- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Adrien.
Age : 20.
Homme/Femme/Okama : Homme.
Comment avez-vous connu le forum : Via les recommandations d’un membre.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Variable en fonction du travail à effectuer. Néanmoins, pour ce qui nous intéresse, je consacre assez de temps pour consulter le forum et répondre au RP en cours.
Tes Mangas préférés : One Piece (évident mais bon), Fairy Tail, Claymore, Black Lagoon, Tsubasa Chronicle, Dreamland.
Ton personnage préféré dans One Piece : Pell.
Ce qui t'as motivé à venir : La passion du roleplay avant tout et une occasion de pouvoir pratiquer dans l’univers de One Piece.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Diverses à vrai dire. Je pratique à la fois sur forums et en jeu (Neverwinter Nights entre autres).
Hobbys : Jeux-vidéos, écriture, informatique, aéromodélisme.
Autre(s) : Etudiant en 2ème année de BTS informatique. J’envisage de m’orienter dans une autre filière n’ayant pas réellement accroché.
- Présentation du personnage -
• Détail important : Le personnage a été créé après concertation auprès du joueur à l’origine du RP suivant :
https://onepiecerpg.forums-actifs.net/t6703-la-legende-du-kyodaina-kami-pv-chuck-et-ben. Le background concerné servira donc de base à ce personnage et vient compléter les événements relatifs à ce dernier.
• Prénom : Nachak.
• Surnom : Le loup gris.
• Age : 28 ans.
• Race : Humain.
• Camp : Civil (personnage non primé, mercenariat).
• Orientation psychologique : Neutre/Neutre.
• Métier/Spécialité : Ingénieur en mécanique.
• Pouvoir demandé : (Peut-être le Haki du Pion mais certainement pas pour maintenant ^^).
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Exercer librement sa passion des rouages et agrandir ses connaissances sur les mers sans que sa condition n’influe sur son travail.
• Armes : Epées batardes, Arbalète à quatre carreaux.
◘ Description Physique : Autrefois un homme égal à tout autre sans grande particularité. Un être banal qui se complaisait en ceci. Une personne au visage assez fin maturé par une barbe naissante qui accusait comme une sorte de vécu, de l’expérience malgré un âge peu avancé tandis que le regard quelque peu froncé par des sourcils expressifs concordait à l’ornement mentonnier. Une chevelure claire équivalente au foin fraîchement empaqueté et une boucle d’oreille pour la petite touche personnelle. Il vaquait la plupart du temps habillé d’une blouse à haut col chargée de relever le charisme et offrant la possibilité de se protéger du vent ou de profiter de la chaleur pour laisser la base du coup profiter un tantinet de la bise marine. Il était d’ailleurs friand des longueurs et c’est bien pour cela que les manches suivaient la même règle, ornées de deux boutons, système aussi simple qu’indétrônable permettant les réglages saisonniers. Afin d’œuvrer en paix, il chaussait des tatanes de sécurité afin d’éviter les petites mésaventures du monde ouvrier.
Aujourd’hui cependant bien des choses ont changé quant à son apparence. Si banal il fut, il est dorénavant des plus remarquables suite à certains traitements sur Dawn Island. Un autre sujet d’expérience d’un homme de science aux intentions douteuses, en croisant l’homme avec le loup, deux espèces s’étant confrontées à bien des reprises et surtout dans des milieux peu civilisés au climat peu tempéré. Il est maintenant une épaisse fourrure grise recouvrant le corps de l’ingénieur, ne laissant plus la moindre chance à une quelconque barbe, le menton dorénavant littéralement propulsé en avant forme ainsi la base d’un museau élancé surmonté d’une truffe et lourdement équipé d’une mâchoire à faire pâlir les fémurs les plus endurcis. On notera cependant que même si la structure optique de la personne a subi de nombreux changements notamment au sujet de la pigmentation de la pupille, le regard en lui-même n’a en rien perdu de sa détermination. Ses oreilles ont comme tout le reste été sujettes à changements, leur taille étant proportionnelle à leur ô combien grande efficacité. La nuque se veut bombée dû à l’anthropomorphisme de la chose, les épaules renforcées ainsi que les bras qui les prolongent sans compter sur les griffes acérées et caractéristiques. En prolongement de la colonne vertébrale, une longue queue touffue. Les jambes ont quant à elles subies le traitement le plus visible puisqu’arquées, modifiant en tout point la notion d’équilibre de Nachak, le tout pour une taille avoisinant les trois mètres. Notez la présence d’un nouvel ornement au niveau de l’oreille ayant un aspect plus tribal, toujours pour l’effet perso.
