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| Sujet: Isaac Gainsborough, excentricité narcissique même Sam 3 Oct 2009 - 14:49 | |
| Prénom: CorentinAge: 15 ansSexe: MasculinComment avez vous connu le forum? Par simple recherche sur Google.Combien d'heures vous vous connectez par jour? Difficile à dire, ça dépend de l'ambiance globale du forum et des intrigues, de l'implication des admins et des modos, des RPlayeurs eux-mêmes. Avant c'était trois heures par jour pour un forum que j'appréciais, mais mon passage en seconde à réduit le temps de visite, maintenant, je me connecte une heure tous les deux jours ...Tes Mangas préférés: One Piece, 20th Century Boys et Final Fantasy Unlimited (=Anime)Ton pirate préféré dans one piece : Arf', Sanji ou Chopper ... Dilemme. Hobbies: La lecture, One Piece, le RP et les sorties (pas très fréquentes c'est vrai).Autre: Herm, rien à dire, mais si cette zone doit accueillir un code du règlement, sachez que je le lis toujours en parallèle à la création de ma fiche. J'éditerai si nécessaire, sinon, on me traitera de paranoïaque u_u. Une petite note vite fait, si vous jugez la quantité aussi importante que la qualité, je peux étoffer le tout, il suffit de demander. Aussi j'accepte toute remarque, tant qu'elle est construite avec franchise. Je déteste les sous-entendus x).Nom & Prénom : Gainsborough IsaacPseudonyme : On l'appelle simplement par son prénom et son nom, précédés de son grade. Age : 29 ansRace : HumainOccupation : MarineRang Spécial : Pas de rang spécial, mais signalons qu'il est tout de même "mauvais" (enfin, égoïste sadique et mégalomane, rien que ça).Métier : / Physique : Isaac est certainement le plus énigmatique de tous les Colonels de la Marine, ou du moins le plus singulier, et cela ne s’exprime pas uniquement par son passé que beaucoup pourraient ignorer. Non, n’importe qui aurait pu partager cet avis, notamment à cause de son apparence excentrique. Et encore, ce n’est là qu’un bien petit mot. Sa singularité en a choqué plus d’un, notamment accentuée par la teinte flamboyante de sa crinière mi-longue, contrastée avec son corps à demi dénudé, preuve de son torse exsangue, taraudé par les nombreux tatouages qui le recouvrent et l’obscurcissent, tels une image métaphorique de son caractère global. Sa musculature peu apparente n’est que trop cachée par une aura mystique qui l’entoure, plus communément appelée « charisme ». Son allure de prêtre funèbre ou de prophète morbide lui procure cette dose de respect qu’il a toujours exigée de la part des autres, en guise de monnaie distribuée devant sa puissance qu’il juge totale. Ses yeux perçants comme ceux des rapaces nocturnes, sont d’un gris clair profond et enivrant. Pour ce qui concerne son accoutrement, il n’est que de cuir brut ou tanné, noir et lisse pour son pantalon serré qui lui accorde de meilleurs mouvements (plus gracieux : pour lui, la grâce et la symétrie sont les maîtres mots et les essences mêmes d’un monde), plus sauvage au niveau de ses bottes, sans coloris précis, elles aussi très ras-au-corps. Le charme de l’individu réside surtout, vous l’aurez compris, dans l’androgynie et le contraste lumière - ténèbre. Deux facettes stylistiques, pour une double personnalité. Caractère : Aucune métaphore ne pourrait aider, soit à comprendre, soit à masquer la personnalité très dispersées d’Isaac. Le Colonel Narcissique, au moins un surnom, peu recherché certes, mais que certains lui auront donné avec beaucoup de réflexion, ou bien avec énormément d’évidence. Ou les deux. En effet, l’amour propre du justicier est incommensurable, au point que cela pourrait même en choquer les dieux, offensés par si peu de considération