Un médecin peu ordinaire... [A Validé ]

Prénom: Secret >.<
Age: 22 ans
Homme/Femme/Okama: Masculin
Comment avez vous connu le forum : Une pub sur un autre forum.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Ça varie... Mais minimum une bonne heure.
Tes Mangas préférés: Übel Blatt, Kurohime, Saiyuki, Naruto, Bleach, Black Lagon, Gantz, Full Metal Alchemist, Kenshin le vagabon et One piece (le meilleur pour la fin >.<)
Ton pirate préféré dans one piece :
Sanji (surtout quand il se chamaille avec Zorro XD)
Ce qui t'as motivé à venir : Xuè
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : J'étais modérateur Rp sur un vieux forum sur le thème de Naruto.
Hobbys: Le rp, les jeux vidéo, la musique (Rock), la natation, le graphisme (photoshop) et d'autre qui viendrons au cours de ma longue vie ^^
Autre:
J'adore le chocolat !



Nom & Prenom: Shibou Usagi

Surnom Celui-ci pourra être affiché sur le Wanted en cas d'absence de votre identité. Toutefois, il vous est possible de laisser le choix aux autorités. : Lapin Chou, Dr. .... Les autres viendront

Age: 25 ans

Race: Humain

Camp: Marine

Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Pervert

Métier/Spécialité : Médecin

Pouvoir demandé :Usagi Usagi No Mie (modèle du lapin)

Rêve(s)/But(s) du personnage : Retrouver la paire de... Euh... Aucun pour le moment...

Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises



D'apparence frêle et faible, il fait rire ses adversaires dans ses affrontements. Il va s'en dire que, quand on le regarde, on voit plus le médecin que le combattant. Métier qu'il montre très clairement avec ses vêtements. Habillé comme un scientifique, avec sa blouse blanche et ses lunettes de vue, il donne une impression de jeune étudiant sans défense. Vêtu par une chemise à manche longue orange et une cravate noir, il ajoute un peu de "discrétion" à sa tenue de docteur. Pour en rajouter une "couche", ses cheveux noirs tombent jusqu'au cou, donnant un côté féminin. Surtout qu'il ne les attaches jamais et que les couper serait un crime pour lui. Mais le pire de tout, est son petit lapin en peluche qu'il traîne partout avec lui. Attention ! Ce n'est pas qu'une simple peluche. En effet, ce lapin renferme un terrible secret, celui d'être, en plus, un sac à dos ! Indispensable à la survie de tout docteurs, il contient tout le nécessaire d'une trousse de secours.

Bref, en voyant tous les points négatifs de son physique, on pourrait le croire malheureux.
Et pourtant son maigre corps fait preuve d'une agilité hors du commun, lui permettant d'accomplir des prouesses acrobatiques. N'oublions pas que la médecine l'aide aussi à mieux comprendre son corps et par la même occasion, mieux l'entretenir. Il a beau ne pas être très musclé, il sait trouver les organes vitaux de ses adversaires et les toucher avec précision. Chez les adversaires du sexe opposé, il trouve plus facilement les zones sensibles, quant à les atteindre... Il va s'en dire, que les femmes trouvent aussi rapidement son point faible...

Sinon, du haut de ses cent quatre-vingt centimètres, il arbore un beau visage de charmeur. Face qu'il aime montrer le plus souvent avec un petit sourire, qu'il soit amical ou sournois. Tout ça complétés par des yeux tombants, d'un violet perlé. Il ne possède aucune marque distinctive, ni même une seule cicatrice; normal pour un jeune matelot qui commence sont aventure. Et tout ce joli petit corps pour la modique somme de 70 kilogrammes !!! Mesdemoiselles... Il vous attend !


Toujours enjoué, il aime rire et faire rire les autres. Malheureusement, son humour n'est pas tout le temps apprécié, surtout pour toutes les pauvres filles qu'il espionne ou tripote. Aidé de son fruit du démon, Usagi Usagi No Mie (modèle du lapin), il n'hésite pas à se faire câliner par les dames, voir même faire un peu de voyeurisme de temps en temps. C'est son côté serviable qui est le plus aimé, toujours à vouloir aider, il est prêt à faire l'impossible pour certaines personnes, en particulier les femmes. Et oui, sensible à la nature féminine, il se "coupe en quatre" pour toutes les demandes d'une femme, belle de préférence...

