Jahz .. What else ? [Fini]

Présentation du joueur IRL -


Prénom : Gautier
Age : 16 bougies
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : Google .
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Très souvent beaucoup.
Tes Mangas préférés : GTO, One Piece, Naruto ..
Ton pirate préféré dans One Piece : Baggy le Clown
Ce qui t'as motivé à venir : Envie de Rp
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Quelques années.
Hobbys : Escalade, Ordi, Xbox 360 ..
Autre(s) : Oupah.

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Jahz Kaztroy

• Surnom (facultatif) : Touche Final

• Age : 26 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil) : Pirate

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Égoïste

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Utilisation d'armes à feu.

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Mon personnage possède : deux pistolets semi automatique, un cercueil qui peut lui servir d'arme au corps à corps, un fusil de précision et un lance boulet de canon. A vous de décider si ce sont des armes d'exceptions ou non.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Le seul but de Jahz est de survivre, et d'après lui la faim justifie les moyens.



◘ Description Physique :

Jahz est un jeune homme d'environ 25 ans, l'expression de son visage permet de penser que ce personnage est serein. En effet son nez est fin et long, il possède un menton légèrement en pointe. Sa bouche est toujours encombrée par un gros cigare ou bien un pétard. Ses traits de visage lui donne une allure plutôt douce. Ses cheveux sont, au naturel, blanc comme neige, mais leurs délaissement total les à rendus gris et sale. A première vue on pourrait dire que Jahz se porte bien, mais c'est lorsque l'on croise son regard que l'on rencontre sa vrai personnalité. Ses yeux sont d'un bleu particulièrement sombre, ils sont surplombés de deux sourcils plus foncés que sa chevelure qui ne bougent que rarement. Ce regard inspire un profond sentiment de déception et de chagrin. Jahz est vêtu d'un grand manteau noir fait en cuir ainsi que d'un pantalon de la même couleur et dans le même modèle que son manteau. Il possède une paire de bottes noir de jais qui remonte jusqu'au genoux. Jahz se trimbale toujours avec son équipement de bataille. Il dispose de deux pistolets en tout point ressemblant, d'une arme à feu automatique ainsi qu'une lance missile. Tout cet attirail est rangé dans un cercueil qui lui sert aussi parfois d'arme de corps à corps. Pour porter ce lourd catafalque il est doté d'un harnais ainsi que deux chaines accroché aux extrémités du cercueil qui s'enroulent autours de ses bras. En cas de combat Jahz détache le harnais et ne garde d'attache qu'à ses bras, ainsi il peut se servir du tombeau comme d'une arme.

◘ Caractère & morale :

Jahz n'aime pas la vie, elle est une prison qui l'empêche de bouger qui l'empêche de rêver. Il passe sa vie dans une cage faite de chair et de sang, les personnes qui l'entoure l'ont toujours enchainé que ce soit physiquement et psychologiquement. La société dans laquelle il vit est faite pour que l'humain soit conditionné, pour que l'homme ne bouge une oreille sauf lorsque l'on lui en donne l'ordre. Il y a un temps ou ont osait liberté, et dans ce monde la seul liberté que pourrait avoir Jahz est de mettre fin à ses jours pour aspirer à une mort plus heureuse que sa vie. Mais malgré la souffrance psychologique qu'il à dut endurer en voyant sa mère se faire battre par son père, malgré que la société le rejette, il garde dans l'esprit une raison de vivre, une raison qui le pousse à subsister dans ce monde pourrit de l'intérieur. Avant de mourir sous les coups de son père, sa mère lui demander de rester en vie et de vivre heureux. C'est donc depuis trois ans qu'à contre cœur il survit pour faire plaisir à sa mère défunt, sans espoir, sans but et sans conviction on sens bien que malgré le vœu de sa mère le jeune Jahz âgé d'à peine 26 ans pourrait bien mettre un termes à cette vie si inutile. A moins que certaine personne puisse lui donner un nouveau souffle, rallumer la flamme dans son cœur. En attendant Jahz se maintient en vie seul, et cette solitude l'a renfermé sur lui même, ses mauvaises expériences de la société l'ont rendu égoïste et maintenant il ne pense plus qu'à sauver son cul en marchant sur celui d'à coté.

◘ Histoire :

Je naquis sur sur Atsu Island, une île infectée par la vieillesse et les centres hospitaliers en tout genre. Les habitants mènent ici une vie paisible, les personnes du troisième âge vaquent à leurs occupations divers et variées tandis que la jeunesse s'occupe de travailler. C'est une île penché sur la médecine et tout ce qui tourne autour, de ce faite beaucoup d'enfant sont voués à une vie de praticiens. Mais ma famille n'était pas du même genre que les autres habitants, mes parents n'aspiraient pas à un futur tourné vers la médecine pour moi. A vrais dire ils se fichaient pas mal de ce que je pouvais devenir. En effet mon père était un chômeur depuis longtemps et il allait noyer sa peine dans l'alcool, tandis que ma mère se tuait au travail pour couvrir le salaire de son mari et pour que nous puissions vivre heureux. Cette situation n'aurait put dégénérée, mais hélas elle le fit. Après s'être fait licencier mon père devint un alcoolique et son état perpétuel d'ivresse le mettait dans un état de violence extrême. J'avais cinq ans quand ses crises de folies commencèrent, terrifié je me cachais dans mon placard le temps que les beuglement s'estompent. Je ne savais ce qui était pire, le fait d'entendre mon père hurler et casser des objets, ou bien d'entendre le crie aiguë de ma mère se faisant frapper et surement violer. J'étais à l'époque un peu jeune pour comprendre mais avec le recul je me rend compte que mon père est une vrais ordure. Puis à la fin de la crise, ma mère rentrait dans ma chambre en pleures pour allait voir si tout allait bien. Plus le temps passait plus les séquelles sur les visages de mes parents se voyaient, l'alcool le détruisait aussi bien physiquement que mentalement tandis que ma mère subissait les colères de mon paternel, les bleues et les blessures se multipliaient, mais heureusement elle arrivait toujours à m'écarter de ces moments de folies. J'essayais de vivre ma vie le plus naturellement possible, je ne disais rien à personne car j'avais peur des préjugés j'avais peur qu'on me reproche quelque chose. Mais un secret comme ça est dur à dissimuler et les hurlements incessants chaque soir attirèrent l'attention des voisins et bientôt tout le monde sut ce qui se passait dans notre demeure. Ma mère ne voulait rien avouer, car elle essayait de m'octroyer une vie la plus normal possible, et sans preuve mon père ne pouvait aller en prison. Maintenant que la ville était au courant les enfants m'évitaient, les parents ne me demandaient pas si j'allais bien et le troisième âge avaient peur de moi, peur que je devienne comme mon père. Ce dégout pour ma personne me mettais à bout de nerf et j'avais envie de tous les tuer, mais une chose me retenait, c'était mon père. Je ne voulais pas lui ressembler. Je restais alors impassible devant cette société qui me rejetait bien qu'à l'intérieur j'avais mal.

C'est lorsque j'approchais de mes treize ans que ma vie bascula vraiment, à la maison les crises s'amplifiaient et devenaient de plus en plus violente. Un jour ma mère vient me voir le visage ensanglanté et me dis : "Jahz je veux que tu vives, je veux que tu ais une femme et que tu ais une vie heureuse, je t'aime." Ces mots m'avaient frappés en plein coeur, je ne savais pas ce qui allait se passer, elle n'était jamais comme ça. J'avais peur, peur de la perdre, peur de rester seul ... Le jour qui suivit je m'enfermais comme à mon habitude dans ma chambre, j'entendais des hurlements stridents et des vases qui se brisaient, puis d'un coups le bruit s'estompa. Mon père entra dans ma chambre pour me chercher, j'étais tétanisé et je ne bougea point. Il hurla alors : "Ta mère est morte, je ne sais pas ce que j'ai fais, je suis désolé fils .!!!" Lorsque j'entendis ses mots, mon cœur se mit à bouillonner, je rentrais dans un état second, je sortis de mon placard je partis. Sans argent ni travail, sans nourriture ni amis, je n'allais pas faire long feu. Pendant un moment j'ai vécut comme un mendiant, je n'avais à mangé qu'une fois tout les deux ou trois jours suivant l'humeur des passants. Après trois semaines de vie dans la rue je décidais de migrer vers une autre île qu'Atsu Island, j'avais entendu parler d'un cargo de marchandise qui faisait la navette entre Atsu Island et Kin Town. C'est la veille de son départ que j'en profitais pour m'infiltrer dans le bateau. Je m'étais caché dans la cale et à ma grande surprise un autre immigré avait pris ma place, il était très intimidant, il portait un long manteau noir de jais et à ma grande surprise disposait d'un cercueil dans son dos. Je fis mine de ne pas le voir et alla me dissimuler le plus loin possible de lui, mais c'est cet étrange homme qui vint me voir, il me dit avec une voix rauque :


Qu'est-ce qu'un petit gars comme toi fait dans un endroit pareil ?

