~#_U can fly behind the sky ? [Terminée]

~Vous le savez, le Shishibukaï, Bartholomew avez dispersez les Mugiwaras, tous à un endroit différent, de telle sorte que Sanji s'était retrouvé seul, au même titre que Chopper, Franky, et toute la bande. Aucun signe de son environnement ne l’aurait fait douter que l’endroit où il avait atterri était tant cauchemardesque. Sanji se tenait, couché, au milieu d’une grande patte, -le même modèle que sur la main du pirate au service de la Marine, en plus grand-, encore sonné par ce voyage qui n’était pour le moins pas prévu. Quand il ouvrit les yeux, il aperçut un ciel bleu, sans nuage, où un soleil de plomb régnait en maître, la mer toute proche renvoyant ses rayons dans l’atmosphère, le chant des oiseaux logés dans les arbres proches donnant à la situation quelque chose de mélodieux. Il avait donc repris conscience sur une plage. La première question qu’il se posa était 'où suis-je', mais il fut bien incapable d’y répondre. Il ferma les yeux quelques secondes, se remémorant le moment où le géant l’avait envoyé sur cet île encore inconnue. Peux être était t-il tombé sur un endroit désert, après tout ? Mais soudain sa crainte d’être seule disparut. Des pas approchaient de plus en plus vers lui, jusqu’à s’arrêter à son côté. Il détourna le visage vers l’endroit d’émission du bruit, et put apercevoir une jolie et fine paire de jambe. En remontant, une robe à fleurs , et des cheveux blonds. Pendant ses derniers instants de présence, avant qu’il ne s’évanouisse, il entendit une voix de femme, l’interpellant ;

« - Monsieur ! Monsieur ! Vous allez bien ?! Monsieur ? Monsieur ! Vous allez bien, répondez moi ! »

~Quand il commença à s’éveiller, sa vision était flou, même si il put remarqué que le bleue turquoise du ciel avait disparut pour laisser place à une teinte rosée, et des sortes de pétales tombaient du ciel. Levant les yeux vers le haut, il eut l’heureuse surprise de voir le visage de la jeune femme de l’instant d’avant. Une pétale vient se poser sur son sourcil, en forme de cœur pour être exact, laissant le mystère sur la traînée de poil en arc de cercle recouverte. La première chose qu’il constata donc était le fait qu’il était dans les bras de la jolie jeune femme, pouvant sentir son parfum sucré et doux dans ses narines. Il se demanda d’abord si ce n’était pas Nami ou Robin, les femmes de son équipage, mais non, elle n’avait aucun point commun. Qui était cette demoiselle avec lui ? Pour le moins une charmante inconnue.. Il crut d’abord à un rêve, car cette situation avait tout d’agréable, mais cela fut vite brisé par la fuite de la jeune demoiselle qui prit ses jambes à son coup sans raison, laissant Sanji sur un banc, allongé. Il s’interrogea, se révélant pour se retrouver maintenant assit sur le bloc de bois, essayant d’appeler la jeune femme, mais rien à faire, elle continuait de courir, et ce n’était pas dans l’éducation d’un gentleman de la poursuivre dans le but d’avoir des explications ! Il fit plus attention à ce qu’il avait sur les genoux et y trouva un mouchoir blanc, avec écrit en rose, dans un design féminin; « Elisabeth ». C’était donc le nom de la fuyarde? Quel joli nom, pour une si jolie femme.. Enfin ce que croyait Sanji. Car dans son état, après un tel choc, il confondait encore ses rêves et la réalité qui était tout autre ! Mais ce que nous savons, lui ne le sait pas, quel dommage. Si il était au courant, ce ne serait que logique qu’il prenne ses jambes à son coup.