à leur égard. Oui, le guerrier n’a pour guides que son cœur et son âme, chacun ayant pris une grande place dans sa vie au point de la régir en intégralité. Parfois mégalomane et égoïste, qui combinés conduisent à l’insouciance d’autrui et à la destruction, il n’en a, la plupart du temps, pas l’air conscient. Parfois, sa folie le conduirait même à ne pas se soucier du véritable but de sa mission Ces dangers qu’il crée les uns après les autres ne l’inquiètent pas plus que le cadavre qui macule de son sang la lame de sa lance. Tant que la mission est remplie, alors que l’ennemi est anéanti, tout va bien, non pas dans le meilleur des mondes car il restera toujours des pirates à traquer ou à corrompre … De plus, Isaac ne se fie qu’à son intelligence qu’il croit supérieure, son existence qu’il juge différente d’un individu lambda, mais parfois, il se peut qu’il s’associe à d’autres personnes dont le but est commun au sien. Mais ces dernières sont très rares, car Isaac lui rêve d’un monde utopique, sans piraterie, mais avec des desseins plus sombres, des désirs de conquête, de gravir les échelons de la hiérarchie un par un. Peut-être ne se fie-t-il à d'autres personnes uniquement dans le but de les manipuler? Hypothèse plus crédible que celle le décrivant comme à la recherche de compagnons de jeu. Ambitieux et assuré, il a tout pour réussir, se dit-il, mais trop de confiance tue la raison n’est-ce pas? Et çà, Isaac n’est pas raisonnable. Mais tous ses rêves ne sont bien sûr que des rêves, et cet onirisme ne mettra que trop de temps à se répandre à travers les autres esprits pour qu’Isaac passe à l’acte trop rapidement. Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage dirait un humain, Isaac, lui, possède les trois, et compte bien s’en servir à des fins qui lui conviendront bien plus qu’un simple proverbe aux vertus philosophiques …
Fruit du Démon : Vous pourrez alors en choisir un dans la liste. Vous pouvez aussi en inventer un.
Techniques Spéciales : A venir
Histoire : Il y a bien longtemps qu’Isaac désire conquérir tous ceux qui l’ont fait souffrir, plus encore, depuis sa naissance, il n’avait pas vraiment vécu de moments conviviaux avec sa famille assez peu fière de leur progéniture. Ils répugnaient l’appeler « fils », c’était un effort titanesque. Pourquoi, me demanderez-vous? Certainement à cause du destin, un destin funeste qui lui réservait depuis longtemps un triste sort en son aboutissement. Jeune, il baigna ses dix premières années d’existences dans la déchéance et la désolation. Son père, célèbre gangster reconnu pour son statut de chasseur de primes (qui n’était bien entendu qu’une couverture), était alcoolique mais ne battait pas l’enfant à qui il avait promis la fortune amassée par ses délits jusqu’à présent. A son tour, Isaac deviendrait vagabond et tuerait pour sa survie, pour échapper aux griffes des concurrents, pour voler le pain des étrangers, qu’il assassinerait certainement ensuite. Le monde était si petit aux yeux du père qu’il pensait qu’un monde dépourvu de trace humaine laverait les péchés commis face au Seigneur. Pieux, grand croyant, il jugeait l’autorité divine toute puissante, extrême, au-dessus de toute raison vivante matérielle. L’immatérialité à ses yeux prenait des allures spirituelles inégalable par l’Homme. C’était pour cela que Clyde, c’était son nom, vivait cette existence médiocre, pour sacrifier son bonheur au profit de Dieu et narguer les hommes en leur faisant comprendre qu’ils n’étaient que des marionnettes auxquelles les fils seraient coupés les uns après les autres, qui viendraient s‘écraser contre le sol de la rédemption. Avant même de mourir, ils étaient déjà tous pendus.
