Gen. This is your Last show. Terminée.

Prénom : Christopher
Age : 19 ans
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : Pub sur un autre forum !
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Je sais pas xD
Tes Mangas préférés : One piece, Naruto, The breaker, Bakuman, Hellsing… Et j’en passe, la liste et longue.
Ton personnage préféré dans One Piece : Crocodile ^^.
Ce qui t'as motivé à venir : La pub ! xD
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : 5 ans a peu près.
Hobbys : Pc, sortie, lecture, ecriture, musique, football américain.
Autre(s) : /

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Gen Hokushin.

• Surnom (facultatif) : Gen.

• Age : 19 ans.

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain.

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Indifférent voir sadique.

• Métier/Spécialité : Second de Léo Crow.

• Pouvoir demandé : On m’a dit que le logia Yougan Yougan No Mi était disponible. (le logia du magma)

• Rêve(s)/But(s) du personnage : A définir.

• Code présentation :

https://www.youtube.com/watch?v=D8uYg7tqfHg
https://www.youtube.com/watch?v=G8qbb6cUtDI



◘ Description Physique :

◘ Caractère & morale :

Stoïque.



◘ Histoire :

Livre Un
Chapitre Un : « Je suis l'engeance Pécheresse »

• « Je suis le produit d'un père détraqué, alcoolique, tueur de sang froid, et d'une mère, de profession, pute. Immonde salaud, qui, par pur recherche de plaisir personnel, à négligé la vie de personnes, et de plusieurs dizaines d'enfants. Rechercher pour meurtres, le mois de ma naissance, il revint à la maison, pour se planquer... »

Livre Un
Chapitre Deux : « La mort vint toquer à ma porte. »

• 
  « Et si je trouvais la moitié de mon âme, elle me sauverait de mon destin damné. De ma vie de folie. »
  

Un coup, puis deux, puis trois, la dizaine suivante ne fut que brise légère, tellement son esprit vagabondait... pourtant, le sang coulait sur son dos, gluante masse de vie, que la hargne du chef de l'établissement, de plus en plus grande en voyant qu'aucun son ne sortait de la gorge de sa victime, et que sa précieuse invité redoublé, faisait couler, ne changeait rien à sa totale absence de réaction. Grand bien lui fasse, qu'il passe ses nerfs sur lui, cela était son pain quotidien, alors qu'il s'acquiert de sa besogne, et qu'on en finisse.

Un cinquante de coups plus tard, le jeune homme fut relâché. Tenant à peine sur ses jambes, personne n'était là pour l'aider, alors que le pauvre garçon titubait dans le couloir. La solitude, il avait l'habitude... Gen n'avait besoins de rien ni personne, aucun camarade, aucun amis, pas même une connaissance, tous tremblait déjà rien qu'au nom que son père lui avait légué... Le nom d'un tueur en série, recherché pour plus d'homicides que n'existaient de feuilles sur un arbre. Alors le garçon n'en avait cure d'être approché, aidé, soutenu. C'est alors qu'une main vint se placer sous son épaule, et qu'une frêle jeune fille ne vienne lui porte secours... Surpris, il tourna la tête, pour découvrir la fille aux cheveux de feu.

« Tu ne devrais pas faire ça, ils vont te haïr, tu sais... »

Son ton était neutre, il avait su garder contenance devant elle, un bon point. Son regard froid, et son visage austère, évoquait là un fait indéniable, un avenir tout tracé, alors qu'il repoussait doucement la jeune fille, trébuchant, se rattrapant à un mur, les tâches de sang maculant un peu plus le tissus de son haut, créant des sortes d'auréoles foncées. La voix salvatrice rétorqua.

