~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~
Prénom: Pierre
Age: 17 ans
Sexe: ♂
Comment avez vous connu le forum? : Par Yune
Tes Mangas préférés: Naruto (coup de cœur en ce moment surtout
), one piece, bleach
Ton pirate préféré dans one piece : Nico Robin
~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~
Nom & Prénom : Yliria Seikyo
Age : 19 ans
Race : Humaine
Occupation : Pirate
Métier : Cuisinière
Physique : Yliria est d'une taille moyenne pour son âge, ses cheveux sont bleus naturellement, ils lui arrivent jusqu'au bas du dos.
Elle porte souvent une barrette qui ressemble à une aile d'ange sur le coté gauche de sa chevelure. Elle est aussi très souple.
La jeune femme porte la plus part du temps une longue robe bleu, qui lui sied à ravir, qu'elle peut en cas de nécessite raccourcir, pour plus d'efficacité en combat par exemple. La jeune femme a la peau plutôt blanche et un regard d'un bleu glacé. Ce qui ne reflète en aucun cas son caractère.
Caractère & morale : Yliria est très timide et ne parle pas souvent à des inconnus. Ce n'est pas son genre d'aller vers les gens.
Elle aurait plus tendance à les attaquer au moindre coup d'œil de travers. Elle aime bien les endroits près de la mer, et les endroits confinés où elle aime s'y reposer, comme la cale d'un bateau par exemple. Une fois qu'on la connaît mieux, ce personnage peut s'ouvrir et on découvre en elle une grande gentillesse, mais aussi une grande loyauté envers ceux qu'elle aime. En gros, sa phrase fétiche est "les amis de mes amis sont mes amis", et à contrario, "les ennemis de mes ennemis sont mes ennemis".
Ce qu'elle déteste le plus est la méchanceté, l'hypocrisie, et les méduses (peur infantile de ses choses visqueuses qui brûle la peau) Ce qu'elle aime, à par les endroits confinés, sont l'eau, les voyages maritimes et la liberté.
Fruit du Démon : Aucun pour le moment
Histoire : Yliria vivait chez sa grand-mère depuis sa plus petite enfance. Ses parents sont morts en mer, son père était militaires et sa mère tireuse d'élites au sein d'un équipage. Pour leur voyage de noce, ils ont voulu faire un dernier tour en bateau, et confièrent Yliria à la mère de sa mère. Ce fut le voyage de trop. Une tempête interrompit bientôt leur doux sommeil et quelques minutes plus tard, le bateau sombra dans les profondeurs des océans. Yliria n'avait alors que trois ans. Depuis, c'est sa grand-mère qui l'élève. Celle-ci lui raconte chaque soirs les grandes aventures de ses parents. Une aventure tous les soirs. Et c'est bercé par les récits des aventures de ses parents que grandit la jeune fille.
Son désir de prendre le large ne vint que le jour de ses seize ans, lorsqu'une bande de pirates malfamés arrivèrent dans une des innombrables îles d'EastBlue. Ils s'étaient mis en tête de piller la ville, pour prendre des vivres et s'amuser un peu. Ils semblaient imbattables, rien ne pouvait leur résister. Bientôt, les pirates se dirigèrent vers la dernière maison du village, celle de la grand-mère d'Yliria. Celle-ci s'était soudain mise devant la porte en bois grande ouverte, par laquelle on pouvait voir la vieille femme assise sur un tabouret attendant sereinement les brigands. Les pirates avaient aussitôt éclaté de rire en voyant la petite, un air résigné peint sur son visage, lever grands les bras en signe d'interdiction d'entrer. Ils l'avaient poussé sans ménagement sur le côté, tout en s'esclaffant. La petite, prise d'un excès de colère poussa le pirate qui n'avait pas vu venir ce geste, un peu fou, il faut bien le dire, mais désespéré. L'homme n'eût pour autre réaction que gifler la gamine sans ménagement, lui faisant perdre quelques dent de lait au passage. Le pirate leva ensuite son pouce et la passa doucement, un rictus de malveillance sur son cou, signant ainsi à la jeune fille qu'elle n'allait pas s'en tirer comme ça. La petite avait un regard effaré, ne pouvant contenir sa peur. Les brigands allaient piller sa maison, et elle ne pouvait rien faire. Un pas, deux pas, une dizaine de pas, des bruits de bottes, la fillette se retourna et vit des hommes marchant avec détermination, les poings serrés. Ils ne faisaient pas partis du village, Yliria le sut tout de suite. Les brigands-pirates regardaient la venue des hommes avec un mauvais œil. En fait, les hommes étaient aussi des pirates et les autres le savaient. Ils paraissaient ennemis, ils se connaissaient sans doute. Le chef de la bande de brigand lança avec mépris, à celui qui ressemblait au chef des hommes, une phrase qui ressemblait à ceci " C'est pas bien de martyriser les enfants." Le brigand s'était fâché et avait voulu coupé l'autre avec son épée, et le combat commença sous les yeux d'une fillette de neuf ans, et qui avait perdu ses deux dents de lait du devant de la mâchoire, créant un trou dans son sourire enfantin. La grand-mère avait accouru et prit Yliria dans ses bras avant de la faire rentrer dans la maison, et de fermer la porte à clef. A l'intérieur, elle gifla sa petite fille pour s'être mis en danger pour rien, à croire que le respect que lui enseigner la vieille femme ne lui servait guère. A la fin du combat, c'était les hommes qui avaient gagné, et ils étaient descendu au village pour aider les villageois à tout remettre et avaient bu ensuite à la taverne. La fillette les avait observé discrètement, et son désir de devenir pirate apparu, comme eux, pas comme les brigands qui les avaient attaqué quelques minutes plus tôt. Elle ne voulait pas encore partir et prendre le large, juste devenir pirate de son île. Rêve de gosse...
