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| Quand on traite avec les bandits (en cours) | |
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Okama Momifié Nouveau
Nombre de messages : 2363 Fruit du Démon : Soul Crusher
[Feuille de personnage] • Renommée: 1950 • Wanted: 720.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Quand on traite avec les bandits (en cours) Mer 12 Aoû 2009 - 21:49 | |
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Dernière édition par Celérion Cashi le Mer 12 Aoû 2009 - 23:31, édité 1 fois | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: Quand on traite avec les bandits (en cours) Mer 12 Aoû 2009 - 23:16 | |
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C’est à ce moment précis que sonna le fameux Den Den Mushi. (blupblupblup Katcha)« Mushi Mushi » lança Celérion« Vous n’avez pas l’air en forme, monsieur le vice-amiral »« Est-ce une façon de me dire que vous me voyez ? »« On peux dire cela. Mais, si vous avez supporté toutes mes gamineries, cela veut dire que vous êtes un homme sérieux en affaire. J’adore les hommes qui se montrent sérieux et qu’ils savent ce qu’ils veulent. De nos jours, les pirates ont plus leur charisme d’autrefois. » « C’est pas le sujet de ma venue. »« Vous devenez grossier, mais je vous comprends. Depuis que…. » « Allez à l’essentiel s’il vous plait. »« Hmmm, très bien avancez près de l’arbre. Vous trouverez un petit coffret en bois noir. Il y a une carte, allez à l’endroit prévu. »« Encore un jeu de cache-cache ? »« Non, le dernier. »« Je l’espère. »« Encore une petite chose, durant le trajet, montrez nous la puissance des deux sabres. Taillez un rocher discrètement sur la route. Pour l’autre avec le serpent, faîtes ce que vous voulez. »Celérion raccrocha l’escargot. Il leur faisait confiance, mais pouvait-il vraiment avoir confiance ? Ce sont des hors la loi, tuer un marine ne leur semblerait pas obsolète. Voilà sans doute une occasion parfaite pour se faire un Vice-Amiral sans encombre. On peut piéger n’importe qui avec un piège. Le plus important était d’amener le gibet au bon endroit pour le cueillir. Celérion continua à marcher, le lieu de rendez-vous n’était pas loin. Il fallait maintenant montrer sa bonne foi envers les bandits. Il marchait et libéra le serpent avant de le ramener dans son fourreau la seconde d’après. Il marchait toujours avec le même pas léger, son corps semblait danser avec le vent. Il faut dire que le Vice-Amiral était particulièrement svelte et léger. Il courait, il voulait se débarrasser de cette corvée au plus vite, Il coupa le premier rocher sur le chemin. C’était suffisant. Vite, il fallait au lieu de rendez-vous maintenant. Il arriva finalement au lieu de rendez-vous. Pour la première fois depuis une semaine, il pouvait affirmer avec toute sa conviction que c’était le bon endroit. Fini les jeux de cache-cache, la transaction du siècle aura enfin lieu. C’était la finalité de son voyage. En sortant de cette île plus rien ne sera pareil. L’histoire, elle-même ne sera plus pareil. Une nouvelle ère commencera, une ère où les marines rétabliront la balance qui penche inexorablement vers le chaos et la décadence. C’était peut-être la seule solution qui le Vice-Amiral trouva pour faire face à ce monde dangereux. Des fois, être fort ne suffit plus, il faut savoir se battre avec les mêmes armes que les adversaires. Il ne faut pas avoir peur de fauter si c’était pour de bonnes intentions. Combattre la piraterie en gardant un regard irréprochable sur le monde, c’était une idylle que plus personne ne pouvait espérer. Le monde est pourrit, il sent la mort et la haine. Le One Piece, voilà une ère qui n’existe plus. Le tant où les pirates avaient une conscience morale et avait encore une droiture. Ils ne se battaient pour un trésor unique qu’ils considéraient que comme un symbole. Mais maintenant, un pirate ne faisait que piller et attaquer des innocents pour survivre. Ils abusaient n’importe comment de leur pouvoir. Ils n’avaient pas le droit. La même pensée s’entrechoquait dans la tête de Celérion, encore et encore. Les phrase étaient différentes, la façon d’interprétée également, mais le fond resta le même. Il resta fermement campé sur sa position. L’endroit du lieu du rendez-vous était étrange. C’était une série de petites maisons cachées dans les arbres. Ils étaient parfaitement cachés par la végétation. Tellement bien plongé dans la végétation que Celérion n’avait pas réussi à le remarquer jusqu’à se trouver à moins de cinquante mètres du lieu. Il attendit fermement que quelque chose se produisait et éventuellement un nouvel appel du Den Den Mushi. Il ne voulait pas grimper dans les arbres avant que ce monsieur Corleone le lui autorisait. On pouvait presque croire que le mafieux avait le Vice-Amiral dans sa poche. Il dirigeait Celérion comme une marionnette, s’en était dégradant. Celérion rêvait que tout ce termine aujourd’hui, que la transaction de passe rapidement. Mais, le Vice-Amiral connaissait bien les rumeurs. Il y avait un certain protocole à respecter lorsque l’on rencontrait Corleone. C’était