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| Sujet: [Présentation] Caezar Okumura Mar 27 Nov 2012 - 19:29 | |
| - Présentation du joueur IRL - Prénom : DamienAge : 15Homme/Femme/Okama : HommeComment avez vous connu le forum : GoogleCombien d'heures vous vous connectez par jour : 1h au moins, jusqu'à 2/3hTes Mangas préférés : Bleach, One piece, Fairy Tail, Beelzebub, ...Ton personnage préféré dans One Piece : PandamanCe qui t'a motivé à venir : J'recherchais un forum rpg, en plus de celui où j'suis déjà. [b]Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : 2/3 mois, mais j'ai un niveau potable (En fait, c'est à vous d'en juger haha ^^)Hobbys : Basketball, PS3, Minecraft, ...Autre(s) : /- Présentation du personnage - • Nom & Prenom : Caezar Okumura• Surnom (facultatif) : / • Age : 22 ans• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate•Prime : 8 millions ce serait pas mal, mais si vous jugez que ma préz' en vaut la peine...(Si pirate ou révolutionnaire, selon votre rang de validation vous aurez l'occasion de commencer avec une prime dont le montant est de 12 millions maximum, 4 millions par rang accordé à la validation.)• Orientation psychologique [i](bon, mauvais, indifférent, ...) : Stupide, bon. Parfois cruel.• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Navigateur• Pouvoir demandé (Fruit du Démon) : Benri Benri No Mie : (Paramecia de l’origami). Permet à l’utilisateur de devenir une grande feuille de papier et de se plier à volonté pour faire des formes géométriques ou autres. L'utilisateur peut utiliser le tranchant de sa feuille pour attaquer assez efficacement. • Rêve(s)/But(s) du personnage : Devenir riche, être redouté (classique hein...)• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] à mettre entre balises
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◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]
Grand, beau, sublime, attirant, ... Tant de choses qu'il se dit dans sa tête. Du haut de son 1 mètre 85, il se permet de regarder les gens de haut (rassurez-vous, les habitants de son île natale ne sont pas des nains).
D'où son surnom, Caezar porte des lunettes. Il dit souvent : "ça me donne un petit air sérieux qui fais craquer les filles". Ses montures, noires, sont de forme rectangulaire. Il ne les quitte jamais, sauf quand il vas se coucher. Quelle horreur si elles se brisaient, et surtout, si elles blessaient son beau visage par la même occasion ! Ses lunettes sont là à but (presque) totalement décoratif. Il ne souffre d'aucun trouble de la vision. En parlant de vision, parlons de ses yeux. D'une belle couleur bleue, il les qualifie d' "aimant à femmes" (ça ne fonctionne pas vraiment selon certains dires). Ses iris, noirs, conformément à tous les humains, deviennent rouges lorsqu'il s'énerve, selon certains. Ce ne sont peut-être que des rumeurs...
Parlons de son physique, en partant de sa tête jusqu'au bout de ses orteils, en passant pas son... enfin, on a compris. Ses (magnifiques?) cheveux, qu'il prends tous les jours plus d'une heure à coiffer (pour pas grand chose...) sont mi-longs et noirs. Il les coiffe d'habitude de façon a cacher son oeil droit. En effet, symétrie est un bas mot pour lui.
Son visage est très fin. Son nez est légèrement relevé et n'a jamais été cassé (Ah, quel bonheur de pouvoir courir vite...). Sa bouche reste très fine, comme le reste de son visage. Son menton est un peu pointu, et pas très prononcé. Malgré son âge, Caezar est imberbe. Pas un poil ne pousse sur son visage.
Le reste de son corps reste dans le classique : Il est de taille moyenne, musclé (mais pas trop) et ses membres sont fins. Il est plutôt léger, du haut de ses 75 kilos. Il n'a pas un physique bien effrayant, mais il faut s'en méfier.
