- Présentation du joueur IRL -
Prénom : /
Age : 17 ans
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : Par navigateur de recherche
Combien d'heures vous vous connectez par jour : 1 heure environ
Tes Mangas préférés : One Piece - GTO - Doubt - Detective Conzn....
Ton personnage préféré dans One Piece : Luffy
Ce qui t'a motivé à venir : Ma passion de One Piece
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : C'est pas mon premier jdr
Hobbys : raconter des blagues
Autre(s) : /
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Jack Ope
• Surnom Celui-ci pourra être affiché sur le Wanted en cas d'absence de votre identité. Toutefois, il vous est possible de laisser le choix aux autorités. : Jack l'espoir
• Age : 21 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humzin
• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Capitaine
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Color Trap ou le Fishman Karaté) : Kannai Kannai No Mie, paramécia du punching ball, l'utilisateur de ce fruit peut lancer une attaque qui le tiendra immobile et droit comme un 'i'. En pareil cas, il encaissera toute attaque tangible sans en subir de dégâts et, à la manière d'un punching ball monté sur ressort, renverra à l'attaquant une version décuplée de son attaque (dans le cas d'un coup de point, il en sera renvoyé plus fort, dans le cas d'une balle de fusils, il en sera renvoyé avec une dizaine de copie etc) A chaque fois que l'utilisateur décide de bénéficier de cette capacité, son corps se crispe en une barre parfaitement symétrique et perpendiculaire au sol. Du coup, il ne peut pas vraiment contrôler ses "renvois de coups".
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Devenir un pirate de grand renom
• Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises
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◘ Description Physique : Jack est grand, il mesure environ un mètre quatre-vingt pour soixante kilos. Ses muscles sont moyennement apparents et également répartis tout au long du corps. Ses cheveux longs et noirs tombent jusqu'à ses épaules, sa barbe est le plus souvent mal rasée. Ses sourcils sont imposants tout comme ses yeux noirs et vifs. Son nez pointu est cassé, mais cela ne se remarque que sous un certain angle pour voir son nez cabossé d'une légère bosse. Son visage est ferme, dur tant et si bien que lorsque Jack est en colère, l'expression de son visage peut impressionner les autres. Jack est habillé d'un tee-shirt noir et d'un pantalon de même couleur, sale et usé à quelques endroits mais reste encore utilisable. Ses chaussures sont des vulgaires sandales usée qui rendront l'âme bientôt.
◘ Caractère & morale : Jack a vingt et un ans, mais dans sa tête il reste un jeune inconscient. En effet, il peut foncer tête baissée à la mort, il ne s'en rendrait même pas compte. Toujours prêt à aider les plus faible, son cerveau réagit souvent avec lenteur sauf lorsqu'il combat où il réait à peu près comme une personne normale. En niveau relationnel, il n'y a qu'avec les filles que Jack montre une de ses facettes cachées: à chaque fille il tombe éperdument amoureux au grand désarroi de ces dames. Pas croyant, tout ce qui est superstition et croyances du genre pas de femme sur un bateau n'est rien pour lui qui s'en moque complètement. Le secret de Jack est une qu'il souffre de schizophrénie, de temps à autre il peut perdre la raison et deviens un meurtrier sanguinaire que ce soit avec ses amis ou ses ennemis.
◘ Histoire : Jack est issu d'une riche famille de nobles, la famille Ope et ses trois enfants dont Jack qui avait à l'époque son véritable nom: Jean-Charles Ope. Des trois enfants, seuls les deux plus âgés ont réussi dans la vie: le premier est devenu ministre, le second est un riche entrepreneur qui gagne beaucoup plus qu'il ne dépense. Jean-Charles, lui, rate en tout, que ce soit en économie ou en politique. Le petit dernier rêve d'aventure, d'évasion et de suspens. Ainsi, lors de ses dix-sept ans, il décide de devenir pirate, mais il cache ceci à sa famille qui déteste par-dessus ces "voyous". Pourtant Jean-Charles reste déterminé sur ses ambitions et commence à s'entraîner sévèrement pour se forger une bonne vitalité ainsi qu'une bonne force pour ses combats lors de sa future vie de pirate. Ne pouvant s'entraîner qu'en cachette, c'est lors de ses dix-huit ans que l'un de ses frère à découvert son secret. Très rapidement, la nouvelle se répandit partout dans la grand maison jusqu'à arriver aux oreilles de ses parents. Jean-Charles a dût faire un choix entre sa famille et la vie de pirate et il a choisi en s'enfuyant dans la nature.Vivant de nombreux mois aux dépends de ses moyens, il