Même avec son côté joyeux et dragueur, il sait être sérieux. Les livres étant sa grande passion, il n'arrête pas de les étudier, quelle que soit la nature du livre. Il lui est fréquent de s'endormir un livre à la main, d'autant plus que ses lecture le contraigne à rester éveiller une bonne partie de la nuit. Avec sa monstrueuse mémoire, il peut réciter un livre qu'il a lu au mot près, même s'il ne comprend pas tout le temps le contenu.

Sous ce côté joueur, se cache une force sanguinaire et terrifiante. Il ne supporte pas que l'on touche à son lapin en peluche. Il porte un grand intérêt aux femmes, tellement grand qu'il peut devenir violent lorsque celle-ci sont menacées... C'est lorsque qu'il ne sourit plus qu'il faut s'inquiéter. En effet, la colère le transforme en chirurgien, rien de bien méchant, sauf quand le patient opéré est conscient et à cœur ouvert. Il lui arrive parfois de faire une rapide étude de sa victime lorsque celle-ci est complètement hors combat. Il est toujours agréable de voir un médecin jouer avec les tripes de son adversaire ...

Un dernière choses, très importante à savoir, Shibou supporte très mal l'alcool. Cette boisson à le malheur de le transformer en tout et n'importe quoi. Surtout en n'importe quoi... Il peut devenir complètement fou et se promener complètement nu en criant dans la rue, ou être négatif voir suicidaire. Il est donc primordial de ne jamais approcher une seule goutte d'alcool près du jeune médecin; les conséquences pourraient être... Catastrophiques. Sauf s'il devient complètement obsédé et qu'il saute sur tout ce qui bouge, tous sexes confondus...



La vie est parfois étrange pour certaines personnes. La plupart des gens vive tranquillement, habitant avec leur famille, avant de trouver l’amour et de fonder leur propre famille à leur tour. Mais d’autre n’on pas cette chance.

L’ « autre » à l’occurrence, est un jeune et studieux petit garçon qui vivait sur l’île d’Unikuroi. Cette île était ronde de toute part, telle une balle immergé dans l’océan. Seul point étrange, des dizaines de montagne se terminant en pointes recouvraient la totalité de l’île. C’était de là que venait une partie de son nom « Uni », qui signifiait « Oursin ». L’autre facette du nom, qui était « kuroi », signait « noir » et reflétait l’aspect sombre de l’île. Le reflet noirâtre de l’île venait de sa flore, peuplé de fleurs au pétales d’un noir intense, elles recouvraient les immenses plaines qui se tortillaient entre les montagne.

Tout semblait tranquille, d’apparence. Car autour de d’Unikuroi, mouillait tout une armada de la flotte marine. Il était impossible d’approcher l’île de trop près, sous peine d’être détruit sur-le-champ. Les peu d’habitant qui restait, demeuraient en quarantaine, attendant la mort. Fatalité engendré par une beauté insoupçonnable. La fleur noir, « Suzure », appelle à la mort ceux qui ont le malheur de la sentir. Et comme celle-ci recouvrait la quasi-totalité de l’île, il était inconcevable de penser à s’en sortir une fois le pied posé sur cette terre maudite.

Le peu d’habitants, une centaine environs, mouraient de jours en jours. La maladie, que la plante introduisait dans leurs corps, offrait une mort très lente et indolore. Les victimes s’affaiblissent en plusieurs années, avant d’être totalement paralysés, puis, quelques jour plus tard, faire une crise cardiaque. C’est-ce qu’attendait la Marine, que la dernière génération rende l’âme pour détruire Unikuroi et la rayer de toute les carte maritime. C’était là le rêve des pauvres marines qui devaient surveiller l’île avant de la bombarder. Un travail long et ennuyeux…

Un rêve que les habitant d’Unikuroi ne partageaient pas, en particulier un petit garçon d’une quinzaine d’années qui n’avait pas échappé à la maladie. Orphelin d’une mère, morte trois ans après sa naissance et d’un père, décédé à ses dix ans, il a consacré les cinq années qui ont suivit à étudier la Suzure. Cherchant un moyen de neutraliser son poison et, par la même occasion, à sauver la dernière génération d’unikurien, il fit de profonde étude dans le corps humain et la botanique. En cinq ans, il devint le médecin officiel de l’île. Celui qui avait réussi à trouver un moyen de ralentir la maladie et a y supprimer la paralysie. Mais même avec ses efforts, les gens continuaient à mourir.