Je cherche un refuge ..

J'ai une proposition à te faire, je peut te fournir un logement et de la nourriture mais en échange tu deviendras mon élève et tu va en baver.

Je ferais tout pour pouvoir manger.

En arrivant sur Kin Town je suivis donc cet étrange homme, il s'appelait Brandon et malgré ses apparences il était très sympathiques, il s'occupait bien de moi, j'avais autant de nourriture que je voulais, je pouvais dormir dans un vrais lit, l'hiver j'avais une maison et l'été un jardin. Au bout d'un certain temps il vint me parler sérieusement pour m'enseigner à la maitrise du tir. J'étais étonné et effrayé lorsqu'il me montra son arsenal, il me confia deux pistolets très lourd pour moi et m'appris à tirer avec. C'était donc de 8h à 18h que je m'exerçais à cet "art". Il était très impliqué dans mon apprentissage, je connaissais pas ses intentions mais je sentais que Brandon était un type louche, pourquoi paierait t-il n'importe quoi à un gamin juste pour lui apprendre à tirer. Mais j'essayais de pas me poser de questions car cet entrainement me permettait de me défendre. L'espace ou je m'entrainais était une clairière en plein milieu de la forêt, je ne me faisais déranger par aucun homme pendant les 10 heures ou je tirais. Brandon me montrait rapidement la technique puis il me laissait seul, j'aimais bien ce système, je m'étais habitué à vivre seul et cela ne me dérangeais plus. Qu'il grêle ou qu'il vente je tirais sur les cibles. J'adorerais la sensation lorsque l'on appuis sur la gâchette et qu'on sent la puissance de l'arme dans notre corps, et le plaisir de faire mouche lorsque l'on tire dans la tête. Mon apprentissage dura plusieurs années et lorsque je sut parfaitement tirer Brandon me dévoila son plan et m'emmena en mission. Dans une maison de Kin Town une bande de voyous plein au as se retrouvent pour une transaction, ma tâche est simple : tout l'argent est dans un coffre, je dois juste m'infiltrer ce qui sera facile grâce à Brandon qui fera distraction dans les autres salles. J'avais un peu peur mais il me l'avait annoncer tellement bien que je me sentais en sécurité malgré le faite qu'ils sont tous armés jusqu'aux dents. La veille j'eus droit à un copieux repas, avec de la bonne viande et du bon vin et cela me parut plutôt bizarre malgré le fait que c'était réjouissant. Le lendemain, au petit matin nous nous sommes mis en place, je fis la rencontre de quatre allié de Brandon tous aussi atypiques les uns que les autres. Brandon qui dirigeait l'opération me montra le plan de la maison, je n'avais que deux salles à parcourir pour allé chercher l'argent, j'étais équipé de deux grand sac, de mes deux pistolets fétiches et c'est tout. La journée fut interminable, j'avais hâte que le soleil se couche et que je puisse enfin entrer en action, je ne savais pas si je devais tuer des personnes mais une mission comme celle ci donnait un sens à ma vie pour la première fois.

