Le monde des jeux [Pv Johny]

J'étais dans une ville bien étrange, où il y avait à la fois du bien et du moche, néanmoins la chose qui était la moins marrante, c'était un sentiment qui prenait peu à peu possession de mon corps, enfin c'était plus une intuition qu'autre chose et cette dernière me disait que si je restais trop longtemps ici, il risquait de m'arriver quelque chose. Néanmoins, comme moi, je ne suis pas un trouillard et je me croyais invincible, car j'avais réussi à avaler l'un de ses fruits du démon, d'ailleurs, croquer dans un, même s'ils avaient un goût pourri, était l'un de mes rêves depuis que j'étais gosse. Celui que j'avais mangé, me donner la possibilité de me transformer et de créer de la vapeur d'eau que je pouvais contrôler. Bref, revenons à nos moutons et à ce sentiment qui me faisait légèrement peur. D'ailleurs, je ne le comprenais pas trop, car il n'y avait ni marine, ni de chasseurs de primes connus, ni de capitaine corsaire. Donc pour ma pomme, il n'y avait pas de grands dangers. Mais bon avant de quitter cette île, il fallait que je me trouve un petit bar où je pourrai boire un petit coup. Néanmoins, après des minutes et des minutes de recherche, je n'arrivais pas à en trouver. Alors, je décidais de demander le chemin à un habitant du coin, néanmoins, il n'y en courrait pas les rues. Le seul que je trouvais, je l'attrapais par son épaule droite, afin qu'il ne s'enfuit pas, on ne sait jamais et je n'eus même pas le temps d'ouvrir ma bouche, que j'étais déjà poursuivi par des policiers de l'île, croyant que je voulais taper le pauvre malheureux afin de lui soutirer tout son argent. Cependant, ils n'arrivèrent jamais à m'attraper, car aujourd'hui, j'étais d'une attitude faignante.

Alors, je décidais d'utiliser mon précieux fruit du démon. Je m'arrêtais, d'un seul coup, je me retrouvais devant le groupe de poursuivants et en guise d'au revoir, je leur faisais un magnifique fuck, pendant que le reste de mon corps se dispersait dans les airs. Tellement que les hommes ne croyaient pas ce qu'ils voyaient, ils se mettaient à penser que j'étais sorcier et commençaient à m'insulter de toutes les insultes qui étaient possibles. Après avoir parcouru plusieurs centaines de mètres sous ma forme de petits nuages, je me reformais dans une petite avenue, plutôt obscure, où quelques moisissures et tags traînaient. Néanmoins, rien qu'un petit pas circulaire, me fit voir tout à fait le contraire, d'ailleurs, tellement que je n'y croyais, je croyais halluciner, car je pensais que j'avais un peu trop bu durant mon voyage pour parvenir jusqu'à cette île. Bref, ce que je voyais, était tout simplement spectaculaire, car je venais de passer de la rue la plus craignant du Monde au magnifique château qui allait piquer les fesses du paradis. De plus derrière ce château, se dressaient d'immenses montagnes qui arriveraient à transpercer les quelques nuages qui traînaient par là. Intéressé par tout cela, je décidais de m'y rendre, mais à pied cette fois, pour faire bonne impression dès la première fois.

Néanmoins, avant d'arriver à l'entrée, il fallait que je passe un énorme labyrinthe, fait en laurier sauce, oh la la la, ils prenaient pour des gamins, leurs visiteurs ou quoi ? Et comme je n'en étais pas un, je ne voulais pas participer à leur stupide jeu, alors, je me retransformais en vapeur et je passais à travers les multiples haies. Quand j'avais enfin fini ce stupide jeu, j'arrivais devant un splendide jardin Brancais, avec sa simplicité et sa symétrie qui étaient presque parfaites, ce qui embellissait presque parfaitement le jardin, mais bon, tout ça n'était rien sans les magnifiques fontaines. Après avoir encore une fois traversé leur zone végétal, j'arrivais maintenant devant le vaste bâtiment que j'avais vu, il y a de bons décamètres plus loin. Rien qu'en mettant, mon pied sur le paillasson de l'entrée où il y avait marqué en Majuscule « WELCOME TO THE GOLDEN WORLD ». Un majordome allât à ma rencontre et me disait cette phrase sous un ton plutôt franc :

• Bonjour Monsieur, vous ne vous doutez pas où vous tètes, vu votre tête. Bah moi je vais vous le dire, vous être au grand Games Hôtel et comme vous êtes l’un de nos premiers visiteurs, on vous offre 2 semaines de jeu gratuites. Et en prime, vous aurez le droit à une chambre, digne des plus grands hôtels du monde.

J'étais en train de rêver ou quoi, car ce qu'il me disait, était tout simplement génial, même si c'était un piège, je m'en foutais, tant que je m'amusais, j'étais content. Afin, que j'entre, l'homme ouvrait en grand, la porte ornée de plusieurs et magnifiques sculptures, fait dans un bois plutôt massif. J'entrais à l'intérieur de l'hôtel, avec un gigantesque sourire qui me pendait à mes lèvres et des yeux qui pétillaient d'étoiles de mille feux. Une fois à l'intérieur, l'homme me donnait une clef et m'accompagnât jusqu'à ma suite, après avoir traversé le bâtiment en long et en large, on arrivait devant ma suite qui portait le nombre « *** ». Je l'ouvrai plutôt facilement, une fois à l'intérieur, l'homme qui m'accompagnait, me présentait les lieux, tout d'abord, il me montrait les deux lits, puis la salle de bain, les toilettes, le salon, le jaccuzi et terminait par l'endroit le plus important de la chambre, la cuisine, même si ce n'était pas Shmidt et moi, c'était quand même, car il y a un frigo, donc de l'alcool. Mais avant de me jeter sur les bouteilles qu'il contenait, je dus encore une fois écouté le majordome :

• Oui alors voilà, votre suite, pour manger, je vous conseille le Chez Jolio, très bon restaurant qui est au même étage que votre appartement. Sinon pour aller aux jeux, c’est très simple, il vous suffit, de prendre la 3ème à droite, puis de descendre avec l’escalier sur deux étages, donc ressortir au 1er sous-sol, continuez sur 500 mètres dans le couloir et enfin reprendre un escalier sur deux étage, donc ressortir maintenant au premier et si vous continuez sur 200 mètres, vous aurez les toilettes et si vous continuez sur 10 mètres et vous êtes arrivés. Sinon, j’allais vous oublier de dire, que comme notre Hôtel est légèrement trop petit, vous aurez la compagnie d’une autre personne, une jeune femme, je crois. Bonne journée et bons jeux monsieur, si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas.

Après son long monologue de 30 kilomètres de long, l'homme s'en allait, dès qu'il claquait la porte, je me jetais sur le frigo, l'ouvrant d'un seul coup, faisant ainsi claquer la porte contre le mur, je prenais à l'intérieur, trois mini bouteilles de whisky et deux de saké. Je les ouvrais en faisant exploser leur haut contre les murs, puis je les buvais d'une traite. Après m'être rassasié, j'allais dans ma chambre, j'ouvrais le placard et là je découvris que ce dernier était complet. Comme je comptais me faire un petit Jaccuzzi avant d'aller jouer aux jeux dans la salle des jeux, je sortais un short de bain noir, avec de magnifiques fleurs d'Hibiscus dessus, couleur flamme et je m'habillais avec. Quand je ressortais de ma chambre avec une serviette,, celle qui devait partager la chambre avec moi, était déjà arrivé, avant qu'elle ne se pardonne, la jeune femme ne me disait rien, mais d'un seul coup, je me souvenais, qu'elle était la jeune femme que j'avais sauvé dans le royaume des taupes et des écureuils. Comme elle avait été polie avec moi, je décidais tout de même de lui répondre, de plus c'était une femme, même jeune c'était quand même une femme. Donc il fallait être gentil avec elle :

• Ah Salut, De rien pour la dernière fois, par contre, cette fois-ci, essaye de ne pas faire pour que je te sauve, sinon ça va bien ?

J'étais paumé dans une chambre, debout en short de bain, je commençais un peu à me les cailler, seul avec une jeune femme qui n'était même pas adulte. Je lui avais demandé comment elle allait et en princesse, comme elle se le devait, elle me répondit extrêmement poliment, toujours avec son tact et sa touche de bourgeoisie, elle me disait que tout allait bien, puis elle se mettait à m'engueuler, me disant que j'étais un peu trop mis à mon aise, en fouillant dans le frigo et mettant sens dessus dessous les tiroirs où j'avais trouvé mon magnifique short. Et sans me demander, ce que j'allais faire, la jeune femme me proposât, nan m'obligeât de venir avec elle dans la salle des jeux, afin de jouer avec elle. Visiblement, sans le faire exprès, elle venait de me pourrir, ma petite fin d'aprèm' dans le jacuzzi, avec quelques bouteilles d'alcool proche de moi. Ne voulant pas foutre en l'air nos « retrouvailles », je repartis dans ma chambre, la bouteille à la main, la sirotant, afin de la finir. Une fois dans ma chambre, j'attrapais mon jean, ainsi que mon t-shirt blanc et ma veste en cuir, je les mettais, puis je repartais, en compagnie de la jeune femme, vers la salle des jeux. Après avoir fait exactement le passage que m'avait indiqué le serveur de tout à l'heure, on était maintenant au premier étage, mais avant d'entrer où il y avait tous les jeux, la jeune femme me tirait par le bout de tissu qui recouvrait l'un de mes bras. Afin de me faire venir jusqu'à une plateforme, sur une pancarte qu'il y avait sur mon chemin, il y avait marqué « cache-cache ». Visiblement, au contraire de ce que j'avais pensé, on n'allait pas gagner de l'argent, mais simplement trouver quelque chose, d'ailleurs quel était-ce cette chose. Une fois sur cette plateforme, je remarquais bien asses vite, que l'on descendait et que l'on allait dans les sous-terrains, sur cette même surface plane et horizontale, une jeune femme nous expliquait ce que l'on devait faire, à ce que l'on pouvait remarquer, la jeune femme nous prenait pour des mongoles, car elle croyait que l'on ne savait pas que c'était ce jeu. Néanmoins, même si elle faisait ça, cela n'enlevait rien de son charme, qui en habit de serveuse était beaucoup plus accentué. Avant que l'on parte à la chasse, la jeune femme disait à Elya qu'elle devait chercher des SDF et moi des rats. En tant que bon joueur, je décidais de lui souhaiter bonne chance et bon courage à l'autre concurrente :

• Oï Petite, Bonne chance et Bon courage, surtout ne te fais pas blesser, au podium hein !

