Un Boeuf ! [FINI]

Ikari est une personne d'un naturel calme, enfin c'est ce qu'il essaye de montrer devant ses amis, d'ailleurs devant ces derniers, il a même tendance à prendre un air plutôt con, ce qui le fait passer pour un grand mongole, mais bon, là on s'égare un peu. Bien entendu, à chaque fois que l'une des personnes qu'il connait, est dans la merde ou à besoin d'aide, il est le premier à être présent. D'ailleurs suite à cela, il a même ouvert une certaine théorie, voir philosophie. C'est que chaque personne de ce Monde, qui se met en travers du chemin de notre héros ou de l'un de ces collègues, ou si l'une de ces dernières se mettre à trop travailler. Elles ne sont pas dans le vrai chemin, donc ce ne sont que des méchants. Alors, vous l'aurez compris le rêve de cette personne gentille est de créer un Monde où l'on travaillerait à notre envie, sans dépasser les 34 heures, bien entendu, car trop ce trop et pas asses c'est parfait. On pourrait facilement comparer cette attitude aux traditionnels rastas, mais bon pour Ikari, fumer est une mauvaise chose, car en faisant cela, les rastas essayent de fuir la réalité, alors qu'ils pourraient la changer eux-mêmes.

Bon tout à l'heure, je disais qu'il montrait une facette à ses amis, car il en a une toute autre, on pourrait comparer cela à un comportement d'un schizophrène, mais ce n'en est pas tout à fait un, car quand il est tout seul, il est tout excité, se sentant libre comme l'air, il commence à avoir un comportement beaucoup plus personnel et ne pense plus à personne, mais seulement à lui. S'obstinant même qu'à combattre et à s'entrainer pour s'améliorer dans ce domaine, il en devient même accroc. D'ailleurs dès qu'il croise une personne, même si c'est l'un de ses meilleurs amis, qui essaye de l'arrêter dans cet effort, il lui répond plutôt méchamment et peut même arriver à la frapper. On peut aussi remarquer qu'en combat, ses capacités sont plus hautes qu'en entrainement, car l'excitation est beaucoup plus haute et là, il ne se donne plus aucune limite. Certains disent qu'en le combattant, ils croient croiser un véritable démon.

• ... Avec un corps de Bœuf

Ikari est une personne plutôt grande, mesurant dans les 1m80. Sa musculature est aussi impressionnante que sa taille, car en position de développé-couché, il arrive tout de même à soulever une masse totale de 155 kilogrammes. Tout ça grâce à des années d'entraînement et de musculation. En étant encore dans la fleur de l'âge, ses muscles restent plutôt réactifs, d'ailleurs son temps de réaction est légèrement supérieur à la moyenne, contrairement à sa vitesse, qui est plus basse que la généralité des êtres humains.

Bref, si vous voulez bien, passons à une description qui est beaucoup plus précise, commençons à sa tête qui est tout à 100 % le contraire de son caractère, car il a de longues dreads-locks rouges qui traînent sur sa tête, malgré sa forte envers les rastas, en fait, il a cette coiffure pour se rappeler la voie que son maitre lui a confiée à sa mort. Cette coiffure va plutôt bien avec ses lunettes, qui sont ovales, d'une couleur marron, les verres de ses dernières sont légèrement teintées et obscurcis. L'air qui apparait le plus souvent sur son visage, est un air qui est plutôt intéressé, même si son cerveau ne lui permet pas de tout suivre. Quand il n'a pas d'habit sur le haut de son corps, on peut voir qu'il a un magnifique tatouage de dragon fait à l'encre de Chine.

Bien entendu, à l'inverse de sa tête et de ce tatouage, ses habits sont toujours en changement, car il n'a jamais deux fois de suite les mêmes et son placard est relativement grand. Mais bon, son ensemble préféré est le traditionnel chemise-pantalon pour toujours rester classe sans trop l'être.