La nuit était tombée, dans la rue l'activité se réduisait et les seuls personnes encore présente étaient les prostituées et les dealeurs. Nous étions tout les cinq de face, je me sentais puissant avec mes armes et les hommes de mains de Brandon, il m'avait acheter un manteau en cuir comme eux la veille et j'étais maintenant intégré dans le groupe. Je me plaçais la ou l'on m'avait dit en attendant le signal, soudain un coup de feu retentit, puis deux, puis trois. Je commençais à me sentir mal, lorsque je reçus le signal et je rentrais doucement et furtivement. Je passais la première salle sans opposition, tout se déroulait bien pour le moment. Mais quand j'entrai dans la seconde salle je tombais sur une escouade de la bande, ils étaient étonnés de voir un gamin de 17 ans entrer dans leurs demeure, mais ils le furent encore plus lorsque je dégainais mes deux pistolets et que j'envoyai une balle dans le cœur d'un ennemi. Je braquais les autres, et je leurs disais de déguerpir, mais comme de bon pirate fier et fou ils voulurent se battre. Et je fus surpris lorsqu'un gros costaud me sauta dessus et qu'une balle dans le ventre ne lui suffis pas. Je paniquais et je vidais mon chargeur sur ce géant. Il gisait alors sur le sol maintenant taché de sang. D'un habile coup de main je rechargeais mon pistolet tandis qu'avec l'autre je faisais mouche. Il ne restait maintenant plus que deux personnes qui paraissaient elles aussi très jeunes, j'eus pitié de ces deux la et lorsqu'ils m'implorèrent de les laisser en vie je le fis. J'entrais maintenant dans la salle du coffre fort qui à ma grande surprise était vide, je me précipitais sur le coffre et pris de grosses poignée de pièces. Les deux sacs étaient maintenant remplis et je peinais à sortir, j'entendais des hurlements dans les autres salles, surement mon équipe qui faisait son travail. A la vitesse ou j'avançais j'eus le temps de regarder les corps qui jonchaient le sol et j'avais un profond dégout en voyant ces hommes mutilés. En sortant, je vis brandon seul, il m'expliqua que les autres étaient morts dans la mission mais il était content que je m'en sois sortis. Il me demanda, à ma grande surprise, de lui rendre les pistolets qu'il m'avait offert. Et lorsqu'il les pointa sur moi je compris que je venais de me faire berner et que je n'avais été qu'un objet destiné à un seul usage et que j'étais maintenant périmé. Je sentais que mon cœur sortir de ma poitrine, j'essayais de garder mon calme et de trouvait une issue logique mais son doigt appuyer sur la gâchette et je me rappelais des moments de mon existence, je lui souris car je voyais en lui ma délivrance, cette vie n'était pour moi qu'une succession de défaite et je voulais en finir, en fin de compte j'étais heureux qu'il me fasse ça. Le coup retentit dans toute la ville, je sentais une douleur dans mon ventre, je mis les mains sur l'endroit touché par la balle, j'avais les mains ensanglantées et je regardais Brandon avec un air béat. Cette douleur était intense et je sentais bientôt que je m'échappais vers la mort, la douleur s'amplifiait et bientôt elle devint si forte qu'elle avait l'effet d'un sédatif, je fermais les yeux et j'eus l'impression de m'endormir. La mort me semblait si paisible.

Ce calme ne dura pas car je me réveillai en sursaut dans un endroit complètement différend de la ou je m'étais endormis, j'étais dans un centre hospitalier d'Atsu Island, je regardais l'endroit ou la balle m'avait touché et j'avais un gros bandage dessus. J'eus comme un soulagement de ne pas être mort mais en même temps j'étais si proche de découvrir ce qu'il y avait après que je ressentais comme une déception. Une infirmière vint me voir pour me faire le bilan des opérations, j'avais échappé à la mort de peu, si une catin ne m'avait pas trouvé gisant sur le sol je serais entre quatre planches et non entre quatre murs. J'ai été transféré d'urgence à Atsu Island pour avoir des soins plus poussés et éviter une infection. Pour l'instant il me fallait juste du repos et encore du repos, alors pendant deux semaines je restais allongé dans un lit certes très confortable mais qui à la longue m'emmerdait profondément. Le seul plaisir que je pouvais avoir c'était de regarder par la fenêtre et de voir la mer si paisible par moment et si déchainé par d'autre. Je me perdais pendant des heures dans ce bleue si profond et si beau et je compris pourquoi ont disait que la mer était la femme des marins. Je pouvais aussi jouir d'une belle vue sur le derrière de la belle infirmière qui m'assistait lorsqu'elle rentrait dans la chambre. Le reste du temps je pensais à ma vengeance, quand je serais en état j'irais retrouver Brandon et je le tuerais. J'élaborais un plan pendant le temps passé à l'hôpital et je le mis en application lorsque je sortis du centre. Je retournais sur le quai d'Atsu Island pour pouvoir prendre un cargo en clandestin. Dans la cale j'imaginais Brandon à la même place que la dernière fois et je m'inspirais de la peur tout seul. En arrivant à Kin Town je me dirigeais vers sa maison et chaque pas que je faisais devenaient de plus en plus lourds et il m'était difficile d'avancer. Je sentais ma blessure se réveiller à certains moment et je gémissais car cela me faisait un mal de chien. En arrivant à sa maison j'attendis le petit matin pour attaquer, je connaissais son mode de vie et je savais qu'il travaillait la nuit soit pour faire barman soit pour exécuter des missions comme celle ou je fut piégé.

