[Validée]Maria Liu la glaciale

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~
Prénom: Aurélien
Age: 19 ans
Sexe: homme
Comment avez vous connu le forum? un ami
Combien d'heures vous vous connectez par jour? 2 à 3 en jours scolaires
Tes Mangas préférés: One Piece, Full Metal Alchemist, Fairy Tail
Ton pirate préféré dans one piece : Shanks
Hobbys: si seulement
Autre:

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Prenom & Nom : Maria Liu

Pseudonyme : ( facultatif )

Age : 23 ans

Race : Humaine

Occupation : Pirate

Rang Spécial : ---

Métier : Navigatrice

Physique : Maria a toujours été d'une beauté frappante. Depuis son plus jeune âge, elle se faisait courtiser et féliciter par les hommes qui l'apercevaient, ce qu'elle a toujours aimé, en cachette au début puis en montrant un intérêt progressif envers le regard des hommes quand elle grandit. C'est une belle jeune femme, du haut de ses 1m70, les cheveux blonds, dont la couleurs était comparable à celle d'épis de blé et 2 nattes qui lui descendent en dessous du dos. Son visage fait penser à celui d'un ange. Le regard doux accompagné de d'un visage fin et élégant. Un petit nez au milieu du visage et un sourire triste. Elle a toujours des gestes gracieux et une posture droite, qui laissait penser qu'elle avait été bien éduquée. Elle est très agile et n'a jamais eu de problème physique tel qu'il soit durant sa jeunesse. C'est une fille qui se porte bien et qui déborde d'énergie. La souplesse et la rapidité font d'elle une personne assez dangereuse. Sa tenue en revanche lui donnait beaucoup moins l'air angélique. Elle portait le plus souvent une tenue qui lui serrait le corps, et laissait se dessiner les formes de son corps qui n'étaient pas désagréable à voir. Sa tenue préférée était sa robe blanche brodée d'or, avec une ouverture le long des hanches, qui est la tenue qui lui permet de se déplacer le plus facilement tout en gardant son charme et sa grace. Elle aime avoir l'air attirante auprès des hommes. Son regard exprime parfois la colère, bien souvent quand on lui adresse la parole. Le reste du temps elle donne l'impression d'être ailleurs, comme absorbée dans un monde imaginaire. Plus rien autour d'elle ne semblait l'intéresser.

Caractère & morale : Étant habituée à avoir tout ce qu'elle voulait grâce à sa beauté, Maria était devenue une jeune femme très capricieuse. La vie de bourgeoise au début de son existance avait été caractérielle de son tempérament d'aujourd'hui. Elle le savait mais elle aime être comme ça. C'est une femme qui a changé d'elle même au fil des expériences qu'elle a vécu mais qui déteste devoir changer pour quelqu'un d'autre. Elle ne supporte pas qu'on lui fasse des remarques sur ses manières, souvent déplacées. Les hommes qui la traite de petite fille gâtée l'irrite, elle n'hésite pas à être violente, souvent sans réfléchir, elle a eu affaire à bien plus costaud qu'elle, ce qui ne lui a pourtant pas servi de leçon. Petite elle avait toujours bon cœur, et si elle peut elle n'hésite pas à aider les gens démunis dans le malheur. Elle est très ambitieuse et très convaincante quand elle rencontre un obstacle. Maria ne réfléchit pas toujours avant d'agir car elle croit en son intuition. Sa naîveté est un grand défaut chez elle. En effet elle ne résiste pas à la couleur et au touché de l'or, ce qui est très influencable pour elle. Maria a souvent des crises d'angoises, quand elle revoit son passé qui resurgit dans sa mémoire et qui la terrorise. C'est une femme qui aime se sentir forte et refuse la faiblesse. Elle aime s'entourer de personnes de confiance qui sauront la conseiller et être présent pour elle quand elle a besoin d'aide. Ses principaux atouts sont sa motivation, sa beauté et son ambition pour la richesse. Elle parait souvent froide mais sa tendresse se montre vraiment qu'en temps de pluie, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle adore particulièrement passer du temps dans l'herbe pendant un temps de pluie. Elle n'a pas peur d'être malade tellement elle est sûre d'être bien. A l'inverse, elle déteste le feu, le soleil qui donne chaud, et toute autre chose en référence avec la chaleur. Elle se sent très mal à l'aise quand on l'invite à un feu de camp ou à profiter du soleil dans les plaines. Un peu de soleil ne la gêne pas mais elle déteste la chaleur.