Après avoir dit ma petite phrase, je prenais mon chemin, puis d'un seul coup, je m'arrêtais, je m'asseyais contre un mur, je sortais de l'une de mes poches, mon précieux briquet et mon paquet de clope, d'ailleurs, j'en mettais une à ma bouche, puis à l'aide de mon feu. Et là au lieu de courir afin de trouver les animaux, je me mettais à réfléchir si en tant que bon gentleman, je devais laisser gagner la jeune femme ou laisser mon instinct de victoire prendre le dessus. Comme, moi j'étais un bon gars, je choisissais la première possibilité. Puis en relevant la tête, je me rendis compte que j'étais en fait dans des égouts, plutôt propre, avec une eau qui était à la fois clair et limpide et des torches étaient accrochées aux murs. Après une bonne bouffée d'air frais, puis je me menais à entre-prendre ma chasse aux rats. Après quelques pas, je tombais sur un animal blanc, qui était en train de manger un morceau de gruillère, je pus facilement reconnaître que c'était un rat, grâce à sa queue qui était sans poil, ainsi qu'à sa taille et à son grand amour du fromage. Néanmoins, une chose ne convenait pas à ce rat, il était entièrement blanc et non sale. Comme il y en avait 100 à trouver, il fallait que je trouve un moyen de reconnaître ce que j'avais déjà trouvé aux autres. Une idée parvint jusqu'à mon esprit. C'était de les tatouer à l'aide de la chaleur de ma vapeur d'eau. Alors, afin de le tatouer, j'inspirais pendant un long moment, puis je soufflais tout cet air qui était maintenant de la vapeur d'eau, cette dernière prit la forme d'un gigantesque anaconda, j'arrivais à laisser ma marque sur l'animal, maintenant, il ne m'en restait plus que 99 à trouver !

[HRP] Ne vous inquiétez pas, aucun animal n'a été torturé dans ce rp', la température était parfaite[/HRP]

Dans un endroit qui était plutôt étroit, humide et sombre. Je traînais, ne voulant pas me dépêcher, afin de laisser gagner Elya', car j'étais un homme de poli et courtois. Même s'il m'en restait 99 à tuer et que tout ça, était long à faire, de plus je m'ennuyais à un niveau plutôt avancé. Je ne comptais pas trop le faire à fond. Alors, je marchais tranquillement dans les longs, mais très longs couloirs. Sifflotant un air que j'avais en tête depuis que j'étais arrivé, dans ma main droite, je jonglais avec un berrys, dans l'autre main, je jouais avec mon briquet, en le faisant ouvrir, puis à le refermer plusieurs fois consécutivement. Après avoir tourné exactement, deux fois à droite, puis une autre fois à gauche. Je tombais sur un cul de sac. Comme je ne voulais pas faire demi-tour, je m'appuyais maintenant contre ce mur, mon oreille collée contre l'obstacle de béton. Puis je me mettais à le frapper, comme si je toquais à une porte. Me rendant compte que ça sonnait vite, donc il n'y avait rien de l'autre côté. Je reculais de quelques pas. Puis, je prenais un grand bol d'air, afin de remplir mes poumons de tout ce bénéfique oxygène. Puis j'attendis quelques secondes avant de l'expirer en hurlant un cri, digne des hommes de Cro-Magnon. Pendant que je faisais ça, ma tête devenait peu à peu rouge, les muscles de mon bras droit se mettait à grossir, les artères et veines de ce même bras se mettaient aussi à prendre du volume et à devenir beaucoup plus rouge. À la fin de cette opération, mon bras avait triplé de diamètre et sa puissance était maintenant d'autant plus grande. Après avoir reculé encore une fois de quelques mètres. Je mettais en position, l'épaule, ainsi que le bras droit, en face du mur, j'étais légèrement en appui sur mes deux genoux.

Quand le moment fut venu, je me mettais à foncer vers le mur. À à peu près un mètre de ce dernier, je fis un mouvement circulaire sur la droite, pour prendre un peu plus d'élan. Puis je balançais un surpuissant direct du droit dans le mur. Mon poing s'enfonçait dans ce dernier, néanmoins pas asses pour le casser, mais il avait quand même fait de belles fissures. Afin de compléter cette première action. Je concentrais une bonne partie de la vapeur d'eau de mon corps dans mon coude droit que je mettais sous pression. Puis je la relâchais, formant ainsi un jet qui venait donner plus de puissance et de vitesse à mon poing. J'arrivais ainsi à enfoncer plus profond ce dernier dans le béton, arrivant même à le transpercer. Plus ma main s'enfonçait dans le matériau, plus les fissures s'élargissaient et s'agrandissaient. Quand je retirais mon bras de l'ancienne façade, cette dernière s'effondrait sur le sol en de gros morceaux. Quand ces images parvenaient aux spectateurs. Le public était partagé, il y avait à la fois des personnes qui se mettaient à m'insulter, ne comprenant pas pourquoi je pouvais détruire un endroit aussi bien que celui-ci. Et de l'autre côté, d'autres spectateurs rigolaient et approuvaient un peu mes actions. Quand je passai de l'autre côté de l'ex-muraille. Je tombai sur l'un de ces fameux rats propres. Ce dernier était à la fois affaiblit et maigre. Donc croyant qu'il pouvait reprendre des forces en me croquant vite fait, puis en se barrant en deux secondes, l'animal me sautait dessus, ayant vu cela et compris ce qu'il voulait faire. J'avais entouré ma jambe gauche d'une sorte de cape de vapeur d'eau. Puis je fis un large mouvement de cette même jambe, afin d'envoyer ce voile sur le rongeur. Ce dernier se le prenait en pleine face et eut de larges brûlures sur la totalité du corps.

Pendant que remettais mon bras droit à sa taille normale et conventionnelle, via un haut-parleur, j'entendis la voix de la jeune présentatrice, elle me disait que j'avais perdu et qu'Elya avait gagné. Néanmoins, cela ne me mit pas de mauvaise humeur, comme c'est ce que je voulais dès le début. Puis elle demandât aux spectateurs de choisir quel jeu où allions s'affronter la jeune princesse ainsi que moi. Et tous en même temps, ils se mettaient à hurler « LA BOISSON !!! LA BOISSON !!! LA BOISSON !!! » à plusieurs reprises tout en tapant des pieds et des mains. Je ne savais pas ce que c'était, mais je sentais que cela promettait d'être amusant. Après que la jeune femme m'ait dit ça, des lumières au plafond, s'allumèrent afin de m'indiquer le chemin de la sortie. Bien entendu, je me mettais à les suivre et quand je pouvais enfin voir la magnifique jeune femme qui dirigeait le concours, deux gorilles (humains) m'attrapaient par les bras. Bien entendu, grâce à mon fruit du démon, j'arrivais à me retirer de leur emprise. Puis je me retournais d'un seul coup et envoyai un puissant punch dans le bide du plus petit, toujours à l'aide des jets de vapeur sous pression, faits à l'aide de mon fruit du démon. L'homme que j'avais attaqué, sous la force du coup, dérapât sur plusieurs mètres, à cause de la douleur qu'il ressentait au niveau du ventre, il avait mis ses mains là où je l'avais tapé et était plié en deux. Tout fier de moi, je retournais vers la présentatrice. Et là, je me rendis compte que je venais de faire une gourde en tapant l'un de ces mecs, vu la tête qu'elle faisait. Alors, je retournais vers les deux gardes du corps et j'attendais qu'ils m'amènent là où devait se dérouler la seconde manche.

Je continuais de suivre les deux gorilles et la magnifique et sulfureuse animatrice jusqu'à une salle relativement grande, beaucoup plus propre que les égouts que je venais de traverser, même si ces derniers étaient aussi propres qu'un savon qui venait de sortir de son emballage. Dans cette salle qui était celle de « La Boisson », dans cette même salle, il y avait de nombreuses étagères, là où il y avait toutes les bouteilles, ainsi que les verres, afin de faire comme si c'était un bar, alors qu'en fait c'était une simple salle de jeu. Néanmoins, il n'y avait aucun barman qui venait ouvrir les quelques bouteilles, mais il y avait bel et bien l'animatrice qui se farcissait tout ce boulot et qui les ouvrait avec ses crocs comme une barbare, je l'aurai bien aidé ... si jamais, ses babouins ne me retenaient pas. Néanmoins, même sans moi, elle arrivait tout de même à faire des gaffes, car à cause de la pression qui régnait à l'intérieur de la bouteille, elle se prenait le bouchon en pleine gueule, d'ailleurs, elle me rendit jalouse, car ce fut elle qui goutait en premier à l'alcool. Néanmoins, au lieu d'être aussi joyeuse que moi, si je l'avais fait, elle avait plutôt mal, sans nul doute à cause du coup du bouchon, d'ailleurs, tellement que je trouvais ça drôle, un léger rire et rictus sortait de ma bouche, cependant je réussissais à vite me reprendre en main, en louchant quelque peu sur le magnifique décolleté de la jeune femme, recouvert par ses habits trempés. Bien entendu, toutes les personnes qui jouaient et organisaient le jeu, arrivaient à garder leur calme, même si Elya' au bout d'un moment, fut obligé de sortir une petite phrase, disant qu'il fallait de changer de personnes qui ouvraient les bouteilles, afin que cette dernière ne finisse pas avec un oeil au beurre noir. La jeune débouchonneuse parlait à son tour, néanmoins ce ne fut pas pour se défendre, mais simplement pour nous expliquer les règles du jeu, comme si on était asses con pour ne pas les comprendre.

