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| Sujet: Une médecine révolutionnaire [en cours] Ven 18 Mai 2012 - 20:56 | |
| - Présentation du personnage - • Nom & Prename : Reito Asaki• Age : 24 ans• Race : Humain• Camp : Révolutionnaire• Orientation psychologique : Chaotique bon ?• Métier/Spécialité : Médecin• Pouvoir demandé : Niveau 5: Chūsha Chūsha No Mie : (Parmécia de la piqure) Lorsque l’utilisateur ingère le fruit, de petites aiguilles rétractables se forment sur ses doigts. La première utilisation est de les utiliser comme griffe. Mais l’utilisateur a aussi la capacité de "percer et vider" les objets de leur contenu qui se "dégonfle" comme un ballon de baudruche qui se vide de son air et cela peu importe l’objet. L’utilisateur peut choisir la zone d’influence de sa piqure. En clair, il peut par exemple décider de vider un mur entier comme une zone très précise de celui-ci. L’objet visé a tendance à s’étaler sur le sol et devient flasque et fragile. En combat, l’utilisateur peut piquer son ennemi jusqu’à le dégonfler et le rendre mou. Dans le cas des vivants, seulement un bon repas après un combat permet de retrouver son tonus d’origine. l'utilisateur peut aussi injecter les substances qu'il mange dans le corps étranger.• Rêve(s)/But(s) du personnage : Être plein aux as et facultativement soigner gratuitement les personnes dans le besoin• Code présentation
◘ Description Physique :
Moi ? En même temps je ne vois personne d’autre… Je ne suis pas un de ces monstres de puissance dont la musculature n’a d’égale que la petitesse de leur esprit. Mesurant à peine les 1m65 et doté d’une constitution moyenne, je n’impressionne guère mes adversaires par ma carrure qui prouve que mes 52 kilos ne sont pas composés que de muscles. Les magnifiques yeux émeraudes que sont les miens sont mis en valeur par ces cernes noires qui contrastent avec mon teint exsangue. De plus ayant les dents plus pointues que la normale, dès que j’ai le malheur de sourire, un rictus malsain et carnassier apparaît ce qui a pour conséquence de terroriser mes patients de bas-âge. Vous l’aurez sûrement compris, mon physique peut-être qualifié d’antipathique et je vous assure que c’est un vrai handicap pour ma profession. C’est pour dire certaines personnes me prennent pour un zombie ! Vous imaginez !? J’ai pas nan plus la tête d’un déterré quand même…
Comme tout être vivant je possède des traits physiques qui me sont propres et qui sont nécessaire afin de me distinguer des autres membres de mon espèce. Dans mon cas, il n’est pas si difficile de me repérer. Et je ne parle pas seulement de cette peau blanchâtre qui trahit une certaine intolérance à la surexposition aux rayons du soleil. Suite à des injections multiples et diverses que je m’administre, mon bras droit est couvert de trace de piqure et autres séquelles. Pourquoi le bras droit ? Puisqueje suis gaucher pardi ! Bon revenons à nos moutons, si vous avez la «chance » de m’apercevoir vêtu de mon plus simple appareil, vous pourrez observer de nombreuses cicatrices résidus de blessure plus ou moins bénignes dû à des rixes ayant mal tournées. A ce qu’il parait ma démarche nonchalante combiné à mon physique me fait passer pour quelqu’un de louche, je le suis pas tant que ça quand même ? C’est vrai que j’ai développé des tics assez bizarres comme sucer mon pouce lorsque la situation devient stressante. Et nan c’est pas une réaction de bébé !
Une tenue vestimentaire particulière ? Pas vraiment, un T-shirt fantaisie et un pantalon déchiré c’est amplement suffisant… Bon j’avoue, je suis une personne assez négligée. Il arrive des fois où je troque mes vêtements habituels contre un ensemble bien plus élégant, c’est fou comme les personnes vous prennent plus au sérieux, une fois que vous êtes bien habillé enfin passons… Une de mes activités favorite est le déguisement donc ne soyez pas surpris de me voir en costume de marine afin de passer incognito. Mes transformations ne sont pas que vestimentaire, j’ai quelque connaissance en maquillage, je peux dire merci au cours d’embaumement. Qu’est-ce qu’il y a dans ma mallette ? Pour faire simple un kit de premier secours à ma sauce que je traine partout avec moi. Elle contient tout ce qu’un bon médecin se doit d’avoir, du matériel médical, quelques produits chimique dont certains qui sont un tantinet dangereux et des sucreries à offrir aux petits enfants qui ont été très courageux enfin s’ils ont survécu. Je rigole, c’est une vanne…
◘ Caractère & morale :
Autant vous prévenir, je suis un paradoxe à moi seul. Mon but premier est d’amasser un maximum de richesse et ce peu importe les moyens, de toute façon c’est le résultat qui compte. Oui, je suis une personne avare qui refusera de payer quoi que ce soit qui n’est pas indispensable… Cependant, en tant que médecin je ne peux me résoudre de laisser des gens souffrir, je me sens obligé de les soigner et gratuitement en plus ! Mais pas question de dépenser un sou en médicament ! C’est donc pour palier à ce petit problème que j’ai commencé ma carrière de robin de bois médical. Volant aux riches pour donner au pauvre ! Ça ferait presque bon samaritain si je ne prenais pas une petite compensation pour compenser le risque du métier. Soyons clairs, bien et mal se complète, toute action mauvaise sera bonne pour quelqu’un et vice versa. On passe au profil psychologique ? Je dirais que j’ai un caractère versatile… Oui, c’est ça changer d’avis sans aucune raison rationnelle juste parce que j’en ai envie. Un peu à la Dr Jekyll et Mr Hyde sans le côté schizophrène et monstrueux de l’histoire disons que j’oscille entre le gentil médecin serviable et le sale gamin boudeur. Ce qui associé à une mémoire aussi perméable qu’une tranche de gruyère me met dans des situations inextricables. Après réflexion, c’est normal que les gens pensent que je suis mentalement dérangée… Rassurez-vous, la plupart du temps je suis la personne la plus merveilleuse qui puisse exister sur terre enfin j’exagère un peu. J’ai eu quelques compagnons de voyage mais je les ai vite quittés. Un motif valable ? Nan aucun.
Sans vouloir me vanter, je suis d’un naturel réfléchis, foncer tête baissée lors d’un combat ce n’est pas du tout mon genre. Passer à l’offensive ne se fait qu’après avoir élaboré une stratégie digne de ce nom ! Petit bémol, préparer un plan d’attaque efficace nécessite un minimum d’observation et surtout ça prend du temps. C’est pour cela que souvent je fuis ou me cacher lors d’un combat afin de gagner quelques précieuses minutes, certains me traiteront de lâche mais soit, c’est une tactique qui a pour l’instant bien fonctionné.
J’allais oublier un détail important… J’ai un côté intrépide enfin le terme le plus approprié serait plutôt masochiste. Comment l’expliquer simplement… Disons que parfois, il m’arrive d’avoir recours à des actes un peu extrême que des personnes saines d’esprits ne feraient jamais. Un exemple ? Disons que je peux, volontairement, me laisser me faire planter par l’arme de mon adversaire afin de pouvoir le maîtriser. Souffrir n’est-ce pas la preuve que nous sommes vivants ? Bref, c’est une des raisons qui explique que je sois si souvent mal en point après mes missions mais je suis médecin, je n’ai qu’à me rafistoler
◘ Histoire :
Une enfance presque banale…
Je suis vraiment obligé de vous la conter ? Bon, j’ai compris… Pas la peine de vous expliquer comment on fait les bébés enfin je l’espère pour vous. Donc je suis né sur une île paumée de North Blue… Quand ? Vous avez qu’à soustraire mon âge et vous trouverez mon année de naissance assez facilement. Bien qu’ai-je d’autre à dire sur ma naissance à part que mes parents étaient des péquenots passant leurs vies dans leurs fermes pourries… Ah oui je n’étais pas un enfant désiré. Je n’utilise pas le passé parce que maintenant je le suis, c’est juste que mes parents sont morts enfin je vous narrerai la raison en détail plus tard. Bon je saute mes premières années de vie puisque j’en n’ai aucun souvenir. M’enfin vu que je vous parle en ce moment, j’en déduis qu’ils n’ont pas eu le cœur, ou le courage, d’en finir et ont décidé de me garder en vie. Mon enfer a commencé au moment où j’ai pu tenir une bêche, c’est-à-dire dans les sept ans. Je travaillais jour et nuit dans les champs, en y repensant ils devaient y voir un retour d’investissement pour m’avoir nourri et logé à l’œil pendant ses quelques années. Dès que je faisais un pas de travers, on m’envoyait dans la cave, un gouffre obscure et humide où vos sens disparaissent les uns après les autres. Une antichambre de la mort, un néant parfait qui vous fait oublier jusqu’à votre propre existence. J’en ai encore des frissons, j’aurai pu devenir fou vous le savez ?
Je me demande si un jour je les ai vraiment considérés comme mes parents. Jamais eu une vraie discussion avec eux, pendant les repas, je mangeais à une table séparée de la leur. Personne pour m’éduquer… J’ai dû apprendre à lire seul à partir de vieilles revues qui traînaient. On peut dire que j’ai eu de la chance qu’ils ne s’intéressaient pas plus à moi. Puisqu’ils ne remarquèrent jamais ma dentition des plus bizarres. Je me serai sûrement retrouvé vendu pour une poignée de Berry à un de ses cirques qui s’amusent à faire des spectacles de monstres, quoique ça n’aurait pas été plus mal. Triste histoire, hein ? Et cela a duré jusqu’à mes dix ans.
Il y avait quand même point positif. Heureusement sinon on m’aurait retrouvé me balançant avec une corde autour du cou. Elle s’appelait Sarah, elle vivait dans la demeure d’à côté… Je vous arrête tout de suite, elle n’était pas la fille d’un riche aristocrate, c’était juste la fille d’une des servantes du seigneur des lieux. Mon premier amour et pour l’instant le seul… elle avait des petites tresses blondes, toujours souriante. Ne me regardez pas comme ça ! A l’époque, sans compter mes dents, j’avais un physique des plus normales puis je suis devenu comme ça ! Enfin c’était le bon temps, j’ai même cru qu’un jour je marierais avec elle. Que c’est beau la naïveté, tellement beau que ça en deviendrai presque répugnant.
Et ce truc est arrivé. Une épidémie qui toucha une bonne partie de l’île en très peu de temps. C’était ce genre de bacille qui contaminait la terre afin de passer dans les végétaux. Très vite la quasi-totalité de la population fut atteinte. Les symptômes étaient une forte poussée de fièvre accompagnée d’une grande fatigue. Ensuite, ralentissement du rythme cardiaque puis mort du malade. Je pourrai vous expliquer le fonctionnement au niveau cellulaire de la maladie mais le récit traînerait un peu en longueur. En gros, elle se développe et se multiplie dans le sang en drainant votre « énergie ». L’ironie était qu’il existait un traitement, tout le monde aurait pu être sauvé. Mais comme les principes actifs du remède étaient plutôt rares et que la demande était forte, les prix étaient devenus exorbitants. Les riches survécurent et les pauvres moururent. Je crois bien que c’est pour cela que j’ai un besoin maladif d’avoir de l’argent. Intéressant… Vous raconter tout cela me permet de faire une étude rétrospective de ma psychologie, j’aurai dû le faire plus tôt.
Et moi dans tout ça ? Comme tous les autres, je l’avais contracté. Je me souviens être allongé sur le sol humide de l’église, c’est marrant avant cette crise je n’aurai jamais cru voir autant de monde prier pour leur salut. Puis le trou noir… Je me suis réveillé en sursaut coincé dans un sac en toile. Ouais, vous avez deviné, ils m’ont cru mort ces imbéciles ! Une fois sortit de ce pseudo sac mortuaire, j’ai constaté que tout le monde était mort… Sarah était morte. Il y a une maxime qui dit « assis toi près de la rivière, attends et tu verras le cadavre de ton ennemie passer » mais elle ne précise pas que si tu attends encore ce sont les dépouilles de ceux que tu aimes que tu verras dérivé.
Je vous raconte pas la tête de l’équipe de décontamination quand ils m’ont vu sortir de la bâtisse. Enfin c’est une façon de parler puisqu’ils portaient tous des sortes de masques à gaz, je n’ai jamais vu leurs visages. Ils m’ont pris pour un mort vivant, ça a été la panique totale pendant un bon moment. Une fois calmé, c’est-à-dire au moment où ils réalisèrent que je n’essayais pas de les bouffer, ils ont déclaré que c’était un miracle. Si j’avais les connaissances que j’ai aujourd’hui, je leur aurai simplement expliqué qu’on appelle ça une pénétrance incomplète. En terme profane ? Pour faire simple c’est être malade sans que les effets de la maladie se soit tous exprimés. Oui, c’est ça qui explique mon physique actuel.
Passons, le seul moyen d’anéantir le virus était de bruler toutes les parcelles contaminées. Dans notre cas, c’est l’île entière qu’il allait être incinéré en même temps que tous les corps des défunts. Je ne pouvais pas rester sur l’île, ils décidèrent donc de me ramener au centre de soin. Sur le canot, je voyais au loin mon passé devenir un immense brasier. Quand j’y pense, je n’ai même pas pleuré. Ceux que je haïssais, celle que j’aimais, l’endroit où j’ai vécu, où j’ai souffert, où j’ai ri… Tout avait disparu, le néant, la même sensation de non existence que j’avais dans la cave. Wow, je paris que ma biographie sera un best-seller avec une enfance comme ça ! Bon la suite après la pause. Y a pas un truc à boire par ici ?
Un passage à l’âge adulte tout à fait normal…
Merci pour la boisson, je vais pouvoir enfin me désaltérer. On dirait pas mais parler autant ça donne soif. Où en étais-je ? Ah oui, mon arrivée au centre de soin. Il faut savoir que j’étais, la première personne connue qui avait survécu au bacille sans avoir pris de traitement. De plus, il incubait encore en moi donc il y avait risque de contamination. Donc pendant une demi-douzaine de mois, j’ai été mis en quarantaine où j’ai subi tout un tas d’expériences. Bizarrement, je ne leur en ai jamais voulus, en même temps je n’étais plus qu’une coquille vide. L’aiguille me traversant l’épiderme était la seule chose qui me rappelait que j’étais encore en vie.
Je vous l’ai dit que le bacille se nourrissait de notre « énergie ». Pour être plus précis il ingurgite des protéines se trouvant dans notre sang. Et c’est cette carence de protéine qui va entrainer la fatigue. Pourquoi ces détails ? Eh bien, pendant les premiers jours, on a constaté que je m’épuisais trop vite pour un garçon de mon âge. La corrélation est simple à faire, nan ? Il était encore en moi donc je fatiguais plus vite. Pour pallier ce léger handicap, j’avais le droit à une injection, tous les trois jours, qui me permettait d’avoir une activité normale. Ah, je vois que vous comprenez pourquoi j’ai toutes ces traces de piqûres sur le bras. A vrai dire je peux m’en passer sauf que j’aurai le coefficient de mobilité d’une larve…
Au final, ce n’était pas si horrible que ça en avait l’air. J’étais nourris et logé et je passais mon temps libre à bouquiner les ouvrages médicaux qui se trouvait dans ma chambre. Les tests épidémiologiques démontrèrent que le virus pouvait encore être transmis par mon sang. Cependant, suite au passage dans mon organisme, il s’était affaiblit et n’était plus considéré comme mortel. J’étais libre, je n’avais plus de passé et je pouvais donc devenir ce que je voulais. C’est à ce moment que j’ai voulu devenir médecin. Si vous me demandez pourquoi, je ne saurai pas précisément vous répondre. Peut-être le fait que si je l’avais été j’aurai pu la sauver… Ou juste que pendant six mois tout ce que j’avais pu lire étaient des manuels de soins.
Entre vouloir et pouvoir, il existe un énorme fossé. Dans les premiers temps, je traînais dans les bibliothèques à lire tous les livres ayant un rapport avec la médecine. Si on pouvait devenir docteur juste en amassant du savoir, il y en aurait beaucoup plus dans le monde. Cette vérité. Je l’ai découverte après deux mois de lecture intensif. La connaissance n’est rien sans savoir-faire. Il me fallait un professeur, une personne capable de m’enseigner le côté pratique du métier. Plus facile à dire qu’à faire… Quatre mois pour pouvoir trouver un mentor qui veuille bien me prendre sous son aile. J’en ai mis du temps… Faut avouer que la plupart demandait une petite subvention, je crois qu’en vendant un rein et mes deux bras j’aurai eu le compte. Alors pourquoi il m’a choisi ? D’un, c’est elle et de deux car je possédais un trésor unique. Rien qu’à vos yeux, je vois que vous mourrez d’envie de savoir. Pourtant je vous en ai déjà parlé... Le virus.
Un vaccin contre une maladie aussi meurtrière rapporterait gros. Et pour pouvoir en fabriquer un, il faut une forme peu virulente de la maladie. Elle avait sentis le potentiel qui résidait en moi. Quand je dis potentiel, c’est économiquement parlant. En accumulant, j’ai du passé trois semestres dans un labo de recherche à me faire prélever du sang. On peut dire que j’ai payé en nature. Pendant dix ans j’ai étudié comme un forcené, franchement ça n’a pas été une partie de plaisir. Le vaccin fini et près à être commercialisé, notre collaboration pris fin suite à l’obtention de mon diplôme. Hum ? Est-ce que j’ai fini ? Bon les 30 lignes sont largement dépassées mais je vous ai toujours pas raconté comment je suis devenue un terrible hors-la-loi, n’est-ce pas ?
Un révolutionnaire en devenir…
Je le suis devenu officiellement lors de la cérémonie d’introduction. Je n’ai jamais compris en quoi prêter serment devant une douzaine de vieux sénile, qui devaient passer plus de temps aux toilettes qu’au chevet des malades, faisait de moi un médecin accompli. Ma contribution au développement du vaccin me donna une certaine réputé. Une famille noble dont je tairais le nom, a même voulu m’embaucher comme médecin traitant. J’aurai sûrement atteint mon objectif de devenir riche en quelques semaines… Pourquoi j’ai refusé ? Un coup de tête, j’avais galéré pendant tant d’années pour pouvoir atteindre mon but en un si petit laps de temps, c’était inacceptable. Illogique ? Peut-être mais je vous l’ai dit je suis imprévisible.
J’ai commencé à exercer tranquillement ici et là. Une vie qui s’ancrait dans une routine un peu trop huilée à mon goût. Les gens payent pour être soigné, une partie de la recette partait dans l’achat de produit pharmaceutique qui était destiné à guérir d’autres patients. Un cycle vraiment ennuyant et contraire à ma vision de la profession et à mon rêve. Il fallait que ça change… J’ai commencé à aider les démunis, les déviants, les clochards et j’en passe. Le problème de la charité… Hé bien… c’est que ça rapporte que dalle. Je me suis mis à voler dans les réserves du centre médical, de petites doses afin que ça passe inaperçu. Comme ça marchait, j’ai continué à soigner sans distinction riche et pauvre. La population me prenait pour leur bienfaiteur, j’avoue que c’était une situation agréable. Oui, oui, j’arrive au dénouement…
Je l’ai dit tout à l’heure je n’aime pas quand tout se passe sans accroc. Il fallait que je fasse un coup encore plus énorme et j’avais ma petite idée. Un soir, je me suis introduit dans le laboratoire de mon mentor. Elle n’avait pas chômé, une bonne tonne de vaccin avait été fabriquée. Il m’a fallu la nuit pour tout déplacer jusqu’à la place de la ville. Pourquoi je l’ai volée ? Je sais pas, je l’aimais bien et je n’avais rien contre elle mais j’avais seulement envie de le faire. Quand je dis qu’il y a un sale gosse qui se cache en moi… J’en ai fait quoi ? C’est pas trop compliqué à deviner pourtant… Tout a été distribué gratuitement ! Des conséquences ? Carrément, qu’il y en a eu ! Ma combine a été mise à jour, on m’a radié de l’ordre des médecins et on m’a accusé d’acte contre le gouvernement mondial après mon arrestation. Puis il y a eu un énorme quiproquo, des révolutionnaires, me prenant pour l’un des leurs, m’ont aidé à m’évader et à fuir de l’île. C’est à partir de ce moment que j’ai été considéré comme révolutionnaire aux yeux de tous et que mon périple a commencé. Bon je peux partir maintenant ? Y a le monde qui m’attend.
• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]
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