Présentation d'Hermes (finie)

Prénom :Gennaro
Age : 18
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : Google
Combien d'heures vous vous connectez par jour :1h en semaine, quelques heures le week-end
Tes Mangas préférés : One Piece
Ton personnage préféré dans One Piece : Trafalgar Law
Ce qui t'as motivé à venir : Bonne impression de ce forum, envie de rp
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Un assez bon niveau, a fréquenté le fofo rpg Bleach d'un pote qui était assez bien
Hobbys : Football, Vélo, Lecture, Jeux vidéos vite fait et faire la fête avec ma meuf et des potes
Autre(s) : RAS

- Présentation du personnage -

• Prenom et Nom: Hermes Auondril

• Surnom (facultatif) : Le Sérénissime, Notaras

• Age : 27

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Révolutionnaire

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Médecin spécialisé dans les poisons

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Rien pour l'instant (Moku Moku No Mie pour après ?)

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Renverser le Gouvernement mondial pour instaurer une société égalitaire, devenir le plus grand médecin du monde.

• Code présentation :
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◘ Description Physique :La première impression que l'on a d'Hermes lorsqu'on le voit, c'est qu'il correspond un peu à "Monsieur tout le monde". De taille moyenne, mince sans être musclé, Hermes n'impressionne guère et son physique si simple ne respecte pas la complexité de son âme. Pour voir une certaine singularité dans son physique, il faut, pour l'observateur, s'approcher davantage de lui. D'une famille aristocrate du Royaume d'Alabasta, Hermes a appris à toujours être soucieux de son apparence. Son visage a des traits fins et harmonieux : ses cheveux sont d'un châtain foncé banal mais toujours bien coiffés en arrière ou avec la raie du côté droit; ses sourcils sont fins et ont une forme qui n'est pas sans rappeler le célèbre Mihawk. Ses yeux sont à l'image de son illustre famille, c'est à dire fins et témoignant d'un certain raffinement, mais, son oeil droit est un peu plus faible que le gauche et présente une surface d'un vert de jade sur une partie de son iris normalement marron. Pour palier cette faiblesse visuelle, Hermes porte un monocle, ce qui lui donne un air grave et sérieux. Son nez est fin et légèrement busqué. Sa bouche, fine et dont le rouge est blafard enlève toute vitalité de son visage, ce qui témoigne des dures épreuves qu'il a vécu. Toujours élégant, cet aristocrate s'habille toujours en costume noir composé d'un cardigan de velours, d'un pantalon classique, d'une chemise noire à col militaire, d'un chapeau haut de forme (qu'il ne met pas tout le temps) et d'une veste à manchettes d'amiral avec un brassard révolutionnaire sur la manche droite. Le seul détail atypique de sa garde-robe réside dans ses chaussures : en effet, au lieu de porter des chaussures qui iraient bien avec son costumes, Hermes porte des bottes de cuir noir ornées d'ailes. Il se déplace souvent à l'aide d'une canne dont le pommeau fait rappeler le Caducée, symbole de l'Ordre des Médecins; en outre, cette canne cache une lame secrète qui lui permet d'attaquer ses adversaires par surprise.