◘ Equipement :Des pièces d’équipement conçues sur mesure pour des raisons qui n’ont à mon sens aucunement besoin d’être expliquées. Une épaulière de plaque sanglée d’une pièce de poitrail dont le principal support en cuir durci est positionnée au dos, le tout relié par des lanières de cuir à un ensemble ceinturé constitué de tissus clairs et de cuir tanné. Les avant-bras sont protégés par des brassards en plaque solidement harnachés par des sangles surplombant des tissus. Les jambes à l’image du reste sont habillées par un tissu kaki à demi-découvertes et des jambières en métal adaptées à la morphologie de ses jambes et la base plantaire, protégée par des lanières fixées par un renfort en cuir souple. Il porte d'ailleurs toujours ses deux épées sur lui, soigneusement conservées dans leurs fourreaux de cuir situés dans son dos.
◘ Caractère & morale : Nul ne pourrait rester inchangé suite à de tels traitements cependant Nachak garde de nombreux repères de son ancienne vie, avant la souffrance. C’est principalement sa passion pour l’ingénierie qui lui a permis de garder un tant soit peu d’intégrité mentale. S’il avait créé le monde selon ses goûts, ce dernier serait fait de rouages rythmé par le doux tintement d’un mécanisme digne d’une horlogerie, la mélodie gracieuse du métal s’entrechoquant de mille et une façons. Les navires auraient délaissé la voile pour les roues à aube et le cliquetis serait une hymne nationale. Il s'adonne dès que possible à l'ingénierie et créé toutes sortes d'inventions qui peuvent s'avérer très utiles.
Un citoyen relativement paisible puisque stimulé par ses élans créatifs, certain de ses opinions par rapport au gouvernement et à ses méthodes. Bien qu’il le considère nécessaire, il déplore profondément son manque d’intérêt pour les îles isolées qui auraient parfois besoin d’une force d’intervention, d’une présence autoritaire autre qu’une protection locale composée de volontaires. D’ailleurs cela ne l’empêche en aucun cas d’apprécier les pirates pour peu qu’ils ne soient animés d’une félonie profonde. L’un ne peut exister sans l’autre, c’est du moins l’avis qu’il pose sur la question. De sa séquestration il garde une grande méfiance envers tout étranger et évite ainsi certains contacts quitte à parfois paraître agressif lorsqu’il pense cela nécessaire.
Il apprécie la solitude lors de ses pensées profondes, la compagnie de personnes de confiance, le son produit par les mécanismes et l’inventivité. A l’inverse, l’exubérance, la fourberie et les espaces restreints (ou même tout ce qui se rapproche à une table d’opération) ont tendance à le gêner.
Quant à l'affrontement Nachak peut se montrer imprévisible dans le sens où son attitude peut varier, parvenir à se dominer alors qu'à l'opposé, une autre situation pourra l'entraîner dans quelque rage. Bien qu'il n'y ait à priori aucune inquiétude à se faire quant à ses possibles compagnons, la vigilance est loin d'être superflue.
