One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| Ridcull, vieux con | |
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Ridcull Conseil 5 étoiles
Nombre de messages : 104 Age : 35
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 11:30 | |
| Ridcull Un gramme de Connerie, Une larme d'intelligence, Le reste de Mauvaise foi.
• HRP • - Prénom: /
- Age: 20 ans
- Sexe: Mou
- Comment avez vous connu le forum? Je m'etais inscrit sur l'ancienne version, sans vraiment y Rp.
- Combien d'heures vous vous connectez par jour? alors là, c'est vraiment variable
- Tes Mangas préférés: Gits, One piece. Pour le coup, je suis dans ma periode BD occidentales et Comics.
- Ton pirate préféré dans one piece : Barbe Noir, le gros plein d'rhum
- Hobbys: JdR, Warhammer 40k, lecture, ecouter France inter, Cinema
- Autre: j'ai crus voir qu'un certain T. Pratchett se balade sur le forum. J'espere qu'il apprécie la combinaison de ses deux plus fameux personnages que sont Alberto Malik et Mustrum Ridcul. (blague à part)
• Rôle Play •
- Nom & Prenom :H.C. Ridcull
- Pseudonyme : Sans trop d'originalité, les gens l'appellent "le vieux con".
- Age : 78 ans
- Race : Humain
- Occupation : Gouvernement
- Rang Spécial : Membre des 5 étoiles ou à la rigueur, fonctionnaire de maria joa
- Rêve / But : Aucun
- Fruit du Démon :
Era Era le fruit du crayon de bois (paramecia)
Pourquoi crayon de bois ? je pense a ces crayons pourvus au bout d'une petite gomme. Alors sur un Ridcull, sa donne quoi ? Quand Ridcull frotte quelque chose, la chose en question disparait peut a peut, laissant derriere force de petits bouts de gomme comme on en trouve tant entre les pages de nos cahiers de dessin. L'objet en question peut etre effacé integralement ou non, selon le (bon) plaisir de notre ami Ridcull. Le sujet peut egalement etre humain. En ce cas, et s'il se fait partielement gommer (disons les mains), il ne subit aucun autre dommage que l'absence des dits membres ainsi retirés (concretement : toujours dans le meme cas, Ridcull se met a frotter les mains d'un gus, celles ci disparaissent alors en laissant aux avant bras une moignon sans dommages, comme si le gus n'avait jamais ete pourvu de la partie qui lui avait ete retirée, sans subire les dommages que reclamment en general la separation des mains du reste du corps (c'est a dire flot de sang et douleur entre autre). Tu l'aura compris, les utilisateurs de logias n'y couperont pas. Les trucs (appelons les comme ca) ainsi gommés sont alors renvoyés a une sorte de banque de donnée. Ridcull peut alors les faire reapparaitre avec toutes les caracteristiques qui leur etaient propres leur de leur disparition (dans le cas d'une balle de pistolet effacée alors qu'elle foncait sur ridcull, elle reapparaitra poussée par la meme vitesse qui lui etait devolu lors de sa disparition) Toujours dans le cas d'un humain, celui ci reapparaitra en vie, le gommage n'ayant pas alterné son etat de santé en rien.
- Physique :
Physiquement, Hidao est un petit vieux voûté. Il est en fait grand et en bonne santé mais marche courbé. C'est un homme noueux, qui se déplace tout bonnement comme la troisième illustration du diagramme de l'évolution humaine. Il a le nez rouge qui coule tellement que ses interlocuteurs se mouchent par sympathie. A ce sujet, le nez de Ridcull pourrait, sans trop forcer, faire pâlir De Bergerac de jalousie. Mais notre gugusse tient très fort a son nez, y voyant sa marque de fabrique (aucune chance que quiconque soit affabulé d’un truc pareil) et son signe de virilité (a l’instar de l’un des personnage de Gogol dans ses « nouvelles petersbourgeoises »). Il est impossible de distinguer à l’œil nu si les yeux de Ridcull sont creusés encore plus profondément que sa bouche ou si tout cela n’est que le résultat d’un étrange effet d’optique due aux poches disproportionnées qui se traînent en dessous. En faisant une pause à cet endroit précis du visage, et après minutieux examen du compère, on remarquera à grand coups de « Holala » ou autres « Mon Dieu ! » que les rides parsemant le visage de Ridcull sont assez profonde pour, disons, y enfoncer une phalange ou deux de votre index (expérience que je ne vous conseil pas du tout, a moins d’apprécier particulièrement la sensation de se faire aspirer le doigt par un poulpe ou tout autre truc, disons, mou et bloblotant) Ridcull est indéniablement passé maître dans l'art de dire "merde" d'un simple coup d'oeil en biais. Il est habillé, à peut de choses près comme le majordome typique (du genre, qui regarde par les trous de la serrure et qui tape de temps en temps dans la réserve de Long John de son maître, ‘juste pour goûter’). Chemise à plastron grasse et vieillissante, petit gilet par-dessus le tout, pantalon assortit et vieux sabots, illustration même du terme clopiner, telle est les garde robe de Ridcull, le tout en 5 exemplaires (plus un de Noël, référence a l’avatar) Le vieux se trimballe toujours une arbalette à la main, même lorsqu'il ne compte pas s'en servir (ce qui est franchement rare); simple précaution prétend-il. Quand il ne l’accroche pas à l’arrière de son pantalon, il se la carre sous le bras. A coté (ou au dessus plutôt) de tout ça, on trouvera sans surprise l’objet illustrant avec le plus de justesse le concept de 3ème âge qu’est la paire de lunette demi-lune. A ce point là, tout le monde aura sans doute compris que Ridcull nourrit les