[Validée]Buriel Félicien Ganache Fizaro Lendion

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~

Vu que Masamune semble avoir abandonné le coup... j'aimerai changer ce perso en un autre^^ Il a fait qu'un poste je crois et ne bloque donc personne sans doute... Enfin bref, je changerai aussi Sasayama qui ne me motive vraiment pas (vous pouvez libérer le fruit de Sasayama, je ferai sans doute un perso sans fruit à la place)... C'est Jenaiz De Bellum donc...

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prenom : Buriel Félicien Ganache Fizaro Lendion (nommé Buriel Ganache parce que le 2ème prénom et les 2 noms de familles supplémentaires, c'est lourd à porter...)

Pseudonyme : Maitre // Entrave

Age : Entre 21 et 32 ans... Il aime entretenir le mystère...

Race : Noble Humain!

Occupation : Pirate (dans le sens qu'il menace la sécurité des concitoyens et qu'il n'appartient à aucun ordre)

Rang Spécial : Lumière de Feru

Métier : Combattant, stratège, homme de foi...

Physique : Supérieur! Voilà ce qu'il veut vous montrer! L'homme qui se tient devant vous alors vous écrase de toute sa stature royale! Maitre est le seul mot qui vient à l'esprit d'un esprit faible tant sa majesté fait penser à celle des puissants lions des contrées lointaines. Les couronnes ne sont pas faites selon ses mesures, ses mesures sont faites pour les couronnes! Alors, même en réalisant qu'il n'est vêtu que d'une simple chemise et de quelques modestes parures, jamais l'on ne mettra en doute sa noblesse et la richesse de son pouvoir...
Il est inutile de dire que malgré le fait que son attitude n'exprime pas ouvertement l'orgueuil, il provient de sa pose une allure fière et distinguée qui le fait paraitre un ange lorsqu'il circule dans les bas-fonds. Lorsqu'il est dans les milieux aisés, personne ne s'ose jamais à douter de la justesse de sa présence, un simple regard sur son corps haut et svelte suffit à faire peser l'incertitude sur sa propre possibilité d'entrer dans un lieu qu'il partagerait avec un tel être. Oui, il n'y a guère de mot pour décrire Buriel autres qu'en faisant milles parts de ses qualités. Il resplendit tel un soleil en tout circonstance et la majeure partie des gens ne s'oserait pas à se faire hair d'un être si splendide!
Des cheveux blonds, presque blancs, tombent doucement sur ses épaules tels les branches d'un saule pleurer en été. Aucun n'obscurcit son visage de façon disgracieuse et chacun semble à sa place tant règne une notion de perfection quand à la création divine qu'est son visage. Ses yeux, d'une couleur verte bleuté, semblent une paire de pierres précieuses égarés là par le plus riches des hommes. Ils miroitent de milles feux et semblent uniquement exister pour être admirés. Son nez, fin tracé, est admirable de tout point de vue car même lui peut sembler élégant sur un tel être. Un demi-sourire teinte souvent le visage de Buriel en publique, bien qu'il tende à se montrer triste lorsqu'il s'éloigne des gens qu'il déteste au plus au point. Il est impossible d'expliquer avec des mots ce que l'on ressent à la contemplation d'un tel homme... C'est merveilleux, voilà tout ce que l'on peut dire...
Il est habillé le plus souvent d'une simple chemise, de bon tissu mais de forme simple, le tout accompagné d'un pantalon que n'importe quel gueux aurait pu acheter pour quelques berrys, pourtant, rien de cela ne semble nullement faire ternir sa beauté. On sait par la raison que ces habits sont laids, mais on n'a l'impression modeste que ceux-ci furent confectionnés pour lui, comme le reste du monde aux alentours. Son visage est si spectaculaire que l'on en oublierait même le plus frustre des chiffons sur son corps, on oublierait également le fait qu'il est un peu moins modeste dans ses accessoires... Un beau pendentif où l'un saphyr pend au bout d'une chaine en or reste accroché à son cou, comme le seul collier, la seule belle soumission qu'un homme tel que lui accepte: celle de son désir. Ces bras portent chacun un magnifique bracelet des mêmes matériaux, à la foins fins et noblement construits par des mains qui ne semblent plus humaines. En résumé, tout chez Buriel semble conduire à un seul raisonnement: il n'est point de la même nature que nous autre, cet homme nous transcende et sera amené à changer le monde!
Enroûlée sous sa chemise, autour de son torse, une longue chaine d'acier; grande en son centre et fine sur les extremités, il l'utilise pour se battre, comme armure et comme arme. Les maillons d'une couleur noblement métallique semblent à la fois liés et séparés, comme les hommes. Il est inutile de dire que personne n'oserait faire le moindre commentaire sur cet outil bien dissimulé; premièrement parce qu'elle est presque impossible à distinguer pour quelqu'un n'ayant pas de méfiance particulière pour le jeune homme; deuxièmement parce que, même au courrant, on ne peut s'empêcher de trouver sa silhouette parfaite même entourée d'acier. L'objet mesure plusieurs mètres et fais plusieurs fois le tour de son bassin et du bas de son torse pour finir par suivre légèrement ses bras sous ses manches. Son torse n'est pas entouré par cette chose...

