Le monde des jeux [Pv Johny]

Première minute du combat et tous les deux étions déjà blessés. D'ailleurs ce qui me surprenait le plus dans ce combat était ces étranges petites pierres qui permettaient à mon ennemi de me frapper et de stopper temporairement les effets du fruit du démon que j'avais mangé. Pendant que je réfléchissais à cela et que je mettais une bonne dose de vapeur d'eau sous-pression au niveau de mes genoux. Mon ennemi, qui s'était remis sous forme humaine, avait fait quelques pas en arrière, l'un de ses gardes du corps (même si ces derniers étaient plus faibles que lui, s'en était quand même), il transportait une espèce de grosse mallette en métal noir, après l'avoir dé-clipsé du haut, il ouvrait en grand, puis pris deux gros gants, biens épais fait de côte de maille chacun et en mit chacun à ses mains. Bien entendu, vu leur taille, au début ils étaient beaucoup trop grands, mais quand il se remit en forme hybride, comme par magie, ils lui allaient comme des gants (normal vous allez me dire, comme s'en est). Étant un mec cool, j'attendais que le vieil homme se relève et se remette en position de combattant, afin de pouvoir aller vers là où il était, je faisais de grandes et rapides foulées, même de gigantesques foulées. Puis je prenais appui sur mes deux jambes, les fléchissant quelques peu puis je faisais un gigantesque saut, je me trouvais maintenant à la hauteur de la tête du comte. Je fléchissais encore une fois mes deux jambes, puis je libérais la vapeur d'eau que j'avais mis sous pression, un gigantesque jet sortait au niveau de mes genoux et toute la partie qui se trouvait en dessous fût violemment propulsée. Grâce à ce magnifique double coup de pied sauté, j'arrivais à taper mon ennemi en plein sur le torse, qui plus est bien fort. D'ailleurs la puissance fût telle que l'homme perdit l'équilibre et heurtât le sol. Le choc entre lui et le sol se fit entendre dans toute la salle, au tour du lieu où il avait frappé le parquet, de multiples fractures dans ce dernier apparaissaient.

Néanmoins, comme je lui avais fait comprendre, je n'allais pas lui laisser aucune seconde de répits pour ce qu'il avait fait. Alors, pendant que j'étais encore en l'air et lui écrasé par terre. À une folle allure et asses fort il faut l'avouer. Je me mettais à lui donner des dizaines et des dizaines de coups en rafale à l'aide de mes jambes. Au contraire du dernier coup, cette attaque ne visait pas un seul endroit du corps, mais tous, à chaque coup que je donnais, les fractures dans le sol s'élargissaient et s'étendaient et de plus en plus, le corps de mon adversaire se rapprochait de celui de la crêpe. Néanmoins, après lui en avoir donné une bonne vingtaine, la cadence et la puissance de mes coups diminuaient d'un seul coup. Et grâce à cela, sans m'en attendre, cela me surprenait même totalement. L'homme arrivait à se saisir de l'un de mes super-membres et grâce à ce dernier, à me balancer à cinq mètres minimum. Pendant que mon ennemi se relevait péniblement à cause des divers coups que je lui avais donnés. D'ailleurs son état avait changé aussi, son magnifique costard avait maintenant d'horribles traces de chaussures sur sa totalité, sa tête était entièrement rouge et il avait une grande entaille sur le front qui allait sûrement le gênait pendant le reste du combat comme du sang allait aller sur son oeil. Quant à moi, je me relevais moins péniblement, mais cela ne se fit pas que dans le bonheur aussi.

