Un moment de détente

Il faisait beau, il faisait chaud, et tu marchais tranquillement sur l'un des groves de l'archipel Sabondy à la recherche d'un endroit pour pouvoir dormir tranquillement, avec quelques bouteilles d'alcool et un rayon de Soleil sur le visage. Souriant, fumant, ton pas lourd était lent, posé, alors que la plupart des gens se retournaient sur ton passage avec une expression d’effrois sur le visage. Ta petite virée sur Slash Town n'était pas resté incognito et tous avaient peur que tu ne remette ça. Mais tu n'avais pas la tête à te battre. Juste un peu de clame, de chaleur solaire et de tranquillité était tout ce que tu demandais. Totalement détendu, aucune envie de violence, tu décida finalement de poser ton fessier impérial sur une chaise longue à la terrasse d'un bar plutôt bien placé.
Une immense branche touffue projetais son ombre sur une place rieuse où le peuple de Sabondy et les touristes s'activaient rapidement entre monuments et café chic. C'était décidé, ta pause se ferai ici. Ne passant en aucun cas inaperçu, te voila en plein de cette foule à fumer tranquillement tandis que plusieurs femmes criaient de peur. Les hommes partaient se cachaient et les enfants pleuraient. Le calme tant attendu n'était plus qu'un chaos indescriptible. Et cela t'énervait sérieusement. Libérant à toute allure ton haki, tu faisais un petite ménage pour éliminer les bruits gênant. Le seul problème, c'est que tu élimina aussi les serveuses. Jolies serveuses d'ailleurs ! T'en voulant d'avoir tué de si jolie minois, il fallait pourtant trouver à boire. Farfouillant dans les bars, tu sorti de cette place cadavérique avec sept ou huit litres de pinard bien rouge, qui allaient bientôt se retrouver au fond de ton gosier.
Marchant toujours aussi tranquillement qu'à ton arrivée, tu venais de sortir de la ville et était maintenant sur une sorte de petite étendu verte d'herbe sur laquelle les branches d'un de ces arbres géantissime lançait son ombre comme on lance des pierres. Le vent faisait danser et chanter les feuilles et c'est sur cette musique apaisante que tu t'allongea, un sourire au lèvres et un goulot dans la bouche. Cette petite escale allait être vraiment reposante.

Qu'est ce que peut apporter l'obscurité la plus total à un homme? Peut-elle nous rendre fou? Avec la solitude pour seul compagnon on peut penser qui oui, ces longs silences qui nous rappel que notre existence ne tien qu'à un fil de cette dangereuse folie.. au début tout va bien, on se dit que ça va passer, qu'on ne restera pas longtemps dans cette situation, que nos amis vont venir nous aider ou nous rapporter la lumière, mais un jour passe, deux jours passent… trois jours passent… cinq… dix… et on fini par ne plus les compter. Est-ce la même chose pour toi? Toi un être qu'on désigne sans cœur, sans fois ni loi, un forban, un pirate, une vraie canaille!! Quelqu'un qu'on traque telle une bête sauvage qui peut rapporter gros? Toi qui était sans peur, sans obstacle, qui semait le désordre à chaque pas, tu étais un pirate renommé recherché dans le monde, certes peut être pas le plus puissant du monde mais un de ceux à ne pas sous estimer, ta prime n'était pas très élever, et alors? Tu valais ce que tu valais et tu en étais conscient, tu sais que tu pouvais faire plus, beaucoup plus. Désormais qu'est ce que tout ce beau monde? L'être que tu étais n'existe peut être même plus cat, oui, c'est la même chose pour toi. Tu as beau avoir un passé glorieux, souvent miraculeux par la billet des nombreuses aventures qui ont souvent failli tourner au vinaigre… les cicatrice sont encore présente, ton bras robotique remplaçant celui que l'ex-vice amiral Godwarth D. Alexander t'eu grièvement endommagé, ce qui dut s'accompagner d'une amputation assez barbare, ou encore la balafre sur ton visage remontant à ta dernière bataille contre une jeune femme… c'était la belle époque..

Maintenant regarde ce que tu es… du moins imagine… enfermé depuis Dieu seul sais combien de jours et nuits, peut être même des semaines, peut être de mois!! La folie te ronge chaque jour un peu plus et tu ne peux rien y faire pour y échapper, tu es enchaîné à ce maudit corail utilisé par la marine, ce matériau qui te retire toute force de ton corps, ces chaîne qui ont le même effet que la mère elle-même sur toi et tes semblables! La maudit granit marin enchainé à tes pieds et à tes poignées, même si les pieds suffisaient largement, les poignées furent une simple précaution car ton pouvoir semble sans limites dans n'importe quel lien urbanisé… le magnétisme… c'était la source de ton pouvoir, un pouvoir que tu as acquis le jours où tu as croqué ce fruit infâme, mais c'est également ce fruit qui est la cause de ton état actuel… sans ce pouvoir, ou devrais-je dire, cette malédiction, tu ne serrais pas autant affaibli par un simple matériau sortant des profondeur de la mer, mais est-ce la seul cause de ta situation actuelle? Cela remonte à plus loin, le jour où tu as décidé de rentrer dans la piraterie, ce jour où, en partant de ton île natale en laissant un mot à tes élève en médecine, tu pris pour la première fois, les voiles sans véritable direction. La folie te faisais remonter jusqu'à ce moment, et chaque jours tu te remémorais ta vie passée en tant que forban, ainsi que celle passé en temps qu'agnostique. C'est cette façon de vivre qui t'avais forgé, qui t'avais attiré vers la science et la recherche en médecine, et aujourd'hui tu oserait presque lui tourner le dos… est ce là le sors que le gouvernement réserve à ses ennemies? Les rendre fous, les abandonnant dans l'obscurité la plus totale avec pour seul compagnon la solitude et les sons des chaînes accompagné des cris primitifs des autres pensionnaire de ce qui devait sans aucun doute être une prison à l'odeur des barreaux d'acier qui t'entourais, sans oublier la quantité médiocre de nourriture qu'on t'apportait quand les geôliers y pensaient, ou plutôt en avaient envie… quel était le but de cette situation?

Le but le plus compréhensible était de faire réfléchir chaque pensionnaire dans la même situation que la tienne, les faires remonter à l'origine de leurs sors, leurs faire croire qu'ils sont les seules responsable de la condition dans laquelle ils se trouvent, tenter de leurs faire un lavage de cerveau pour les auto-convaincre qu'ils sont le mal, qu'ils doivent suivre les règles et payer pour leurs crimes commis! Leurs faire estimer le gouvernement et le régime qu'il impose comme étant le seul et l'unique, le plus stable, le plus puissant et que ce n'est qu'une question de temps avant que le "mauvais" libéralisme soit totalement éradiqué! Est-ce que tu y crois? Crois tu avoir fais les mauvais choix? T'imagine tu vivre comme un parfais petit médecin à soigner les gens souffrant? Pense tu être devenu le mal? Quel sens donne tu désormais à ta vie… tu n'en as rien à foutre c'est tout ce que tu peux penser, tu as beau devenir fous un peu plus chaque jours, la folie t'avait déjà bien entamé et ce n'est qu'une question de temps avant qu'elle ne te ronge totalement, ce processus ne fait qu'accélérer la chose. Les chaînes ont beau de retenir et t'affaiblir tu t'y habitus! Ton ventre fait peut-être un bruis infernale, ça te fait de la compagnie dans cette cellule de malheur… tu ne perd pas espoir de revoir un jour le soleil! Certes le processus ayant pour but de te faire réfléchir à ta situation fonctionne, mais a-t-il le but attendu sur ta personne? NON!! C'est tout le contraire! En pensant une seule seconde que le gouvernement est le bien, tu remet cette hypothèse en question et à chaque fois qu'une pensée favorable à ton ennemie apparait dans ta tête tu converse avec toi-même d'une manière "philosophique" pour finalement finir par détester encore plus le gouvernement mondial… il nuit à ta liberté et le jour où tu sera libre tu le lui fera payer. La folie te ronge, mais elle n'est pas seule.