Caractère & morale : Que dire... Haine de l'être humain? Ou tristesse due à sa propre nature? Toujours est-il qu'un avis tranché éclaire Buriel: l'humanité se doit de disparaitre, si possible, avec lui et de son vivant. Il a contre sa propre espèce une sorte de puissant rejet. Il n'arrive pas à trouver, quelque soit ses recherches, suffisament de bien faits pour laisser continuer à évoluer un monstre pareil que la folie des hommes. Rien ne peut excuser la stupidité, la cruauté et la démence à ce point exagéré. Une espèce ayant tant à faire de ses intérêts personnels au dépends de ce qui l'entoure ne mérite guère plus de place sur cette planète que les pires déchets. Il serait donc mieux, de son avis, d'activer la destruction de l'humanité plus vite qu'elle ne devrait approcher de manière à laisser les puissances supérieures des dieux ou du destin s'occuper de rebâtir un endroit où la vie terreste connaitrait le mot compassion. Il a le plus profond respect pour la gentillesse des autres, mais ne peut se la permettre car il se considère comme le berger qui va conduire la vie vers une nouvelle ère. S'il se laisse emporter par ses sentiments, il se devra de laisser le monde courrir vers sa fin, vers sa damnation. Car oui, en s'autodétruisant, peut être pourra-t-il faire un tant soit peu pardonner aux cieux tous les pêchés commis par ses agneaux trop habitués désormais au goût de leur propre viande.
Etant donné qu'il se trouve seul à avoir compris la sinistre nature de l'homme jusqu'à présent, il est normal qu'il se considére comme tant supérieur au reste de ses congénères. On ne lui a d'ailleurs appris que ce comportement depuis sa jeunesse, la plus stricte hierarchie. S'il est désormais seul à tenir la vérité en lui, autant qu'il affiche directement son commandement aux autres. Aussi ne se prive-t-il jamais d'agir à son bon vouloir. Il n'a que faire des errances d'un esprit incomplet et corrompus. Son âme elle-même est déjà trop égarée sur les chemins de la perversion humaine, aussi ne peut-il se laisser influencer par d'autres pêcheurs. Il ne lui reste qu'à errer seul sur la longue route qu'il le ménera à la fin. Ces actes ont importances pour son honneur mais sa survie et l'accomplissement de son but priment, autant dire que des mots tels que trahison ou complot n'ont guère termes contre lui: il prend ce dont il a besoin peut importe les moyens et servira des autres tout comme eux se servent de lui. Le monde fonctionne tristement comme cela, l'homme n'est qu'égoisme et tout simulacre de respect de celui-ci envers les autres cache toujours une médiocre raison à la pudeur de l'instinct refoulé. Il n'y a de vérité que dans la vie et la mort, l'homme joue des siens comme s'il était seul au monde, aussi Buriel se comporte en solitaire pour le bien de tous. Devenus légèrement agoraphobe, dégoûté par le mal que font les autres et par leur stupidité crasse, il a tendance à prestement s'écarter lorsque trop de monde se trouve autour de lui. Il n'a de pitié que pour ceux sans force, ceux incapables de connaitre la sensation maléfique de pouvoir. Ceux-ci ont bon être considérés que comme des gens bien par les hasard de la destinée, il tend à les aider. Il respecte également ceux happés, menés ou dévorés par leur propre fatalité; ceux-ci, comme lui, savent ce qu'ils doivent faire et doivent être tenus en être déjà asservis aux forces supérieures et donc sur pied d'égalité avec lui.
En résumé, jusqu'à ce qu'il parvienne à la fin tant recherché par son âme criante de desespoir, Buriel asservira ceux qui sont mauvais et piétinera ceux dont le destin entravera le sien car il est seul à décider de ce que font ces mains, malgré le fait qu'il appartienne au monde comme son cri d'alerte et son ultime message pour l'homme...