Mais comprenez le ! Esprit chevaleresque qu’il était, il lui devait au moins des excuses, et la rente de son mouchoir à la jeune demoiselle! Il décida donc de suivre le chemin qu’elle avait empruntée, son cœur porté par l’ambition que la femme qui avait prit au précédent soin de lui soit un ange, ou encore l’'élue'. Sanji, ou l’art de tomber amoureux. Il prit donc la route, pavé de dalle, encore une fois rose, comme la teinte d’à peu près toute la végétation et le ciel. Cela semblait idéal pour s’installer tranquillement deux trois jours. Tout en marchant et en se demandant où il était, il observa à gauche, à droite, jusqu’à poser son regard fixement sur sa droite. Là, au milieu d’une étendue de fleurs, une grande étendue d’eau avait prit place, où siégeait autour une bande d’animaux tous aussi étrange les uns que les autres. Bien ce soit des cochons, des cigognes, ou encore un lion, ils possédaient tous l’attribut exceptionnel d’une touffe de cheveux blonds sur la tête, lissés à la perfection, gardant leur silence, participant ainsi à l’ambiance paradisiaque qui régnait. Tout ce que Sanji entendait était le bruissement des oiseaux,ainsi que bizarrement, un chœur entonnant une mélodie sereine. Tellement heureux d’être tombé dans un endroit si paisible, le jeune homme ne se posa aucune question, continuant à avancer le mouchoir de l’inconnue à la main. Il s’arrêta donc pour l’observer un instant, et en posant son regard dessus, son cœur commença à s’accélérer. Se demandant pourquoi, il mit cela sur le compte de l’amour, prenant une pause stylisé, le bras tendu vers le bout de son chemin, l’autre main sur le cœur.

Fermant les yeux et se laissant bercer par ce si fort sentiment d’amour, il se laissa rêver d’une belle balade avec l’inconnue sur la plage, teintée par un coucher de soleil aux reflets oranges, les cheveux de la belle flottant dans l’air tandis qu’elle essayait de saisir Sanji. Et elle prononçait son nom en souriant, en émettant ce petit rire si typique des femmes, ce petit rire qui fait chavirer votre cœur d’amour pour elle. Et il l’a prenait par la main, tout en l’admirant. Mais il fut sorti de son rêve par une pensée amicale envers ses Nakamas disparut. Sur l’île Shabondy, Rayleigh leur avait donné un bout de VivreCard à chacun, au cas où il faudrait se retrouver après avoir libérer la sirène, et visiblement elle allait beaucoup servir dans une situation aussi périlleuse. Mais Sanji était un gentleman avant tout, et il prit la décision d’aller d’abord s’excuser et remercier la charmante blonde avant de rejoindre ses amis disparus ; les connaissant il s’en sortiraient indemne, ce qui lui faisait le plus peur, ou plutôt ce qui le préoccupait était les deux femmes de son équipage, pour ne pas dire les deux déesses, Nami - Chan et Robin - Chan ! Mais elles étaient fortes, et il serait bientôt là ! Et emporté par le tourbillon de l’amour, les yeux de l’homme étant maintenant devenus deux cœurs sortant de leur orbite, et tel la flèche de Cupidon qui avait percé son cœur, il se dirigea à toute vitesse vers l’endroit où la dénommée Elisabeth s’était dirigée précédemment.

Il fut stoppé dans son élan pourtant inébranlable quand il était dans cet état par la vue d’une petite maisonnette au toit ovale, encore une fois de couleur rose & violette, et il resta ébahit en découvrant que c’était la maison de la personne qu’il cherchait, « Elisabeth » étant inscrit au dessus de la porte. Ralentissant le pas, il s’approcha doucement de la chaumière, un sourire assez niais accroché au visage, ne remarquant pas les pseudos ’filles’ derrière les arbres qui l’observait. Arrivé devant la porte, il frappa la porte de deux coups secs du bout de ses phalanges, puis entama la discussion ;

« - Lady Elisabeth, est-ce que vous êtes là ? Mon nom est Sanji, vous vous êtes occupé de moi il y a peu de temps, je suis venu vous rendre votre bien. Le mouchoir que vous aviez oublié. »

~Entendant des bruits de pas de plus en plus fort, signifiant qu’une personne s’approchait de la porte, il afficha un grand sourire, impatient de voir la dulcinée qui avait fait battre son cœur il y a peu de temps encore. Soudain les bruits se stoppèrent et la porte grinça, le sourire de Sanji se faisant de plus en plus grand, mais la plaque de bois ne s’ouvrit seulement que pour laisser dépasser une main qui récupéra le mouchoir de velours sans un mot de la part de l’interlocuteur derrière la porte. Se demandant ce qu’il avait bien put faire, comme à son habitude il se posa un bouquet de question qui restait sans réponse; mais à haute voix cette voix, peux être que Eli-Chan l’entendrait ;
« Elisabeth-Chan, n’est-ce pas un peu cruel ?! » - puis reprenant avec lui-même, tournant le dos à la porte de la maison la tête baissé,tout en commençant à prendre comme interlocuteur sa propre personne, il reprit - « Faut pas que je m’en fasse, c’est une fille timide peux être, faut que je sois cool et patient. » - reprenant la direction de la porte, il serra le nœud de sa cravate, histoire d’être présentable, et entonna ; « Je suis vraiment désolé de ma réaction de tout à l’heure! Votre main était si attirante que j’ai cédé à la tentation ! Désolé d’être si direct, mais puis-je me racheter en vous cuisinant un bon petit plat tel que je sais si bien le faire ? Je n’en ai pas l’air mais je suis un excellent cuisinier, demandez moi ce que vous voulez ! »

