[Terminé En attente de Validation] Ozy Mandras

CF Kyalou




Pseudonyme : Le Scribe, Bomberman.

Nom & Prenom : Mandras Ozy

Age : La vingtaine

Race : Humain

Occupation : Révo

Métier: Érudit, Inventeur, Scribe. Artilleur.

Rang Spécial : Allié du Bouc.





Le Bateau Rebelle
Passer son enfance à voyager d'île en île n'est pas quelque chose que l'on peut qualifier d'habituel, et on peu dire de ce voyage qu'il est unique lorsqu'il se déroule à bord d'un bateau cirque. C'est de cette manière que se déroulèrent les premières années d'un enfant sur West Blue. Sous le chapiteau dressé en permanence, une piste de sable blanc, autour de laquelle se trouvaient quelques places assise. Pourtant au début il y avait des gradins, mais comme à chacune de leurs haltes personne ne daignait assister au spectacle ils les ont supprimés, conservant quelques places pour les quelques enfants venus là. L'absence de publique ne s'explique pas parce qu'à bord se produisent clowns, jongleurs, lanceurs de couteaux, animaux en tout genre, diseuses de bonne aventure, mais aussi le célèbre Pierrot. Vous le connaissez surement, ce magnifique clown blanc à l'allure altière, joue aussi le rôle de capitaine à bord du Cabrero, le bateau cirque. Son nom c'est Vangoh Mandras.

C'est un Homme d'une quarantaine d'année, fin et élancé, dont le physique laisse à désirer mais dont la sympathie se lit sur le visage. Il aime son métier de clown, mais sa véritable passion c'est la peinture et chacune de ses toiles est un vrai chef d'oeuvre. Lorsqu'on les observe, on a l'impression qu'elles évoluent, les paysages fleurissent et se fanent, les personnes vieillissent et meurent. Bien que l'image sur les tableaux n'évolue pas réellement, un tel niveau de réalisme dans une peinture, c'est très rare de pouvoir l'admirer. Devenir artiste n'est pas offert à tout le monde, mais quand on nait sur le Cabrero, le choix ne nous est pas donné, dans une atmosphère tellement favorable à la créativité, comment ne pas souhaiter devenir artiste? Bien que son fils Ozy l'admire, les seuls souvenir qu'il a de son père son les quelques spectacles de celui-ci, ou celui de son père peignant, de dos il ne partageait quelques rares moment avec lui mais il a lui aussi grandit avec cette ambition. Son rêve à lui, c'est de faire rêver les autres, parmi ce qu'il appréciait le plus dans cette communauté, c'était les tours de parole autour du feu. Il aimait écouter des histoires sur la fée des gitans, mais aussi sur les sirènes, les îles célestes perchées aux dessus des nuages et autres histoires à dormir debout.

Seulement, le coté clownesque de cet équipage n'était que la face cachée de l'iceberg, si les villageois ne venaient pas aux spectacles, c'est parce qu'ils avaient peur, puisque l'équipage du Cabrero était réputé pour être un équipage de terrible révolutionnaire, une sorte de cours des miracles ambulante. A vrai dire cela n'avait rien d'étonnant, à bord on se ventait d'avoir l'esprit libre. Ozy qui n'était alors qu'un petit garçon s'était particulièrement attaché à un des membre d'équipage, le Magicien de son surnom était une personne très cultivée qui connaissait bien les sciences et les mathématiques. Il jouait le rôle d'artificier sur le bateau cirque, mais aussi celui d'inventeur. Grâce à ses études, il avait remarqué que selon les matériaux utilisés, il pouvait faire varier la couleur de ses explosions, mais aussi qu'en fonction de la manière de les utiliser (poudre, granules, nitrate, chlorure), il pouvait obtenir différent type d'explosions, comme le scintillement, les étincelles ou les fumigènes. Son comportement un peu excentrique, et sa manière de s'impliquer dans l'éducation du jeune garçon ont su faire naître et grandir en lui le même amour pour les feux d'artifices et autres explosifs.
A bord du navire, il étudiait les sciences avec une personne dont il partageait la même passion pour les feus d'artifices. Pour ce qui était des petits à coté, il devait apprendre seul, mais il avait le meilleur des professeurs: l'amour. A bord du Cabrero il y avait Carmen, fille des voltigeurs d'un an plus jeune que lui, une ravissante petite brune aux cheveux frisé. C'était ses premiers pas dans la vie, ils s'amusaient ensemble, parlant de tout et de rien, partageant leurs sentiments. Ils étaient encore jeunes et insouciants, mais un avenir radieux semblait s'offrir à eux, sans aucun nuage à l'horizon.