La mère, Bonnie, ne vouait aucun culte à la religion, ce qui occasionnait bien des disputes conjugales avec son mari Clyde, desquelles était témoin leur fils Isaac. La jeune femme préférait ne se fier qu’à son instinct, ses yeux bleus et sa longue chevelure blonde inspirant la pureté d’un monde qu’elle voulait meilleur. Seulement, elle pensait qu’on pouvait idéaliser les océans et les continents sans pour autant les laver de l’espèce dominatrice. Après tout, même le monde devait avoir un chef, quelqu’un devait le gouverner. Pour elle, l’Homme régissait tout, il prenait ce qui lui avait toujours été dû, sans aucun détour du mérite raisonnable. D’après elle, les entités spirituelles étaient inexistantes, une Saint Thomas pour qui seuls les sens humains pouvaient prouver la véracité d’un fait. L’idée d’être gouvernée par un Dieu lui était absurde. Elle aussi vivait dans le monde criminel, mais elle ne tuait pas, elle arnaquait, pour subvenir aux besoins de son enfant. Elle avait intégré les tentacules du monde du commerce et avait été reconnue comme escroc depuis longtemps, comme l’une des plus grandes. Pourtant, il lui restait des clients, beaucoup de clients, qui ne pouvaient lui donner une bonne condition de vie malgré leur acharnement …
Isaac a vécu tout ça, et s’en est inspiré, comme tous les enfants, pour se modeler sa propre personnalité. Il ne respectait qu’un être, mais un être matériel : lui. De là naquit un narcissisme exceptionnel, d’un degré si élevé qu’il en aurait choqué les dieux. Son père, offensé par l’attitude blasphématoire de son fils, le rejeta alors, épaulé par sa mère qui n’aimait pas cet amour propre qu’elle ne retrouvait qu’en celle qu’elle avait procréé, et pas en elle. Ce manque de confiance en elle lui manquait …
Isaac intégra dès l’adolescence une école de droit. Là, il apprit ce qu’était la justice, la vraie, celle de ses parents n’étant qu’un point de vue qu’on lui avait inculqué durant dix longues années. Là, il comprit qu’il fallait qu’il les arrête. Mais c’étaient ses parents, et en serait-il capable? Il atteignit le grade de simple soldat, captura quelques pirates et gravit les échelons un à un : Au bout de quelques années d’efforts intensifs, il se retrouva Colonel de la Marine. Mais rien d’autre que la Justice ne lui importait désormais, et le jour où ses supérieurs lui ordonnèrent de tuer Bonnie & Clyde Gainsborough, l’hésitation ne s’étendit que sur quelques minutes. Il se rendit au repère caché près duquel il avait passé dix ans de sa vie, et assassina de sang-froid son père, puis captura sa mère qu’il livra à la Marine, le tout après avoir sauvgement réprimandé par la peine capitale tous ceux qui désiraient entraver son pouvoir qu'il voyait entier. Bonnie écopa de trente ans de prison, même si le Gouvernement n‘avait pas encore décidé du lieu où elle serait emprisonnée. Peu importe, qu’elle soit à Impel Down ou ailleurs, c’était égal à son fils. Ce n’était plus sa mère, elle s’était mêlée aux autres criminels, rien de plus. Enfin, cette capture lui valut des remerciements clamés haut et fort, en plus d'une renommée croissante sur les mers du globe. Là, une nouvelle vie commençait, désir de conquête toujours plus puissant en main, il avançait vers la gloire, la gloire de Dieu : Lui.
Rêve / But : Conquérir et prouver sa valeur par tous les moyens, avant tout par la Justice qui doit être rendue.