7 heures du matin, Brandon venait de rentrer et je le suivais discrètement. Il pris son temps pour se changer pour faire sa toilette et pour se mettre au lit, moi j'attendais patiemment, et plus je m'approchais du but ultime plus je sentais mon cœur battre fort plus je réfléchissais vite et plus l'adrénaline montait. Après un temps qui parut interminable il se mit au lit et j'attendis encore quelques instants pour qu'il s'endorme, je n'étais armé que d'une chaine. Je n'avais trouvé d'autre moyen pour le faire payer que de l'étrangler, méthode sur et discrète pour assassiner quelqu'un. Je me suis mis derrière son lit et passa la chaine autour de son cou, le reste se passa très vite, je serré un grand coup sur sa gorge, Brandon se réveilla en sursaut. Il me donnait des grands coups de poings dans le visage pour le lâcher, je l'entendais s'étouffer et je sentais qu'il n'allait pas tarder à mourir, ses frappes étaient de moins en moins fortes, sa gorge se rétrécissait et bientôt il ne bougea plus. J'étais triste d'avoir tué celui qui m'avait tout appris, il fut un deuxième père pour moi, mais j'étais en même temps soulager de l'avoir fait, il fallait que je me venge. Je me précipitais sur ses affaires et je volais tout, ses pistolets, sa mitrailleuse, son bazooka et son cercueil. Je rangeai tout mon arsenal dans le tombeau et je me l'attachais grâce à son harnais tandis qu'avec la chaine j'attachais les extrémité de la tombe à mes bras. Je pris aussi sa ceinture pour ranger mes deux pistolets, son chapeau noir fut aussi mien puis je partis.

Je me rappelais des paroles de ma ma mère, elle me demandait de vivre et c'est ce que je compte faire, mais je ne puis plus être heureux maintenant.




• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]

Post Rp :


(Rp écris avec Neko sur ce forum, c'est une partie d'une de mes quêtes ou je devais détruire des bases révolutionnaires. J'ai bien sur envoyé un MP avec le compte de Neko à Celérion pour prouver que c'est moi qui ai écris ce texte.)

[center]Neko était en avance, son coéquipier n'étant toujours pas la elle décida de faire une petite sieste. La jeune femme se cala au pied d'un vieux chêne face à la mer. Elle admirait le beau paysage planté en face d'elle, le soleil se reflétait sur la même bleue azur, en ne voyant que ce petit bout de paradis on pourrait se croire sur un monde utopique. Le calme régnait, l'air était doux et rafraichit par une légère brise marine venant caresser la peau de Neko. La belle demoiselle esquissa un sourire, elle était si bien en attendant son compagnon. Le majestueux chêne projetait une ombre sur la femme qui se faisait bercer par le chant des cigales. Son esprit voguer dans une mer de nuages, ses yeux se refermaient doucement, sa vision se troublait. Puis Neko se sentit libéré, à deux doigt entre le rêve et la réalité, son cerveau c'était mis en pause pendant un cour instant. Yanagi voyait le monde qui l'entourait avec un regard floue, elle ne percevait plus les dimension, ni les forme ni les contours de ce monde. Une masse vint soudain à sa rencontre, sa perception des choses s'accentuait les couleurs devenait plus précise, Neko reprit ses esprit. Son petit moment de plaisir pris fin quand un grand gaillard vint la déranger. Il était très imposant et musclé, il avait un visage de vétéran caractérisé par ses nombreux cicatrices sur le visage. Son arcade droite était fendu, et sa lèvre du bas coupé. Il était brun et commençait à perdre ses cheveux noir de jais. De son gros bras il attrapa le poignet de Neko et la releva brutalement. Quel manque de gentillesse et de tact envers une femme pensa Yanagi toute chamboulé.

