Zad ( terminé )

Deux mètres cinquante-cinq, eh oui, Zad retient probablement d’un géant pour se qui en ai de sa grandeur, mais par chance il à aussi penser à apporter l’appétit qui allait avec, quoi que ce n’est plus vraiment de la chance non?

Si, vous vous attendez à un gros ours en peluche au cœur d’or, comme la plupart des gens qui sont habitués au stéréotype du grand garçon au cœur tendre et bien, détromper vous, notre ami si présent est un vrai malade mental! Frapper, couper, détruire et rire sont les quelques maux, qui peux importe la situation ne le laisseront jamais tomber, plutôt macabre non?

Même s’il est âgé, que d’une vingtaine d’années, son visage est toujours crispé par des expressions inhumaines, voire démoniaques, qui comme conséquence, le vieillisse, lui rajoutant l’air d’avoir un peu plus que son âge. Son corps en revanche est tout aussi bombé que son physique le lui permet, des muscles complètement déments démontrent que s’il avait été plus gros, il aurait pu faire du culturisme. Mais là, ce corps maigrichon apporte plus, une sensation de froid dans le dos, ses muscles très longs donnent l’air d’être près, à éclater sous la pression et le découpage créé par ses muscles.

Ses vêtements sont constamment déchiquetés, voir réduit en morceaux. Un grand nombre de personnes, pensent qu’il n’à pas d’argent pour s‘en acheter de nouveau ou qu’il est tout simplement un clochard, la vraie raison c’est qu’il s’en fou! Il porte un vieux morceau de kimono arracher sur le corps encore en convulsion d’un adversaire. C’est une veste étonnamment trop grande pour lui, quand on pense qu’il n’a jamais réussi à trouver un vêtement de sa taille en magasin. Elle était blanche parsemé de motifs noirs au début, enfin peut-être c’est l’impression qu’elle donne. Là, elle est toute jaunâtre avec de grandes taches de sang vin délaver, du vin rouge? En dessous, soit, ce n’est rien ou un large kimono noir vraiment, comment expliquer la teinte de se bout de tissu… sombre? En plus de ces deux ensembles assez différents, il porte de grands tissus un peu partout, recouvrant son corps à la manière de bandage, pourquoi, penserez-vous? C’est bien stupide, mais bon. Il se recouvre souvent telle une momie au cas ou il se ferait blesser, une fois la blessure faite, il serait déjà enrobé de pansements! Voyons, pour qui le prenez-vous? Un idiot?

Dans son cou, se maintien un autre type de bandage, celui-ci noir à comparer des autres qui sont blancs est toujours présent afin de cacher une tentative de suicide, alors qu’il croyait sa vie terminer, il avait tenté de se pendre, mauvaise idée! d’autant plus que maintenant, en dessous de son menton on peut voir les marques permanentes, laisser par la corde… l’option bandeau était donc indispensable.

Viens ensuite le coter stupide de Zad, sur son oeil droit, il aime bien porter un bandeau du même matériau que pour le foulard de son cou, un certain style se dégage de se bandeau, ça, c’est certain! Stéréotype de pirate? Non pas du tout, tout simplement une chance qu’il laisse à ces adversaires, ça ou un jeu aussi! Il aime bien demander aux gens d’essayer de lui enlever complètement sans perdre la vie, sinon il l’enlèvera de lui même contre un adversaire avec qui sa puissance fera concurrence!