préjugés comme, disons, une de nos jambe peut à la rigueur nourrir un requin : de façon conflictuelle. Mais comment pourrions nous finir cet inventaire Ridculléen (on notera au passage que seuls les personnages hauts en couleurs peuvent se tanner d’être l’objet d’adjectifs) autrement qu’avec la cigarette. Métaphoriquement parlant, Ridcull et la cancerette, sortent du même moule. Ce n’est qu’à la distribution qu’il advient de les dissocier car (fort heureusement) Ridcull, lui, n’est pas délivré en paquet de vingt. L’objet, donc, toujours plantée entre les deux lèvres sèches du vieux gus, ne le quitte jamais, en ceci qu’une fois consumée, elle sera immanquablement remplacée par une de ses pairs. A noter que Ridcull fume du tabac à rouler qu’on aurait put comparer aux Gitanes Maïs si seulement sa couleurs n’était pas verte. Sa cuisine prouve qu’il n’est pas obnubilé par son taux de cholestérol, et pourtant … Ridcull est maigre, un état quasi-squelettique en somme. Et ce qui reste du corps est, suppose on, composé de graisse dans sa grande majorité. Le sang, bien que parcourant des veines obstruées, est tellement gras qu’il glisse contre les parois avec bien plus de vivacité qu’il ne le devrait, offrant aux contemporains un Ridcull surexcité. La régulation cardiaque du gus n’ayant de régulatrice que le nom, laissait le soin a Ridcull de pomper du sang aussi vite qu’il le veut. La marche saccadée du vieillard se fluidifie au contact (entendons, contact avec la gorge) de l’alcool. Passé un certain taux d’alcoolémie dans le sang, on jurerait même qu’il lui est poussé une seconde articulation au niveau du tibia. Ayant compris assez vite qu’il lui était plus agréable de se balader ainsi (c'est-à-dire avec un foi gorgé de rhum), Ridcull ne mit pas longtemps à s’habituer à cette condition si bien qu’au final, il apprit à marcher bien plus droit et sûrement sous l’emprise de l’alcool que sous celle du jus de fruit. Passé 3 années d’apprentissage, il avait mis au point l’ordre de marche qui lui convenait le mieux une fois ivre : Droite-gauche-gauche-doite. Cette démarche sautillante et pleine d’entrain en a surprit plus d’un, mais les habitants de Logue Town s’y firent vite. Mieux, il s’en réjouissait. Car bien sur, il est beaucoup plus facile de fuir le vieillard lorsque celui-ci, prit d’une intarissable envie de vous botter le train, vous cours après de la sorte. En résumé, Ridcull est un personnage qui, malgré sa petitesse due aux courbatures, se remarque de loin et ce pour plusieurs raison. Son allure, son odeur et sa capacité à couvrir la bruit du réacteur d’un avion par la seule utilisation de ses cordes vocales.
- Caractère & morale :
Ridcull a une forte personnalité, de celles qui demandent de la bière au petit déjeuner et qui ne semblent jamais avoir sommeil. Il crie beaucoup. Il est loin d’être idiot, mais son intelligence est basée sur une capacité exemplaire à se focaliser sur un problème (dont il est souvent à la base d’ailleurs). Cela rend difficile le chemin de son entendement aux idées des autres. Il souffre également d’une étroitesse d’esprit peut courante. Tout le monde aurait tendance (une tendance aussi peu encline à l’exception que la gravité dirons nous) à le caser dans la catégorie des gros cons (le genre de catégorie qu'on ferme a double tours et sur laquelle on s'assoit de peur que le cadenas pète.). Ce genre de discours fais souvent sortir le vieillard de ses gons, qui par ailleurs n'ont jamais servis jusqu'alors, le poussant au final à utiliser ses grands mots comme "******* de ******** de ****** de ****** de *****" .Le genre de mots donc qui, prononcés a un décibel de trop ( comme le contexte le réclame bien souvent) vous filait une otite, réclamant alors un traitement médical draconien (car aux grands 'mots' les grands remèdes.) Au terme de tests adéquats, il fut prouvé que même les oreilles exposées aux pires grivoiseries ne pouvaient se trouver la cible direct des insultes de Ridcull sans grincer des dents (métaphoriquement bien sur. Les oreilles n'ont pas de dents, pas plus que les dents n'ont ... d'oreilles disons).
En fait, il déteste tout le monde, le reste aussi. Il aime chasser, dézinguer toute sorte de chose en général et déteste qu'on le dérange quand il s'adonne à ce genre de distractions. C'est un vieillard foncièrement désagréable, un brin sénile sans doute, mais extrêmement vif d'esprit. Le problème étant que son esprit justement est légèrement dérangé. Cette improbable combinaison laisse place à un spécimen de méchanceté nourri aux neurones. Plutôt inquiétant donc. Archétype du vieux râleur, donneur de leçons, vantard, de mauvaise fois, le tout à la fois, il faut lui concéder son esprit brillant. C est d’ailleurs assez déconcertant vu sa personnalité, disons, dénuée de sens moral, établie dans une zone d’ estimation bien à lui où l'extermination pure et simple d'une race entière de bestioles (pirates inclus) peut aussi bien relever de la nécessité que de la sournoiserie selon ses humeurs et son degré d’implication dans ledit génocide. Il en est bien sur de même pour l'exhibition de parties génitales en public ... pas SES parties génitales bien sur; seulement celle, préalablement séparés du reste du corps de n’importe qui d’autre, qu'il agiterai à bout de bras au milieu de la nuit en criant "Paire de roustons ! Vou'z'en manque une ?! Y'en à des toutes fraîches ici !!".
