémoire. Une enfant qui a d'abord vécu dans la misère, puis par un hasard coup de chance qu'elle provoqua à moitié, sa vie en fut changé. Alors qu'elle utilisait le divertissement pour se sortir de la misère, elle apprit à l'utiliser pour faire plaisir, se faire plaisir, rendre un public heureux et maîtriser au mieux son corps. Ne laissant nul place au doute, ne laissant rien au hasard, mais provoquant allègrement à la fois sa personne comme ceux présents autour d'elle. Une philosophie de la vie basé sur l'accomplissement de ses désirs, sur l'amusement et le divertissement. Car l'immobilité conduit à la mort, alors Zaria a pour but de vivre pleinement son existence et tester à chaque moment de lucidité, une nouvelle situation à vivre. Une sensation différente, une impression changeante. Toutes les tester, toutes les ressentir, qu'elles lui ravissent l'esprit, pas de place pour l'habitude et le quotidien. Ces deux vices, elles les emploient seulement dans ses deux plus grandes passions que sont le jeu et l'argent. Mais non point du jeu pour gagner de l'argent, ni de l'argent pour jouer. Le jeu dans l'amusement, le divertissement régnant en elle pour la libérer de ces questions tordu que l'on rencontre parfois. Pour garder en soi l'innocence de l'enfance, son apparence candide et son charme. Mais de l'argent, un caprice inexorable de pouvoir avoir ce que l'on veut, de l'argent un investissement, un risque, un combat, que l'on perd ou que l'on gagne. Mais qui parle de perdre, éveille en elle la fierté, nul ne lui fera croire que la défaite est un échec, un échec fatal ressemblant à la foudre d'un dieu que l'on a fâché. Il suffit au contraire de se relever, de s'élever, de recommencer; ne pas laisser s'en aller le temps en le regardant, assis tranquillement sur le bord de la rive. Zaria déborde bien souvent d'énergie, qu'elle l'emploie à jouer, ou à marchander, ses discours sont souvent teintés d'un ton passionné, vindicatif. De la prudence elle ne connait rien, et des extrêmes d'une vie civil, elle ne craint rien. Son passé la menée à s'habituer sur différents exercices, des domptages d'animaux, à de la voltige à plusieurs, laissant sur le seul confort de la confiance, sa survie. Sa vie n'est donc pas encombré de questions qui l'empêche d'agir, et quoique ses efforts soient parfois vains, parfois l'emmène dans des situations regrettables, du regret elle ne prend rien. De l'expérience, elle préfère retenir ce qu'elle a observé et ressentît, pour aviser ensuite. Mais sa force mentale et son caractère peuvent être surpasser par les événements. Aussi dans ces conditions prévoit-elle de ne pas paniquer, même si elle perds espoir. Qui sait si le fait de sortir enfin du cocon où elle s'était placé par chance, la changera ?
En tout cas ce ne serai pas forcément mauvaise chose qu'elle change. Bien qu'ainsi elle soit toujours souriante, joyeuse, impulsive souvent, un esprit libre qui ne cesse de vouloir s'amuser, il crée malheureusement des défauts qui pourront un jour être lui être fatal. Son manque de prudence peut l'être, bien qu'elle prenne conscience des dangers, jamais elle ne sous-estime ses capacités. C'est une probabilité pour le moment si faible, car elle n'a jamais cessé de réussir ce qu'elle voulait. Mais ce n'est pas le seul trait de caractère qui lui fait défaut, elle est tout naturellement égocentrique et rarement généreuse, en plus d'être suceptible. Si elle a une haute estime de sa personne, c'est aussi qu'elle n'a que peu de sensations pour la mort et ceux qui le devienne. Aussi son éthique ne s'encombre d'aucune question, mais elle n'obéit à aucune généralité concernant ses actions. Alors, la petite princesse deviendra-elle aussi belle d'esprit que l'est son corps magnifique ? Son intelligence s'est malheureusement limité aux perceptions de son être, ainsi qu'à l'argent et l'amusement. Elle peut bien s'adapter à de nombreuses situations, et se jouer des autres en invoquant différentes sensations n'ayant pourtant pas réellement leur place à certaines situations. Mais autrement, son ouverture d'esprit est restreinte et le reste l'ennuie, aussi n'a-elle jamais réfléchit à certains sujets.