Le bonhomme avait la banane sur son visage, surement très heureux d'être ici il était en plein forme et voulait attaquer tout de suite leurs mission. Mais il lui fallut patienter, le temps que Neko émerge de son semi sommeil. Celle ci passa délicatement sa main dans sa chevelure blonde et épaisse pour tenter de se recoiffer. La jeune femme s'étira longuement, puis sans dire un mot se mit en route vers la ville de Kokoyashi Town. L'endroit était moins paradisiaque que le petit havre de sérénité dans lequel elle avait dormis. Quand ils entrèrent dans la ville, les deux personnages découvrirent des bâtiments pourris et fracassé, des ruelles sombre et sale. Les magasins étaient tous fermé. La révolutions croissante dans cette ville avait laissé des séquelles au habitants. Les batailles régulières n'avaient pas arrangé la ville. Toutes les portes ainsi que les fenêtres étaient barricadés. Kokoyashi était une ville fantôme, mais les habitants sont des fantômes alcoolique. Il y avait une taverne d'ouverte, celle ci était remplie d'infâmes révolutionnaire qui se vanter de leurs précédentes batailles. Neko leurs aurait bien fermer le clapet mais sa mission consistait à être discrète. La jeune femme se tourna vers son camarade nommé Yushi pour lui donné quelque ordres à propos de leurs discrétion. Mais elle ne le trouva pas en se retournant, Neko scruta la pièce, aucune trace de son compagnons ... Elle était anxieuse en ne le voyant plus car lui seul arrivait à faire exploser des bombes. Incapable de manipuler des explosifs Neko ne voulait pas perdre son camarades.

Elle s'approcha du comptoir tout en cherchant son allié, Neko se mit dans une colère noire quand elle l'aperçus près du tavernier en train de picoler joyeusement. Son poing le démangeait et elle ne put s'en empêcher. La jeune femme en colère lui fit une grosse bosse sur le haut du crâne en hurlant. Elle avait arrêter son camarade à temps, comment aurait ils put réussirent leurs mission avec une personne bourré ... Vraiment il était pitoyable, elle le tira par l'oreille et le sortit dehors. C'était déjà la tombé de la nuit, il fallait vite trouver la cachette, Neko attrapa Yushi par le col puis utilisa le Geppou. Yanagi effectua des petits bond dans les airs jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus monter plus haut. Yushi était trop lourd et cela devenait pénible de sauter dans les airs avec 90 kilos en plus. Il fallait trouver une maison au nord, une petite maison avec un porte blindé. Ce n'était pas banale et bien vite elle trouva la baraque recherché. Il faisait maintenant nuit noirs, et les deux camarades étaient complètement dissimulé dans l'obscurité, la ville fantômes ne générer aucune lumière. Il y en avait une, près de la bouche de Yushi car il fumait tranquillement sa clope. Neko se garda de lui retirer de la bouche, ils marchaient d'un bon pas pour ne pas arriver trop tard. Yanagi observa le ciel, il y avait déjà une multitude d'étoiles, c'était une nuit sans lune et la nuit était encore plus noir que d'habitude. Après une dizaines de minutes de marche rapide les Neko et Yushi se retrouvèrent devant la porte. C'était une grosse porte blindé avec deux serrures sur les côtés. Au milieu de la porte à la hauteur des yeux il y avait une petite fenêtre, ils devaient exécuter leurs mission dans la discrétion. Bien évidemment Yushi grand con qu'il est toqua violemment contre la porte, se faisant mal au main au passage. Neko lui criait dessus quand une personne ouvrit la petite fenêtre. La marine ne vit de lui que ses deux petits yeux de fouines.

Mot de passe.

Neko fronça les sourcils, puis réfléchis à un mot de passe ... Pourquoi devrait il y avoir un mot de passe. Ne sachant que dire la jeune femme laissa sortir de sa bouche le premier mot qui le venait à l'esprit. Elle le dit d'un ton clair, elle donnait l'impression de bien connaitre le code, jouant bien la comédie elle croisa les yeux de la fouine et lui envoya un regard de tueuse.

Chat.