Pour finir cette magnifique description physique, car on ne peut pas finir sur une petite anecdote amusant comme ça! Il reste le seul et unique bien de Zad, un vieux bout de métal rouiller, mais quelle utilité me direz-vous ou arête de parler on s’en fou? Encore une fois, c’est bien simple et il vaut mieux le savoir si vous comptez le rencontrer! C’est son arme! Un joli katana indestructible, indestructible est ici représenter par le miracle qui tourne autour de la lame, après tan d’année de combat plus désespérer les uns que les autres, ce bout de métal tout cassé, égrainer ou même fendu est encore droit, près à tenir le coup pour un éventuel dernier combat, mais mieux vaut encore croire en elle, car ça fait bientôt une dizaine d’années qu’elle attend fermement son dernier combat. Compte tenu de son obstination à vouloir rester en vie, Zad l’aura placé en haute estime en lui donnant le poste tant convoiter de meilleure amie et de petite copine. Elle se nomme Veronica, nom original ou pas, au moins elle fait le bonheur d’un homme en plus d’être la meilleure confidente du monde.

Zad est une fois pour toutes, un Malade mental et il le démontrera très facilement, dans n’importe qu’elle situation de la vie courante. Que se soit pour l’amour étrange qu’il porte à Veronica en lui parlant sans arrêt, en lui donnant des bains savonneux, en lui fessant des massages avec sa langue ou bien encore en se cachant lorsqu’il y a des oiseaux qui vole tranquillement dans le ciel, son comportement est vraiment, disons étrange. Les oiseaux sont beaucoup plus qu’une peur pour lui, ils sont une phobie! Il criera des injures à ces monstres volants, ou leur lancera tout un tas d’objets en espérant les faire disparaître de la surface de la Terre. Il lui arrive parfois de se cacher dans l’ombre sans raison apparente pour en fait diminuer les chances de se faire repérer par l’un de ces animaux volants. Fou? Mais oui et depuis longtemps! À aussi n’essayer pas de le faire voler, c’est le même résultat avec un peu plus de vomissure.

Zad est aussi amateur pour ne pas dire, passionné de sensations fortes, se jeter dans la mer quand il aperçoit des requins, pour les « observer de plus près » ou simplement essayer de réaliser des cascades complètement disons-le impossible ou surhumaine Zad est votre homme. Il lui arrive aussi de se lancer des défis complètement stupides du genre : j’arriverais en haut de cet arbre avant toi! Ou de commencer à courir sans raison pour attraper une pièce de monnaie qui traine, ce qui m’apporte à l’argent. Il l’adore et le déteste à la fois, heureux d’en avoir il est le genre à le perdre, le dépenser en nourriture alors qu’il n’a pas faim ou même le faire disparaître dans un casino, Zad est un gros joueur compulsif qui doit absolument rester loin des machines a sou et se pour le bien des croupiers. Dans de telles situations il le maudira, l’argent pas le croupier et se sans vraiment réaliser qu’il est bien sûr la cause numéro un de cette perte, en fait il n’à jamais d’argent sur lui et par malheureux ne lui en donner pas sous aucun prétexte! Il pourrait tout aussi bien s’amuser à le bruler sans raison!

C’est généralement lors d’un de ses incroyables défis qu’il engage un combat, peu importe les moyens pour lui, tout est permis, il n’aime s’amuser qu’avec des victimes de choix ou des gens qui peut importent les moyens fera tout pour perdre avec classe devant lui. Un léger coter psychopathe refait surface lorsqu’il perd un combat ou qu’il se sent désavantager, il aime le sang, son sang, mais il adore encore plus celui des autres! Il sera toujours le premier arrivé pour un combat ou un affrontement, si l’occasion de se battre en groupe se présente il attaquera simplement tout ce qui bouge, l’agressivité est donc un défaut comme une qualité chez lui.

Il reste le coter le plus drôle chez se bouffon, les «hallucinations» qu’il est toujours le seul a voir, des dragons, ogres ou même des charmants lapins en plaine copulation il peut s’imaginer de tout, plutôt agaçant en général, surtout la nuit quand il n’y a pas un bruit et qu’il crie à en cracher ses poumons (au feu! au feu ! on évacue vite!), mais le pire dans ses hallucinations c’est quelle ne sont pas toujours présente, parfois des mois s’écoule entre deux d’entre elles. Une chose est certaine à respecter dans se cas la, il ne faut pas lui dire qu’il se trompe ou il vous recommandera à ça tendre Veronica.