Fruit du Démon : Vu que j'ai qu'un fruit lvl 7 sur Jenaiz, je vais tenter de créer un fruit suffisament peu puissant pour m'être autorisé... donc dites si vous le trouvez de niveau supérieur à 5 et je le briderai...
Chain Chain No Mie (paramecia): Permet à son utilisateur de contrôler les chaînes. Contrôle en ce sens qu'il peut manipuler leur déplacement dans un rayon d'environ trente mètres. Il ne peut ni en créer, ni rien d'autre; il se contente de manipuler les chaines, de les lancer en projectile, de les séparer en maillon et des les remettre ensemble...
Quoique si vous le voulez pas, je prendrai le noro noro de Sasayama à la place...

Techniques Spéciales : Cadenas (école de combat à la chaine et de techniques de soumission)

Histoire : ==> Poste suivant

Rêve / But : Détruire le monde!

Post RP : -/-

Pour moi c'est bon, ton fruit sera un paramecia de niveau 5 =)

Tu peux continuer ta fiche ^^

pareil pour moi ^^
et pas besoin d'un post rp' au fait =)

Histoire: Né sur l'île-royaume de Feru, dans la famille dirigeante, Buriel sut dès sa plus petite enfance que sa vie se devait de valoir plus que celle d'une dizaine d'enfants du même âge. Ses parents, trop occupés à s'occuper de leur régence, le délaissaient souvent en laissant les majordomes et les servantes s'occuper de son éducation alors qu'eux venaient environ une ou deux fois par semaine chacun passer un bon moment avec leur enfant. Malgré tout, le jeune Buriel n'eut jamais aucune haine quand à leur comportement avec lui, ils avaient suffisament de responsabilités pour être pardonné d'ainsi manquer de temps sur terre. Il appris de cette période de sa vie toute la royauté dont il devait faire preuve au cours de sa vie; la stature, l'allure, l'esthétique, l'étiquette et la noblesse de l'art de l'escrime et de l'éloquence lui furent enseignés chaque jour que les cieux désirèrent bien accorder à son corps. Enfant unique, il était destiné à succéder à son paternel et il eut ainsi rapidement l'occasion d'assister à toutes les scéances, conseils et autres rencontre de son monarche de père et d'autres hommes puissants hierarchiquement ou du petit peuple. Il gardat de toutes ces expériences l'idée qu'en permanence, les compromis furent nécessaires aux hommes mais qu'ils ne satisfaisaient jamais personne et laissaient toujours plâner un mécotentement général. Il retint également que les nobles étaient des gens très agréables mais que ceux du bas-peuple semblaient toujours en colère face à ceux qui avaient de l'autorité sur eux quelque soit leurs actes.
Ses études continuèrent, il appris l'astronomie, la stratégie, la ballistique, la calligraphie et encore maintes autres choses. Chaque domaine dans lequel il finissait par exceller laissait place à un autre où son travail ne faisait alors que commencer; cette éducation stricte et forte lui donnait l'impression d'un serpent se dévorant la queue tant l'histoire semblait vouée à se répéter jusqu'à ce que son crâne implosent sous la quantité d'informations à emmagasiner. Puis, lors de la fin de son adolescence, ses professeurs cédèrent leur place à un petit homme, chauve et bedonnant, le conseiller de son père: Peters. Peters devaient s'occuper du jeune homme comme de son futur souverain, commençant dès lors à lui enseigner et à lui faire sortir de son palais. Peters lui montrat le monde et lui donna, la plupart du temps, des conseils avisés: malgré tout cela, il faisait une chose fort déplaisante au prince, il le manipulait. Il se servait de la pauvreté des gens pour lui montrer le côté noir et maléfique de son père, uniquement ce côté. Il y avait bien évidemment des gens heureux du règne du roi, mais les malheureux ainsi présentés au jeune homme lui montrèrent son père comme un monstrueux démon dévorant son royaume. Ainsi armé de rage, Peters fit exécuter un plan de son invention par les mains ignorantes de Buriel: un plan qui lui permettrait de prendre le pouvoir...
Alors que son père et sa mère, euphoriques de voir leur enfant achever son adolescence plein de sagesse et de vigueur, dinnait avec lui, un couteau de cuisine, suivi de la main de Buriel, vinrent se planter dans le poitrail de son père. Celui-ci ne comprit pas réelement avant de mourir avec un air intrigué sur le visage, tombant à la renverse avec sa chaise. Sa mère, elle, fondit en larmes, comprenant et ne pouvant subir cette vérité. Elle sombra dans la plus noire folie. Elle fut plus tard interné et se suicidat. Peters pris alors le commandement du royaume et chercha à présent un moyen de se débarasser de l'encombrant héritier qu'il avait du présenter comme un libérateur au peuple. Malgré tout, l'esprit torturé du chauve peinat à imaginer une sombre manipulation et le prince restat en vie encore une année de plus. Lors de cette année, Buriel pu voir que rien n'avait changé sous le nouveau gouvernement. Comprenant alors l'horreur et surtout la futilité de son geste, il en fut dégoûté; dégoûté de lui-même. Peters, comprenant à présent l'obstacle qu'il était, envoyat un peloton de garde l'assasiner. Buriel aurait du mourir... mais il fut sauvé par une petite fille.