Fruit du Démon : Si j'ai accès au Yami Yami ca me ferait plaisir (en attente de la décision des admins)

Techniques Spéciales : Certaines techniques de combat d'arts martiaux, mais principalement la combinaison de sa souplesse avec ses deux machettes qu'elle juge plus efficace

Histoire :

Chapitre I - La déchirure

C'était dans cette charmante ville de South Blue que Maria nacquit et y passa sa jeunesse. La ville était composée pour les 3/4 de quartiers bourgeois. Les rues étaient propre, les gens avaient tous bonne manière et se connaissait tous. Maria était une charmante jeune fille, d'à peine 14 ans. Elle était fille d'une famille bourgeoise. Elle aimait se promener en ville la journée et rendre visite à ses amis. Ce qui la caractérisait le plus était un petit parapluie rose qu'elle gardait tout le temps sur elle, même en temps de soleil. Elle portait une robe bleue brodée de dentelles blanches, qui lui descendait au dessous des genoux et qui n'avait pas de manches. Elle accompagnait la robe de petites pantoufles bleues claire, qui lui donnait un air de princesse. Tout le monde la connaissait et l'appréciait. Les hommes n'hésitaient pas à la féliciter pour sa beauté. Un jour qu'elle faisait sa promenade habituelle, elle rencontra Monsieur Willson, un ami de la famille. Elle l'appréciait beaucoup. Elle n'oublia pas de lui transmettre l'invitation de sa mère à passer à la maison dans l'après-midi. L'homme accepta en assurant qu'il serait présent. Ils se saluèrent et continuèrent leur route.

La journée continua tout à fait normalement. Maria commenca d'abord par faire sa promenade au parc, elle avait son banc attitré. Bien qu'il soit public c'était la seule à aller dessus. Il se situait au bord d'un point d'eau calme sur lequel les canards aimaient barboter. Au bout d'un moment elle décida d'aller faire une petite marche. Elle dûe sortir de la ville pour prendre un petit chemin qui longeait une vaste plaine. Ce chemin était entouré d'arbres qui laissaient passer quelques rayons du soleil par ci par là qui dessinaient des formes de lumière sur le sentier. Une fois que le soleil commençait à baisser Maria se dirigea vers sa maison pour rentrer. En s'approchant de sa maison elle vit beaucoup d'agitations. Elle ne comprenait pas pourquoi les gens étaient affolés et que certains parlaient tout bas quand il voyait Maria passer. Mais elle avançait sans faire bien attention. C'est quand elle arriva devant chez elle qu'elle comprit l'origine des agitations.

Les marines étaient sur place et avaient bloqués les accès à la maison. Des citadins s'étaient regroupés autour pour essayer d'appercevoir la raison de la présence de la marine. Maria hurla en poussant les gens qui étaient sur son chemin pour arriver jusqu'à sa maison. Un marine venait d'attraper Maria qui courait et la retenait. Malgré les gestes de la fillette pour se débattre le marine ne la lacha pas. Monsieur Willson venait d'apparaître. Il s'adressa au marine qui relâcha l'enfant sur le champ.
Maria qui était affolée demanda à Monsieur Willson se qui s'était passé. Ce dernier lui répondit que sa mère avait été assassinée. La petite qui ne comprit pas tout de suite ce que venait de dire l'homme le regarda longuement. Les yeux plongés dans un vide immense. Ils ne réagissaient plus pendant ce temps-là. Jusqu'à ce que des larmes de tristesse remplirent les yeux de Maria, qui coulèrent sur sa joue. La petite se jeta dans les bras de Monsieur Willson. Elle n'a jamais pu voir le corps de sa mère. Ces proches préféraient qu'elle ne le voit pas de peur d'être traumatisée par cette perte.

Chapitre II - La voix de la détresse

Monsieur Willson qui était un bon ami de sa mère prit la décision de recueillir Maria chez lui. Personne ne voyait de problèmes. C'était un homme bon et digne de confiance qui était très proche de la famille. Mais la mort de la mère de Maria changea l'enfant à jamais. Au début elle ne se faisait pas à l'idée que sa mère était morte. Elle pensait encore que sa mère rentrerait du marché le soir avec des pommes fraîches et juteuses comme elle le faisait souvent. Son attitude changea radicalement. Son comportement avait changé envers les gens. Elle ne saluait plus les gens qu'elle croisait. Monsieur Willson n'arrivait à lui faire reprendre raison et à la rassurer. Elle refusait toute discussion avec les gens et s'était créer un monde à elle. Il n'y avait qu'avec ses deux amis qu'elle parlait. Des enfants plutôt louche se disait Monsieur Willson. En effet ils n'étaient que de simples clochards et leur réputation de voleurs les suivaient. Monsieur Willson refusait que ces 2 hommes entrent chez lui. Maria obéissait avec mécontentement.