Non elle n'est pas seule, son amis la vengeance l'accompagne et grandi avec elle, peut être même plus rapidement qu'elle, ta vengeance se nourrit de tes dérangements mentaux, l'accès à ces dérangements n'est que le fruit de la fatalité que le gouvernement te fais endurer, le gouvernement est par conséquent l'unique acteur de ta vengeance.
Qu'allais-tu faire une fois libérer de ces chaînes? La réponse à cette question était évident… massacrer tout les subalternes du gouvernement soit disant parfait pour assouvir ta vengeance, mais quand allais-tu pouvoir passer à l'acte… quand est ce que l'instant propice allait se positionner face à toi t'ouvrant ses bras pour enfin te libérer de ces chaînes? Tu l'attendais chaque jours un peu plus, et la patience commencer à atteindre sa limite. C'est un jour, où mes geôliers ont daigné t'apporter ta nourriture quotidienne officiellement, mais hebdomadaire officieusement, que l'idée te vint à l'esprit, disons plutôt que c'est un de ces hommes que tu détestais tant qui t'apporta l'instant miracle! En effet, t'adressant la parole comme on l'adresse à un animal, tout en te mettant la nourriture dans ta bouche ces doux sons régnaient dans tes pensées et y résonne encore maintenant..

"On va enfin se débarrasser de toi mon vieux. On attendait ton procès avant de t'y envoyer, mais maintenant c'est sur, tu vas à Impel Down! Fini la corvée de te nourrir comme on nourris un enfant de bas âges!"

"C'est pas comme si c'était tout les jours… feignasse, payé à rien faire! Si tu me délivré je pourrais sans doute man.."

Tu ne pouvais pas voir d'où provenait le coup, mais tu savais qu'il provenait de ce geôlier prétentieux qui n'apprécier pas ce ton envers sa personne. Il a de la chance que tu parte et que tu ne t'échappe ici, dans cette prison, autrement la vengeance se serait abattu cruellement sur lui… c'était ça l'instant, tu ne savais pas encore comment l'utiliser, mais tu allais t'enfuir lors de ton transfert.

Plusieurs jours passèrent avant que ton transfert ne prenne forme, malgré l'approche de ton départ ces jours ne changeaient pas, c'était toujours la même routine. Toujours enchaîné à cette maudite ferraille, en position debout tu attendais que des sons inconnus viennent te titiller les tympans annonçant ton départ définitif de ce lieu. D'ailleurs tu ne savais exactement où tu étais, certes tu savais par ta position que tu te trouvais dans une prison, mais sur quelle île? Etais-tu encore sur Grand Line? Etais-tu loin de la dernière île que tu as visité? Rien ne pouvais te ne le dire, dans le noir le plus totale, sans fenêtre, je me demande même comment tu fais pour y respirer… comment fais-tu pour vivre, pour survivre?! Est-ce l'espoir? La volonté? La folie? Oui… la folie… c'est elle qui te fais tenir, cette folie qui t'habitue aux plus cruelles tortures!! C'est grâce à elle que tu peux faire face à n'importe quelle situation, elle pourrait même te permettre de trouver de la chaleur où il n'y en a pas. Comment est ce possible? La réponse est simple, elle trouble tes sens, tes opinions, tes déductions, elle te trouble totalement, elle te troublerai même tes jugements!! Dans ce cas comment être sur de ce que tu vas décider? Comment être sur que l'évasion est ce qu'il te faut, et que continuer une vie d'orgies, d'homicides (volontaire et involontaire), de combats, où tes mauvaise actions grandissent d'une façon exponentiel, bref une vie de flibustier est ce qu'il te faut? L'instinct? La conscience?
Oui c'est cela… tel un animal qui en égorge un autre pour vire, tu suis la voix de la piraterie. Tu es fier de ce que tu fais et de ce que tu as choisi de faire, et tu resteras fier! Tu compte continuer cette vie jusqu'à la mort, en espérant qu'elle sera le plus tard possible! Qu'il pleuve, qu'il neige, que le ciel tombe sur la terre, tu es et sera toujours un forban!

C'est en continuant de vivre ces journées que le jour tant attendu arriva. Le jour de ton transfert vers Impel Down. Un groupe de marine armé jusqu'aux dents marchaient d'un pas décidés vers ta cellule, une fois arrivés ils s'arrêtèrent tous jusqu'à ce que l'un d'entre eux ouvrit la cérémonie que annonça le début de ton transfert.

"Maxime Seghfire, plus connu sous le nom de Xam le maître du magnétisme. Vous êtes suspecté d'avoir commis une multitude de crime des plus sanglant, meurtre de civils, pirates et marines, viol des femmes de tout âges, destruction massive de bâtiments civils et surtout militaires, vous êtes également suspecté d'être sous les ordres de l'homme le plus cruel et le plus recherché du monde, le tristement célèbre Jaag Akanawa l'un des yonkous, votre tête à était mise à pris à 40.000.000 de Berrys et…"

"Euh… suspecté? Ya un léger problème…"

D'une voix démente accompagné d'une rire sarcastique tu corrigeas l'homme qui venait de salir ses prouesses.

"Suspecté mon cul! Héhéhé je suis l'unique maître de magnétisme ayant commis tout ces crimes et oui je suis sous les ordres du plus puissant pirate de ce monde de merde HAHAHAHA JE SUIS XAM PRIME A 40.000.000 BERRYS ET JE ME PROCLAME COUPABLE!!! HAHAHAHAHAHAHAHA!!!"

Sous tes rires de folie le silence régnait stupéfait par la démence qui venait de surgir dans chacune de tes paroles, cette démence dont ils sont les seuls responsable, leurs créatures les effraye… la porte s'ouvre accompagné d'un grincement, la même rare tonalité qui annoncé ton repas sauf que cette fois cette alarme ne te prévenait de ta pitance, mais de la suite de ton évasion. On plaça un sac sur ta tête afin de cacher tes yeux de la lumière du soleil afin de ne pas te rendre aveugle, le sac sentait étrangement le sang, le sang de ce qui, avant toi, avaient porté ce sac sur leurs tête ou bien ce dont la tête à était porté par ce sac… un sourire méphistophélique restait gravé sur ton visage, comme si tu attendait le moment propice pour enfin retrouver la liberté, mais étant toujours enchaîné tu ne pouvais rien faire au risque d'être exécuter et compléter la collection d'hémoglobine que ton sac a déjà bien entamé. Tu écoutais tout les bruits t'entourant, ton ouïe semblait être beaucoup plus développé qu'avant, comme si rester dans une pièce totalement isoler où aucun bruit ne se manifesté t'avait rendu plus sensible à la moindre tonalité, un bien pour un mal comme on dit. Tu entendais tes pas lourds écraser les cailloux sous ton poids, jusqu'à ce que tu entende les semelles de tes chaussures claquer le bitume durant de longue minute pour enfin entendre le résonnement du métal accompagné de la mer… on t'emmené en navire à ta dernière destination… la mer… le son de l'eau claquer contre les roches, les vagues enroulant tout sur leurs passages, ton passé t'envahi et l'amour de l'aventure te donne des frissons…

"Je veux voir la mer." Ordonnas-tu aux molosses qui te serraient les bras…

"Vas t'faire foutre raclure." Répondit aussi sec l'un d'entre eux…

C'était clair et net, pour eux rien ne devait te faire plaisir, ton voyage devait être des plus angoissant et désagréable possible. C'était le début de ton jugement, le dégout des autres à ton égard, étrangement cela ne te touché pas. Est-ce là l'apprentissage que ton enfance t'as apporté? Le rejet et le dégout des autres à cause de ta différence physique? A cause de simple de canines surdéveloppé? Tu as toujours été à part, rejeté, même ceux à qui tu as enseigné une partie de ton savoir médicinal ne t'ont jamais réellement accepté en tant qu'être humain. Toujours une réflexion dans ton dos que tu faisais semblant de ne pas entendre, ou bien une micro expression de dégout sur leurs visages… les seuls qui ne t'ont jamais fait de réflexion eu été l'équipage, ta seule véritable famille… tu ferais tout pour eux et surtout pour les Hope'N Death ceux avec qui tu as véritablement vécu ton rêve d'aventure, de piraterie, de crime tous extravagant, etc… Jaag et Don ont toujours était de bon nakamas. Comparé à ces semblant de policier des mers qui n'ont aucun honneur pour les vrai amoureux de l'aventure! Refuser une simple "dernière" vue sur la mer à un homme condamné, ou que l'on croit condamné, ils méritent tous de mourir de tes mains, malheureusement tu ne peux rien faire pour le moment, tu ne peux qu'attendre le déroulement de ton voyage en espérant qu'un événement miraculeux se produise pour que ta libération porte ses fruits.

Avançant à l'intérieur du navire tu commençais à comprendre quel menace tu représentais pour le gouvernement, mobiliser un bâtiment d'une tel envergure exclusivement pour une tête mise à prix à 40.000.000, ils ne devaient pas te prendre à la légère… une chose imprévu qui ne te facilitera la tâche. En y repensant ta mission d'évasion semble totalement infaisable… te libérer de cette trop grande quantité de corail t'empêchant de combattre, trouver la clef pour te libérer de ces chaînes après t'être débarrasser des marines gardant un œil sur toi, et finalement mettre fin à le moindre petite once de vie présente sur ce navire... sans oublié que tu dois retrouver la terre ferme pour être réellement libre. C'est complément grotesque voir fou!! Mais c'est ceux qui essaie de te détruire qui ont fait naître cette folie qui te ronge depuis tout ce temps, cette même folie qui te fera réussir et qui les fera donc échouer. Avançant doucement dans ce navire gigantesque tu étais suivis d'un insupportable bruit de chaîne rappelant que la liberté n'était pas encore acquise. Cependant tu la sentais se rapprocher de ton visage, caressant ta peau marqué par les combats, titillant tes sens… l'ouïe par le son des chargements d'arme, l'odorat par l'odeur de l'océan, le toucher à chacun de tes pas sur le bois du parquet de ce bâtiment, le gout par le sel maritime qui volent tels des spores… seul la vue n'était pas présente, mais cette cécité passagère te permis d'apprécier ces caresses que la volonté de liberté t'insufflé. C'est au bout de quelques minutes de marche, qui parurent interminable, qu'on ouvrit une porte grinçante, comme au pénitencier, et qu'on te jeta dedans. Malheureusement la situation aurait pu être moins précaire, mais ces marines ne semblait pas vouloir te perdre… déjà enchaîné par ce corail maudit, ils venaient de t'enfermer dans une cellule du même composite, à croire que la simple idée de te voir t'enfuir stagnait, pour eux, dans le domaine de l'effroi. Xam le terrasseur de marine… ça sonne bien en effet, mais tu n'avais pas plus tué de soldats, que de civils, ou de pirates… quoi que si peut être, mais c'est simplement ta haine qui avait agit!! Cette haine dont ils sont les seuls responsable!! Cette haine qui avait grandit en cellule.
Bref, tu sentis le navire bouger, les cloches sonner, et les tambours rouler pour annoncer le départ du navire militaire ne servant, aujourd'hui, qu'à ton transfert.

" Le roi et ses pairs, ont enfermé la paix, à bord d'un bateau de plomb. Nous naviguons, et par ses pouvoirs, moi et mes frères vogueront. Yo ho sur l'heure, hissons nos couleurs. Hissez ho, l'âme des pirates jamais ne mourra. Yo ho quand sonne l'heure hissons nos couleurs. Hissez ho, l'âme des pirates jamais ne mourra…"

"LA FERME MAUDIT PIRATE!!"

"et bien t'aime pas les chants mon gars?"

"C'est ton chant que j'aime pas!! L'âme des pirates sera bientôt morte même si ont doit les détruire une à une, et tu es la prochaine sur la liste…"

"Dans ce cas tu peu laisser un homme sur le fil de la mort chanter sa dernière chanson durant son voyage? Tu dois être un homme de moral, alors comprend moi, vous m'avez bandé les yeux pour que je ne vois plus rien jusqu'à me rendre fou, et ça a fonctionné à merveille, tu oserais me faire taire? Alors que mon âme de pirate sera soit disant bientôt détruite?..."