Une année de plus dans ce cauchemar... Ce jugement dernier, orchestré par les Dieux, transforma la cinquantaine d’habitant restant. Ceux-ci devinrent fou au point de destiner leurs derniers moments de leurs vie à semer le chaos. Une chose que le jeune garçon aurait bien voulu ne jamais voir de toute son existence. Les femmes étaient violées, les bâtiment commençaient à brûler, et les fleurs noires, haïes de tous, furent la proie de la colère des contaminés. Arrachées, brûlées, coupées, voir mangées par certains, les Suzure subissaient toute les pires tortures que l’imagination des habitants le permettait. La plante, autrefois supérieur à l’homme, devint la victime.

Au loin, sous le regard des quelques milliers de Marines qui entouraient l’île, la confusion régnait. Les unikurien, qui semblaient s’attacher à la vie, étaient maintenant des bêtes sauvages qui s’entretuaient. Les troupes qui observaient cette scène remettaient en question leur rôle en ces lieux. Un raisonnement que l’Amiral, qui commandait la flotte, ne partageait pas avec ses soldats. Lui trouvait enfin le moyen de quitter son poste ennuyeux une bonne fois pour toute. C’est sans perdre le temps de regarder le massacre qu’il donna l’ordre d’anéantir l‘île. Et, sans attendre, les canons commencèrent à gronder, les boulets à voler et l’île, à se désintégrer.

Caché dans sa maison, le pauvre petit garçon attendait que l’apocalypse ce calme. Chose impossible, vu que les Marines l’amplifiaient. En peu de temps, un boulet percuta la maison et la fit exploser. C’est à ce moment de sa vie, quand on sort de sous la table en bois qui nous a sauvé la vie, que l’on remercie la nature de faire du bois très résistant. Mais il ne fallait pas s’attarder, cela le jeune médecin en herbe le savait, il prit « ses jambes à son cou » et commença une course effrénée en direction du seul port d’Unikuroi. Premier lieu que la Marine avait réduit à l’état de cendre. L’espoir qui tenait le garçon en vie s’envola comme les cendres des bateaux qui brûlaient encore…

C’est souvent quand on croit que tout est perdu que le destin nous surprend. N’ayant plus de cible précise, les bateaux de la marine se mirent à tirer au hasard, cherchant simplement à toucher l’île et faire un maximum de dégât. C’est là qu’ils firent une terrible erreur ! À force d’exploser les bases des montagnes « piquantes » d’Unikuroi, celles-ci ne pouvaient que tomber. Car, chose peu commune de ces montagnes, c’est qu’elles étaient toutes fines, telle les piques d’un oursin. La frayeur arriva donc sur les navires de guerre en voyant ces immenses piques tomber vers eux. Et la chance, enfin pas pour les marine, voulue qu’un des bateaux soit victime d’une chute de pierre, venue tout droit d’un sommet d’une des montagne qui tombait comme un arbre fraichement coupé. Le navire coula, et les débris flottèrent avec quelques rescapés de l’accident.
L’Amiral fut sidéré de voir un tel manque d’intelligence parmi ses soldats. Mais rien ne changea ses plan, il envoya un navire chercher les survivants pendant qu’il continuait de coordonner l’assaut. Le malheur des uns fit le bonheur des autres. Tout le monde ne voyait que des débris du bateau, mais l’orphelin , lui voyait un moyen de quitter l’enfer. Le bois du navire flottait, et il y avait suffisamment de planches pour faire un petit radeau. Risqué, peut-être… Il pouvait être la cible des militaires, des monstres marins, ou même de l’eau elle-même s‘il se noyait. Mais il n’y avait pas d’autres solutions en vue.

C’est avec courage que le garçon plongea dans la mer agitée, cherchant à parcourir les nombreux kilomètres qui le séparaient des restes du navire. Et c’est avec plaisir qu’un montre marin vit son déjeuner flotter à une cinquantaine de mètres des côtes. Ressemblant à un gros requin, l’animal passa sous sa proie. En quelques mouvements de nageoires, il remonta sur sa cible et ouvrit sa gueule armée de puissants crocs. C’est un mouvement de sa médiocre technique de nage qui sauva l‘enfant. L’animal percuta les pieds de sa proie et manqua de le mordre. Quant à sa nourriture, elle roula sur le dos sans qu’il puisse lui faire quoi que ce soit. Alors que le jeune garçon chanceux put faire quelque chose ! Il attrapa la nageoire du poisson et s’y agrippa de toutes ses forces.