La jeune demoiselle se nommait Elys et travaillait en tant que domestique dans les cuisines. Elle devait avoir une dizaine d'années. Pour une raison que seule elle connaissait, elle aimait bien le prince et lui permis de fuir par les égoûts alors que ses meurtriers arrivaient. Ils fuirent tous les deux et le jeune Buriel fut herbergé chez la famille d'Ellys. Celle-ci vivait seul avec sa mère, veuve d'un mari mort d'une épidémie. Durant un mois, le prince restat à vivre avec cette petite famille, profitant d'une vie simple et de la chance de pouvoir contempler pour la première fois des gens bons. Mais c'est également durant cette période que les rêves commencèrent: ceux où il rencontrait dans la pénombre de son esprit une silhouette masquée nommée Glint. Durant ses nuits, de longues conversations avec cet esprit, le laissait de jour perplexe face à la vraie gentillesse dont il était témoin. Il aurait malgré tout pu réfréner tous ces doutes s'il avait continué ainsi, malgré tout, après un mois, il fut retrouvé par les envoyé de Peters...
Alors qu'il était à l'extérieur de la maison, ceux-ci tuèrent la mère d'Elys et se mirent à violer l'enfant. Alors qu'il entrat en entendant les cris dans la maison, l'esprit de Buriel fut alors convaincu d'une chose: d'une unique chose, l'homme était mauvais. L'incarnation pure et simple de tout ce qu'il pouvait y avoir de néfaste se tenait devant ses yeux. Les visages porcins des hommes qui se tournèrent vers lui, achevant la fillette d'un coup de glaive pour ensuite compter faire de même avec le jeune homme, lui permirent de se rendre compte à quel point les bêtes se tenant en cette pièce ne méritaient que l'abattoire. L'irespect et la mort brusque, jeune et violente des seules âmes pures qu'il eut jamais rencontrés suffirent à faire apparaitre Glint dans la tête de Buriel, alors pleinement réveillé. Glint et lui partageaient désormais la même vision et, comme un seul être, celui-ci permis à Buriel de comprendre ce qu'il devrait faire et ce à jamais: sa tâche, la fin du monde. Sans même s'armer de quoique ce soit, le jeune homme tuat de ses mains tous les soldats, pris par surprise face à une telle férocité et un tel manque de pitié de la part d'un noble. Inondant la maison du sang de ses horribles hommes, il la brûlat par la suite pour éviter de laisser trace de cette ignominie qu'ils avaient commises. Jamais les humains ne trouveraient plus grâce à ses yeux!
Au cours des mois suivants, trainants dans les bas quartiers, il réussit à convaincre tous les hommes des bas quartiers de son autorité divine, se faisant surnomer par eux Lumière de Feru. Ceux-ci, prêt à le suivre en enfer, furent de formidables outils pour attaquer son ancienne demeure. Armé d'une rapière, Buriel laissat les soldats et les habitants s'entredéchirer comme les loups qu'ils étaient pour foncer vers Peters qu'il fit souffrir un maximum avant de le tuer, le démembrant morceau par morceau. Il planta ensuite son arme au milieu de son crâne, laissant le sang voler à travers la salle du trône. Il passat ensuite sa journée à abattre les survivants, très rares, de deux forces pour ne laisser que mort et désolation sur l'île de Feru. Il désirait que rien ne reste de cette île. Il réussit à convaincre quelques marchands qui arrivaient à ce moment-là que l'île fut hantée par des esprits démoniaques et qu'il fallait la brûler avant de fuir par la mer. Il déclenchat une dizaine de feu de forêt qui embrasèrent l'île durant trois jours à la suite de son départ. Il était prêt à faire pâtir le monde de sa cruauté et à déclencher l'apocalypse: c'était sa raison d'être. Les yeux perdus, éclairés par les flammes de la haines, il regardait fixement l'ancien castel brûler des feux de l'incompréhension...

Validé ^^

Si un gentil admin pouvait juste modifier mon pseudo pour Buriel Ganache =) je peux pas le faire...

deuxième validation.

la meilleure!

la mienne!

Tu as la validation de la Perversion.

(ça le fait mieux quand j'ai le compte de cyanure, non?)

Pour moi aussi, c'est bon.

Validé

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