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| Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Sam 21 Nov 2009 - 3:55 | |
| β § Présentation personnelle § αYo! Vous me connaissez, c’est Tiger DC et éventuellement personnage pour remplacer le vieux tigre ^^’ β § Présentation du personnage § α Nom & Prénom : Sa véritable identité est inconnue de tous, à l’exception de son ancienne camarade révolutionnaire Lucilla Fides. Il vit en empruntant différent visage et comme il est un as du déguisement, il peut aisément prendre plusieurs identités. C’est pourquoi vous pourrez le rencontrer portant différents noms tels que; Richard C. Lion, Ouroboros Matashi, Alphonso Simplet ainsi que Ryuu Takeda, pour ne nommer que les plus connus. Surnom : L’homme aux milles visages – L’insaisissable – Généralement connu sous le nom de Don Oméga. Dans l’alphabet grec, Oméga (Ω) est la dernière lettre et elle est souvent employée pour symboliser la fin… Âge : 18, 33, 22, 50, 44, tout comme son identité, son véritable âge est inconnu. Il vari selon le nom qu’il porte. Race : Humain, ange, créature mythique, démon…Personne n’est capable de dire… Occupation : Chasseur de prime / Pirate / Vendeur de ballon / Banquier ; son métier change selon le visage qu’il aborde. D’après le peu d’information qui est connu à son sujet, Oméga serait un ancien révolutionnaire qui se serait lancé dans le mercenariat. Rang spécial : Mercenaire – Arnaqueur de profession – Maître du déguisement Fruit du démon : Kizu Kizu no Mie - Logia de la Vapeur d'eau Techniques spéciales : -Stretta dell'ombra, la poigne de l'ombre ; Art des assassins. Allie à la perfection souplesse, grâce, acrobatie, précision et force afin de porter des coups rapide et discret à ses ennemis pour les faire tomber comme des mouches avant même qu'ils ne s'aperçoivent de sa présence (plus de détails dans la FT). -Dans la plus pure des traditions de sa famille, le Don a appris à dompter des aigles dans sa jeunesse. Souvent perché sur son épaule se trouve un majestueux aigle royal dont il se sert comme compagnon et comme messager. -Le Don possède également un don inné qui lui permet de déchiffrer les Poneglyphes. Depuis de nombreuses générations sa famille se transmet jalousement et secrètement le secret de leur lecture. Rêve / But : Marcher en compagnie de sa fidèle lumière vers un monde meilleur, libre et sain, là où le soleil ne se cache pas derrière l'ombre du gouvernement.
Dernière édition par Don Oméga le Jeu 26 Nov 2009 - 4:16, édité 4 fois |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Sam 21 Nov 2009 - 14:04 | |
| Avant que tu continues, je pourrais savoir tes DC et tes fruits pour être sûr ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Sam 21 Nov 2009 - 17:28 | |
| Yo' C'est vrai que ça peut porter à confusion pour plusieurs puisque ce n'est pas tout le monde qui est au courant de la situation. Au départ, Tiger était le DC d'Akira Kuukyo, mais moi, son frère jumeau, j'ai repris le personnage parce qu'il ne le voulait plus et parce que j'étais intéressé à rejoindre le forum. Le transfert à été validé par deux Admins, soit God et Jaag après qu'ils aient vu un de mes RP. D'ailleurs, tous les RP de Tiger, à l'exception du tout premier je crois, on été fait par moi. Donc, je n'ai que Tiger comme autre personnage et il n'a aucun fruit |
| | | Jaag Akanawa Pirate légendaire
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| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Sam 21 Nov 2009 - 22:32 | |
| Je post juste pour dire que, en effet, moi et God' avons autorisé ce basculement de propriétaire de compte ^^
maintenant ... FAIS TA PRÉSENTATION !!! XD | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Sam 21 Nov 2009 - 23:36 | |
| Bon, la fiche avance Jaag, ne t'inquiète pas ><
Bon, avant que le reste n'arrive, je voudrais savoir une chose.
Balmung n'est plus actif depuis très longtemps et son fruit m'intéresse beaucoup. Est-ce que je pourrais le prendre? Je lui ai envoyé un MP et il ne m'a toujours pas répondu (il s'est connecté hier pour le lire). On m'a également dit que le fruit allait lui être retiré (c'est Jaag qui m'en a parlé je crois), est-ce que c'est vrai?