~Aucune réponse, Sanji se crut ignoré, baissant la tête avec déception, mais quelques secondes après qu’il ait fait retentir sa voix, celle de la personne derrière la porte vint retentir à son tour. Elle lui posa une question, qui pourtant tomber sous le sens !

« - Vou.. Vous aimez faire la cuisine? »
« - Oui ! J’aime cuisiner ! »
« - Aimez vous les vêtements ? »
« - O..Oui! Oui ! Contrairement à certains épéistes stupides, je porte un assez grand intérêt à mon look ! »
« - Et les robes, vous aimez les robes ?! »
# Les robes .. J’ai capté ! Elle me demande ce que j’aime .. Parce qu’elle a un faible pour moi ! # « - Oui je les aime, j’aime les robes, je les aaaaimes ! »
« - Et les motifs à fleurs ? »
« - Oui , c’est tellement mignooon, les motifs à fleurs ! »


~Mais quand Sanji avait répondu qu’il aimait les robes et les motifs à fleurs, c’est qu’il aimait les voir sur le corps d’une jolie femme, et pas sur le sien, et de ce fait la surprise allait être de taille. Après ce dialogue, la porte grinça encore une fois et s’ouvrit, laissant entrer la lumière dans la petite maison, et le pirate ne se fit pas prier pour pénétrer à l’intérieur. Tout était de la même couleur, un rose pastel, représentant bien le féminisme qu’il aimait tant. Les femmes et Sanji, tout une histoire ! Aveuglé par l’amour, il lui dit que la décoration était de bon goût, et qu’elle n’avait qu’à venir dans ses bras. La jeune femme se leva de sa chaise, et courut vers lui. Mais le choc fit tomber Sanji qui se cogna la tête au sol. Quand il rouvrit les yeux, il put voir le vrai visage d’Elisabeth qui se tenait debout face à lui. Assit par terre, il passa ses yeux, tout d’abord sur ses chevilles, pleins de poils, puis en remontant, il ne reconnut pas les formes si chaleureuses de la femme qui l’avait soigné. Arrivé à son visage, l’horreur fut à son comble. Elle avait un visage si laid que si il l’avait put, Sanji aurait crié. Les yeux écarquillés, le regret d’être venu s’installa peu à peu , et le dégoût fut immense quand la chose face à lui, lui fit un clin d’œil. Un cauchemar? Ce n’était pas possible ! Toutes les belles images, les rêves qu’il avait commencé à fabuler se brisèrent en éclats face à cette mocheté qu’était vraiment cette femme, ou cet homme, il ne savait pas. Jaillissant tel un fauve dehors de la maison, brisant la porte sur le passage, il se retrouva nez à nez avec quatre autres spécimens. Il savait à quoi s’en tenir, des Okama ! Il poussa un hurlement, la langue et les yeux lui sortant de la tête, les cheveux hérissés comme si il avait vu le diable, et l’un de ces monstres lui dit qu’il n’avait plus à se cacher, qu’il pouvait faire partie des leurs. Qu’elle était cette histoire? Il tenait trop à sa virilité et il aimait trop les femmes pour devenir comme ces abominations ! Quand il se tourna, la soi-disant Elizabeth, accompagné d’une robe, était dans son dos, prête à lui enfiler cette horreur. Se relevant difficilement , il commença à enchaîner de longue foulées, reprenant le chemin inverse du moment de son arrivée. Il était bien sûr poursuivi par la bande de transsexuels avide de le transformer en l’un des leurs. Mais jamais de son vivant, jamais ! Et finalement, au mieux de finir la journée avec une belle jeune fille sur la plage sous le coucher de soleil , il la finit à se faire poursuivre par une bande d’Okama enragées ..

Question : J'ai vu nul part et j'ai pas d'indice sur l'histoire. Je te mets civil ?

Fait juste attention à cette phrase qui pourrait être mal interprété. C'est rien de plus que du "diable jambe" de Sanji version sabre.

Citation :

Peu de chose résiste à Kurohitsuji grâce à sa capacité unique.

Sinon je valide.

Deuxième validation.