Fruit du Démon : Ludo Ludo No Mie: (Paramécia du jouet niv 6) Permet de changer la matière sans vie en jouet animé; l'objet change ainsi de forme et peut être manipulé. Comme il peut être doué de sa propre vie (vie réduite, il peut avoir un mode de pensée logique mais nullement une âme). Les créations vivantes ne peuvent excéder les trois mètres de diamètre par entité. Cela lui permet de créer un ours en peluche de pierre de deux mètres, par exemple, ou un ensemble de cinq balles rebondissantes d'un mètre, mais il ne peut créer une balle de cinq mètres ou un ours divisés en cinq...
Techniques Spéciales :
Histoire : Une histoire, une histoire parmi tant d'autres qui ne sera mené d'aucune originalité, mais empreint d'une volonté imaginée, celle de Zaria.
Une enfant comme il y en a eu tant après la grand guerre, de ses soldats rentrant du front, de ses hommes ayant combattu du mieux qu'ils eut pu. Des êtres fatigués, lassés, mais victorieux, de la victoire gagné contre la mort. De cette joie naquit Zaria, d'entre les jambes d'une femme de petite vertu, avec un de ses hommes de la guerre. Un bébé déjà orphelin, puisque le père repartit et la mère disparut un soir de son hôtel, lieu de son commerce. Voilà que l'enfant crie et appelle, et qu'aucune mère ne vint lui répondre. Jusqu'à ce que ses cris ne finissent par attirer d'autres gens, qui s'occupèrent de sa survie quelques temps. Mais Zaria habitait alors à Liberty City, et la ville ne disposait d'aucun orphelinat, ni d'aucun parents prêt à adopter un nouveau-née. Mais d'autres orphelins la ville regorgeait, et d'un système établit en plusieurs groupes, bases, de jeunes enfants, elle put survivre jusqu'à ses cinq ans. Cette période floue ne contient que peu de souvenirs, et la plus grande impression reste celle d'un manque évident, d'une mélancolie profonde. Bien qu'elle reste nuancé par le souvenir des jeunes s'étant occupés d'elle. Eux qui s'y sont pris avec tendresse et douceur pour lui apprendre à parler, quelques mots peu distinct, et lui apprendre à s'amuser. Des jeux pour la petite, plus son âge avancait, plus les jeux devenait compliqué, recherché, du premier dessin aux jeux de ballons. Puis à l'imagination de prendre place dans le rôle qu'elle voulait jouer. Du jeu, elle prît très vite une passion extraordinaire, la chose la plus incroyable, la plus merveilleuse et la plus simple de ce monde. Alors elle inventa milles et un jeux, tous ressemblants et chacun pourtant différent, à quelques précisions prêt. Pour ne pas voir la misère répandu autour d'elle, c'est en enfant sans parents, sans éducation, qu'elle portait tout son intérêt et son temps à jouer sans cesse et sans répit. Sourire, rire, parole gentille ou paroles méchantes, selon les scénarios inventés, selon les rôles joués. Son imagination se portait aux yeux des autres et elle partageait avec plaisir les jeux, en apprenait d'autres avec autant de joie.
D'où venait donc le sentiment de mélancolie si sa vie se résumait à jouer ? C'est que la nuit était moins paisible que le jour, et chaque rêve la hantait de visions qui la renvoyait à la réalité. Des rêves révélant ses premières visions du monde humain, le vague souvenir de ses parents, enfin de sa mère en tout cas. Mais souvenir fugace, souvenir impossible, incompréhensible, qui ne laissait en rien dévoiler le visage de la mère. Cependant, nul n'aurait pu oublier ou douter de sa présence et les rêves ramenait avec eux, les pires douleurs.