s'adapte rapidement à vivre dans des conditions miséreuses et sans argent, jusqu'au jour où les membres des forces de l'ordre l'ont capturé sous ordre de la famille Ope. Ramené à sa maison, Jean-Charles est alors insulté de délinquant et se fait rejeté par la famille, notamment le père dont la fierté viens d'être brisé par son troisième enfant. Jean-Charles tente à plusieurs reprises de s'enfuir de nouveau mais sans succès, la famille a acheté des gardes pour surveiller les faits et gestes de Jean-Charles. Ce n'est qu'une nuit, alors qu'il avait dix neuf ans, que Jean-Charles a pu s'évader de son chez lui. Des bandits qui en voulaient à la vie du père Ope ont volontairement incendié la maison. Réveillé par le bruit des flammes, Jean-Charles tente d'atteindre les escaliers de secours proche de a chambre de ses parents sans prendre la peine de prévenir que la maison est dévorée par les flammes. S'il n'y prends pas la peine, ce n'est pas parce qu'il n'aime pas sa famille, mais parce que les valets de chambres s'en chargent déjà. Seulement, lorsqu'il est enfin en sécurité à l'extérieur, la vaste demeure s'écroule sur elle-même, causant la mort de ses parents et de ses frères. De la famille Ope il ne reste plus que Jean-Charles. Maintenant libre, Jean-Charles enterre sa famille et obtient en héritage la seule chose qui n'a pas brûlé. Bien caché dans un solide coffre à moitié fondu, Jean-Charles obtient un Fruit du Démon, obtenue certainement lorsque son père travaillait en partant à l'étranger pour négocier. Jean-Charles le garde précieusement sur lui comme dernier souvenir de sa famille et décide de devenir pirate en commençant directement par changer son nom qui n'est pas adéquat, ainsi Jean-Charles Ope devient Jack Ope. Jack décide de recruter des gens pour son équipage mais ne trouve personne et les problèmes s'accumulent et il est aussitôt contraint de fuir, ne trouvant de l'argent il a enchaîné les ardoises aux bars et restaurants et se retrouve maintenant avec des dettes hautement élevées. En fuyant, il se retrouve sans nourriture pendant plusieurs jours et se voit contraint de manger son Fruit du Démon. Mais cela, il ne le fera qu'au dernier moment, lorsque la situation est vraiment désespérée. En mangeant le fruit, Jack sa rassasie et obtient le pouvoir du punching-ball-ball. Maintenant qu'il n'a plus faim, Jack continue sa route avec plus de facilités et part à l'improviste chercher les futurs membres de son équipage.
• Exemple de post RP : La capitale de la France, cette belle Paris, est malheureusement victime elle aussi de l'Apocalypse. Elle a perdu une bonne partie de sa population et très peu de personnes osent se balader dans les avenues et les rues. Du haut du toit d'un hôtel-immeuble, Soda Bleuford, dans sa tenue blanche, admire sa ville natale avec un sentiment de tristesse. Il reconnait tous les coins où il jouait avec ses amis du quartier lorsqu'il était qu'un simple gamin qui ne pensait qu’à jouer. Et voilà qu'il suffit de plus de quinze misérables années froides pour obtenir une ville qui ne ressemble presque plus à ce qu'elle était avant. Les lieux qui étaient touristiques ne sont maintenant plus que des décombres sales et gênants. Les routes sont remplies de nids-de-poules, un bon nombre de maisons se sont effondrées, d'autres sont en un misérable état. Soda voit la maison de ses voisins quand il était jeune, et la fixe avec une larme à l'œil. Son mur principal est détruit et sa couleur noire prouve qu'elle a été victime d'un grave incendie. Des sortes de barrières faites de métal entourent la maison afin de protéger les gens quand cette dernière s'effondrera sous son poids. La goutte d'eau emplie de regrets coule petit à petit sur la joue du hors-la-loi. Cela fait longtemps qu'il n'a pas pleuré, depuis la mort de Bertrand Loth plus précisément. Soda Bleuford essuie la goutte qui en était presque arrivé au menton, et recule en arrière. Il prend son élan et saute afin d'atterrir sur le toit de l'immeuble d'à côté. Il recommence cela plusieurs fois jusqu'à en arriver vers les Champs-Elysées. Il se souvient aussi de ce qu'il appelait la plus belle avenue du monde. Et quand il voit ce qu'elle est devenue, il replonge dans sa tristesse et un long sentiment de rage envers l'Apocalypse parcoure l'échine de son dos jusqu'à lui en donner un petit frisson. Son monument préféré, l'Arc de Triomphe, n'est plus qu'un amas de gravats effondré et étalé sur toute la surface du rond-point. Voir cette belle construction défigurée avec en fond un joli coucher de Soleil rappelle à Soda qu'il a une mission à accomplir. Il admire ce merveilleux paysage et repart en sautant de toits en toits sans grande précipitation.