Si toute ces réponses sont exactes, j'en fait donc officiellement ma demande pour ma fiche. Sinon, je demande à prendre le Mori Mori no Mie, le logia de la végétation. |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Dim 22 Nov 2009 - 0:01 | |
| Bal a dit qu'il va reposter mais je le crois pas mais à cause de cela tu peux pas l'avoir | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Lun 23 Nov 2009 - 4:37 | |
| Description Physionomique et Psychologique Comment pourrait-on décrire quelque chose qui n’existe pas? J’ai beau y réfléchir, et je n’y arrive pas…Ce n’est pas évident hein? Pour quiconque qui voudrait se lancer dans la description, autant physionomique que psychologie, de ce mystérieux Don Oméga, c’est un peu la même chose…D’ailleurs, personne ne peut affirmer avec certitude qu’il existe vraiment. Il est un peu comme une rumeur qui court et qui plane d’îles en île, partout où il aurait supposément posé le pied…On retrouve son étrange signature, un petit crane surmonté de la lettre oméga, un peu partout sur les lieux de plusieurs crimes qui, à première vue, ne semblent pourtant pas être liés les uns aux autres. Est-ce une véritable personne? Un groupe? Une organisation? Personne ne peut affirmer avec certitude puisque personne ne l’a jamais clairement vu. Les avis sont donc partagés à son sujet. Il existe presque autant de descriptions différentes de lui qu’il y a de « témoins ». Les gens le décrivent en général comme une ombre, quelque chose qu’ils n’aperçoivent que du coin de l’œil en ne distinguant qu’une silhouette sombre aux contours vagues et embrouillés. Certains disent qu’il s’agit d’un noble Robin des bois qui recherche à libérer les opprimés, qui vole les riches pour redonner aux pauvre, tandis que d’autres affirment qu’il s’agit d’un terrible meurtrier qui n’hésite pas à tuer de sang froid tous ceux et celles qui croisent son regard. La seule chose qui semble animer les rumeurs et l’esprit des plus fous est la présence répétée de quatre hommes. Quatre hommes qui auraient été aperçus à différents moments et à différents endroits en même temps que l’un des crimes marqués du Don aurait été commis. Il s’agit de la description de biens drôles d’étrangers qui auraient tous été aperçus avant ou après l’un des très étranges crimes portant la signature du Don et dont la carrure en générale et certains traits du visage seraient semblables. Richard C. Lion - Chasseur de prime La première est celle qui revient le plus souvent et le plus fréquemment. Cette personne, qu’elle soit réellement Oméga ou non, porte le nom de Richard C. Lion et il s’agit d’un chasseur de prime. Cet étrange a un long visage carré au menton fort et proéminant ce qui lui donne un certain air sérieux et quelque peu virile. Recouvrant son menton presque en permanence, on retrouve une petite barbe folle qui pousse un peu n’importe comment, comme une pelouse verte et luxuriante qu’on n’entretient que très rarement. Son nez pointu aux arrêtes bien droites est loin de se perdre dans l’étendu qu’est son visage. Comme une montagne grisâtre en plein centre d’une plaine enneigée, il est difficile de le manquer à cause de sa proéminence. Bien qu’il ne soit pas digne du célèbre roc, pique, cap et péninsule de la fameuse tirade du nez, il pourrait tout de même être comparé à une grosse pierre. Le genre de pierre qui se trouve au bord des routes de campagne faite en gravier. Une grosse et imposante pierre, taillée avec force et précision. De part et d’autre de son énorme pif, on retrouve deux petits yeux en forme d’amande dont la couleur rappelle celle d’une flamme en pleine effervescence. Son regard prendra différente couleur en fonction de la luminosité ambiante, oscillant entre un rouge-orangé et le jaune en passant par toutes les teintes d’orange possibles. Son regard de feu est surmonté par une paire de sourcils touffus se rejoignant presque au-dessus de son nez. Déposé au sommet de son crâne, on retrouve une longue crinière rouge sang, peu soignée, souvent très sale et très grasse. Accompagnant son allure trop souvent décontracte et machos, Lion est souvent aperçu une cigarette brulante et fumante à la bouche, qu’il adore siroter jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien, que des cendres incandescentes qu’il écrase alors de son pied. Pour un macho, quoi de mieux qu’un accoutrement de machos? Un chapeau de feutre brun au rebord tombant légèrement enfoncé sur son crâne rond, une chemise à poche de couleur clair, une veste de cuir foncé, une ceinture en bandoulière dans laquelle est accroché un étuis à pistolet et plusieurs encoches pour balle. Son petit cou mince, fragile et pâle est protégé par une épaisse écharpe d’un gris charbon et ses puissantes mains aux doigts délicats sont recouvertes d’une paire de gant de la même couleur.