Le bonhomme est de ceux dont le discours est régit par la présence / abondance / surabondance de points d’exclamations. Et cette désagréable habitude de les réquisitionner dans le discours oral s’est étendue à sa propre écriture. C'est, d'après lui, le genre de ponctuation par laquelle toute phrase devait naître et se terminer, poussant le vice jusqu'à en insérer ça et là au milieu de certaines d'entre elles qu'il juge trop peut expressive, quitte a piétiner sans vergogne toute règle de grammaire universelle. Si on le lui avait demandé, le mot cucurbitacé aurait du s'écrire 'cu!curb!it!acé' et les pronoms relatifs auraient du être remplacés par des séries de points d'exclamations plus ou moins nombreux selon la nature de leur sujet. En plus de quoi, le vieillard entretient cette sale habitude toute aussi agressive de tourner autour de ses interlocuteurs en poussant force de "Huummm", en se grattant le menton et en les examinant de haut en bas et inversement. Cette manie, aussi anodine soit elle, s’averre particulièrement payante. Premièrement, elle feint l’intelligence avec brio, et c’est toujours ça de gagné. Enfin, et surtout, elle lui donne cet air inquisitorial ayant le don de tuer toute attitude réfractaire dans l’œuf. Le plus effrayant étant encore que Ridcull maîtrise cette capacité (fort utile en terme de sociologie) de façon inné, et le tout avec une nonchalance qui semble aller de soit. En fait, il s'agit là d'un redoutable politicien en puissance. Encore eut il fallut qu'il ne soit pas imperméable aux termes "économie" et "relation sociale". A l'idée du vieux gus, les deux termes s'apposent respectivement en cuisine et aux cabinets, ce qui, bien que pas tout à fait dénué de bon sens, n'est pas au goût de tout le monde (puisqu'on parle ici de sa cuisine et de ses cabinets).
Face à la singulière répartie à toute épreuve du bonhomme (comme se livrer à la technique diablement efficace de tout nier en bloc en cas d’interrogatoire), la plupart des personnes piquent des crises, claquent violement la porte, s'enfuient en hurlant, ou fondent tout simplement en larme a la simple idée qu'ils aient a cohabiter avec pareil spécimen de méchanceté aussi gratuite que payante (la linguistique est pleine de bizarreries de ce genre), dans un monde qui, tout a coup, leur paraissait bien étroit. Leur définition de l'étroitesse, paradoxalement, se trouvant de beaucoup élargie quant au fait de laisser une certaine distance ("certaine" referant bien sur à un chiffre abondant en "0") entre eux et Ridcull, lequel par ailleurs, ne demandait pas mieux, tout du moins jusqu'a ce qu'il se rende compte que son mode de vie régit par une constante de l'ordre de l'emmerdement, souffrirait de l'absence de personnes à emmerder justement. Un de ses ami moustachu lui avait un jour parlé de son idée saugrenue d'insociable sociabilité que, disait il, Ridcull confortait a merveille, ce qui ne fut pas sans énerver ce dernier qui, de toute évidence, n'appréciait pas du tout d'être mêlé a une blague qu'il ne comprenait pas lui même.
Outre cette pléiade de qualités / défauts ( l’appartenance à l’une ou l’autre de ces deux catégorie diffère bien sur selon les points de vue) dont Ridcull se trouve affabulé (parfois à tord, souvent à raison), des petits malins auraient trouvé amusant (du moins, pour un temps) de faire circuler quelques calomnies à l’encontre du vieillard ; rapport à un supposé manque d’honneur. Bien sur, et en dépit des tracts placardés à cet effet, personne, pas même les plus grands malfrats des océans, n’a jamais accordé crédit à ce débat. S’attarder ne serait-ce qu’un instant sur le degré de bravoure, d’intégrité, de courage ou de toute autre qualité humaine dont Ridcull serait pourvu, c’est se donner tous les moyens pour se retrouver en position du poirier le long de son bureau à lui servir d’encrier (un plan de carrière qui n’intervient qu’en cas de gros pépin en somme). La vérité, bien que largement répandue d’un bout à l’autre de l’océan, n’est pourtant jamais desservie d’un individu à l’autre. En d’autres termes, il lui est permit de parcourir à sa guise n’importe quel cerveau, mais elle ne s’aventurera que très rarement jusqu’aux cordes vocales. Ainsi, il est de notoriété publique que Ridcull ne se soit jamais encombré de valeurs comme le sens moral, l’honneur, la droiture ou le savoir vivre, mais l’information n’ira jamais se transmettre d’une personne sur l’autre, de peur que l’autre s’avère être un Ridcull savamment déguisé. Ce phénomène que certaines mauvaises langues iraient dénoncer comme étant de la tyrannie, Ridcull, de son coté, le défini à sa manière comme une simple règle de politesse élémentaire « personne aime s’entendre dire qu’il est con, même s’il l’est … Et je l’suis pas. Compris ?! » En général, la réponse est « Oui ». Question de politesse.