Le garde ne répondit pas à ces derniers mots, sa moral de soldat et d'homme de la mer semblait avoir été réveillé par tes mots, avais tu réussi à éveiller de la compassion en cette personne pour ta situation? Tu ne le sauras jamais, car étant trop fier il ne te l'avouera pas. tu continuas alors à chanter ce qui devrait être tes dernières pensés…
la navire s'arrêta, comme si quelque chose le bloqué, serrait-ce l'occasion de sortir? Mais comment en étant affaibli à la fois par tes chaînes et pas ta cage… peut être as-tu réussi à éveiller assez de compassion en ce garde pour qu'il te libère? Il était toujours là, près de ta cellule, tu sentais sa présence, il ne bougerai pas, même par curiosité de savoir pourquoi le navire s'arrêta, c'est un militaire, et un militaire vas jusqu'au bout de sa mission, aussi minime qu'elle puisse paraître. Tu aurais bien tenté de le persuader de te libérer, mais ça n'aurait aucun effet… c'est un homme d'honneur et de moral, tu as pus le constater car il te laissait chanter, mais sa moral l'empêcherai de libérer un homme qui a fait tant de mal autour de lui, meurtre, viole, vole… il ne pourrait pas libérer un sale pirate de ton espèce. Tu étais donc condamné à attendre l'échéance…

Dans ton moment de perplexité tu ne vis pas le temps couler alors qu'une bonne vingtaine de minute venaient de passer. Le navire déploya à nouveau les voiles afin de voguer par-dessus l'océan au rythme du vent. Un autre soldat descendit, et en t'entendant déclarer ton chant évocateur de la piraterie il frappa violement à la grille te séparant de lui en t'ordonnant de la fermer puis alla discuter avec ton geôlier personnel. L'arrêt de ta mélodie te permit d'écouter en détail leurs conversation. Le marine qui venait de descendre venait rapporter à son collègue ce qu'il venait de se produire en dehors du navire, s'il s'était stoppé c'est parce qu'il venait de croiser un navire de noble qui se dirige vers l'île Shabondy, l'île où le commerce d'esclave ne se fait pas rare. Mais n'étant pas fait pour le combat, leurs navire pourrait être couler d'un instant à l'autre et c'est pour cela que les dragons célestes, à bord de ce navire, ont ordonné au navire dédié à ton transfert de les escorter jusqu'à l'île convoité. Heureusement les navires militaires peuvent facilement rejoindre une île grâce à leurs navire, tu ne sais pas pourquoi mais contrairement à un navire normal il paraîtrait que ceux de la marine peuvent voguer sur Calm Belt sans aucun problème. Une chance pour toi! Ils devront s'arrêter quelques temps sur cette îles afin de faire le plein de provision pour t'amener à ta destination, la grande et célèbre prison Impel Down.
la navire arriva plus tôt que prévu au bord de l'île convoité par les Dragon Célestes… le chef de l'unité ainsi que plusieurs soldats semblaient être sorti afin d'accompagner les nobles à leurs destination finale, alors que la moitié du reste de l'équipage étaient sorti pour protéger le navire, et le reste de l'équipage était à l'intérieur pour te garder toi. Malheureusement, à peine quelque minute s'était écoulées que tu entendis des coups de feu et des cris de guerre, tu entendis d'ailleurs un nom qui ne t'étais pas inconnu, loin de là, juste avant que les soldats se mirent tous à tirer… le début de ta libération débute réellement maintenant.

Allongé sous ton arbre, le Soleil vint déranger se doux repos comme une caresse maternelle venue éveiller un enfant un peu trop enfouis dans ses rêves. Grognant, râlant, tu tentais d'écarter cette main invisible, mas rien n'y faisait. Il fallait se lever. Fini la détente, il fallait maintenant retourner à la civilisation ainsi qu'à tes occupations premières. C'est donc dans un étirement que tu te levai, et que tu parti, laissant derrière toi plusieurs cadavres; de bouteilles cela va s'en dire.
Flânant donc de-ci, de-là, tu cherchais un moyen d'entrer dans Marin Ford se te faire canarder la gueule dès ton arrivée. Fear était trop imposant et risquer gros en se montrant. Et si Fear se faisait tuer, s'échapper serait totalement impossible. Il fallait donc entrer dans la baie avec un navire Marine. Le seul problème, c'est qu'avec un navire de la Marine, il fallait que le QG ouvre les portes de la justice. Et cela t'étonnerai fortement qu'ils t'ouvrent gentiment histoire que tu puisse voler deux trois trucs. Car oui, cette petite escapade n'avait pas pour but de tout détruire et d'emmerder Godwarth (enfin, pas complètement). Tu voulais voler le stock d'éternal pose de la Marine. En effet, voguer sur ne Nouveau Monde sans était totalement suicidaire. Et tu n'avais pas survécu mille ans pour mourir aussi stupidement.
Il te fallait en premier lieu trouver un navire Marine. Direction le port donc ! Marchant à vive allure, tu bousculais tout ce qui se trouvait devant toi sans vraiment y faire attention. L'idée du bateau était bonne. Il fallait juste pouvoir se faire passer pour un militaire. Chose peut difficile, il fallait juste se débrouiller pour que deux ou trois soldats coopèrent sans rien dire et le tour serai joué !

Cherchant donc un navire Marine à capturer, il fallait tout de même éliminer tous ceux qui ne servaient à rien. Passant devant le QG de la Marine, tu remarque qu'il était complètement détruit. "Enfin quelqu'un de la nouvelle génération avec des couilles !" Ce fut la première idée qui te vint à l'esprit. Passant ton chemin, cet incident arrivait à point nommé. Plus les Marines étaient occupés à autre chose, mieux tu pourrai faire ton petit truc tranquillement.
Tu arriva enfin au port. Et le plus gros navire n'était autre qu'un navire Marine ! Une file indienne chargeait le bâtiment de provisions et toi, tu jubilais d'être tombé si rapidement sur ton ticket d'entrer à Marin Ford. T'approchant tranquillement, tu activa ton haki pour camoufler ta présence à l'aide d'une illusion toute bête. Et c'est là que le massacre commença. Tu tuais sans que personne ne te vois, et sans que personne ne voit les cadavres. Tout semblait rouler mas tu avais oublié une chose très importante. Tous n'étaient pas sorti, et la vigie hurlait ta présence et tes actions aux autres qui s'armaient et commençaient à te tirer dessus. Déçu que ton plan n'est pas fonctionné plus longtemps que ça, tu ouvris alors les portes de ta folie et ce fut l'hécatombe. En quelques minutes, la plupart des soldats avaient été éradiqués, et tu cherchais les quelques survivants pour les rassembler et choisir les deux "élu" qui joueront un rôle prédominant dans l'infiltration de la base militaire la plus gardé du monde.
Nettoyant au peigne fin tous les étages, tu remarqua que ce navire était un navire de transferts de prisonniers. Magnifique ! Tu trouverai peut être de nouvelles recrues intéressantes ! Ouvrant alors toutes les cellules à grand coup de pied, qu'elle ne fut ta déception en découvrant qu'elles étaient toutes vides ? Quelques geôliers se cachaient bien à l'intérieur, mais on ne recrute pas les Marines. On les tue.
Maintenant au troisième niveau, deux gardiens te faisaient face. Ils avaient l'air déterminés et cachaient magnifiquement bien la peur qu'ils éprouvaient. Tu ne pouvais que les féliciter de ce courage exemplaire, mais même si ils furent plus puissant que les autres, rien n'y faisait. Tu les écrasa avec une violence à toute épreuve. Il se mit à pleuvoir du sang et tes yeux disparurent tant les couleurs étaient semblables. Sur le point d'ouvrir la dernière porte, tu sentais une présence connue à l'intérieur. L'instinct. C'est l'instinct qui t'annonçait une rencontre inattendu.
Enfonçant la porte comme toutes les autres, un homme, brun, était assis sur le sol, menotté et les yeux bandés. T'avançant lentement, tu t'accroupis juste face à lui tout en reniflant l'air.

Tiens tiens tiens, mais on se connait non ?