Pourtant cet équipage reconnu comme l'un des plus terribles équipage révolutionnaire était sur le point de disparaître.

Un jour, alors que le navire venaient d'accoster, que tous les membres d'équipage étaient en train d'installer le Cabero en mode cirque, une sirène se mit à résonner en ville. Les habitants paniqués courraient dans tous les sens, tous les membres d'équipage se fixèrent; quelque chose de terrible était sur le point de se passer. Et cela ne tarda pas, en effet, un cuirassé de la marine venait de bloquer l'accès à la mer il ne restait aucune issue. Ozy n'avait jamais vu son père comme ça, il venait de se maquiller, il ne ressemblait en rien au pierrot qu'il connaissait, de même le magicien et les autres de la bande étaient maintenant armés jusqu'aux dents et prêts à en découdre. Mon père ordonna à un de ses homme de m'emmener loin d'ici, que ce qui était sur le point de se passer était une destruction pure est simple de cette partie de l'ile. C'est à ce moment la que se perd la trace de Carmen, et du reste de l'équipage.

Un Enfant Modèle
L'homme qui l'avait emmené Ozy loin du combat s'appelait Halvard, un grand blond avec des tresses donc le corps entièrement recouvert de tatouage semblait taillé dans la roche. Ils étaient seuls tous les deux, Halvard n'ayant jamais eu d'autre famille que les membres d'équipage du Cabrero ne pouvais se résigner à abandonner le fils du capitaine. Il entreprit alors de l'emmener en lieu sûr, un endroit ou personne ne tenterait de lui nuire, Azgard. Azgard est une petite île de West Blue au milieu de laquelle triomphe majestueusement un immense et magnifique château qui ressemble en tous points à une cathédrale. Cette cathédrale est en fait le bastion d'un petit groupuscule extrémiste opposé au gouvernement, mais dont les idées les poussent à aider, et instruire les enfants de tous âge désireux de s'élever. La bibliothèque de cette île mystérieuse était abondamment remplie, contenant même des ouvrages censés avoir disparu, comme des écrits provenant de l'ile d'Ohara, et d'autres livres anciens.

Dès son arrivée, Ozy qui avait été annoncé par Halvard comme le fils de Vangoh Mandras fut accueilli comme un prince, directement conduit à l'un des mentors. "Le mentor" était un homme assez vieux portant un grand manteau blanc dont la capuche lui masquait une partie du visage. Ils parlèrent un peu, le vieux avait les mots pour le rassurer essayant de gagner sa confiance lui parlant de son père qu'il avait connu alors qu'il était plus jeune, et qu'il avait lui aussi été son élève qu'il ne se faisait aucun souci pour lui. A vrai dire, Ozy n'arrivait pas à s'inquiéter pour les membres d'équipage du Cabrero, il savait qu'ils étaient encore en vie, et c'est ce qui lui faisait se sentir si seul même si la compagnie de Halvard l'aidait à tenir le coup. Après une longue discussion, le mentor lui proposa de devenir son tuteur, s'empressant d'ajouter qu'il avait aussi contribué à l'éducation de son père.

Ozy ne savait trop que croire mais le vieux avait l'air d'être un homme de parole alors il accepta.
Le vieux souhaita cependant à prévenir Ozy que l'enseignement dispensé sur Azgard n'était pas le même que celui dispensé habituellement dans les autres écoles, que l'enseignement d'Azrgard est la vérité sur le monde. Bien qu'il ne comprenne pas la situation, il acquiesça. Aux cours des premières semaines, Ozy passait la majeure partie de son temps à la bibliothèque, son professeur n'étant que très peu présent, mais rapidement ils passèrent de plus en plus de temps ensemble, comme si, au porte de la mort le vieux sage avait décidé de léguer tout son savoir. Il mettait vraiment du coeur à l'ouvrage, et bien que passant huit heures par jour avec son mentor pour suivre ses cours, il trouvait quand même le temps d'aller à la bibliothèque et d'y lire un à trois livres par semaine, un véritable exploit en soit, compte tenu de l'épaisseur de ceux-ci.