Ce n'était donc pas une vie si épanouie que cela, et Zaria, si elle ne le pensait pas, devait au moins trouver la situation pénible. Puisque chaque matin, c'est d'un effort pour ne pas pleurer qu'elle commençait la journée. Alors quand un jour, vint s'approcher de la ville, une troupe d'artistes vagabond, voguant sur les mers depuis leur bateau, jouant d'acrobaties, de farces, de musique, déjouant la beauté du théâtre pour l'amener à une forme plus spontanée, improvisée. Bref, une troupe de saltimbanques qui ne put causer qu'admiration aux yeux de la petite. Elle si jeune, fut enchantée par les cascades spectaculaires de ces hommes qui misent leurs vies sur la confiance de leur partenaire. Par l'élevage des animaux, qui se dressaient et ouvraient grand leurs gueules aux seuls commandements des hommes. Mais aussi par le rire direct et le plaisir spontanée des clowns qui jouait un personnage maladroit et drôle. Sans parler de l'adresse magnifique des lanceurs de couteau, leur sérieux tout étalés sur leur visage et une précision capable de ne jamais faire fermer les yeux à leur partenaire, accrochés sur des cibles. Sans oublier l'enchantement de la musique, de ces instruments qui jouaient ensemble et donner à entendre une mélodie entraînante, s'accordant parfaitement au lieu. Ainsi, Zaria ne put s'empêcher de voir en eux le bonheur de la félicité, d'un endroit qu'elle ne quitterai jamais, pour s'enfoncer et s'enrichir de tout amusements, de toutes joies.
Elle regarda une fois le spectacle, puis revint à chaque séance. Encore dans la timidité enfantine, elle n'osa leur parler qu'à l'une des dernières représentations. Mais sa voix, ses yeux, tout son corps semblait porté par une force supérieure, qui lui intimait de ne rien laisser s'échapper de cet instant et d'en jouir au maximum. Aussi, fut-elle instruite dans le campement, d'abord en simple autochtone de Liberty City, à qui on montrait les répétitions et quelques tours supplémentaires. Mais l'on vit bien vite la passion qu'elle portait à toutes ces activités, et aussitôt eut-elle racontée son histoire, son maigre passée, et versée quelques larmes sur son présent, qu'ils furent émus et décidèrent de l'emmener avec eux. C'est que la petite s'intéressait à tout, était si curieuse qu'il fallait passer bien du temps à tout lui expliquer. Mais, son sourire, son regard étaient si doux, si beaux, qu'il ne laissait à personne le choix de ne pas suffire à ses caprices.
C'est dans ce bateau qu'elle passa prêt de vingts années de sa vie. Elle avait ici, de quoi apprendre, d e quoi jouer et s'amuser pour un temps très long. Son aventure la mena à découvrir toutes les activités de la troupe et approfondir ceux qui lui plaisait selon l'âge qu'elle avait. Bien que n'étant pas doué pour le combat, elle se laissait protéger par la troupe et son service de protection. Ainsi ils purent même donner des représentations sur Grand Line et même si certains compagnons ne résistèrent pas aux dangers, Zaria s'est retrouvée à l'abri des maux les plus graves, tout en ayant conscience des réalités de ce monde.
Aussi commença-elle en quittant Liberty City. Son jeune âge et sa motivation lui permirent dans un premier temps d'accompagner les clowns dans leurs chutes, leurs délires et leur jeu. Si Zaria n'était pas parfaite, et que l'on voyait la différence entre le professionnalisme de la troupe et son amateurisme complet, son âge peu avancé la gardée des critiques du public. Alors elle ne jouait pas souvent, mais participait à chaque représentation, pour son plus grand bonheur. Elle jouait, et en jouant, elle éprouvait le désir d'une certaine gloire, l'attention des gens toute retenue pour elle et son jeu. Vraiment, jamais elle n'aurai cru pouvoir gouter à un bonheur plus exaltant que celui-là, sure que cela la changeait des rues de Liberty City. La troupe étant une grande famille, personne ne mourrait jamais de faim, une sorte d'équipage comme les autres mais crée dans un but tout à fait différent.
Après les clowns, c'est à dire après quelques années, on lui permit de passer devant le public à différentes autres activités. Elle avait touchée à tout (ou presque, dans la limite de son âge) et paraissait naturellement doué pour la comédie et la reproduction de sentiments dans un rôle prédéfinis ou même vaguement décrit. La petite se souvenait de ses réactions et de ses émotions plus que des idées de son esprit, aussi le théâtre n'était que l'appel de ce qui se cachait dans son cœur, de ce qui dévoilait sa plus profonde humanité. Enfant, elle passait admirablement bien. S'en suivirent d'autres activités au sein de la troupe, de la musique à tout ce qui avait attrait à la gymnastique. Elle avait un corps très souple, léger, mais n'avait point d'oreille musicale, c'est une activité qu'elle adorait mais où elle ne pouvait exceller, malgré tout ses efforts. Aussi elle ne passa que très rarement un instrument à la main devant un public, seulement pour jouer des rôles nécessitant un instrument mais pas une maîtrise très professionnelle.