Bien qu’il soit été aperçu très souvent, on en connait bien peu sur le caractère de cet homme. Richard reste quelqu’un d’assez flou sur le plan psychologique. Néanmoins, il est possible d’analyser son comportement en général afin d’en faire un vague portrait. Premièrement, il s’agit là d’un homme au caractère très décontracté et surtout très calme. Cigarette dans un coin, un petit demi-sourire dans l’autre, il ne se prend pas au sérieux et il reste zen peu importe la situation. On peut affirmer hors de tout doute qu’il n’est pas le genre d’homme à perdre patience et encore moins à avoir un comportement violent. Effectivement, pour ne donner qu’un exemple, alors qu’il se trouvait dans une brasserie locale d’une petite île sans nom, il a été giflé et provoqué par un autre capitaine pirate. Alors que tous attendaient de lui qu’il réplique avec ses poings, il a simplement répondu une vanne de goût douteux et il est partie en payant sa note. Sous son bras, il porte en permanence un épais livre noir à la reliure dorée. Bien qu’il ne semble pas s’agir d’un quelconque ouvrage religieux, Lion appelle régulièrement ce livre sa « Bible » et il en cite des passages constamment et dans toutes les situations possibles. D’après les quelques citations qu’il en a faite, il semble s’agit d’un recueil de fables et d’histoires courtes en tout genre. Richard est un homme comme tous les autres et il aime par-dessus tout trois choses dans la vie ; les femmes, la boisson et l’aventure. Chaque fois qu’il a été aperçu dans les rues d’une ville, il avait toujours une femme différente sous le bras et une chope à moitié vide dans l’autre. Alphonso Simplet - Naïf vagabon - Vendeur de ballon et magicien Voici maintenant celui qui semble être de loin le plus étrange des quatre facettes de ce fameux « Don Oméga ». Connu sous le nom d’Alphonso Simplet, cet homme voyage d’île en île de part le monde à bord d’une montgolfière afin de vendre des ballons aux enfants et de gagner sa vie en tant que magicien de pacotille. Probablement tout aussi grand que le précédent homme, peut-être même voir un peu plus, il possède le même genre de grande crinière qui lui descend sur le visage et qui tombe lourdement sur ses petites épaules. Cette fois-ci, elle est noire, comme les ténèbres de la nuit, d’un noir de jais très sombre. Son visage mince et presque maigrichon est partiellement masqué par le grand chapeau de paille qu’il porte presque tout le temps. À travers l’ombre qui est projeté sur son visage, on peut discerner les traits fin de son visage. Une petite bouche fine au sourire magnifique et angélique, sous laquelle se trouve un menton pointu et fendu en son bout par une légère cicatrice. Un sourire presque constant vient embellir son apparence pour lui donner des airs de gaieté et de plaisir. Il ne fait aucun doute qu’Alphonso est un homme bien plus charmant que Richard. Alors pourquoi se fait-il que deux hommes si différents soient suspectés de n’être qu’une seule personne? Eh bien j’y arrive! Il s’agit de son regard…Le même regard unique et crépitant de passion et de vie. Les mêmes petits yeux en amandes à la couleur si particulière. Une teinte se promenant entre l’orange et le jaune pour lui donner un regard de feu, faisant si bien contraste avec sa peau blanche inspirant davantage la fraicheur de l’hiver que la chaleur étouffante de l’été et de la flamme. Sous ce regard unique, situé en plein centre de son délicat visage, on retrouve bien entendu son nez. Un petit triangle long au bout bien arrondis, le tout légèrement retroussé lui donnant un air de gamin. Ses joues sont deux grandes pommettes rouges parsemées de petites tâches de rousseurs ce qui rehaussent encore davantage ses airs enfantins. Malgré que son moyen de transport très peu orthodoxe ainsi que la pipe sculpté qu’il fume tout le temps laissent penser qu’il puisse être assez aisé financièrement, ses vêtements laisse croire exactement le contraire. Il porte des vêtements que porterait n’importe quel esclave ou prolétaire laboureur de champ. Un pantalon gris poussiéreux et recousus à de nombreux endroits, un chandail long tout aussi sale et troué dans le bas du ventre et sous les bras, une paire de sandale de fortune fabriquée à l’aide d’un vieux morceau de bois et d’une corde, ainsi qu’une vieille cape de voyage en piteux état, voilà ce qui constitue l’ensemble de son très simpliste habillement.