Ainsi, une année passa rapidement, Halvard venait régulièrement voir Ozy pour prendre des nouvelles et lui en donner aussi lorsqu'il apprit que l'équipage du Cabrero s'était séparé, il vint l'en informer aussitôt interrompant pour quelques minutes le cours du mentor. Après cela, le temps passa à une rapidité ahurissante, l'apprentissage qu'il suivait le rendait chaque jour un peu plus cultivé, un peu plus vif d'esprit il passait son temps à noter, chacune des paroles prononcées par son professeur se retrouvait méticuleusement notées dans un rouleau. S'il passait son temps à noter, c'est parce que sa mémoire fonctionnait ainsi, il assimilait les choses qu'il écrivait lui même bien mieux que toutes les histoires que l'on pouvait lui raconter. Son pinceau ne ratait pas une parole, il était devenu un vrai scribe capable de retranscrire une conversation sans faire répéter aucun des deux protagonistes. Et c'est au même rythme que dix années passèrent, le mentor annonçant à Ozy que tous les dix ans, un élève parmi tout ceux de l'organisation allait avoir le droit de connaître la vérité. Il lui révéla aussi que vingt ans auparavant l'élève qui fut choisit était son père et que cette année il serait certainement choisit, et ce fut le cas.

Et c'est au même rythme que dix années passèrent, le mentor annonçant à Ozy que tous les dix ans, un élève parmi tous ceux de l'organisation allait avoir le droit de connaître la vérité. Il lui révéla aussi que vingt ans auparavant l'élève qui fut choisi était son père et que cette année il serait certainement choisit, et ce fut le cas.

Ozy fut appelé par le Doyen, Mentor des Mentor c'est un homme duquel on pourrait dire que son savoir n'a pas de limite, il est vêtu comme les autres mentor d'un long manteau blanc, mais il avait la particularité de ne jamais quitter la salle du trône. C'était un homme très âgé, dont on dirait que le corps est mort, mais dont l'esprit est encore très actif. Lorsqu'Ozy pénétra dans la salle du trône le doyen ricana, puis lança un "Encore un Mandras!" avant de faire signe à tout le monde de quitter la pièce. Le temps passa, mais cette fois à une vitesse bien plus lente, principalement due au fait qu'Ozy avait du mal à comprendre tout ce qui lui était révéler par le doyen. Il ne pouvait se résoudre à pardonner les crimes commis par le gouvernement mondial, et se jura de les renverser. Puis le lendemain vint la cérémonie, et tous les mentors de l'organisation s'étaient rassemblés pour voir le jeune Mandras recevoir la récompense, en effet, l'élève choisit par le doyen, en plus d'avoir le droit à la vérité avait aussi le droit à un cadeau: un des fruits du démon.

Ainsi le fruit du démon lui fut confié, mais il n'eut guère le temps de savourer ce moment. Dans la nuit suivant la cérémonie, un des autres élèves apparemment jaloux avait décidé de se venger, il avait rallié deux trois autres jeunes gens à sa cause et s'était mis en tête de tuer tous les mentors. Pacifistes et non violents, l'institution venait de payer un large tribu. Malheureusement pour ce revanchard et ses compagnons, Halvard qui était venu rendre visite à Ozy ne fit qu'une bouché d'eux en les croisant dans le couloir. Avant de le laisser quitter l'île, le mentor avertit Ozy qu'il faisait maintenant partie de l'institution, qu'en acceptant le fruit du démon, mais aussi l'enseignement il venait de devenir Archivist pour le compte de l'organisation et que sa mission était de rétablir la vérité.

Fruit du Démon :
Paramécia de l'encre:
Le corps de la personne qui le possède produit de l'encre. Il ne peu pas invoquer de l'encre n'importe comment, et les capacité qu'il peu utiliser son spécifiques à cette encre. Aussi appelé paramécia du conteur l'encre produite par son corps, permet de faire "vivre" les histoire qu'il écrit. Prenons l'exemple d'une fable de la fontaine: la cigale est la fourmis. Si le possesseur de ce fruit avait écrit ce livre, en le lisant, on pourrait voir apparaître une cigale chantonnant et une fourmis travailleuse le tout en encre bien sur. Et l'histoire de suivre le déroulement comme écrit dans le livre.

Rêve / But : Faire le plus beau des feus d'artifice. Renverser le Gouvernement Mondial; rétablir la vérité.