Après avoir fait ça, pendant qu'ils ouvraient les autres bouteilles et que l'animatrice ... désespérée se remaquillait une énième fois, on nous amenait deux grosses choppes remplis d'un liquide, ce dernier était quelque peu bizarre, tout d'abord une légère mousse, légèrement transparente et beige le recouvrait, puis quand on l'enlevait, c'était un liquide quelque peu repoussant, il était d'ailleurs composé de quelques bulles qui remontaient parfois à la surface, sa couleur était entre le marron et le rouge. Néanmoins, comme on dit souvent, il vaut mieux se fier à l'intérieur qu'à l'extérieur (technique que je ne faisais jamais avec une femme, la plupart du temps), cette phrase me venait en tête, car le doux parfum de la boisson venait me chatouiller mes deux narines et je pouvais contempler sa douce odeur, qui était celui d'un mélange entre tous les fruits rouges et exotiques du Monde ... Un délice. Sans le faire exprès, je n'attendais même pas la jeune avant de boire, pour une fois dans ma vie, je n'avais pas été galant. Et là d'un seul coup, rien qu'en basculant la choppe de quelques degrés, des dizaines de centilitres vénèrent s'encastrer dans ma bouche, puis dans mon estomac, rien qu'en quelques secondes et en ne mettant aucune goutte à côté de moi. Et là quand j'eus fini toute la choppe et quand il n'en restait même pas une goutte, un palais de senteur venait s'inviter dans ma bouche, tellement que j'aimais ça, je recommandais une choppe et pendant qu'il m'en apportait une nouvelle, la jeune femme qui me concurrençait venait à me dire cette phrase :

« Une nouvelle choppe s’il vous plaît ! Vous voyez, Johny, je ne vais pas me laisser faire, même dans un sport de Pirate ! Cette chose montre à quel point je tiens l’alcool. Faisons donc un marché. Si je gagne, je choisirai les prochains jeux, et vous jouerez. Bien sûr, en cas contraire, je ferai ce que vous voudrez pendant ces deux semaines. »

Elle était déjà saoule ou quoi, à moins que ce soit moi qui sois déjà bourré, mais bon, cela n'était pas du tout possible, car une seule choppe n'arrivait pas à me rendre dans cet état, mais il en fallait bel et bien une bonne dizaine, au lieu d'une seule. De plus ce pari, qu'il soit aussi fou qu'il n'en parait, allait pimenter légèrement le jeu et me donnait encore plus envie de boire, mais bon avant de surenchérir en re-buvant le magnifique alcool, je décidais de rassurer la jeune femme en parlant à mon tour :

• Oï juste pour te dire que je suis Ok' et surtout ne prends pas peur, je ne vais pas te faire d'horribles choses si jamais je gagnais. Ah ouai et je suis pirate, donc même j'en suis un qui est galant, je ne vais pas perdre.

Après avoir dit cette petite phrase, je me saisissais de la choppe qui venait de m'être donné et la buvait en moins de temps qu'il faut le dire.

Après avoir dit ma petite phrase, qui était à la fois là pour rassurer la jeune femme et pour dire que j'acceptais son pari, même si je n'aimais guère faire ça, car je savais déjà à l'avance que je ne pouvais pas perdre ce jeu. Je reprenais un petit coup à boire, avec encore une fois, une choppe, remplit jusqu'au rebord, allant presque à déborder. À l'aide de ma main droite, je prenais la boisson en main, puis d'une seule traite, je la vidais dans ma bouche, cependant sur ce coup, je ne fus pas trop malin et habile avec mes mains, car je renversais la moitié de l'alcool à côté de moi et le liquide s'en allait mouiller la seconde présentatrice du jeu, celle qui servait de lèche-botte à la première, qui était beaucoup moins belle, mais toute aussi conne. Dès que je vis cela, je me retournais en un éclair vers cette jeune femme et lui disais pardon de tout mon coeur et lui proposais même de la lécher de partout afin de lui enlever l'alcool, néanmoins cette dernière refusait, sans donner d'explication, je ne sais pas pourquoi. Serai-je moi aussi saoul ? Nan pas possible, de plus cela m'étonnait quand même un peu, car vu le visage de la jeune femme, on aurait pu se douter, qu'elle aurait accepté si jamais, d'autres personnes ne la regardaient pas. Après avoir vu et entendu cela, la jeune femme devenait quelque peu parano' et prenait soudainement peur que je puisse faire des choses avec elle. Pouaaaah, elle se prenait pour qui la petite, comme si j'étais un violeur, comme faisait les vieux payoux de la Montagne, à cause de ce grand choc sentimental, j'arrivais même à faire couler une larme, tout ça, car une soit disant princesse, venait de confondre, un grand gentleman tel que moi à un vieux pédophile de North Blue. Même si je savais que la jeune femme était complètement saoule, cela me blessait quand même un peu.

Après avoir entendu sa petite phrase, je disais au barman, que le verre que je venais de renverser, ne devait pas être pris en compte, il me répondit que oui, c'était normal. Et m'en redonnait un double cette fois-ci, afin de me faire regretter ma petite erreur, de plus, il me dit que si je ne le buvais pas cul sec, je serai éliminé. Ne voulant pas perdre stupidement ce jeu, car je voulais toujours être considéré comme un pirate à la fin, je prenais la coupe par la poignée, avant de boire la totalité du liquide, je tapais la choppe contre le bar, puis, je la mettais au contact de mes lèvres, la levant tout doucement tout en ouvrant peu à peu ma bouche. Afin d'essayer d'augmenter à la fois l'ambiance, je faisais des mouvements de bas en haut avec mon bras, tout en montrant le ciel, néanmoins, cela ne marchait pas comme je l'avais tant espéré. Après avoir entièrement fini le verre, à cause du liquide quelque peu trop sucré, j'avais une putain de soif, même boire toute la mer du monde ne l'aurait même pas rassasié, alors je me tournais encore une fois vers le barman, lui disant mon problème, ce connard me retendit encore une fois sa boisson, je me mettais à lui crier dessus, lui disant cette phrase :

• PUTAIN, MAIS ESPECE DE CONNARD DE BARMAN !!! TU NE COMPRENDS PAS QUE C’EST TA FOUTUE BOISSON QUI DONNE SOIF !!! CERVELLE DE MOINEAU VA !

L'homme énervé par mes diverses insultes me répondit que tout cela n'était que de la foutaise, car sa boisson était soit disant parfaite, donc n'avait aucune faiblesse et surtout pas une aussi conne que celle-là. Sa stupidité commençait vraiment à me saouler et lorsque je me levais pour lui foutre une bonne droite, derrière moi se passait une chose plutôt intéressante, car après m'avoir adressé la parole, Elya qui était totalement dans l'état second de l'alcool, se mettait à embrasser la pulpeuse animatrice. Cette dernière, totalement choquée, retournait en rampant, ainsi que rouge de honte, aller rouvrir des bouteilles, tout en se faisant mal pour changer. Bien entendu, si elle me l'aurait proposé, néanmoins, contrairement à Elya, qui elle était complètement bourrée, je décidais de continuer de boire, pour lui montrer qu'une Barbie comme elle, ne pouvait pas battre un homme dans un concours de boisson. Pendant que je commandais ma nouvelle boisson, la seconde présentatrice essayait de monter la chaleur du public et là d'un seul coup, lorsque je montais une nouvelle fois la choppe à ma bouche, la jeune femme glissât une flaque et venait me tacler, me faisant ainsi tomber à mon tour. Malheureusement pour elle, je tombais en plein sur elle, ma choppe tombait seulement à quelques centimètres de son visage et venait l'asperger totalement, quant à moi, j'étais allongé sur elle, la tête dans son décolleté, la bouche quelque peu ouverte, avec la langue qui sortait de quelques centimètres. Quant à elle, bien entendu, elle était rouge de honte, mais sans faire exprès, elle était arrivée à réussir sa mission qui était de remonter l'audition, quant à moi, je me rendis compte que cette fois-ci, je passais bien entendu pour un sale pervers. Visiblement, même si j'étais beaucoup plus habitué à l'alcool qu'à Elya', ce dernier pouvait indirectement me foutre dans des situations quelque peu déstabilisantes

A cause de la petite glissade de la jeune demoiselle, je me retrouvais maintenant dans une position qui était à la fois avantageuse et désavantageuse, car à la fois je passais pour un pervers à la fois pour les yeux du public qui me traitait ainsi et aussi pour les yeux de la jeune femme qui n'aimait guère la situation dans laquelle elle était, enfin, c'est ce qu'elle voulait transmettre au public, via la couleur de peau qui était devenue aussi rouge qu'une tomate, mais cette fois-ci de honte. En dehors de cela, elle me donnait de puissantes baffes sur mes deux joues, à une vitesse de frappe, plutôt impressionnante, me rendant mes deux joues entièrement rouges et une douleur quelque peu désagréable. Cependant, c'était parfait pour me sortir un peu de l'état second de l'alcool. Et enfin, elle me tuait les tympans, en criant à répétition, tout proche de mes oreilles ces mots «PERVERS ! ALLEZ OUST !!! ». À ce moment-là, un rictus apparaissait sur mon visage, voulant la faire taire de n'importe quel moyen jusqu'à ce moment ! Ce dernier était plutôt particulier et incertain, quand j'entendis à un certain moment ces quelques mots d'une voix faible et pas très forte «Pas ici », alors visiblement, j'avais bien vu juste, c'était bien une femme comme ça. Ce qui me confirmait cette piste était un petit clin d'oeil, après tout ça, la jeune femme reprenait son petit jeu jusqu'à ce que je me couche à côté d'elle et que je me lève, une fois debout, toujours à l'aide de ma galanterie, je lui tendais ma main, afin qu'elle puisse se relever, sans se méfier d'autre chose, la jeune femme acceptait mon aide, prenait ma main et je me mettais la tirer. Une fois debout, au lieu de la lâcher, je la tirais encore plus vers moi, la plaquant contre moi, je lui mettais ma main en plein milieu de son dos et se mettait à l'embrasser passionnément. Néanmoins, la chose qui m'impressionnait le plus, c'est que contrairement à tout à l'heure, elle se laissait faire et ne se protester pas, mais elle était aussi devenue beaucoup plus collante que moi. D'ailleurs, après l'avoir embrassée, la jeune femme restait coller à moi durant secondes avant de partir.