Même avec ce regard le révolutionnaire n'accepta pas. Il referma la petite fenêtre, tandis que Yushi se marrait. De l'extérieur ont entendis une sonnerie. Surement que l'alarme avait été donné. Exaspéré Neko ouvrit subtilement la porte. La jeune femme posa ses poing sur la porte et utilisa le son attaque la plus puissante. Elle se concentra, plissant les yeux. Yushi était redevenue calme en voyant Neko s'exécuter. La jeune femme rouvrit les yeux puis une vague d'énergie heurta la porte blindé, celle ci se détacha et partit valser dans la cachette. Les révolutionnaires étonné, ne s'étaient pas préparé. Yushi entra le premier mais Neko l'agrippa et le fit passé derrière. Son devoir était de le protéger, elle s'avança avec une démarche royale et sur d'elle. Neko passa sa main dans ses cheveux puis rentra dans le nuages de poussières provoqué par la porte. Les révolutionnaires quand à eux percevaient deux ombres se dirigeant vers eux. Le sabre en main les révolutionnaires c'était quelque peu préparés et attendaient les deux ennemis. Leurs chance de victoire était faible, il y avait une dizaine d'ennemis. Yushi sortit de l'ombre en premier, grâce à son apparence les révolutionnaires ne chargèrent pas tout de suite l'homme ressemblant à une armoire à glace. Grande furent leur surprise quand la demoiselle apparut devant eux, elle s'était servit du Soru pour disparaitre du champ de vision des défenseurs. Neko esquissa un sourire, releva une mèche qui lui tombait devant les yeux. Une intrépide essaya vainement de la touché. Yanagi utilisa le kami-e, maintenant aussi souple qu'une feuille elle esquiva les attaques du jeune homme. S'amusant avec lui elle l'occis en un seul coup. Son index fut se dirigea vers le cœur du révolutionnaire avec une vitesse incroyable. Le doigt toucha la chair pour ensuite rentrer, la puissance de son coup allié avec la vitesse toucha droit au but. Neko évita la cage thoracique du jeune homme, son doigt s'enfonçait de plus en plus, puis Yanagi sentit un organe mou et le transperça. Le révolutionnaire ne poussa aucun cri puisqu'il mourut sur le coup. Impressionné les ennemis se mirent en position de défense. Pendant se temps Yushi c'était écarté du combat, il recherchait la caisse d'explosif. Le nombres d'ennemis était faible bien que la planque soit grande. Yushi passa devant le frigo et s'arrêta pour prendre du jambon. Puis il aperçus une caisse, malheureusement celle ci était dans une cage. Yushi déçus s'assit devant, il croisa les bras et attendis Neko. Celle ci avait déjà tué 4 personnes, le cinquième eu le crâne explosé, Neko utilisa contre lui la technique redoutable du Tekkai Sai, son corps était aussi dur que l'acier, puis Yanagi se mit à faire des mouvement rotatifs dans les airs, sa vitesse était considérable. La jambe tendus elle se rapprochait inexorablement du crâne de sa cible. Jusqu'au moment fatidique pour le révolutionnaire qui eut les os brisé. Son crâne se fracassa face à la violence du coup. Du sang coulait de son nez ainsi que de sa bouche. Sa nuque fut brisé au passage. Neko était maintenant maculé de sang. Elle donna à son visage une expression meurtrière, puis s'attaqua au cinq restant, courageux amateur qu'ils sont ils essayèrent de trancher Neko mais en vain. Celle ci utilisa le shigan, en une secondes seulement elle avait déjà fait autant de trous dans un humain que ce qu'il y a dans un gruyère. Les corps tombaient un à un, et bientôt il n'en restait qu'un. Par bonté d'âme elle le laissa s'enfuir. A vu d'œil il n'avait que 17 ou 18 ans, et ce n'était pas son heure. Le combat terminé elle entendis Yushi l'interpeller. Celle ci se dirigea vers le grand bonhomme et en voyant la cage compris tout de suite. Elle regarda Yushi avec un air exaspéré puis d'un coup de pied désinvolte elle utilisa le Ran kyaku sur la cage qui se coupa. Maintenant qu'ils avaient les explosifs il fallait trouver les autres planques. Sans dire un mot Neko utilisa le kamisori et rattrapa le révolutionnaire en fuite. Yushi étonné retourna à la sortie, passant devant les corps meurtris, la salle empesté la mort. Il détourna le regard devant ce carnage, Neko avait intercepté le révolutionnaire et l'interrogea à propos des planques. Une au sud et une à l'ouest d'après la confession du jeune homme, sa bonté d'âme n'était plus et elle le tua. Son sang souillait les vêtement déjà maculé de Neko.

Leurs prochaine direction était maintenant les deux planques contenant des armes trop dangereuse pour être utilisé contre la marine.