◘ Histoire : Natif d’East Blue, Nachak a vécu la majeure partie de sa vie sur l’île nommée Dawn Island, un royaume indépendant qui comme la plupart des monarchies se caractérisait par le fossé séparant les différentes classes sociales, nobles, bourgeois ou pauvres hères, ces derniers résidant principalement derrière une immense muraille destinée à empêcher la vue de cette classe pour le moins médiocre. Il eût cependant la chance de vivre dans un village nommé Fushia Town où fort heureusement on ne rencontrait pas les mêmes préoccupations. La famille disposait d’un habitat fort convenable sans être pour le moins superflu. La demeure était disposée sur un rez-de-chaussée où l’on trouvait les principales pièces de vie, une entrée accueillait les invités avec un pot en permanence rempli de fleurs cueillies le matin même, offrant une vision différente chaque jour que la semaine faisait et une cuisine modeste équipée d’un poele à bois sui servait aux préparations culinaires et à chauffer l’ensemble. On retrouvait une assez large pièce où l’on trouvait deux larges canapés se faisant fièrement face, tandis qu’une table basse jouait le rôle de séparation. Contre les murs, divers cadres sans grande valeur à fonction ornementale et une bibliothèque comprenant toutes sortes de manuscrits. On y trouvait de simples lectures mais aussi des manuels historiques et à thème. A l’arrière de la maison, un petit atelier utilisé par le père pour son activité professionnelle, horloger de son état. A l’étage, se situaient les deux chambres de l’habitation, l’une étant bien évidemment réservée aux parents et la deuxième au fils. Rien de bien particulier à noter mise à part la constante présence de diverses pièces mécaniques dont il se servait pour étudier, apprenant avec ferveur les termes techniques nécessaires à la pratique de sa plus grande passion, l’ingénierie.
Taraudage, alésage, vues en coupes ou segmentées, cela n’eut plus de secrets pour lui après quelques années si bien qu’à sa majorité, il entreprit de partir pour le Town Center de Goa où il espérait monter sa propre boutique destinée à mettre en œuvre ses désirs créatifs. Bien qu’on ne lui demanda que quelques systèmes simples, ces derniers valaient la somme qu’on lui versait jusqu’à ce qu’un courrier ne lui parvienne de façon anonyme. On lui proposait une offre forte alléchante en participant à un projet d’envergure et sa présence semblait appréciable. Le soir même, il ferma sa boutique en indiquant un congé à durée indéterminée, au cas où sa collaboration demanderait un temps non négligeable. D’après le courrier précédemment transmis, un rendez-vous avait été fixé dans une demeure reculée, à proximité de formations rocheuses. Arrivé sur place, suivant scrupuleusement les instructions, aucune construction ne se présenta. Il douta alors de son interprétation et souhaita progresser sur un plus large périmètre lorsqu’il ressentit une vive douleur dans l’échine. Il n’eut que le temps de se retourner, ne discernant qu’une forme bigarrée lui faisant face, la vue sensiblement troublée avant de sombrer dans l’inconscient. Le réveil fut pour le moins rude, alors qu’il était à moitié amorphe, le son produit par la chute rythmée de gouttes d’eau au sol résonnait dans sa tête. Machinalement, Nachak tenta de se redresser, en vain. Ne comprenant pas les raisons de ceci, il attendit un instant, le temps de remettre ses idées en place. Une lumière qui lui parut presque aveuglante l’interrompit dans sa démarche et il se sentit balancé à la verticale bien qu’il ne toucha jamais le sol. Ce n’est qu’à partir de ce moment qu’il réalisa qu’il était solidement maintenu, contraint à l’immobilisme au niveau des pieds et des mains par des verrous métalliques. Un homme en blouse se tenait devant lui d’un air suspicieux et malsain, affichant un sourire des plus inquiétants. Le prisonnier roula les yeux pour observer les lieux mais l’entourage était plongé dans l’obscurité et il ne put ainsi rien distinguer de significatif. Avant même de pouvoir décocher mot, son ravisseur manipula une large seringue qu’il planta dans son cou comme s’il eut voulu l’embrocher avant de le passer au tournebroche. Nachak ne pout que rétorquer qu’un cri de douleur tandis qu’il sentait le fluide aspiré par la chose qui fut retirée d’un geste volontaire et maladroit.
Les jours se confondaient dans cet endroit sinistre où la seule occupation constituait en diverses injections et prises de sang bien entendu sans la moindre précaution élémentaire. Ce n’est que bien plus tard que Nachak eut l’occasion de comprendre la finalité de ces expériences. Cette injection fut la première d’une longue série de manipulations. A chaque nouvelle visite, ces dernières se voulaient plus douloureuses et difficiles à supporter. Il lui semblait que ses muscles se contorsionnaient en tous sens, progressivement, les uns après les autres avant de prendre une nouvelle posture et de n’en plus bouger. Il gagna en pilosité d’inexplicable manière et ses membres souffraient de déchirures en tout genre, le sang s’échappant de son corps s’écoulant dans un réseau de canalisations depuis le sol. L’ingénieur se souvient encore du craquement de ses jambes, son corps brisé par des changements inexplicables sans compter par la plus vive douleur ressentie au niveau du visage : un amalgame indescriptible dont la seule pensée pourrait lui faire perdre connaissance. Un jour cependant, il sentit ses liens le libérer alors qu’il avait été mené dans une pièce comme creusée dans la roche. Il s’écroula à terre rampant misérablement sur le sol glacial et humide tandis qu’il tentait de se relever. Ce n’est que grâce à l’appui providentiel sur l’instrument de torture qu’il y parvint dans un premier temps et c’est en ce moment-là qu’il put constater l’étendue de la folie du tortionnaire dont il entendait la satisfaction derrière la lourde porte de sa cellule.
Sur ce qui lui parut une éternité, rien ne vint troubler l’agonie monotone jusqu’à l’arrivée d’un nouveau « pensionnaire » qui hurla de terreur lors de leur première rencontre ; sans doute que l’apparence de Nachak à l’époque devait inspirer la terreur, pour cause des plaies. Il n’eut d’ailleurs que les seuls transferts de leurs personnes pour s’entretenir alors qu’il subissait le même traitement. La complicité des victimes peut-être. Ainsi ils apprirent que l’un et l’autre étaient de la région et divers autres détails. L’autre se nommait Kyo, un des médecins de l’île d’après ce qu’il contait. Son expérimentation différait puisqu’il était souvent emporté loin de sa cellule et ne revenait que des heures plus tard puis un jour il fut comme qui dirait rejeté du projet. Certainement semblait-il désuet ou inapproprié à certains traitements. Plongé dans une profonde léthargie, on l’abandonna à l’opposé de l’île à proximité du rivage où l’attendait comme une embarcation providentielle. A son réveil, comme devait s’en douter son tortionnaire, il n’aurait qu’une seule envie, monter dans la barque au plus vie et fuir cet enfer. Chose qu’il fit sans demander son reste même si l’envie de libérer le deuxième sujet le rongeait. Mais après réflexion, il n’aurait jamais pu au vu de son état tenter quoi que ce soit. Il devait ainsi s’enfuir et revenir lorsqu’il serait prêt à mettre fin aux agissements du scientifique. Une fois rendu sur la première île que Nachak rencontra, ce dernier n’eut d’autre choix que de pratiquer le vol à la tire afin de se payer vêtements, vivres et armes. L’ingénieur s’entraîna longuement au maniement des armes, gardant une préférence évidente pour l’épée et divers mouvements à mains nues. Afin de se forger au combat en tant que mercenaire à moindre coût, un peu à la manière d’un chasseur de prime bien qu’il n’en soit aucunement. Il intégra ainsi des protections rapprochées et milices, roulant sa bosse au fil des combats, désirant par la même occasion se faire connaître et asseoir sa réputation, en pratiquant toujours son métier lorsque le temps le lui permet.
• Exemple de post RP :Je pense que vous pouvez là encore vous référer à mon main account
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PS : j'apporterai une modification suivant le contenu toléré dans la future fiche technique donc si vous pouviez ne pas la verrouiller dès la validation, ce serait très appréciable ^^.