Hiérarchiquement parlant, on aurait pu représenter l'idée que Ridcull se faisait de l'administration par une espèce de graphique affichant un cercle intitulé "moi, le donneur d'ordre", relié par un trait en dessous à un autre cercle plus grand intitulé "tous les autres". Il est à noter que la libido de Ridcull est aux abonnés absents. Le vieillard peut se montrer extremement pervers mais pas sous cet angle là (à savoir 90° sous une culotte). La raison de ce manque d’intérêt flagrant vis-à-vis des délégations féminines dont on taira le nom n’est pas dû à quelque carence hormonale que ce soit (comme peut en attester une proportion non négligeable de la population de Logue town) ou à un vœu de chasteté, ni même à une orientation sexuelle plus marginale (quoique ses nombreuses parties de chasse en solitaire posent le doute.). Non. Si Ridcull n’est pas de cette catégorie dont l’appartenance est pourtant largement majoritaire passé la soixantaine, c’est pour la bonne raison qu’il satisfait avec tellement d’efficacité sa pulsion de destruction (via engueulades, passage à tabac et chasse entre autre) que son organisme ne voit tout simplement plus l’utilité de l’aiguiller vers d’autres sources de désirs (les culottes et ce qu’elles cachent). Pour la même raison, Ridcull s’avère totalement dénué d’instinct de conservation, d’où son manque total de tact vis-à-vis de potentielles sources de dommages (humains, charge d’éléphants, canons pointés vers lui etc). C’est uniquement parce qu’il est copieusement desservit par la chance que l’humanité doit encore déplorer sa présence après 91 années de vie qui auraient sans doute eues raison de n’importe qui d’autre.
Son dicton est « La justice, sa se mérite ». D’où son salaire. Il s’avèrera, par la suite que Ridcull, fort de la paternité de cette phrase choc, l’étendait jusqu’au contenu de son petit déjeuner (y soustrayant tout son sens par le fait même). « Le pain-beurre, sa se mérite ». Cette allocution, aussi véridique soit-elle, perd de sa profondeur lorsqu’ elle s’adresse à une tartine grillée.
- Histoire :
Hidao naquit à Logue Town, tristement célèbre comme étant le point de départ de ce qui serait alors appelé l’ère de la piraterie. Et cette nomination n’était pas fortuite. En effet, l’on n’y comptait plus les vaisseaux qui s’y arretaient laissant alors à leurs passager le soin d’admirer les planches en bois qui acceuillirent la tête de gold Rodger. Bien entendu nombreuses sont les planches en bois que Gold Rodger eut foulé. Mais celles-ci étaient les seules sur lesquelles sa tête eut été séparé du reste. Mais revenons quelques décenies auparavant. Naquit donc, d’une famille bourgeoise, jouissant d’une condition sociale élevé, un bambin. Jusqu’alors rien d’anormal bien entendu. Il était minuit. Une pleine lune planait au dessus de la fumée et des exhalations de Logue town,, bien contente que plusieurs miliers de kilometres de ciel la séparent de tout ca. Cette nuit là, un certain nombre de silhouettes emmitouflées entrèrent furtivement dans un bâtiment. Quelques minutes plus tard, les lumières d’une fenêtre du dernier étage s’éteignirent. Enfin presque Il se passait quelque chose là-haut. Un étrange tremblotement lumineux emplis un bref instant la fenêtre. Des applaudissements spasmodiques s’élevèrent. C’était assez amusant pour tout dire. Ce gamin qui n’avait alors guère plus de 3 semaines, construisait déjà des morphèmes. Des bribes de mots qu’il assemblait ensuite, comme s’il poussait un bête rond de bois dans la brique devant l’acceuilir, pour former une syntaxe. Bref ce gamin disposait, et le docteur en était témoin , d’une belle grosse tête bien garnie. Certains bénéficiaient également de cet apport naturel en garniture cérébrale. Mais elle constituait généralement en de la mélasse, inutilisable donc, réduisant alors le quotien intellectuel du concerné à celui d’un Bretzel.
Le jeune homme était certes intelligent mais également fêlé. Cette gêne, cependant ne l’empêcha point d’accéder au poste de maire de Logue Town avec facilité, bien au contraire. Logue town avait connu toutes sortes de maires au fil des temps. Des grands des petits, des futés, des légèrement fêlés, des complètement givrés ; ils arrivaient, remplissaient leur fonctions, dans certains cas trop brièvement pour que le peintre ait le temps de terminé le portrait officiel destiné à l’hôtel de ville, et mourraient. Le premier citadin de logue town avait les mêmes perspectives d’emploi longue durée qu’un contrôleur d’échasses sauteuses dans un champ de mines. Pourtant, s’estimaient les adjoints, il ne fallait pas trop s’en inquiéter. Le nom pouvait changer de temps en temps, ce qui comptait c’était qu’il y ait toujours un maire dont la tâche la plus importante, de l’avis des conseillers municipaux, consistait à signer des papier, de préférence, toujours de l’avis des conseillers municipaux, sans les lire au préalable. Le maire en exercice était différent. D’abord, il était rarement chez lui sauf pour changer ses vêtements crottés. Et il criait sur tout le monde. D’abord sur ses adjoints. Et pourtant, à l’époque, on s’était félicité d’élire un maire qui n’avait pas mis les pieds à logue town depuis 40 ans. Les conseillers principaux avaient connu tant de luttes intestines entre leurs divers ordres au cours des derniers années qu’ils s’étaient pour une fois mis d’accord sur ce dont la villa avait besoin : une période de stabilité qui leur permettrait de poursuivre leurs intrigues et machinations en paix et dans le calme pendant quelques mois. Un épluchage des registres avait mis à jour le nom d’ Hidao Ridcull, un jeune homme qui, après avoir remporté ses diplomes de 9emes niveau à l’âge incroyablement jeune de 27 ans, avait quitté la ville pour s’occuper d’un domaine en pleine campagne. Ce choix leur avait paru idéal. Le type qu’il leur fallait. Ménage à fond, Balais neuf. Un intellectuel rural. Brave gars, fumeur de pipe, l’œil pétillant. Un bonhomme à reconnaitre les herbes, à se balader en forêt parmis ses frères les animaux. A dormir à la belle étoile, y’avait des chances. Parles aux oiseaux pensaient il. On avait envoyé un