L’animal passa près des bâtiments de la marine; il plongeait et sautait, essayant de faire lâcher le petit garçon, en vain. La scène se fit entendre par les occupants d’un navire voisin. Un simple marine donna l’alerte :

« Un enfant à la mer !!! »

Les canons hurlants leur colère ne laissèrent pas de place pour les cris du marine. C’est alors, remplit de courage, que le matelot s’arma d’un harpon et le lança depuis le pont. La lance perça la nageoire du poisson, le rendant fou de rage. Enervé, la bête fonça dans la coque du bateau de secours. Catapulté du requin, l’enfant vint se poser tête la première sur le pont, au pied du marine. Le soldat vit l’enfant inconscient gisant à terre, le pauvre petit être avait vécu beaucoup de choses. Le marine décida de l’emmener à l’infirmerie, mais en chemin, il heurta le capitaine du navire. Celui-ci gronda le soldat avant d’apercevoir l’enfant qui trônait dans les bras du marine. La panique fut totale quand l’officier compris d’où venait le petit garçon. L’un voulait sauver l’enfant, l’autre le jeter par-dessus bord. La décision fut prise par la médecin de bord qui mit tout le monde en quarantaine.

Quelques heures plus tard, le jeune garçon se réveilla. Ses yeux s’ouvrirent face à deux soldats qui se lançaient des jurons dans une pièce entourée de fenêtres. Il ne savait pas du tout où il était, en fait il ne savait plus rien… Même pas son nom.

« Salut ! »

Dit-une douce voix. Au même moment, un lapin en peluche vint se mettre dans le champ de vision du convalescent. Ses yeux suivirent les bras qui tenaient la peluche et il se heurta à une imposante poitrine. Comme hypnotisé, il ne put détourner le regard ou même fermer les yeux. C’est la médecin qui descendit d’un cran pour que sont visage soit en face de celui du jeune garçon. D’un grand sourire, elle lui expliqua rapidement la situation, entre autre le fait qu’il avait survécu, mais qu’il avait toujours la maladie de la fleur noire et qu‘il devait rester en quarantaine. Il n’eut même pas le temps de dire un mot qu’il s‘endormit de nouveau sous l’effet d’un médicament.

Les jours passèrent sans que l’enfant ne puisse rester éveiller plus de dix minutes, juste le temps de boire une soupe. C’est à la fin de la semaine que le réveil fut possible. La soupe fut servie par un matelot, comme d’habitude, mais cette fois ci, il n’eut pas le droit au médicament pour dormir. La femme qui l’avait soigné vint à sa rencontre, elle s’assit sur son lit et discuta avec son patient.

« Alors mon petit rescapé, comment te sens-tu ? »

Les yeux voyageant entre les seins et son visage, le jeune garçon répondit avec une voix douce et apeurée :

« Ça… Ça va…
Où… Où suis-je ? Ma… Ma maladie ? Combien de temps suis-je ici ? Que…»

La femme glissa son doigt sur les lèvres de son patient en glissant un petit « chut » des siennes. Ils discutèrent un moment entre eux, s’expliquant chacun à leur tour. Elle lui expliqua qu’il venait d’une île où une fleur tuait la population, qu’il était miraculeusement guéri…

« Quoi ? Je croyais que vous aviez dit qu‘elle tuait les gens ?»

« Exact, pourtant, avec le temps, le poison s’est dissipé… Apparemment le pollen de la fleur doit être respiré au moins une fois par semaine pour être constamment actif. Il suffisait donc de s’éloigner de l’île… »

Un grand silence se fit… La femme reprit en cachant un peu sa poitrine en se mettant de profil et en croisant les bras.

