[Validée]Reiji el Sagishi

Nom & Prenom : Reiji el Sagishi

Pseudonyme : "Midas", "El Dorado", ou encore "La Convoitise".

Age : 23 ans, le bel âge

Race : Humain

Occupation : Civil

Rang Spécial : Maître Arnaqueur ?

Métier : escroc, manipulateur, se fait passer pour un joailler renommé, possède de multiples identités.

Physique :

A quoi je ressemble ? Je suis plutôt un bel homme, dans la fleur de l'âge. Svelte, agile, plein de grâce dans chacun de mes mouvements, je suis le profil-type de l'homme fin, subtil et délicat. D'autres diraient que je suis un fieffé acteur, manipulateur et rusé. Et ils n'auront pas tort. En réalité, puisqu'il me faut me confier à vous sans détours, mon agilité est l'égale de celle d'un malandrin. Mon corps, fin mais athlétiquement musclé, se prête très bien à mes activités à risques, et me permet d'exécuter diverses formes de sport extrêmes... allant du saut de fenêtre, en passant par la course de rue, et jusqu'au sport de chambre.

Passons à mon visage, mon précieux outil de travail, véhicule de mon charme. De splendides yeux bruns s'offrent à ceux qui veulent s'y plonger pour ne plus en revenir, et sont surmontés de fins sourcils auburn. Mon nez... d'une finesse exceptionnelle, surplombe une bouche sensuellement masculine, qui fait le plaisir des deux types de lèvres féminines qu'elles embrassent. Ajoutez donc tout cela à un grain de peau parfait, et de superbes cheveux couleur de feu, et vous obtenez un homme qui réussira à vous faire croire que la mer est rose. A oui ! J'oubliais... je ne suis pas borgne, le bandeau, c'est juste pour faire "Bad Boy".

Caractère & morale :

Malin, rusé, intelligent, fin d'esprit, finaud, tacticien, classe, charmeur, enjôleur, ... hum ? Ah, je vois, vous pensez que je grossis les faits. Dans ce cas, je ne peux rien pour vous, mon ami. La perfection est tellement vexante pour les petites gens... Bon, croyez-moi ou non, je suis également un très bon calculateur, doublé d'un menteur hors pair. Des scrupules ? Ha ! Qu'est-ce que c'est ? Vous autres n'êtes là que pour me servir, et pour me donner ce dont j'ai besoin. Vous êtes bêtes, crédules, et corrompus. Vous ne vous rendez pas compte à quel point vous êtes faciles à manipuler. Un peu d'or, et hop ! Vous me tombez dans le creux de la main... J'en aurais presque la larme à l'oeil tellement c'est pittoresque.. enfin bref, passons aux Femmes... elles sont encore pires que les hommes. Tel des corneilles, elles sont attirées par tout ce qui brille, et il est facile de les berner afin d'atteindre vos bourses, messieurs.

En résumé, j'ai de la chance d'être moi, et vous avez la malchance de ne pas l'être. La seule chose qui m'intéresse, c'est ma personne, la seule qui vaille le coup dans cet univers peuplé d'imbéciles. Ma survie demeure la priorité, et vous n'êtes là que pour y contribuer. La vie est un jeu ! Les plus forts ou les plus rusés survivent, et ne doivent pas perdre de temps à s'inquiéter pour vous. Vous n'avez qu'à vous sortir les doigts d'où je pense si vous voulez rejoindre l'élite humaine, et jouir de tous les plaisirs épicuriens, les seuls qui m'importent. La vie n'est pas là pour être gentille avec vous. Survivez... ou faites vous dévorer. Je n'aurais aucune pitié pour vous.

Fruit du Démon : Kin Kin no Mi (Logia de l'or) : l'utilisateur peut se transformer en or, contrôler l'or de son corps, et en produire. Cependant, l'or produit disparaît au bout de deux semaines.

Techniques Spéciales :

- Sculpture de l'or : produit des objets en or, allant des simples bijoux à la statue de deux mètres. Plus l'objet est grand, et plus cela nécessite d'énergie, évidemment.
- Charme : l'attitude et les paroles mielleuses de Reiji lui permettent de faire croire monts et merveilles aux trois quarts des PNJ's.
- Travestissement : l'art du déguisement, afin d'éviter les créanciers, les dupés, et autres clients mécontents.

