[Validée]Skrimir arrive [Terminé]

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~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~
Prénom:
Florent
Age:
15 ans, 6 mois et 10 jours
Sexe:
Masculin
Comment avez vous connu le forum?:
Bouche à oreille
Combien d'heures vous vous connectez par jour?
Beaucoup ^^
Tes Mangas préférés:
One Piece, Naruto, Bleach, Berserk, Gantz, Hellsing, Katekyo Hitman Reborn, Mär, D Gray Man, et j'en oublie certainement
Ton pirate préféré dans one piece :
Crocodile \o/ Mais j'aime bien aussi Kidd ou Rayleigh qui a la classe Cool

Hobbys:
Jouer au basket, sortir avec des potes, assez classiques quoi...
Autre:
J'aime la viande x)

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prenom :
Laguz Skrimir

Pseudonyme : ( facultatif )
"Lion King Skrimir"

Age :
23 ans

Race :
Humain

Occupation :
Chasseur de primes

Rang Spécial :
J'y réfléchis

Métier :
Bah euh j'en ai pas

Physique :
La première chose qui vient à l’esprit lorsque l’on voit ce jeune homme est qu’il est grand, très grand, environ un mètre et quatre-vingt dix centimètres. Son poids est cohérent par rapport à sa taille, vu qu’il pèse environ quatre-vingt quinze kilogrammes. Mais le jeune Skrimir n’a pas une once de graisse, il n’a qu’une musculature d’acier issue d’entraînements acharnés et rigoureux, ainsi que réguliers. Si l’on s’intéresse plus en détail à lui, on constate que ses traits durs ainsi que sa peau tannée par le soleil ont quelque chose de bestiaux, et son visage est effrayant. Sa physionomie laisse, à juste titre, penser que Skrimir est un guerrier des mers accompli.

Si on regarde de plus près ses traits, on constate qu’il a le visage dur, carré, ainsi qu’un nez carré. Son regard aux pupilles dorées est brave, et ses yeux sont surmontés de deux épais sourcils rouges. Sur son front, sont visibles cinq tatouages rouges, évoquant des traces de griffure. Sa longue et épaisse chevelure frisée, d’un rouge très vif avec quelques reflets orangés, descend jusqu’au milieu de son dos, et deux pans de cheveux encadrent son visage sévère. Une barbiche de la même couleur est visible en bas de son menton, et sa bouche forme presque toujours un sourire en coin, voulant dire « Rien ni personne ne me résisteras ».

Au niveau de l’habillement, une certain « classe » se dégage de Skrimir. Tout d’abord, un haut ample largement ouvert, de couleur beige, laisse voir un débardeur sombre serré, qui met en valeur les pectoraux de Skrimir. Son haut beige est également parsemé de motifs violets pâles sur ses larges manches, et l’ourlet de celles-ci est d’un violet sombre. Ses épaules sont protégées par deux épaulettes d’un cuir épais, peintes de motifs blancs évoquant différentes formes de la lune. Un morceau de ses avants-bras , tatoués de marques sombres évoquant d’anciennes cicatrices de blessure par griffes, est visible au bout de ses manches. Ses poings d’aciers sont couverts de longues mitaines, colorées par deux tons de marrons séparés par deux bandes vertes, puis noires sur le dos des mains.

A sa taille est nouée une large ceinture doré, avec une boucle finement ciselée évoquant une couronne retournée. Au sommet est visible un motif représentant clairement une tête cornue, retournée elle-aussi, pour être en adéquation avec le sens de la « couronne ». Une longue bande de tissu percée d’un trou en son sommet, puis de huit trous répartis à la manière de ceux de la face six d’un dé, et enfin d’un dernier trou, pend sous la boucle de sa ceinture. Un anneau d’or y est accroché pour le style, sans doute. Deux autres bandes, percées seulement d’un trou au niveau du dernier trou de la bande du milieu, pendent de chaque côté de cette même bande.