En effet, il n'en a pas l'air mais Caezar peut être dangereux lorsqu'il a un but précis en tête. Ses armes ? Son style de combat, qu'il appelle "Smashed Brain" est plutôt rudimentaire mais efficace une fois armé de son pistolet Pugno. Sous le canon de ce pistolet se trouvent des décorations en forme de rouages. Ces décorations, pointues, servent surtout à Caezar lorsque son adversaire s'approche pendant qu'il tire. Un coup sur la tempe puis un sur le nez, le tour est joué.
L'accoutrement de Caezar n'est pas des plus communs, mais il n'est pas exceptionnel non plus. Il porte une chemise noire toujours bien repassée qui déborde de son pantalon. Par dessus cette chemise, il porte une cravate grise et blanche en partie attachée. Selon le temps qu'il fait, il peut revêtir une longue veste grise munie d'une ceinture servant à transporter des balles spéciales de pistolet par dessus sa chemise ou une veste épaisse à capuche lorsqu'il pleut ou qu'il fait trop froid. Il porte habituellement un pantalon gris, retenu par une ceinture ornée d'une boucle d'argent. Ses chaussures sont faites de cuir toujours brillant, et il s'en sert avec joie pour fracasser le crâne de ses adversaires lorsqu'ils touchent le sol. Toujours habillé avec classe et avec des habits de grande valeur, ce binoclard...
◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]
Au premier coup d'oeil, on pourrait croire que Caezar est un homme froid et sérieux. Son caractère, tout aussi facile à comprendre qu'une des explications d'une exploratrice appelée Dora, est essentiellement axé sur le narcissisme.
Donnons la définition de narcissisme : Admiration de soi-même. Ensuite, celle d'admiration : Sentiment éprouvé face à ce qui est grand, beau ou qui est l'actualisation d'un idéal. Donc, en fusionnant tout ça, ça donne : Sentiment éprouvé face à soi même, qui est grand, beau et qui est l'actualisation de mon idéal. Voilà une bonne définition du narcissisme de Caezar. Il y a bien d'autres choses que le narcissisme comme trait mental de Caezar, comme l'arrogance (une autre forme de narcissisme), mais son amour pour lui même n'a pas d'égal. Il méprise les laids et les handicapés (oh le méchant !) et ne cesse de se vanter, ce qui n'a pas l'effet escompté : au lieu de séduire les femmes, il les répugne.
Pour employer des méthodes aussi misérables pour conquérir la gente féminine, il faut forcément être stupide. En fait, Caezar est stupide. Si on devait associer un animal à son cerveau, on pourrait donner comme exemple le poisson rouge, le poulpe et l'huitre, qui n'a pas de cerveau (selon lui). À l'école, il ne valait rien pendant les cours. Si bien que sur son bulletin, on voyait en rouge et en grand : "MENTALEMENT ABSENT", et ce chaque année.
Outre ses (énormes) défauts, il peut parfois se montrer sérieux. Il faut bien ça pour qu'il soit un peu crédible... Lors de combats par exemple, grâce à son entraînement strict, il est sérieux et concentré. Sa réputation de mec stupide est un grand avantage au combat, car l'adversaire ne s'attend pas à le voir devenir sérieux. Selon certains de ses adversaires, Caezar deviendrait une autre personne lors des combats, mais ce ne sont que des rumeurs...
Les personnes qui le connaissent bien sont les seules à voir un petit recoin de sa personnalité qui reste caché au monde : son humour. Bien que noir ou complétement nul, son humour reste présent. Blagues sur les handicapés, sur les laids, sur les morts, ... On s'en lasse parfois mais par moment, ce petit humour remonte le moral de ses amis, qui se disent bien souvent : "Au moins, j'ai de meilleures blagues que lui." Niveau humour nul, on peut compter les blagues sur les blondes, sur le mariage, ... Il a sa panoplie prête à vous faire mourir de rire ou à vous faire pleurer de honte.
◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]
CHAPITRE 1 - Enfance et maltraitances.