Comme il a été mentionné plus haut, Simplet est un vendeur de ballon et un magicien. Son âge exact n’est pas connu, mais malgré sa grande taille, on ne pourrait pas vraiment lui donner plus de seize ans. Tout dans son comportement laisse croire qu’il ne s’agit guerre plus d’un jeune adolescent ou sinon d’un adulte qui n’a jamais accepté de quitter cette période, pourtant gênante, de la vie de toute homme. Farceur, naïf et hyperactif, Alphonso se trouve à l’antipode émotionnel par rapport à Richard. Il est toujours entrain de faire le pitre pour impressionner les enfants du coin et il enquiquine tout les passants pour qu’il lui donne un sous ou deux pour faire l’un des ses impressionnants tour de passe-passe. Malgré cela, les quelques personnes qui ont prit le temps de bien vouloir le connaître ne peuvent rapidement plus se passer de lui. Il est un drôle de petit jeune homme bien attachant et surtout très amusant. Avoir une conversation avec lui ne sera pas chose facile. Le jeune garçon est plutôt incohérent dans ses propos et il sautera d’un sujet à l’autre sans aucun lien et avant même d’avoir reçu la réponse de son interlocuteur. Alphonso est tellement naïf et enfantin, qu’il ne semble rien connaître du monde qui l’entour. Il s’étonne de la moindre petite bestiole ou du moindre petit phénomène. C’est même à se demander comment il fait pour faire voler une montgolfière tellement il est niais et simple d’esprit. Lorsque vous lui demandez pourquoi il voyage ainsi et où son ses parents, il répondra simplement et vaguement : « Parce que » et « Je ne sais pas », comme le ferait un petit gamin de cinq ans. Ryuu Takeda - Banquier et aristocrate Après le drôle de gamin et le pirate grinchus, voici maintenant l’heure de vous présenter l’enculé de service. Pas forcément imposant ou effrayant sur le plan physique, cet homme du nom de Ryuu Takeda sera probablement l’un des pires salops que vous aillez jamais rencontré. Banquier de profession et aristocrate de naissance, ce jeune homme à première vue dans la trentaine croule sous l’argent. Grand, mince, teint pale, il ne se démarque pas forcément du lot par son apparence. Un visage banal de forme ovale, un menton droit, coupé au couteau, surmonté d’une petite barbiche tout fraîche et lisse. Plus haut, on croise une petite bouche mince et froide, toujours fermé comme une porte verrouillé à double tour. En remontant encore plus le long de son faciale, on tombe sur un nez assez volumineux, certes pas autant que celui de Richard, mais qui lui ressemble tout de même un peu. Un quelconque air de famille peut-être? Encore une fois, de chaque côté de ce monticule de chaire et de cartilage qu’est son nez se trouve les mêmes yeux en amandes que les autres. Son regard, quoique cette fois-ci plus souvent jaune et brillant que les autres, rappelle vaguement les yeux de feu qu’ont Alphonso et Richard. Jusque là rien de vraiment génial, mais c’est ce qui suit qui lui donne ses airs sérieux et superficiels. Juste au-dessus de son luxurieux regard jaune et brillant, se trouve une paire de sourcil bien fin et long, d’un brun très foncé. Des sourcils qui ne sont clairement pas naturels, à rendre jaloux toutes les femmes qui n’ont pas le loisir de se payer des épilations hautes gammes et très dispendieuse. Souvent froncés et repliés vers l’intérieur, ils lui donnent un air sévère et hautain qui ferait frémir les plus coriaces des grands-pères. Déposé avec classe et délicatesse sur le haut de son puissant nez, on peut voir une paire de lunette en écaille noir, très upper et à la mode ces derniers temps. Non pas qu’il soit myope, loin de là même, il les porte pour faire jolie, ou pour se donner des airs d’intellos. Sur le sommet de son crâne, ses cheveux sont taillés en brosse, légèrement tirés vers l’arrière pour dégager encore plus son grand et long front. Des cheveux qui sont du même brun très foncé que ses sourcils et que sa barbiche, mais qui ont la particularité d’être entachés de deux petites bandes blanchâtres sur chaque côté de sa tête. Pourquoi? On ne sait pas…Dit-on que le blanc et le gris reviennent à la mode c’est dernier temps. Pour compléter son look dernier cri et pour accentuer la luxure qu’il inspire, Ryuu porte toujours des vêtements hautes gammes signés par les plus grands designers du monde moderne. Le dernier cri, une chemise de soie noire, une cravate en satin blanc, accompagné d’un veston et d’un pantalon, les deux touts aussi noirs que sa chemise.
Vous l’aurez probablement remarqué grâce à son apparence, mais Ryuu Takeda est un jeune homme surfant entre la trentaine et la quarantaine qui laisse dégager une forte impression de supériorité. Que se soit des clients, des amis, les gens dans la rues, peu importe, il regarde tout le monde de haut et il se croit supérieur à tout le monde en tout point. Son air hautain et son regard sérieux sont là pour vous rappeler le profond dégoût qu’il éprouve envers ceux et celles qui lui sont inférieurs. Ryuu n’est pas un homme qui mâche ses mots, loin de là, et qui n’a pas peur de communiquer le fond de sa penser. Il critique, il insulte et il maltraite tout sans aucune juste mesure à moins que ça ne soit parfait. Ce jeune banquier possède un fort esprit critique et une volonté à toute épreuve et jamais il n’abandonnera, surtout une grosse proie. Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour recruter les bons clients et pour attirer la clientèle chez lui plutôt que chez les compétiteurs. Ses manières en affaire sont plutôt radicale et plusieurs lui reproche d’être trop féroce avec la compétition. Bien que rien n’est pu être prouvé avec certitude par les autorités, les commerces de nombreux de ses compétiteurs ont mystérieusement pris feu après que ces derniers est refusés de déménager leur commercer où de le vendre à Ryuu. Don Oméga - Chasseur de prime et homme de mystère Alors le voilà enfin, le clou de ce grand spectacle, le personnage principal de la pièce! Le voici finalement, le plus soupçonné de tous, le plus mystérieux. Si Don Oméga ne devait être qu’une seule et unique personne, c’est probablement cette bien étrange silhouette qui serait choisie pour incarner le rôle. Contrairement aux trois précédents protagonistes, on ne connait absolument rien de lui ou de ses intentions. Il est rarement aperçu en publique, à l’exception de quelques visites impromptues dans les bars miteux en bordure de ville. On ne le voit que de loin, jamais de prêt. Son visage est constamment recouvert d’un couvre-chef, soit la capuche blanche comme neige de sa chemise ou bien une autre plutôt grisâtre et sale qui appartient à un vieux manteau de voyage tout boueux. À travers la pénombre qui recouvre son visage, on ne peut distinguer que très peu de chose. Réfléchissant quelques rayons lumineux, vous pourrez peut-être apercevoir son menton. Un puissant menton bien carré et bien taillé d’une couleur rappelant celle des personnes latines, un teint un peu basané, mais pas trop. De temps à autre, vous pourrez observer le reflet argenté de ses longs cheveux qui pendent aux côtés de sa tête et à l’abri de la pluie sous son sombre capuchon. Si vous êtes chanceux, vous pourrez peut-être avoir la chance de croiser son regard, le même que décrit précédemment à maintes reprises déjà. Enfaite, je devrais plutôt dire « Si vous êtes malchanceux »…Car si vous croisez les flammes rougeâtre de son regard, c’est probablement parce que vous avez déjà sa lame sur la gorge et que vos dernières forces vous quitte malgré-vous. Comme je le disais plus haut, pour la plupart des gens, d’un homme il n’est guère plus qu’une ombre à la forme humanoïde qui court silencieusement dans la brume du matin et du soir, une silhouette imprécise et vague et qu’on aperçoit se faufiler au coin de son œil, une ombre qui court et qui glisse le long des murs, une ombre qui entre et qui sort à toute vitesse d’entre les maisons et des ruelles. On ne peut pas décrire avec certitude le physique de cet homme, mais l’on peut affirmer qu’il est, tout comme ses prédécesseurs, d’une taille plus que convenable, avoisinant probablement le mètre quatre-vingt. De son âge, on ne peut distinguer que quelques cicatrices et quelques rides toutes fraîches, comme provoqué par un vieillissement forcé de son corps, sur le bout de son menton et dans l’ombre de ses joues. Don est un homme que l’on peut supposé très en forme. En décodant l’ombre que son corps projette sur les murs, il est possible de remarquer ses épaules bien large, son ventre mince, ses bras gonflés et ses cuisses d’acier. Pour clore en beauté sur cet homme bien étrange et plein de mystère, laissez-moi-vous dire qu’on ne peut rien affirmer avec certitude à propos de celui qui se fait appeler « Don Oméga ». Il est une rumeur qui court de part le monde, dont l’on cri le nom à gauche et à droite, d’Alasbasta à Logue Town, en passant par les grands centre comme Shabondy et Water Seven. On retrouve sa marque partout où il passe, mais on ne peut toujours pas savoir s’il est celui qui l’y a déposée. Richard, Alphonso, Ryuu, Oméga, il s’agit là de noms qui se répandent au gré du vent un peu partout. On ne sait pas qui est vrai et qui ne l’ait pas, mais partout où on croit les apercevoir, la marque de la fin, le crâne surmonté de l’oméga est retrouvé. Emplie de mille et un mystères, cet homme à l’apparence mystique ne se laissera pas découvrir facilement. À l’apparence froide, discrète et distante, il marche dans la nuit sans se faire repérer et il frappe et disparait avant que vous n’aillez eut le temps d’ouvrir les yeux. La seule chose qui semble lié les crimes qui portent sa marque sont leurs motifs, du moins, ceux que la police présume. Tous les crimes, qu’ils s’agissent de meurtres, de voles, d’attentats, et j’en passe, ils semblent tous avoir été fait dans une parcimonie étonnante démontrant de la part du Don une intelligence et un souci du détail étonnant. Bien peu d’entre vous qui lisez ces lignes auront la chance de le rencontrer un jour en personne. Peut-être même n’existe-t-il même pas!
Dernière édition par Don Oméga le Jeu 26 Nov 2009 - 4:21, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Mar 24 Nov 2009 - 0:34 | |
| Histoire La vie de notre mystérieux homme commence alors que celle d’un autre s’éteint. Alors qu’un homme expire ses derniers souffles, la corde au coup, sur la potence, l’Oméga fait son apparition. Est-ce encore une autre de ces coïncidences qui l’entourent ou bien est-ce tout simplement que les deux ne font qu’un? Encore une fois, personne ne peut savoir…Si l’on veut savoir d’où vient le mythe du Don, on doit remonter à l’origine de cet homme sur la potence, savoir d’où il vient, ce qu’il a vécu… Et peut-être alors pourrons-nous comprendre le comment et le pourquoi de l’étrange Don Oméga. Deux destins qui ne sont qu’un, une vie qui s’achève alors que l’autre débute. Symbole de renouveau et de changement, la mort du premier animera et enflammera les intentions du deuxième.