La nuit sombre et froide est tombée depuis un petit moment sur la capitale. Les quelques éclairages qui marchent encore allument du mieux qu'ils peuvent les rues mais la visibilité reste très faible. Soda Bleuford se trouve accroupie sur le toit de l'immeuble de la société Xerox. De toute sa hauteur, il regarde les routes peu éclairés de Paris. On dirait une ville à l'agonie. Soda tire vite sa nostalgie pour son job et regarde sa montre au poignet. Cette dernière affiche minuit vingt. Soda se relève et se dirige vers un conduit d'aération assez grand pour que deux personnes puissent y rentrer. Il se faufile à l'intérieur et descend avec prudence et s'arrête à un carrefour. Il sort de sa poche une petite carte ainsi qu'une petite lampe torche qu'il allume. Il inspecte la carte qui se révèle être le plan des tunnels d'aération de l'immeuble. Après une longue étude de la carte, Soda range son matériel et prends le conduit de gauche, puis le droit, puis celui d'en bas. Ainsi, il découvre l'issue qu'il voulait de cet immense labyrinthe: le bureau du chef de l'entreprise. Soda donne un coup de coude pour casser la grille et pénétrer dans la salle. Elle est plutôt vaste: elle fait environ 10 mètres de longueur sur cinq mètres de largeur. A gauche se trouve un bureau en désordre avec plusieurs piles de feuilles entassées. A droite se situe l'unique porte, normalement gardée par deux rudes gaillards bien armés et durement entraînés. Afin de ne pas les alerter, Soda se déplace à pas de loup en direction du bureau et fouille les tiroirs. Le plus gros contient un coffre-fort peu volumineux mais très résistant. Le voleur approche son oreille de la porte blindée tout en tournant du doigt la serrure. Il tourne doucement et tente de percevoir un semble déclic, en vain. Cela va s'annoncer plus difficile que prévu. Le hors-la-loi regarde l'heure de sa montre: une heure moins dix. Il réessaye d'ouvrir le coffre mais n'y arrive toujours pas.
Soda à perdu la semaine dernière son matériel pour ouvrir les coffres, il va falloir se débrouiller seul. Il inspecte le bureau de tout son long à la recherche d'un éventuel indice. Il ne trouve rien et commence à désespérer. Soudain, un petit homme quasi-chauve, de forte corpulence, avec une fine moustache et un pistolet au poing, pénètre dans la pièce par la porte. C’est le propriétaire des lieux, tout en disant :
"Alors, on veut tenter de voler quelque chose ? Sache que je savais que tu viendrais et toutes les issues sont fermées, même celle par laquelle tu es entré tout à l’heure.
-Je veux que vous payiez enfin votre crime ! Avouez, vous faites en cachette du trafic d’armes !!! Et selon mes sources, ce trafic est d’ampleur internationale !"
D’abord surpris que Soda sois autant bien renseigné sur le lourd secret de l’entreprise, le patron retrouve son sourire et pointe le canon de l’arme en direction de l’intrus.
"Et comment veux-tu que tout le monde sache cela, aucun document ne le prouve ?
-Merci, grâce à vous, je n’ai plus besoin de document pour révéler au monde votre crime ! "
Il sort de sa poche et montre un petit micro et l’active. On entend avec une très bonne qualité les accusations de Soda, puis les aveux. Cette fois, le patron est prit au piège, et ne trouve aucun autre moyen que de tirer sur son adversaire. Cependant, Soda avait prévu ça et se cache directement derrière le bureau. Puis, il lance une bombe lacrymogène à côté du chef de l’entreprise. Le gaz s’en échappe et rends la vue très mauvaise. Le chef hurle des ordres et soudain, une dizaine de policiers entrent et tentent de retrouver le criminel. Mais lorsque la visibilité revient à la normale, Soda a disparu. Pourtant, les gardes postés à la fenêtre et ceux à la porte n’ont vus personne sortir. Le chef hurle de rage.
Sur le toit d’un petit immeuble, situé à un pâté de maison de Xerox, se trouve un policier habillé comme ceux de là-bas, assis avec un micro. C’est Soda qui s’est déguisé en eux pour ne pas être repéré et s’enfuir en toute tranquillité. Il écoute la casette et conclut que l’entreprise est cuite. Il revête son joli costume et descend du toit par la gouttière. Il s’infiltre dans les rues noires de la capitale de manière à ne pas être vus. Il arrive devant un des rares postes de police les plus puissants du pays encore en bon état, et dépose à la boite aux lettres la casette et une lettre. Content d’avoir rempli sa mission, Soda Bleuford se dirige vers des WC publics et se change là-bas. Il redevient le Soda civil et se rends dans un appartement en banlieue qui est sont dernier refuge.