Et quand elle partait, elle le fit normalement jusqu'à son second pas et là elle se retournait, me regardant avec un air quelque peu sournois, elle armait son poing et me le foutait en plein dans la gueule, bien entendu, mon logia ne s'activait, car à la fois, je ne voulais pas la blesser avec la chaleur de la vapeur d'eau, mais aussi, j'étais un peu saoul et complètement impressionné de ce qu'elle venait faire. Le coup de la jeune femme ne me fit pas tomber, mais simplement reculer de quelques centimètres, comme il y avait le bar derrière moi. Pendant que je me remettais de toutes ces émotions, je regardais la jeune femme repartir en faisant heurter violemment ses talons au sol, tout en riant quelque peu. Croyant que je déprimais à cause de ce petit échec et du coup que je m'étais pris, le barman me donnait son fameux alcool sucré, tout en me disant, que comme dit le dicton « Une de perdue, dix de retrouvées », j'avais bien envie de lui répondre, que je n'avais jamais revu les dix femmes du dicton, me sautant toutes dessus pour passer une nuit plus que torride. À cause de cela et de son fouttage de gueule de tout à l'heure, j'avais encore plus envie de frapper l'affreux barman. Mais bon pour le moment, je me contentais de boire, afin de gagner le jeu, j'en buvais, d'abord un, puis deux, puis trois ... jusqu'à arriver jusqu'à cinq.

À ce nombre, je décidais de faire une petite pause, comme la jeune femme que j'avais embrassée, passait juste devant moi, je décidais de la faire chier, comme une chope était au sol, je shootais dedans à l'aide de ma jambe droite, elle venait shooter dans l'un des talons de la jeune femme, lui faisant encore une fois perdre l'équilibre et la faisant tomber au sol. Cela déchaînait des rires du public, quant à moi, je reprenais un verre en main, le sirotant tout en rigolant légèrement. Rouge de honte et quelque peu énervé, elle se retournait vers moi, voyant mon attitude, elle se doutait plutôt, rapidement que c'était moi qui avait fait cela, elle s'approchait de moi, toujours avec son regard et sourire pervers, d'un coup de paume, en dessous du verre de ma boisson, la jeune femme venait de me renverser tout l'alcool sur moi, néanmoins, elle en avait pas fini et m'écrasait mon pied droit avec son talon, durant de longues et affreuses secondes. Puis s'en allait, toujours avec son maudit rire, ne m'avouant pas vaincu, je lui tapais les fesses énergiquement. Pendant qu'elle se retournait, je prenais deux choppes remplis à rebord, puis quand elle fut entièrement retournée, je lui jetais leur contenu sur la totalité de son corps, faisant devenir un peu plus transparents et moulants ses habits, encore une fois, je créais une réaction du public, cette fois-ci, ce fut des sifflements. Énervé de tout cela, voulant se venger à tout prix, elle essayait de faire une attaque mortelle pour tout homme, soit donné un coup de genou dans les couilles, néanmoins cette fois-ci, ayant vu le coup, je transformais la partie visée en vapeur. Tout fier de mon esquive, un gigantesque sourire apparaissait sur mon visage, néanmoins, encore une fois à cause d'un manque d'attention, la jeune femme arrivait à me retoucher en me re-foutant à l'aide de sa main droite. Contrairement aux dernières fois, ne voulant pas se prendre de contre-attaque, l'animatrice secondaire partait en courant.

Et pour la première fois de la soirée, je décidais de bouger de là où j'étais pour aller voir comment aller l'autre concurrente, néanmoins, je regrettais bien vite cette action, car elle me foutait un coup de coude et un coup de genoux. Étonné de cela et ne voulant pas me refaire taper, je repartais boire, afin de lui faire payer cela, je décidais de boire de plus en plus, afin de bien l'humilier en gagnant haut la main. Au lieu de demande directement au barman, des choppes, j'allais carrément les prendre là où on les dé-bouchonnait, j'en prenais deux à la main et les buvais à tour de rôle, je fis cela pour trois bouteilles, soit six choppes, mais bon je devais arrêter au bout d'un moment, car mon foie n'en pouvait largement plus et je commençais à tituber n'importe quoi à n'importe qui. Comme Elya' était déjà hors-course, voir K.O et que moi je commençais à partir en cacahuète. On me désignait comme le vainqueur et m'invitait à aller dormir, tout comptant de mon titre et d'avoir gagné le pari, je regagnais la chambre où j'allais dormir, bien entendu, sur le trajet, je ne marchais pas trop droit et je faillis me casser la gueule à plusieurs reprises. Avant d'entrer dans la chambre, je demandais à celle que j'avais tellement fait chier pourquoi elle ne voulait pas dormir avec nous, elle me répondit qu'elle ne voulait plus qu'on la fasse chier comme je l'avais fait, afin de mieux dormir et d'être en meilleure forme demain. Déçu de cela, je lui disais tout simplement bonne nuit, sans rien lui faire chier, puis allais sur le lit, entre les deux femmes, toutes deux habillés comme pendant la journée, donc on puait un peu trop à l'alcool. Plutôt épuisé par toutes les activités de la journée et par l'alcool, je m'endormais plutôt vite. La nuit fût plutôt agitée, moi, je poussais à la fois Elya' et serrais l'autre jeune femme contre moi, pendant que cette dernière essayait me fouter des coups, néanmoins, étant gentil, je ne me réveillais pas pendant la nuit, cependant cela ne veut pas dire que je me détachais d'elle.

Au contraire de ce que j'avais pensé, la nuit fut plutôt désastreuse, tout d'abord, même si Elya' avait fini la soirée, par terre à cause de l'alcool, elle n'était pourtant pas tout aussi morte dans le lit, car moi d'un côté qui serrait la si jolie présentatrice et qui repoussait la jeune femme avec mes jambes, tout en essayant de ne pas lui faire mal, bien entendu. Néanmoins, comme aucune des deux n'appréciaient mon placement sur le pieux, ellesse mettaient à me taper à plusieurs reprises, d'ailleurs elle me foutait une baffe plutôt qui me fit plutôt mal sur le moment. La présentatrice profitait de cours moment, à cause de cela, la cherchant dans tout le lit, même si ce dernier était plutôt grand, j'arrivais quand même à aller à son extrémité et à tomber, cette chute me réveillait d'un seul coup et me fit mal particulièrement mal à la tête. Bien entendu ce ne fut qu'extérieurement, car avec toutes les cuites que j'avais prises dans ma vie, celle d'hier ne me faisait plus aucun effet. Après m'être relevé, je pouvais constater qu'Elya' se servait de l'autre jeune femme comme d'un coussin en appuyant sa tête sur ses deux seins. Tout en marmonnant comme un petit vieux, je remontais dans lit, pris mon oreiller, le déplaçait de quelques centimètres pour être une nouvelle fois plus proche de la jeune femme, puis me remettais un peu plus proche d'elle, néanmoins cette fois-ci, je le fis un peu moins brusquement et ne m'accrochais pas entièrement à elle, je laissais simplement ma main droite sur ces côtes et mon autre membre supérieur, autre part, se laissant perdre dans ses longs cheveux. Néanmoins, à ce que je pouvais entendre, cela ne plaisait pas à Elya' qui se mettait à crier, néanmoins comme j'étais dans un sommeil un peu trop profond, donc je ne voyais ni la sortie, ni le fond de mes pensées, je ne comprenais pas ce qu'elle pouvait dire et ne voulais pas me lever afin de lui dire de se la fermer, sinon, elle allait s'en prendre une. Après cette dure nuit de sommeil, je me réveillais enfin, d'abord en ouvrant un oeil, puis l'autre, étrangement, ce fut moi qui dormis le plus. Une fois entièrement sorti de mes plus profonds rêves, je décidais d'être poli et demandais cela aux deux femmes qui avaient dormi avec moi :

• Oï ça va bien ce matin ? Vous avez bien dormi ?