messager. Hidao avait soupiré, laché quelques jurons et s’était mis en route. S’il pose problème, pensaient les conseillers municipaux, ca ne devrait pas être trop dur de se débarrasser d’un gus qui parle aux arbres. Puis, il était arrivé et en avait constaté que Ridcull parlait effectivement aux oiseaux. Plus précisément il criait aux oiseaux et ce qu’il criait en général c’était « En plein dans l’aile, saleté ! » Pour ca, les animaux des champs et la gent ailée le connaissaient bien. Ils étaient devenu si experts en identification de silhouettes que dans un rayon de quarante kilomètres autours des terres d’Hidao, ils prenaient la fuite, se cachaient ou, dans les cas désespérés, attaquaient sauvagement à la seule vue de la pipe. Le seul que l’affreux bonhomme ne terrifiait pas, c’était le vieux Vindounze Pelle, cent trente ans, sourd comme un pot. Il avait réussi à digérer le fait que le nouveau maire serait un de ces dingues des haies et des petites zoziaux, il allait mettre une semaine ou deux à comprendre les changements survenus et il se fendait en attendant d’une conversation polie et distinguée à partir du peu qu’il se rappelait des choses de la nature et assimilées lors du banquet municipal en l’honneur de sa nomination et auquel toute la ville était conviée. Du genre « J’imagine que sa doit vous faire du … hummm … changement, hmmm de dormir dans un vrai lit plutôt qu’à la belle étoile ? » et : « ces choses hummm … la sa s’appelle des couteaux et de fourchettes, hmmm » et : « Ces .. humm.. machins verts sur l’œuf brouillé , hmm sa serait pas du persil à votre avis ? » Mais comme le maire ne prêtait guere attention aux propos échangés pendant qu’il mangeait et que Pelle ne s’appercevait jamais que l’autre ne lui répondait pas, ils faisaient plutôt bon ménage
Cependant, et en dépis de tous ces menus defaults, les services municipaux comme la marine attitré à la bonne charge de la ville, supportaient la présence du gus au poste le plus haut situé de la ville.Fortement grandi de cette nouvelle aubaine, montrait les capacitées, ou défauts necessaire au maintient, comme désiré, d’une certaine stabilité dans la ville. Pour ainsi dire, les seules entorses à la loi enregistrés en ville étaient de son propre fait. Mais, une nouvelle fois ces malencontreux incidents, fruit du hasard étaient passés sous silence, pour ne pas entacher sa réputation. Effort tout à fait inutile à vrai dire puisque la mauvaise habitude qui poussait le vieil homme à brailler une fois son saoul ingurgité, faisait profiter de ses talents de chanteur à tous ses électeurs. Bizarrement, Hidao fut élu 9 fois de suites. Une législation en vogue lui aurait interdit de se faire élire plus de 2 fois d’affiler ayant été jugée innapropriée et supprimé du code public au cours de son deuxieme mandat. Cette curieuse mais efficace manière de reigner sur logue town attira alors l’œil du gouvernement qui, ayant prit connaissance des techniques de directions de Ridcull, ne tarda pas à lui envoyer une délégation lui faisant savoir qu’il était convoqué à Maria Joe. Une nouvelle vague d’insulte accompagna les postillons qu’il cracha au visage du jeune homme venu lui faire parvenir la requette, suite à quoi il désigna Vindounze Pelle à titre de régent durant son absence et partit sur les traces du pauvre marin qui passa en compagnie du vieillard, les pires instants de sa vie sans doute. Et pourtant, son appartenance à la marine ne lui présageait rien de bon pour le futur. Une fois arrivé à destination, Ridcull passa par non moins d’une vingtaine de salle d’attente avant de se faire renvoyé chez lui sans avoir vu quiconque hormis quelques secrétaires. Un second matelot fut attitré à la garde d’Hidao pendant son retour, le premier s’étant fait porté pale pour la première fois en 8 ans de services. Le pauvre moussaillon mourut à mi-chemin dans des circonstances assez étranges semblait il et Hidao eut à terminer son trajet tout seul, profitant de son absence d’escorte pour tirer sur tout ce qui entrait dans son champ d’action, fut-ce un morse. Arrivé chez lui, le maire eut à affronter un régiment de lettres de plaintes concernant le régent qu’il avait nommé, accumulées sur son paillasson, et parmis lesquelles une lettre gouvernementale lui attitrant un numéro de liste d’attente répondant à 48. Ce soir là, Hidao de jura pas sur les passant comme à son habitude. Il leur tirait dessus.
Une nouvelle fois réclamé par le gouvernement, le vieil homme eut à se rendre cette fois au chef d’état major de la marine. Le voyage passé sous silence, il arriva dans une salle d’attente, une seule cette fois. Puis fut reçu par un colonel quelconque. Celui-ci lui l’appela alors 48, et lui tendit un nouveau numéro : 12 sans de plus amples informations. Mais ce brouillard ne tarda pas à se dissiper. Et avec, arrivait la grande confrontation entre Pirates et Marines à laquelle logue town était resté indifférente jusqu’alors. La ville profitait même d’une période de prospérité à laquelle Hidao n’était pas étranger. Les gens se tapaient dessus d’accord. Mais en attentant, c’était à Logue Town qu’ils achetaient ce avec quoi ils se tapaient dessus. Et l’industrie armatique de la ville était fleurissante. La marine, pour faire le poids face à un effet de mode ‘piraterie’ s’entourait de toutes personnes appliquant dans les faits administratifs, ce que la marine appliquait en terme de théorie. Hidao fut de ceux la, pour ainsi dire, il fut quasiment le seul.Ridcull dut lacher son poste de maire pour être envoyé a Maria Joa ou il heritat d’un travail de bureau bien payé et isolé, se contentant de proférer « non » ou « stop » ou encore « Mon pied dans ton cul, sa te tente ?! » aux quelques collegue lui arrivant toute bringue dessus. A force de tris de papelard administratif d’importance maximale, Ridcull apprit que le numéro 12 qu’il reçut, correspondant à son numéro de liste d’attente pour accéder au siège de membre d’un conseil dont il ignorait jusqu’alors l’existance. 20 ans plus tard, 5 des 11 premiers étant mort, il accéda alors au numéro 6. Ridcull avait toujours été et serait toujours une flaque en mathematiques.
