[Validée]Dylane Suzuki

~~~~~~~~~~Présentation du Joueur ~~~~~~~~~~

Prénom: Sarah

Age: 19 ans

Sexe: Féminin

Comment avez vous connu le forum? J’étais sur la version précédente

Combien d'heures vous vous connectez par jour? Une heure

Tes Mangas préférés: One Piece, Naruto, Bleach, Angel Sanctuary, Hellsing

Ton pirate préféré dans One Piece : Ace <3

Hobbys: Glaces!

Autre: No.

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prénom : Suzuki Dylane

Pseudonyme : --

Age : 21 ans

Race : Humaine

Occupation : Gouv. Mondial

Rang Spécial : Secrétaire, CP9

Métier : --

Physique : Difficile de décrire cette petite brune aux atouts charmants. En fait, Dylane n’est pas vraiment très grande. Approchant le mètre soixante, elle a toujours trouvé qu’au contraire, les autres étaient trop grands et qu’elle avait la taille parfaite pour une jeune femme. D’allure sereine et reposante, on trouve dans son visage des traits particulièrement délicats et fins semblables à ceux d’une porcelaine finement travailler. Ses airs exotiques ne laissent aucun doute sur ses origines assez lointaines, et elle est plutôt fière de son petit minois qu’elle se plaît à retrousser à toutes les sauces, pour la moindre mimique. Quant à son corps, il ne sera pas bien compliqué de dire à quel point il est fait de courbes agréables pour une silhouette charmante. Elle possède un tatouage étrange surtout la surface de sa cheville droite.



Caractère & Morale : Dylane est vive, alerte, enjouée et particulièrement communicative. Charmante et élégante, elle cherche à plaire ainsi qu'à faire plaisir. Elle apparaît extravertie et a besoin des autres pour se sentir exister. Douée de facultés d'élocution et d'expression, elle adore être en représentation, parler et échanger ses idées. Elle est spirituelle et éprouve un plaisir certain à amuser son entourage. Excellente comédienne, adaptable, capable de mimer les défauts d'autrui, elle possède un esprit critique et un sens aigu de l'observation. Rapide et maligne, elle sait facilement se tirer d'embarras. Elle est curieuse et intéressée par tout, ce qui peut la conduire à une certaine instabilité. À l'affût d'horizons nouveaux, elle a le goût des voyages. Elle n'engendre guère la mélancolie, aime le jeu et les amusements. Quelque peu vaniteuse parfois, elle n'hésitera pas, s'il le faut, à s'adresser des compliments à elle-même. Pourtant, elle parfois capable d’un sérieux déconcertant mais rare. Et là est la contradiction qu’a tout un chacun. Dylan saura volontiers faire preuve de retenue et d’adresse en ce qui concerne ses sentiments si bien qu’on ne sait jamais vraiment qui est Dylane, comédienne enjouée ou véritable machine de sérieux. Seul le fait de rentrer dans son entourage proche pourrait éclaircir le voile d’épaisseur entourant sa personnalité.

Fruit du Démon : --

Techniques Spéciales :

Histoire :

Vous savez, dans l’Océan, il y a beaucoup d’îles : de très grandes que l’on repère facilement et connues de tous et puis de plus petite abritant une population moindre qu’on ne remarque que très peu…à part si au détour d’un voyage où nous sommes désorientés, le Destin décide de nous y mener. Et c’Est-ce que le destin fit pour Mayfair Shia, pirate de moyenne renommée qui guidait alors son équipage dans les îles de South Blues. Après un long et périlleux voyage, Shia décida qu’il était temps pour son équipage et lui de faire une petite pause sur la première île venue. Cette île n’avait pas de nom, et encore aujourd’hui, elle restait sans nom. Et pour dire elle n’était peuplée que d’artisans, paysans et fermiers. Chacun y menait sa vie, et son travail dans le petit bourg au Sud de l’île là où le port était construit. Ces gens-la ne connaissaient que trop bien les pirates, même plus que la Marine qu’ils ne voyaient que peu souvent. Et comme à chaque fois qu’ils voyaient un bateau pirate, chacun en allait déposer une pièce de son artisanat en espérant que cela suffise et que les pirates ne mettent pas la ville à feu et à sang. Shia fut donc étonné d’être reçu comme un Dieu. L’accueil lui plut si bien qu’il décidât de laisser les habitants en vie : chose très rare. Cependant, autre chose lui plut sur cette île, et elle se nommait Dana, fille du Maire de cette petite bourgade. En fait, Dana ne ressemblait en rien aux habitants de cette île et encore moins à son père. Elle était jolie, mais ce n’était pas la seule chose qui incita Shia à la dérober une nuit sans lune et la forcer à venir vivre à bord de son navire de pirates. La jeune femme avait pris son enlèvement de la façon la plus naturelle qu’il soit, et avait accepté d’être traitée comme une Reine à bord du bateau. Pourtant, elle n’aimât jamais autant que lui ne l’aimât, et ayant partagé sa couche à de nombreuses reprises, par simple espoir qu’il la laisse tranquille un jour…l’occasion se présenta de fuir. Et ce ne fut qu’en arrivant aux abords de Shell Town, que le capitaine Mayfair commit sa première erreur. Celle, de s’approcher d’une île appartenant à la Marine. Que voulez-vous la vigilance des meilleurs était rendue à sa plus grande inefficacité quand l’amour d’une femme occultait les sens. Il ne fallut pas bien longtemps avant qu’ils ne soient encerclés par la Marine, et arrêtés. Quelle simple et bête petite erreur dont personne ne chercha la cause. Seule Dana, usa de son charme et de sa prestance pour s’en sortir. Après tout qui était-elle, elle, une simple prisonnière à part une victime de l’ignoble piraterie arrachée à sa famille. Le Lieutenant Suzuki l’accueillit et comme par une soudaine magie, elle tomba sous son charme de Marine. Ken Suzuki était un redoutable combattant, aimé par la gente féminine et pourtant sérieux et sobre. Il comprit tout de suite que Dana était la femme parfaite qu’il lui fallait. Il l’épousa donc alors qu’elle apprenait être enceinte de Shia le pirate. Et comme chaque femme, possédant une perfidie innée, c’est avec un grand sourire qu’elle fit croire à son nouvel époux que l’enfant qu’elle portait venait de lui.