• The story of the beef's boss

Bien entendu, comme tout humain ou non humain de ce Monde. Mon passé n'est pas tout à fait normal, j'ai connu divers emmerdes et embûches sur mon chemin, certaines étaient moins marrantes que d'autres. En-dehors, de ces divers mauvais points, j'en ai connu de bons, même si ceux-là étaient beaucoup plus éphémères. Bref revenons au concret, au vrai, mon histoire, cette dernière commençait sur une petite île de South Blue, connue pour être la plus froide de l'archipel, elle porte le nom tragique de Sibery Town. Elle est connue pour ses animaux marins, qui sont étrangement énormes et leur chair est aussi tendre qu'un bon roas-beef et aussi bon qu'une entrecôte. Bien entendu, l'homme a su s'habituer à ses températures extrêmes, d'abord en se construisant les maisons qui gardent le mieux la chaleur et en confectionnant des habits qui sont devenus les plus chauds du Monde. Néanmoins, malgré tous ces efforts, cela n'empêchait pas que la même année où je naissais, il y eut un taux de mortalité infantile à la naissance de 15 %. Comme la majorité des bébés qui arrivaient à naître sur cette île. Je naissais dans une famille de pêcheur, d'ailleurs ils l'étaient de génération en génération. De plus, grâce à ça, certains habitants de l'île disaient que c'était grâce à ça que le poisson était si bon. Donc vous l'aurez vite compris. Ma vie était loin de se passer comme celle d'un pauvre petit orphelin qui dans un lointain pays de South Blue. À l'inverse de ces pauvres enfants, je passais une idéale enfance, à l'école, je me fis de nombreux amis et de très peu d'ennemis. Néanmoins, je me doutais bien au bout d'un moment, que si j'avais autant de collègue, c'était que j'étais riche et que les autres étaient jaloux et voulaient avoir un peu de ses avantages en les partageant, cependant étant très sympa à cette époque, cela ne me dérangeait pas, j'acceptais.

Contre l'avis de mes parents, j'osai arrêter l'école à l'âge de 15 ans, car cela commençait largement à le saouler, mais pour ne pas complètement les décevoir, je me mettais à la pêche, tout en essayant de battre le record de pêche au poids, celui du moment où je commençais, était de quatre tonnes et 524 kilogrammes exactement et si jamais on arrivait à le vaincre, on gagnait le poids multipliés par 1000 en berry. Néanmoins, du fait de mon jeune âge, de mon manque d'expérience, de mon manque de matériel, je n'arrivais pas à l'attraper. Quand tout à coup, quelques mois après, un jour, un ami venait de me parler d'une nouvelle qui allait bouleverser ma vie, c'était qu'un mec avait vu le plus gros poisson du coin traînait proche de l'île. J'allais directement dire la nouvelle à mon père, ce dernier entièrement ok' avec moi et me proposai même de m'accompagner jusqu'à l'endroit où il l'avait vu. Surpris de toutes ces bonnes nouvelles, je les acceptais toutes, nous partîmes le lendemain matin à l'aube à bord du bateau familial. Après un long voyage de plusieurs heures, nous arrivâmes sur le lieu de chasse, bien entendu, comme d'habitude, nous primes le célèbre apéro' avant de pêcher, afin de nous souhaiter bonne chance. Après avoir bu la boisson et mangé les différentes agoubilles. Nous nous lançâmes à la pêche au monstre, bien entendu, contre un monstre aussi gros, nous utilisâmes les traditionnels canons à harpon, où entre les deux, il y avait un simple filet, tressé à l'aide d'épaisses cordes et à l'aide des mains de nos plus fidèles artisans, bien entendu. Après avoir repéré le gigantesque poisson, nous fîmes feu, dès le premier coup, nous l'avions eu, néanmoins, comme il n'aimait guère ça (et ça se comprenait), il s'énervait plutôt rapidement et à l'aide de son corps, qui était à la fois rapide et puissant, il arrivait à briser en morceaux notre magnifique filet. De plus, il n'en terminait pas là, pour se venger de nous, il se mettait à nous foncer dessus, une fois asses proche, il ouvrit en grand la bouche et emportât avec cette dernière, la moitié de notre bateau. Heureusement pour nous, aucun de nous deux étions de ce côté. Ayant vu que notre bateau n'avait pas un bon goût et que moi et mon père étions de trop petites proies pour le rassasier. Le monstre partit, nous laissant là, indemne. Nous croyant sauver, nous fûmes forts heureux. Néanmoins, dans les jours qui suivent, on connut l'horrible solitude en bateau en plein milieu de la mer la plus froide du Monde. Manquant de nourriture, d'eau et avec la nourriture, je tombais dans les pommes.