- Post RP : à venir
Dernière édition par Ridcull le Mar 15 Déc 2009 - 11:56, édité 6 fois | |
| | | Ridcull Conseil 5 étoiles
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 11:35 | |
| Petite laine, pantoufles, Et gueule de bois
Hidao Ridcull était de un de ces rares élus capables de penser en lignes droites. La plupart des gens pensent en courbes et en zig-zags. Par exemple, ils commencent par se dire : je me demande comment devenir très riche. Puis ils ne tardent pas à dévier vers ; Je me demande ce qu'il y a pour dïner. Et : Je me demande laquelle de mes connaissances je peux taper de 5 pièces. Alors que Ridcull appartenait à la catégorie des individus en mesure d'identifier la proposition finale, en la circonstance Je suis en train de tirer du faisan, de tracer une ligne jusqu'à elle, puis de suivre cette ligne lentement, patiemment, sur toute sa longueur. Remarquez, ça ne marchait pas forcement. Il se trouvait toujours un grain de sable, infime mais décisif pour enrayer le processus. Il s'agissait souvent d'une incongrue gueule de bois d'ailleurs. En effet, sur le trajet, le vieil homme avait jugé bon de se forcer le morale par une bonne rangée de bières. La rangée d'ailleurs n'avait de rangée que le nom. Semblable à une trompe d'éléphant allongé sur la longueur du bar, la file de choppes sagements rangées attendaient patiemment d'être ingurgités par le vieil homme qui, après chaque unité, effectuait un pas latéral pour se retrouver face à sa prochaine victime. Bien sur, passé les 12 premières choppes, les suivantes, du regard d'Hidao, semblaient moins coopératives, remuant sans cesse de sorte que son bras atterrisse toujours a gauche ou à droite de sa prise. Certaines même, plus vicieuses que les autres préféraient se renverser carrément par terre, quitte à saloper la paire de pantoufle du gus, lequel commençait alors à insulter les tas de mousse à ses pieds avec rage.
"Alors saloperie ? On s'pose contre l'autorité ? Pasque moi, t'vois, chuis l'maitr' du monde. J'pourrai t'faire fusiller ! Bin tu vois, Rin à foutre c'ta copine qu'va trinquer ! Eh le gros ! R'met m'en une !"
Puis il sirotait avec plus ou moins d'aisance sa nouvelle victime en prenant bien soin de se pencher vers le plancher encore humide à ses pieds afin d'y lancer un regard réprobateur. *Quelles connes ces bières,* pensait il *c'est pas du champignon vieillit en fut de chêne qui va faire la loi*. Mais en l'état actuel des choses, les bières, et bien que leur composition releva plus du détergent que du champignon, semblaient bien plus malignes que le vieillard matraquant à présent la flaque de sa pantoufle, déjà fort imbibée. 17 heure arrivait et Hidao sortait du bar en se dirigeant vers son bureau. Rageant de ne pas avoir attrapé le moindre faisant . Il oubliait bien entendu qu'il n'avait pas quitté la taverne de l'après midi et que son fusil n'avait servi qu'à tirer raffale sur raffale sur un inoffensif tonneau d'alcool. Le plus amusant étant que cette dernière action fit oublier au tavernier la dette que le guillaume Tel improvisé avait contracté dans son établissement. *Drôle de gars,* se disait le vieillard, *un gars qu'éponge une dette comme ça, l'a quek'chose à s'reprocher c'est sur.* En réalité, la seule chose que la barman pouvait présentement se reprocher c'était d'avoir laissé Ridcull entrer dans son bar pour, une nouvelle fois, engager une joute verbale avec une choppe vide. Le vieil homme, après une épique ascension des marches qui menaient au derniers étages, marqua une pause *Putains d'éscaliers. Avec tout l'budget qu'on a, ces abrutis pourraient bien nous installer un truc moins crevant, ou mettre not' bureau au res-d'chaussé.* Retourner la tour eut aussi été une solution qui s'offrait à son esprit embrumé par l'alcool. Mais cela aurait impliqué d'aggrapher le bureau au plafond et le lustre au sol. Ce qui n'était pas dans l'ordre des choses constata il. Il était près de 17 heure 20. Arrivant alors devant son bureau, le vieillard, farfouillant déjà dans sa poche pour en chercher son trousseau de clef, passa devant un jeune homme sans même le remarquer. Ce ne fut qu'en essayant d'enfourcher une clefs de cave dans la serrure étroite de son bureau, et après un juron bien sentit qu'il remarqua la présence du garçon. Il n'y prêta pas attention et continua son farouche combat contre son trousseau de clef fort bien garni. 12eme tentative, Hidao jeta le trousseau par terre, lequel se disloqua, rependant alors les quelques 20aines de clef aux 4 coins du hall. Le juron qui suivit aurait sans doute fait prendre la fuite à Rodger lui même s'il en avait été la cible. Mais les clefs n'étant pourvue ni de jambe, ni de connections nerveuses, elles ne pouvaient guère se mettre à fuir Ridcull qui se mit alors a genou pour ramasser les clefs de tout maria joa qui jonchaient le sol. Mais les clefs semblaient aussi retordes que les choppes de bières de la tavernes. A croire que tout le monde se donnait le mot pour lui foutre sa journée en l'air. Ainsi, Hidao, toujours à genou, se tourna vers le jeune homme dont il n'avait pas oublié la présence et lui fit d'un air mauvais
"Bin alors tu va m'aider oui ou merde ?! P'tit con va !"