« Comment tu t’appelles ? »

« Je… Je ne sais plus… »

« Shibou ! »

« Euh… Quoi ? »

« Shibou ! Ça veut dire mort, ou décès dans mon pays d’origine. Comme tu es passé pas loin d’elle, tu pourrais garder son nom. »

« Euh… Bah… »

« C’est décidé ! Moi c’est Hoc ! Dr. Hoc ! »

Shibou, ainsi nommé, n’eut pas vraiment le choix. Il accepta son nouveau nom quand il vit le grand sourire de la médecin (ainsi que son décolleté). Le jeune garçon demanda ce qu’il allait advenir de lui, ce que personne ne put savoir. C’est Hoc qui demanda de le garder comme assistant. Idée non approuvée par le commandant de bord qui dût subir la colère de la femme. C’est dire si le bateau tremblait à chaque paroles du médecin.

Après une guerre sans merci dans la cabine du capitaine, le docteur sortit vainqueur. Elle pouvait dorénavant garder le jeune garçon comme assistant médecin jusqu’au prochain port. Quand elle retourna dans l’infirmerie, elle s’empressa d’annoncer la nouvelle. Hoc commença les études du petit garçon et il travaillèrent ensemble jusqu’à ce qu’ils arrivent au terminus.

Une immense base de la marine trônait sur une petite île. Elle y faisait régner l’ordre et servait également de base école. Le bateau accosta et libéra ses passagers. Après dix mois de navigation, entre les attaques de monstres marins, les îles infestées d’indigènes et les maladies, le voyage arriva à son terme.

Sur le quais, Shibou n’osa plus bouger. Devant lui, Hoc s’en allait sur un autre bateau de la marine. Là, avant que la distance ne sois trop grande, elle lui lança le lapin en peluche qu’il avait vu pour la toute première fois. De loin, on entendit un « A bientôt !»; Hoc lui faisait des grand signe depuis le pont du bateau. Les seins posés sur le garde-fou du pont, elle lui fit un baiser à distance. Puis, quelques minutes plus tard, le navire ne fut plus visible.

Ce qui s’en suivit fut simple :
Shibou fit des études de médecine dans l’école de la marine. Réussissant la totalité des épreuves données, il profitait de son temps libre pour espionner le vestiaire des filles, voir même les douches. Les professeurs étaient très satisfaits des notes de Shibou, malheureusement, son comportement et son sens de la hiérarchie étaient horrible…

Une fois son diplôme en main (et après avoir maté toutes les filles de l’académie), Shibou se mit en quête d’un navire à occuper.



La marche reprit sous le commandement de Mizuryu, Yann suivit le groupe sans dire un seul mot. A chaque pas, ses yeux se repassait le combat contre Tada, cherchant toutes ses erreurs, ses points faibles et ses imperfections. Et de temps en temps, ses mêmes yeux regardaient Tada de dos, voyant une certaine jalousie sur sa puissance. Cette jalousie ne dura qu’un instant car marchant à côté de Tada, Yann crut apercevoir un vieil ami, une illusion de Lionheart marchait au côté de Tada souriant à celui-ci. Surprit Yann ce frotta les yeux, et il ne resta plus que Tada marchant non loin de Mizu. Baissant la tête il continua l’expédition silencieusement…
Quelques heures de marche plus tard, des champs cultivés furent visibles, et les paysans qui y travaillaient furent surprit de voir un groupe de Shinobi voyager. Continuant leur périple, ils atteignirent une ville, Mizu leur expliqua l’origine de cette ville et y donna son nom : « Neiruryuu ». Suivant Mizu, qui était le seul à pouvoir guider son clan à travers la ville, ils rencontrèrent plusieurs personnes connaissant Mizu. Aucune ne frappa Yann, il préférait laisser son chef faire les présentations et saluer ses vieux amis ou parents, il ne faisait que suivre le groupe sans poser de questions.
Tous arrivèrent à l’auberge, posant son sac à dos, Yann aperçu une autre personne qui parlait à Mizu, ne voulant pas déranger, il continua de déposer ses affaires. Faisant confiance à l’ancien village de Mizu, il déposa aussi ses armes, mais il détacha le talisman de son câble pour le porter autour du cou. Voyant que la discutions entre père et fils n’était pas finit, il alla au comptoir demander un verre d’eau, instantanément il déposa une pièce d’or à côté du verre, voyant que le gérant refusait, il laissa la pièce sur le comptoir. Laissant le gérant seul avec sa pièce, il tourna son regard vers le père du chef du clan Ryushi, et un nom étrange ce fit entendre : « Yamada ».