Un jour que Monsieur Willson était sortit pour une conférence Maria proposa à ses 2 amis de venir chez elle. Ils acceptèrent avec plaisir. Une fois rentrés ils étaient sous le choc du caractère luxueux des pièces. Ils n'auraient jamais imaginé entrer dans une maison pareille un jour. Ils admiraient les vases, les tableaux et le mobilier qui étaient admirablement nettoyés et tenus. Ça devait avoir une importance inestimable se dirent-ils. Maria ne voulait pas traîner en bas et invita ces deux amis à la suivre en haut. Ils acceptèrent par curiosité. Les 3 enfants montèrent à l'étage, Maria en tête. Elle était entrée dans sa chambre pensant que ses deux amis la suivraient mais ils trainaient encore dans le couloir. Elle les attendit quelques secondes mais quelque chose tomba par terre dans le couloir.

Elle sortit en hâte et vit qu'un de ses 2 amis avait fait tomber un vase posé sur une tablette. L'enfant qui avait fait tomber le vase s'excusa, même s'il n'avait pas l'air gêné, au contraire il paraissait insoucieux de sa bêtise. Maria lui répondit qu'il n'y avait rien de grave. L'autre enfant était au bout du couloir et avait ouvert une pièce que Maria avait interdiction d'approcher. C'était le bureau de Monsieur Willson et il y cachait des choses précieuses pour lui. Les 3 enfants entrèrent et constatèrent un bordel incroyable. Des papiers sur le bureau étaient empilés nimporte comment. Les bouquins sur les étagères n'étaient pas rangés. Des feuilles trainaient par terre. Les enfants qui étaient très curieux commencèrent à regarder les papiers. Ils en faisait tomber plus qu'il n'en regardaient. Maria alla voir la commode qui était pleine de papiers. Mais quand elle ouvrit le tiroir tout en bas. Il n'y avait qu'un dossier, dans lequel les feuilles étaient parfaitement rangées. Elle l'ouvrit et constata pleins de photos de sa mère. C'était étrange pour elle de trouver un dossier pareil. Elle passa les photos et tomba sur une pile de papiers en tout genre qui concernaient sa mère. Le plus dur pour elle fut de trouver l'article du décès de sa mère. Elle le lut et plus elle lisait plus les larmes coulaient. Elle apprit que sa mère avait été violé avant sa mort et que le criminel était toujours en fuite. Son nom était mentionné dans l'article: Bartone Carp. Elle fut interrompue par un de ses amis qui l'appela. Il venait de trouver quelque chose. Maria essuya ses larmes et rangea les papiers dans le dossier qu'elle replaça dans le tiroir en le refermant.

Elle s'approcha de ses amis et regarda ce qu'ils montraient. Il y avait sur le mur un avis de recherche accroché. L'homme qui était affiché était assez repoussant. Il avait de petits yeux noirs. Ses cheveux étaient aussi noirs et bouclés, courts. Son nez était assez gros. Il était mal rasé et sa bouche était toute abimée. La prime pour sa capture s'élevait seulement à 500 000 de Berry. Mais c'était son nom qui était encore plus choquant. C'était l'avis de recherche du fameux "Bartone Carp". Un des deux enfants demanda à Maria si elle le connaissait. Elle répondit que non. Entre temps Monsieur Willson était rentré sans que les enfants l'entendent et monta à l'étage. Quand il constata que la porte de son bureau était ouverte il entra. Il fut prit de colère en voyant que Maria avait ramené ses deux amis avec elle, ce qu'il avait formellement interdit. Cette dernière lui reprocha de ne jamais avoir dit tout ce qu'elle venait d'apprendre et se mit à pleurer, le coeur rempli de colère.

Maria fonça vers Monsieur Willson et le poussa pour qu'elle le laisse passer. Suivi de ses 2 amis qui ne comprenaient pas tout ils descendirent et sortirent de la maison. Maria ne revint plus jamais chez Willson. Elle venait d'avoir 16 ans. Elle ne tarda pas à se retrouver seule. Ses deux amis l'abandonnèrent maintenant qu'elle était à la rue et qu'elle n'avait plus de richesse. Elle fut obligée de faire la manche pour avoir de quoi manger. Beaucoup de gens l'avait reconnue. Malgré la saleté sur son visage et la fatigue elle gardait son visage angélique d'enfant. Mais les gens qui lui adressaient la parole autrefois faisaient mine de l'éviter.