Un matin ensoleillé, pendant la période caniculaire, je suis né. Ma mère était une brave marchande de Karatoké. Elle vendait des légumes et des fruits, mais ils étaient tellement dégoûtants que personne ne les achetait. Un pirate, un jour, a acheté tout le stock de légumes. En joie, ma mère l'a invité à manger chez eux, mais le pirate avait une tout autre idée en tête. Une fois la porte verrouillée, il a frappé ma mère et lui a prit le peu d'argent qu'elle avait. Pas content de l'argent, il décida de violer ma mère. C'est ainsi que je suis né, d'un père violeur et d'une mère pauvre.
Inutile de vous dire que ma mère avait honte de moi, mais je comprenais. Je grandis donc dans une cabane toute rafistolée dans une petite ruelle de Karatoké. On ne peut pas dire que j'étais malheureux, car ma mère n'a pas eu le temps de me tuer et de se donner la mort. Le professeur de la petite école où j'étudiais décida de me prendre en charge. Ma mère avait l'air contente.
Ce professeur s'appelait Andy Kappé. Au fil des années, le prof m'aimait de moins en moins ; déjà qu'il avait un minuscule salaire, avoir un enfant sous sa tutelle... Le jour des mes 7 ans, il en avait eu tellement mare de moi qu'il me jeta par la fenêtre de ma chambre. Heureusement, une charrette marchande passait juste en dessous et je tombais dedans. Une fois qu'elle m'eut sorti des pastèques qui étaient maintenant en petits morceaux, la marchande m'amena chez elle.
Cette marchande habitait de l'autre côté de Karatoké, du côté des académies d'escrime. Après plusieurs heures de voyage et de discute, nous arrivâmes à sa maison. Une maison modeste mais que ni le prof ni ma mère n'aurait pu se payer. La femme avait des connaissances à l'académie d'escrime et elle décida de m'y inscrire, pour que je me muscle un peu.
- Tu n'as que la peau sur les os ! Cette formation vas sûrement te muscler et te rendre irrésistible !
Et c'est ainsi que je commençais ma formation a l'escrime et que mon narcissisme fit surface, à l'âge de 7 ans.
CHAPITRE 2 - Le commencement du brigand.
Quelques années sont passées, j'ai 12 ans. Ma mère adoptive manque d'argent pour me nourrir et je prends une initiative : je vais commencer à voler. Voler dans le sens prendre sans permission. J'ai déjà commencé avec un de mes amis, Taïr Lenn. Il a un talent fou pour le vol à la tire et est sans doute plus discret que moi. Il m'a formé, tous les jours, après les cours d'escrime.
- Quand tu vois un type qui porte des lunettes, c'est qu'il a du fric. Même un peu hein, mais c'est toujours ça de pris. Essaie de lui chouraver ses bijoux s'il en a, et si t'a des couilles pique lui ses lunettes.
- J'vais me faire choper et s'il m'attrape, je suis mal. J'ai pas envie que mon 3e parent adoptif me jette par la fenêtre, hein...
- Bon, regardes et apprends.
Taïr se faufila contre le mur et se dirigea du côté du marché. Je le suivit en étant le plus discret possible, mais je n'ignorais pas les yeux qui me fixaient avec étonnement. Une fois sur la place du petit marché, pleine a craquer, je restais à l'écart. Taïr, lui, se dirigea vers un homme portant des lunettes et avec des bijoux partout. Il s'approcha de lui, passa rapidement sa main dans sa poche et en sortit une bourse pleine. Il la cacha dans sa propre poche et arracha les lunettes du nez de l'homme. L'homme se retourna mais ne vit pas Taïr, qui s'était jeté sous un étal de fruits. L'homme accusa un autre gamin qui s'amusait avec sa peluche. Taïr revint vers moi en ricanant et me colla les lunettes de l'homme sur le nez.
- C'est pas si difficile. Tu veux essayer ?
- Ok, ok. Pourquoi pas ce mec là, isolé.