Arrachant le bandeau du prisonnier, c'est avec une grande joie et surtout une très grande surprise que tu découvris le visage de Xam, un peu usé par le temps, l'enfermement et les combats. Mais il était là, devant toi, vivant et certainement apte à se battre. Défaisant tous ses liens, tu te redressa avec un immense sourire. Le dernier membre de l'équipage était maintenant revenu. Il ne manquait plus que Don et la mission allait pouvoir commencer.

Eh beh ! Qui aurait dit que tu s'rai encore en vie ! P'tit con vas j'ai cru qu't'avais déserté ! Aller hop debout, on a du pain sur la planche. Faut qu'on attaque Marin Ford. Magne ton boule, trouve toi une arme et tu m'rejoins sur le pont !

]Puis tu sorti tranquillement. Tes paroles semblaient dures, mais dans ta bouche c'était comme un "bon retour p"tit, tu nous as manqué.". Quelques minutes plus tard, tu étais sur le pont, sous un parasol, à garder un oeil sur deux pauvre troufions qui tremblotaient de peur. La suite des opération ? Expliquer le plan à Xam, aller chercher Don et partir direction Marin Ford.

Quelle douce mélodie que d'entendre des militaires tomber un par un. Tu ne savais par de quelle lame ces soldats pouvaient tous mourir, mais tu étais prêt à la remercier généreusement. Qu'il est bon de profiter des derniers instants en cage, ça il n'y a pas à dire, aucun plaisir ne peut égaler cette jouissance, sauf peut être les femmes et l'idée de tuer ces hommes qui t'ont enchaînés comme un vulgaire animal. Ne pouvant voir, tu fis confiance à ton ouïe afin de connaître l'étendu des dommages que ton "sauveteur", malgré lui, pouvait bien commettre.

Ce fut un véritable concerto, un chef d'œuvre du quatrième art dont tu ne te lassais sous aucun prétextes. La mélodie était crescendo, une totale harmonie de sons aigus et grave.. quelque retournement de percussion et des appels de puissance de cor, de temps en temps la musique stagné et on pouvait aisément entendre des sifflements de flute qui caractérisé les pas rapide et léger de l'intrus. Cependant chaque intonation piano était rapidement suivit d'une explosion sonore, toujours harmonieuse avec le reste de la mélodie. Cette représentation dura plusieurs minute et à chaque entractes la musique reprenait plus forte, plus puissante, plus vivace. En tant que mélomane tu ne pouvais que jubiler à l'écoute de ce somptueux morceaux que tu te permis de nommer "doux massacre sur l'océan" ou encore "doux massacre pour la délivrance". Néanmoins l'idée première de l'intrus ne pouvait pas t'être connu, tu restas donc sur ta première idée de titre musical. Oui "doux massacre sur l'océan" était tout simplement parfais, autant pour le nom que pour la qualité de l'art. l'application du quatrième art était tout simplement irréprochable, impeccable. Un homme capable d'une telle violence ne pouvait être qu'un guerrier renommé et tu savais que la rencontre ne te serais pas étrangère. Ton heure approchait, celle de ta délivrance et tes deux geôliers ne l'ignoraient pas, loin de là cette idée. Tu les sentais trembler de terreur, ils dégageaient une forte odeur instinctive à la peur. Tu ne pus t'empêcher de rire et agacé par ce rire interminable l'un des gardiens tira un coup dans ta cellule. Heureusement pour toi elle ne te toucha pas, en effet tu n'avais pas besoins de ça en plus de tes maudits liens. Cependant ça ne t'empêcha pas de continuer à te moquer de leurs sort à venir, ne comprenant pas ils t'interrogèrent sur la raison de ta gaîté.

"Pourquoi est ce que tu ris?!!" exclamèrent-ils d'une voie étouffé par des tremblements d'anxiété…

"C'est simple… vous allez mourir ça c'est sure, mais vous allez mourir trouillard."

"Espèce d'enfoiré!!"

Tu fus étonné par leur capacité à changer d'humeur comme cela. La petite critique fut très constructive, en effet les deux hommes se "métamorphosèrent". Ils passèrent de peureux sans aucune dignité à héros de la guerre qui mourront fièrement, comme si le fait de savoir qu'ils pourraient mourir en froussard leurs avait fait cogiter sur leurs situation.

"Bravo…" dis-je d'une voie tout autant moqueuse.

L'homme arriva. D'après sa démarche et chacun de ses pas laissé apparaître un homme d'envergure. L'odeur du sang était très importante et l'homme ne semblait pas souffrir d'une quelconque plaie. Soit il est vraiment très fort, assez pour tenir tête à tout un escadron militaire sans se faire toucher ne serait-ce qu'une fois, soit la douleur est pour lui quelque chose d'inconnu. Dans les deux cas l'homme était puissant et plus il avançait plus tu imaginais son visage, un visage… très familier et qui t'avais assez manqué. Face à lui, les hommes qui vient leurs courages se réveiller et leurs peurs sombrer retombèrent lentement vers celle-ci… un indice de plus qui confirmé l'identité de ton sauveur. Tu ne pus une seconde avant d'entendre la dernière note du concerto. Le son de la viande se tranchant était la plus douce des mélodie jamais égalé. L'homme s'approcha de ta cage, les yeux toujours bandés tu exclamas

"Salut cap'taine."

Il te délivra de ta cécité et de ta paralysie tant détestées. Tu te jura de ne plus jamais porter ce genre d'accessoires durant le reste de ta vie et te releva doucement tout en écoutant ton supérieure exprimer, à sa manière, un bon retour dans la liberté. Je vous laisse imaginer comment le grand Jaag Akanawa peut bien formuler la joie de revoir son lieutenant bien aimé.
La suite du discours fut… attractif et porteur de bon nouvelle. Attaquer Marin Ford, il ne pouvait rien n'y avoir de plus réjouissant que d'entendre cette nouvelle!! Quoi que… Jaag se dirigea rapidement sur le pont du navire en t'ordonnant de te trouver une arme et de le rejoindre. Malheureusement tu n'avais plus aucune affaire sur toi et tu devais faire avec ce qu'il y avait à bord. Dans si gros navire tu allais bien trouver!
Néanmoins tu te devais de tenter quelque chose. Tu dirigeas ta main ouverte vers une caisse renferment des boulets de canon… tu n'avais rien perdu de ton art. tu étais toujours l'unique maître du magnétisme tant redouté. La caisse se rapprocha de toi puisse tu la fit se briser et laissant graviter les boulets autour de toi. Les boulets sont de bonnes armes, mais un fois explosés ils ne servent plus. Tu laissas alors les boulets rouler sur le sol, dirigés par le mouvement du navire dépendant de la houle côtière. Tu trouva un stock de sabre, mais aucun de la taille de ton fameux Ases, ton couteau suisse d'un peu plus d'un mètre cinquante et constitué de quatre épées. La meilleure de tes armes. Tu n'avais plus rien à part ton pouvoir et ton bras robotique (qui manquait d'huile), ni Ases, ni Tricky, tes quatre balles métallique faites sur mesure avec tes semelles d'acier elle aussi confisqué, ni Snake, ta chaîne de combat de plusieurs mètre… plus rien. Et même si tu trouvais des armes semblables à bord de ce navire elles ne serait à pas à la hauteur des anciennes et surtout elles ne connaissent pas le sang de marines… quel dommage. Lamenté par ton sort tu divaguas dans les couloirs de ces magnifique navire, surfant sur une poutre de métal jusqu'à ce que tu défonças une porte avec un écriteau cloué dessus "salle d'équipement maritime". C'est à l'intérieur de cette immense salle que tu trouvas tout nouveau jouet. Remontant sur le pont tu vis ton capitaine sous un parasol à attendre ta venu. Tu n'avais pas gardé ta tenu de séquestré, laissant à la place un tee-shirt noir décoré d'un symbole mystique blanc sur l'épaule droite et un pantalon jean usé, toujours mieux que les rayures. Tu avais également trouvé, dans la salle précédemment visitée, une veste en cuir de vache marron foncé avec trois rayure jaune sur chaque bras et une grosse bande jaune juste au dessus des hanches et à la place de marcher pieds nue, tes magnifiques et grands petons se vit chaussés d'une paire de botes en cuir du même colorie que la veste.
Bref, Jaag t'attendait et tu venais lui faire de l'ombre, malgré toi, à cause de ta nouvelle arme. Une immense ancre, proportionnel à l'utilisation d'un navire de guerre de l'envergure de ce navire.
Spoiler:
L'ancre était pourvu de deux dents parfaitement opposé l'une de l'autre, d'une épaisseur 60 centimètre, la taille de l'objet, en lui-même, atteignait facilement les trois mètre cinquante et devait peser largement les 350 kilos accroché à une chaîne tout aussi imposante. Il n'y avait qu'un homme de ta trempe et pourvu de ton pouvoir magnétique pour manier une arme aussi folle. De quoi faire de l'ombre au célèbre et puissant Jaag Akanawa l'immortel et de faire suffisamment de dégâts chez l'ennemis.