Un large hakama de couleur sombre couvre ses jambes jusque sous le genou. Il est chaussé de sandales de cuir sombres, aux semelles épaisses, avec une bande de cuir qui remonte le long de sa jambe sur quelques centimètres, avant de rejoindre une protection métallique garnie de pointes en son sommet, protection qui commence juste au dessus de sa cheville et remonte quelques centimètres plus haut. Sur la partie nue de ses jambes sont visibles le même genre de marques que sur ses avants-bras. Voilà à peu près tout en ce qui concerne le physique de ce personnage.

Caractère & morale :
Passons maintenant à la description morale du jeune homme. Skrimir a un caractère qu’on pourrait qualifier de « simple » : tout ce qui compte pour lui, c’est de se battre. Se battre, se battre, et encore se battre. Pour lui, le combat vaut plus que sa propre vie, la victoire permet de continuer à vivre, et la défaite est synonyme de déshonneur, voire de mort. Il n’est pas très réfléchi, il est même extrêmement tête brûlée : il ne s’embarrasse pas de pour-parlers ou de stratégie, il fonce et frappe. Et il va jusqu’au bout. Le combat ne s’achève que par la mort de ses adversaires, ou la sienne. D’ailleurs, la mort est bien la seule qui pourrait l’empêcher de combattre… ou bien alors une immobilisation totale. Cependant, il ne manque pas d’honneur : jamais il ne s’abaisserait à attaquer un adversaire seul, alors que lui-même est accompagné. De même, il n’affrontera pas les malades ou les blessés, et attendra patiemment leur rétablissement, des années s’il le faut, car comme on dit, « A combattre sans périls, on triomphe sans gloire ». Il n’affrontera pas non plus les femmes et les enfants, les considérant trop minables. Néanmoins, si une femme l’attaque et le blesse, alors il contre-attaquera sans aucune pitié.

Qualité souvent associée à ceux qui aiment le combat, Skrimir est extrêmement orgueilleux et sûr de lui. En effet, il considère que tout les autres êtres humains lui sont inférieurs, surtout ceux qui combattent avec la « stratégie ». D’ailleurs, il ne se considère même plus comme humain, mais comme une sorte d’espèce supérieure, puisqu’il appelle ses adversaires « petit Humain ». Seuls les personnes ayant quelques victoires ainsi qu’une renommée peuvent espérer gagner son respect.. du moins, jusqu’à ce qu’il les écrase. Pour la petite histoire, le seul homme qu’il ait respecté sans jamais parvenir à l’écraser pour autant était son oncle.

Il est aussi sauvage et bruyant. Il n’a pas de manière, mange énormément, parfois salement, en enfournant les plats les uns après les autres. Il hurle beaucoup pour manifester son opinion, d’ailleurs lorsqu’ils le rencontrent pour la première fois, les gens se demandent souvent s’il sait parler sans crier. C’est un véritable sagouin, il faut le reconnaître…

En cas de grosse défaite, Skrimir plongerait dans une sorte de dépression : il se considérerait comme un moins – que - rien, incapable de la moindre chose, jusqu’à ce que quelqu’un ou quelque chose vienne le tirer de sa torpeur. Cependant, entrer dans cet état ne lui est encore jamais arrivé… Qui sait, peut-être un jour ? Après tout, il lui reste encore des milliers de gens à affronter.

Fruit du Démon :
Zoan du Lion

Techniques Spéciales :
Je bourrine, j'ai pas de techniques x)

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Histoire : ( passé de votre perso )