Ozy Mandras, bien que le personnage soit facile à comprendre, lorsqu'il s'agit de le décrire c'est une autre paire de manche. La manière la plus facile de le faire est surement de le décrire au quotidien.

Le scribe, comme les gens le connaissent est son surnom le plus répandu, son surnom officiel comme on pourrait l'appeler. Si les gens l'appellent ainsi, c'est parce que lorsque les gens croisent Ozy, il se balade toujours avec son pinceau et ses rouleaux. Tout le temps tête en l'air, s'attardant tanto sur un oiseau nourrissant ses petits, tanto sur des enfants qui jouent, ce qui le mène parfois là où il ne souhaitait pas aller. Par manque d'attention, alors qu'il se perd dans ses rêves il lui arrive de se tromper dans ce qu'il entreprend de faire mais pas seulement. Il s'est déjà retrouvé à se servir un verre d'encre, et bien d'autres péripétie toutes aussi déroutante les unes que les autres.

Le scribe est un surnom qui lui à été donné car les gens ont supposé qu'il passait plus de temps que quiconque à écrire et ce à cause d'une outre énorme remplie d'encre qu'il transporte dans son dos. C'est de là que vient le mythe du Scribe, et tout le mystère qui plane autour de lui; même les autres scribes l'appellent Le Scribe, et si les gens le remarquent ainsi, c'est parce qu'il est loin de passer inaperçu. C'est qu'il est très original, tant dans sa tenue comme dans sa manière de se déplacer; pour les gens, Le scribe c'est ce type avec deux longues plumes dans les cheveux qui n'arrête pas de se perdre, qui amuse les enfants, et tient compagnie aux vieillards. C'est un de ces individus pour qui le respect est plus important que tout, il est très moral et ne souhaite pas mêler la population à son combat, il aime passer son temps parmi la foule, sympathiser avec les gens.

Bien qu'il soit grand, il ne se distingue pas des autres par sa taille, juste un peu plus grand que la moyenne, il a toutefois un charme bien à lui, mais cette beauté passagère, ne se manifeste que lorsqu'il est heureux, naturel. Par exemple à la bibliothèque où Ozy se sent chez lui et ce dès qu'il se plonge dans les bouquins, son visage s'illumine et son corps se détend. Il paraît beaucoup plus charismatique, attirant, son charme naturel se révélant, les gens n'hésitent pas à lui demander conseil dans le choix de leurs livres. S'il se rend à la bibliothèque publique, c'est pour y trouver des livres qu'il n'a pas, et il les recopie sur rouleau, son geste est rapide est précis, son écriture fine est raffinée se lit parfaitement sans user le lecteur.

Cependant cet aspect de sa personnalité en cache un autre, cet aspect de sa personnalité est beaucoup moins voyant et enfouis en plus profond de son coeur. Elle s'exprime généralement lorsqu'il se trouve en face d'une situation qui le met hors de lui, lorsqu'il croise des pirates où des nobles qui usent et abusent des populations civiles, mais aussi des marines qui suivent aveuglément le gouvernement mondial. Lorsque cette colère s'exprime et qu'il ne peu réprimer alors Le Scribe cède la place au Bomberman. Le Bomberman c'est son deuxième surnom, beaucoup moins respecté, cet aspect de sa personnalité se revendique comme un allié de la vraie justice et un artificier hors paire.

Discret mais efficace, la faiblesse de son corps compensé par la folie mise en valeur par une joie malsaine de tout faire péter. Cet aspect de sa personnalité est omniprésent lorsqu'il travaille dans son atelier, il a l'apparence d'un fou, méticuleux et concentré, mieux vaut le pas le déranger au risque d'en prendre plein la ra...face, et pas qu'au sens figuré. Une fois le travail terminé, sa personnalité naturelle reprend le dessus pour aller célébrer son invention avec ses collaborateurs, et consigner le processus de fabrication dans un rouleau.