le genre de type qui ne se contentait pas d’une transaction rapide, pour lui un invité était un invité et ça il savait recevoir. Il avait une hospitalité légendaire pour un mafieux, il le considérait comme une famille, chaque nouvel arrivant devenait automatiquement un cousin éloigné et sur ce fait, il méritait respect. Celérion attendait sur l’herbe humide de l’archipel, l’atmosphère était oppressante et alourdissait son corps. Après quelques minutes, cinq gardes armés de pistolets à silex sortirent des buissons et mirent le Vice-Amiral en ligne de vise. L’un d’eux commença à parler « Mr.Corleone vous attend, vous êtes ponctuels, je suis sûr qu’il va apprécier faire affaire avec vous. Si vous prenez la peine de me suivre, je vais vous conduire vers la salle à manger. Monsieur Corleone adore négocier près d’un diner. J’espère que vous aimerez, vous aurez le droit à un petit menu dégustation de cinq petits plats différents avec quelques vins parmi les plus rares de ce monde. Vous êtes un privilégier monsieur. Il est rare que monsieur Corleone se dévoue autant pour le confort de son hôte, vous êtes un privilégier. Sachiez que à partir de maintenant, nous serons des frères. »L’un des gardes rangea son arme dans sa ceinture avant de serrer la main de Celérion en guise d’une éventuelle amitié. C’était le seul moyen de rencontrer Corleone en personne donc il décida de jouer le jeu. Son visage se forçait tant bien que mal à montrer un sentiment de mépris vis-à-vis du soldat. Il se devait de faire bonne figure. Plus la transaction est grande et importante, plus il fallait être prudent. Il n’est pas rare que des deals de cette envergure se passèrent mal. Mais, Coleone semblait être un homme qui n’avait jamais roulé ses clients. En effet, c’était un très bon fournisseur pour les révolutionnaires, pirates et dernièrement marine avec Celérion. C’était sa marque de fabrique de rester honnête avec ses transactions. Il doit inspirer la confiance en ce monde. Mais, là, c’était son premier marin. Tous les types scénarios étaient possibles. Il était donc tendu. Il semblerait que les gardes n’eurent pas été informés du grade ou même de l’origine de Celérion. Ils semblaient décontractés, comme si il s’agissait d’un cas normal. Il n’y avait pas de rancœur dans leur visage. Ils semblaient honnêtes envers eux-mêmes. C’était plus que suffisant pour mettre le marine à l’aise. L’homme l’avait pris par le coude comme des copains depuis toujours et le tira en direction de l’un des escaliers sur les arbres. Il restait néanmoins les quatre autres qui gardaient leur arme en direction du marin. Mais la bonne humeur du garde qui le tenait amicalement avec sa main sur son épaule, avait presque réussi à oublier leur présence. C’était alors que le marin eut la très bonne idée de questionner son nouveau « frère » sur le lieu et surtout sur son boss.« Merci de me conduire à Monsieur Corleone. C’est une belle demeure que vous avez là. »« C’est l’une de nos plus belles demeure. On en possède plusieurs parmi le monde. On déménage souvent. On ne veut pas attirer les regards de la marine. Il ne faut pas que nos clients réguliers se déplacent toujours au même endroit pour se fournir, ce serait trop suspect. J’espère que vous comprenez. » « Bien sûr, ce que vous dîtes est plus que logique. Le contraire aurait été étonnant. »« Je suis ravis que vous mesuriez la puissance de notre organisation avec autant de justesse. Ce sentiment nous va droit au cœur. »« Si il y a que ça pour vous faire plaisir. Sachez que j’en suis heureux de vous donner cette impression. Mais dîtes moi, cela me tracasse, mais c’est toujours Corleone qui effectue les négociations avant les transactions. »« Par toujours, mais il fait la plupart et les plus importantes. Il s’occupe également toujours de la première transaction avec un nouveau client, même si il s’agit que d’une simple vente d’épée rouillée. Il aime voir les personnes avec qui il traite. Je pense que cela le rassure. Il n’aime pas les côté noirs de son boulot et pour cela il préfère tout savoir. Le reste des transactions est effectué par ces fils. Ses fils servent aussi de commis à travers le monde. Ils se battent pour se montrer honorable envers monsieur Corleone. Cette organisation est une affaire de famille et elle restera à la famille jusqu’à ce que nous soyons dissouts. »« Corleone a donc des enfants. »« Oui, trois fils. Il a également eu une fille. Mais il l’a tué, aucune femme ne pouvait succéder à monsieur Corleone. C’était la loi, elle fut égorgée selon la tradition à l’âge de ses 1 ans. »« Vous avez laissé la fille vivre 1 an avant de la tuer ?? Je comprends pas »« C’est les ordres de Corelone. Il y a rien à comprendre. Je ne peux pas vous en dire plus. Je suis sûr que vous avez encore une myriade de question sur nous. Je vous propose de pousser cette porte. Derrière se trouve monsieur Corleon. Soyez bien respectueux et n’oublié pas de le saluer. Je dois vous laisser. Profitez de sa présence pour lui poser des questions. »« J’en y manquerai pas et merci. »Le garde l’avait fait voyager à travers