Skrimir est né sur une île de West Blue du nom de Gallia. C’était une île forestière, à la nature verdoyante, sur laquelle il faisait bon vivre. Né d’un père officier de police et d’une mère serveuse dans la taverne de son village natal, rien à sa naissance ne le prédestinait à une carrière de pirate… excepté son oncle, un dénommé Caineghis, le frère de son père. Skrimir passa donc des premières années tranquilles, élevé comme un garçon normal. Son oncle venait souvent lui rendre visite, malgré sa « carrière », et le berçait avec ses histoires de voyages fantastiques. Cet homme était un modèle pour le jeune Skrimir, et les parents de ce dernier voyaient cela d’un mauvais œil. Il faut les comprendre : que diriez-vous si votre enfant éprouvait de l’admiration pour un forban et voulait devenir comme lui ? C’est pourquoi un jour, le père de Skrimir demanda à son frère de cesser de venir les voir. Caineghis fut choqué de se voir traiter ainsi, mais accepta par égard pour son frère. C’est à ce moment-là, lors de sa septième année, que Skrimir commença à s’agiter. En réalité, il avait toujours été très actif et excité : les récits de voyages de son oncle le faisaient s’évader et le calmait.. Sans cette « barrière », il laissait maintenant libre cours à ses pulsions…

Souvent, il se battait, la plupart du temps avec des enfants ayant jusqu’à trois ans de plus que lui. Rien ne lui faisait peur, et ses camarades l’appelaient « Skrimir le Sauvage » Il se plaisait à ce surnom, qui lui donnait l’impression d’être quelqu’un d’important, et il continuait de se battre. Pendant deux ans, il resta un « barbare », allant parfois même jusqu’à se rebeller contre son père. Il faut dire que les bagarres avaient endurcies Skrimir, et qu’il était relativement solide pour son âge. Son père avait de plus en plus de mal à le calmer… Et en plus, le jeune homme ne semblait pas vouloir se calmer de lui-même. C’est pourquoi, en désespoir de cause, le père de Skrimir tenta de contacter son frère. Hélas, aucun des amis de Caineghis ne put dire au père dépassé où se trouvait son frère. D’ailleurs, il avait peut-être été capturé par la Marine. Le père désespérait donc de voir son fils se calmer…

Un matin, lors de la dixième année de Skrimir, un équipage de pirates débarqua sur l’île. C’était l’équipage auquel appartenait Caienghis… qui était devenu méconnaissable en trois ans. Ses cheveux avaient poussés, son corps s’était endurci, et il avait fini borgne. La première chose qu’il fit fût d’aller voir son frère. Skrimir n’était pas à la maison, et son père fit le compte-rendu des évènements à Caineghis. Ce dernier partit donc chercher Skrimir. Le jeune garçon était sur la place du village, occupé à se battre avec un jeune homme de quinze ans. Caineghis fixa son neveu, et ce dernier lui demanda sur un ton condescendant ce que ce vieillard lui voulait. Skrimir était également devenu vulgaire et insolent. Comme son oncle ne lui répondait pas, il attaqua… et fut mis à terre d’un magistral coup de pied au niveau de l’estomac. Skrimir apprit alors l’identité de l’homme, et son oncle lui dit alors une phrase qui allait marquer toute sa vie « Il n’y a pas de mal à aimer se battre, mais il faut une limite. Ne le fais que contre ceux de ta taille et qu’aux bons moments, ou sinon tu n’es rien d’autre qu’un minable » Skrimir avait alors fondu en larmes dans les bras de son oncle qui lui avait tant manqué.

Skrimir s’était aussitôt calmé, et la seule personne contre qui il continuait de se battre, c’était son oncle. Malgré son handicap au niveau du champ de vision, il faisait mordre la poussière à Skrimir avec la même facilité chaque jour. L’équipage pirate resta à terre pendant environ 6 ans, car il s’était un peu trop fait remarquer sur West Blue. Skrimir avait donc 16 ans lorsque l’équipage pensa à repartir. C’est pourquoi il demanda à son oncle de l’emmener sur les mers avec lui. Ses parents s’y opposèrent : ils avaient élevé leur fils dans l’intégrité et l’honnêteté, ils ne voulaient pas le voir devenir un pirate. Caineghis leur rétorqua alors que dès qu’il allait s’éloigner, Skrimir allait redevenir violent. Ils furent forcés de reconnaître qu’il avait raison, et durent accepter bon gré mal gré que Skrimir parte avec l’équipage. Ils firent juste promettre à Caineghis de prendre soin de leur fils et de le protéger à tout prix lors d’éventuels batailles. Malgré la douleur et la peine que cela leur provoquait, ils savaient que c’était la meilleure solution.