Il y a semble t'il un point qui relie ces deux personnalité, ce que redoute tant Ozy, c'est la mort. Alors depuis qu'il a dans l'idée de rejoindre la révolution, il passe des journées entière à peaufiner sa stratégie, et à travailler dans son atelier, mais alors qu'il n'a pas encore découvert comment se servir de son fruit du démon, qu'il est obligé d'aller se fournir en encre et en matière première sur les îles voisine il a une peur maladive de l'eau qui peut être fatale pour lui qui ne sait pas nager. De la même manière, affronter les marines ne lui pose pas de problème, lorsqu'il est sur de pouvoir gagner, sinon il pratique la technique du Hit'n Run tant sur les bâtiments que sur les individus, autant dire que lorsqu'il se sent menacé, il n'hésite pas à prendre la fuite. Sil le fait, c'est qu'il estime qu'il doit survivre, que la mission qu'il doit accomplir est plus importante que son honneur et son faible corps lui fait parfois des misères qu'il aurait préféré éviter, pointes de cotés, crampes et autres problèmes que rencontrent les gens Normaux.

Techniques Spéciales :

Fruit redondant avec celui de l'animation de dessin. Même s'il possède d'autres capacités, il faudra le faire se démarquer dudit fruit.

Citation :

Ishou ishou no mie : (Paramécia du dessin) Permet de donner vie aux dessins qu'il crée. L'utilisateur peut transformer ses doigts en crayon et dessiner sur n'importe quel surface. Le dessin créé peut se soulever sous forme de gribouillis et est contrôlé par utilisateur.

(non-dispo car en cours de validation d'acquisition par Choko Shiro).

Citation :

Fruit redondant avec celui de l'animation de dessin. Même s'il possède d'autres capacités, il faudra le faire se démarquer dudit fruit.

Citation:
Ishou ishou no mie : (Paramécia du dessin) Permet de donner vie aux dessins qu'il crée. L'utilisateur peut transformer ses doigts en crayon et dessiner sur n'importe quel surface. Le dessin créé peut se soulever sous forme de gribouillis et est contrôlé par utilisateur.

Oui mais moi ce n'est pas le dessin que je contrôle, mais bien l'encre, je ne me contente pas de contrôler les dessins. Comme je le décris dans sa présentation: l'encre est produite par mon corps, après c'est juste de la matérialisation, comme je l'ai expliqué, les personnages s'inscrivent dans une histoire.


Mais bon puisque le fait d'écrire est assimilé à celui de dessiner, je vais changer ma méthode de contrôle. Comme par exemple un contrôle direct sur l'encre comme Gaara avec son sable dans Narudaube. Si cette méthode de contrôle n'est pas acceptée alors je vais devoir me retaper la liste des FDD...


Edit: En fait le contrôle de l'encre à la Gaara ne va pas avec le personnage qui est un écrivain conteur, mais aussi un féru de science. Je vais retenter une définition pour mon Fdd de l'encre. Ce qui est dommage, c'est qu'il y à plein de Fdd tournant autour du métal où du feu, idem pour les reflexe, mais qu'il n'y ai pas de possibilité de faire un fruit qui"ressemble" un peu à un autre dans le domaine du dessin/écriture.

Non, ce que je dis, c'est qu'il faudra retirer la compétence "j'anime ce que je dessine", vu qu'un fruit le fait déjà. Par contre, la réalisation des histoires écrites me gêne. Si j'écris "soudain, une pluie de vaches en armure s'abat sur Jaag Akanawa, le réduisant en bouillie", est-ce que ça va tuer ce grosbill de Jaag ? Ce débat a déjà eu lieu, et ce qui m'intéresse, c'est la façon que tu auras de brider ce FDD pour éviter qu'il ne permette des One-Shot de personnage sans possibilité de réaction. A part ça, je ne suis pas contre.

Citation :

"soudain, une pluie de vaches en armure s'abat sur Jaag Akanawa, le réduisant en bouillie"

Bien sur que non pas Jaag il est trop fort, mais les autres oui pourquoi pas =)

non c'était juste pour rire, dans la description du fruit, j'avais mis ça:
En cas de combat, ne peuvent être crevées, si coupure, la partie la plus petite éclate, la grosse continue, ils peuvent donc courir sans tête, mai si jamais il se fait couper une jambe et tombe la jambe éclate, et le corps éclate lui aussi en tombant au sol.

C'est un fruit inutile en gros. Avec cette pluie de vache, par contre Jaag devra surement refaire sa garde robe puisque recouvert d'encre, à la limite un peu aveuglé.

Ah, les créations restent d'encre ? Ca change tout, j'avais compris qu'une fois réalisé, ce qui était écrit prenait forme de manière réelle. Si tout ce que tu souhaites écrire et dessiner prends forme en encre, je valide ce fruit sans hésiter. Ca donne un FDD qui change un peu des autres, j'aime beaucoup.