Tout commence à une période imprécise. Une histoire qui aurait pu autant se dérouler il y a vingt, trente, quarante et pourquoi pas cinquante ans! À vous de choisir le point de départ qui vous plait le plus. Donc, il y a déjà de nombreuses années, un jeune homme vint au monde au sein d’une famille riche et aisée au passé tout aussi mystérieux que l’homme qu’il deviendra par la suite. Cette famille très fortunée, tenant refuge au royaume d’Alabasta depuis plusieurs siècles, entretenait des liens assez étroits avec plusieurs autres familles du royaume, formant ainsi une sorte de cartel qui possédait le monopole sur les échanges commerciaux du pays. Pas la peine de dire que ce rassemblement de familles faisait presque manger le gouvernement du pays dans leurs mains. Lorsqu’une décision nuisait aux affaires, elles n’avaient qu’à augmenter les prix pour faire réfléchir un peu le gouvernement. Cependant, ce que l’État d’Alabasta ne savait pas, c’est que ce réseau de familles cultivait bien plus que le contrôle des échanges commerciaux. Selon d’étranges rumeurs, elles s’adonnaient à bien plus ; assassinat, corruption, pillage, contrôle de l’information…Et la liste était longue. Certains les accusaient même de comploter avec des factions révolutionnaires afin de planifier la chute du Gouvernement Mondial. Peut-être pas si étonnant que cela, après tout, ce jeune garçon deviendra tout de même l’un des grands révolutionnaires de son époque. C’est donc dans l’une de ces familles que naquit le héros de notre histoire, la famille [nom effacé et raturé] pour être précis. Pour des raisons de convivialité, j’appellerai à partir de maintenant ce jeune garçon « Giovanni ». Pourquoi? Parce que c’est un nom qui sonne bien, qui sonne italien, tout comme lui. Et après tout, je ne suis pas pour l’appeler « il » tout au long de son histoire n’est-ce pas? Donc, où en étais-je? Giovanni naquit donc dans tout ce beau petit monde, surtout des riches, quelques cousins plus pauvres, des mafieux, des escrocs, des marchands d’armes et d’eau…Ce jeune garçon avait un brillant avenir tout tracé devant lui. Jusqu’à l’âge de seize ans, âge à laquelle les garçons de la famille deviennent des hommes, il allait suivre une grande éducation, à faire blêmir les plus brillants, et des entraînements à faire flancher les plus forts. C’est seulement à cet âge là qu’il serait considéré comme un véritable homme et qu’il se verrait confier le grand secret que la familia garde jalousement depuis des millénaires. C’est également à cet âge que Giovanni rejoindrait officiellement la grande entreprise familiale, la vraie, celle qui baignait dans le monde de l’escroquerie, de l’arnaque, de la corruption, de l’assassinat…Pour lui, comme pour tous les autres jeunes garçons issus du cartel, atteindre l’âge de seize ans et réussir l’initiation était son plus grand rêve. Malheureusement pour Giovanni, ce rêve ne se réalisa jamais…Bien avant l’arrivé de Baroque Works au royaume du désert, les choses commencèrent à basculer violement. À la mort de son père, le jeune Néfertari Cobra prit la place de ce dernier à la tête du pays. Après les cinquante ans de règnent de son père, il était vu par le peuple comme un homme qui allait apporter beaucoup de changement. Un jour, enclin à vouloir éliminer une bonne fois pour toute la corruption qui grugeait son pays de l’intérieur dit-on, le roi fit une déclaration choque à son peuple. Il exposa tous les crimes du cartel, jusque dans les moindres détails. Le peuple, indigner et furieux de s’être fait manipuler ainsi depuis des centaines et des centaines d’années, se mit à marcher dans les rues. Plusieurs émeutes eurent lieux devant les demeures des riches et puis un jour, tout bouscula…Les civiles prirent fourches et torches et ils lancèrent une véritable croisade contre les tyrans de l’ombre qui les avaient fait souffrir durant toutes ces années. Après quelques mois de guerre civile, le roi Cobra en sortit vainqueur…Le peuple était maintenant libre, mais pas pour très longtemps…Effectivement, à peine quelques années plus tard, Baroque Works vint s’installer au pays, chose qui aurait été totalement impossible au temps du cartel, et la misère recommença de plus belle, c’était même encore pire qu’avant. Mais je m’écarte une nouvelle fois, pardonnez-moi. La guerre civile fut terrible pour les deux camps. Les familles du cartel furent particulièrement touchées, accumulant les morts par plusieurs milliers. Ils furent tous massacrés, ou presque, la grande majorité d’entre eux furent exécutés, plusieurs emprisonnés et quelques uns se suicidèrent en voyant que leur règne de mille ans touchait à sa fin. De ce massacre rescapèrent deux jeunes garçons, Giovanni ainsi qu’un cousin à lui qu’il surnommait sans cesse « morveux », à cette époque âgé de respectivement de dix et six ans. Les deux gamins errèrent dans les ruines de ce qui fut un jour leur demeure en survivant grâce à la nourriture qu’ils trouvaient dans les décombres. Ils vécurent ainsi, dans des conditions déplorables, durant un certain temps, mais un jour, une rencontre inattendue bouleversa leur vie. Alors qu’ils s’étaient aventurés en ville pour voler de quoi subsister, ils se firent prendre sur le chemin du retour par un drôle de vieil homme. Grand, fort et drôlement musclé pour son âge qui paraissait avancé, il se cachait sous une lourde cape et un capuchon. Les deux cousins, pensant à un enlèvement, se débâtirent de toute leur force avant de terminer assommés et inconscients sur l’épaule de ce même étranger. Ils furent emporté au loin, bien plus loin que l’horizon, vers une terre qu’ils ne connaissaient pas.