◘ Caractère & morale :Le profil psychologique d'Hermes est atypique et a progressivement évolué avec le temps vers plus de pragmatisme et de générosité. Lorsqu'il était enfant, il recherchait constamment l'évasion face au milieu autocratique et aristocratique de son père, ce qui l'amenait souvent dans les rues d'Alubarna où il découvrait les joies et les tristesses du peuple, la générosité et la pauvreté, le commerce prospère et la misère. Ce choc social fit naître dans l'esprit du jeune garçon un désir de faire naître une société égalitaire où les fléaux du peuple n'existeraient plus : il est donc, depuis son plus jeune âge, un idéaliste convaincu qui a foi en le progrès et la nature humaine. Lorsqu'il fut diplômé de l'Ecole de Médecine d'Alubarna, Hermes découvrit les idées révolutionnaires à travers les nombreux écrits laissés par le célèbre Monkey.D.Dragon et commença à devenir libéral et innovateur. Enfin, son évolution morale trouva son apogée lorsqu'il entra aux premiers contact de la mort en tant que médecin. Lui, qui croyait profondément en Dieu, s'estimait investi d'une mission envers les Hommes : puisque Dieu, face à la perversion de sa création, refusait de lui venir aide, Hermes se chargerait du salut de ses semblables sur Terre. Il refuse toujours la mort par maladie qui est, selon lui, le pire des châtiments lorsqu’elle frappe aveuglement tout le monde, sans distinctions de richesse, de condition sociale ou morale. Pour atteindre ses objectifs, Hermes peut se montrer sans pitié avec ses ennemis mais respecte les adversaires à leur juste valeur, ce qui peut l'amener à commettre de nombreuses erreurs comme épargner un assassin qui s'est bien battu contre lui et qui pourrait sévir ailleurs. [Minimum 5 lignes]


