Avant toute chose, je tiens à signaler qu’il s’agit d’un TC -> Shaatir/Nachak. En vous sohaitant bonne lecture ! Je ne pensais pas le proposer maintenant mais après coup, je me suis dit que quitte à préparer la fiche, autant le poster.
- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Adrien.
Age : 20.
Homme/Femme/Okama : Homme.
Comment avez-vous connu le forum : Via les recommandations d’un membre.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Variable en fonction du travail à effectuer. Néanmoins, pour ce qui nous intéresse, je consacre assez de temps pour consulter le forum et répondre au RP en cours.
Tes Mangas préférés : One Piece (évident mais bon), Fairy Tail, Claymore, Black Lagoon, Tsubasa Chronicle, Dreamland.
Ton personnage préféré dans One Piece : Pell.
Ce qui t'as motivé à venir : La passion du roleplay avant tout et une occasion de pouvoir pratiquer dans l’univers de One Piece.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Diverses à vrai dire. Je pratique à la fois sur forums et en jeu (Neverwinter Nights entre autres).
Hobbys : Jeux-vidéos, écriture, informatique, aéromodélisme.
Autre(s) : Etudiant en 2ème année de BTS informatique. J’envisage de m’orienter dans une autre filière n’ayant pas réellement accroché.
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Zeomania
• Surnom : Le « X ».
• Age : 42 ans.
• Race : Cyborg.
• Camp : Chasseur de Prime.
• Orientation psychologique : Neutre/bon.
• Métier/Spécialité : Chercheur en ingénierie robotique et nanotechnologie.
• Pouvoir demandé : Aucun.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Débarrasser des mers ceux qui troublent la paix des honnêtes gens.
◘ Description Physique : Pour plaire aux enfants et pour se démarquer avec style des habituels tons monocordes d’un monde qui part lentement à la dérive, un héros se doit d’être reconnaissable. Cela influe alors sur sa popularité et de manière générale, le charisme général de l’intéressé s’élève à son paroxysme. C’est pour cela que Zeomania, aussi métallique soit-il s’aime à porter une écharpe dont la longueur n’a d’égal que son propre corps. Sa couleur d’un rouge vif lui permet d’être largement visible à distance, devant inspirer la confiance de son porteur et l’absence de crainte dans l’esprit de ce cher ami. A n’en point douter que certains tomberont des nues une fois le gaillard en action mais passons…
Ce corps est fait de métal et de ce fait, il tolère des courbures plus ou moins géométriques à l’image de la tête en un ensemble de pièces aux coloris et moulures des plus variées ainsi les modules auditifs du personnage sont placés contre les tempes d’acier du protagoniste, constitués de volets rétractiles. A noter que des senseurs olfactifs sont disposés au même emplacement par souci de simplification des tâches lors de l’établissement de l’ensemble. Le front nacré fortement élancé en contraste avec un crâne d’un sombre coloris est orné d’un large « X » d’un ton jaune pour le moins voyant. Ce qui s’apparente à un nez semble une plaque servant de protection aux serveurs vocaux dissimulés contre la face cachée. A noter que les enfants adorent les changements de voix. Les yeux luisent au sens propre du terme d’un coloris similaire à son logo.
Les épaules sont protégées par d’épaisses plaques se prolongeant jusqu’au coude tandis que des brassards viennent combler l’espace manquant jusqu’aux mains d’androïde de Zeomania. On remarquera sans grande peine la présence du fameux « X » ornant des canons à répétition de petit calibre dont les chargeurs sont visibles et aisément escamotables. On remarque sur son torse lourdement protégé une main blanche dans laquelle est inscrite une lettre mal formée ; un « m ». Pour la petite anecdote, il lui est un jour arrivé de se retrouver isolé sur une île tropicale et, alors qu’il manipulait des pierres calcaires pour une analyse de la roche locale un singe qui trainait par-là ne trouva rien de mieux à faire que de lui sauter dessus en apposant ses grosses paluches partout sur son corps, l’obligeant à un séjour à la flotte pour se débarrasser de toute la craie. Résultat des courses, il immortalisa ceci lui-même en reproduisant la main et en inscrivant maladroitement le « m » de macaque.