Chapitre III - Renaissance

Les jours devenaient très difficiles pour Maria. La faim prenait le dessus sur son morale et le désespoir la saisissait. Elle avait beaucoup maigrie. Mais malgré la maigreur qui se montrait sur son visage, la fatigue et la tristesse, son visage gardait son air angélique qui avait fait son charme autrefois. Un jour qu'elle était allongée sur le trottoir recroquevillée sur elle même, un homme vint lui parler. Il était curieux de savoir ce qu'elle faisait là. La petite le rejeta au début puis répondit avec froideur aux questions que l'homme lui posait. Il lui proposa de le suivre pour venir boire quelque chose. Maria regarda l'homme et accepta. Elle se leva avec difficulté mais l'homme l'aida. L'homme avait un regard doux. Des lunettes en forme rectangulaire étaient posées sur son nez. Son sourire donnait une forme de sécurité et de protection aux gens autour. Il portait des affaires amples, sales au niveau des genoux et des coudes et ses cheveux étaient gris et très mal coiffés.

Ils marchèrent avec l'homme qui tenait Maria prêt d'elle pour la réchauffer. Une fois arrivé chez lui Maria constata que la maison n'était pas aussi luxueuse que celles qu'elle avait l'habitude de voir. Elle se composait de pièces simples avec le stricte minimum en mobilier mais quelques bibelots sur les commodes et les tables. Elle s'assit sur le canapé et attendit que l'homme revienne avec quelque chose à boire. Il revint avec une tasse dans laquelle il y avait du chocolat chaud. Maria attrapa la tasse et la bu. L'homme lui dit de se méfier de se brûler. Chose qui troubla Maria était que l'homme l'appelait par son nom. L'homme savait aussi beaucoup de choses sur elle comme ce qui était arrivé à sa mère, qu'elle avait été adoptée par Monsieur Willson. Maria commenca à devenir méfiante mais l'homme la rassura en lui disant qu'il ne la ramènerait pas chez son tuteur si elle n'en a pas envie. Il se présenta comme étant Franck. Il félicita Maria pour le courage qu'elle a eu de vivre dans cette situation. Maria lui répondit froidement qu'elle n'avait rien à dire. Franck était beaucoup amusé par son tempérament quelque peu explosif.

Le temps passa et Franck avait proposé à Maria de resté chez lui un moment pour renprendre des forces et se décidee à ce qu'elle fera plus tard. Maria appréciait la compagnie de Franck. Elle l'aidait beaucoup aux travaux manuels même si elle était maladroite. Elle se décourageait assez vite quand elle avait du mal à finir ce qu'elle commencait et ne supportait pas que Franck lui fasse la morale.

Les mois passaient et Maria commencait à être intriguée par un aspect de Franck qu'elle n'aurait jamais pu deviner. Ce dernier pratiquait des arts martiaux. Il n'était pas professeur mais avait été un très bon élève d'après ce qu'elle a apprit en lisant quelques documents ou livres qu'elle trouva en faisant sa petite recherche dans la maison. Franck l'avait remarqué et quand il lui demandait si elle voudrait essayer cet art elle se moqua en disant que c'était une perte de temps. Mais Franck voyait bien qu'elle avait l'air intéressé. Puis un jour il prit une décision.

Ils attendirent un moment quand quelqu'un frappa à la porte. Franck alla ouvrir et revint avec une amie à lui. C'était une experte en arts martiaux soit disant. Maria le voyait à son kimono. Franck annonca à Maria que la femme serait son maître durant une période indéterminée. Au début elle refusa mais à force de parler des bénéfices de cet entraînement Maria avoua enfin qu'elle était intéressée. Elle se fit donc entraîner très intensivement. Les débuts furent très durs. Maria se faisait mettre au tapis sans pitié par son maître. Elle n'aimait pas avoir mal alors elle se décourageait assez vite. Elle due reprendre confiance en elle et se focaliser sur quelque chose qu'elle n'aime pas pour subir au début lui avait dit son maître.

Un an et demi après le début de son entraînement, Maria avait bien développé ses capacités au combat. Franck était fière de ce qu'il avait fait pour Maria. Il savait qu'elle reprendrait confiance en elle, et surtout qu'elle pourrait se défendre seule et ne jamais abandonner. Mais le caractère de Maria ne s'améliora pas. Franck était très fier de ce qu'était devenu Maria. Il savait qu'il réussirait à amadouer ce coeur fragile et imprévisible. Maria le remercia pour ce qu'il avait fait pour elle et promit de ne jamais oublier. Elle qui était devenue fourbe au fond d'elle montra que ces paroles étaient sincères.

Maria salua Franck et partit, ne sachant vraiment où aller. Après quelques heures de marche, elle s'arrêta et se posa pour lire la lettre de Franck. Les informations contenues dedans n'étaient pas très précieuses pour Maria. Elle rappelait les conseils de son maître, qu'elle devait restée saine d'esprit et ne jamais se tourner vers la haine. Elle devait rester quelqu'un de bien. Les derniers mots de la lettre de Franck étaient innatendues pour Maria.

La vie est tellement courte. Les jours défilent comme une machine infernale.