Et de là naquit la petite Dylane, aussi belle que sa mère, aussi charismatique son père. Elle grandit non loin de la base. Et tout, je dis bien tout, prédestinait Dylane à une vie d’enfant gâtée, qui ne manquerait de rien. Seulement, il arrivait parfois que tout ne se résume qu’à rien. Le Lieutenant Suzuki mourut lors d’une bataille et sa mère, folle de chagrin se laissa dépérir sous ses yeux pour finir par s’éteindre alors que Dylane soufflait ses six bougies. C’était si simple, un homme mourait bravement au combat et sa compagne, liée à lui par un amour sincère, s’éteignait tristement à son tour. Et que restait-il de l’enfant ? La Marine, malgré le sacrifice de son père, ne s’en occupa point et elle fut recueillie par un vieux détraqué qui se disait être…cuisinier. Il avait un restaurant qui bordait le port, et avait trouvé Dylane errante dans les poubelles un soir d’hiver. Et ce qui obligea le vieux à la prendre sous son aile ce n’était pas son joli minois, ou encore ses petits rires mignons mais bel et bien ce tatouage à sa cheville qui représentait comme…une carte. C’était en éclatant de rire qu’il la prit sous son aile. Le seul problème était que ce vieil homme n’était pas vraiment…cuisinier, mais plutôt un Ancien Agent du CP9. Bien, jusque là, Dylane s’en foutait pas mal, elle avait dix ans lorsqu’elle entendit le mot CP9 et ne s’en alarma pas le moins du monde. Après tout c’était un nom joli, qui résonnait bien aux oreilles. Cependant, que Le Vieux décida qu’elle ferait une succession géniale, et qu’il pourrait prendre sa retraite plus vite en soumettant une super recrue, là elle dut se résigner…à y faire davantage attention.

Dylane n’était pas faible, on pouvait même dire qu’elle avait des capacités mais qu’elle ne savait pas s’en servir. Elle maîtrisa avec Le Vieux le combat au corps à corps à la perfection, menant de véritable danses lorsqu’elle combattait ainsi, faisant preuve d’une souplesse remarquable.
C’était sa seule arme. Elle ne savait utiliser ni armes à feu, ni sabre et Le Vieux savait que CELA allait engendrer quelques réticences au niveau du CP9. Et il eut raison car quand elle fut soumise aux premiers tests, à l’âge de dix-sept ans, la seule chose qui impressionna et rattrapa ses lacunes dans les autres domaines fut sa maîtrise accablante du corps à corps et pourtant Le Vieux insistait : elle avait des capacités mais ne savait toujours pas les utiliser malgré les démonstrations fulgurantes.
Et ces premières années au CP9 furent un véritable calvaire. Reléguée aux petites tâches sans importance, à la paperasse, à l’administration, elle s’ennuyait n’attendant que le jour où ENFIN elle pourrait avoir quelque chose qui portait le nom de grade. Mais tous savaient qu’elle était réticente à écraser une mouche alors tuer un homme…voir plusieurs. Et, lorsqu’elle fêta ses dix neuf ans, un Agent de son âge, décida qu’il était peut-être temps pour Miss Cata, d’apprendre à voir la mort, même mieux la donner. Il l’amena avec lui lors de diverses assassinats, l’obligea à assister à toutes les missions qu’il perpétra. Et plusieurs fois Dylane en était restée sans voix. Alors c’était comme CA, faire la guerre aux pirates. Finalement, elle pourrait peut-être bien essayer. Quand bien sûr, on aurait décidé qu’elle sorte de la paperasse.

Rêve / But : Avoir un grade.

Post RP :

« Procès, procès… »

Elle laissa retomber la dernière feuille sans même y jeter un regard.

« Et procès…toujours. »

Assise derrière un petit bureau, elle soupira simplement. Elle avait une grande envie de thé. Mais tout d’abord, il fallait tamponner ces foutus arrêtes du sceau de l’Administration de la Marine et les faire parvenir au Grand Manitou pour qu’il les signe de sa main. Rien de bien nouveau sous le Soleil, en définitif. Et ce ne fut que l’appel du thé qui força Dylane à finir son travail de secrétaire. Le seul mot de secrétaire d’ailleurs déclenchait chez elle des fous rires incroyables. Si bien qu’en entrant dans le petit bureau de « La Secrétaire », comme tout le monde l’appelait ici, le l’Agent Obun fut particulièrement dépité par le spectacle affligeant qui s’offrait à lui : Dylane morte de rire sur son bureau.

« Je peux repasser après la crise. » fit-il encore la main sur la poignée prêt à refermer la porte.

La voix du séduisant Obun, celui qu’elle appelait « Ange-Gardien », la calma immédiatement et elle eut un doux regard rêveur en le contemplant pour la énième fois. Alors que lui s’impatientait, totalement insensible au charme de la jolie Dylane. Il attendait plutôt une réponse, ou un accueil digne de ce nom qui finit enfin par arriver. La jeune femme sauta de son siège, avant de le saluer comme il se devait avec le plus de respect possible. Elle aussi alors finit par attendre après ses salutations, le cœur battant. Elle espérait qu’Obun recommence à l’emmener secrètement en mission avec lui ou qu’il passe juste pour prendre de ses nouvelles.

Ainsi, ne fut-elle pas dépitée en apprenant qu’il passait simplement récupérer un dossier. Et qu’il avait besoin d’elle pour ouvrir la salle des Archives. La mine boudeuse, elle ouvrit un tiroir, et en sortit un trousseau de clé bien plus grand que sa propre tête. Puis, par-delà dédales de couloirs et d’escaliers, marchant silencieusement devant Obun, elle arriva devant les immenses portes de la salle des Archives. Essayant diverses clés, car bien évidemment, elle ne se rappelait jamais laquelle fonctionnait pour les Archives : elle ouvrit. L’Agent emboîta son pas, toujours silencieux, tandis qu’elle allumait les lumières pour découvrir des rangées et des rangées de dossiers tous classées dans des étagères immenses, nécessitant bien plus d’une échelle pour atteindre le sommet.

ET LA, Dylane sentit son mètre soixante. Voilà pourquoi, elle détestait cette salle un peu trop gigantesque à son goût et elle soupçonnait là une mauvaise blague d’Obun. Mais en contemplant plus sérieusement le visage du jeune homme, il était sérieux, très même. Elle fit une sale mine, qui lui allait pourtant fictivement bien et ce fut ce que pensa Obun avant de penser à autre chose gêné. Elle chercha donc le dossier, monta sur l’échelle manqua par deux fois d’y tomber. Et finalement, arriva à tomber, petit stratagème pour qu’Obun la rattrape comme un Chevalier servant. Mais pensez si cela à fonctionner. Elle chuta de quelques mètres pour atterrir lourdement au sol, le percutant de plein fouet sous les yeux d’un agent totalement indifférent. Il ne fit que se pencher sur elle et enfonça son index dans la joue de la belle pour la réveiller de son inconscience soudaine.

Elle se redressa rapidement et dans un réflexe lui envoya son poing dans la figure. Avant de lisser son uniforme impeccable, et de remonter à l’échelle alors que le pauvre Agent se remettait à peine du coup qu’il venait de recevoir. Se reprenant, il décida cette fois-ci, ayant retenu la leçon, de tenir l’échelle à Dylane. Et en relevant la tête, juste pour voir si tout allait bien, Obun rougit. De cet angle de vue en particulier il pouvait discerner la petite culotte de Miss Cata sous sa jupe d‘uniforme. Absorbé dans sa contemplation, il ne vit pas venir…le dossier qu’il avait tant réclamé. Et BAM, en pleine face.

Dylane redescendit alors comme si de rien était, avant de quémander son « Merci », se penchant à son tour sur un Caporal assommé. Elle lui laissa donc les clés avec dédain, et ce petit air supérieur qui lui allait aussi bien, avant de dire :

« Vous n’oublierez pas de refermer les portes derrière vous et de ramener ces clés au bureau, merci Agent Obun ! »

Alors, elle se dépêcha d’aller faire son thé. En sifflotant, ne manquant pas de saluer les autres Agents, visiblement de meilleure humeur qu’elle ne l’était. En sifflotant, ne manquant pas de saluer les autres Agents, visiblement de meilleure humeur qu’elle ne l’était. Elle revint alors dans son petit bureau coquet, avec sa tasse de thé odorante et qu’elle ne fut pas sa terreur en découvrant….LA pile de dossier du siècle sur ce même petit bureau qui menaçant de s’effondrer sous le poids de la paperasse. Son thé eût un alors un goût assez amer, tandis qu’elle posait furieusement la tasse sur une étagère et qu’elle retroussait des manches qu’elle n’avait pas pour s’emparer de tout ça et…le foutre à la poubelle.