A noter que le dos de l’hurluberlu est équipé de propulseurs intégrés -encore faut-il savoir s’en servir-. Il porte à la ceinture un afficheur météo, capable d’indiquer avec précision l’heure, l’hygrométrie, la pression atmosphérique, la température ambiante et la vitesse du vent ; une fonction jukebox est disponible et encore une fois, les gosses adorent bidouiller. Le long de cette ceinture, des emplacements destinés à recevoir les munitions de ce cher Zéomania et une poche à bonbons car s’il se fait courser par un jeune avec une gaufre à la main, il lui suffit de les lui lancer pour qu’il s’arrête et les déguste, permettant à l’ami de fuir ce danger mortel. Pour finir assez rapidement, ses jambières en plaque protègent les commodités de déplacement tandis que de longues bottes de métal protègent d’autres propulseurs à la base plantaire. Ces derniers ne permettent que des sauts. Les membres, eux aussi mécanisés sont dissimulés par des vêtements en tissu et la structure du corps est dans son ensemble gérée par des nanites. Il doit cependant connaître les protocoles lui permettant de mineures ou importantes modifications.
◘ Caractère & morale : Zeomania a une personnalité sous sa carapace, dissimulant un cœur sensible. Bien que…particulière. Exprimons la chose. Zeomania est farfelu, passionné et d’une gentillesse à faire pâlir le plus mignon des êtres petits, mignons, roses, tout doux et aimables. Cet être particulier plaît énormément aux enfants ce qui lui permet en zone civilisée de se faire pardonner de tout, ou presque. Comment diable est-ce possible ? C’est pourtant simple, le héros a une fâcheuse tendance à s’attirer tout un tas d’ennuis par les gaffes qu’il provoque. Pas une cité, pas le moindre village qu’il a visité n’a de souvenir de lui. Sa spécialité est sans nul la perforation instantanée de murs, principalement de lieux publics très fréquentés. Pour résumer la chose, un problème récurrent de trajectoire. Le cyborg joue alors de son charisme légendaire pour passionner les foules et, au moment le plus opportun, s’éclipse littéralement ne laissant que les stigmates de son passage aux riverains impuissants.
Zeomania n’a pourtant rien d’un lâche puisque sa condition de chasseur de prime le contraint à se confronter à la pire des raclures. Disons que son attitude est sélective. Les innocents sont ainsi ceux qui l’effraient le plus et, puisque l’on s’attarde sur ses frayeurs, sachez qu’il tient en horreur les enfants dégustant des gaufres au sucre. Douloureux contraste avec les ovations des jeunes émerveillés lors de ses passages. La raison de cette phobie pour le moins ridicule est qu’un jour, l’un de ces chers chérubins, dégustant l’une de ces fameuses gaufres ravissant tous les palais ne lui en engouffre une dans son corps mécanisé. Le sucre s’infiltra et fondit, formant un caramel gluant sous la chaleur interne du système. Cela le contraint à un nettoyage manuel qui se prolongea sur trois interminables journées. Depuis lors, il a fait en sorte d’accroître son étanchéité, ce qui implique sa crainte numéro deux, l’eau. Certes, il ne court aucun risque immédiat à son contact mais une exposition prolongée en profondeur pourrait avoir de lourdes et fâcheuses conséquences. Zeomania se considère comme une sorte de justicier, déterminé à braver le mal, cela étant sans doute dû au malencontreux accident qui changea son existence ; animé d’une volonté de protéger les citoyens des menaces qui pourraient leur porter atteinte.
Notez qu’il adore les lieux surélevés d’où il peut faire flotter au vent sa fidèle écharpe rouge destinée aux enfants. Ces petits ont après tout besoin d’un modèle capable de les mener vers la droiture d’un destin joyeux et prometteur. Lorsqu’il affronte le mal, son attitude guillerette peut laisser place à un être froid et sans expression. Il est d’ailleurs fort déconseillé de le faire sortie de ses gonds. On ne saura que trop vous rappeler de laisser en paix le nécessiteux et l’honnête citoyen ; paradoxe remarquable avec ces craintes susnommées. Le cyborg est très sociable, ou peut-être trop ; c’est un expressif dans l’âme aussi moelleux qu’une madeleine et en cas de conflit, soyez certain qu’il envisagera la voie diplomatique avant que diverses solutions plus extrêmes ne doivent être envisagées. Une dernière chose, Zeomania possède un rire particulier à la limite de l’hystérie ou de la folie frénétique. Ce dernier n’a pourtant rien de malsain mais cette particularité à tendance à impressionner.