Zad était depuis un moment sur la piste d’un imbécile qui lui volait ses primes, un garçon ignoble avec pour seule arme un coup d’avance, toujours ce mauvais coup d’avance. Comment arrivait-il à faire de telle prouesse sa seule un dieux aurait pu le savoir, mais se qui faisait le talent de Zad était bien plus que le simple fait de savoir utiliser une arme ou de pouvoir résoudre un casse-tête, la surprise, jamais personne n’avait réussi à envisager le moindre de ces gestes jusqu’à se type la. Un homme pas trop grand pas trop gros, pour arme il utilisait une petite agence, rien de bien important encore, mais le fait qu’ils ne choisissent nul autre que lui le mettait dans une posture bien malhabile.

C’est donc par un soir paisible ou la douce brise du vent vient à peine chatouiller le bout de notre nez que la fatigue eut raison de Zad, il s’installait lentement sur le petit tabouret de bois, celui juste en face du bar et des bouteilles a moitié vide ou pleine, voyer le comme vous le voulez. C’est là, dans ce bar vide où on pourrait entendre des mouches volées, si seulement il y en avait en cette période de l’année, qu’il débutait une conversation anormale avec le serveur malhabile, barman médiocre et/ou binoclard de service.

Bonjour mon cher monsieur, avait-il commencé par prononcer, puis ensuite après avoir apporté se que je demandais, il eut le culot de me demander mon histoire, je me sentais simple d’esprit et lui répondit simplement tout en commençant, apporte-moi une bouteille dans se cas, la nuit te semblera horrible.