plusieurs huttes en bois à la décoration certaine. Les tableaux et les diverses tapisseries étaient accrochés sur les murs. Leur agencement était à la fois sobre et flamboyant. C’était une décoration magnifique et belle. Celérion trouva que le tout faisait un peu tape-à-l’œil. C’était disposé exprès pour montrer la puissance économique de l’organisation. C’était une technique simple mais efficace pour déstabiliser un acheteur avant la transaction. Autant de luxe dans des petites cabanes en bois sur des arbres, le paradoxe faisait rire le Vice-Amiral intérieurement. Il devait pousser la porte, derrière devait se trouver monsieur Corleone. Malgré les rumeurs, il n’avait aucune idée de son apparence. Il espérait qu’il ne s’agisse pas d’un capitaine pirate connu qui aurait choisi une double identité. Il posa la main droite sur la porte en ébène. Il palpait les diverses sculptures de la porte. Il en reconnut quelques signes d’origine maya. Soudain, comme poussé par une force céleste, il ouvrit grand les portes. Il vit un vieux monsieur sur un fauteuil au bout de la table. C’était Corleone, il n’avait aucun doute. La rose rouge sur le costard noir ne trompait personne. Il était telle qu’il s’était imaginé mais légèrement plus vieux. C’était sans doute le grand papa de l’organisation plus que le cousin germain. Il était habillé de son même costard noir avec un petit nœud papillon. Il avait les cheveux grisonnants et légèrement dégarnis. Il possédait également une moustache parfaitement taillée qui le sied à merveille. Son visage quelque peu ridé ne rendait presque touchant et apaisant, on oublierait presqu’il s’agissait d’un criminel parmi les plus terrifiants que ce monde eut connu. Devant lui, une table digne des plus grandes tablées des restaurants cinq étoiles. Une décoration, nappe blanche, verre en cristal et une argenterie au détail recherché, que du luxe.« Bonjours Mr. Corleone, c’est un honneur pour moi de faire la connaissance d’un homme de votre envergure. »Celérion resta debout il attendait la réponse de Corleone, le cousin germain. Il dégusta tranquillement son vin ignorant son invité et il répondit :« Savez-vous reconnaître un bon vin ? »« Euh, non. » « Essayez-vous, je vais vous expliquer. »« … » « Pour commencer, la température doit avoisiner les 25°C exactement. A cette température, les arômes cachés du vin se révèlent. C’est pour cette raison qu’il faut prendre le verre du vin par le pied. Le fait de garder le vin dans la main, fait chauffer le vin et détruise le gout de se nectar divin. Le vin se déguste d’abord avec les yeux. On regarde ce que l’on appelle la robe, on regarde la couleur et la clarté. On observe également les petites bordures que forment le vin et comment le soleil jouent avec le liquide. On arrive parfois à observer des teintes bleutées. C’est la magie d’un bon vin. Ensuite, l’odorat, cela permet de faire saliver la bouche à mieux accueillir le vin dans sa bouche. On repère également les aromes principaux. Là, je pense des baies et également une légère amertume, de l’amande peut-être. C’est fou qu’une boisson puisse nous faire autant voyager alors que ce n’est que du raisin à la base. Ensuite, on le bois sans l’agresser, on fait preuve de modération et on fait attention au gout. » Corleone prit encore une légère gorgée de son vin en guise d’exemple. « Donnez à boire à notre hôte et apportez le premier plat. »Les plats s’enchainèrent à une vitesse folle, de la simple soupe à la cuisine sophistiquée, Corleone savait recevoir. Malgré de multiples tentatives de retourner à la transaction, Corleone parlait du repas, encore et encore. C'en était sacré chez lui. Celérion dut attendre la fin du diner pour parler affaire, une belle pièce montée de crème. C’était un peu trop pour Celérion mais s’efforça de tout manger. Enfin, après un repas plus que copieux, la transaction allait commencer. L’homme dans son costard demanda de regarder dans un premier temps les deux sabres pour juger de leur qualité. Celérion les fit glisser sur la nappe blanche de la salle à manger. Le mafieux ouvrit chaque sabre. Il était content, c’était son rêve.
Dernière édition par Celérion Cashi le Jeu 13 Aoû 2009 - 14:31, édité 1 fois | |
| | | Okama Momifié Nouveau
Nombre de messages : 2363 Fruit du Démon : Soul Crusher
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| Sujet: Re: Quand on traite avec les bandits (en cours) Jeu 13 Aoû 2009 - 14:28 | |
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| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
Nombre de messages : 624 Age : 32 Fruit du Démon : Derrière mon PC...
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| Sujet: Re: Quand on traite avec les bandits (en cours) Jeu 13 Aoû 2009 - 15:19 | |
| Bon, ben voilou, t'as ton new fruit après t'être débarrassé de l'ancien chez les mafieux. Alors? Heureux? xD
Je verrouille le sujet, et je corrige ton profil pour te mettre ton fruit. | |
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| | | | Quand on traite avec les bandits (en cours) | |
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