Post RP : Au milieu de l’immensité bleutée, le Rose Of May voguait sur les houles et fendait les vagues une à une, comme agité d’une haine destructrice soulagée contre l’eau qui n’osait y répondre. Peur? Il y avait de quoi. A bord de ce bateau, le Vice-Amiral Isaac scrutait les horizons à la recherche de la terre ferme, non pas pour sa ravitailler sur le premier continent venu. Il voulait atteindre un endroit en particulier, une personne précise. Deux pour être encore plus direct. Son désir de vengeance envers l’homme qu’il recherchait depuis maintenant une semaine allait enfin être exaucé, aujourd’hui, sous le ciel étoilé, chassé par la pointe de l’aube d’un jour nouveau que l’on appelle lendemain. Esseulé sur son vaisseau, certains matelots l’avaient accompagné, tels les pirates bordant leur capitaine au péril de leur vie. Le soleil pointait à peine ses premiers rayons qu’Isaac profitait déjà amplement des ressources physiques de ses marins. Le navire accosterait bientôt, du moins ce n’était rien comparé à tout ce qu’ils avaient traversé : conflits avec de gigantesques cétacés, explorations d’îles mystérieuses en quête de vivres, découvertes de civilisations fascinantes, pour la plupart simplement constituées de faune alors rayée de la carte. Isaac n’avait pas aimé la tortue géante qui avait voulu lui barrer la route pour retourner à bord du Rose Of May : On ne combat pas avant d’avoir jaugé l’un des plus grands guerriers, surtout des plus charismatiques, voyons. Il lui avait juste appris comment elle avait su mettre en toute disgrâce un terme à sa courte vie. Le jeune rouquin avançait sur le pont, tournait sur celui-ci, répétait incessamment les mêmes gestes et parfois les mêmes paroles, considérant ses subordonnés comme des bêtes. La vigie avait été insultée d’innombrables fois depuis le début du trajet, sans parler des moussaillons : « Ce bateau ne reluit pas de toute ma beauté, frottez feignasses ! » avait lancé le capitaine à l’attention de ceux qui trimaient déjà jour et nuit sans salaire à la clé. Ou du moins, pour pas beaucoup d’argent. Isaac avait préféré oublier la galère que ce statut de simple Matelot représentait avant de gravir les échelons de la gloire. Il était maintenant Colonel et ne manquait pas de s’en vanter, avec subtilité du moins, car tout éloge envers soi-même ne valait grand peine s’il était fait sans mérite. Et puis, les autres ne valaient même pas les peines d’entendre les compliments qui étaient dus au rouquin. Le narcissisme, quel étrange sentiment. Isaac tournait toujours sur le pont quand il décida enfin d’avancer vers la proue et d’en gravir les marches. Il observa quelques instants les marées, puis alla s’enfermer dans la cabine, claquant violemment la porte de chêne en lançant un dernier :
-Si jamais je reviens et que rien n’est prêt pour mon formidable débarquement, Baker arrachera la tête du premier à s’excuser !
Sur les murs de la cabine du capitaine couraient d’incroyables gravures et tribaux obscurs, sur un ton de fond rosâtre, couvert par de nombreux portraits illustrant les formidables victoires d’Isaac et de sa flotte de la Marine, comme des fabuleux voyages du Rose Of May durant lesquels terreurs, mort et destruction furent semés au beau milieu des rangs ennemis. Il était temps pour le capitaine de se reposer, le trajet avait été long et éprouvant. De plus, il fallait qu’il réfléchisse à la manière de tuer ses parents : Souffrir ou mourir en toute discrétion? Détruirait-il le village qui avait hébergé sa famille durant tout ce temps? Pourrait-il les accuser de complicité? Il n’en voyait pas l’utilité, mais percevait de l’amusement dans cette idée. Il relâcherait certainement toute sa haine dans quelques heures.
Le bateau mouillait maintenant dans le port de la petite île de Westblue. Isaac descendit du Rose Of May, d’un pas décidé et déterminé, comme guidé par une force qui n’était pas la sienne. S’était-il laissé emporter par ce désir de vengeance? Ce désir de conquête et de rétablir la justice suprême? Peut-être, le plus important n’était pas son état de toute manière, c’était la vie des autres, avant que celle-ci ne soit anéantie. Rien n’était plus excitant que de tuer les criminels qui ne méritaient que cette unique sentence de mort, le droit de vie ou de mort sur une personne accentuait le désir de puissance d’Isaac, cette dépendance à l’effort qui l’avait tant glorifié depuis son entrée dans le Gouvernement Mondial en tant que moussaillon. Il revenait maintenant sur cette île, son île, là où il prouverait son charisme et l’étendue de sa puissance.