D'îles en îles, d'années en années, elle grandit au sein de la troupe et s'exerça dans l'amusement et la maitrise son corps pour le plus grand plaisir des différents spectateurs et des personnages de la troupe. Sa beauté grandit en même temps que son corps, déjà considéré par ses pairs comme une petite princesse, ses caprices enfantin et charmant lui cédèrent la plus grande sympathie de ses pairs. Si bien qu'elle ne se limitait jamais à un seul travail et qu'on sollicitait son aide et sa motivation aussitôt qu'on en avait besoin.
Entrée dans l'adolescence, on lui laissa plus de loisir pour exercer des activités plus dangereuses. L'inquiétude de ses pairs disparaissait progressivement et on la laissa s'entraîner aux acrobaties. Sa souplesse et son assurance étaient des forces que nul ne négligeait et sa vie aurai pu se passer tout entière dans cette troupe si ses désirs ne l'avait pas menée plus loin ensuite. Quittant l'enfance, Zaria découvrit plus en profondeur ce que pouvait causer sa beauté et son impulsivité sur autrui. Elle qui ne s'en était servis que inconsciemment jusqu'à maintenant, décida de s'en servir plus tard pour arriver à ses fins. Car une fois l'adolescence passée, une fois qu'elle eût acquis assez d'expériences dans les différents domaines de la troupe, même de l'élevage des animaux où sa crainte était combattu par le jeune dresseur, le fils exerçant la même activité que son père, elle décida enfin que l'amusement suprême était celui de l'argent. Puisqu'il gouvernait le monde, elle sentait en ce domaine l'accomplissement certain du désir suprême qu'elle ressentait au plus profond d'elle. Mais ce n'est pas tant l'ennui qui la fit changer d'avis et de vie, que la découverte d'un fruit au sein de la troupe. De leurs nombreux voyages, de leurs nombreux contacts à travers le monde, ils découvrirent un fruit du démon. Sur une île de Grand Line où ils s'étaient installées, alors que Zaria avait presque une vingtaine d'années. La troupe dans sa majorité se décida à lui offrir le fruit, puisqu'elle le regardait avec envie. Dès lors la troupe savait que leur petite princesse partirait un jour, puisqu'elle ne l'avait pas cachée. Ce nouveau jouet, transformant son corps, lui offrirait des pouvoirs qui lui ferait changer de vie. C'est ce qu'elle annonça, et elle mangea le fruit. Au départ, nul changement, rien qu'un goût dégoutant dans la bouche et l'attente forcené de savoir de quel pouvoir il s'agissait.
Lorsqu'une nuit passa, et qu'elle découvrit qu'elle pouvait animer la matière en jouet, son étonnement et sa joie furent si grande qu'elle se répandit dans l'ensemble de la troupe. Elle resta quatre années encore, où elle monta des spectacles grâce à ses jouets et apprit à les manipuler. Toutes matières étaient désormais pour elle un potentiel jouet, et elle arrivait de mieux en mieux à contrôler son imagination pour donner à ses jouets plus de fonctionnalité et de performances. Alors qu'au début elle n'arrivait qu'à contrôler un seul jouet, elle parvint à en animer plusieurs à la fois, et ne cessait de l'utiliser chaque fois qu'elle s'ennuyait. Regarder son animation l'amusait, et cet amusement acquis, elle décida de partir seule dans les Blues. Cette décision fut respectée, elle quitta le navire les larmes aux yeux L'inquiétude de ses pairs fut accompagné de nombreux numéros de den den mushi, des contacts dans certaines îles, à leurs numéros personnels en cas de problème. Enfin, bien décidée à s'amuser en partant à l'aventure, elle débarqua sur la première île venue.
Rêve / But :Gagner de l'argent, connaître son être par la découverte de sensations ressentis toujours nouvelles, et s'amuser.