◘ Histoire : Avant que le destin ne le frappe et change radicalement son mode de vie, le présentement nommé Zeomania vivait en West Blue au sein d’une famille disposant de ressources quelques peu démesurées. Si l’on dit que les riches naissent avec une cuiller en argent dans la bouche, lui, aurait pu rassembler dans sa seule cavité buccale la totalité des ustensiles de table. Que voulez-vous, on ne peut choisir ses origines et l’on ne peut que maudire ou féliciter le hasard de ses aptitudes. La demeure familiale dominait la cité qu’elle surplombait dans les hauteurs d’une colline, munie d’un terrain privatisé similaire à un parc. La bâtisse en elle-même comptait bien trop de pièces pour suffire aux quelques membres de la famille et ainsi les quelques domestiques présents vivaient comme les pensionnaires à plein temps ; ce qui devait expliquer leur entrain au travail.
Le père avait un poste au gouvernement et, même si ce dernier n’était loin des plus hautes instances de la hiérarchie, il avait su faire fructifier son argent grâce à de bons placements, expliquant une telle réussite. La mère quant à elle exerçait dans la médecine sur l’île qu’ils habitaient lais le cabinet se trouvait dans l’agglomération pour des raisons pratiques. Le jeune homme s’était révélé d’étonnantes capacités en arithmétique qu’il développa au fil du temps avant d’évoluer et de se destiner à des études de plus grande envergure. Non sans l’aide de la fortune familiale, il put établir un atelier perfectionné de haute technologie afin de laisser libre cours à ses recherches. Ainsi, il put vendre certains projets civils à diverses communes des blues afin par exemple de régler diverses problèmes rencontrés avec des Escargophones puisque le profil géographique du lieu constituait une tripotée de défis techniques. Zeomania entreprit des recherches privées dans la robotique et désira créer une nouvelle génération de cyborg dont la majeure partie voire la totalité du corps allait être remplacée. Dans ce dernier cas, la seule solution était de synthétiser la mémoire, ou l’esprit comme certains le diraient dans un espace de stockage biotechnologique en entraînant par la même occasion la mort clinique du corps original. Cet espace de stockage était censé stimuler le cerveau humain et il était évident que ce genre de projet bousculait les règles de l’éthique. Inutile de préciser que le médecin de la famille ne désirait pas même envisager pareille chose mais elle se garda bien de rapporter cela afin d’éviter d’attirer le malheur sur son fils.
Seulement voilà, le destin, aussi capricieux soit-il peut parfois tourner à l’ironie, comme cela va pouvoir être observé dans ce qui suit. Il est assez classique de rencontrer des pirates en ces temps incertains, cependant, que deux équipages s’affrontent en pleine agglomération constitue un danger fort notable. Notre chercheur en question se retrouva pris dans une fusillade entre les deux partis et ne put échapper au déluge de projectiles plombés qui s’échangeaient de part et d’autre de la place du marché où il s’était rendu pour acheter quelques produits frais –car il adorait les pommes-. Au cours de l’affrontement, alors qu’il tentait de s’échapper lors de l’arrivée sur place d’un contingent de la marine, Zeomania reçut plusieurs balles dans le corps dont une qui lui perfora le poumon. Transporté en toute urgence dans le domaine familiale où se trouvait la doctoresse et ce, malgré tous ses efforts ne pouvait offrir qu’un court répit à son fils car un fragment irrécupérable du projectile mortel était impossible à retirer, et de ce fait, le condamnait à une mort sous quelques jours. Se sachant proche de la mort et sans aucune autre alternative, le chercheur n’eut d’autre choix que de convaincre sa mère de l’assister pour un test humain sur sa propre personne. Dans ce cas de figure, la mort l’attendant au tournant, cette dernière se plia à ce qu’elle considéra comme une dernière volonté. Le jeune homme dût être transporté dans le labo afin d’entamer la procédure. La pièce concernée avait des allures d’hôpital ; tout l’équipement nécessaire était à disposition et deux tables similaires au billard classique se tenaient en son centre comme s’il avait fallu être exposé à la vue de tous. Le prototype monté grâce à un nombre indéfinissable de nanites, capable de prendre diverses formes ou de modifier certaines de ses structures fut entreposé sur l’une de ces deux tables, inerte et prêt à recevoir son premier sujet.