Une fois relevé, au contraire de moi qui l'avais attendu, comme un malpoli, l'homme se mettait à foncer sur moi, tout en ramenant autour de son poing, sa chaine avec les drôles de pierre. Néanmoins, quand il la mettait au tour de sa main, il ne redevenait pas humain. Etrange, visiblement, la grosse épaisseur qu'il portait en dessous ne l'affectait pas. Au contraire ce qu'il aurait pu croire, je ne décidais pas de faire la tapette et de me barrer afin d'esquiver son attaque, mais bien de faire, le gros dur en encaissant son attaque. Comme je savais très bien qu'il pourrait me toucher, même si j'activais ma défense de logia et que je me transformais en nuage. Je décidais d'adopter un tout autre style de défense, tel un boxeur, je m'inspirais de leur garde, montant mes deux avant-bras devant mon visage. Puis je contractais les muscles que j'avais dans cette partie de mon corps. Bien entendu, comme vous l'aurez compris, j'adoptais ma célèbre technique qu'était le Passage du Styx.

Cependant, au début, elle faillit lâcher, car cet enculé ne frappait pas comme un gosse, mais plus comme un boxeur professionnel. Bien entendu, en tant que super connard, ce ne fit pas qu'un seul point qu'il me donnait, mais des dizaines et à une cadence plutôt élevée. D'ailleurs tellement que cela avait une bonne qualité/quantité, il arrivait même à me casser l'ulna. Puis ce servit de la brèche qu'il avait fait pour me mettre une bonne droite en plein sur le côté droit de ma tête. Puis me mit crocher du gauche sous le front, avant de me mettre un direct du droit en plein dans l'estomac, ce coup me fit plié entièrement et quand il le retirât de là. Ce n'était pas pour en rester, mais bien pour me laisser tomber sur le sol, la tête en avant, puis de m'attraper cette dernière, avant de me faire manger le sol sur de longs mètres, d'ailleurs ce fût sûrement là que je soufrai le plus. Après de longues secondes, il me jetait, quelques roulés-boulés et glissades plus tard. Complètement K.O, je me trouvais maintenant à cinq mètres de lui avec une gueule totalement ensanglantée. Croyant que je ne pourrai pas me relever, l'homme me disait cette simple phrase :

Niarf Niarf Niarf, t’as vu, t’as pu me donner aucune leçon, par contre moi je vais te montrer comment un père traire sa fille quand elle le trahit

Réagissant à sa phrase, comme par magie, je me relevais, une fois sur mes deux jambes, à l’aide de ma manche droite, je m’essuyais le visage, grâce à cela, j’enlevais la sueur et le sang qu’il y avait dessus, puis d’un air glacial, je me mettais à regarder et à dire au compte cette phrase :

• Oï toi le connard, qui t’as dit que le combat était fini ? Ramène ta gueule pour que je te la pète.

Certes essoufflé, transpirant comme un chien et pas mal blessé, comme à mon habitude, je n'abandonnais jamais un combat. Je me remettais à concentrer de la vapeur d'eau dans l'une des parties, comme j'attaquais essentiellement avec mes jambes, c'était encore une fois dans l'un de mes genoux, cette fois-ci, c'était le gauche. Pour augmenter aussi la puissance du futur coup qui pourrait être le final, j'augmentais la masse musculaire de ma jambe gauche avec une amplification partielle sur cette zone du corps. Après quelques secondes, les muscles et les vaisseaux sanguins de cette zone augmentaient d'un seul coup. Puis je me mettais en équilibre sur mon autre jambe et je mettais mon tibia gauche contre ma cuisse gauche. Énervé qu'il ne puisse gagner un combat si rapidement, l'homme auquel je faisais face, se retournait et se mettait à foncer sur moi. Tel un ermite, je fermais les yeux, afin de me concentrer un maximum et je ne les rouvrais que quand j'attaquerai.

D'ailleurs cela ne tardera pas, pendant qu'il lançait son poing en plein dans ma figure, je lui donnais un simple coup de pied en plein dans le torse et au dernier moment. Je libérais la pression qu'était au niveau de ma rotule gauche, la vitesse augmentait d'un seul coup, il arrivait à bon port. L'homme fût violemment propulsé en arrière et s'encastrât dans un mur. Même si maintenant, il ne pouvait plus rien faire, je décidais de le faire souffrir un maximum, sans pour autant le tuer, afin de lui faire payer de toutes les idées qu'il avait eues dans le but de faire souffrir sa fille. Alors, je lui balançais une lame d'air, après avoir traversé toute la salle, elle coupait l'homme en plein sur le torse, faisant gicler une bonne partie de son sang hors de son corps. Épuisé de ce combat, je tombais en avant, en direction du sol. Quand je fis totalement couché sur ce dernier, j'entendis un grand « Boom », ayant peur pour Elya'. Avec les dernières forces que j'avais dans mon corps, je me relevais et d'un pas qui n'était ni trop rapide, ni trop lent, à l'aide de mes souvenirs, je dirigeais vers là où Elya était partie. Sur le chemin, je criais cette phrase :