-Que puis-je faire pour vous, messieurs gouvernementaux?
Baker taillada violemment, avec sang-froid, le torse de l’innocent individu. Isaac n’aimait pas descendre de son navire avec impérialisme alors qu’un bouffon venait perturber ce délicieux moment. Dans ces cas-là, il s’énervait vite, très vite, et là, ses parents délinquants l’attendaient plus loin. Raison de plus pour laisser s’écouler sa haine sur les habitations de ce refuge de hors-la-loi. D’un geste nonchalant, comme inspiré par une profonde nostalgie, peut-être l’opposé du mal du pays, il leva la main puis la baissa vivement. Sur un ton monotone et impassible, sans pour autant en oublier l’autorité d’un Colonel déterminé, Isaac laissa s’échapper ces mots, à la fin desquels la colère prit tout de même le dessus sur l’inflexibilité du guerrier:
-Trouvez-moi Bonnie et Clyde Gainsborough. Tuez tous les criminels ou innocents qui tenteront de vous en empêcher. Après tout, s’ils sont contre la décision de la justice d’Isaac, ils ne peuvent plus se vanter d’être l’innocence même.
Sur ces mots, les matelots, fusil au poing, partirent au cœur de la ville, à la recherche de potentiels criminels. Isaac voulait les voir brûler, les voir souffrir, comme ils l’avaient fait souffrir autrefois. Ils l’avaient jeté au dehors de sa maison, écarté de toute tendresse, l’avaient condamné à vivre dans la solitude, l’amertume et à côté de tout ce dont un enfant avait toujours eu besoin. Il savait bien que ce couple paierait un jour. Quand il les aurait trouvés, il déciderait de ce qu’il ferait d’eux. Mais tout restait ennuyant : Peut-être aurait-il dû demander à ce qu’on brûle quelques foyers pour semer la panique? Après tout, la justice est immaculée …
A ses yeux, rien n'était plus beau qu'une éternelle vague de destruction, et voir les hommes souffrir sous ses yeux était un plaisir indicible. Cet impossible description ne faisait que renforcer l'importance de cet acte meurtrier, ce gigantesque génocide. Les flammes ne se répandaient pas sur les chaumières, et c'était bien dommage, même si les coups de feu retentissaient déjà, en harmonie avec les cris des centenaires, les couinements des enfants ... Etait-ce là la véritable justice? Au pire, son statut lui permettait d'inscrire dans son rapport une mutinerie des habitants, qui serait à l'origine de ce massacre. L'impunité d'Isaac était quasi-totale. Sa puissance, en accord avec elle, atteindrait bientôt les sommets. Des sommets qui étaient dignes de lui, qu'il méritait. N'était-il pas près à acquérir assez de puissance pour conquérir ce qui lui revenait de droit? C'était un cercle vicieux, il devenait puissant pour acquérir la puissance. C'était une idée idiote pour n'importe qui, pourtant, c'était le but d'Isaac, ce qui l'incitait à se lever chaque matin. Pour lui, rien n'était plus important que de prouver ce qu'il savait réellement faire, dépasser ses limites, comme celles de l'entendement. Subitement, il empoigna plus fermement Baker dans sa main droite, le bâton remontant jusqu'à son épaule, jusqu'au dessus et atteignait la hauteur de sa tête. Sa chevelure rousse lisse voletait sous l'influence de l'air, son pas lourd résonnait sur les pavés et tranchaient les hurlements lointains. Il avançait au coeur du conflit, il trouverait ses parents au milieu de la panique générale. Il vengerait, il vaincrait, ce qu'il avait toujours voulu faire. |
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