« Dis pas de conneries, t'es déjà pas en état... Et puis je me fou des autres. Moi c'Gabrielle, gabrielle firenze. »

Lui tendant la main, qu'il prit, alors qu'elle la glissait une nouvelle fois sous son aisselle. Le soutenant. Amour, vint se teinter de respect.
« Sache que dans la vie, on a rarement ce que l'on souhaite, c'est souvent le voisin qui possède nos plus grands désirs. Et lorsque l'on parvint à nos fins, le destin nous retire tout ce que l'on a. »

Ils se lièrent bien vite d'amitié, malgré le comportement violent de Gen, et la répugnance que Gabrielle avait pour toutes formes d'agressivité, une sorte de connivence s'était crée entre eux, au premier regard. Comme une ressemblance, tout en étant diffèrent. Les opposés s'attirent, et les deux âmes, se rapprochaient plus d’un oxymore que d'un parfait état d'union, étaient empreints d'un magnétisme étrange. Après tout, il était tombé sous le charme, une sorte de coup de foudre, les seuls qu'il ne puisse parer. Le cœur, voilà la faiblesse de tout homme. Et pour lui, son talon d'Achille, c'était elle. Belle faiblesse, qui faisait aussi sa force, même s'il ne l'admettait pas alors, ce serait lorsqu'elle serait en danger que le garçon montrera toute l'étendue de son potentiel, mais aussi de son sadisme et son inflexibilité. Point de compassion pour l'ennemi, Gen serait plutôt du genre à ne pas faire de prisonnier.

La vie suivit son cours, jusqu'au jour ou il apprit que son destin ne serait pas d'être un déchet social, vivant au crochet du monde, comme le disais son « tuteur », mais d'être une sorte de héros, un martialiste du Mujenco ! L'espoir naquit en son cœur, bien que celui-ci fût entaché de tristesse, celle de quitter Gabrielle, sa douce amie. Mais le garçon se dit qu'il fallait bien faire des concessions dans la vie, et que le destin les rapprocherait bien un jour, et ce n'était pas si faux. Et bien plus vite que ce qu'il ne pensait.

La plupart du temps, lorsque l'on parcours les textes des personnes ayant vécut dans cette académie, cette école est décrite comme un lieu ou il fait bon vivre, joyau de camaraderie et de sympathie, alors on se dit que la vie lui fût plus facile. Ce qui en soit, est vrais, car le garçon ne recevait plus de coup, il était là pour, en quelque sorte, se battre, alors ce serait un comble qu'on le punisse pour cela, non ? Mais avouons qu'il mettait du cœur à l'ouvrage, pour sûre. Détesté à cause de son nom, tous chuchotais celui-ci, suivit de nombreuse réplique, sans doute mauvaise, sur la raison de sa présence, et les parents des élèves trouvaient inadmissible qu'un tel danger potentiel côtoie leurs enfants, faisant pression pour qu'il parte. Bien que le directeur ce refusait à toutes négociations, cela blessait d'autant plus le petit bout d'homme, qui trouvait intolérable qu'on l'associe à son « père ».
Gen serait partit, si quelqu'un n'avait pas renversé la tendance, transformant le lieu détestable en une sorte de havre de paix. En effet, un an après son arrivé, Gabrielle le suivit, entrant en tant qu’étudiante dans l'école. Et le jeune homme décida qu'elle serait sa partenaire. Bien que cela ne fut pas facile, car de pars la grâce et la puissance de la jeune fille, tous voulaient se l'approprier, en plus de sa beauté corporelle, sommes toute remarquable.

Le seul incident notable dans sa carrière au Mujenco, fût lors des partenariats.


~ Remember~


« Alors ma mignonne, on c'est décidé à trouver quelqu'un ? »

Vash, un des martialiste « star », qui faisait des émules parmi la gente féminine. Lui et sa bande avait décidé de jeter leur dévolu sur la jeune fille. Enfin, le jeune homme avait décidé qu'elle serait sa partenaire, et les autres avaient suivis. Crétins de moutons.