Sur un ton neutre, je débutais donc le triste récit d’une autre vie misérable, encore une fois trop tacher de sang, encore une fois trop merveilleuse. Le tout avait débuté par une mère absente, toxicomane et probablement prostituer, mon père lui s’était tirer à la seule nouvelle que ma mère fut enceinte, un lâche comme beaucoup d’autres. De mon propre chef, je quittais ma mère sous prétexte qu’elle dormait depuis trop longtemps, huit jours sans signes de vie, soit elle avait encore trop abusé de l’alcool ou mon imagination d’enfant ne me laissait pas entrapercevoir d’autres possibilités. Je la quittais, je quittais tout, les quelques faux amis qui étaient proches de moi tout en me détestant et les quelques autres personnes avec qui j’avais simulé un semblant d’affection. Ma vie ne débutait pas plus qu’elle ne débute aujourd’hui barman, mais pour la première fois, j’éprouvais se sentiment si réjouissant, celui de la liberté. Je croyais bon pour moi de pouvoir me coucher quand j’en avais envie et de ne manger que des friandises tout en parlant aux quelques créatures démoniaques qui apparaissait quand la fatigue venait me chercher, pour la première fois j’avais fait un choix et pour la première fois j’éprouvais un remord, suivi de solitude et de désespoir. Que penses-tu que ressent un enfant alors que le premier choix de sa vie est un échec total? Eh bien non, ne réponds pas, c’est une chose trop horrible, mais j’ai été sauvé, par un ami ou tout simplement un homme assez bon pour se préoccuper des autres. Comme ma mère je ne me rappelle pas de son nom à lui non plus, un autre truc triste que tu peux ajouter dans la liste. Néanmoins se gars je lui dois la vie, alors que personne dans la sale ne crache sur son nom peut importe soit-il, il m’a gratuitement hébergé, laver et nourris. Bien qu’il n’aurait jamais du, il m’à aussi offert un truck de plus, la volonté et pour ça je le tuerais s’il n’était pas déjà mort, il m’a transmis la seule valeur capable de me maintenir en vie, celle qui résonne en permanence dans ta tête quand tu crois que tout est fini et qui t’empêche d’abandonner en plein combat. Il était un chasseur de primes, pas l’un des plus réputer, mais il avait une bonne pile de feuillets remplie à son actif. Son but n’était pas de percer dans le domaine, mais d’en vivre, à en arrêter ou carrément assassinant des gens rechercher par la loi. Je trouve que se mode de vie est raisonnable et c’est pour ça qu’aujourd’hui je fais se métier, un peu à sa place en quelque sorte. Je dis tout sa, mais je ne dis rien, il est mort et je devais avoir quoi, une dizaine d’années? J’étais tout jeune encore, mais sur son lit de mort j’ai juré reprendre le flambeau, il était presque comme un père pour moi ou du moins il était se qui s’en rapprochait le plus. J’ai suivi sa voie, durant un grand nombre d’années, au début comme lui pour combler un manque, je vivais de mon métier. Ensuite j’ai étrangement commencé à développer une vraie nature pour ça, j’éliminait mes proies et les rendait vivant avec la satisfaction du devoir accompli, mais un jour l’un de ceux que j’avais attrapés c’est échappé et m’a fait cette cicatrice que tu vois la sur mon œil droit. J’aime mieux ne pas te dire se que j’ai fait de lui, mais disons que j’ai touché sa prime une dernière fois pour la dernière fois. Après cette histoire j’ai commencer à prendre goût au sang, ce n’est pas propre, mais chacun ses goûts, je n’en bois pas t’inquiètes pas je suis pas aussi fou! Mais ça me procure en sentiment inexplicable et contrairement à mon vieux sauveur, j’ai eu l’envie de percer et de devenir meilleur, mais je ne me satisfaisais plus des minables, je voulais des plus gros cas, pour satisfaire mon appétit tu vois? Je suis donc parti à la pêche au gros, refusant quelques offres de partenariat venant des deux camps, il n’avait rien de satisfaisant, ils manquaient de testicule ces gars la, j’aurais pu les diriger, mais c’était trop de travail. Je cherche un gars qui me surpasserait ou m’égalerait pour faire route sinon pas la peine de même envisager, cette personne devra me foutre une volé dans l’un de mes défis, sinon je ne la suivrais jamais, c’est comme ça que je travail moi. Ça fait environ une autre dizaine d’années que je travaille comme ça et crois moi ou pas, je me suis fait avoir pour la première fois, il y a environ une semaine, un gars à commencer à me voler mes proies pour la première fois, je me suis senti dépasser par les événements. Je n’ai pas encore tout compris sur lui et sa manière d’agir et je n’envisageais même pas de le voir se pointer un jour. Je suis présentement en train de le pister, peu importe le temps qu’il faut, je vais l’avoir. T’en penses quoi tu ne devais pas t’attendre à ça hein le barman? Et il me répondit avec un air rempli de malaise, non pas du tout, je vous aurais imaginé plus pirate que chasseur de prime. Je me rappelle encore de sa façon hésitante de me répondre ou de me parler au fur et à mesure que je lui dévoilais ma vie et mes secrets. Je m’étais levé aussi doucement que je m’étais assis et lui avait montré mon arme, ma douce Veronica, il avait pu constater de ces yeux à quel point elle était magnifique. Un vrai bijou-celle-là, je m’avançais en lui parlant d’elle et en mimant de la façon avec laquelle j’embrochais mes victimes, il riait nerveusement. Puis vif comme l’éclair, je lui enfonçais ma douce lame dans les entrailles, en lui disant que j’avais bien dit que je le retrouverais et qu’il allait cesser de me voler mes emplois. Il essaya bien de me blesser avec l’un des couteaux qu’il gardait dans ces mains, mais trop tard pour lui, je pouvais maintenant passer au prochain, mais avant je lui chuchotant à l’oreille : j’étais ici, mais pour toi, je ne suis qu’halluciné.

• Exemple de post RP : je crois avoir lu ou compris qu’un DC n’est pas obliger de remplir cette partie ? En espérant ne pas passer pour un idiot !