Les années passent, je ne m’éterniserai pas sur les années futiles et répétitives de leur vie. Non, ils ne sont pas mort, non le vieil homme ne les a pas enlevés. Ils découvrirent peu de temps après leur réveil que cet homme était enfaite un ancien allié de leur famille, un homme de main en quelque sorte. Il n’avait pas pu empêcher ce qui s’était produit et en apprenant que deux jeunes garçons avaient survécu, il y avait vu une chance de rédemption…Je reprends donc l’histoire de ces deux jeunes garçons dix ans après leur départ d’Alabasta. Pendant toutes ces années, ils ont fait le tour de plusieurs îles en compagnie du vieil homme, portant le nom de Diego Sciabola. Plus que cela, il leur apprit les rudiments de son art, l’art de la discrétion, de la subtilité…L’art des assassins. À vingt ans, « Giovanni » avait déjà tué une dizaine d’hommes, suivant les recommandations de son mentor et les désirs des bourses des clients. Un style bien stricte de vie certes, mais qui fit de lui le grand homme qu’il devint. La voie de l’assassin se caractérisait de la sorte : l’art de l’offensive et de la défensive, l’art de la poursuite et de la fuite. Suivait ces principes une devise que Diego leur inculqua dès les premiers jours avec lui. S’il voulait faire d’eux des assassins confirmés et dignes de reprendre son flambeau, il devait apprendre les bases. Il leur répétait sans cesse la chose suivante : « Un véritable assassin sait se dissimuler dans les ténèbres et retenir son souffle en attendant patiemment le moment de frapper tout en trouvant le moment idéal pour frapper. Un assassin se doit de connaître sa cible dans les moindres détails, il doit parvenir à devenir ses mouvements et ses pensées. Un assassin doit toujours éliminer sa cible avant que cette dernière ne s’aperçoive de sa présence. Tels sont les devises des assassins. Le trio navigua sur les cinq mers du monde, d’île en île, en récoltant les contrats et l’argent. Mais un jour, cette belle vie bascula complètement dans le vide. Diego l’avait caché à ses disciples, mais il était atteint d’une maladie extrêmement rare qui le consumait de plus en plus en secret. Il désirait mourir en paix en sachant maintenant que la relève était prête à voler de ses propres ailes. Avant de les quitter pour le monde des esprits, il leur confia une dernière chose…Une nouvelle bien inquiétante qui anima en eux un nouveau désir et leur avenir. « Vous vous souvenez des terribles circonstances qui nous ont uni? Eh bien c’est le gouvernement…Oui, c’était le gouvernement qui a fait chuter vos familles dans l’oubli et le néant. Poursuivez mon rêve, retrouvez cette pierre et elle vous dévoilera le moyen de vaincre cet oppresseur. »
C’est ainsi que deux partenaires, deux cousins, plus que cela, deux frères rejoignirent la révolution. Ils s’engagèrent dans une violente révolution contre le Gouvernement mondial afin de le mener à sa perte, bien décidé à trouver la vérité derrière les évènements qui avaient causé la perte des leurs bien des années plus tôt. Les dernières paroles de Diego résonnaient dans leur tête comme des tambours et des cymbales. Jamais ils n’oublieraient ces mots…Fier, courageux, sans pitié et impossible à arrêter, ils rejoignirent une petite cellule terroriste révolutionnaire basée sur Nadadas Island sur la cinquième voie de Grandline. Cette cellule était spécialisée dans le vol des armes en granites marins qui étaient fabriquées sur cette île et ils les redistribuaient aux quatre coins du monde à différents ennemis du gouvernement. Les deux frères s’occupaient de transporter et de distribuer les armes vers d’autres factions alliées ailleurs dans le monde. Bien qu’elle permette de faire avancer le mouvement à bon train, cette mission ne convenait pas aux deux cousins. Ce qu’ils recherchaient nécessitait plus d’action, plus d’implication. Ils rêvaient de participer à de grande bataille, de mettre à profit leur multiple talent…Ils reprirent la mer et ils rejoignirent une deuxième cellule bien plus extrémiste que la première. Les deux frères participaient avec ce groupe à des missions très dangereuses et très périlleuses. Ils s’infiltraient dans des locaux du gouvernement pour voler des informations, assassinaient des ennemis du mouvement et des membres imminents du gouvernement…Et la liste était encore bien longue. Bientôt, les deux cousins furent connus de part le monde entier, leur tête mise à prix à des montants plus que faramineux. Les chasseurs de prime et les pirates sans morale commencèrent à les pourchasser, mais peu importe leur nombre, les deux réussissaient à les repousser…Et la plupart du temps, ceux qui tentaient de les éliminer ou de les capturer finissait sur le dos, la gorge tranchée, ou bien au fond de l’eau. Tout en continuant leur lutte contre les dirigeants du monde, Giovanni et son cousin continuaient de chercher la vérité cachée dont leur parlait leur mettre. Ils eurent beau chercher dans toutes les bibliothèques du monde, dans tous les moindres recoins, mais jamais ils ne trouvèrent cette fameuse pierre. Au fil des années, la rivalité fratricide qui les unissait fini par se transformer en quelque chose de beaucoup plus violent et dangereux. Effectivement, les deux comparses avaient une vision bien différente des enseignements de leur maître et surtout une façon bien différente de les appliquer. Alors que l’un était sanguinaire et sans pitié, l’autre était davantage clément et discret. Giovanni était plus prudent, plus discret et il suivait à la lettre les fondements de l’assassinat, alors que son cousin était un peu plus chaotique. Il n’hésitait pas à tuer publiquement et devant témoin ses ennemis, ne faisait pas attention à ce qu’il faisait…Bref, toutes ces choses finirent par séparer les deux hommes qui étaient pourtant si proche. Giovanni reprochait à son cousin de ne pas respecter les principes fondamentaux de leur art, alors que ce dernier lui reprochait d’être trop mou et d’avoir une vision erronée de l’art des assassins. Un terrible combat fratricide eux lieux, sur les toits d’une grande ville, là où tout avait commencé…Alabasta. Les cousins et amis se combattirent pendant très longtemps, jusqu’à ce qu’ils tombent tout les deux d’épuisement. Aucun des deux ne remporta la victoire, c’était match nul…Giovanni laissa son cousin épuisé dans les catacombes de leur ancienne demeure et il quitta le pays pour on ne sait où.