Âgé de 16 ans, Skrimir partit donc avec l’équipage à la conquête de West Blue. Au départ considéré comme un simple mousse tout juste bon à faire le ménage, il s’imposa au sein de l’équipage, à coups de poings s’il le fallait. Son oncle le forma également au métier de Charpentier, car un charpentier était la pierre angulaire du navire, et aussi sa manifestation humaine. Il participait à toutes les batailles, aux côtés de son oncle, et jamais il ne s’était senti aussi heureux. De plus, comme la devise de l’équipage était « Ce que tu voles est à toi, ce que tu achètes l’est aussi », Skrimir se constitua une petite fortune en dépouillant ses adversaires, et en revendant leurs possessions au plus offrant. Pour son travail de charpentier, il s’améliorait de plus en plus et commençait à pouvoir réparer seul les différentes avaries.

Le jour de ses 19 ans, il bataillait ferme sur un puissant navire. L’équipage s’était rendu sur North Blue, car lassé de West Blue, et les adversaires ne manquaient pas. Toutefois, l’impétueux jeune homme se demandait si il allait enfin franchir le pas un jour et se rendre sur GrandLine. GrandLine, la mer de tout les périls, où fourmillaient les pirates puissants. Le rêve de Skrimir était de vaincre tout le monde et d’être proclamé Seigneur des combattants. Pas Seigneur des Pirates, c’était d’un banal, tout le monde voulait ça. Revenons-en à nos moutons : Skrimir combattait donc un puissant équipage de North Blue. Il eût l’occasion de se rendre dans la cale, où il tomba sur un coffre d’ébène. Skrimir profita de la confusion et s’en empara. La bataille s’acheva par la victoire de l’équipage de Skrimir. La répartition du butin eût lieu, puis Skrimir alla s’enfermer dans sa cabine. Il ouvrit le coffre et y découvrit… un Fruit du Démon ! Un de ces fruits mystérieux censés accorder un pouvoir phénoménal à ceux qui les mangeaient. Ni une ni deux, Skrimir l’avala d’une traite, et un goût affreux lui envahit la bouche, ainsi qu’une chaleur qui lui déchira les entrailles. Vu la sensation désagréable, il espérait que c’était un pouvoir intéressant…

Fébrile, il se demanda comment activer son pouvoir. Alors qu’il y pensait, le pouvoir s’activa tout seul. Il se sentit se mettre à quatre pattes, puis sentit des picotements sur sa peau. Il changeait. Il se regarda dans un morceau de miroir et stupeur ! Il était devenu un lion ! Oui un lion, à la peau orangée et à la crinière rouge, aux crocs acérés et aux griffes puissantes. Avec ça, il n’aurait aucun mal à devenir le meilleur ! Il reprit sa forme humaine et retourna sur le pont, faisant part de sa découverte aux membres de l’équipage. Tous furent un peu déçus de n’avoir pas trouver le fruit, mais ils se réjouissaient globalement : leur équipage était devenu plus fort grâce à cela, c’était indéniable.

Hélas, mêmes les bonnes choses ont une fin. Trois années plus tard, l’équipage fut vaincu par la Marine, et les membres arrêtés. Caineghis couvrit Skrimir, comme il l’avait promis à son frère, en le faisant passer pour un otage de l’équipage. Le jeune homme fut donc sauvé, mais à quel prix ? Il assista à la capture de ses compagnons. Il fut reconduit par la marine jusque sur West Blue, sur son île natal, où il passa un an à réfléchir à ce qu’il allait faire ensuite. Son père lui conseillait de reprendre une vie normale, mais hélas, quand on a goûté à l’ivresse de la piraterie, il est bien difficile de lui dire non. C’est pourquoi Skrimir reprit donc la mer, seul, à la recherche d’un nouvel équipage dans lequel il pourrait œuvrer pour son but ultime, à savoir être le meilleur de tous les combattants du monde ! N'en trouvant aucun de satisfaisant, il finit par devenir Chasseur de Primes, une position qui lui permettrait plus aisément de devenir le meilleur du monde....