Taïr sourit et me souhaita bonne chance. Je me faufilait derrière les étals de marchands et arrivait derrière ma cible. Je lui fit les poches lentement et sans faire de gestes brusques. Je transpirait tellement que j'avais peur qu'il sente mon odeur et se retourne. Enfin, je me retournais quand je me rappelais un truc ; il ressemblait à mon ancien prof, qui m'avais balancé par la fenêtre. Dans un mouvement de colère, je sortit mon épée en bois qui me servait aux entraînements et frappait le prof sur la tête. Je m'enfuis donc de là et me retournais, une fois hors de vue du prof. Il étais étalé parterre, du sang lui sortant de son nez qu'il s'était cassé en tombant.
Le lendemain, il était revenu sur la place marchande, mais avec un bandage autour de la tête. Inutile de dire qu'il se méfierait et qu'il n'oublierait plus de regarder derrière lui, à l'avenir.
CHAPITRE 3 - L'épée ou la liberté ?
Une dizaine d'années sont passées. Le vol à la tire n'est plus ma seule source de revenus, je m'infiltre dans les maisons et je vole ce qui passe à ma portée. Taïr a quitté Karatoké, "y a plus assez de riches" qu'il m'a dit. Je revends ce que je pique à un brigand qui passe une fois tous les mois à Karatoké. En fait, ça vaut la peine d'attendre. Avec l'argent que je gagne, je nourris ma mère adoptive. Mais il y a peu de temps, j'ai pris une décision.
Suite à une infiltration dans la maison d'un riche scientifique qui habite dans un coin isolé, j'ai trouvé une épée. Elle était plutôt longue et lourde. Le manche et le pommeau étaient en or, ce qui a directement attiré mon regard. J'ai directement su que je la vendrais très cher. En farfouillant un peu, j'ai trouvé de l'argent et des bijoux, puis un fruit bizarre. Seulement, le riche est rentré chez lui et je l'ai pas entendu. Pas le temps de réfléchir, car quand je me retournais, je vis ses yeux qui me regardaient. Il avait un escargophone en main.
- Vite ! Venez, il m'a repéré ! Il me vole tout ce que j'ai !, dit l'homme, en hurlant dans l'escargophone.
Sans réfléchir, et sans qu'il aie le temps de continuer, je me suis élancé vers lui. Il lâcha l'escargophone et recula d'un pas. Ensuite, du sang, beaucoup de sang. Le sang formait a présent une grande mare, et sa tête roulait parterre. Je l'avais décapité sur le coup de la peur. J'entendais l'escargophone crier "Répondez, qu'est-ce qu'il se passe ?". D'un coup de pied rageur, j'expédie l'escargophone à travers la fenêtre. En sortant, je regarde le carnage. Je remarque que l'homme était armé d'un pistolet que je lui prit sur-le-champ. Je laisse l'épée ensanglantée contre le mur, à l'entrée.
Je sautais par la fenêtre et courrait vers le village, le pistolet dégainé. Les passants se poussaient, voyant le sang qui tâchait ma chemise. Je passait devant l'académie, sans jeter un coup d'oeil. J'entrais dans ma maison, prit mes affaires, changeait de chemise et ressortit. En passant devant une ruelle, j'entends un gémissement plaintif. Je vois ma mère, au sol, la tête contre ses genoux. Je m'accroupis près d'elle et lui donne une bourse, de quoi la maintenir en vie pendant quelques mois. En repartant, elle me dit :
- Merci beaucoup, monsieur.
Il valait mieux qu'elle ne se rappelle pas de moi après tout. Je filait vers la maison de ma mère adoptive et m'assis à la table. Je rédigeait une lettre, qui disait : "Je quitte l'île. Tu le sais sûrement, mais j'ai fini ma formation à l'académie. J'ai décapité un mec sur le coup de la peur, alors j'me suis enfuis. J'ai laissé deux ou trois trucs dans l'armoire, de quoi manger un peu pour un moment. Je vais devenir un pirate, mais ne t'inquiète pas pour moi : je sais me défendre. Adieu, Caezar."
Je déposait la lettre sur la table de la cuisine et quittait la maison. En sortant, je ressortis le fruit de ma poche et mordait dedans.