Histoire :

Il y a vingt-trois ans de cela, est né un enfant sur un bateau pirate, en pleine joute avec des navires de la Marine. Le Marine qui n'a pas eu les couilles de m'achever après avoir ordonné l'exécution complète de l'équipage a du prendre son pied en demandant à ma famille d'accueil de me raconter mon histoire quand je pourrais la comprendre, histoire que je sache toute ma vie que j'étais juste un enfant de la balle, né au beau milieu de nulle part, entre deux coups de sabres et trois gerbes de sang. Histoire de bien me flanquer les boules en me faisant comprendre que je n'aurai jamais de place dans ce monde avec des racines pareilles... Au final, quoi qu'a pu penser ce crétin de Marine, je n'en ai rien à cirer. Cette magnifique famille aisée chez qui la vie devait être belle et sans souci s'est révélée être une belle organisation de connards en tout genre. Ce n'est pas chez les riches que la vie et plus belle, oh que non ! Mensonges, hypocrisie... et infâmie. Que dire de cette folle demeurée qui ne faisait que me tabasser à coup de trique, trop frustrée par un mari qui ne voulait plus la besogner comme il l'aurait du, trop fatigué par les conquêtes bien plus fraîches qu'il côtoyait à l'extérieur ? Que dire, aussi, de ces soi-disant frères qui s'amusaient bien à m'enfermer dans la cave, ou à faire des conneries en me faisant porter le chapeau, déchaînant la foudre divine de la cinglée qui leur faisait office de mère...? Et je passe les détails sordides de l'autre psychopathe de paternel, qui appréciait autant les fesses des jeunes Femmes que celles des enfants comme moi... j'espère au moins qu'il aura pris son pied, avant que je l'eut attaché à une chaise, puis couper les valseuses pour lui faire bouffer juste après. Quand j'y repense, ça avait été aussi jouissif que de poignarder l'autre folle en la regardant se vider de son sang. L'un des plus beaux jours de ma vie, que celui où j'ai quitté cette maison de culs-bénis à l'aube de mes dix ans...

Les Hommes ne sont que des créatures abjectes qui se parent de faux-semblants en se prenant pour une espèce supérieure. Nous ne sommes que des animaux, et seuls les plus forts survivent, en trouvant son moyen de subsister. J'ai décidé à partir du moment où je suis parti de cet asile de fous, que je ne répondrais plus de mes actes que devant moi-même, et que je profiterais de cette vie sans m'encombrer de remords. Car en ont-ils, des remords, tous ces faux-culs qui nous entourent ? Ces bourgeois qui nous regardent de haut, ces Marines qui nous parlent de loi sans l'appliquer personnellement, ces pirates qui parlent de pseudo-liberté ? Ces révolutionnaires à la con et leur dogme obscur ? Les Dragons Célestes et leur haute lignée de béni-oui-oui à deux berrys la cagette ? Ne me faites pas rire... J'avais donc décidé, arrivé à mon dixième printemps, que je cesserais d'être faibles et dominé. Je serais le dominant, je me fondrais dans votre masse, et je vous ferais croire monts et merveilles en jouant comme vous jouez entre vous avec moult mensonges et pléthore de jeux d'apparence. Je jouerais dans votre cour, mon roi, et je besognerais votre fille derrière votre dos !

C'est donc à mes dix ans que j'entamais ma vie de nomades, sans Dieu ni maître. J'ai volé, tué, escroqué, et j'ai tout appris de mon art à la sueur de mon front. J'ai connu les bastonnades après s'être fait attrapé par les marchands, j'ai connus les ruades de policiers, et les brimades des riches à la vue de ma dégaine de rat miteux vêtu de guenilles infectes. Et j'ai encaissé... mais j'ai appris, aussi ? Que ce qui ne tuait pas rendait plus fort, et je me suis renforcé, améliorer dans l'art de vous rouler dans la farine, échafaudé des plans pour vous voler sans vous douter de rien, ... Bien sûr, il y eu des moments où vous vous êtes montré plus malins, et avez fais preuve de votre véritable nature de bête sauvage, mais j'ai su encaisser et me souvenir. Tous ont payé.