Rêve / But :
Devenir le meilleur combattant du monde!

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Post RP :
Le navire était étrangement calme… Aucun bruit ne venait troubler le silence de cette profonde nuit, exceptés les quelques pépiements lointains d’oiseaux nocturnes sans doute à la recherche d’une proie. Le ciel d’un noir d’encre était parsemé d’étoiles dont la lueur se reflétaient sur l’immensité de la mer de North Blue. Un jeune homme se déplaçait furtivement sur le navire, ses pas feutrés faisant fort peu de bruit. Pourtant, vu sa carrure, on aurait pu penser qu’il ferait plus de bruit. Il était pieds nus et ses pieds n’en étaient d’ailleurs pas. C’était des pattes de lions. D’ailleurs, son visage était un museau, et son corps était couvert d’une fourrure orangée en certains endroits. C’était le jeune Skrimir, recrue de l’équipage des « Chasseurs de têtes ». Il n’avait pas plus de vingt ans. Sa mission consistait à s’infiltrer sur le navire d’un riche marchand, et d’éliminer ceux qui étaient chargés de garder les richesses. Ca lui déplaisait au plus haut point, d’ailleurs. Pourquoi lui, le bourrin de service, le « Sauvage » devait la jouer silencieux ? Il n’avait qu’une envie, c’était de réveiller tout le monde d’un rugissement, et de les affronter à la loyale. Hélas, ça lui était impossible. Depuis qu’il était dans l’équipage, il avait appris à faire des sacrifices. Et donc à refouler parfois son envie de combat.

Il souleva la trappe qui menait à la cale, et cette dernière s’ exécuta en grinçant. Il espéra pendant quelques secondes que ce grincement allait réveiller tout les gardes… Et ben non, même pas. Ces types avaient un sommeil de plomb ou quoi ? Skrimir soupira et bondit souplement dans la cale. Il atterrit sans un bruit, et sortit un Den Den Mushi de sa poche. Il murmura :

Skrimir : Tout s’passe bien pour le moment. Z’êtes sur que je peux pas les réveiller avant de les tuer ?
???: Non, idiot ! Tu les mets hors d’état de nuire et c’est tout ! Tu les réveilles pas avant.
Skrimir : Ouais, ok…

Skrimir soupira de nouveau, et s’approcha du tas de marchandises, ainsi que des coffres remplis d’or. Tout autour, il y avait cinq ou six gardes, armés de lances, qui dormaient comme des bébés. Skrimir sortit des griffes de ses doigts, qui étaient d’ailleurs des pattes désormais, et pensa que d’un simple coup, il pouvait tuer ces hommes… Il s’approcha de l’un d’eux et… rien à faire, il n’y arrivait pas. Alors qu’il approchait ses griffes du cou du garde, il rétractait soudainement sa main. Aussi, il saisit son Den Den Mushi, murmura un « Pardon » à l’adresse de son auditeur, puis se changea en un magnifique et imposant lion, à la crinière rouge et au pelage orange. Il respira un grand coup, et poussa un grand rugissement. Tout les gardes s’éveillèrent en sursaut, et pointèrent leurs lances vers Skrimir. L’animal se lécha les babines, et bondit vers le garde le plus proche, lui arrachant une bonne partie du flanc droit avec ses crocs. Il lâcha le morceau de chair, puis se retourna, rugissant. Les six hommes l’entouraient et pointaient sa lance vers lui. Enfin, les cinq plutôt, vu que le sixième était au sol, ses mains tentant vainement d’épancher le sang s’échappant de la blessure faite par Skrimir. Ils passèrent alors à l’attaque, courant d’un même élan vers Skrimir, leurs lances en avant. S’il encaissait ces cinq lances, aussi solide qu’il soit, il allait quand même avoir du mal à continuer le combat. Aussi, il prit les devants et saisit la lance d’un homme dans ses crocs acérés, et fit un large mouvement de tête, utilisant le soldat comme une masse au bout du manche de lance pour repousser ses camarades. Puis, il lâcha la lance et rugit, incitant les hommes à venir l’attaquer à nouveau. Il n’allait pas s’abaisser à frapper des types à terre.