• Exemple de post RP :
Tout commence un soir, il pleuvine dehors, et je dois récupérer un truc de valeur. Tous les pickpockets du coin s'étaient concertés : celui qui arrivait à le piquer en premier serait son heureux propriétaire. Cet objet, c'est une montre en or. Pas n'importe quoi, y avais des diamants incrustés sur les contours du cadran. Le mec qui porte cette montre est un riche marchand d'armes pour la marine, et il n'est apparemment pas escorté. J'en viendrais aux mains en dernier recours, mais autant marchander avec lui. Je suis sûr que c'est un homme sensé et qu'il s'y connait en affaires. Il se trouve dans une auberge très fréquentée, ce serait dur de la lui voler s'il ne veut pas gentiment me l'échanger.
Une fois dans l'auberge, je prends place au fonds de la salle. Je regarde les autres personnes assises et je me dis : "Il y a au moins 6 pickpockets assis ici, et si on l'aborde en même temps, il vas se douter d'un truc.". Je fixe la montre du mec et me lève. Je sens le regard des autres pickpockets sur moi, et j'entends presque ce qu'ils pensent : "Ah le c*n, il veut jouer à ça...". Je m'approche du type et commence à discuter avec lui :
- Salut l'ami. T'es pas d'ici, hein ? dis-je.
- Non, je suis venu sur cette île pour les affaires...
- D'accord, d'accord. Les affaires tu dis ? Tu vends quoi ? Des montres comme celle que tu portes, là?
- Je vends des armes mais cette montre n'est pas à vendre. Elle a une grande valeur pour moi, comprenez-vous ?
Je hoche la tête et me retourne sur mon tabouret. Je glisse ma main lentement jusqu'à son poignet, qui repose sur sa cuisse. Lentement, très lentement, je défait le mécanisme de la montre pour la lui enlever. Puis il se tourne vers moi, son visage tout rouge.
- Je vous intéresse, n'est-ce pas ? Arrêtez de me tripoter, ça ne se fait pas au premier rendez-vous !
Mon ego en prend un énorme choque. Ce moustachu me fais des avances ? Je me lève et il me suit. Soudain, ça fais tilt dans ma tête. Je pourrais la lui piquer si j'arrive à l'embobiner. Je marche, je tourne dans une ruelle et j'entends son rire de pervers. Je me retourne vivement, une fois dans la ruelle.
- Si tu me donne ta montre, je te ramène chez moi... dis-je sur un ton malicieux qui, dès que j'y repense, me dégoûte de moi même.
- Oh, vous êtes un petit coquin ! dit le mec, sa moustache frémissant de joie.
Il se retourne en me disant "Ma montre me viens de mon premier petit copain, je ne vous la donnerais pas". Sur le coup de la colère, je lui attrape le poignet et lui arrache la montre. Il crie, je m'énerve et sors mon flingue. Il s'arrête de gueuler. Deux marines en civil arrivent en courant, flingue en main. Je tire en plein sur la moustache de l'homo et tire en direction des marines. Je fuis en direction du port, slalomant entre les ruelles. Je range ma montre dans ma poche et me retourne. Les marines me poursuivent, et je n'ai pas d'issues. Mon ami le revendeur n'est pas encore là, je vais devoir les affronter.
- Eh toi, le mec au flingue ! Lâche ton arme tout de suite ou on te transforme en gruyère ! aboie l'un des gardes.
- Nous sommes des gentlemen, on peut régler ça tranquillement sans effusion de sang, dis-je.
Sauf que ces marines n'étaient pas des gentlemen. Ils ont foncé sur moi, leur sabre dégainé. Je me contente de parer leurs attaques avec mon flingue. Ils frappent fort mais ne sont apparemment pas rusés. J'en profite pour discuter avec eux. Je leur demande combien ils sont payés pour faire ce boulot de merde, ils ne me répondent pas. L'un deux arrive à me toucher, mais à peine. Ma manche est coupée, ma belle chemise qui coûte plus cher que leur salaire annuel...
[Suite à venir avec la valid' de mon FDD.]
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