« Prends Vash, c'est le plus fort ! Vous iriez tellement bien ensemble »

Un petit rire, dans un coin, retiens l'attention des cinq personnes présente, alors que reniflant, la démarche féline du haut de ses un mètre quatre vingt, Gen avance vers le petit groupe.

« Qu'est-ce qui te faire rire ...le parasite ? »

Oui, c'était son petit surnom... Sympathique petit quolibet n'est-ce pas ? Tout cela parce que son géniteur était un tueur, et lui, considéré comme un usurpateur. Jamais l’école n’aurait du démarcher un pareille monstre, elle, garante de la « justice ». Mais il n'avait plus cure de tout cela, lui importait seulement le regard de son amie. S'approchant, l'air mauvaise, Gen passa derrière elle, tandis qu'il ne s'arrête pas, venant de plus en plus près de Vash. Soudainement, sa tête se baissa a sa hauteur, tandis que son sourire carnassier ne viennent illuminer son visage d'un air agressif. Sa voix, incisive, arrogante, ironique, s'élève alors.

« Toi ?! Alors que son doit ne se pointe sur l'autre garçon Ah non, non, c'pas toi... C'toi, et toute ta petit bande de nases. Tu me suis ? »

Alors qu'il lui tourna le dos, saluant gentiment sa futur partenaire. Après un baise mains en règle, le jeune homme lui adresse un clin d'œil.

« Très chère, c'est toujours un plaisir de vous voir... »

Petit rire de la rousse, alors qu'elle lui réponds, amusée.

« Gen... Arrête avec tes conneries... Attend... »

Un coup vint le projeter plus loin. Une roulade, Gen se retrouve sur un genou, une main à ces coté, un pied sur le sol. Le regard fiévreux. Mauvais calcul, que de l'attaquer de dos.

« D’habitude, je passe sur le fait que t'existe du gland, mais là, je vais te régler ton compte, comme ce qu'ils ont fait à ton père à la télé ! »

Père ? Mot de trop. La rage, créatrice d'adrénaline, s'élance de son cœur, s'insinuant dans ses veines, se déversant dans son âme... Alors que quelqu'un qui aurait pu voir la dite âme, aurait comparé cela à une explosion. Qui détruit tout. Diamant brute de haine.

« T'aurais jamais du dire ça... Gen! Non, ne fait pas ça! »

Il n'écoute plus rien, plus personne. Trop tard, l'autre petit merdeux avait déclenché une tempête, que rien ni personne ne pouvait arrêter, par des mots en tout les cas. Un cri s'élève, sa gorge presque en feu par une telle exclamation de colère, Les yeux fou, l'un tremblant, tel un danseur.

« Tu devrais fuir tant que t'as le temps... » S’écrit la jeune femme, s'écartant de quelques mètres. Elle ne l'avait jamais vu perdre. Mais pourquoi donc cette boule au fond de son estomac a chaque fois que ce jeune homme partait au combat ?

Une main s'écrase violemment contre le crâne du blondinet, tandis qu'un éclair, violacé, s'échappe du bras, créant une dissonance dans son rythme. Profitant de cette brèche, Gen écrase son poing entre son foie et sa rate, éparpillant cette dernière en morceaux. Attrapant a deux mains son crâne, sa tête s'écrase quatre fois contre son nez, alors que Vash est déjà inconscient, et que ce n'est que la force du jeune homme qui le maintiens debout. Tombant à genoux, le corps sans volonté, toujours tenu par les cheveux, se vois de multiple fois fracturé au visage, pars l'épais genou. Un rire fou, alors qu'il voit le sang gicler, et que les membres du groupes s'enfuient en courant... Une main délicate, fine, vint se poser sur son épaule.

« Arrête Gen, tu va le tuer... »

S'arrêtant dans sa macabre folie. Le jeune homme en question lâche l'autre sous merde.

« C'était le but... Regardant par dessus son épaule, il lâche, d'un air mauvais. Ne parle plus JAMAIS, de mon géniteur en le comparant à moi... Compris ? »



C'est bien triste à dire, mais nous avons oublié ce qu'est la paix. Je ne parle pas de ces temps de calme, avant la tempête, maigre décennie pour se remettre de massacres. Il est ici question de la paix de l'âme, ou l'injustice n'aurait plus place. Guerre raciale, guerre contre la pauvreté, la maltraitance...La délinquance... Tout cela, use l'humanité. Nous sommes une civilisation usée jusqu'à la corde, qui ne sait plus rien faire que ce qu'elle a subit durant des centaines d'années, se battre. Alors quoi de mieux qu'une guerre, qu'une bataille, afin de légaliser nos actes ? Quoi de mieux que de savoir que tout cela sera, au final cautionné ? Enfin, si l'on gagne. Car les actes du perdant d'un conflit, sera toujours inhumain, tandis que l'histoire oubliera presque les actes horribles commit par l'autre camp. Il n'y a pas de monstres, que des gagnants, et des perdants. Et c'est celui qui l'emporte, qui écrira l'histoire. Alors à quoi bon se soucier de faire dans la dentelle ?

Une explosion, dans un bruit sourd. La terre est projetée dans une sorte de vague rappelant un tsunami, aspergeant le visage d'un homme. Dégageant de sa vue les quelques débris de gravier qui avait réussit le coup d'échapper au mailles de la première purge, sa vue floutée mit quelques temps avant de lui donner un bon compte rendu de la situation. Une dizaine d’ennemis à craindre et le premier ennemis à dégommer, était ce foutu tireur leur envoyant des carreaux trempé d’un liquide étrange… Hautement explosifs. Regardant à sa droite, il vit son amour approcher, qui l'embrassa rapidement -trop à son goût, son odeur le calmant quelque peu. Elle était devenue sa « copine », ou plutôt fiancée, depuis deux ans maintenant. Gen l'aimait comme le fou qu'il était, bien plus encore, pour elle, l'homme avait réussit à repousser ses pulsions les plus profondes et enfoui. Il avait chassé le mal. Elle était tout pour lui. La rousse avait déclenché une réaction en chaîne, et son cœur de pierre n'était plus pétrifie, mais battait à la chamade en sa présence. Tout sourire, Gabrielle le regarda, dans ses yeux flottait une étincelle. L'excitation de ne faire plus qu'un avec lui peut-être ? Une flamme dans le regard, nommée passion, qui ne l'avait pas quittée depuis le début de leur relation.

« Alors, prêt ? »
« Et comment ! L'homme se retourna interpellant les hommes derrière lui « Allez les gars, on va les défoncer ! »

. Une hallebarde mesurant approximativement 1mètre70, avec quarante centimètres de lame acéré et prête à l'emploi dans la main. Finement ouvragé, pourvu de gravure lui donnant l'air antique, elle respirait l'autorité. Son aura, elle, se faisait plus sombre que le néant, donnant l'impression qu'elle était capable de vous happer, et de vous dévorer.

Un carreau parfaitement ajusté, se dirigeait vers la poitrine de Gen. Crétins de moutons. Erreur fatale. Alors que la silhouette a disparu. Le tireur ne comprend pas, alors qu'une lame ne tranche son corps en deux, nette, simple, précis et efficace. Fonçant droit sur le groupe ennemis, il évite une première attaque, découpant les os des jambes de son attaquant, le mutilant à mort, ou alors, le laissant cul de jatte pour le reste de ses jours. Grâce a la roulade salvatrice qui lui avait évité d'être décapité par un sort, le manieur est a présent au centre du groupe, alors que faisant tournoyer la lame au dessus de sa tête, il ne tue ceux qui n'avaient pas été assez vifs pour se mettre en sécurité, ou qui n'avaient pas la possibilité d'ériger un bouclier.


Le reste n'est pas important. Vous décrire la rude bataille ? Qu’ils étaient une poignée contre une cinquantaine d'homme, que seul les maîtres d’armes s'en sortirent assez longtemps pour combattre une puissance sans précédent ? Je pourrais très bien décrire la dureté de cette escarmouche, le sang versé, la sueur, et les pleurs. Je pourrais très bien détailler chaque mouvement, chaque pensée, chaque peur. Car après tout, c'est sa la guerre. Beaucoup de gesticulation, pour beaucoup de sang, de peurs et de pleurs. Cependant, à quoi bon ? Cela serait si futile devant la folie qu'il déploya à cet instant là, ou la prison dans laquelle il avait jeté tout le mal qui habitait son cour, éclata en morceaux...

Un homme plus fort que les autres. Il résistait même aux assauts de Gen et Gabrielle, en formation optimal. C'est pour dire. Une sorte de Géant, qui mesurait cinq fois la taille de notre jeune homme, et aussi large que quatre hommes, la peau grisâtre que rien ne semblait pouvoir percer. Et une erreur, celle d'un maître talentueux. Il avait fait attention pourtant, à ne pas se faire avoir par l'avant bras, cependant, Gen ne se serait jamais douté de la rapidité de sa deuxième main, qui vint le cueillir aux côtes. Et autant vous dire qu’un poing de géant fait mal. Affaiblit par une dur bataille, la partie inférieur du visage barbouillé de son propre sang, une large entaille suintant encore de sa pommette droite à la gauche, les vêtements en lambeaux, il avait perdu de sa superbe. Les côtes craquèrent et cédèrent sous le choc, alors qu'il lâcha sa hallebarde,. Elle aussi épuisée, la rousse, affaiblie, tellement, qu'elle ne pouvait bouger. Elle ne pu éviter le pied du géant... Gen n'en revenait pas... Il aurait donné sa vie pour elle... Et s'ils avaient échangés de place, sans doute aurait-il pu survivre grâce a sa carrure et sa résistance... Mais elle, frêle comme elle était, fut tout simplement brisée...

« Et ce qui fût terre retourna à la terre... Repose en paix, avec tout ce qu'il y avait de bon en moi... »

Un cri déchirant... tandis qu'a genoux, l'homme se tient la tête, les mèches folles encadrant son visage baigné de larmes... Son soleil, s'était éteint... Et la folie revint. Si la lumière n'avait plus de place en lui, il deviendrait les ténèbres. Oui... C'était la solution, se plonger au sein même de la folie destructrice, pour ne plus souffrir, ne plus penser a rien, sauf au carnage. Ne plus réfléchir, ne plus se torturer.



Terrible rire, un grincement, métal raclant contre la pierre, tandis qu'il se relevait, tel une poupée de chiffons, misérable marionnette. Comme des fils de haine agitant sa silhouette. Le poing qui s'écrasait une nouvelle fois sur lui ne rencontra que fumée, alors que derrière le géant, celui que l'on nommait l'ogre riait encore, assis sur sa nuque...

«Lacryma del Pazzo. »


Plusieurs coups, placés à des endroits sensibles, sur les points marma, la douleur imprégnant son corps autant que celui de son ennemi. Mais lui était habitué par des années entrainement. Le gargantuesque ennemi tomba au sol, alors que notre homme s'allumait une cigarette. Un projectile faillit l'atteindre, mais une nouvelle fois, le carreau ne rencontra que fumée.

«Lacryma del Funerale. »

La folie, ou la souffrance aurait été trop douce pour le sorcier. Il venait, non pas de le tuer, mais bien pire. Un esprit fou enfermé dans un corps qui ne répond plus. Châtiment ultime. Certains point névralgiques du corps devrait rester inconnues, et pourtant, en ayant eu accès à certains parchemins… Il avait transcender l’interdit naturel..




• Exemple de post RP :

Je poste un autre rp, assez recent, du forum d'ou je viens, cela n'est pas interdit, si ? ^^

Nightmare.

Les ombres s'étirant sur l'asphalte grisonnant formaient une atmosphère étouffante... pressant les passants à se réfugier dans leurs confort matériel et finalement, dans leurs mensonges éhontés. Ainsi, comme à chaque lune, le passage de la vie Diurne à la sienne, nocturne, se faisait sous l'affolement des habitants du précédent monde. Car c'était bien deux mondes diffèrent qui tentaient de cohabiter ici bas. Et comme tout à chacun le sait, la cohabitation, la tolérance et les compromis n'ont jamais été le prompte de l'homme. La nuit. Son élément, sa vie, sa liberté mais aussi ses pires chaines. Non, son meilleur lien. L'attachant solidement à la vie comme un noyée pourrait s'éprendre d'une bouée, comme un malade d'un remède ou encore d'un amant à sa femme. Son monde, celui des cauchemars. Là ou la loi du plus fort est toujours la meilleur, tel elle est décrit dans les légendes et les contes pour enfant. Fait de peur, de joie, de mort, de vie. Renaissance, renouveau, mais aussi fin, brutale et abrupte. Mélange de tant de gens différents, de tant de vies et de contrastes s'opposant en une parfaite oxymore, que, pour le sens commun, son existence tenait du miracle, sinon, du mythe.
Qui étaient-ils ? Monstre, sanguinaire et sans pitié, s'affritant d'un combat acharné et sans échappatoire autre qu'une mort certaines ? Ou bien ces amours épris d'une notion plus que d'un bien ? Ryû, de sa position, aurait bien répondu les deux. Mais une réponse aux questions existentielles est tellement difficile à apporter qu'il lui serait bien audacieux de croire détenir la vérité absolue.
Couvant d'un œil bienveillant la foule se bousculant et se comprimant dans leurs petites habitations, qui fleurissaient à vu d'œil dans la ville. Les graines semées aux quartes vents avaient germées, devenant à présent fleurs déjà fanés. Pollution dans un monde si beau, souillures autant physiquement perceptibles que celles pressentes dans les âmes humaines.

Ainsi pour lui et tout ceux qui s'étaient épris du ciel étoilé, cette souillure n'était pas que néfaste. Nouveau terrain de jeux, nouvelles règles. Couvant d'un œil admiratif les bâtiments, qui, pour les habitants diurnes de Tokyo semblaient menaçant, le corbeau ne put trouver dans ces architectures que nouvelles possibilités. Infimes mais infinies. Comme un cycle. Phénix de nouvelles trajectoires et de nouveaux entrainements, de cette recherche du mouvement parfait. De la route et des chemins parfaits. Car il n'y a pas de ligne droites, seulement des courbes, lorsque l'on arpentait la nuit ainsi chaussé.

« La lune te tends les bras. Les étoiles t'indiquent le chemin. Une nuit parfaite. »

Se réjouir des petits plaisir que savait donner le Nightmare. Toujours. Comment se prétendre un défenseur de celle-ci, et non un détracteur, lorsque l'on ne sait pas en apprécier la beauté ? Cette beauté éphémère, qui, telle une étoile filante, éblouie et donne naissance à un souhait. Souhait qui se transformera ensuite en but, détermination. Une véritable vie bâtie sur un simple instant fugace. Hérésie ?
Le ride est long tout d'abords. Sauter, dans le vide. Sans savoir si une occasion se présentera pour le rider de se rattraper. Avoir confiance en l'obscurité qui vous enveloppe, et qui vous épaule, si l'on sait un tant soit peu l'utiliser. Puis, brutalement, retomber sur terre, telle Icare, s'être brulées les ailes d'avoir voulu aller trop haut. Puis, tout simplement, d'une manière agressive, colère de n'avoir pas pu rester près de l'astre à la robe opaline plus longuement, s'accrocher à la vie, pour pouvoir remonter. Alors, se réceptionnant à une bar, effectuant un long slide en tournant autours de celle-ci, arpenter d'autre lieu, et d'une certaine manière d'autre temps. Car la vision de sa silhouette se découpant dans celle de la lune est... Grisant... le temps s'arrête alors, pour s'accorder à celui de l'être se présentant ainsi à la princesse de la nuit. Redescendre sur terre, en n'ayant plus qu'une obsession, y retourner.

Redevenir prédateur pour assumer son rôle parmi les siens. Si le terme spécifique à celui d'un peuple pouvait réellement convenir à ce qui lui tenait lieu de congénères. Groupements d'imbéciles qui ne savaient même pas apprécier le don du crépuscule. Parmi ceux là cependant, certains tenaient lieu d'exceptions. Ceux là c'étaient alors réuni autours de lui et un de ses frère, Chorion. Attention, tout ceux n'ayant pas rejoint n'étaient pas dépourvu d'intelligence, cependant, leurs objectifs divergeaient, et cela attristait plus le jeune homme que cela ne l'énervait.

Un chemin. Tout est une affaire choix. Et d'une dose de hasard. Et ce fut par hasard qu'il tomba sur une bande de chiens galeux s'attaquant à une rideuse isolée. Pourtant entourés de l'aura de ceux voulant consommer la chaire, et des pâles imitations de prédateur qui pouvaient peuplé la nuit, la jeune femme ne s'était pas méfiée. Et ils la menèrent dans une ruelle sombre. Impasse, pour le chemin comme pour sa vie. C'était sans compter sa grand mansuétude actuelle. En effet, il avait apprit à enfoncer ces murs qui détenaient rêves et vies.

Carnage. Bête sanguinaire qui refait surface. Toute cette violence constamment retenue qui explose, brutale, inattendu.

« Dégage de là ou je te crève ! »

Lui avait dit un homme encapuchonné alors que leurs victime appelait à l'aide. Une simple main sur son épaule.

« Ne me touche pas... Déchet. »

Alors le chasseur d'opérette sentie son corps se détendre, sa peau se craqueler, son sang gicler... tandis que celui qui lui faisait face semblait grandir, se nourrir de ténèbres, qui l'enveloppait, le protégeait, lui donnait force destructrice et rage incommensurable. Deux puits rougeâtre, pareilles à des brasiers, s'allumèrent à la place des yeux de son opposant. Ou plutôt, de son prédateur naturel. Ryû.

Celui-ci ne ferait plus de mal à personne, même pas à une mouche, et il irait se repentir devant le bouddha sacré afin d'implorer son pardon ainsi que sa protection. La suite, je ne vous la conterait pas. Amoncellement d'os et de cadavre, nuit commune, dans le Nightmare. Prenant la jeune fille dans ses bras, essuyant le sang qui parsemait sa peau claire, le jeune homme sortit de la ruelle. Puis ce fût là qu'il la vit. Rayon éclatant dans des ténèbres trop obscures même pour lui. S'assurant que la jeune femme allait bien, il se dirigea vers elle.

Des cheveux roses. Elle ne payait pas de mine. Mais si on arrivait à lire entre les lignes, et à travers ce masque de jeune fille fragile, elle avait la force d'une lionne et le pouvoir d'un Reine.


Kururu Sumeragi

« Bonsoir. »

Simple mot lâché à la volé. Deux yeux qui se plantent. Rouge et azur. Mélancolie et tristesse, admiration, on sentait une expérience bien trop grande dans les yeux de l'homme vêtu d'un costume, la veste assez longue pour couvrir ses mollets. Elle venait de tomber de ses At's. Là ou beaucoup auraient ressenti mépris ou compassion pour quelqu'un n'arrivant pas maitriser ces objets, lui ne vit que lumière. Tendant la main, il lui proposa d'une voix assez douce, calme.

« Puis je te proposer mon aide ? »


« Dream »

Terminé !
Pour l'histoire,si on m'autorise le fruit, je rajouterais un ou deux paragraphes =)

Voilà, bonne lecture ^^

Yop.

http://airgear.highforum.net/presentations-f10/come-take-my-fist-in-your-head-uc-t4045.htm

Explications ?

Explication : C'est le même début de fiche, mais la fin est original =)
Je suis l'auteur, je peux le prouver et tout,
Je peux même te dire que le test rp vient du même fofo =)

D'accord. As-tu le pouvoir d'éditer cette fiche ? Si oui, j'apprécierais que tu le fasse pour me mettre quelque chose qui me prouve que c'est toi. Dans le cas contraire, je m'inscrirais pour que tu puisse m'envoyer un Message Privé.

Sans problème, attends deux seconde, que je switch de compte =)

Edit : Voilà, tout justifié x)
Seulement, juste à préciser, il faut que je relise encore, pour que cela soit terminé à 200%, mais comme mon partenaire était dans l'urgence, j'ai fais vite. Donc, ça viendra sous peu, vous pouvez juger tout de même de la qualité de la fiche ^^.

Oké, lien vérifié \o

Sinon, concernant le niveau de la fiche, je donnerais environ un niveau sept.

Merci m'dame o/
Hum dans ce cas, je vais prendre le deuxième fruit qui me tentait, le telport telport no mie, si possible bien entendu =).

Walidé, rang 2, Teleport²

Je te remercie =)
Bon, je posterais un petit paragraphe pour le fruit, et la correction viendra après, pour les intéressés ^^

Edit : Bon, je viens de voir que le possesseur du Fruit s'était connecté y'a deux ou trois jours... Et ça m'embête un peu de lui prendre son fruit, surtout qu'il s'est co avant la date limite. So, je vais attendre que le Logia de la glace soit libéré (dernière date de connexion le 31 aout ^^ ), vu qu'on m'a signalé que son possesseur ne s'était pas connecté depuis longtemps. Je vais améliorer la présentation, corrigé les fautes, incohérences s'il y en a, router des paragraphes. Si c'est possible bien entendu ^^. Encore une fois, désolé de te faire bosser Kazuki ><

Santa H.Trapp, le possesseur de ce fruit, se connecte certes régulièrement, mais il m'a fait savoir qu'il arrêtait définitivement le RP. C'est pourquoi le fruit est quand même dans la liste de libération.

Le logia m'intéresse quand même plus (enfin, normal xD), surtout vu ce que je vais faire du perso', enfin, si c'est impossible (ce que je comprendrais parfaitement remarque^^), je garde le teleport, par contre si c'est négociable, bah je m'attelle a correspondre à vos exigences =). Désolé, ça fais un peu girouette je sais, mais c'est suite à une discussion avec mon partenaire qui m'a fait réfléchir à la suite des événements et des évolutions de mon personnage ^^.

Le logia de la Glace est actuellement en cours d'obtention par l'un de nos membres, IRP. Tu comprendras donc qu'il a la priorité.

Je suis patient, s'il l'obtient, tant pis, sinon, tant mieux, et en bonus, j'aurais eu le temps de peaufiner à fond ma fiche
Donc j'attends, et s'il ne l'a pas, je solliciterais votre jugement pour que je puisse moi même l'obtenir =)

Pour être honnête, et connaissant son niveau RP, je suis presque sûre qu'il l'obtiendra. S'il ne l'obtient pas, tu pourras bien évidemment le demander, après quelques corrections sur ta fiche.

Sa roule, j'vais attendre un peu dans ce cas, et commencer à corriger =)

Bon bon bon, n'aimant pas mon perso', je sais que sa peut paraitre idiot mais si j'arrive pas à me mettre dans le personnage, j'pourrais jamais le jouer, et je préfère ne pas user du temps de tous inutilement.
Je vous demande donc de supprimer ou archiver cette fiche, merci.

Ca marche ^^