• Oï Elya’, Putain t’es où ? Je te fais confiance pour pas que tu meurs hein !

Rien que faire un seul pas, me faisait énormément souffrir, alors, je ne vous dis pas courir, combien ça me faisait mal. Néanmoins, moi quand je suis à la recherche ou quand je viens au secours d'une femme, même si cette dernière ne soit même pas majeur. Je me lance quand même à fond. Alors, suite à cette super psychologie et logique, je me mettais à courir à fond, dépassant les limites de mon corps. Quant tout à coup « Boom !!! » et non, ce n'était pas un bruit qui venait d'Elya' ou d'autre part. Mais bien de moi, c'était dû à une putain de pierre de merde qui dépassait de quelques centimètres du sol. Bien entendu, comme j'étais épuisé, je traînais les pieds et je m'étais pris en plein sur le pouce cette dalle. Sur le moment, cela ne me fit rien, mais quand je reposais mon pied sur le sol, je sentais une vive douleur à l'extrémité de mon pied, m'empêchant de le poser à nouveau. Bien entendu, comme cela me le fit en courant, je perdais l'équilibre, glissant sur mon autre jambe, je me fracassais la gueule contre le sol, mon nez prit tout. D'ailleurs, j'arrivais même à me le casser et comme si j'avais vu une putain de bombe devant mes yeux, il se mettait à couler à flot. Après avoir déchiré une partie de mon sweat, je mettais ces bouts en boules avant de les mettre dans mon nez, afin de stopper complètement les saignements.

Puis je me relevais et toujours d'un pas aussi convaincant, mais beaucoup plus lent, je continuais d'avancer, quand tout à coup, je tombe sur une intersection où il y avait la présentatrice, tellement que mon combat m'avait défiguré, cette dernière avait du mal à me reconnaître, elle était accompagnée un brancard. Ce dernier était soulevé par deux magnifiques bombes sexuelles, l'une était brune, l'autre était blonde, bien entendu toutes les deux avaient un sex-appeal inégalable et des formes qui feraient rêver plus d'un homme, dans ma vie, je n'en avais vu qu'une seule qui arrivait à les égaler, voir à les dépasser et elle faisait partie de mon équipage (Et ouai soit on a la classe ou soit on ne l'a pas). De plus tous ces avantages étaient accentués par leur magnifique ensemble, plutôt moulant d'infirmière. Étant galant au maximum, je proposais à la plus belle de la transporter au lieu qu'elle se fatigue en me transportant, néanmoins quand je vis Elya', cela me fit un choc, non pas qu'elle était devenue aussi jolie que les deux infirmières, mais bel et bien dans la situation d'ailleurs cela arrivait même à m'attrister et m'énerver un maximum. Étant donné, qu'elle n'était qu'en petite culotte, qu'elle avait des traces de mains qui étaient partout sur son corps et des larmes manquaient de tomber de ses yeux. Alors, sans que la jeune femme à laquelle j'avais proposé d'aider, ne puisse lâcher le brancard pour aller s'asseoir à côté de la jeune princesse. Je m'asseyais à sa place, bien entendu, déçu que je n'aie pas pu tenir ma promesse, la belle blonde se mettait à râler dans son coin, tout en nous transportant. Dès que je fis assis, la jeune princesse me regardait et me disait cette phrase :

« Je… Je… Je voulais te parler… Te parler… »

• Putain, Elya’, il est où ce salop qui t’a fait ça ? Je vais le buter ce connard !! Me mettant à répliquer d’un seul coup d’un air plutôt énervé

Pendant que nous avions parlé, nous étions entrés dans une salle, plutôt salle et lugubre, sûrement une infirmerie vue les gens et les objets qu'il y avait à l'intérieur, d'un côté, il y avait une super jeune femme, presque aussi bien foutue que les deux autres infirmières et de l'autre côté un vieux pépé et bien entendu. Toujours avec ma malchance habituelle, on me présentait au vieux pépé au lieu que j'aille voir la super jeune femme, la première chose qu'il me dit en me voyant fût :

• Oh lalala, mais mon petit, t’es bien abîmé !

Non c'est vrai je n'avais pas remarqué, je me demandais presque pourquoi j'étais là ! Telle fût la phrase que je marmonnais dans ma tête. Pendant que je râlais, le vieil homme avait pris sa loupe et se mettait à m'inspecter, il s'arrêtait sur mon bras cassé et me dit qu'en effet il était cassé. Et oui, il était vraiment intelligent ce vieux, visiblement, il n'avait pas eu son diplôme de docteur dans une pochette surprise ! La première chose qu'il fit, fût de me mettre mon bras en bandoulière et de me le bander. Puis il se remettait de m'inspecter, avant de s'arrêter une nouvelle fois, cette fois-ci, c'était sur mon visage et il me dit cette phrase :

• Oh lalala, mais tu t’es battu contre un lion ou quoi ?
  
• Nan contre un homme-ragondin géant !
  
• Ah ah ah ah ah, il est vraiment marrant ce petit, je te conseille d’arrêter la drogue hein Ah ah ah ah

C'est drôle, mais moi ça ne me fait pas rire ! Pour me soigner, ce connard eut la très bonne idée, de prendre une bouteille d'alcool à 90°, de l'ouvrir et m'arroser la tête avec ça. Au début cela me fit un mal de chien, le pire, c'est quand ce liquide allait dans mes yeux, d'ailleurs après quelques secondes, ils avaient triplé de volume, étaient entièrement rouges, je voyais maintenant flou et je n'arrêtais pas de pleurer. Puis il me fît avaler quelques comprimés d'un étrange médicament qui comme chaque médicament de ce monde, avait un putain de goût pourri loin de celui qu'on attendait au début. Cette fois-ci, cette horrible sensation était semblable à celui d'un sandwich périmé que l'on avait fait attendre cinq mois dans un placard humide et rempli de centaines de champignons et moisissures. Selon lui, grâce à ces derniers, je guérirai plus vite. Néanmoins, c'est drôle, la première sensation qui fût, était que je me mettais à voir et entendre tout bizarrement, je me demandais presque s'il n'avait pas essayé de me droguer. Puis il m'emmenait dans une espèce de salle d'attente où il me dit d'attendre Elya'. Deux minutes après mes yeux et mes oreilles marchaient bien à nouveaux, mais j'avais toujours mal à ma tête et encore plus au bras.

J'attendais toujours la jeune femme, mes maux commençaient à disparaître, mes blessures au visage ne me faisait plus du tout pas, le bras qui n'était pas blessé non, par contre celui qui était blessé … un peu trop et c'était ça le gros problème ! Pour patienter le temps comme elle n'arrivait pas tout de suite, même si on était dans une mini-infirmerie, je sortais quand même une flasque d'un bon alcool de cerise, communément appelé le kirsch aussi,originaire de West Blue. D'ailleurs, il avait vraiment un goût pas mal pas mal ! Il faudrait que je m'en rachète un de ces jours, si jamais, j'arrivais à retrouver la marque qui le vendait. Après avoir bu quelques décilitres de cet alcool, comme d'habitude avec deux de mes doigts. Je me mettais à jongler avec de vieilles pièces qui trainaient dans ma poche. Même si je jouais depuis asses longtemps à ce jeu, cela m'arrivait tout de même à en faire tomber quelques-unes. J'arrêtais de faire cela, quand les paroles et les différents bruits de la salle où Elya' était (Et oui, je sais que ce n'est pas bien d'écouter aux portes, mais bon, moi ça peut passer, car je n'arrivais pas à comprendre les différentes paroles).

Quelques secondes après cela, prenant encore une fois quelqu'un pour l'un de ses sujets, la jeune princesse se faisait transporter par notre ancienne animatrice. Pour une fois, elle avait une bonne raison de faire cela, car elle ne ressemblait plus du tout à une pauvre petite fille, mais plus à une momie que l'on venait de déterrer de l'une des pyramides de South Blue. D'ailleurs quand je pense à ce violeur, même avec mon bras cassé, si jamais j'aurai eu l'occasion, je lui aurai bien tordu le coup de celui-là. D'ailleurs était-il encore en vie, car avec les explications d'Elya' et notre séparation plutôt rapide, j'avais eu du mal à comprendre ce qu'il s'était réellement passé. Cependant, je n'osais plus lui poser de question à propos de cela, afin de ne pas l'enfoncer encore plus et la mettre dans un état encore plus mauvais. Après avoir demandé à celle qui la portait de la poser sur une chaise, la jeune femme me demandait d'aller à côté d'elle et me disait une phrase vraiment émotive, car elle me remerciait de l'avoir soutenue dans son calvaire et de m'être énervé contre l'homme qui lui avait du mal, puis elle me disait que même si elle était dans la marine, elle ne pourrait jamais me capturer, afin de me mettre derrière les barreaux.

Puis elle se mit à me regarder droit dans les yeux et là ce fût le plus beau moment de la journée (Attention : Toutes les personnes émotives qui lisent ce rp', vous aurez sûrement besoin de mouchoirs !), c'était que même si on était ennemi, j'étais pour elle un être cher pour elle. Après cette phrase, j'avais des larmes au rebord de mes yeux et mon cœur avait triplé de volume. Bien entendu, après qu'elle m'ait dit cela, il ne me restait qu'une seule chose à faire, bah lui répondre aussi, bien entendu, alors, tout comme elle avait fait, je la regardais droit dans les yeux et je lui disais cette phrase :

• Oï, Bon bah t'inquiète, c'était normal pour moi pour tout à l'heure. Et t'inquiète, moi non plus, je ne voudrais et pourrai pas te faire de mal, comme au fil des aventures, tu es devenue l'une de mes amis. Ah ouai au fait tiens, au cas si t'as encore un problème et si jamais je suis dans le coin moi aussi.

Après avoir dit ce long monologue, je lui donnais un papier où il y avait marqué mon numéro de Den Den Mushi (Et non, je ne suis pas un violeur !!! Comme je l'ai dit dans ma phrase, c'est pour l'aider et je refuserai toute action qui me ferait passer pour tel avec elle). Quelques secondes après avoir fait cela. De nouvelles personnes arrivaient dans la salle, c'étaient nos anciens ennemis, soit les soldats et ils nous livraient toutes leurs armes, dans ces dernières, il y en avait certaines qui nous avaient donnés du certain fil à retordre, ils les mettaient devant nos yeux. Puis ils se mettaient à se pardonner d'avoir servi un tel tyran durant de longues années. Après les avoir enfoncé durant un long moment où j'avais sorti toutes insultes possibles. J'acceptais leur édition et pour fêter cela, ils nous avaient amenés un ancien prisonnier et il nous disait que c'était l'un des anciens majordomes du Comte. Ce dernier avait tellement peur du traitement que l'on pourrait lui faire subir qu'il se libéra de ceux qu'ils l'avaient et s'agenouillait devant Elya' et nous disait cette phrase :

• S'il vous plait ne me faites pas du mal !!! Je pourrai vous offrir plein de choses à la fois pour me sauver et pour avoir sauvé le royaume de l'ancien tyran. D'ailleurs même moi, j'étais obligé de travailler pour lui ! D'ailleurs j'ai essayé de partir d'ici, mais ces gardes m'ont attrapé et j'ai fini en prison.