Les gardes se levèrent, et l’un deux saisit une corne de brume dans laquelle il souffla. Soudain, ce fut le branle-bas de combat sur le navire, et quelques autres hommes descendirent dans la cale. Il y avait trois hommes armés de sabres, qui entouraient un homme bedonnant et moustachu, vêtu d’une chemise de nuit et d’un ridicule bonnet. Sûrement le marchand, pensa Skrimir. Il y avait également quatre lanciers. Skrimir reprit sa forme humaine, puis dit sur un ton narquois :

Skrimir : Bon les gars, ce serait sympa que vous m’attaquiez tous en même temps. D’une, ce serait plus amusant pour moi, et en plus, ça m’éviterait de perdre mon temps. J’suis un homme très occupé, vous savez.
Un épéiste : Ah ouais ? Allez les gars, tuez moi ce pirate !
Skrimir : Me tuer ? C’est pas de petits humains qui vont y arriver, crois-moi !

Skrimir reprit sa forme de lion dans un rugissement puis bondit à l’attaque, faisant tomber un garde sur le dos avec son poids. Il lui arracha une bonne partie de l’épaule, puis se retira du corps et attaqua un second homme en bondissant, lui infligeant une profonde morsure au torse, déchirant son armure de cuir. Ensuite, il esquiva un coup de lance d’un bond en arrière, puis sauta vers le visage de l’homme, et lui asséna un coup de griffes. Il se reposa au sol, pivota sur lui-même, et élimina un quatrième homme en lui arrachant la jambe. L’un des épéistes l’attaqua enfin. Skrimir bloqua la lame avec ses dents, et la brisa d’un mouvement de tête. C’est pas ce sabre de pitoyable facture qui allait lui faire mal. Il jeta l’homme en arrière d’un coup de crâne au niveau du ventre, avant de l’achever d’un puissant coup de griffe au torse. Il commençait à s’ennuyer, ces types étaient faibles. Il élimina un sixième homme d’une morsure au bras, puis compta les hommes restants. Sept… C’était trop facile et il n’aimait pas être las. Aussi, il reprit sa forme humaine : au moins ainsi, le combat serait plus intéressant. Les hommes, qui avaient semblés découragés à l’instant, poussèrent un cri pour se donner du courage, et attaquèrent. Skrimir saisit une lance dans son poing gauche, se fichant de la pointe qui lui fit saigner la main, et envoya un puissant coup du droit au visage de l’homme, lui brisant le nez. Puis, il le saisit au cou, et le dressa dans la trajectoire d’un coup de lance qui allait l’empaler aux côtes, avant de dire d’un ton goguenard :

Skrimir : Bah alors petit humain, tu blesses tes compagnons maintenant ? Je déteste ce genre de lâche !