Rêve / But : Yliria souhaite, depuis ce triste jour où elle s'était fait agresser, parcourir les océans pour défendre les innocents comme l'avait fait ces pirates.
Post RP : Sur une falaise, non loin de la petite mansarde dans laquelle séjournaient sa grand-mère et elle, Yliria sourit à ces souvenir qui dataient. Recroquevillée, le menton sur les genoux, les bras entourant ses jambes, la jeune femme regardait la mer avec une envie de partir, de voir de nouveaux horizons. Elle fit tourner la sucette qu'elle avait dans sa bouche et loucha pensivement sur le bout du bâtonnet blanc. Elle se tapa le nez avec et émit un soupir. Si seulement sa grand-mère acceptait de la laisser partir. Mais dans ce cas, qui est-ce qui s'attèlerait à la broderie, la vieille femme faisait de l'arthrite jusque dans les doigts et avait du mal à marcher, alors imaginez un peu si elle brodait. Cependant, la vieille femme savait très bien enseigné et Yliria brodait maintenant comme un chef, et recousait aussi très bien.
Pourtant, l'envie de partir grandissait de jour en jour, jusqu'à étouffer le cœur d'Yliria. Tiens justement, on ne l'appelé pas là? Ah si...
Sa grand-mère, avec une canne supportant son poids, était en train de s'époumoner en agitant grand les bras en direction de la silhouette de sa petite fille. Un "puf!!!!" s'échappa de celle-ci et elle se releva avec souplesse. Tapotant le derrière de sa robe, plutôt par tique que par vérification d'un éventuel brin d'herbe voyageur, la jeune femme s'avança d'un pas régulier vers sa maison. C'était une grande baraque de pierres ancienne et dont le toit était fait de tuiles rouges briques. Du lierres grimpaient le long de la façade est. Arrivée à la hauteur de sa grand-mère, Yliria demanda :
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Devine quoi ?
Sa grand-mère affichait une mine si exalté que sa petite-fille crut qu'elle allait faire une crise cardiaque.
- Euh... Je ne sais pas trop... Tu pars en voyage? répondit au tac au tac Yliria.
- Exactement! s'exclama la vieille femme en pointant du doigt le haut de la poitrine de la jeune femme.
- Ah mais c'est génial!
S'écria la jeune fille, en sautant dans les bras de sa grand-mère, même si un sentiment de rancœur lui vint. Elle aussi aurait aimé voyagé.
- Par conséquent, tu es libre de faire ce que tu veux, ajouta la grand-mère, il est temps que tu apprennes à vivre par toi-même.
Yliria n'en crut pas ses oreilles, son rêve allait se réaliser, elle pourrait enfin voyager au grès de son envie, à condition de trouver un équipage. Quelques jours plus tard, sa grand-mère partit en bateau faire le tour de tous les océans comme elle l'aurait voulu et Yliria se retrouva seule. La jeune fille était maintenant devant la porte de la maison de pierre, la clé à la main, un sac sur son dos. Le vent se mit à souffler comme pour saluer le départ d'une vieille amie. La jeune femme ferma presque religieusement la porte en bois, et d'un mouvement de clef dans la serrure, elle entendit le petit clique, signifiant que la maison était scellée jusqu'au retour de la grand-mère ou de la jeune fille. La maison s'endormit, Yliria partit...