"D'solé… pas trouvé plus p'tit. Il est où mon robot?"

"D'solé… pas trouvé plus p'tit."

Un large sourire s'afficha sur ton visage. La vision de Xam portant une ancre de navire-prison était tout bonnement magnifique. La séquestration n'avait en rien altéré son animosité et son coté bourrin de base qui se bat avec un peu tout ce qui lui tombe sous la main. Son petit coté vantard lui aussi avait survécu à la prison, et cela te fit rire intérieurement de t'imaginer Xam en train d'essayer de rivaliser avec toi. Mais bon, son immense ancre rouillée semblait être une superbe arme de destruction massive, et tu avais hâte de le voir en action.

"Il est où mon robot?"

Xam & Don. La dream team de Hope N' Death. Ah ! Le moment tant attendu de la réunification des trois membres originels de cet équipage mondialement célèbre allait enfin arriver ! Tu trépignais d'impatience et faillit même tuer les quelque soldats survivants qui devaient servir ton plan machiavélique. Pris dans un tourbillon d'illusions, ils s'imaginaient avoir vaincu l'Empereur des Mers et faisaient une fête monstre, à l'intérieur de leur crâne bien entendu. Les pauvre faillir voir leur crâne exploser dans un déluge sanglant.
Le seul problème était que tu ne savais pas où se trouvait Don. Tu ne t’inquiétais pas trop pour lui. Ce n'était plus le débutant que tu avais connu et recruté il y a de cela plusieurs années. Mais tout de même, une once d’inquiétude vint alors caresser tes pensés, et tu te leva subitement.

Putain, je sais pas où est ce fuck'in Don. Va falloir qu'on aille le chercher.

Après avoir enfermer les dix pauvres pantins, attachés et bâillonnés dans une cellule, il fallait faire un peu de ménage pour que personne ne vienne fouiller. Jetant les cadavres à la mer, tu espérais vivement que ton bras droit ne se soit pas foutu dans la merde. Une fois cette tâche accomplis et arme à la ceinture, il fallait maintenant partir à la recherche de ce petit robot primé à 140.000.000. Pour cela, il te fallait de l'aide. Appelant Fear, celui-ci ne mit pas longtemps à arriver et goba le navire-prison. De cette immense bête jaillit une petite fille blonde portant une cape rouge et armé d'une immense épée. Sarah était arrivé.

Bon, j'vous présente. Xam, Sarah, Sarah, Xam. Maintenant, on va chercher ce foutu gosse. J'espère qu'un chasseur de prime lui est pas tombé sur la gueule ... Avec sa nouvelle prime ça devient de plus en plus dangereux ...

Sur le champ, la jeune fille envoya une nué de papillons noirs qui se mirent à passer au crible toute l'île. Quant à vous trois, vous alliez marcher un peu et chercher de votre coté.

[désolé pas bon du tout mais super fatigué xD]

Mauvaise nouvelle… tu ignorais où se trouvais Don et le capitaine également, ça commençait très bien. Don ne devait plus être le même mec qu'avant pour que l'immortel le laisse seul dans la nature, surtout que sa tête était mise à pris et qu'à tes souvenir elle était à un peu plus de 30.000.000 de berrys. Durant tout ton temps en prison l'équipage n'avait pas du t'attendre bien gentiment pour faire chier le monde, détruire tout ce qu'il trouve, tuer, boire, violer, etc… ce qui dut augmenter la prime de ton cyborg. Jaag enferma dix marine qui ne semblaient pas totalement conscient de leur situation, il balança les cadavres en mer et appela Fear. Ce bon gros poisson dont tu as prit soins durant son aménagement intérieur construit par le gosse cybernétique. Sortant des mers tu sentis ton cœurs battre fort, les retrouvaille était émouvante car c'est également un compagnon de bataille, pas qu'un navire et c'est surtout ton plus gros patient. Tu espérait que rien ne lui soit arrivé durant ton absence et que les batailles ne l'avais pas trop endommagé. Une visite devait s'imposé, tu voulu entrer en Fear qui te regardais d'un air en disant long sur ton absence, mais une silhouette apparu devant ta carrure.

En voilà un jolie brin de fille, toute vêtu de rouge, jolie comme un cœur et armé d'une immense lame… rien d'étonnant de voir une telle créature dans l'équipage de l'empereur. Ses capacités t'étaient encore inconnu, mais tu pus un voir un petit bout. Son pouvoir était tout aussi paradoxale que son physique de gentille demoiselle armée d'une épée digne d'un grand guerrier bien musclé. En effet, il mélangeait étrangeté, beauté et obscurité. Elle créa un nuée de papillon noir, cette bestiole volante plus souvent représenté par un bon nombre de couleurs gaies, une bestiole aussi attribué à la douceur et à l'éphémère, un insecte qui inspira les savants sur la théorie des répercutions et qui fut, par la suite, constaté dans beaucoup de domaine. L'effet papillon, c'est de cela que tu veux parler, tu ne sais pas si d'autre partage le même avis, mais selon toi l'effet papillon est similaire au destin. Il suffit de faire une actions ou de prendre une décision pour bouleverser l'avenir d'un être humain ou bien bouleverser son propre avenir. Bon moments comme mauvais, le fil du destin peut être coupé et relié à une autre toile, mais un bon moment ne conclu pas forcement un bon destin. L'exemple de l'enfant qui obtient toujours ce qu'il veut par une crise continuera jusqu'à ce qu'on lui dise non et que ses réaction deviennent bien plus importante pour les autres et pour lui jusqu'à parvenir à un accident. C'est ça l'effet papillon. Que se passerait-il si tu venais à parler un peu trop avec tes mains en compagnie de cette jolie Sarah? Une simple caresse peut entraîner pas mal de répercutions, une autres caresse, un baisé, un vent, un gifle, etc… de plus il est difficile de prévoir les probabilités des réactions de la personne quand on la rencontre pour la première fois. Cependant le simple fait de savoir qu'elle est pirate sous les ordres de Jaag te suffisait à connaître la réaction à venir si tu t'avisais à peloter cette jouvencelle. Cependant qui ne tente rien n'a rien, surtout quand il s'agit de gente féminine! T'approchant tu empoignas les fesses bien ferme de ce petit cœur rouge qui te répondis aussitôt par un coup d'épée certes très rapide mais pas assez pour toi, en même temps aucun coup d'épée ne peu être assez rapide pour toi à partir du moment où tu es aptes à utiliser ton pouvoir et c'est tout pile ce que tu venais de faire. La lame, étant pourtant partie avec une impulsion et une puissance digne de l'équipage de l'espérance et de la mort, ne te toucha pas. En effet, elle resta coincée à quelque millimètre de ta gorge et la jolie Sarah pouvait mettre tout la force imaginable pour te décapiter elle ne pourrais jamais te toucher grâce à cette arme. Et la regardant dans les yeux avec le regards fous, forger durant tout ce temps, tu lui dis simplement…

"Les présentation du cap'tain sont clair et net, mais une démonstration de notre force vaux largement tout les beaux discours."

Cependant ton temps au troue t'avais fait oublier que les femmes ont plus d'une arme. Le gueule d'ange lança son genou vers tes parties douloureuse, cependant tu réussi à stopper son genou et à monter brusquement ta main sur sa partie sensible. Malgré cela elle ne se laissait pas faire et tu ne vis pas son poing faire bouger ton visage et soustraire ton regard délirant et également devenu obsédé. Une vrai pirate celle là, et surement une excellente camarade de combat et de chambre. Jaag fit alors signe de le suivre faire des recherches sur le jeune Don le plus vite possible. Tu allas vers questionner l'empereur afin de te mettre à jour au seins de l'équipage, tout en tirant ton ancre rouillé allégé au poids plume grâce au magnétisme se dégageant de ton corps.

"D'où elle sors la gueule d'ange? Et Don, comment il se porte? Raconte moi vos exploit et dis moi s'il y a eu d'autre bleus dans l'équipage depuis ma capture."

Une femme se présentait à Xam, et déjà il faisait son pervers dégueulasse. Non, la taule ne l'avait vraiment pas fait changé ! Un duel miniature s'engagea alors entre Sarah et l'homme magnétique qui semblait le dominer, jusqu'à ce que la petite blonde lui mette un coup de poing magistral en plein visage. Riant un tantinet, il fallait dire que ce foutu gosse l'avait bien cherché ! Mais il ne fallait pas perdre l'objectif actuel de vue. Récupérer Don. Tu scrutais l'île comme si quelque chose allait attirer ton attention, te montrer qu'il était là, en train de picoler tranquillement sans avoir fait attention à l'heure. Il était devenu fort ce petiot ! Mais pas moyen, tu t'inquiétais monstrueusement pour lui. Bien entendu, tu tentais de la cacher, et avec succès ! Mais rien n'y faisait. Plus tu y pensais, plus des idées sombres te traversaient l'esprit. Et soudain tu te mis à rire. Qui aurait cru que le grand Jaag Akanawa fut au bord de la panique, ou bien de la crise de nerf, lui qui était tant fou et insensible ! Les bras croisés, tes yeux ne bougèrent même pas quand Xam te parla.

"D'où elle sors la gueule d'ange? Et Don, comment il se porte? Raconte moi vos exploit et dis moi s'il y a eu d'autre bleus dans l'équipage depuis ma capture."

Pendant qu'il parlait, tu te mis à sourire, un gentil sourire qui était tout de même imprégné de malice. Ton ami venait de baisser sa garde, et ce n'était vraiment pas une bonne idée de s'imaginer être plus fort que Sarah après deux ou trois échanges. Cette gamine était revancharde ! En une fraction de seconde, cette jolie petite blonde s'était retrouvé derrière Xam et avait utilisé ses papillons pour masquer sa présence. Vraiment pas bête la gamine ! Et d'un bond, un petit pied blanc vint s'écraser une nouvelle fois dans le visage de l'homme magnétique qui s'écrasa lamentablement sur le sol. La pauvre gamine se perdit alors dans un rire moqueur et se hissa jusque sur ton épaule, sa place favorite. Tirant la langue au pauvre ex-taulard qui devait se demander ce qu'il se passait, tu décida de mettre fin à ce petit jeu stupide.

Bon aller, arrêtez vos conneries maintenant. Et Xam, t'as eu ce que tu méritais. T'as p't'être pas oublié d'être fort, pervers et violent en taule, mais j'espère que t'as pas oublié le règlement de l'équipage.

Laissant un petit blanc s'installé, le vent souffla alors, ébouriffant ta tignasse brune et faisant voleter les doux cheveux blonds de la petite Sarh qui avait fermé les yeux pour mieux profiter de cette caresse presque maternelle. Tu te retourna alors puis t'accouda à la rambarde de sécurité. Fixant tranquillement Xam, tu t'alluma une clope avant de répondre aux questions posé par le lieutenant d'Hope N' Death.

Sinon, Sarah a été recruté lors de l'extermination de la population de Slash Town. Don et moi on s'faisait trop chier alors on a rasé l'île. Pis j'ai vu cette gamine en train de tuer un utilisateur de Zoan, alors j'l'ai prise avec moi. Après ça, la prime de Don est monté à 140.000.000 de berrys. J'étais vraiment fier de lui ! Il a appris de nouvelles techniques et est maintenant capable de démolir la tronche d'un colonel de la Marine sans que cela pose un réel soucis. C'est vraiment plus le débutant qu'on a connu. Pis sinon, on a recruté personne d'autre. Avant qu'on te récupère, y'avait que Don, Sarah et moi. Ah ! Et bien sûr les filles de Fear. Mais j'te vois venir sale pervers ! C'est mes maîtresses, alors pas touche !

Tu connaissais ce forban de Xam, et tu savais qu'il fallait poser les limites dès le début sinon cela risquait de mal se terminer.

Ah ! Et à l'avenir, évite de tripoter Sarah, maintenant qu'elle t'as évalué, elle va plus jamais y aller molo. Mouahaha !!! Bon c'pas l'trou mais l'tempax ! Aller hop on bouge !

Sautant dans le vide, tu chuta lourdement sur la terre ferme et commença à marcher d'un pas lent et lourd, te dirigeant un peu au hasard, sans vraiment savoir où tu voulais aller. Tout ce que tu voulais, c'était de l'exercice pour éviter de trop penser à ce foutu Don qui était perdu on ne sait où. Et le temps que les papillons le trouvent, tu pouvais bien t'accorder un ou deux meurtres !

Il ne faut jamais, mais vraiment jamais baisser sa garde quand il s'agit d'une femme. Elles n'ont pas vraiment le sens de l'honneur que toi et tes semblable du sexe ~~fort~~ opposé au leurs peux avoir, c'est claire et net, l'exemple le plus flagrant est la suite des évènements qui se déroula juste au moment où tu te sois calmé et où tu avais la garde baissé. Qu'est ce que Sarah venait de faire pile à ce moment? Tout simplement t'attaquer dans le dos! Certes tu es un pirate, un forban sans fois ni lois et alors?! Tu es un homme qui a ses valeur avant toute chose, avant même ton amour pour les femmes et tu n'acceptais pas de te faire attaquer dans le dos par l'une de ces prêtresses, qui ne devait plus l'être tellement depuis son arrivé dans l'équipage, au premier coup d'œil il semblait qu'un heureux inconnu avait surement cueilli sa fleur avant le printemps… enfin bref. C'est pas ça qui allait te faire oublier cette tromperie à ton égard! Un combat reste un combat jusqu'au bout et il n'y a que les faibles ~~ou les femmes~~ qui usent de ce genre de stratagème pour réussir dans un combat. Autant de penser négative ne pouvait que te rendre furax et après ton long moment d'incarcération il n'était pas judicieux de te mettre dans cette état. Donnant l'air de ne pas avoir compris ce qui venait de t'arriver tu roulas sur toi-même afin d'être dos collé au sol pour regarder de ton air fou de vengeance, ce doux mot qui rime avec violence, mais au moment de te lever pour envoyer un des tes magnet punch le capitaine stoppa la dispute en une phrase simple. Simple mais efficace, comme toujours. Tu te releva tout en continuant à regarder la jeune pucelle plus très fraiche restant désormais sur tes gardes à chaque fois que tu la croiserais.

"Sinon, Sarah a été recruté lors de l'extermination de la population de Slash Town. Don et moi on s'faisait trop chier alors on a rasé l'île. Pis j'ai vu cette gamine en train de tuer un utilisateur de Zoan, alors j'l'ai prise avec moi. Après ça, la prime de Don est monté à 140.000.000 de berrys. J'étais vraiment fier de lui ! Il a appris de nouvelles techniques et est maintenant capable de démolir la tronche d'un colonel de la Marine sans que cela pose un réel soucis. C'est vraiment plus le débutant qu'on a connu. Pis sinon, on a recruté personne d'autre. Avant qu'on te récupère, y'avait que Don, Sarah et moi. Ah ! Et bien sûr les filles de Fear. Mais j'te vois venir sale pervers ! C'est mes maîtresses, alors pas touche !"

"140.000.000 de berrys… les filles de Fear…"

Les paroles venaient de duper les pensés, un peu comme d'habitude, mais cette fois ci la tonalité de ta voix ne sonnait pas comme d'habitude. il y avait de la nostalgie provenant de ton passé et du jeune Don qui était un peu plus faible que toi, de la jalousie envers le nouveau Don, celui que tu n'avais pus voir depuis tout ce temps et qui, semblerait, est plus fort et plus renommé désormais, et de la connerie profonde à propos des filles de Fear et de l'idée que tu t'en faisais. En effet il était déconseillé d'utiliser le second degré avec toi pour désigner la moindre chose. Les filles de Fear… cette définition te faisait imaginer un troupeau de femme poisson à peau en caillou, alors si elles sont les maîtresses de Jaag, tu étais resté bien trop longtemps enfermé et sous entrave. Un sourire idiot se sculpta sur ton visage à l'idée de cette dernière pensée puis il s'effaça de ta bouille marqué par la maltraitance de tes geôliers.

Don était devenu plus fort qu'avant et plus recherché, peut être était désormais plus fort que toi alors que tu te considérais comme un marionnettiste et lui ta marionnette de par sa nature et ton pouvoir s'opposant parfaitement laissant placer un air d'ironie profonde au seins de l'équipage, durant les réunions ou les batailles. Le point positif était que tu venais de comprendre ce que l'immortel voulait dire par "les filles de Fear"… et oui il t'en faut du temps, tu as beau être la médecin de l'équipage, donc celui qui a le plus haut niveau d'étude, tu n'en restais pas moins abrutis lorsque l'occasion s'en présentée. En gros Fear était devenu un bordel vivant. Par chance tu étais très excité et la capitaine devait surement le sentir de très près (sans allusions cochonnes je vous rassure) car aussitôt avait-il mentionné l'existence de ce bétail féminin à bord qu'il calma tes ardeurs en précisant qu'elles lui appartenaient à lui et à personne. Tu voulus bien tenter de l'amadouer pour avoir un morceau en évoquant ton temps au troue, mais tu le connaissais et tu savais qu'il était très attaché à son péché mignon. De plus il continua à imposer ses restrictions, à moins que ce soit un conseil pour ta poire… il fallait éviter de t'en prendre à nouveau à Sarah au risque de t'en prendre encore plein la gueule connaissant désormais mon niveau… certes ce n'était pas faux, mais ton temps au fond de ta cellule à être démuni de nourriture, mais à être généreux avec les coups t'avais rendu plus solide qu'avant.
Jaag semblait bien déterminé à se bouger lorsqu'il sauta dans le vide pour chuter lourdement sur le planché des vaches. Le suivant de près lança tout d'abord ton ancre qui s'enfonça dans le sol, puis tu accompagna son mouvement d'une manière acrobatique méritant tout les éloges d'un directeur de cirque! Une superbe pirouette accompagné d'un "je chope mon arme à la volée" tout en continuant à la porter sur ton épaule. Tu suivis le capitaine alors que tu ressentais son envie de meurtre, cette sensation t'avais tellement manqué que tu ne pus t'empêcher d'agir avant lui. Bien heureusement un groupe de forban, tout aussi têtus les un que les autres, venait de reconnaître l'empereur et pour la gloire et la renommé semblait déterminé à s'attaquer à lui.

"J'peux me dégourdir un peu mec?"

Faisant face au groupe d'homme tu plaça ta paume de main vers eux alors qu'ils venaient tous de sortir les armes. Les balles, comme toutes les autres armes furent stoppé net. Tu renvoya d'une part toutes les projectiles vous étant destinées puis souleva le groupe de rêveur, presque tous équipés de métaux, puis les smasha grâce à l'arme que tu t'étais fourni plus tôt. Les quelques restants… tu leurs lâchas l'ancre sur la gueule espérant pour eux qu'ils soient tous hors d'états de combattre.
Etaient-il faible ou étais-tu fort? Les personnes arrivant aussi loin sont supposé être pas trop mauvais, cependant ils ne valaient pas grand-chose…
Bref tu ne devais pas rester sur une telle questions car elle n'était pas existentielle, loin de là, vous deviez de retrouver le jeune cyborg, car il a beau être plus fort qu'avant, à ce que dis Jaag, les visiteurs de cette île n'ont pas tous le même niveau que ces pirates d'eau douce venant de se faire rétamer. Let's go!

[suite ici, tu te défoulera dans ton post Wink

]

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