Nous en sommes les engrenages. Tu dois faire de ton mieux pour ne pas gâcher ton existence, le bien de

la vie dépend avant tout de nos actes. Je sais que tu suivras une voix sage et noble.

J'aurais aimé te connaître un peu plus avant de te laisser partir.

Ton père qui t'aime

Chapitre IV - Prime et châtiment

Maria prit la route en n'oubliant jamais ce que son père avait fait pour elle. Elle aurait tellement préféré que son père lui avoue plus tôt qu'il était encore en vie. Ca lui aurait permit de profiter un peu plus de temps avec lui. Mais elle ne devait pas se retourner. Elle doit aller de l'avant. Si seulement sa mère pouvait voir ce qu'elle était devenue se dit-elle. Une larme coula le long de sa joue. Si elle n'avait pas été tuée par ce batard. Ce qui concentra ses pensées sur ce dernier. Ce que Franck lui avait interdit avait été franchi. Elle sentit une forte envie de vengeance monter en elle. Les pensées de Maria prirent le dessus et elle se mit en chasse.

Les recherches l'amenèrent dans un petit village pomé sur une île de South Blue. Elle fit ses recherches dans le village avec les informations qu'elle avait obtenue. Elle se renseigna auprès d'un homme qui lui indiqua la direction du lieu qu'elle voulait rejoindre. Maria avancait dans la direction que l'homme avait indiqué. En chemin les hommes se retournaient pour l'observer, leur compagne étaient jalouses de l'intérêt que leur homme portait à la jeune fille et les tirèrent par le bras, ce qui ne manqua pas de faire rire Maria. Elle trouva enfin Le champignon magique. C'était une petite auberge dont la majorité de la clientèle était composée de femmes. Maria se dit qu'elle ne pouvait pas rêver meilleur endroit pour attendre sa proie. Elle entra. La pièce était remplie pour la majorité de femmes, avec 2 ou 3 hommes qui étaient accompagnés de 3 ou 4 femmes chacun. Maria s'assit sur une table vide et commanda une choppe de bière. Elle était venue dans un but précis.

Un homme venait de faire irruption dans la pièce. Il salua d'une voix forte toutes les femmes présente. Il était plutôt repoussant avec ces petits yeux noirs et son gros nez. Ses cheveux étaient bouclé noirs et sales. Sa bouche ouverte laissait apparaître une dentition affreuse. Il manquait quelques dents et la gencive était pleine de calcaires et d'infections. C'était l'homme que Maria recherchait, c'était Bartone Carp. Bartone s'était dirigé vers une table et s'adressait à une femme qu'il approchait de très prêt. Il lui faisait des avances. Bartone venait de remarquer une autre de ces conquètes passées qu'il alla voir. Maria comprit que c'était un homme qui aimait avoir la femme qu'il voulait quand il voulait. Quand elle repensa qu'il avait violé et tué sa mère ca l'a mit dans tous ses états. Elle se leva et s'approcha de Bartone. En passant à côtés de lui elle le bouscula légèrement dans le but d'attirer son attention. Il s'était retourné pour voir qui l'avait poussé. Maria avancait dans l'autre direction et avait retourné la tête pour lui lancer un sourire. Elle faisait bouger ses fesses comme elle savait le faire pour l'appâter. Bartone suivit Maria qui se dirigeait vers les toilettes.

Avant d'entrer il l'a plaqua contre le mur et se colla à elle. Il aborda Maria directement. La femme ne pouvait tomber sur une meilleure situation. Elle accepta l'offre de l'homme. Bartone sauta sur l'occasion et agrippa le poignet de Maria en la tirant hors de l'auberge. Ils se dirigèrent vers l'hôtel dans lequel Bartone avait une chambre. Une fois dans la chambre, Maria approcha Bartone du lit et le poussa dessus. Une fois allongé elle se placa sur lui. Bartone qui ne pouvait résister commenca à lui caresser les fesses en remontant sa robe blanche. Il était dans tous ses états. Maria se déhanchait légèrement sur lui. Mais elle s'arrêta en lui rappelant le meurtre de sa mère. Bartone n'eut le temps de rien faire que Maria avait sortit un petit couteau de son décoleté qu'elle planta dans le cou de l'homme. Le sang giclait et l'homme placa une main sur son cou et poussa Maria de l'autre. Il se leva, fit quelques pas en titubant et tomba comme une pierre sur le sol. Maria lui lança une injure en signe de vengeance.

Elle se débarbouilla un peu et remit sa robe convenablement. Elle sortit de la chambre, la robe encore couverte de tâches de sang. En sortant elle se fit interpeler par des hommes de la marines. Un colonel se présentait devant elle. Il salua Maria et lui demanda de le suivre. Maria obéit et le suivi dans une pièce vide. Elle s'assit en face du colonel qui s'était assit avant elle. Ils étaient entourés par des marines, armes en main. Deux étaient positionnés à la porte, un derrière Maria, deux derrière le colonel. La porte se referma. Le colonel fit une chose qui étonna Maria. Il la félicita pour ce qu'elle venait de faire et lui offrit une place dans la marine en lui assurant que la décision qu'elle prendra n'empèchera pas qu'elle touche la prime mise sur la tête du criminel.