Dès que j'entendis le passage le plus bling-bling, mon regard changeait et je me mettais à regarder l'homme qui avait dit cela avec Berrys dans mes yeux, ce regard voulait tout simplement dire : « Mec t'aurais pas du dire cela devant moi !!! »

Mais dites moi, c'est qu'elle est vraiment sympa cette Elya'! Dire à celui qui voulait nous offrir des cadeaux pour avoir sauvé son royaume, tout en essayant de se faire pardonner pour avoir servit ce roi ! Elle disait aussi que sa part allait sûrement servir à alimenter le buffet, enfin plus une réelle fête pour fêter, car il fallait remettre au jours les traditions de l'île en avant qu'étaient les jeux et la fête. Néanmoins, encore une fois la jeune femme devrait faire attention, car parmi toutes les personnes que je connais et le Seigneur Satan sait que j'en connais beaucoup. C'en était l'une qui arrivait à se foutre mal en un éclair, d'ailleurs, elle me faisait presque que croire qu'elle avait le titre d'or dans cette discipline. Bien entendu, la nouvelle de faire une petit fête, avait réveillé plus d'une personne, d'ailleurs ils étaient des dizaines à s'exclamer d'un grand oui. Après avoir dit cela, elle se tournait vers moi et me dis qu'en suivant le pacte Ecureuillo-taupien, on devait se protéger tous les deux à chaque fois que l'un était dans la merde (Et oui, cette fois-ci aussi, je me faisais bien couillonner !). Et que tout en suivant cette logique, elle se devait de demander de faire partie de son royaume, néanmoins, là il y a un big problème, c'est qu'un chasseur de prime et un pirate fasse équipe ! C'est la meilleure façon que l'un choppe une prime ou que l'autre aille en taule !

Bon je n'eus même pas le temps de répondre qu'une autre personne venait s'incruster, c'était la jeune comtesse et cette dernière nous prenait pour deux gros mongoles, incultes de la technologie, car elle croyait que l'on ne connaissait pas les escargophones ! Et grâce à cela, elle voulait que l'on fasse un petit discours devant tout le Monde. Bien entendu, toujours grâce à ma super galanterie (et du fait que je n'ai aucune idée pour faire un discours), je laissais Elya' parlait en premier, cette dernière commençait à parler et fit un énorme fail ! Elle disait que c'était grâce à tout le monde si on avait pu sauver l'île, or c'était grâce à un petit groupe de personnes, trois pour être précis (Moi, elle et l'agent secret) si l'île était de nouveau libre ! Avant de me passer le micro', elle disait à tout le monde que pour fêter la fin des deux tyrans qu'avaient soumis plus d'un homme et femme. Un gigantesque banquet serait organisé ! Quand ce fût mon tour, avant de parler, je faisais chauffer ma gorge en toussotant, puis je tapais trois fois le micro' et disait ce petit discours :

• Bon bah qu'est-ce que je peux rajouter à ce qu'a dit Elya' ? Pas grand chose je vais vous dire, car elle a presque tout fait ! Bref, je lance le banquet ouvert ! Et on va faire la fête comme chez moi ! Chez les pirates !

Bien entendu, dès que je disais le mot pirate, quelques-uns prenaient peur, mais bon comme ils savaient que j'étais plus venu en un mec cool et sympa qu'en une personne sanguinaire, ils reprirent vite leur calme. Deux-trois minutes après cela, les cuisines avaient repris de leur activité, les cuisiniers se donnaient à fond pour nous préparer leur meilleur plat, les premiers nuages commençaient à sortir des cheminées des fours. La bonne odeur des plats en train de cuire se diffusaient dans tout le bâtiment et déjà des hommes plutôt baraqués arrivaient avec des tables et de gros barils d'alcools. Après quelques secondes, ce furent déjà les serveurs qui amenaient les mises en bouche et les premiers verres ! Même si ce n'était que le commencement et que l'on n'était pas chez les pirates. Je sentais déjà que cette soirée pourrait être bonne !