Ah ok ben c'est cool alors j'ai mal du m'exprimer ^^

Par contre j'ai une question par exemple est ce que je peu vendre des livres? Mais quand les personnes les liraient, les images s'animeraient, comme un film noir et blanc à la limite. C'est pas pas pour tout de suite je précise.

J'ai rien compris. C'est une contrôle de l'encre comme Magellan le fait avec son hydre ? Si c'est le cas, il entre directement dans la catégorie des fruits

("on dirait que c'est le fruit de l'eau mais en utilisant autre chose, ce qui permet des choses plus folles mais chut faut pas dire sinon tout le monde le veut")

Je classe dans cette catégorie tout ce qui semble liquide :

Le paramécia de la cire
Le paramécia du chocolat
Le paramécia de la graisse
Le paramécia du poison
Le paramécia de la colle
Le paramécia du goudron
Le logia de l'alcool
Le logia du sang

Là, pour entrer dans cette catégorie, il faut savoir se différencier. Le fait de "colorer" ou "aveugler" est déjà un bon point.

La différence, Cel', vient de l'animation d'objets/personnages qui seront constitués d'encre. Ils seraient assez tangibles, mais se dissiperaient aisément après impact. Ce qui différencie ce fruit, c'est la façon de le jouer, à la façon "écrivaine". En effet, j'ai aussi pensé aux logias que tu as cité, mais ceux-ci ne semblent pas pouvoir animer des choses en fonction de ce qui est écrit.


Sinon, le coup de vendre des livres animés, je dirais oui, mais se pose le souci de l'animation de l'encre si tu n'as plus de contrôle dessus (si tu vends un bouquin, puis part à 300Km de là, tu n'as plus de contrôle sur l'encre) :/

[Ca serais pas possible alors de faire comme Gepeto rapport à Pinocchio?
En fait Gepeto donne "vie" à Pinocchio mais celui ci peut le quitter. J'aurai pensé que le simple fait d'écrire les histoire permettrait de faire vivre l'histoire. A la limite pour la boutique ça me gène pas, mais j'aurais aimé pouvoir jouer le rôle d'espion grâce à ça.
J'aurais donc aimé pouvoir fournir des espions d'encre à mes alliés, et ce toujours en suivant le principe de l'histoire sachant qu'ils seraient un peu niais et ne rapportant pas toujours le bon dossier où la bonne information du fait de la simplicité de ceux ci. Pour des personnages, où des espions plus complexes je devrais me déplacer moi même sur les lieux.
Si je limite cette encre à une utilisation est ce que ça serait possible? Par exemple le livre ne fournirait qu'une seule fois les animations. Un peu comme dans Harry Potter les images de sorciers qui ne restent que quelques secondes.]


Sinon, je pense que ma fiche est terminée, j'attends de savoir si il y à des modification à faire. J'aimerais aussi savoir si il y avait quelque chose qui mettrais la marine plus en colère qu'un lecteur de ponéglyphe vu qu'apparemment c'est interdit dans les FT.
Du coup moi qui comptais me mettre la marine à dos par ce biais...

Tu pourrais déjà raccourcir la définition du fruit ? Je peux pas valider une définition de 24 km de long. Une bonne définition, c'est un max d'information utile en un minimum de lettre.

Définition modifiée, j'espère que c'est bon.

Fruit du Démon :
Paramécia de l'encre:
Le corps de la personne qui le possède produit de l'encre. Il ne peu pas invoquer de l'encre n'importe comment, et les capacité qu'il peu utiliser son spécifiques à cette encre. Aussi appelé paramécia du conteur l'encre produite par son corps, permet de faire "vivre" les histoire qu'il écrit. Prenons l'exemple d'une fable de la fontaine: la cigale est la fourmis. Si le possesseur de ce fruit avait écrit ce livre, en le lisant, on pourrait voir apparaître une cigale chantonnant et une fourmis travailleuse le tout en encre bien sur. Et l'histoire de suivre le déroulement comme écrit dans le livre.

Si les trucs créés avec l'encre ne sont pas résistants, je dirais fruit de niveau 5.

Maintenant la prez, après une relecture (surtout des fautes d'accords), ce sera bon pour moi avec le fruit demandé.

Tout corrigé. =)

Première validation.