À cette époque, Giovanni approchait de la trentaine. Bien qu’il perde tout contact avec son compagnon, il ne cessa pas pour autant ses actions dans la révolution, bien au contraire. Il enchaînait les missions dangereuses, sa réputation grimpa en flèche et il se fit de nombreux nouveaux compagnons. La plus chère à ses yeux se nommait Lucilla. Ça petite lumière comme il aimait l’appeler. Il s’était rencontré pour la première fois lors d’une mission de grande envergure du mouvement contre le gouvernement. Plusieurs cellules devaient attaquer simultanément un navire financier qui devait livrer à Marijoa une cargaison importante d’or. Alors que la première vague d’hommes tout droit sortie d’une petite chaloupe prirent d’assaut le cuirassé qui transportait l’or, Giovanni et ses hommes, ainsi que de nombreuses autres embarcations, se présentèrent à l’horizon pour attaquer le navire. Le fer se croisait sur le pont, les ombres et la brume frappaient également. Lucilla et Giovanni avait combattu comme des bêtes sauvages, comme des démons, sur le pont du cuirassé jusqu’à ce qu’il ne reste plus un ennemi en vie. À la fin, épuisé par le combat, ils s’étaient écroulés l’un contre l’autre sur le pont en souriant. Depuis cet instant, les deux révolutionnaires devinrent des amis inséparables, partageant la même vision du monde et de la révolution. Ils s’appelaient « Ami », voyageaient ensemble, combattaient et partageaient leur vie. Giovanni et Lucilla devinrent très proche, se faisant de nombreuses confidences, et manquant presque de s’échanger quelques baisers. Les années passent, deux pour être exacte…Comme toute bonne chose tire à sa fin, l’amitié entre Giovanni et Lucilla aussi. Il finit par se faire capturer par la marine, ou plutôt, il se laisse capturer par l’ennemi. Un matin d’automne, il se rendit de lui-même au QG le plus prêt pour s’offrir à la marine. Pourquoi faisait-il cela après tant d’années? Le jeune homme ne supportait pas de voir que sa compagne était recherchée. Il ne voulait pas qu’on lui fasse de mal à cause de lui. Il se rendit sans combattre en échange d’une seule chose ; l’absolution des crimes de la jeune fille. L’offre fut acceptée et on l’amena sur la potence pour son exécution. Devant les yeux de plusieurs de ses camarades et de nombreux officiers contents, il fut exécuté, pendu par le cou, comme un vulgaire porc…Son corps fut jeté dans une fausse commune et on n’entendit plus jamais parler de lui.
C’est ainsi que la vie de « Giovanni » se termina. Cependant, celle d’un autre homme allait commencer. Alors que le corps du jeune homme était jeté dans la fausse à corps où s’empilaient des milliers de cadavres, un homme dans la foule souriait. Ses pêchés venaient d’être également absolus…Don Oméga naquit le jour où se « Giovani » mourut. Ce mystérieux Don croisa la route de la jeune Lucilla quelques jours plus tard et ils décidèrent de marcher main dans la main vers un monde meilleur. De cette alliance s’apprête à naître un enfant bien puissant, une organisation à craindre. Une aube nouvelle plane à l’horizon…Des ténèbres surgiront l’ombre et la brume et main dans la main ils engloutiront la sombre lumière qui gruge le monde pour lui redonner son éclat d’antan.
Dernière édition par Don Oméga le Jeu 26 Nov 2009 - 4:26, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Jeu 26 Nov 2009 - 4:23 | |
| Présentation officiellement terminé En attente de validation !! P.S. Comme pour Lucilla, même si mon histoire est à tendance révolutionnaire, je suis un révolutionnaire repenti, je suis maintenant CHASSEUR DE PRIME. |
| | | Cyanure Pirate légendaire
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| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Jeu 26 Nov 2009 - 11:17 | |
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| | | Tar Etts Trappeur
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| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) Jeu 26 Nov 2009 - 11:34 | |
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| Sujet: Re: Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) | |
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| | | | Don Oméga, l'homme qui n'existe pas! (TERMINÉ !!) | |
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