Une fois endormi et stabilisé, la procédure fut engagée. Le simple transfert nécessita une vingtaine d’heures par la complexité de l’opération ; cependant il ne s’agissait que de l’étape la moins risquée puisqu’il fallait à présent faire en sorte que le système de stockage biotechnologique soit activé et cette manœuvre demandait une énergie considérable. L’installation ne put malheureusement fournir cette dernière et stoppa net lors de la phase finale de l’activation. On craignit ainsi des bouleversements chez le patient qui se vérifièrent dès son réveil…ou démarrage. Après une batterie de tests et de questionnaires, on en déduit qu’il n’avait pas été totalement réintroduit. En effet, une partie de ce cerveau pourtant nécessaire à son fonctionnement n’était pas active et impliquait de nombreuses fonctions, ainsi que des données mémoires. Il perdit ainsi une partie de son intégrité, le rendant par la même occasion quelque peu « hyper-expressif ». Sa personnalité en fut grandement affectée puisqu’auparavant, il était une personne posée, réfléchie avec de forts désirs d’innovation dans le domaine pour lequel il excellait. Aujourd’hui, il garde une attitude de grand enfant, parfois trop pressé, dénué du moindre doute et déterminé on ne sait toujours pour quelle raison à se frotter à la racaille des mers. Dans un délire puéril, il adopta le pseudonyme de Zeomania -en sachant qu'il était incapable de prononcer les "r" à ce moment-là- tout en portant un logo en forme de « X » pour le côté symétrique disait-il. L’ex-chercheur s’équipa de tout un arsenal très populaire auprès des enfants en acquérant une volonté pour le moins particulière de représenter un genre de modèle et, bien que l’on tenta de l’arrêter afin de veiller à ce qu’il soit entièrement opérationnel, le cyborg s’enfuit un peu malgré lui en détruisant le mur qui délimitait la propriété dans un coup de propulseurs déclenchés alors qu’il s’effraya de la présence d’un écureuil au regard dramatique.
Ses premiers pas en ville suscitèrent l’interrogation alors qu’il riait aux éclats sans raison apparente. Le fait est que l’hurluberlu s’amusait avec ses serveurs vocaux dont les jeunes en particulier remarquèrent la singularité. Son premier réflexe fut de se rendre dans un café où il commanda un décaféiné. De son bras, il tira sa dette monétaire à l’étonnement des clients déjà abusés de constater la présence d’un être robotique, qui plus est pour consommer un café. Zeomania posa un peu trop violemment sa main sur le comptoir qu’il déforma au premier contact et, fort heureusement pour lui, le tenancier s’afférait au lavage des tasses et ustensiles servis aux clients. Paniqué et craignant devoir payer réparation, il frappa ce dernier par en dessous afin de reformer la planche sans succès. Pire même, l’inconscient passa littéralement au travers et, souhaitant paraître innocent aux yeux de tous, porta la tasse à hauteur de serveur vocal et l’inclina. Bien entendu, le liquide bouillant se contenta de glisser le long des parois métalliques du cyborg sans lui causer la moindre douleur ; cependant, il n’échappa au regard tu propriétaire qui brandissait déjà le torchon, ayant en supplément des soupçons évidents sur les causes expliquant la dégradation de son comptoir. Effrayé par la réaction de l’homme, Zeomania s’esquiva dans la seconde, déterminé à fuir le plus vite possible mais cette fois-ci, il eut la présence d’esprit de passer par la porte. Craignant des représailles à son encontre, l’ex-chercheur se rua vers le port le plus proche afin de trouver un navire qui le mènerait loin de l’île. Autre part, il serait peut-être capable de tout recommencer. Se faisant, il s’enregistra comme chasseur de prime auprès du premier avant-poste marine croisé afin de faire soulager les pauvres et honnêtes citoyens, en tentant par la même occasion de se réactiver de manière totale.
• Exemple de post RP : Se référer au forum qui contient sur mes autres comptes plusieurs RP.
petit ex :
https://onepiecerpg.forums-actifs.net/t6803-arrive-a-orange-town