Chapitre V - A jamais saigné

La vie de marine n'était pas très glorieuse pour Maria. En effet l'entraînement parut assez facile pour elle. Son entraînement aux arts martiaux qu'elle a subit étant plus jeune lui a bien servit. L'entraînement de la marine n'était rien comparé à ce qu'elle a enduré. Pour cause, elle remporta l'examen haut la main. Elle avait été remarquée par un Sergent qui l'engagea directement sur son navire. A se demander si elle n'avait pas été engagée pour sa beauté que pour son talent. L'homme courtisait beaucoup cette femme. Mais Maria refusait chacune de ses avances. Il était bien sur très attirant mais pas assez intéressant pour elle. Il n'était pas assez influent. Le sergent se senti frustré par ce refut mais renonca à faire quoi que ce soit.

L'équipage n'osait pas trop lui parler. Elle devenait assez violente quand un homme ne cessait de lui adresser la parole pour raconter des âneries ou des propos ennuyeux. Lors des petits paris entre marines des combats de force se déroulaient sur le pont. Les hommes se présentaient torse nu, aucune arme sur eux et devaient mettre leur adversaire à terre. Maria refusait d'enlever ses vêtements mais participait de temps en temps. Au grand plaisir des parieurs qui n'hésitaient pas à miser gros sur elle. Elle remportait à presque tous les duels. Excepté un. Le sergent en avait souvent marre de son caractère et n'hésitait pas à la remettre clairement à sa place en la mettant à terre sans que la femme puisse riposter. Elle ne le supportait pas.

Un jour, le sergent recu un ordre de mission. Il annonca la mission à son équipage. Elle paraissait assez périlleuse. Un groupe de révolutionnaires avait prit en otage toute une ville et avait séquestré la base de la marine placée sur l'île. Le navire sur lequel était Maria était le plus prêt. Il avait donc pour mission d'aller en reconnaissance dans la ville pour maintenir cet incident en attendant que des forces marines plus importantes arrivent. Le navire fit cap sur l'île. Après une journée et demi de route les hommes appercurent l'île. La ville en question était en fait un port. A quelques mètres du port le bateau se faisait canarder par des projectiles venant des bâtiments. La réponse du sergent fut rapide. Il ordonna de détruire les bâtiments d'où venaient les tirs pour leur dégager le passage ce qui permettrait aux hommes d'accoster.

Les canons commencèrent à retentir. Ils percutèrent les maisons qui s'effondrèrent sous le choc. On appercevait des hommes armées et quelques canons de petits calibres tomber avec les éboulements. Le navire continuait à avancer vers le quai pour que les hommes puissent poser pied. Les tirs des révolutionnaires se firent de plus en plus violent. Les marines durent se protéger derrière ce qu'ils trouvaient. Ils ne pouvaient pas descendre du navire, bien qu'ils en avaient l'occasion maintenant. Ils ne pouvaient pas prendre le risque de se montrer à découvert. Le sergent ordonna à Maria de passer par la poupe et de sauter pour rejoindre les bâtiments en ruines dans le but de faire diversion. Elle savait pertinemment que c'était une simple vengeance mais elle devait obéir. Avec sa souplesse elle savait qu'elle pourrait être assez rapide pour éviter les balles.

Elle obéit et se précipita à l'arrière du navire pour se jeter sur le quai. Les révolutionnaires orientèrent leur tirs sur la femme qui se précipita derrière un ébouli d'un mur. Elle constata qu'elle était très bien placée et prit son fusil pour tirer un peu au dessus d'elle sur un révolutionnaire qui n'avait pas Maria en ligne de tir. Elle ne raffolait pas du fusil mais heureusement qu'elle avait ramenée ses deux machettes. Elle se jeta en arrière et s'engouffra dans les débris de maisons. Son but était d'arriver à porter des révolutionnaires pour les taillader de ses deux armes. Au bout d'un certain moment la marine put décharger son lot d'hommes qui étaient tous armés. Leur avancée se faisait doucement mais surement.

Maria continuait à passer de maison en maison pour éliminer tous rebelles qu'elle aurait l'occasion de croiser. Mais un appât plus intéressant se présenta. Le sergent avancait dans une ruelle qui avait été déblayée par les marines. Il gardait son arme en main mais ne la pointait pas en avant. C'était l'occasion rêvée pour Maria. La fenêtre d'où elle avait appercu le sergent était ouverte. Elle se placa juste à côté en se baissant pour ne pas être vue et attendit que le sergent passa à peu prêt au niveau de la fenêtre. Maria se jeta par l'ouverture en calculant bien sa trajectoire avant. Les deux étages à sauter ne lui faisaient pas peur. Elle atterrie juste à côté du sergent et tomba agenouillée. Un petit mouvement rotatif du corps en gardant un bras tendu lui permit de couper la main du sergent qui tenait l'arme. Il se retourna prit de douleur et en hurlant des injures. Maria arrivait à comprendre qu'elle serait mise à mort pour son acte, ce qui lui était égal.

Le sergent fuya mais Maria le rattrapa et lui taillada les jambes au niveau des tendons. L'homme tomba aussi violemment que si on lui avait aggripés les pieds pendant une course. Maria s'approcha et le regarda dans les yeux avant de l'achever en lui plantant ses deux machettes dans la poitrine. Elle se s'était aquitée de la dette qu'elle avait envers sa victime.

Rêve / But : Devenir la femme la plus riche et la plus puissante des mers.

POST RP:

Les coups de feux retentirent à travers le silence de la nuit. Les marines courraient dans les rues et se dirigeaient tous vers la même direction.

-Raahh... Mais ils ne vont jamais me lâcher.

Maria courrait en regardant derrière. Elle ne voyait pas ses poursuivants mais savait qu'ils étaient derrière à leur voix qui appelaient dans cette direction.

-Ca sert à rien de les fuir je me ferai avoir au bout d'un moment. Mais les affronter risque d'être dangereux pour moi. Ils sont trop nombreux. Et si je...

Les marines continuaient à courir. Ils recouvraient toutes les rues et se séparaient à chaque embranchement. Ils avaient pour ordre d'abattre à vue la fugitive Maria Liu. Deux marines courraient dans une ruelle plutot miteuses et passaient en dessous de gros tuyaux. A un passage sous deux gros tuyaux, l'un des deux se fit agriper et passa par dessus les tuyaux en poussant un cri de stupeur. Puis le marine encore à terre reconnu comme un étranglement. Le cadavre de son compagnon lui tomba dessus.

-Où es-tu maudite femme?

Il pointait son arme en l'air en observant le moindre mouvement.

-C'est moi que tu cherches?

Elle s'était glissée dans le dos du marine par il ne sait quel moyen. Il avait l'une des machettes sous la gorge tandis que l'autre était contre son dos et il sentait bien la pointe appuyer sur sa peau.

-Ca fait quoi de se sentir impuissant? Tu ne peux plus bouger et si tu bouges l'une de mes armes te tranche.

-On t'aura sois en sûre. Le cri de l'homme que tu viens de tuer à du attirer les marines à proximité, ils ne mettront pas longtemps à arriver.

-Je l'espère, car il y aura du ménage à faire ici.

Et d'un coup sec elle reserra son étreinte pour enfoncer les deux machettes dans les parties du corps menacées du marine. En effet les renforts ne tarderaient pas à arriver. Elle entendait des bruits de pas des deux côtés de la ruelle. Elle s'engouffra entre les tuyaux et sauta de l'un à l'autre en étant le plus discrète possible. Une dizaine de marines s'étaient précipités sur place pour voir d'où venaient les cris.

-C'est trop peu, il en reste plein encore dans les ruelles. Ca va pas être facile de me déplacer. Et il y en a surement dans les toits. Pourquoi tant de mobilisations simplement pour moi...

Les recherches continuèrent toute la nuit. Maria avait raison, des marines étaient placés sur les toits, mais l'effectif était très faible. Un marine se placait sur certains toits, occasionnelement deux. Leur but devait être de surveiller les lieux et avertir les alentours s'ils repèrent Maria. Ils étaient tous à distance suffisante pour se surveiller entre eux et couvrir un bon périmètre de vigilance. Il était impossible à Maria de se débarasser d'un sans que les autres l'apprennent et alertes les environs.

Elle se résolut à se cacher pour la nuit. Elle fouilla dans les environs de son emplacement car elle ne pouvait pas se promener à sa guise. Le plus astucieux serait de faire marche arrière en revenant dans les ruelles dans lesquelles les marines ont déja cherchés. Elle n'eut pas à chercher longtemps. Elle trouva derrière une poubelle un petit trou qui lui permettait de s'engouffrer dans une maison. Elle prit bien soin de coller la poubelle au mur après son passage pour pas que les marines n'appercoivent le trou. Il faisait noir dans la pièce. Maria ne savait où elle était. Elle fit quelques pas méfiants en tendant bien les bras devant elle pour anticiper tout obstacle. Mais elle trébucha sur quelque chose qui lui fit faire une plus grande enjambée,ce qui la jeta directement dans un trou au sol.

Elle atterit dans de l'eau. L'odeur était infecte. Elle constata qu'elle était dans des égoûts. Il y avait quelques torches accrochées aux parois qui éclairaient faiblement le lieu. L'inquiètude de Maria s'intensifia quand elle entendit un bruit dans l'obscurité. Ca ressemblait fortement à des bruits de pas. Maria se leva brusquement et sortit ses deux machettes en se mettant en position défensive.

-Salut, tu es qui?

Un enfant venait d'apparaître dans l'obscurité. Il portait un bonnet gris qui arrivait juste au dessus de ses yeux. Derrière sa tête, on appercevait des cheveux longs, de couleur marrons et très mal coiffés. Le petit portait des affaire très sales qui paraissaient trop petites pour lui.

-Un gamin? T'es qui? Et on est où?

-Je m'appelle Izacc et on est dans les égoûts de la ville. Ne t'inquiète pas personne ne vient jamais ici ils sont abandonnés. Viens on est pas à l'aise ici.

Maria suivit l'enfant sans trop savoir où elle va. Il n'avait pas l'air très dangereux. Au contraire Maria le trouvait sympatique. Il était marrant et nétait pas aggressif. Après quelques passages dans des tunnels un peu plus étroits puis plus grand, Maria et Izacc arrivèrent dans une pièce qui servait d'énorme carrefour. Il y avait bien une quinzaine de tunnels qui débouchaient dans cette piece. La pièce était aménagée d'un canapé ouvert de partout, il y avait des tas de vêtements entassés sur un muret qui devaient servir de lit.

-Je suis rentré maman, j'ai ramené quelqu'un.

Izacc se dirigeait vers un angle de la pièce qui n'était pas visible d'ici. Maria le suiva et arriva en face d'une femme. Elle avait l'air très fatiguée. Elle portait un drap par dessus elle qu'elle serrait fortement contre elle. On ne distinguait que son visage. Elle restait assise en regardant Maria.

-Bonjour jeune femme. Que nous vaux ta visite?

-Hey bien je n'avais pas prévue d'atterir ici en fait. J'étais poursuivie par des marines et je me suis retrouvée ici.

-Ah la marine, c'est bien facheux. Ils causent souvent des ennuis aux gens qui n'en méritent pas.

-Les pirates battront les marines. Ce sont les meilleurs. Ya pas plus fort qu'eux dans le monde.

-Ahlala... belle jeunesse, pleine de rêve.

Maria eut un sourire du coin de la bouche. Mais ce moment fut interrompue par des voix qui retentissaient à travers les égoûts. Maria eut juste le temps de se cacher quand 3 marines arrivèrent. Izacc et sa mère n'eurent pas le temps de fuir, la femme était trop faible pour se déplacer. Izacc protégeait sa mère derrière lui bien qu'il ne puisse rien faire.

-Vous êtes encore là vous deux? On vous à dit de ficher le camp. C'était votre troisième avertissement vous auriez du partir il y a 5 jours.

-Ma maman n'est pas en forme. Laissez-nous tranquille on ne dérange personne.

-Je ne veux pas savoir ce qu'elle a. Beaucoup de gens se plaignent de certains vols. Et vous êtes les principaux suspects. Je ne vous demanderais pas de les restituer mais de quitter les lieux.

-Non, maman est malade elle ne peut pas se déplacer.

-Alors soit.

Le marine commenca à pointer son arme et redemanda à la femme et l'enfant de partir. Maria qui avait observée la scène depuis sa cachette n'en pouvait plus. Chaque homme innocent est libre de vivre. Un simple vol ne doit pas être une cause pour décider qui doit vivre ou mourir. D'un geste elle sortit de sa cachette en se jetant sur les marines. Elle voulait à tout prix empêcher ces hommes de faire mal à Izacc et à sa mère. Les hommes l'appercurent et les deux autres marines sortirent leurs armes. Maria avait anticipé leur mouvement et avait changé sa trajectoire pour passer derrière un pilier au moment ou ils tirèrent. Elle avait toute la facilité voulue pour arriver jusqu'à eux sans que ces agresseurs ne puissent la toucher. Elle trancha les marines à la poitrine et les fit tomber à terre.

-Ne vous inquiètez pas je les sortirait dehors pour que vous ne soyez jamais accusés.

-Wouah, tu es trop forte! Tu es qui?

Après un moment de réflexion, Maria répondit:

-Je suis une pirate.

Validée !! ^^

Comme Antharia.

Je Valide également =)

J'ai terminé de modifier ce que l'on m'a demandé.

J'espère que ça sera satisfaisant.

Yep, c'est bon pour moi =)

Pour moi aussi, t'as le fruit.