Au contraire de ce que j'avais pensé, je me prenaiis un magnifique, mais ultra beau vent en pleine gueule, aucune des deux femmes ne voulurent me répondre. Pourquoi ? Ça malheureusement, je ne le savais pas, peut être mal, vu le regard que la présentatrice me lançait, puis me lançais un direct du gauche en plein dans la gueule, idéal pour réveiller quelqu'un. Lui essayant de lui répondre d'un gigantesque regard un peu con, la jeune femme tournait son regard vers le coin opposé de la chambre, quand je me rapprochais d'elle, la jeune femme s'éloignait encore plus de moi, énervé par cela, j'essayais de la coincer dans un coin, afin de lui parler, néanmoins, la jeune femme qui n'était pas complètement bête, compris asses vite ce que je voulais faire et éviter à chaque fois les angles de la pièce. Énervé par cela, j'entamais une marche plutôt lente, comme si je déprimais et que j'abandonnais, croyant cela, les pas de la jeune femme mettaient plus de temps à venir. Je profitais de cela en faisant cinq nouveaux pas, néanmoins ceux-là étaient ceux d'un géant et étaient beaucoup plus rapide, après avoir dépassé la jeune femme, je fis une espèce de dérapage contrôlé, même si avec la moquette de la chambre j'avais beaucoup plus de mal. Après l'avoir fait, je fis exprès de tomber sur mes deux genoux, une fois sur ces derniers, j'adoptais ma célèbre pose de prière satanique, ma tête courbée vers le sol, les yeux fermés, je tenais ma croix satanique, dans mes deux mains, ces dernières se rejoignaient devant mon torse. J'étais obligé d'aller jusque là, car je ne pouvais me faire prendre pour un tel gusse par une femme, je disais à celle qui me prenait pour cela, ces quelques mots :

• Je suis vraiment trop trop trop désolé pour la nuit en ma compagnie, s’il te plait pardonne-moi !

M'ignorant à moitié, la jeune femme soupirais, mis la main sur mon front, puis me le poussais pas très fort, voir gentiment, puis repartis en direction de l'autre demoiselle, peu avant de temps qu'un nouvel intervenant fit son apparition. Je ne savais pas ce que la présentatrice venait de faire, mais bon venant d'une femme aussi belle, je le prenais plus pour un bon signe qu'un mauvais. Néanmoins, l'homme qui venait faire une entrée, ne venait pas seulement là pour faire de la visite, mais pour nous dire une nouvelle quelque peu importante, c'est que l'on allait aller dans un manoir plutôt grand et de bourge pendant deux jours, pour y faire des jeux. Pendant que les deux femmes se changeaient et que je ne voulais pas passer pour un pervers, je décidais d'aller manger, sur le chemin du réfectoire, je croisais la jeune femme que j'avais embêté hier, cette dernière n'avait pas très l'air contente, voir triste. Ayant constaté cela, je décidais de ne pas l'embêter aujourd'hui, néanmoins, je lui demandais ce qui n'allait pas et là pour une seconde fois de la matinée, je me reprenais un vent, de plus la jeune femme me poussait plutôt violemment. Puis continuais son chemin, après avoir lâché un soupir, je retournais vers elle, lui prit son bras, la tirais contre moi et lui redemandais ce qui n'y allait pas, la jeune femme se mettait à avoir les yeux en larme, me disait que je ne pouvais rien faire pour elle et qu'elle ne voulait plus que je l'approche. Surpris de sa réponse, je la lâchais et continuais ma petite marche vers la salle où j'allais manger, une fois arrivé dans cette dernière, je pris un pain au chocolat et un croissant, puis repartis vers la chambre, je mangeais ces deux petites viennoiseries sur le chemin de la chambre. Quand j'arrivais dans cette dernière, bien entendu les deux jeunes femmes avaient fini de s'habiller. Ce fut à mon tour de le faire, mais avant, je pris tout de même une petite et rapide douche bien chaude, afin de m'enlever les crasses que j'avais accumulées hier soir. Puis je m'habillais plutôt classe, mais en restant classique avec un jean entièrement noir, un t-shirt blanc et un sweat à capuche noir. Après m'être habillé, moi, la jeune présentatrice et Elya' partîmes enfin de l'hôtel pour ce fameux manoir.

Après quelques minutes de marches et une dizaine de minutes dans une sorte de grosse calèche de bourge, nous arrivâmes devant the manoir of the world, presque aussi grand que l'hôtel où nous eûmes passé notre journée d'hier. Cette grande maison, était faite d'une magnifique pierre et entourée de grands jardins. Tellement impressionnée et jalouse de ça, Elya' tombait dans les pommes, ce fut une jeune femme qui la réveillait, celle-là était nettement moins belle que les organisatrices d'hier, mais bon elle avait quand même son charme. Après nous avoir dit son nom et son prénom, elle nous disait que c'était elle qui allait s'occuper des jeux, mais que nous allions faire ces derniers après une visite. Et là ce fut surement le moment le plus emmerdant de ma vie, sérieux je ne rigole pas, c'était putain de nul. Néanmoins, contrairement à moi, la jeune chasseuse de prime, avait un comportement qui était le parfait contraire du mien, vu qu'elle aussi, appartenait à la bourgeoisie. Puis nous arrivâmes dans une salle où il y avait un parquet avec de nombreux trous, ici, nous devions faire une espèce de chasse à la taupe. Pour nous aider à cela, des marteaux étaient positionnés dans un coin de la pièce, tous les trois prirent les marteaux, pour certain comme moi et Elya', nos premiers coups étaient réussis, contrairement à la présentatrice qui avait loupé le sien. Ayant vu cela, je décidais de proposer quelque chose, qui était digne de ma galanterie, aux deux jeunes femmes

• Oï Bon bah si vous voulez, je peux frapper à votre place et on partagera la récompense en 3 parties, car ça m’embête réellement de voir deux jeunes femmes si jolies se donnaient autant d’effort, Alors c’est ok’ ?

Je venais de faire ma petite proposition aux deux jeunes femmes et après quelques secondes de réflexion et une frappe où elle avait réussi à avoir l'une des fausses taupes, la jeune présentatrice acceptait mon offre, visiblement pour elle, c'était normal de me faire payer ça comme je l'avais bien fait chier cette nuit. D'ailleurs en me le passant, elle avait un sale regard vengeur qui n'annonçait rien de bien pour moi. Puis elle s'en allait en roulant du cul, quand elle passait à côté d'Elya', elle accentuait ce mouvement pour la frapper avec son derrière et la faire tomber au sol. Après ne pas s'être relevée trop difficilement, la jeune princesse me donnait à son tour, son marteau, puis elle me dit que je devais faire de mon mieux. Pendant que je prenais deux marteaux en main, les deux jeunes femmes s'asseyaient un peu plus loin en arrière. Après avoir inspiré un grand coup. Dès que la première tête de taupe fit son apparition, je frappais avec l'un de mes marteaux, puis renchaînait sur une autre tête avec l'autre marteau, comme à chaque fois que l'on frappait avec un marteau spécifique, ça donnait un point à son propriétaire, alors je changeais de marteau après chaque coup et frappait avec. Je fis cela une dizaine de fois, bien entendu, à chaque fois que les jeunes femmes se mettaient à rigoler entre elles, croyant qu'elles se foutaient de ma gueule, je me retournais, je leur lançais un regard plutôt méchant, mais aussi discret pour essayer de les faire taire, mais cela ne marchait qu'une seule fois sur deux.

Après avoir fait les douze premiers coups, je décidais de faire une petite pause, car même si ce jeu a l'air con, il n'est pas de tout repos et pour tenir aussi longtemps, il faut manger ou boire, alors je demandais à l'un des servants du manoir, de me servir une boisson rafraichissante, afin de me redonner des forces et de baisser ma température corporelle de quelques degrés, tout en laissant reposer mes muscles quelques minutes. La jeune servante, qui était plutôt jolie et sympa m'apportait un traditionnel jus de pommes. Après cette mini pause finie, je reprenais le jeu, néanmoins cette fois-ci, je n'avais pas deux marteaux en main, mais un seul, car je commençais à avoir mal à un bras, parce que d'habitude, je faisais travailler mes membres inférieurs, au lieu des supérieurs. De plus maintenant, je trouvai une technique pour frapper deux fois plus vite les taupes, cette technique consistait à taper avec un marteau, puis à le balançait sur une autre taupe qui venait de sortir, néanmoins, plus j'avançais dans le jeu, plus les taupes se rabaissaient rapidement, plus je loupais ces dernières, donc il fallait que je frappe une fois de plus, la prochaine fois que j'avais en main la même massue.

Au bout de ¼ d'heures de jeu, là où je commençais sérieusement à me faire chier et que je suais comme un porc, d'ailleurs mes habits étaient maintenant entièrement trempés de sueur et ça, ce n'est pas très confortable. À partir de ce moment-là, je voulais en terminer, je pris l'arme en main, dès que je vis la taupe sortir, je le visais, puis je libérais. Néanmoins, pour la première fois de la partie, je loupais mon coup, je frappais à côté, le marteau heurtât violemment le sol, me faisant trembler de partout, sans trop faire de bruit, puis il se mettait à déraper et je tombais au sol à cause de cela' (ouai je sais, c'est vraiment la honte, pauvre de moi L ). Je me relevais plutôt rapidement, repris ce même marteau en main, encore plus énervais plus que tout à l'heure, après avoir pris une grande bouffée d'oxygène, j'activais ma mini-amplication sur mes deux membres, afin de frapper plus forts, ces derniers grossirent jusqu'à devenir aussi gros que des jambes de cheval. Puis je fis un saut, dès qu'elle se levait, je la frappais de toutes mes forces, la laissant même pas aller à son apogée et cette fois-ci, je ne la loupais pas, car l'on pouvait très bien entendre le sol, du choc entre les deux objets, d'ailleurs comme la salle était complètement fermée, l'effet de résonance fut à son apogée et le son nous détruisit les oreilles. à part cela, mon coup avait créé une légère fissure sur la taupe, qui n'arrêtait pas de s'agrandir jusqu'à ce que la tête se fracture en dizaine de morceau et là au lieu de voir un mécanisme permettant de lever ces dernières, mais il y avait un homme complètement sonné par le coup, plutôt gros, torse nu, avec une cagoule entièrement noir et là, je ne pus m'empêcher de crier :

• WHAT IS THE FUCK ?!?