Il envoya un coup de pied vers le ventre du garde coupable, avant d’enchaîner par un coup de coude au sternum, puis de l’assommer d’un coup des deux poings joints au sommet du crâne. Plus que cinq hommes, dont deux épéistes et trois lanciers. Il prit les devants, envoyant un puissant coup de poing vers le visage d’un lancier, puis le neutralisant d’un coup de pied au flanc gauche puis droit. Il esquiva un coup de lance d’un mouvement sur le côté, et désarma le garde d’un coup de pied dans la main. Il bondit et lui envoya un coup de genou sauté au visage, assommant ce faible. Il s’occupa du dernier lancier d’un atémi à la nuque. Puis, il se tourna vers les deux épéistes restants. L’un pointait son sabre vers lui en tremblant comme une feuille morte, et l’autre restait calme, fixant tranquillement Skrimir de ses yeux verts. Ses cheveux bleus sombres étaient presque invisible dans l’obscurité de la cale, à peine éclairée par la lueur de la lune. L’épeiste tremblant s’éloigna en courant, hurlant qu’il était trop jeune pour mourir. Le second continua de fixer Skrimir, avant de dire :

Epéiste : Tu ne le poursuis pas ?
Skrimir : Non, ce minable ne m’intéresse pas. Par contre toi, tu m’as l’air d’une proie intéressante.

Skrimir se lécha les babines et se mua en lion, rugissant. Son adversaire fit quelques mouvements dans l’air avec son épée, avant de fondre vers Skrimir. Le lion esquiva un coup descendant d’un bond sur le côté, et répliqua d’un coup de patte, que l’épéiste bloqua avec son sabre. D’ailleurs, il ne se brisa pas sous le coup. C’était donc un sabre qui devait avoir une certaine valeur. Skrimir attaqua de nouveau, voulant mordre l’épéiste au genou, mais l’homme esquiva d’un mouvement en arrière, tout en envoyant un coup vers le visage de Skrimir. Le lion parvint à parer en dressant sa patte, mais la lame l’entailla profondément. Il grogna, puis fondit sur son adversaire, pour lui arracher l’épaule. L’épéiste voulut contrer le lion, mais rien à faire, l’animal s’écrasa sur lui de tout son poids et le plaqua au sol. Skrimir le mordit à l’épaule, mais avant qu’il n’ait pu achever son emprise, le sabre se planta dans son flanc, d’où s’écoula un flot de sang. Skrimir, sous le choc, reprit forme humaine, s’allégeant par la même occasion de plus de cent cinquante kilogrammes. Il roula sur le sol, s’allongeant sur le dos. L’épéiste se releva, déchira un morceau de tissu de sa manche et le noua autour de son épaule profondément meurtrie. Il adressa un petit sourire à Skrimir, puis dit :

Epéiste : Cette blessure n’est pas mortelle. On se reverra, l’impétueux.
Skrimir : Urgh… C’est quoi ton nom ?
Epéiste : Je suis Zelgius.
Skrimir : Dans ce cas, Zelgius, je t’arracherais la tête, moi, Skrimir !

L’épéiste s’en était allé. Skrimir saisit son Den den Mushi, et contacta son équipage, lui assurant que les marchandises étaient sécurisées, puis leur demandant devenir le chercher. Il resta pendant quelques minutes allongé au sol, ressassant cette cuisante défaite. Même si son adversaire était au moins autant blessé que lui, il ne supportait de s’être fait avoir aussi bêtement.. Il allait redoubler d’efforts, et écraser ce misérable Zelgius ! Après quelques minutes, les membres de l’équipage débarquèrent, ainsi que son oncle. Ils le transportèrent jusqu’à leur navire, lui ainsi que les marchandises, puis le médecin commença à panser ses plaies. Ce dernier lui interdit de s’entraîner pendant deux semaines ! Décidément, il connaissait mal Skrimir s’il croyait qu’il allait rester immobile aussi longtemps !

Validé, attend encore la validation d'un modo ou admin.

Validé ^^

» [Validée]Yuki arrive enfin =D
» [Validée]Niitsu Shiyo arrive.
» [Validée]Shisui arrive... [ fini ! ]
» [Validée]J'arrive pas à réécrire Flame...Alors je reprend Xino...
» [Validée]Voila la fiancé des dents de la mer qui arrive *theme de jaw qui se met* TERMINER