Arrivé à un âge où la puberté fait éclore vos sens les plus virils, je suis devenu un prince voleur. J'étais devant vous, et pourtant, vos affaires disparaissaient sans que vous ne sachiez pourquoi. Je jouait votre humble serviteur, mais vos Femmes et vos filles s'abandonnaient à ma virilité visiblement plus vigoureuse que la vôtre ! Et j'ai continué à berner, mentir, voler, trahir... Jusqu'à ce que je tombe sur le gain, ce que je n'avais jamais osé rêver pour finir de vous planter des poignards dans le dos : un fruit du démon, celui de l'or ! Depuis ce moment, vous n'avez eu cesse de vous ébahir et de vous prosterner devant mes oeuvres et mes bijoux, ne sachant d'où je pouvais détenir de pareils beautés en or pur que je vous vendais à un prix exorbitant... mais éphémère.
D'ailleurs, c'est vers ce moment-là que j'ai fait la connaissance d'une humaine qui n'était pas comme vous... Contrairement à vos sales carcasses, tas de larves que vous êtes, elle était comme une reine abeille dans un essaim de mouche : elle resplendissait. Elle savait être fourbe et manipulatrice, et se jouait des hommes comme avec de vulgaires poupées... Ses courbes, qui en devenaient obscènes par tant de perfection, avaient fait plié plus d'un abruti, et elle avait su les plumer et en faire ce qu'elle voulait avant de les jeter comme on jète une feuille de papier hygiénique. Ca va vous faire bizarre d'entendre dire ça, mais j'appréciais cette bonne Femme ! J'avais eu l'occasion de monter de belles arnaques avec elle. On s'était couvert d'or en très peu de temps avec nos savoirs-faire mis en commun. Puis on s'est perdus de vue, je pense qu'elle a du se faire capturer par la Marine, elle m'avait glissé un jour qu'elle fricotait avec des pirates... Content de ne pas avoir traîné avec elle ce jour-là. Bien que ça ne me déplairait pas de la retrouver un jour. Elle avait le sens des affaires, et une éthique qui me plaisait bien. A deux, on avait du déplumer un bon paquet de personnes...

Ah, mais pauvre de vous, je vais vous plaindre ! Non, ironie, bien sûr. Je ne vais pas perdre de temps avec vos ersatz d'états d'âmes. Je me considère encore comme un agneau innocent comparé à vous, qui cachez votre jeu derrière votre masque d'humanité. Il n'y a point d'humanité ! Juste une illusion, avec la mort au bout du voyage. Alors à quoi bon avoir les scrupules des faibles que vous écrasez ? Il n'y aura ni récompenses pour votre bonté, ni jugement pour vos infâmies, alors allons-y ! Jouons ! Et nous verrons qui gagnera à ce jeu grotesque que vous nommez "la vie"...


Rêve / But : survivre, quitte à utiliser tous les moyens possibles. Egalement, réaliser le plus gros coup fourré de l'histoire, mais il ne sait pas encore quoi ni comment.

Post RP : pas besoin, ceci est un Double Compte.

Nota Bene : ce personnage n'est pas taillé pour le combat dans sa forme de base initiale, et avec un fdd proposé qui n'est pas vraiment offensif en lui-même. C'est donc un civil dont le but et de s'enrichir, principalement, et de survivre.

Validé que si ton fruit est un paramécia.

Un peu comme le dolu dolu de Mr3 qui permet de créer de la cire à volonté.

Pour moi c'est validé ^^

Moi je valide tel quel. On en a discuté sur la chat, tu n'attaqueras pas avec ce fruit. Je déplace .

Okay, merci pour les validations. Je précise également ici quelles seront les limites imposées à mon personnages, en concertation avec Xino :

- Possibilité d'acheter de l'armement, mais uniquement défensif. Donc ça peut être des dials, mais pas d'armes blanches (à part un poignard pour extorquer du PNJ, p'tet), ni d'armes à feu, ni d'armes de jet (à part les cailloux trouvés par terre quand j'aurais du monde à mes trousses ).

- Aucune technique offensive (Cf. Fiche Technique).

- Ca coule de source, mais je précise au cas z'où : pas de passement de possessions entre ce compte et Godwrath D. Alexander (de toute manière, ce sont deux personnages complètement opposés, donc aucune chance de se croiser amicalement).

- Enfin, rester logique dans le pouvoir du fdd. Si je peux produire de l'or en plein rp pour le revendre, mon personnage ressentira de la fatigue proportionnelle à l'or produit. Pas de production d'or à l'infini, normal. Aussi, je peux acheter des choses avec mon or temporaire (qui dure deux semaines je le rappelle, avant de se désagréger), mais si je souhaite acheter des biens "statiques" (comme une baraque), je dois passer par des moyens détournés. Forcément, si je paie un agent immobilier avec de l'or de pacotille, il va vite me retrouver pour me faire la peau, vu qu'il saura où je crèche.

Voilà

Bon, ben je reverrouille alors . Validesh ^^'