Apparemment, suffisait de demander. Le gamin ramassa le tas de clefs assez rapidement pour couper Ridcull dans sa lancée vers une nouvelle insulte. Ceci fait, il se pressa de les tendre au vieux, toujours à genoux à renifler la poussière. Cette situation l’énervait d’ailleurs. Ce môme puait tant la prétencion que le garde du bas devait probablement se maintenir un mouchoir sous le nez. Hidao lui était enrhumé depuis la semaine dernière. Se relevant du plus vite qu’il le put, c'est-à-dire à une vitesse aussi éloigné de la vivacité du jeune homme qu’un balais d’un réacteur à proton, Igmar ne manqua pas de lancer un regard mauvais aux gus qui n’avait pas manqué, pensait il, de s’amuser de la situation. Oh comme c’était facile de se foutre de la gueule d’un vieux. Il verrait, tiens, avec 50 ans en plus, une arthrite hyperactive et un tas de puce somnabules. Le vieux tendis alors son tas de clef vers la porte et, à sa grande surprise, ouvrit la porte du premier essai. Bien sur, en franchissant le seuil de la porte, il accorda un monumental « J’t’en foutrais moi d’la supervitesse branleur. » à son bienfaiteur. Assis confortablement à son bureau, le patriarche remarqua que sa chaise ornait un magnifique trou en son centre, expliquant l’énnormissime « BORDEL » qu’il lacha, un peut sans s’en rendre compte. Il y avait fort à parier que les échos du juron rebondiraient gaiement contre les murs dans une bonne semaine encore. Se calmant comme il le pouvait, il lanca alors à son visiteur incrédule un « Z’êtes ? » à l’apparente surprise du jeune gars. Il s’y ferait bien vite. La reponse ne tarda pas. Réglé comme tu papier à musique, bien formelle, bref il n’était pas ivre. Ce dernier fait n’échappa guère au vieux qui, désireux de réparer cette erreur, s’empressa, tant qu’il le pouvait, de fouiller les recoin de son bureau pour réapparaitre, une bouteille dans une main, deux sublime verres format casserole dans l’autre. Sans attendre, il versa consciencieusement le contenu de la bouteille, d’une couleur d’ailleurs peut ragoutante, et, alors qu’il vidait le sien, poussa d’un geste de la main le second vers l’homme à l’autre bout du bureau en bois. Apparemment, il devait payer un coup à tous ses visiteurs puisqu’une tranché de bois s’était formé d’un bout à l’autre de la table, résultat des nombreux passage lateraux de verres pleins, puis vides. Le jeune homme répondit aussi formellement que possible. Nom, deux point, Blabla, à la ligne, Prénom, deux point, Blabla, à la ligne, Matricule, et ainsi de suite jusqu’à ce que la parodie de récital de formulaire prenne fin.
« Mais j’m’en tamponne le coquillard de tout ça gamin ? » Fit il alors « Sa on le sait. Mais j’veux dire. Qu’est c’que t’aimes dans la vie, à part dépasser la vitesse du son, tout ca. Tu chasse ? »
Ca ressemblait en tout point à un entretiens d’embauche. Sauf bien sur qu’à mario joa, on ne faisait pas d’entretien d’embauche. Sans même prendre la peine de répondre à cette informelle invitation à une partie de tir aux pigeons / passants dans la rue, le jeune sortit un caisson taillé de bois noir d’une sacoche en toile pour la déposer sur le bureau, face au vieil homme.
« T’as apporté l’dessert ? » balança Ridcull en reniflant le goulot d’une seconde bouteille d’un air expert. « A peu près » Répondit le gamin, un sourire au lèvre. « Sengoku vous envoie tous ses respects [le terme parut surprendre Ridcull] et avec, cette prime de bienvenue. Le monde pulule se saletées dans ce genre parait-il. » « Le gars avec la chèvre là ? » Bien sur, Ridcull avait délibérément ommis d'évoquer la mouette tronant sur la casquette de l'amiral en chef. Un jour qu'il était plus saoul que d'habitude, Ridcull, chasseur chevronné, en croisant ledit Sengoku, crut se trouver devant la prise de sa vie et empala le couvre chef de l'Amiral a l'aide de son arbalette. Cette experience lui apprit que tout animal n'était pas bon à être chassé. Les Zoans en étaient la preuve vivante.
Le jeune homme, après quelques courbettes parvint à se soustraire de la présence de Ridcull, laissant ce dernier seul face à sa boite. Le vieillard examina l'objet d'un air inquisiteur, le remua, y colla son oreille au cas ou un tic-tac se ferait entendre, le renifla même. En conclusion, la boite était légère, ne contenait pas de babioles en cristal, ni de bombe et elle sentait le propre (une odeur assez suspecte il faut le dire). Enfin, avec une infinie précaution, il entreprit de débloquer les loquets avant d'ouvrir la boite. Croisant intérieurement les doigts pour qu'il s'agisse de nouvelles pantoufles, il remarqua que le paquet ne se mit pas à exploser en une déflagration assez puissante pour que même lui ne puisse en réchapper. Ouvrant finalement la boite entierement, il reconnu en la forme d'une poire aux contours ondulés, l'un des fruits du démon pour lesquels tant d'hommes et de femmes auraient vendus le père, le fils et le saint esprit sans se poser de questions. Ridcull n'avait plus de père, jamais eu de fils; Il avait bien un esprit, mais celui-ci n'était sûrrement pas sain. La réaction ne se fit pas attendre.
"Merde ! Même pas une p'tite laine." A la suite de quoi, il balança la boite hors du bureau, d'un revert du coude.
Pour se consoler de cette déception, il entama sans attendre une nouvelle bouteille de liquide indéfinis, puis une autre, puis une autre, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il soit assez saoul, et donc irresponsable, pour que, apercevant une poire sur la moquette, il ne la gobe d'une bouchée. (Ridcull a une très grosse bouche). Ensuite de quoi il se mit à vomir ses trippes , ses boyaux, mais pas le fruit du démon. Une fois avalé, il s'empare de votre corps et y emménage pour de bon. Dans un sens comme dans l'autre, ils ne ressortent jamais. | |
| | | Oro Kenpachi Pirate confirmé
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 11:51 | |
| Bienvenue!Je suis pas sur d'avoir le droit de poster même en tant que mj ,si jamais j'ai pas le droit je le ferais plus et m'en excuse (comme j'ai deja vu xino le faire mais faut avouer que xino est un potenciel modo pas moi) donc je post pour te dire que ton fruit partait d'une bonne idée ,le problème c'est que tu lui as doté le pouvoir d'effacer une personne ou ses parties de son corps (ce qui reviendrait a la mort d'un pJ) et in rp ton fruit serait super grosbill car tu pourrais facilement effacer qui que ce soit ,donc je ne pense pas que l'on t'autorise ce fruit j'y mettrais ma main a couper ,mais l'idée de depart etait bonne! | |
| | | Ridcull Conseil 5 étoiles
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 12:19 | |
| Yo gars. Merci de soulever ce petit point quand auquel j'ai peut etre lésiné sur les détails.
Pour ce qui est d'effacer les personnes, il n'y a aucun danger réèl pour les Pj en ce sens que Ridcull, du haut de ses 78 ans reste un personnage d'une faiblesse et d'une lenteur inouïe. Du coup, le moindre petit pirate n'aura jamais à craindre que je l'efface totalement. Dans le pire des cas, Ridcull arrivera à lui gommer les fesses en lui bottant le train. Ensuite, et j'ai peut être oublié de le préciser mais le gommage n'est pas eternel. Tout objet, incluant des parties d'humains, reviennent sous quelques minutes, une heure tout au plus. Et enfin, pour finir de rassurer tout le monde, et comme certains le savent peut être ici, je ne suis pas un grand fan de bastons. Demande à Xino que j'ai croisé un nombre incalcullable de fois sur les forums rp. Je suis à peut près certain qu'il ne m'a jamais vu combattre avec Ridcull. En fait, le réèl danger du fruit s'adresse bien plus aux PNj que j'introduit au cours de mes rp. C'est une façon d'agrémenter le caractère déjà bien gratiné de Ridcull. Du coup, en cas de combat opportun, Ridcull utilisera plus son pouvoir de gommage pour s'en prendre aux passants dans la rue ou, à la rigueur, pour fuir comme un gros lache. | |
| | | Godwrath D. Alexander Héros de la Marine
Profil Psy : Loyal/Bon. Nombre de messages : 3008 Fruit du Démon : Kami Kami no Mi.
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 13:55 | |
| Hummm, il est vrai que le fruit m'a paru bien bourrin, mais si on s'en tient à ce que tu nous promet de faire avec, moi ça me va. De plus, deux points vont en ta faveur : originialité, qualité, et tu veux faire un membre des 5 Etoiles (mince ça fait trois points). Moi je dirais ok, même si une seule chose me titille : ton kit avatar/sign que je ne trouve pas super joli >.< Mais c'est pas le genre de détail sur lequel je pourrais refuser une prez' comme la tienne. Donc me concernant, ça sera : edit for Nora : merci de ne pas poster sur les parties dédiées au staff. La prochaine fois, je ban 2j (cause : trop de boulets qui font ça) | |
| | | JESSE Jenaiz De Bellum Nouveau
Nombre de messages : 696 Age : 33 Fruit du Démon : Entre l'est et l'ouest
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 16:02 | |
| Ah, tiens, une tête connue! J'aime beaucoup le personnage, quel magnifique chef pour le gouvernement, un exemple à suivre! Bref, voici une belle validation! | |
| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
Nombre de messages : 624 Age : 32 Fruit du Démon : Derrière mon PC...
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 16:31 | |
| Je me permet de poster (->Oro: je SUIS modo XD) dans cette prez, je commence à connaître le personnage, bien que la présentation change de fois en fois . Toujours aussi amusant, et le fruit m'amuse toujours autant depuis que je l'ai validé ça fait un bail. J'appose donc un validation de plus, inutile, mais pour la forme. See ya in rp vieux con , | |
| | | Ridcull Conseil 5 étoiles
Nombre de messages : 104 Age : 35
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| Sujet: Re: Ridcull, vieux con Mar 3 Nov 2009 - 16:43 | |
| Yo. Merci pour les validations, je m'en montrerai digne [bien qu'avec Ridcull, la dignité n'ait pas sa place dans le rp]
Content que le vieux fasse marrer, c'est bien le but.
Ps : Jenaiz. Ah non sa serait trop facile. Si tous les membres de la marine se calquaient sur le model Ridcull, vous autres pirates nous mettriez la branlée. En plus, les caisses du gouvernements ne tiendraient pas longtemps si tous ses membres se mettaient subitement a y piocher de quoi se payer la meme bibine que Ridcull. | |
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