◘ Histoire : Un beau jour de janvier, dont nous ne savons pas précisément la date (la naissance ayant été enregistrée des mois après), naquit Hermes dans la grande demeure familiale. Son père, le seigneur Logan, voyait en Hermes l'héritier de leur noble famille et voulait lui donner une éducation stricte. A l'âge de 5ans, il fut envoyé à la Cour de la Reine Vivi Nerfertari comme page afin d'apprendre les usages et les moeurs de la haute-société d'Alabasta. Deux après, un précepteur lui enseigna de nombreuses langues et lui inculqua quelques rudiments en biologie car le jeune enfant montrait un grand intérêt pour les sciences. Bien que très bon élève, Hermes était curieux de voir à quoi ressemble le monde à l'extérieur des fastes et des richesses de la noblesse du royaume. Ainsi, il séchait souvent les cours pour aller voir ses amis et traîner dans les rues d'Alubarna. Un jour, l'un de ses camarades vola une pomme sur l'étale d'un marchand mais fut pris la main dans le sac : le marchand pris un sabre et voulu couper la main du pauvre enfant lorsqu'une main le stoppa. L'homme qui avait sauvé l'ami d'Hermes n'était autre que le serviteur de son père, Lukas. Ce-dernier aperçu alors Hermes et lui dit, un peu paniqué, de rentrer tandis qu'il paierait la pomme volée au marchand. Même après cet épisode fâcheux, Hermes continua de vagabonder dans les rues jusqu'à environ l'âge de 17 ans où il rentra à l'Ecole de Médecine d’Alubarna.
Durant ses études, Hermes fit la connaissance du réseau étudiant « Les Fils de la Liberté » qui était un courant philosophique animé des pensées de Monkey.D.Dragon. Bien que réticent au début, le souvenir de la pauvreté du peuple et des inégalités sociales le firent adhérer au réseau : il se révéla dès lors un militant de l’ombre, sans que son père ne se doute de rien durant près de 6 ans. Une fois devenu médecin, il commença sa lutte interminable et désespérée contre la mort, pour l’Homme. Chaque jour, il écumait la ville pour aller voir ses patients, chaque jour, il sauvait des vies, en perdait, en donnait. Un jour, il fut envoyé en mission dans un village perdu dans le désert, au Sud de Katorea, afin d’aider des populations privées d’aides médicales. Lorsqu’il arriva dans le village, il visita toutes les maisons mais ne trouva pas les habitants. Il aperçut alors des traces de roues qui marquaient le sable et décida de les suivre. Au bout de quelques heures, il découvrit un convoi de la Marine qui emportait les habitants du village dans des charrettes à bestiaux. S’apercevant que le convoi s’était arrêté, Hermes se présenta au Commandant des troupes de la Marine afin d’avoir l’autorisation d’examiner les prisonniers Il apprit alors, d’après le Commandant, que les habitants avaient caché de dangereux pirates et qu’ils devaient être jugés pour ça. Hermes ne prit pas attention aux remarques de l’officier et commença à ausculter les malades. L’un d’eux, un vieillard maigre et édenté, retint son regard. Il semblait cacher quelque chose dans sa sacoche et demandait au jeune docteur d’approcher. Une fois en face de lui, Hermes soigna les quelques blessures du vieillard et ce dernier lui fit alors une confidence étonnante :
-« Hmm Monsieur le docteur, je voudrais vous que moi et mes amis ne sommes en aucun cas responsables des crimes dont on nous accuse…Voyez-vous, des pirates sont venus dans notre village et nous ont pris en otage. Ils sont restés près d’un mois, et sont partis attaquer un camp de la Marine…On nous a alors accusé de ne pas les avoir avertis et d’avoir caché ses malfrats ! Bon, ce n’est pas grave, au point où j’en suis. Si vous pouviez libérer mes camarades ça serait bien, il y’a tant de femmes et d’enfants qui méritent de vivre ici. Faites-le et je vous donnerai un cadeau très spécial. »
Le jeune docteur accepta la proposition du vieillard et, la nuit tombée, il sortit de la tente que la Marine avait installée pour lui et se dirigea vers les cages. Il ouvrit une à une les prisons puis alla déposer les clés sur le bureau de l’officier. Les prisonniers s’élancèrent alors vers les tentes des soldats et engagèrent un violent combat contre les soldats de la Marine. Le vieillard, le sourire aux lèvres, tendit une sacoche au docteur et en sortit un flacon étrange :
-« Tiens, prend ceci, je suis sûr que ça te servira ! Je l’ai volé à l’un des pirates de la dernière fois. Merci ! »
Le docteur Auondril, prit le flacon dans ses mains : il était étrange mais attirant en même temps, il n’avait jamais vu une telle couleur de toute sa vie, même après avoir étudier les poisons durant des années. Il ouvrit le récipient et le sentit... C'était un somnifère très puissant selon lui, presque mortel à forte dose ! Hermes pourrait s'en servir en cas d'affrontement. Après avoir salué le vieillard qu’il avait libéré, se jeta sur le champ de bataille dans le but de trouver un cheval et retourner à Alubarna. Alors qu’il se dirigeait vers l’écurie de campagne, un coup de sabre faillit lui trancher la tête. Il s’agissait du Commandant des Marines, le sabre à la main et la tête en sang, qui était décidé à rétablir l’ordre dans son camp. Hermes sortit son épée cachée dans sa canne et affronta le Commandant. Cependant, ce-dernier était bien plus fort que le docteur et le propulsa au sol. L’officier brandit alors son sabre et trancha Hermes au niveau du ventre. Heureusement, la blessure n'avait pas touché les organes vitaux. Furieux, l’officier tenta d'achever e jeune médecin avec un coup d'épée à la verticale terrible mais Hermes prit le flacon que le vieillard lui avait donné et le lança sur le sabre. Le flacon vola en éclat et se répandit sur la tête du Commandant qui vacilla et tomba en arrière, inerte. Hermes profita de ce moment de répit pour désarmer son adversaire et s'enfuir vers l'écurie de campagne. Il prit alors un cheval et s’échappa vers Alubarna.
Une fois arrivé en ville, il accourut vers le manoir familial. Il informa Lukas de son départ pour le Nouveau Monde afin de lutter contre le Gouvernement Mondial : le serviteur devait dire à son père que le jeune médecin partait en voyage d’étude à travers le monde. Lukas aida alors Hermes à faire ses valises et apprêta un carrosse pour faire route vers le port le plus proche. Hermes fit ses adieux à ses chers parents, sont petits frère Eugenio, Lukas et s’en alla. Après une demi-journée de route, il arriva dans un port où il acheta un bateau à un grand armateur et il se lança sur les flots à la recherche d’autres révolutionnaires.
[30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]



• Exemple de post RP :Tous autour de moi croisaient le fer et, au milieu des étincelles et des éclats métalliques du combat, j’aperçu une porte dérobée qui pourrait peut-être me permettre de m’échapper de cet Enfer. Soudain, quelqu’un me prit par le bras et s’élança avec moi vers la bataille. Tombant par terre, je manquai de me faire transpercer par des pieux fixés de part et d’autres du fossé dans lequel nos ennemis s’étaient retranchés. Le type à côté de moi tirait dans tous les sens et semblait charger vers la tranchée : je décidai alors de le suivre. D’un saut, je pénétrai au cœur du boyau ; d’un coup rapide sur la nuque, j’assommai le soldat adverse qui me tournait le dos. Cette irruption spectaculaire m’avait attiré les foudres de mes ennemis, tous se jetaient sur moi désormais ! Je pris mon épée, sans la sortir de son fourreau cependant, je frappai un soldat à la mâchoire avec et je luis dérobai son pistolet avec lequel je tirai sur deux de mes adversaires, que je ratai lamentablement. En me servant de ma première victime comme bouclier humain, je reculai doucement vers un abri situé dans le boyau de la tranchée. Au moment où je déposai la dépouille de mon « sauveur », je reçu un coup à la tête et je m’effondrai sur le sol, perdant connaissance.
Lentement, je repris connaissance et j’analysai l’environnement dans lequel j’étais. Les mains ligotés, assis sur une chaise de bois inconfortable, je me trouvai dans une sorte de cachot humide et sombre dans lequel aucun signe de vie n’était perceptible. Tout à coup, une porte s’ouvrit devant moi et un jet de lumière venant de l’extérieur m’aveugla, tandis que deux silhouettes entèrent furtivement dans la pièce. L’une d’elles s’avança vers moi et me prit les cheveux très violemment. Cette ombre était le Commandant en chef des troupes ennemies….la roue du destin semblait tourner du mauvais sens avec moi. D’une voix calme, presque rassurante, il me demanda mon nom et mon grade. Je restai silencieux. Il ordonna alors à l’autre silhouette de m’apporter à boire. Je n’avais pas soif mais, je me sentais la gorge sèche : j’acceptai donc le « cadeau » de mon hôte. Je dis à mon interlocuteur que je voulais que l’on desserre mes liens, mais aussi où nous nous trouvions. La silhouette derrière le Commandant en chef rigola puis me fit boire un peu d’eau en me disant que l’on se trouvait sur le vaisseau amiral des forces de la Coalition (plus précisément dans la calle à munition) et qu’il était hors de question qu’on me libère de mes liens si serrés. Désespéré, j’envisageai alors un plan qui pouvait me délivrer mais le tuer…Je sentais la poudre dans la pièce et, avec mes pieds, je touchai cette matière qui fait « Boom ». Glissant ma main dans la poche arrière de mon pantalon, j’en retirai des allumettes. Frénétiquement, j’allumai une allumette et la jetai au sol. Les deux silhouettes présentes dans la salle virent alors avec stupeur la salle s’illuminer d’étincelles fonçant …droit sur les barils ! Esquissant un sourire, j’attendais l’explosion fatale qui allai m’emporter moi et mes ennemis. Quelle belle mort non ?
[Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]

Bonsoir!

Tu n'as pas le niveau qu'il faut pour avoir un fruit de lvl 8. Il serait donc bon de changer la fin de ton histoire. De plus, je rappelle deux choses:

-Les PNJs ne sont pas des bagages à XP, donc pas poutrable à volonté et avec les mains dans le dos.
-En ayant tout juste avalé un fruit, le perso ne le maîtrise pas totalement, il faut de l'entraînement.


Pour finir, il y a quelques petites fautes, fait attention et utilise un correcteur sur le net si tu as du mal.
Merci de prévenir une fois les changements apportés.

Ok

J'ai modifié ma présentation

Bon, le coup du somnif' pour réussir à combattre un commandant, c'est une pointe abusée mais ayant pris la fuite, on ne peut pas trop parler d'abus de PNJ.


Je valide rang 1.

Merci beaucoup

Validé!