« Yamada » ? Pourquoi Mizu aurait il changé de nom ?
Je me pose trop de questions, de toute façon, cela ne me regarde pas…

Terminant son verre, il attendit le départ vers la salle du conseil. Quand ce fut l’heure, il suivit de nouveau le groupe. En chemin, Yann regarda chaque membres, voyant en chacun une grande puissance, mais en même temps son infériorité…
Enfin arrivé devant un immense bâtiment, Mizu nous expliqua que le conseil y résidait. Progressant à l’intérieure, on put s’émerveiller de la splendeur de la décoration, mais une stèle au centre du musée attira les yeux de tout le monde, car Mizu y avait placé l’épée Ryushi qui étincelait. Le groupe restant à l’écart, il regardait de loin la scène jusqu’à ce que leur chef revint pour les guider vers la salle du conseil.
Entrant dans la salle du conseil, Mizu présenta des sièges en s’installant, suivant les autres membre Yann s’assit entre deux membres. Dans un silence de mort il écouta toute la discutions, et il fut surprit du résultat qui fut donner très rapidement. Toujours en gardant son silence Yann reçut son repas, il remercia les serveurs d’un geste de la tête et il attendit que le premier membre du conseil commence le repas avant d’entamer la première bouchée. Rassasiés, ils quittèrent la salle raccompagnés par Mizu jusqu’à l’auberge. Une fois à l’auberge, leur chef les quitta pour revoir de la famille, laissant les membres à l’auberge. Ramassant ses affaires, Yann sortit de l’auberge et marcha dans les rues qui étaient éclairées par des lanternes suspendues. Il monta sur un toit et s’assit dessus en regardant la lune.

Qu’est ce que je vais faire ? Je ne vais être qu’une gêne sur le champ de bataille…
Je ne peux les suivre sur cette aventure, je vais rester en retrait, cela évitera que je sois de trop sur le terrain…

Passant sa nuit sur son toit, Yann vit le soleil se lever, il descendit et retourna à l’auberge. Encore endormi, les occupants ne firent pas attention à Yann qui ce dirigea vers la chambre où il devait passer la nuit. Il se servit de la salle de bain pour y faire une toilette complète avant de s'habiller. Une fois prêt, il sortit de l’auberge en laissant ses armes dans sa chambre et salua de la main le gérant qui venait de ce réveiller. Ce remémorant le trajet il se dirigea vers le musée et y entra. Il s’arrêta devant l’épée des Ryushi qui n’avait pas bougée, restant une bonne minute à la fixer. Puis il entra dans la salle du conseil.
Dans la salle Yann vit Mizu, Tada et un vielle homme prendre le petit déjeuné, voyant qu’il était l’un des premier, il grimaça légèrement. Yann ne put refuser l’invitation de son chef, il devait s’installer pour festoyer. Après avoir saluer les occupants, il se dirigea donc vers une chaise à gauche de Mizu laissant une chaise d’écart, car il estimait que c’était la place de Mickey Nox. Voyant que Mizu attendait le programme de Yann, celui-ci le détailla rapidement.

Bonjour à vous.
Je vais être bref, je serais celui qui confectionnera la plupart des armes et armures dont l’armée aura besoin, en tant que forgeron je me dois de faire cela. Je pense que pendant la construction des équipements je ne pourrais faire aucune formation, sauf si une aide m’est fournie de la part des forgerons de cette ville. Je pourrais alors peut être former des archers ou des escrimeurs. Ensuite pour ce qui concerne l’offensive…

Laissant quelques secondes de répit, Yann détourna les yeux de toute personnes, et parla tête baissée avec une légère honte.

Je… Je n’y participerais pas…
Je resterais à Neiruryuu.

Toujours tête baisser, il ressentit une certaine surprise autour de lui. Yann ne voulait pas faire honte à Mizu devant un membre du conseil, en montrant un membre du clan faible de corps et d’esprit, mais il devait expliquer ce qu’il devait faire. Il attendit les réactions des personnes présentes autour de la table.


J'étais Keni, ainsi que Yann.

Terminer !

Je laisse cette présentation à vôtre validation !

Bonne lecture à tous !

J'aime bien^^ Validé rang 2 avec ton Fdd

Attends une deuxième validation et tu pourras commencer à rp

Validé!