Désolé pour ce post’, plutôt moyen

J'étais toujours en train de regarder la tête du pauvre homme, que j'avais presque tué. J'étais comme paralysé, me demandant comment il avait pu faire ou qu'il avait obligé à être un jeu. Une grimace apparaissait peu à peu sur mon visage, à ces questions, s'ajoutaient des nouvelles. C'était comme si ma tête se transformait peu à peu en un gigantesque pot au feu à énigme. Ne pouvant plus de rester sans réponse, je m'approchais du maltraité, le pris par son col, puis le levais de quelques centimètres, je me mettais à le secouer dans tous les sens pour essayer de le réveiller, néanmoins, cela ne marchait pas, je décidais de passer à une méthode, qui était un peu plus barbare, donc qui faisait plus mal et allait moins être apprécié par l'homme. Après l'avoir lâché, je levais mes mains, hautes vers le ciel et pendant qu'il redescendait vers le sol, telle une mitrailleuse, je me mettais à lui donner des baffes à haute cadence. Cependant, encore une fois, cela ne le réveillait pas et au lieu de ça, il avait maintenant ses deux joues entièrement rouges et gonflées. Pendant ce temps, la jeune présentatrice, comme moi, n'en croyait pas ses yeux et criât qu'elle démissionnait à partir de ce moment. À mon instar, Elya' décidait de mener sa petite enquête, avec son arme favorite qui est son fidèle fouet-serpent, elle soulevait un masque de taupe et là, on vit, que sous celle-là, se trouvait un enfant, âgé d'une dizaine d'années, son corps était complètement recouvert d'hématomes, de bosse et de bleu. Bien entendu, comme il n'arrêtait pas de pleurer, on ne pouvait pas l'interroger. Effrayée par tout cela, Elya' et la présentatrice fuirent, bien entendu, comme je ne voulais pas rester seul, je les suivais.

Pendant que l'on essayait de trouver un meilleur endroit plus sûr où nous mettre, sous nos pieds, dans les égouts du coin, lors d'un jeu, dans lequel d'autres personnes y participaient. Il y avait une sorte de révolte, ceux qui se faisaient maltraiter dans les jeux, se mettaient en grève et arrêtaient de jouer leur « rôle ». Comme ils ne faisaient plus et que leurs instincts de mâle ressortaient et tentèrent de violer une jeune femme, qui n'avait rien demandé à personne (Et ouai, je sais la vie est horrible avec certaines personnes). Mais bon heureusement pour elle, la jeune femme arrivait tout de même à s'enfuir. Des rats, qui à l'origine, étaient entièrement blancs, sortirent d'une multitude de trous et comme ils avaient, bah ils se mettaient à manger les cadavres et dès qu'ils retournaient dans l'eau, comme par magie ... ils devenaient noirs. Plus les minutes passaient, plus l'endroit se transformaient en un véritable cauchemar, d'abord ce fut une odeur, qui puaient autant que l'haleine de mille chacals en putréfaction. Après cela, ce fit au tour, d'une étrange liquide vert, gluants, malodorants de couler sur les murs.

Pour échapper à ce véritable enfer, ils décidèrent de prendre l'ascenseur, néanmoins par manque de bol, ce dernier était en panne, tout comme les lumières, il n'en restait qu'une seule et elle était toute petite et éclairait verte, à cause d'elle, on pouvait voir l'ombre de leurs assaillants se rapprochaient peu à peu, ce n'était guère rassurant. D'ailleurs leur présentatrice ne mit pas beaucoup de temps à péter sa durite et se remettait à dire. Après être sorti de l'ascenseur, ils se mettaient à courir tous dans un même sens, en se tenant la main, après de longues et horribles secondes, ils tombèrent sur une échelle, à cause de sa gentillesse, la présentatrice montait la dernière. Néanmoins, elle regrettait vite cela, car pendant qu'elle montait, les monstres qu'ils avaient tant fuits, lui attrapât la jambe et la dévorât cette dernière d'un seul coup. D'ailleurs à cause de ça, la jeune présentatrice risquait l'amputation, mais grâce à ses amis qui la tirèrent, elle réussissait à fuir aux monstres et à les emprisonner dans les égouts en refermant la trappe qui menait à ses derniers et là comme par hasard, ils tombaient comme par hasard, sur un autre groupe groupe. Croyant que ce dernier connaissait parfaitement l'endroit, il se mettait à les suivre, tout en apportant les premiers soins à la personne blessée.

Bref revenons, à notre petit groupe, si vous le voulez bien, nous avançâmes encore et toujours sur une bonne centaine mètres, jusqu'à arriver à une grande porte. Selon les dires d'Elya', c'était la celle de la chambre de la fille du compte et elle avait besoin de moi pour la faire peur en démolissant la porte pour lui faire avouer que c'était elle qui était à l'origine de tout cela et que c'étaient les anciens clients de l'hôtel qui jouaient les animateurs de jeu en se faisant tabasser à mort, durant les différents jeux du manoir. Après que la jeune femme m'ait complètement expliqué la situation, je continuais de douter, car choquer une personne de la gent féminine, n'était pas de ma trempe, car je les aimais trop ces dernières. Néanmoins, de l'autre côté, il y en avait bien plus qu'une seule, alors mon esprit me fit comprendre que se faire détester par une seule femme est moins importante que de se faire adorer que plusieurs femmes. De plus que ces dernières allaient me faire passer pour leur héros. Après avoir inspiré un bon, coup je me jetais sur la porte, à quelques décimètres de cette dernière, je fis un saut, une fois asses haut, je donnais un double coup de pied sauté dans cette dernière, ce qui fit voler les deux parties qui composaient la porte dans tous les sens, une allât se scratcher dans une baie vitrée et l'autre, dans une vieille armoire. Croyant que l'on allait la tuer et choquée par tout ce vacarme, la jeune femme allait se réfugier dans le fond de son lit, tout en se protégeant avec son lourd et gros oreiller. Après m'être relevé et avoir repris mon souffle, je lui criais, pas trop méchamment, cette phrase :

• OÏ ON SAIT TOUT SUR TOI !!! TU SAIS C’EST PAS BIEN DE PRENDRE LES AUTRES POUR SES ESCLAVES !!! CE NE SONT PAS DES OBJETS !!! ALLEZ AVOUE !!!

Visiblement, ma petite entrée fracassante avait fait bien peur à la jeune femme, de plus, mon ton qui était plutôt fort et violent la faisait encore plus reculer, allant dans les derniers recoins de son lit, elle se roulait en boule, avec seulement sa tête qui dépassait encore, même si la moitié de cette dernière était tout de même cachée par l'oreiller de la jeune noble. La première chose qu'elle me disait était de prendre tout ce que je voulais dans sa chambre, tant que je ne l'embêtais pas. Ne voulant pas la traumatiser d'autant plus, je laissais Elya' lui parler, comme elle était aussi de la haute bourgeoisie au contraire de moi qui étais tout à fait l'inverse de cette classe sociale.

Pendant que les deux femmes étaient en train de parler, je sortais une deux pièces de ma poche, puis je me mettais à jongler avec, jusqu'à un grand « BOOM », ce bruit venaient de résonner dans tout le manoir, il venait de la salle où l'on était, la cause était plutôt dure à comprendre, vu le corps de celle qui venait de faire cette exploit. Pour expliquer simplement, notre gourdasse d'animatrice préférée venait de faire un trou dans le parquet de la chambre, avec sa jambe et cette dernière était restée coincer. Néanmoins, cela ne fut pas ça le plus marrant, car ce fut au moment où elle essayait de se retirer de ce merdier, après l'avoir vue se débattre durant de longues secondes, elle me faisait un sale regard, toujours avec ma galanterie légendaire, je rangeai mes pièces dans ma poche et m'approchais d'elle. Puis Je m'accroupissais devant elle et je me mettais à réfléchir afin de trouver la meilleure solution, je ne voulais pas la retirer d'un seul coup, ayant peur que ça lui déchire son magnifique membre et ne voulant pas casser pour ne pas que des débris dangereux lui fassent mal, voir pire, s'enfoncent dans corps. Alors, je décidais une technique plus lente et sûre. Je sortais l'une de mes blazes-dagues, j'allumais ces armes, puis j'enfonçais leur lame dans le sol et fit un joli rond, tout au tour de sa jambe, avant de retirer cette dernière. Après avoir fait ça, je prenais son membre entre mes mains et commençât à entamer le rond qui entourait maintenant sa jambe, néanmoins, quand je fis presque au bout, la jeune femme commençait à avoir trop chaud à cet endroit, comme ma lame était trop proche de sa peau et me suppliait d'arrêter. Je la regardais droit dans les yeux et je lui disais que j'avais le truc en main, donc elle n'avait pas à avoir peur. Néanmoins, cela ne fut pas nécessaire pour la calmer et elle continuait de râler toujours autant, jusqu'à ce que je lui enlève le bout de bois. Et même quand j'eus fini, elle continuait de me critiquer, me disait que j'étais beaucoup trop fou, oubliant presque que je l'avais sauvée.

Après en avoir terminé avec moi, la jeune femme allait voir la comtesse, lui mettant un doigt devant la bouche, afin qu'elle se taise puis lui tapotant l'épaule. Cette attitude eut sur la bourgeoise de se calmer, puis l'organisatrice, faisant croire qu'elle avait trop forcé et qu'elle n'avait plus de ressources, elle tombait par terre, tout en pleurant. Visiblement, elle n'en avait pas fini de me faire chier, en me faisant passer pour un faiseur de rien. Pendant ça, sans même le remarquer, un groupe de quatre personnes avaient débarqué derrière nous, sans trop faire de bruit, à ce que l'on pouvait voir, ils étaient dans un état misérable. L'un deux nous expliquèrent leur situation et en effet, ce n'était guère joyeux. Choqué par cela, la jeune noble se levait d'un seul coup, prit un microphone et disait à travers tout le manoir et l'hôtel, qu'ils avaient un « problème technique », donc il fallait quitter et évacuer les jeux. Encore une fois, pendant qu'une personne parlait, des personnes venaient d'entrer dans la salle, c'étaient les gardiens de l'endroit et nous disaient que cet appel ne servait à rien, car tout était manigancé par leur part, les sorties des bâtiments étaient déjà toutes fermés et ils avaient toutes le personnel d'ici grâce à l'argent du comte, sauf les animateurs et animatrices, car ces derniers étaient trop cons et s'y croyaient trop dans leur boulot. Mais avant qu'il finisse, Elya' avait sorti son fouet-serpent et avait assommé l'homme, puis elle pétait une durite, faisant une leçon de correction aux gardes qui étaient encore conscients. Ayant vu, déjà il y a quelques secondes qu'une jeune femme présente ici, souffrait, je m'approchais de l'un des « méchants », le prenant par le col, je le plaquais violemment contre un mur, puis je lui disais cette phrase :

• Oï Connard-man, elle est où la plus proche trousse de secours ou truc du genre dans le coin ?

• Euh … Elle n’est pas très loin, mais au premier étage tout à droite et les rats et sdf doivent déjà y être, faudrait être fou pour y aller ! Me répondait le garde, d’un air plutôt effrayé.

Faisant beaucoup confiance à mon fruit du démon et retenant surtout ce que m’avait dit le garde, les quelques informations sur l'endroit, je décidais d'y aller seul pour le bien de la jeune animatrice. Pour me déplacer plus vite, je décidais d'utiliser l'un des modes de déplacement de mon logia, celui qui allait le plus vite, il consistait à faire sortir des jets sous-pressions sous mes pieds pour me propulser comme une fusée. Néanmoins, le problème était que c'était l'une des premières que je me servais de cela et je n'arrivais pas à contrôler les tournants et me prit à toute vitesse un mur, arrivant même à le fracturer, je me rétablissais sur un lit qui était plutôt moelleux. Néanmoins, je fus quand même content de m'être régalé, car là, j'étais tout à droite, donc la trousse devait se trouver seulement en dessous de moi. Alors, après être descendu du lit, je pris un bon gros bol d'air, je faisais une amplification sur mes deux bras, en quelques secondes, la masse et puissance musculaire de ces derniers venaient d'augmenter. Puis je levais le droit haut vers le ciel et tapais de toutes mes forces le sol, ce dernier se mettait à se fracturer, pour au final me retrouver dans la salle d'en bas, juste devant la mallette de survie, néanmoins, le garde avait raison et les rats étaient déjà à la porte de la salle, voulant les ralentir et en éliminer un maximum, je repris une nouvelle fois un bol d'air, puis soufflât le tout sous forme de vapeur d'eau, cette dernière commencer peu à peu à former un gigantesque serpent qui fonçait droit sur les rongeurs, passant au travers de quelques-uns, la température approchait les 200°C, donc la majorité des animaux qui furent touchés, le furent gravement, voir mortellement, donc étaient maintenant hors-service.

Après avoir fait ça, encore une fois à l'aide de la force que j'avais en mode amplification partielle et d'un lourd et court effort, j'arrachais la trousse de secours du mur. Comme j'avais pris du poids, pour remonter cela allait être plus dur, alors, au lieu de mettre la vapeur d'eau sous pression, une ou deux secondes, je le concentrai trois à quatre secondes. Néanmoins, cela fut un peu trop long et les jets furent trop puissants et je tapais trop violemment la tête contre le plafond d'au-dessus. Même si je m'étais bien fait mal à la tête, une femme attendait toujours ce que j'avais en main pour rester en vie et ça me motivait. Après m'être rétablit du coup, en vacillant, je me relevais, puis je me mettais à courir en zigzag jusqu'à arriver dans la chambre de la fille du comte. Après être entré dans cette dernière, je posais la mallette au sol, je réduisais mon amplification partielle à néant, avant de mettre ma main sur la bosse que je m'étais fait pour me soulager, je disais aux personnes de la salle, de refermer la porte, car les sdf's et rats étaient rapides.

Lorsque j'entrai dans la salle, la première chose qui se passât était que notre présentatrice préférée commençait par m'engueuler, car selon elle, ce la cause n'était pas que la porte était un peu trop vieille ou usée, mais non, selon elle, c'était que j'avais voulu la rabaisser trop vite. Néanmoins, en faisait ça, elle s'était défoulée et donc elle était beaucoup plus décontractée, mais continuer d'avoir peur, pendant ce temps-là, le groupe de touristes qui nous avaient rejoint, commençait à soigner leur animatrice. Mais bon, ils ne firent pas ça dans la finesse, car la première chose qu'il fit, était de l'amputer avec une petite machette plutôt propre, puis ils avaient nettoyé la blessure avec du désinfectant et bander avec des bandages en cotons et avaient collé le tout avec du sparadrap. Bien entendu, comme c'était un peu barbare, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de crier et malheureusement pour nous, ces hurlements avaient été entendus par des gardes et ces derniers les avaient suivis pour venir jusqu'à nous. En le voyant, complètement surpris par cela, une autre femme ne pouvait s'empêcher de crier. Elle avait été surprise par ces fameux soldats, ces derniers étaient bien entendus équipés et armés comme il le fallait avec leurs cagoules, leurs épais habits qui étaient constitués d'un drôle de tissu qui les protégeait de nombreuses choses, ils avaient aussi de larges bottes en cuir noir. Comme arme, ils avaient, cinq couteaux répartis sur sa ceinture, un pistolet sur ce même vêtement, un autre qui était beaucoup plus petit, sur sa jambe. Et enfin l'arme bourrine de base, qu'ils avaient sur leur épaule, cette dernière était le célèbre lance-roquette.

Le plus surprenant, c'est qu'au lieu de nous attaquer avec les petits calibres, ils nous attaquaient avec ça et au lieu que ce soit fait avec les petits calibres, même si c'était beaucoup plus destructeur, c'était beaucoup moins rapide et au contraire de ce que je pensais, seul moi arrivais à en esquiver quelques-uns en faisant de larges sauts et pas. Après avoir esquivé les trois premiers filets, je fonçais sur le soldat pour le paralyser, à l'aide de mon fruit du démon, je compressais une partie de la vapeur d'eau sous mes jambes, puis je la libérais pour faire un gigantesque saut vers mon ennemi, en l'air, j'allumais mes deux blaze-dague pour dévier les filets qui me fonçaient dessus, comme ils étaient impossibles à couper. Et là PAN, cela cassât mon petit moment d'héroïsme, en retournant sur le plancher des vaches, je glissais, tombant en avant avec aucun moyen de me rétablir, l'ennemi se servait de cela pour me canarder et je fis vite recouvert par son putain de carrelet de merde. Il m'empêchât de tomber, mais m'obligeât à faire l'inverse plus violemment, je me cognais asses fortement la tête contre le sol et perdis vite connaissance.

Quelques bonnes minutes plus tard, je me réveillais, non plus dans un filet, mais les mains attachées dans une drôle de corde, celle qui m'avait réveillé, n'était autre qu'Elya' qui me suppliait de l'aider. Malheureusement pour elle, dans l'état où j'étais, je ne pouvais rien faire, car à la fois, comme les gardes avaient capté que mes simples bâtons en apparence étaient des armes, ils me les avaient retirés. De plus la corde était constituée de quelques choses, qui m'empêchait d'utiliser les pouvoirs de mon fruit du démon et qui m'affaiblissait, donc dans cette position, je n'osais pas utiliser ma petite amplification comme j'étais dans un piteux état. Alors, je me contentais d'observer les alentours, pendant que les autres étaient en train de discuter jusqu'au moment du héros, ce dernier portait sur son nez, une magnifique paire de lunettes d'aviateur, il était habillé d'un smoking et armé d'un magnifique pistolet que l'on ne voyait qu'une seule fois dans sa vie. Il arrivait tout de même à tuer un soldat et à nous libérer de ces maudits cordages. Une fois libérée, Elya' demandât à l'une des anciennes prisonnières de s'occuper de la personne que l'on avait amputé, il y a cela quelques temps. Puis nous partîmes au secours de cette Karen.

Néanmoins, quand l'on arrivait à la porte qui nous faisait sortir du labo' où nous étions, je fis signe au groupe de s'arrêter comme je me doutais qu'il y avait un garde qui gardait la porte de l'autre côté, alors avant de l'ouvrir je concentrais une bonne dose de ma vapeur d'eau dans mon poing droit, puis d'un vif coup de pied dans la porte je l'ouvrais, je fis un rapide gauche-droite de la tête et en effet, il y avait un soldat, je lui donnais un coup de poing en plein dans le ventre de l'homme, au moment de l'impact, je libérais la vapeur d'eau pour accélérer vivement mon coup, à cause de cela, il se logeât bien profondément dans l'estomac de l'homme, le mur qui se trouvait derrière lui, se fracturât à divers endroits, puis complètement, laissant ainsi passer de l'autre côté, le pauvre homme. Ce dernier finissait complètement K.O. Néanmoins, comme ma petite action n'avait pas été trop discrète, cela avait alerté un autre garde, ce dernier me pointait de son fusil et me tirait dessus, ne sachant pas que j'avais un logia, l'homme fût totalement surpris que les balles ne me fassent rien, voir me traversent. Il fût vite désorienté, priant même à un moment le seigneur de l'épargner, néanmoins ce dernier était trop loin et j'arrivais trop vite à lui, dans ces derniers instants. Il essayât même de me frapper, néanmoins, cela ne me fit toujours rien, je me saisissais de sa tête et toujours à l'aide de mes fameux jets sous pression (même s'ils n'étaient guère puissants à ce moment-là à cause de la trop faible pression due au temps à les mettre comme ça qui était trop minime), j'écrasais cette dernière contre le rebord d'une table asses fortement, cette table commençait à se fissurer de partout, jusqu'à se casser en deux, faisant un horrible bruit à ce moment.

Pendant que je l'avais attaqué, j'avais concentré de la vapeur d'eau sous mes pieds. Pour au cas où, il y ait encore un garde et oui il y en avait un ! Néanmoins, visiblement celui-là ne voulait pas se battre, car il se contentait de courir vers un gros bouton pour visiblement donner l'alarme et alerter ces petits amis de notre venue. Alors, je libérais la fameuse vapeur d'eau pour faire un gigantesque saut vers lui, ouvrant mes bras au dernier moment, non pas pour lui faire un câlin, mais bien un putain de gros plaquage digne des plus grands joueurs de rugby. Après l'avoir choppé au passage, nous continuâmes de voler sur deux mètres avant de se scratcher. Un large sourire s'affichait sur mon visage, non pas que j'étais content d'avoir mis autant de gens K.O, mais celui-là de garde pouvait encore parler, même s'il était un peu sonné, après lui avoir volé un couteau, je lui foutais de bonnes paires de baffes pour le réveiller puis lui mettais son arme en dessous de la gorge et lui demandais cette simple question :

• OÏ Tête de con, l’est où la jolie princesse qui porte le nom de Karen !
  
• Alors tu crois qu’un petit mec comme moi le sait, mais bon selon certaines de mes connaissances, elle est allée dans une salle qui est plutôt en retrait à l’est, pour vous, ça va pas être facile, car il y a au moins 20 gardes sur le chemins et à 3, vous allez galérer
  
• Je te demande pas comment elle est gardée, mais où elle est ?!? T’ain t’es vraiment mou du bulbe toi !
  
• Bah vous êtes complètement à l’opposé là, faut prendre la cage d’escalier, puis un tuyau qui est caché derrière un ventilo.

Après lui avoir donné un coup de boule pour éviter de le laisser réveiller et de lui laisser l'occasion de donner l'alarme, je me dirigeais vers cette fameuse cage d'escalier, après avoir ouvert la porte et vérifier qu'il n'y a aucun garde, je poussais le ventilo' et je vis en effet, qu'il y avait une grosse trappe en métal avec une espèce de grosse manivelle, avant de l'ouvrir, je disais à mes compagnons d'infortune cette phrase :

• Allons sauver Karen et faire de moi son héros Hé hé hé !!! … Oups Mince, je crois que ça m’a échappé de la bouche

Bien entendu, comme j’étais galant même si je voulais les protéger, comme elle me le demandait, je laissais passer les deux jeunes femmes qu’étaient Elya’ et la présentatrice devant moi dans le tuyau. Je les suivais, puis après moi, c’était ce fameux et énigmatique agent numéro 770. Là où nous étions, contrairement aux autres endroits du manoir, c’était particulièrement sale avec les quelques moisissures sur les murs, car seuls les réels habitants du manoir le connaissait et donc n’était pas nettoyé par les femmes de ménage. Quand nous sortîmes de cet endroit, nous arrivâmes dans une salle plutôt grande où se trouvait Karen qui était assise sur une chaise et qui n’attendait qu’une seule chose, c’était que l’on vienne la sauver. à côté d’elle, il y avait sa mer, néanmoins cette dernière ne restait pas trop longtemps dans la salle, car dès notre arrivée, elle appuyait sur un bouton qui à la fois désactiver l’alarme et faisait venir une multitude d’insectes guère sympathique et très dangereux pour les êtres avec leur tonne de maladies et bactéries qu’ils avaient en eux. Néanmoins, un seul n’eut pas peur d’eux, c’était l’arme et l’animal de compagnie d’Elya’, soit son serpent. Ce dernier était tellement affamé qu’il n’hésitait même pas une seule seconde pour aller tuer tous ces animaux pour ensuite les manger et en même pas une minute, il avait déjà fini son travail et son ventre avait triplé de volumes. D’ailleurs, tellement qu’il était devenu lourd, il était maintenant devenu impossible pour lui de bouger par lui-même, alors sous ordres de sa maîtresse, il retransformait en un simple fouet qui n’avait maintenant plus rien de spécial. Tellement que cela fût rapide, notre présentatrice préférée n’eût pas le temps de crier de peur que ces yeux étaient déjà remplis de dizaines d’étoiles qui pétillaient toutes de mille feux. La jeune chasseuse de prime venait encore une fois de montrer à de nombreuses personnes que même si elle était petite et qu’elle avait été élevée dans un milieu plutôt aisé, elle en avait dans les tripes. Néanmoins, elle aussi fût surprise de la voracité de son serpent et ne pût s’empêcher de râler en disant qu’en temps normal, en bouffe, il lui coutait cher, alors là, elle ne pouvait même pas imaginer, ce qui lui couterait si chaque jour, il mangerait comme ça, quant à moi, ayant un manque chronique de galanterie, j’enchainais d’une simple phrase qu’était :

• Oh lalalala, mais jamais tu t’empêches de râler. Tu sais c’est un serpent, pas un petit jouet.

Pendant que nous avions parlé, l’agent 770 nous avait rejoint et en un éclair, il avait pris son pistolet main, avait eu le temps de viser et de tirer, néanmoins, il ne fit pas cela pour tuer quelqu’un, mais simplement pour libérer quelqu’un, néanmoins, par manque de chance, la balle ricochait et allât défaire le lustre qui se trouvait au-dessus de lui et se le prit en pleine gueule … Et ouai, je sais, ce n’est guère jolie comme mort, mais bon qui sommes-nous pour pouvoir jurer sur ça ? Après cela, Elya’ allât voir l’ex-prisonnière pour lui dire que l’on devait se dépêcher, néanmoins, cette dernière sans que l’on ne le sache la cause, pétait une durite d’un seul coup. Ayant vu sa réaction, sans lui demander son avis, la princesse l’a pris sur son épaule et lui dis une phrase toute belle et pleine de vérité sur la vie et le Monde. Tellement que c’était vrai, cela chassait la folie de la tête de la jeune comtesse et lui fit reprendre ses esprits. Néanmoins par manque de bol quand Elya’ ouvrit la porte, la mère de Karen se prit cette dernière en pleine tête et volait dans une partie de la pièce jusqu’à atterrir sur un bureau où de nombreux papiers étaient entassés et où il y avait le levier de commande de l’alarme, à la vitesse où elle atterrissait et étant inconsciente, elle ne put l’éviter et ce dernier l’embrochait, suite à cela, le magnifique bruit de l’alarme reveint. Complètement devenu fou en ayant vu sa femme mourir devant ses yeux et que nous avions pu sauver sa fille. Il se transformait peu à peu en un énorme ragondin humain et nous criait que même si l’on le battait, on serait quand même encerclé par ses gardes. Afin qu’aucune des jeunes femmes se blessent, je décidais de le combattre. De plus, je devais venger Karen de ce que son père lui avait fait, alors avant de l’attaquer, je lui criais cette petite phrase :

• Oï toi le vieux, je vais te démonter, je vais te montrer ce que ça coûte de s’en prendre à une si jolie femme devant mes yeux.

Pendant que je disais ces mots, j’avais concentré une partie de la vapeur d’eau de mon corps dans mon pieds, puis je me mettais à courir vers mon adversaire, une fois à portée, je fis un petit saut, afin d’arriver à la hauteur de sa tête et d’un magnifique balayé de la jambe de gauche à droite, tout cela accentué par l’augmentation de la vitesse dû au jet que j’avais formé derrière mon talon. Je le frappais en plein dans sa tête, cette action eut le merveilleux effet de l’envoyer s’encastrer dans un mur. Néanmoins, comme je le pensais, cela ne suffisait pas pour le battre, car après quelques secondes au tapis, le vieil homme arrivait tout de même à se relever et ne s’avouant pas vaincu, il décidait de contre-attaquer avec une arme, cette dernière était une espèce de longue corde où au bout, il y avait un nœud. Ne craignant pas les attaques physiques, je décidais de l’encaisser à l’aide des pouvoirs que m’apportaient les pouvoirs de mon fruit du démon. Néanmoins, au dernier moment, je pus voir que sur ce même nœud, il y avait les mêmes pierres, dont il s’était précédemment servit pour m’affaiblir et m’empêcher l’utilisation de mes pouvoirs. L’ayant remarqué un peu trop tard, il faut l’avouer, je ne pus l’esquiver et je me contentais de l’encaisser sans broncher. Cette attaque m’atteignait au niveau du ventre, le choc fût plutôt rude et puissant, quelques gouttes de sangs sortirent de ma bouche, et je fis projeter contre un mur. N’ayant pas asses de vitesse pour démolir ce dernier, je me contentais de rebondir dessus et de me rétamer par terre. Tout comme mon adversaire, quelques secondes plus tôt, j’arrivais à me relever, même si c’était fait difficilement. Une fois relevé, je m’essuyais la lèvre où trainait encore un peu d’hémoglobine, en faisant cette action, je me rendais compte que ce combat n’allait pas se finir rapidement et que je n’allais pas en sortir indemne ...