Quelques heures plus tard, plutôt affaiblit, je me réveillais sur une plage, à côté de mon père et d'un bateau qui n'était pas le nôtre. Après quelques minutes, j'essayais de me relever, souffrant de nombreuses carences, j'avais du mal à me mettre sur mes deux jambes. Et là, je fis une rencontre plutôt mauvaise, c'est que des marines nous entouraient avec des armes braquées sur nous, choqué de cela et à bout de force, je retombais sur mes genoux. Les soldats nous emportèrent, moi et mon père jusqu'à leur QG, une fois là-bas, pour nous redonner des forces, ils nous offrirent un simple bol de souffle, avec des nouilles à l'intérieur. Même si ce n'était guère élaboré comme plat. Ce fut l'un des meilleurs plats de la vie. Après qu'ils nous aient nourris, les marines nous prenaient avec eux et nous emmenaient dans une autre pièce, puis une fois là, il nous attachait à des chaises, puis ils se mettaient à nous soupçonner, que c'étaient à cause de nous que l'on avait fait échouer leur navire, bien entendu, nous dîmes que non, c'était faux. Bien entendu, en tant que bon connards, ils ne nous croyaient pas, commençant à en avoir marre, le marine le plus musclé se levait de sa chaise, s'approchait de mon père, l'attrapât par son col, le collât contre un mur, puis lui redemandait la question sous un ton beaucoup plus énervé et convaincant. Ayant peur qu'ils me fassent du mal, il avouait tout, cela créait un énorme sourire sur le visage du marine, il le lâchait, lui mettait des menottes et l'emmenait avec lui. Étant donné que j'étais trop jeune pour aller en prison et que j'étais innocent pour avoir commis un crime d'une telle ampleur, ils décidèrent de me libérer. Néanmoins, comme j'étais un « terroriste », ils ne me ramenèrent pas sur mon île natale, me donnèrent aucun bateau et disant à tout le monde de ne pas m'aider, mais heureusement pour moi, ils ne me mirent pas de casier. Alors, je me mettais à trainer sur la totalité de l'île, suivant les ordres des marines, tous les habitants de l'île me repoussait, après un jour, je connaissais le nom de l'île où je m'étais échoué, c'était « Big Town ».

Comme c'est seulement dans la forêt que je pouvais être calme, je me réfugiais là-bas, croyant que c'était facile de vivre dans une pinède, je me rendis après quelques heures, que ça ne l'était pas et qu'au contraire, c'était bien plus effrayant qu'autre chose. D'ailleurs, je me fis même mordre par une vipère super-vénéneuse. Le poison me fit rapidement souffrir, me clouant au sol, rien qu'en quelques heures. Et là à ce que je m'attendais le moins, une personne de l'île décidait de m'aider, bien entendu, il n'habitait pas dans la ville, mais était un ermite qui vivait dans la forêt depuis des dizaines d'années. Choqué par sa force et par sa maîtrise de sa nature, je le suppliais qu'il me prenne comme disciple, après des dizaines de minutes de négociation, il finissait par accepter. Lors des premiers mois, il m'apprenait de nombreuses astuces pour survivre dans la forêt, tel que se nourrir ou boire à la source, d'une manière plutôt barbare, à construire une cabane plutôt résistante ... Après que les « préliminaires » soient finis, il m'entraînait plus sérieusement, tout d'abord en augmentant ma force, en soulevant et transportant des troncs d'arbre plutôt conséquent, en augmentant mon endurance, en courant dans la pinède et à augmenter ma vitesse de réaction de diverses manières. Néanmoins, après toutes ces années d'entraînement dans la jungle, je me rendis compte que toutes les bonnes choses ont une fin, car lors d'une chasse au babouin géant (terrible prédateur, plutôt con qui est l'un des animaux les plus agiles du Monde). Lorsqu'on l'avait trouvé, mon maître prit son arbalète, faite maison en main et tirait, pour la première fois de sa vie, il ratait sa cible, son carreau finissait dans le bide d'un marine qui passait par là, ce dernier mourrait de cette blessure. Énervé par leur mort de leur collègue, les trois autres soldats décidèrent de venger leur ami, ils prirent leurs fusils en main, visait les herbes où nous nous cachâmes, après leur troisième essai, ils touchèrent mon maitre, ce dernier était touché mortellement au niveau du torse, après qu'il fut touché, il ne lui restait plus que quelques minutes à vivre. Et pil quand j'allais foncer sur les soldats pour le venger, il mit sa main sur mon torse et me disait cette phrase :

Ne gâche pas ta vie comme ça, FUIS !!!

Suivant les derniers ordres du vieil homme, je me mettais à courir de toutes mes forces, connaissant la forêt par cœur, j'allais là où selon moi, c'était le meilleur endroit pour se cacher, je me mettais derrière une cascade et attendit que les recherches cessent pour sortir ... [FIN]

Tête de l'Ermite: